Le 25/10/2018 à 16:57, Alf92 a écrit :GhostRaider :Le 25/10/2018 à 13:09, Alf92 a écrit :GhostRaider :Le 25/10/2018 à 11:39, Alf92 a écrit :https://media.nouvelobs.com/ext/uri/ureferentiel.nouvelobs.com/file/
14222498.jpg Kevin Carter
On a déjà vu cette image, dont le recadrage change complètement la
signification.
Tu as l'original non recadré ?
avec un autre cadrage l'impact n'aurait pas été le même.
donc pourquoi cette question ?
Ben justement.
Comme l'ont expliqué 97126 et l'article, le cadrage présenté dramatise
fortement une situation banale.
bin c'est le but : dramatiser pour maximiser l'impact.
je ne vois pas où est le problème...
Le problème, c'est que le gars a fini par se suicider, ne supportant
plus les horreurs qu'il photographiait et, pour cette photo, qu'il avait
recadrée pour en augmenter l'impact, il avait fini par trop y croire.
Le monde est plein de choses que nous voyons, nous, comme des horreurs
mais les victimes n'y sont pas toujours aussi sensibles, car elles font
partie du quotidien.
Sinon, comment comprendre, par exemple, que les femmes indiennes se
jetaient dans le feu qui consumait le cadavre de leur époux ?
Ou, phénomène connu, comment supporter de savoir qu'en Inde, les
estropiés et aveugles qui mendient sont estropiés et aveuglés
volontairement ?
Et il n'y a pas si longtemps encore, en France, jusqu'en 1949, on a
guillotiné des femmes, et des hommes jusqu'en 1977.
Le 25/10/2018 à 16:57, Alf92 a écrit :
> GhostRaider :
>> Le 25/10/2018 à 13:09, Alf92 a écrit :
>>> GhostRaider :
>>>> Le 25/10/2018 à 11:39, Alf92 a écrit :
>>>
>>>>> https://media.nouvelobs.com/ext/uri/ureferentiel.nouvelobs.com/file/
>>>>> 14222498.jpg Kevin Carter
>>>>
>>>> On a déjà vu cette image, dont le recadrage change complètement la
>>>> signification.
>>>> Tu as l'original non recadré ?
>>>
>>> avec un autre cadrage l'impact n'aurait pas été le même.
>>> donc pourquoi cette question ?
>>
>> Ben justement.
>> Comme l'ont expliqué 97126 et l'article, le cadrage présenté dramatise
>> fortement une situation banale.
>
> bin c'est le but : dramatiser pour maximiser l'impact.
> je ne vois pas où est le problème...
Le problème, c'est que le gars a fini par se suicider, ne supportant
plus les horreurs qu'il photographiait et, pour cette photo, qu'il avait
recadrée pour en augmenter l'impact, il avait fini par trop y croire.
Le monde est plein de choses que nous voyons, nous, comme des horreurs
mais les victimes n'y sont pas toujours aussi sensibles, car elles font
partie du quotidien.
Sinon, comment comprendre, par exemple, que les femmes indiennes se
jetaient dans le feu qui consumait le cadavre de leur époux ?
Ou, phénomène connu, comment supporter de savoir qu'en Inde, les
estropiés et aveugles qui mendient sont estropiés et aveuglés
volontairement ?
Et il n'y a pas si longtemps encore, en France, jusqu'en 1949, on a
guillotiné des femmes, et des hommes jusqu'en 1977.
Le 25/10/2018 à 16:57, Alf92 a écrit :GhostRaider :Le 25/10/2018 à 13:09, Alf92 a écrit :GhostRaider :Le 25/10/2018 à 11:39, Alf92 a écrit :https://media.nouvelobs.com/ext/uri/ureferentiel.nouvelobs.com/file/
14222498.jpg Kevin Carter
On a déjà vu cette image, dont le recadrage change complètement la
signification.
Tu as l'original non recadré ?
avec un autre cadrage l'impact n'aurait pas été le même.
donc pourquoi cette question ?
