In article , Jerome Lambert wrote:A partir du moment où le nombre d'élèves devient un critère pour allouer
des choses aussi insignifiante que les budgets ou le crédit d'heures, il
ne faut plus s'étonner de rien.
Je me suis fritté avec mon directeur l'année dernière, justement parce
qu'il gardait des gens qui n'avaient pas leur place chez nous. Sa
réponse fut sans équivoque: "dix élèves que je renvoie, c'est un poste
de professeur qui disparait". Que veux-tu répondre à ça?
Oui, difficile. L'E.N fonctionne exactement comme une Ecole : la logique
comptable (dans une Ecole, l'étudiant sera mauvais mais on fera comme
si on n'avait rien vu).
J'avais entendu parler -je ne sais pas si c'est vrai - d'une obligation
de refourguer à un autre lycée celui qu'on éjectait. Et en retour, on
se payait le navrant du lycée d'en-face. Un peu comme le jeu de carte dit
"le pouilleux" où il faut se refiler un valet, mais le valet reste toujours
dans le jeu.
Ca n'existe plus les "colles", les permanences (une salle gardée par
un pion qui joue au facho), enfin des endroits où on foutait les affreux ?
L'idéal étant bien entendu de disposer d'une structure pouvant s'occuper
réellement des affreux. Mais si elle n'existe pas, tant pis, sauvegarder
l'essentiel. On fait comme ça avec un fou dangereux : d'abord, on l'ôte
de la circulation et si possible on lui vient en aide. Mais d'abord on
l'ôte de la circulation !
Pour l'instant, j'ai l'impression qu'on perd sur le court, moyen et long-
terme. Les entreprises, sauf quand elles ont besoin d'exploiter jusqu'au
trognon, n'en veulent plus. Fini. Sur les bas niveaux, le rejet est total
en ce qui concerne les jeunes. "Trop d'emmerdements" me disent-elles. Je
suppose qu'elles n'inventent tout de même pas tout, que ça repose tout
de même sur de l'observation et de l'expérience...
In article <3n3nioF18vc0jU1@individual.net>, Jerome Lambert wrote:
A partir du moment où le nombre d'élèves devient un critère pour allouer
des choses aussi insignifiante que les budgets ou le crédit d'heures, il
ne faut plus s'étonner de rien.
Je me suis fritté avec mon directeur l'année dernière, justement parce
qu'il gardait des gens qui n'avaient pas leur place chez nous. Sa
réponse fut sans équivoque: "dix élèves que je renvoie, c'est un poste
de professeur qui disparait". Que veux-tu répondre à ça?
Oui, difficile. L'E.N fonctionne exactement comme une Ecole : la logique
comptable (dans une Ecole, l'étudiant sera mauvais mais on fera comme
si on n'avait rien vu).
J'avais entendu parler -je ne sais pas si c'est vrai - d'une obligation
de refourguer à un autre lycée celui qu'on éjectait. Et en retour, on
se payait le navrant du lycée d'en-face. Un peu comme le jeu de carte dit
"le pouilleux" où il faut se refiler un valet, mais le valet reste toujours
dans le jeu.
Ca n'existe plus les "colles", les permanences (une salle gardée par
un pion qui joue au facho), enfin des endroits où on foutait les affreux ?
L'idéal étant bien entendu de disposer d'une structure pouvant s'occuper
réellement des affreux. Mais si elle n'existe pas, tant pis, sauvegarder
l'essentiel. On fait comme ça avec un fou dangereux : d'abord, on l'ôte
de la circulation et si possible on lui vient en aide. Mais d'abord on
l'ôte de la circulation !
Pour l'instant, j'ai l'impression qu'on perd sur le court, moyen et long-
terme. Les entreprises, sauf quand elles ont besoin d'exploiter jusqu'au
trognon, n'en veulent plus. Fini. Sur les bas niveaux, le rejet est total
en ce qui concerne les jeunes. "Trop d'emmerdements" me disent-elles. Je
suppose qu'elles n'inventent tout de même pas tout, que ça repose tout
de même sur de l'observation et de l'expérience...
