Bonjour,
J'étais intéressé par Linux mais je constate avec regret que l'affichage
de l'interface graphique KDE est affligée de la même tare que MacOS X :
l'affichage des caractères n'est pas net.
Existe-t-il un moyen d'avoir un affichage net ? Sinon je n'installerai
pas Linux, n'ayant pas envie de me fatiguer les yeux inutilement.
Bonjour,
J'étais intéressé par Linux mais je constate avec regret que l'affichage
de l'interface graphique KDE est affligée de la même tare que MacOS X :
l'affichage des caractères n'est pas net.
Existe-t-il un moyen d'avoir un affichage net ? Sinon je n'installerai
pas Linux, n'ayant pas envie de me fatiguer les yeux inutilement.
Bonjour,
J'étais intéressé par Linux mais je constate avec regret que l'affichage
de l'interface graphique KDE est affligée de la même tare que MacOS X :
l'affichage des caractères n'est pas net.
Existe-t-il un moyen d'avoir un affichage net ? Sinon je n'installerai
pas Linux, n'ayant pas envie de me fatiguer les yeux inutilement.
Tu le penses si tu veux mais ca ne fera pas avancer les choses ...
Je suis par défaut sans lissage et j'ai juste activé pour faire la copie
d'écran. Je n'ai rien bidouillé.
Ma finalité c'est de comprendre et surtout que je ne voudrais pas que
certains soit rebutés par Ubuntu a cause de ca, ce qui a failli être mon
cas.
Tu le penses si tu veux mais ca ne fera pas avancer les choses ...
Je suis par défaut sans lissage et j'ai juste activé pour faire la copie
d'écran. Je n'ai rien bidouillé.
Ma finalité c'est de comprendre et surtout que je ne voudrais pas que
certains soit rebutés par Ubuntu a cause de ca, ce qui a failli être mon
cas.
Tu le penses si tu veux mais ca ne fera pas avancer les choses ...
Je suis par défaut sans lissage et j'ai juste activé pour faire la copie
d'écran. Je n'ai rien bidouillé.
Ma finalité c'est de comprendre et surtout que je ne voudrais pas que
certains soit rebutés par Ubuntu a cause de ca, ce qui a failli être mon
cas.
- activer l'antialiasing : là on peut choisir RGB, BGR, RGB vertical, BGR
vertical . Ici j'ai RGB
- activer l'antialiasing : là on peut choisir RGB, BGR, RGB vertical, BGR
vertical . Ici j'ai RGB
- activer l'antialiasing : là on peut choisir RGB, BGR, RGB vertical, BGR
vertical . Ici j'ai RGB
Tu prétends qu'un affichage non-anti-aliasé préserve les hautes fr équences
de variation dans le spectre de l'image originale.
C'est, tout simplement faux.
Si le hinting est correctement fait, c'est vrai pour les lignes verticales
ou horizontales. Mais dans ces conditions, l'affichage anti-aliasé fait
exactement aussi bien, donc tu n'as rien prouvé.
Sur les lignes qui ne sont ni horizontales ni verticales, l'affichage en
pixels ne préserve absolument pas les hautes fréquences : il les perd
complètement, et en introduit de nouvelles, qui n'ont rien à voir (ell es
sont parallèles aux axes des pixels), qui sont donc des parasites, et qu i
sont nettement plus intenses.
La netteté d'une image est une notion très largement subjective car
elle n'a pas de définition précise. On parle d'ailleurs souvent
d'impression de netteté, plus que de netteté absolue. Par contre on
utilise certaines mesures objectives pour quantifier cette impression
de netteté.
Oui, tout ceci va de soi, je ne vois pas l'intérêt de le rappeler.
La plus courante de ces mesures est l'acutance, qui prend
en compte la largeur de la zone de transition entre une plage blanche
et une plage noire (si cette zone de transition est nulle, donc sans
gris entre le blanc et le noir, l'accutance est infinie, et
l'impression de netteté est maximum).
Cette mesure est pertinente pour mesurer un flou issu d'une convolution av ec
une gaussienne, ou un flou similaire. C'est pertinent pour mesurer un flou
issu d'un mécanisme optique, par exemple.
Mais ici, ce n'est pas du tout pertinent : le flou de pixelisation n'a
absolument rien de gaussien.
Avec un exemple extrême : si on décide de représenter tous les carac tères
par juste une rectangle noir, ton acutance sera tout aussi infinie, alors
que la représentation n'est absolument pas fidèle.