Ben justement.
Comme l'ont expliqué 97126 et l'article, le cadrage présenté dramatise
fortement une situation banale.
bin c'est le but : dramatiser pour maximiser l'impact.
je ne vois pas où est le problème...
Le problème, c'est que le gars a fini par se suicider, ne supportant
plus les horreurs qu'il photographiait et, pour cette photo, qu'il avait
recadrée pour en augmenter l'impact, il avait fini par trop y croire.
Le monde est plein de choses que nous voyons, nous, comme des horreurs
mais les victimes n'y sont pas toujours aussi sensibles, car elles font
partie du quotidien.
Sinon, comment comprendre, par exemple, que les femmes indiennes se
jetaient dans le feu qui consumait le cadavre de leur époux ?
Ou, phénomène connu, comment supporter de savoir qu'en Inde, les
estropiés et aveugles qui mendient sont estropiés et aveuglés
volontairement ?
Et il n'y a pas si longtemps encore, en France, jusqu'en 1949, on a
guillotiné des femmes, et des hommes jusqu'en 1977.
Mes cours d'anatomie avaient lieu dans une salle de dissection avec
quelques dizaines de tables de dissection et des macchabées plus ou
moins ouverts par les étudiants de deuxième année. Ça a fait des dégâts
auprès de ceux qui ne s'y attendaient pas malgré l'odeur de formol à
l'étage.
Donc, comme un médecin fait son travail pour sauver des vies, le
journalistes fait le sien pour faire connaître ce qui se passe. Un
journaliste qui oublie son métier pour s'occuper de blessés, ne fait pas
son métier et en plus il ne sait pas soigner.
Mes cours d'anatomie avaient lieu dans une salle de dissection avec
quelques dizaines de tables de dissection et des macchabées plus ou
moins ouverts par les étudiants de deuxième année. Ça a fait des dégâts
auprès de ceux qui ne s'y attendaient pas malgré l'odeur de formol à
l'étage.
Donc, comme un médecin fait son travail pour sauver des vies, le
journalistes fait le sien pour faire connaître ce qui se passe. Un
journaliste qui oublie son métier pour s'occuper de blessés, ne fait pas
son métier et en plus il ne sait pas soigner.
Mes cours d'anatomie avaient lieu dans une salle de dissection avec
quelques dizaines de tables de dissection et des macchabées plus ou
moins ouverts par les étudiants de deuxième année. Ça a fait des dégâts
auprès de ceux qui ne s'y attendaient pas malgré l'odeur de formol à
l'étage.
Donc, comme un médecin fait son travail pour sauver des vies, le
journalistes fait le sien pour faire connaître ce qui se passe. Un
journaliste qui oublie son métier pour s'occuper de blessés, ne fait pas
son métier et en plus il ne sait pas soigner.
Le 25/10/2018 à 19:38, jdd a écrit :Le 25/10/2018 à 19:01, Alf92 a écrit :En publiant cette photo, il se désignait comme coupable de son inact ion.doit on comprendre que le journaliste-photographe ne doit pas utiliseril semble qu'on lui ai beaucoup reproché de ne pas être inter venu, alors
de photo choc pour dénoncer ?
qu'il y a avait d'autres personnes autour de lui qui pouvaient le faire
aussi bien
Éternel procès fait aux photographes de presse.
Le 25/10/2018 à 19:38, jdd a écrit :
> Le 25/10/2018 à 19:01, Alf92 a écrit :
>
>> doit on comprendre que le journaliste-photographe ne doit pas utiliser
>> de photo choc pour dénoncer ?
>>
> il semble qu'on lui ai beaucoup reproché de ne pas être inter venu, alors
> qu'il y a avait d'autres personnes autour de lui qui pouvaient le faire
> aussi bien
>
En publiant cette photo, il se désignait comme coupable de son inact ion.
Éternel procès fait aux photographes de presse.