In article , Jerome Lambert wrote:A partir du moment où le nombre d'élèves devient un critère pour allouer
des choses aussi insignifiante que les budgets ou le crédit d'heures, il
ne faut plus s'étonner de rien.
Je me suis fritté avec mon directeur l'année dernière, justement parce
qu'il gardait des gens qui n'avaient pas leur place chez nous. Sa
réponse fut sans équivoque: "dix élèves que je renvoie, c'est un poste
de professeur qui disparait". Que veux-tu répondre à ça?
Oui, difficile. L'E.N fonctionne exactement comme une Ecole : la logique
comptable (dans une Ecole, l'étudiant sera mauvais mais on fera comme
si on n'avait rien vu).
J'avais entendu parler -je ne sais pas si c'est vrai - d'une obligation
de refourguer à un autre lycée celui qu'on éjectait. Et en retour, on
se payait le navrant du lycée d'en-face. Un peu comme le jeu de carte dit
"le pouilleux" où il faut se refiler un valet, mais le valet reste toujours
dans le jeu.
Ca n'existe plus les "colles", les permanences (une salle gardée par
un pion qui joue au facho), enfin des endroits où on foutait les affreux ?
L'idéal étant bien entendu de disposer d'une structure pouvant s'occuper
réellement des affreux. Mais si elle n'existe pas, tant pis, sauvegarder
l'essentiel. On fait comme ça avec un fou dangereux : d'abord, on l'ôte
de la circulation et si possible on lui vient en aide. Mais d'abord on
l'ôte de la circulation !
Pour l'instant, j'ai l'impression qu'on perd sur le court, moyen et long-
terme. Les entreprises, sauf quand elles ont besoin d'exploiter jusqu'au
trognon, n'en veulent plus. Fini. Sur les bas niveaux, le rejet est total
en ce qui concerne les jeunes. "Trop d'emmerdements" me disent-elles. Je
suppose qu'elles n'inventent tout de même pas tout, que ça repose tout
de même sur de l'observation et de l'expérience...
L'idéal étant bien entendu de disposer d'une structure pouvant
s'occuper réellement des affreux. Mais si elle n'existe pas, tant
pis, sauvegarder l'essentiel. On fait comme ça avec un fou dangereux
: d'abord, on l'ôte de la circulation et si possible on lui vient en
aide. Mais d'abord on l'ôte de la circulation !
Pour l'instant, j'ai l'impression qu'on perd sur le court, moyen et
long- terme. Les entreprises, sauf quand elles ont besoin
d'exploiter jusqu'au trognon, n'en veulent plus. Fini. Sur les bas
niveaux, le rejet est total en ce qui concerne les jeunes. "Trop
d'emmerdements" me disent-elles. Je suppose qu'elles n'inventent
tout de même pas tout, que ça repose tout de même sur de
l'observation et de l'expérience...
L'idéal étant bien entendu de disposer d'une structure pouvant
s'occuper réellement des affreux. Mais si elle n'existe pas, tant
pis, sauvegarder l'essentiel. On fait comme ça avec un fou dangereux
: d'abord, on l'ôte de la circulation et si possible on lui vient en
aide. Mais d'abord on l'ôte de la circulation !
Pour l'instant, j'ai l'impression qu'on perd sur le court, moyen et
long- terme. Les entreprises, sauf quand elles ont besoin
d'exploiter jusqu'au trognon, n'en veulent plus. Fini. Sur les bas
niveaux, le rejet est total en ce qui concerne les jeunes. "Trop
d'emmerdements" me disent-elles. Je suppose qu'elles n'inventent
tout de même pas tout, que ça repose tout de même sur de
l'observation et de l'expérience...
L'idéal étant bien entendu de disposer d'une structure pouvant
s'occuper réellement des affreux. Mais si elle n'existe pas, tant
pis, sauvegarder l'essentiel. On fait comme ça avec un fou dangereux
: d'abord, on l'ôte de la circulation et si possible on lui vient en
aide. Mais d'abord on l'ôte de la circulation !