La représentation non-anti-aliasée peut s'obtenir à partir de la
représentation anti-aliasée simplement par une projection sur une gril le
moins fine.
Dans ces conditions, n'importe quelle métrique mesurant
correctement la fidélité de la représentation donnera l'avantage à la
représentation anti-aliasée.
Le problème de ton raisonnement, c'est que tu te focalises sur la
représentation en pixels.
Effectivement, par rapport à cette représentation,
l'affichage anti-aliasé est flou. Mais ce n'est pas le bon point de
référence. Le bon point de référence, c'est le caractère idéal , formé de
courbes et de lignes obliques.
Tu prétends qu'un affichage non-anti-aliasé préserve les hautes fr équences
de variation dans le spectre de l'image originale.
C'est, tout simplement faux.
Si le hinting est correctement fait, c'est vrai pour les lignes verticales
ou horizontales. Mais dans ces conditions, l'affichage anti-aliasé fait
exactement aussi bien, donc tu n'as rien prouvé.
Sur les lignes qui ne sont ni horizontales ni verticales, l'affichage en
pixels ne préserve absolument pas les hautes fréquences : il les perd
complètement, et en introduit de nouvelles, qui n'ont rien à voir (ell es
sont parallèles aux axes des pixels), qui sont donc des parasites, et qu i
sont nettement plus intenses.
La netteté d'une image est une notion très largement subjective car
elle n'a pas de définition précise. On parle d'ailleurs souvent
d'impression de netteté, plus que de netteté absolue. Par contre on
utilise certaines mesures objectives pour quantifier cette impression
de netteté.
Oui, tout ceci va de soi, je ne vois pas l'intérêt de le rappeler.
La plus courante de ces mesures est l'acutance, qui prend
en compte la largeur de la zone de transition entre une plage blanche
et une plage noire (si cette zone de transition est nulle, donc sans
gris entre le blanc et le noir, l'accutance est infinie, et
l'impression de netteté est maximum).
Cette mesure est pertinente pour mesurer un flou issu d'une convolution av ec
une gaussienne, ou un flou similaire. C'est pertinent pour mesurer un flou
issu d'un mécanisme optique, par exemple.
Mais ici, ce n'est pas du tout pertinent : le flou de pixelisation n'a
absolument rien de gaussien.
Avec un exemple extrême : si on décide de représenter tous les carac tères
par juste une rectangle noir, ton acutance sera tout aussi infinie, alors
que la représentation n'est absolument pas fidèle.
La représentation non-anti-aliasée peut s'obtenir à partir de la
représentation anti-aliasée simplement par une projection sur une gril le
moins fine.
Dans ces conditions, n'importe quelle métrique mesurant
correctement la fidélité de la représentation donnera l'avantage à la
représentation anti-aliasée.
Le problème de ton raisonnement, c'est que tu te focalises sur la
représentation en pixels.
Effectivement, par rapport à cette représentation,
l'affichage anti-aliasé est flou. Mais ce n'est pas le bon point de
référence. Le bon point de référence, c'est le caractère idéal , formé de
courbes et de lignes obliques.
Tu prétends qu'un affichage non-anti-aliasé préserve les hautes fr équences
de variation dans le spectre de l'image originale.
C'est, tout simplement faux.
Si le hinting est correctement fait, c'est vrai pour les lignes verticales
ou horizontales. Mais dans ces conditions, l'affichage anti-aliasé fait
exactement aussi bien, donc tu n'as rien prouvé.
Sur les lignes qui ne sont ni horizontales ni verticales, l'affichage en
pixels ne préserve absolument pas les hautes fréquences : il les perd
complètement, et en introduit de nouvelles, qui n'ont rien à voir (ell es
sont parallèles aux axes des pixels), qui sont donc des parasites, et qu i
sont nettement plus intenses.
La netteté d'une image est une notion très largement subjective car
elle n'a pas de définition précise. On parle d'ailleurs souvent
d'impression de netteté, plus que de netteté absolue. Par contre on
utilise certaines mesures objectives pour quantifier cette impression
de netteté.
Oui, tout ceci va de soi, je ne vois pas l'intérêt de le rappeler.
La plus courante de ces mesures est l'acutance, qui prend
en compte la largeur de la zone de transition entre une plage blanche
et une plage noire (si cette zone de transition est nulle, donc sans
gris entre le blanc et le noir, l'accutance est infinie, et
l'impression de netteté est maximum).