Le 25/10/2018 à 19:38, jdd a écrit :Le 25/10/2018 à 19:01, Alf92 a écrit :En publiant cette photo, il se désignait comme coupable de son inact ion.doit on comprendre que le journaliste-photographe ne doit pas utiliseril semble qu'on lui ai beaucoup reproché de ne pas être inter venu, alors
de photo choc pour dénoncer ?
qu'il y a avait d'autres personnes autour de lui qui pouvaient le faire
aussi bien
Éternel procès fait aux photographes de presse.
Le jeudi 25 octobre 2018 11:58:02 UTC-4, GhostRaider a écrit :Le 25/10/2018 à 16:57, Alf92 a écrit :GhostRaider :Le 25/10/2018 à 13:09, Alf92 a écrit :GhostRaider :Le 25/10/2018 à 11:39, Alf92 a écrit :https://media.nouvelobs.com/ext/uri/ureferentiel.nouvelobs.com/file/14222498.jpg
Kevin Carter
On a déjà vu cette image, dont le recadrage change complètement la
signification.
Tu as l'original non recadré ?
avec un autre cadrage l'impact n'aurait pas été le même.
donc pourquoi cette question ?
Ben justement.
Comme l'ont expliqué 97126 et l'article, le cadrage présenté dramatise
fortement une situation banale.
bin c'est le but : dramatiser pour maximiser l'impact.
je ne vois pas où est le problème...
Le problème, c'est que le gars a fini par se suicider, ne supportant
plus les horreurs qu'il photographiait et, pour cette photo, qu'il avait
recadrée pour en augmenter l'impact, il avait fini par trop y croire.
Le monde est plein de choses que nous voyons, nous, comme des horreurs
mais les victimes n'y sont pas toujours aussi sensibles, car elles font
partie du quotidien.
Sinon, comment comprendre, par exemple, que les femmes indiennes se
jetaient dans le feu qui consumait le cadavre de leur époux ?
Ou, phénomène connu, comment supporter de savoir qu'en Inde, les
estropiés et aveugles qui mendient sont estropiés et aveuglés
volontairement ?
Et il n'y a pas si longtemps encore, en France, jusqu'en 1949, on a
guillotiné des femmes, et des hommes jusqu'en 1977.à ma connaissance le cadrage original est celui présenté ici.
Je me souviens avoir vu une photo au cadrage plus large qui montrait la
totalité de la scène.
Mais je ne la retrouve pas sur le web.
Malgré la croyance populaire personne ne sauve personne, il faut se sauver
soi-même, individuellement ou avec la collectivité dont on fait partie.
La race humaine est avant tout une race animale et elle survie selon les
principes génétiques du plus fort. Les faibles (ou défavorisé) meurent.
Une société (ou un individu) qui a le coeur trop généreux se met elle-même
en péril.
Il faut relire l'histoire et pourquoi pas aussi "Les fourmis" de Weber.
La photo de Kevin Carter est très forte, qu'elle soit faussée ne change pas
sa puissance: elle porte un message dur à supporter. Il y a eu 2 genres de
réactions: ceux qui prêchent trouvant que Carter aurait du aider. Lors d'un
accident combien de gens tournent le dos?
La réaction de Carter était donc
normale, dans la moyenne. Et la réaction des purs qui eux n'auraient montré
que l'ensemble, qui n'auraient pas montré la photo, qui auraient dignement
refusé le prix, etc. Un ensemble de comportements qu'il est toujours plus
facile de s'attribuer lorsqu'on n'est pas personnellement en cause.
Il n'est pas certain que la loi du plus fort soit la loi du plus intelligent.
Ainsi ceux qui n'auraient pas voulu voir ont probablement participé au
suicide du plus faible, Kevin Carter.
Ainsi va la vie...
Le jeudi 25 octobre 2018 11:58:02 UTC-4, GhostRaider a écrit :
Le 25/10/2018 à 16:57, Alf92 a écrit :
GhostRaider :
Le 25/10/2018 à 13:09, Alf92 a écrit :
GhostRaider :
Le 25/10/2018 à 11:39, Alf92 a écrit :
https://media.nouvelobs.com/ext/uri/ureferentiel.nouvelobs.com/file/14222498.jpg
Kevin Carter
On a déjà vu cette image, dont le recadrage change complètement la
signification.