Pour l'instant, j'ai l'impression qu'on perd sur le court, moyen et
long- terme. Les entreprises, sauf quand elles ont besoin
d'exploiter jusqu'au trognon, n'en veulent plus. Fini. Sur les bas
niveaux, le rejet est total en ce qui concerne les jeunes. "Trop
d'emmerdements" me disent-elles. Je suppose qu'elles n'inventent
tout de même pas tout, que ça repose tout de même sur de
l'observation et de l'expérience...
Aujourd'hui tout ce compte, c'est le plaisir immédiat. S'il faut un tout
petit peu d'investissement personnel, on dit que c'est galère et c'est
retour illico à la playstation.
Aujourd'hui tout ce compte, c'est le plaisir immédiat. S'il faut un tout
petit peu d'investissement personnel, on dit que c'est galère et c'est
retour illico à la playstation.
Aujourd'hui tout ce compte, c'est le plaisir immédiat. S'il faut un tout
petit peu d'investissement personnel, on dit que c'est galère et c'est
retour illico à la playstation.
Pour l'instant, j'ai l'impression qu'on perd sur le court, moyen et
long- terme. Les entreprises, sauf quand elles ont besoin
d'exploiter jusqu'au trognon, n'en veulent plus. Fini. Sur les bas
niveaux, le rejet est total en ce qui concerne les jeunes. "Trop
d'emmerdements" me disent-elles. Je suppose qu'elles n'inventent
tout de même pas tout, que ça repose tout de même sur de
l'observation et de l'expérience...
Evidemment, tant qu'on a des candidats à la pelle, on peut se
permettre d'être difficile. Ce ne serait pas le cas qu'elles les
prendraient bien volontiers j'imagine. (Remarquez, si il n'y avait pas
un tel taux de chomage, peut être y aurait-il moins de jeunes à la
dérive, justement.)
Pour l'instant, j'ai l'impression qu'on perd sur le court, moyen et
long- terme. Les entreprises, sauf quand elles ont besoin
d'exploiter jusqu'au trognon, n'en veulent plus. Fini. Sur les bas
niveaux, le rejet est total en ce qui concerne les jeunes. "Trop
d'emmerdements" me disent-elles. Je suppose qu'elles n'inventent
tout de même pas tout, que ça repose tout de même sur de
l'observation et de l'expérience...
Evidemment, tant qu'on a des candidats à la pelle, on peut se
permettre d'être difficile. Ce ne serait pas le cas qu'elles les
prendraient bien volontiers j'imagine. (Remarquez, si il n'y avait pas
un tel taux de chomage, peut être y aurait-il moins de jeunes à la
dérive, justement.)
Pour l'instant, j'ai l'impression qu'on perd sur le court, moyen et
long- terme. Les entreprises, sauf quand elles ont besoin
d'exploiter jusqu'au trognon, n'en veulent plus. Fini. Sur les bas
niveaux, le rejet est total en ce qui concerne les jeunes. "Trop
d'emmerdements" me disent-elles. Je suppose qu'elles n'inventent
tout de même pas tout, que ça repose tout de même sur de
l'observation et de l'expérience...
Evidemment, tant qu'on a des candidats à la pelle, on peut se
permettre d'être difficile. Ce ne serait pas le cas qu'elles les
prendraient bien volontiers j'imagine. (Remarquez, si il n'y avait pas
un tel taux de chomage, peut être y aurait-il moins de jeunes à la
dérive, justement.)
Le 22-08-2005, Stephane TOUGARD a écrit :
Bref, il y a du travail pour tout le monde
Faut prevenir ceux qui font la queue a l'ANPE, alors.
Le 22-08-2005, Stephane TOUGARD <stephane@unices.org> a écrit :
Bref, il y a du travail pour tout le monde
Faut prevenir ceux qui font la queue a l'ANPE, alors.
Le 22-08-2005, Stephane TOUGARD a écrit :
Bref, il y a du travail pour tout le monde
Faut prevenir ceux qui font la queue a l'ANPE, alors.
Un délinquant juvénile n'est quand même pas un fou dangereux. Ce
serait une drôle de solution de tout simplement les retirer de la
circulation.