Cette mesure est pertinente pour mesurer un flou issu d'une convolution av ec
une gaussienne, ou un flou similaire. C'est pertinent pour mesurer un flou
issu d'un mécanisme optique, par exemple.
Mais ici, ce n'est pas du tout pertinent : le flou de pixelisation n'a
absolument rien de gaussien.
Avec un exemple extrême : si on décide de représenter tous les carac tères
par juste une rectangle noir, ton acutance sera tout aussi infinie, alors
que la représentation n'est absolument pas fidèle.
La représentation non-anti-aliasée peut s'obtenir à partir de la
représentation anti-aliasée simplement par une projection sur une gril le
moins fine.
Dans ces conditions, n'importe quelle métrique mesurant
correctement la fidélité de la représentation donnera l'avantage à la
représentation anti-aliasée.
Le problème de ton raisonnement, c'est que tu te focalises sur la
représentation en pixels.
Effectivement, par rapport à cette représentation,
l'affichage anti-aliasé est flou. Mais ce n'est pas le bon point de
référence. Le bon point de référence, c'est le caractère idéal , formé de
courbes et de lignes obliques.
Je n'ai pas dit que les hautes fréquences étaient parfaitement
préservées, mais qu'elles étaient toujours présentes. Nuance.
Le flou de pixelisation n'a en effet rien de gaussien ou de n'importe
quoi d'autre, vu qu'il n'existe pas. Par contre le flou d'antialiasing
existe bel et bien.
Le problème ici est que tu semble changer le concept de flou/net à ta
convenance. Encore une fois, peux-tu définir clairement ce qu'est la
netteté pour toi ? J'ai l'impression qu'en disant "netteté", tu parles
en fait de "fidélité".
La représentation avec antialiasing n'est pas fidèle non plus.
Dans
ton exemple extrême où les pixels sont aussi gros que les caractères à
représenter, là où sans antialising le rectangle sera noir (ou blanc),
avec antialiasing il sera gris. Je ne suis pas certain qu'un "A"
représenté sous forme d'un rectangle soit plus facile à reconnaître si
le rectangle est gris plutôt que noir.
Non, je ne crois pas.
N'importe quelle métrique ? Tu t'avances un peu beaucoup, là.
Tellement qu'en quelques secondes j'ai trouvé sur un exemple tout
simple qu'une métrique toute simple (norme L1) donne l'avantage à la
représentation non anti-aliasée.
Mais bien sûr. Et avec une bonne raison: c'est cette représentation,
et elle seule, que voit et interprète le couple oeil/cerveau.
Ce caractère "idéal" n'a aucune existence concrète pour le cerveau.
Je n'ai pas dit que les hautes fréquences étaient parfaitement
préservées, mais qu'elles étaient toujours présentes. Nuance.
Le flou de pixelisation n'a en effet rien de gaussien ou de n'importe
quoi d'autre, vu qu'il n'existe pas. Par contre le flou d'antialiasing
existe bel et bien.
Le problème ici est que tu semble changer le concept de flou/net à ta
convenance. Encore une fois, peux-tu définir clairement ce qu'est la
netteté pour toi ? J'ai l'impression qu'en disant "netteté", tu parles
en fait de "fidélité".
La représentation avec antialiasing n'est pas fidèle non plus.
Dans
ton exemple extrême où les pixels sont aussi gros que les caractères à
représenter, là où sans antialising le rectangle sera noir (ou blanc),
avec antialiasing il sera gris. Je ne suis pas certain qu'un "A"
représenté sous forme d'un rectangle soit plus facile à reconnaître si
le rectangle est gris plutôt que noir.
Non, je ne crois pas.
N'importe quelle métrique ? Tu t'avances un peu beaucoup, là.
Tellement qu'en quelques secondes j'ai trouvé sur un exemple tout
simple qu'une métrique toute simple (norme L1) donne l'avantage à la
représentation non anti-aliasée.
Mais bien sûr. Et avec une bonne raison: c'est cette représentation,
et elle seule, que voit et interprète le couple oeil/cerveau.
Ce caractère "idéal" n'a aucune existence concrète pour le cerveau.
Je n'ai pas dit que les hautes fréquences étaient parfaitement
préservées, mais qu'elles étaient toujours présentes. Nuance.
Le flou de pixelisation n'a en effet rien de gaussien ou de n'importe
quoi d'autre, vu qu'il n'existe pas. Par contre le flou d'antialiasing
existe bel et bien.