Tu as l'original non recadré ?
avec un autre cadrage l'impact n'aurait pas été le même.
donc pourquoi cette question ?
Ben justement.
Comme l'ont expliqué 97126 et l'article, le cadrage présenté dramatise
fortement une situation banale.
bin c'est le but : dramatiser pour maximiser l'impact.
je ne vois pas où est le problème...
Le problème, c'est que le gars a fini par se suicider, ne supportant
plus les horreurs qu'il photographiait et, pour cette photo, qu'il avait
recadrée pour en augmenter l'impact, il avait fini par trop y croire.
Le monde est plein de choses que nous voyons, nous, comme des horreurs
mais les victimes n'y sont pas toujours aussi sensibles, car elles font
partie du quotidien.
Sinon, comment comprendre, par exemple, que les femmes indiennes se
jetaient dans le feu qui consumait le cadavre de leur époux ?
Ou, phénomène connu, comment supporter de savoir qu'en Inde, les
estropiés et aveugles qui mendient sont estropiés et aveuglés
volontairement ?
Et il n'y a pas si longtemps encore, en France, jusqu'en 1949, on a
guillotiné des femmes, et des hommes jusqu'en 1977.
à ma connaissance le cadrage original est celui présenté ici.
Je me souviens avoir vu une photo au cadrage plus large qui montrait la
totalité de la scène.
Mais je ne la retrouve pas sur le web.
Malgré la croyance populaire personne ne sauve personne, il faut se sauver
soi-même, individuellement ou avec la collectivité dont on fait partie.
La race humaine est avant tout une race animale et elle survie selon les
principes génétiques du plus fort. Les faibles (ou défavorisé) meurent.
Une société (ou un individu) qui a le coeur trop généreux se met elle-même
en péril.
Il faut relire l'histoire et pourquoi pas aussi "Les fourmis" de Weber.
La photo de Kevin Carter est très forte, qu'elle soit faussée ne change pas
sa puissance: elle porte un message dur à supporter. Il y a eu 2 genres de
réactions: ceux qui prêchent trouvant que Carter aurait du aider. Lors d'un
accident combien de gens tournent le dos?
La réaction de Carter était donc
normale, dans la moyenne. Et la réaction des purs qui eux n'auraient montré
que l'ensemble, qui n'auraient pas montré la photo, qui auraient dignement
refusé le prix, etc. Un ensemble de comportements qu'il est toujours plus
facile de s'attribuer lorsqu'on n'est pas personnellement en cause.
Il n'est pas certain que la loi du plus fort soit la loi du plus intelligent.
Ainsi ceux qui n'auraient pas voulu voir ont probablement participé au
suicide du plus faible, Kevin Carter.
Ainsi va la vie...
Le jeudi 25 octobre 2018 11:58:02 UTC-4, GhostRaider a écrit :Le 25/10/2018 à 16:57, Alf92 a écrit :GhostRaider :Le 25/10/2018 à 13:09, Alf92 a écrit :GhostRaider :Le 25/10/2018 à 11:39, Alf92 a écrit :https://media.nouvelobs.com/ext/uri/ureferentiel.nouvelobs.com/file/14222498.jpg
Kevin Carter
On a déjà vu cette image, dont le recadrage change complètement la
signification.
Tu as l'original non recadré ?
avec un autre cadrage l'impact n'aurait pas été le même.
donc pourquoi cette question ?
Ben justement.
Comme l'ont expliqué 97126 et l'article, le cadrage présenté dramatise
fortement une situation banale.
bin c'est le but : dramatiser pour maximiser l'impact.
je ne vois pas où est le problème...
Le problème, c'est que le gars a fini par se suicider, ne supportant
plus les horreurs qu'il photographiait et, pour cette photo, qu'il avait
recadrée pour en augmenter l'impact, il avait fini par trop y croire.