Une société qui ne tolère plus une telle proportion de
ses membres - ses fous, ses pervers, ses drogués, ses pauvres, ses
délinquants - c'est quand même pas forcément souhaitable. C'est la
solution états-unienne, où la prison sert de société de seconde
classe.
Evidemment, tant qu'on a des candidats à la pelle, on peut se
permettre d'être difficile. Ce ne serait pas le cas qu'elles les
prendraient bien volontiers j'imagine. (Remarquez, si il n'y avait pas
un tel taux de chomage, peut être y aurait-il moins de jeunes à la
dérive, justement.)
Un délinquant juvénile n'est quand même pas un fou dangereux. Ce
serait une drôle de solution de tout simplement les retirer de la
circulation.
Une société qui ne tolère plus une telle proportion de
ses membres - ses fous, ses pervers, ses drogués, ses pauvres, ses
délinquants - c'est quand même pas forcément souhaitable. C'est la
solution états-unienne, où la prison sert de société de seconde
classe.
Evidemment, tant qu'on a des candidats à la pelle, on peut se
permettre d'être difficile. Ce ne serait pas le cas qu'elles les
prendraient bien volontiers j'imagine. (Remarquez, si il n'y avait pas
un tel taux de chomage, peut être y aurait-il moins de jeunes à la
dérive, justement.)
Un délinquant juvénile n'est quand même pas un fou dangereux. Ce
serait une drôle de solution de tout simplement les retirer de la
circulation.
Une société qui ne tolère plus une telle proportion de
ses membres - ses fous, ses pervers, ses drogués, ses pauvres, ses
délinquants - c'est quand même pas forcément souhaitable. C'est la
solution états-unienne, où la prison sert de société de seconde
classe.
Evidemment, tant qu'on a des candidats à la pelle, on peut se
permettre d'être difficile. Ce ne serait pas le cas qu'elles les
prendraient bien volontiers j'imagine. (Remarquez, si il n'y avait pas
un tel taux de chomage, peut être y aurait-il moins de jeunes à la
dérive, justement.)
Evidemment, tant qu'on a des candidats à la pelle, on peut se
permettre d'être difficile. Ce ne serait pas le cas qu'elles les
prendraient bien volontiers j'imagine. (Remarquez, si il n'y avait
pas un tel taux de chomage, peut être y aurait-il moins de jeunes
à la dérive, justement.)
Si les jeunes arrivaient à se remettre en question, peut-être n 'en
seraient-ils pas là , parce que du boulot, je peux te dire qu'il y en
a, mais ça nécessite d'accepter de se salir les mains, vu que l es
métiers où l'on *manque* de main d'oeuvre sont du style plombie r,
maçon et boucher...
Evidemment, tant qu'on a des candidats à la pelle, on peut se
permettre d'être difficile. Ce ne serait pas le cas qu'elles les
prendraient bien volontiers j'imagine. (Remarquez, si il n'y avait
pas un tel taux de chomage, peut être y aurait-il moins de jeunes
à la dérive, justement.)
Si les jeunes arrivaient à se remettre en question, peut-être n 'en
seraient-ils pas là , parce que du boulot, je peux te dire qu'il y en
a, mais ça nécessite d'accepter de se salir les mains, vu que l es
métiers où l'on *manque* de main d'oeuvre sont du style plombie r,
maçon et boucher...
Evidemment, tant qu'on a des candidats à la pelle, on peut se
permettre d'être difficile. Ce ne serait pas le cas qu'elles les
prendraient bien volontiers j'imagine. (Remarquez, si il n'y avait
pas un tel taux de chomage, peut être y aurait-il moins de jeunes
à la dérive, justement.)
Si les jeunes arrivaient à se remettre en question, peut-être n 'en
seraient-ils pas là , parce que du boulot, je peux te dire qu'il y en
a, mais ça nécessite d'accepter de se salir les mains, vu que l es
métiers où l'on *manque* de main d'oeuvre sont du style plombie r,
maçon et boucher...
Evidemment, tant qu'on a des candidats à la pelle, on peut se
permettre d'être difficile. Ce ne serait pas le cas qu'elles les
prendraient bien volontiers j'imagine. (Remarquez, si il n'y avait
pas un tel taux de chomage, peut être y aurait-il moins de jeunes
à la dérive, justement.)