Le monde est plein de choses que nous voyons, nous, comme des horreurs
mais les victimes n'y sont pas toujours aussi sensibles, car elles font
partie du quotidien.
Sinon, comment comprendre, par exemple, que les femmes indiennes se
jetaient dans le feu qui consumait le cadavre de leur époux ?
Ou, phénomène connu, comment supporter de savoir qu'en Inde, les
estropiés et aveugles qui mendient sont estropiés et aveuglés
volontairement ?
Et il n'y a pas si longtemps encore, en France, jusqu'en 1949, on a
guillotiné des femmes, et des hommes jusqu'en 1977.à ma connaissance le cadrage original est celui présenté ici.
Je me souviens avoir vu une photo au cadrage plus large qui montrait la
totalité de la scène.
Mais je ne la retrouve pas sur le web.
Malgré la croyance populaire personne ne sauve personne, il faut se sauver
soi-même, individuellement ou avec la collectivité dont on fait partie.
La race humaine est avant tout une race animale et elle survie selon les
principes génétiques du plus fort. Les faibles (ou défavorisé) meurent.
Une société (ou un individu) qui a le coeur trop généreux se met elle-même
en péril.
Il faut relire l'histoire et pourquoi pas aussi "Les fourmis" de Weber.
La photo de Kevin Carter est très forte, qu'elle soit faussée ne change pas
sa puissance: elle porte un message dur à supporter. Il y a eu 2 genres de
réactions: ceux qui prêchent trouvant que Carter aurait du aider. Lors d'un
accident combien de gens tournent le dos?
La réaction de Carter était donc
normale, dans la moyenne. Et la réaction des purs qui eux n'auraient montré
que l'ensemble, qui n'auraient pas montré la photo, qui auraient dignement
refusé le prix, etc. Un ensemble de comportements qu'il est toujours plus
facile de s'attribuer lorsqu'on n'est pas personnellement en cause.
Il n'est pas certain que la loi du plus fort soit la loi du plus intelligent.
Ainsi ceux qui n'auraient pas voulu voir ont probablement participé au
suicide du plus faible, Kevin Carter.
Ainsi va la vie...
Malgré la croyance populaire personne ne sauve personne, il faut se sauver
soi-même, individuellement ou avec la collectivité dont on fait partie.
La race humaine est avant tout une race animale et elle survie selon les
principes génétiques du plus fort. Les faibles (ou défavorisé) meurent.
Une société (ou un individu) qui a le coeur trop généreux se met elle-même
en péril.
Il faut relire l'histoire et pourquoi pas aussi "Les fourmis" de Weber.
La photo de Kevin Carter est très forte, qu'elle soit faussée ne change pas
sa puissance: elle porte un message dur à supporter. Il y a eu 2 genres de
réactions: ceux qui prêchent trouvant que Carter aurait du aider. Lors d'un
accident combien de gens tournent le dos? La réaction de Carter était donc
normale, dans la moyenne. Et la réaction des purs qui eux n'auraient montré
que l'ensemble, qui n'auraient pas montré la photo, qui auraient dignement
refusé le prix, etc. Un ensemble de comportements qu'il est toujours plus
facile de s'attribuer lorsqu'on n'est pas personnellement en cause.
Il n'est pas certain que la loi du plus fort soit la loi du plus intelligent.
Ainsi ceux qui n'auraient pas voulu voir ont probablement participé au
suicide du plus faible, Kevin Carter.
Ainsi va la vie...
Malgré la croyance populaire personne ne sauve personne, il faut se sauver
soi-même, individuellement ou avec la collectivité dont on fait partie.
La race humaine est avant tout une race animale et elle survie selon les
principes génétiques du plus fort. Les faibles (ou défavorisé) meurent.
Une société (ou un individu) qui a le coeur trop généreux se met elle-même
en péril.
Il faut relire l'histoire et pourquoi pas aussi "Les fourmis" de Weber.