Si les jeunes arrivaient à se remettre en question, peut-être n'en
seraient-ils pas là, parce que du boulot, je peux te dire qu'il y en
a, mais ça nécessite d'accepter de se salir les mains, vu que les
métiers où l'on *manque* de main d'oeuvre sont du style plombier,
maçon et boucher...
Le chômage, je l'aurais rêvé ?
Mais heureusement, grâce au "non" à la constitution, on est protégé
des les plombiers polonais. C'est toujours ça.
Evidemment, tant qu'on a des candidats à la pelle, on peut se
permettre d'être difficile. Ce ne serait pas le cas qu'elles les
prendraient bien volontiers j'imagine. (Remarquez, si il n'y avait
pas un tel taux de chomage, peut être y aurait-il moins de jeunes
à la dérive, justement.)
Si les jeunes arrivaient à se remettre en question, peut-être n'en
seraient-ils pas là, parce que du boulot, je peux te dire qu'il y en
a, mais ça nécessite d'accepter de se salir les mains, vu que les
métiers où l'on *manque* de main d'oeuvre sont du style plombier,
maçon et boucher...
Le chômage, je l'aurais rêvé ?
Mais heureusement, grâce au "non" à la constitution, on est protégé
des les plombiers polonais. C'est toujours ça.
Evidemment, tant qu'on a des candidats à la pelle, on peut se
permettre d'être difficile. Ce ne serait pas le cas qu'elles les
prendraient bien volontiers j'imagine. (Remarquez, si il n'y avait
pas un tel taux de chomage, peut être y aurait-il moins de jeunes
à la dérive, justement.)
Si les jeunes arrivaient à se remettre en question, peut-être n'en
seraient-ils pas là, parce que du boulot, je peux te dire qu'il y en
a, mais ça nécessite d'accepter de se salir les mains, vu que les
métiers où l'on *manque* de main d'oeuvre sont du style plombier,
maçon et boucher...
Le chômage, je l'aurais rêvé ?
Mais heureusement, grâce au "non" à la constitution, on est protégé
des les plombiers polonais. C'est toujours ça.
Le chômage, je l'aurais rêvé ?
Le chômage, je l'aurais rêvé ?
Le chômage, je l'aurais rêvé ?
In article , SL wrote:Un délinquant juvénile n'est quand même pas un fou dange reux. Ce
serait une drôle de solution de tout simplement les retirer de la
circulation.
Mais si ! Ca leur fait plaisir ! Tu demandes à n'importe quel
médecin oeuvrant dans le pénitentiaire, il te le dira. C'est un
mythe cette histoire de
"pauvres-zyvas-traumatisés-à -vie-par-la-prison". C'est la faute Ã
José Bové. Pour se faire libérer, qu'est-ce qu'il a pu rac onter
comme histoire. C'est le pépère qui fait un jour une connerie q ui ne
s'en remet pas. Le "zyva", c'est presque le club où on passe son
temps à regarder la téloche, la prison !
Je me souviens encore de la medecin chef de Fresnes qui avait enfin
dit la vérité en face à Guigou !
Une société qui ne tolère plus une telle proportion de s es membres
- ses fous, ses pervers, ses drogués, ses pauvres, ses délinq uants
- c'est quand même pas forcément souhaitable. C'est la soluti on
états-unienne, où la prison sert de société de seco nde classe.
L'armée servait à ça. Pourtant, je ne l'aimais vraiment pa s,
l'armée. Mais je dois reconnaître qu'en bout de course, elle
servait à récupérer in-extremis quelques mecs.
Là , vu comme c'est parti, autant nommer profs d'anciens légionn aires
!
Il faut, à un moment donné, séparer les gens. On a eu ce f antasme
humanitariste en psychiatrie. On mélangeait dans le même pavill on le
dément, le psychotique hard et le type qui avait eu un coup de blues
le dimanche. Pour ce dernier, ça lui faisait curieux...
Il faut à un moment donné réellement prendre en charge les personnes
à problèmes.
Le système actuel est un échec total. Changeons donc de strat égie.