La photo de Kevin Carter est très forte, qu'elle soit faussée ne change pas
sa puissance: elle porte un message dur à supporter. Il y a eu 2 genres de
réactions: ceux qui prêchent trouvant que Carter aurait du aider. Lors d'un
accident combien de gens tournent le dos? La réaction de Carter était donc
normale, dans la moyenne. Et la réaction des purs qui eux n'auraient montré
que l'ensemble, qui n'auraient pas montré la photo, qui auraient dignement
refusé le prix, etc. Un ensemble de comportements qu'il est toujours plus
facile de s'attribuer lorsqu'on n'est pas personnellement en cause.
Il n'est pas certain que la loi du plus fort soit la loi du plus intelligent.
Ainsi ceux qui n'auraient pas voulu voir ont probablement participé au
suicide du plus faible, Kevin Carter.
Ainsi va la vie...
Malgré la croyance populaire personne ne sauve personne, il faut se sauver
soi-même, individuellement ou avec la collectivité dont on fait partie.
La race humaine est avant tout une race animale et elle survie selon les
principes génétiques du plus fort. Les faibles (ou défavorisé) meurent.
Une société (ou un individu) qui a le coeur trop généreux se met elle-même
en péril.
Il faut relire l'histoire et pourquoi pas aussi "Les fourmis" de Weber.
La photo de Kevin Carter est très forte, qu'elle soit faussée ne change pas
sa puissance: elle porte un message dur à supporter. Il y a eu 2 genres de
réactions: ceux qui prêchent trouvant que Carter aurait du aider. Lors d'un
accident combien de gens tournent le dos? La réaction de Carter était donc
normale, dans la moyenne. Et la réaction des purs qui eux n'auraient montré
que l'ensemble, qui n'auraient pas montré la photo, qui auraient dignement
refusé le prix, etc. Un ensemble de comportements qu'il est toujours plus
facile de s'attribuer lorsqu'on n'est pas personnellement en cause.
Il n'est pas certain que la loi du plus fort soit la loi du plus intelligent.
Ainsi ceux qui n'auraient pas voulu voir ont probablement participé au
suicide du plus faible, Kevin Carter.
Ainsi va la vie...
Oui, mais il faut considérer que Carter, attendant que le vautour étende
ses ailes pour donner un caractère encore plus dramatique à sa photo, a
vu pendant 20 minutes une scène bien différente. Dans la scène que
Carter a vécue, la tante de l'enfant se trouvait à quelques mètres,
attendant leur ration, avec un vautour-éboueur qui fait partie des
animaux commensaux de cette région d'Afrique, n'attendant nullement la
mort de l'enfant.
Il s'agit d'un faux intellectuel et Carter, qui était aux abois, sans
argent, endetté (il avait même emprunté l'argent du voyage) et drogué, a
dû souffrir de recueillir un prix et une célébrité qu'il savait immérités.
Oui, mais il faut considérer que Carter, attendant que le vautour étende
ses ailes pour donner un caractère encore plus dramatique à sa photo, a
vu pendant 20 minutes une scène bien différente. Dans la scène que
Carter a vécue, la tante de l'enfant se trouvait à quelques mètres,
attendant leur ration, avec un vautour-éboueur qui fait partie des
animaux commensaux de cette région d'Afrique, n'attendant nullement la
mort de l'enfant.
Il s'agit d'un faux intellectuel et Carter, qui était aux abois, sans
argent, endetté (il avait même emprunté l'argent du voyage) et drogué, a
dû souffrir de recueillir un prix et une célébrité qu'il savait immérités.
Oui, mais il faut considérer que Carter, attendant que le vautour étende
ses ailes pour donner un caractère encore plus dramatique à sa photo, a
vu pendant 20 minutes une scène bien différente. Dans la scène que
Carter a vécue, la tante de l'enfant se trouvait à quelques mètres,
attendant leur ration, avec un vautour-éboueur qui fait partie des
animaux commensaux de cette région d'Afrique, n'attendant nullement la
mort de l'enfant.
Il s'agit d'un faux intellectuel et Carter, qui était aux abois, sans
argent, endetté (il avait même emprunté l'argent du voyage) et drogué, a
dû souffrir de recueillir un prix et une célébrité qu'il savait immérités.
Il s'agit d'un faux intellectuel et Carter, qui était aux abois, sans
argent, endetté (il avait même emprunté l'argent du voyage) et drogué, a
dû souffrir de recueillir un prix et une célébrité qu'il savait immérités.
Il s'agit d'un faux intellectuel et Carter, qui était aux abois, sans
argent, endetté (il avait même emprunté l'argent du voyage) et drogué, a
dû souffrir de recueillir un prix et une célébrité qu'il savait immérités.
Il s'agit d'un faux intellectuel et Carter, qui était aux abois, sans
argent, endetté (il avait même emprunté l'argent du voyage) et drogué, a
dû souffrir de recueillir un prix et une célébrité qu'il savait immérités.
j'ai choisi le Rembrandt, j'ai eu 5/20.
pourtant j'avais super bien argumenté : le prix du Rembrandt pourrait
permettre de contruire une maison pour sauver des milliers de chats.
pfff... connasse ! :-)
j'ai choisi le Rembrandt, j'ai eu 5/20.
pourtant j'avais super bien argumenté : le prix du Rembrandt pourrait
permettre de contruire une maison pour sauver des milliers de chats.
pfff... connasse ! :-)
j'ai choisi le Rembrandt, j'ai eu 5/20.
pourtant j'avais super bien argumenté : le prix du Rembrandt pourrait
permettre de contruire une maison pour sauver des milliers de chats.
pfff... connasse ! :-)
le vautour ne mange pas d'animaux vivants, il attend sa mort.Vautour qui n'est en rien dangereux ni agressif.
le vautour ne mange pas d'animaux vivants, il attend sa mort.Vautour qui n'est en rien dangereux ni agressif.
le vautour ne mange pas d'animaux vivants, il attend sa mort.Vautour qui n'est en rien dangereux ni agressif.
Benoit :Mes cours d'anatomie avaient lieu dans une salle de dissection avec
quelques dizaines de tables de dissection et des macchabées plus ou
moins ouverts par les étudiants de deuxième année. Ça a fait des dégâts
auprès de ceux qui ne s'y attendaient pas malgré l'odeur de formol à
l'étage.
toi aussi tu as fait une année de PCEM1 rue des Saint-Pères ??? ;-)
Donc, comme un médecin fait son travail pour sauver des vies, le
journalistes fait le sien pour faire connaître ce qui se passe. Un
journaliste qui oublie son métier pour s'occuper de blessés, ne fait pas
son métier et en plus il ne sait pas soigner.
+1
Benoit :
> Mes cours d'anatomie avaient lieu dans une salle de dissection avec
> quelques dizaines de tables de dissection et des macchabées plus ou
> moins ouverts par les étudiants de deuxième année. Ça a fait des dégâts
> auprès de ceux qui ne s'y attendaient pas malgré l'odeur de formol à
> l'étage.
toi aussi tu as fait une année de PCEM1 rue des Saint-Pères ??? ;-)
> Donc, comme un médecin fait son travail pour sauver des vies, le
> journalistes fait le sien pour faire connaître ce qui se passe. Un
> journaliste qui oublie son métier pour s'occuper de blessés, ne fait pas
> son métier et en plus il ne sait pas soigner.
+1
Benoit :Mes cours d'anatomie avaient lieu dans une salle de dissection avec
quelques dizaines de tables de dissection et des macchabées plus ou
moins ouverts par les étudiants de deuxième année. Ça a fait des dégâts
auprès de ceux qui ne s'y attendaient pas malgré l'odeur de formol à
l'étage.
toi aussi tu as fait une année de PCEM1 rue des Saint-Pères ??? ;-)
Donc, comme un médecin fait son travail pour sauver des vies, le
journalistes fait le sien pour faire connaître ce qui se passe. Un
journaliste qui oublie son métier pour s'occuper de blessés, ne fait pas
son métier et en plus il ne sait pas soigner.
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