Evidemment, tant qu'on a des candidats à la pelle, on peut se
permettre d'être difficile. Ce ne serait pas le cas qu'elles les
prendraient bien volontiers j'imagine. (Remarquez, si il n'y avait
pas un tel taux de chomage, peut être y aurait-il moins de jeunes
à la dérive, justement.)
Pour les entreprises, le fait qu'il y ait des citoyens de seconde zone
est une necessité vitale ! Sans ces crève-la-faim, aucune indus trie ne
pourrait tenir le choc. De là à penser que c'est un peu fait
exprès...
Parquer des familles entières dans des barres les plus excentré es
des villes, si ça c'est pas une stratégie volontariste pour bien
enfoncer les gens.
En ce moment, les entreprises rafolent des pays de l'est (sauf les
roumains, ex yougoslaves etc.). Le russe est très prisé par
exemple. Travailleur, fait chier personne, l'entreprise signe. Le
type qui a une gueule basanée, non. "Un à la limite, jamais de ux" :
c'est le credo. L'asiatique attire mais c'est lui qui ne se présent
jamais. Il a ses propres filières. Le "zyva" avec casquette, foulard
OM/PSG et tenue de sport : non, l'entreprise rechigne.
Ensuite, il y a des gens qui ne me comprennent pas lorsque je dis
qu'une DEA en géographie, pour gérer les stocks, c'est de l'or en
barre comparé au CAP Gestion de stock obtenu par un "zyva". On voit
qu'ils ne gèrent pas grand-chose.
In article <u7jebrttw.fsf@nospam.com>, SL wrote:
Un délinquant juvénile n'est quand même pas un fou dange reux. Ce
serait une drôle de solution de tout simplement les retirer de la
circulation.
Mais si ! Ca leur fait plaisir ! Tu demandes à n'importe quel
médecin oeuvrant dans le pénitentiaire, il te le dira. C'est un
mythe cette histoire de
"pauvres-zyvas-traumatisés-à -vie-par-la-prison". C'est la faute Ã
José Bové. Pour se faire libérer, qu'est-ce qu'il a pu rac onter
comme histoire. C'est le pépère qui fait un jour une connerie q ui ne
s'en remet pas. Le "zyva", c'est presque le club où on passe son
temps à regarder la téloche, la prison !
Je me souviens encore de la medecin chef de Fresnes qui avait enfin
dit la vérité en face à Guigou !
Une société qui ne tolère plus une telle proportion de s es membres
- ses fous, ses pervers, ses drogués, ses pauvres, ses délinq uants
- c'est quand même pas forcément souhaitable. C'est la soluti on
états-unienne, où la prison sert de société de seco nde classe.
L'armée servait à ça. Pourtant, je ne l'aimais vraiment pa s,
l'armée. Mais je dois reconnaître qu'en bout de course, elle
servait à récupérer in-extremis quelques mecs.
Là , vu comme c'est parti, autant nommer profs d'anciens légionn aires
!
Il faut, à un moment donné, séparer les gens. On a eu ce f antasme
humanitariste en psychiatrie. On mélangeait dans le même pavill on le
dément, le psychotique hard et le type qui avait eu un coup de blues
le dimanche. Pour ce dernier, ça lui faisait curieux...
Il faut à un moment donné réellement prendre en charge les personnes
à problèmes.
Le système actuel est un échec total. Changeons donc de strat égie.
Evidemment, tant qu'on a des candidats à la pelle, on peut se
permettre d'être difficile. Ce ne serait pas le cas qu'elles les
prendraient bien volontiers j'imagine. (Remarquez, si il n'y avait
pas un tel taux de chomage, peut être y aurait-il moins de jeunes
à la dérive, justement.)
Pour les entreprises, le fait qu'il y ait des citoyens de seconde zone
est une necessité vitale ! Sans ces crève-la-faim, aucune indus trie ne
pourrait tenir le choc. De là à penser que c'est un peu fait
exprès...
Parquer des familles entières dans des barres les plus excentré es
des villes, si ça c'est pas une stratégie volontariste pour bien
enfoncer les gens.
En ce moment, les entreprises rafolent des pays de l'est (sauf les
roumains, ex yougoslaves etc.). Le russe est très prisé par
exemple. Travailleur, fait chier personne, l'entreprise signe. Le
type qui a une gueule basanée, non. "Un à la limite, jamais de ux" :
c'est le credo. L'asiatique attire mais c'est lui qui ne se présent
jamais. Il a ses propres filières. Le "zyva" avec casquette, foulard
OM/PSG et tenue de sport : non, l'entreprise rechigne.
Ensuite, il y a des gens qui ne me comprennent pas lorsque je dis
qu'une DEA en géographie, pour gérer les stocks, c'est de l'or en
barre comparé au CAP Gestion de stock obtenu par un "zyva". On voit
qu'ils ne gèrent pas grand-chose.
In article , SL wrote:Un délinquant juvénile n'est quand même pas un fou dange reux. Ce
serait une drôle de solution de tout simplement les retirer de la
circulation.
Mais si ! Ca leur fait plaisir ! Tu demandes à n'importe quel
médecin oeuvrant dans le pénitentiaire, il te le dira. C'est un
mythe cette histoire de
"pauvres-zyvas-traumatisés-à -vie-par-la-prison". C'est la faute Ã
José Bové. Pour se faire libérer, qu'est-ce qu'il a pu rac onter
comme histoire. C'est le pépère qui fait un jour une connerie q ui ne
s'en remet pas. Le "zyva", c'est presque le club où on passe son
temps à regarder la téloche, la prison !
Je me souviens encore de la medecin chef de Fresnes qui avait enfin
dit la vérité en face à Guigou !
Une société qui ne tolère plus une telle proportion de s es membres
- ses fous, ses pervers, ses drogués, ses pauvres, ses délinq uants
- c'est quand même pas forcément souhaitable. C'est la soluti on
états-unienne, où la prison sert de société de seco nde classe.
L'armée servait à ça. Pourtant, je ne l'aimais vraiment pa s,
l'armée. Mais je dois reconnaître qu'en bout de course, elle
servait à récupérer in-extremis quelques mecs.
Là , vu comme c'est parti, autant nommer profs d'anciens légionn aires
!
Il faut, à un moment donné, séparer les gens. On a eu ce f antasme
humanitariste en psychiatrie. On mélangeait dans le même pavill on le
dément, le psychotique hard et le type qui avait eu un coup de blues
le dimanche. Pour ce dernier, ça lui faisait curieux...
Il faut à un moment donné réellement prendre en charge les personnes
à problèmes.
Le système actuel est un échec total. Changeons donc de strat égie.
Evidemment, tant qu'on a des candidats à la pelle, on peut se
permettre d'être difficile. Ce ne serait pas le cas qu'elles les
prendraient bien volontiers j'imagine. (Remarquez, si il n'y avait
pas un tel taux de chomage, peut être y aurait-il moins de jeunes
à la dérive, justement.)
Pour les entreprises, le fait qu'il y ait des citoyens de seconde zone
est une necessité vitale ! Sans ces crève-la-faim, aucune indus trie ne
pourrait tenir le choc. De là à penser que c'est un peu fait
exprès...
Parquer des familles entières dans des barres les plus excentré es
des villes, si ça c'est pas une stratégie volontariste pour bien
enfoncer les gens.
En ce moment, les entreprises rafolent des pays de l'est (sauf les
roumains, ex yougoslaves etc.). Le russe est très prisé par
exemple. Travailleur, fait chier personne, l'entreprise signe. Le
type qui a une gueule basanée, non. "Un à la limite, jamais de ux" :
c'est le credo. L'asiatique attire mais c'est lui qui ne se présent
jamais. Il a ses propres filières. Le "zyva" avec casquette, foulard
OM/PSG et tenue de sport : non, l'entreprise rechigne.
Ensuite, il y a des gens qui ne me comprennent pas lorsque je dis
qu'une DEA en géographie, pour gérer les stocks, c'est de l'or en
barre comparé au CAP Gestion de stock obtenu par un "zyva". On voit
qu'ils ne gèrent pas grand-chose.