Le problème ici est que tu semble changer le concept de flou/net à ta
convenance. Encore une fois, peux-tu définir clairement ce qu'est la
netteté pour toi ? J'ai l'impression qu'en disant "netteté", tu parles
en fait de "fidélité".
La représentation avec antialiasing n'est pas fidèle non plus.
Dans
ton exemple extrême où les pixels sont aussi gros que les caractères à
représenter, là où sans antialising le rectangle sera noir (ou blanc),
avec antialiasing il sera gris. Je ne suis pas certain qu'un "A"
représenté sous forme d'un rectangle soit plus facile à reconnaître si
le rectangle est gris plutôt que noir.
Non, je ne crois pas.
N'importe quelle métrique ? Tu t'avances un peu beaucoup, là.
Tellement qu'en quelques secondes j'ai trouvé sur un exemple tout
simple qu'une métrique toute simple (norme L1) donne l'avantage à la
représentation non anti-aliasée.
Mais bien sûr. Et avec une bonne raison: c'est cette représentation,
et elle seule, que voit et interprète le couple oeil/cerveau.
Ce caractère "idéal" n'a aucune existence concrète pour le cerveau.
Dommage pour toi, on peut constater ici que tu te plantes : une
représentation en niveau de gris permettra de distinguer un I d'un point par
exemple, car le I sera représenté par un gris plus clair (sur fond noir) que
le point. En tout ou rien, les deux sont en noir.
Ce que tu voix net, ce sont les pixels. Mais justement,
pour tout ce qui n'est ni vertical ni horizontal,
ON NE VEUT PAS LES VOIR.
Dommage pour toi, on peut constater ici que tu te plantes : une
représentation en niveau de gris permettra de distinguer un I d'un point par
exemple, car le I sera représenté par un gris plus clair (sur fond noir) que
le point. En tout ou rien, les deux sont en noir.
Ce que tu voix net, ce sont les pixels. Mais justement,
pour tout ce qui n'est ni vertical ni horizontal,
ON NE VEUT PAS LES VOIR.
Dommage pour toi, on peut constater ici que tu te plantes : une
représentation en niveau de gris permettra de distinguer un I d'un point par
exemple, car le I sera représenté par un gris plus clair (sur fond noir) que
le point. En tout ou rien, les deux sont en noir.
Ce que tu voix net, ce sont les pixels. Mais justement,
pour tout ce qui n'est ni vertical ni horizontal,
ON NE VEUT PAS LES VOIR.
Un caractère c'est un ensemble de pixel
Un caractère c'est un ensemble de pixel
Un caractère c'est un ensemble de pixel
Steph , dans le message <fjjn7q$rb9$, aUn caractère c'est un ensemble de pixel
Non, c'est là que tu te plantes : un caractère n'est pas un ensemble de
pixels. Le tracé d'un caractère ne coïncide pas avec les limites des pixels,
c'est bien pour ça que la représentation non-anti-aliasée est moins bonne.
Steph , dans le message <fjjn7q$rb9$1@news.rd.francetelecom.fr>, a
Un caractère c'est un ensemble de pixel
Non, c'est là que tu te plantes : un caractère n'est pas un ensemble de
pixels. Le tracé d'un caractère ne coïncide pas avec les limites des pixels,
c'est bien pour ça que la représentation non-anti-aliasée est moins bonne.
Steph , dans le message <fjjn7q$rb9$, aUn caractère c'est un ensemble de pixel
Non, c'est là que tu te plantes : un caractère n'est pas un ensemble de
pixels. Le tracé d'un caractère ne coïncide pas avec les limites des pixels,
c'est bien pour ça que la représentation non-anti-aliasée est moins bonne.
Je n'ai pas dit que les hautes fréquences étaient parfaitement
préservées, mais qu'elles étaient toujours présentes. Nuance.
Non, c'est toujours faux : tu perds les hautes fréquences
originales,
et tu
en introduis d'autres, complètement différentes.
Le flou de pixelisation n'a en effet rien de gaussien ou de n'importe
quoi d'autre, vu qu'il n'existe pas. Par contre le flou d'antialiasing
existe bel et bien.
Le problème ici est que tu semble changer le concept de flou/net à t a
convenance. Encore une fois, peux-tu définir clairement ce qu'est la
netteté pour toi ? J'ai l'impression qu'en disant "netteté", tu parl es
en fait de "fidélité".
Je le dirais dans l'autre sens : le problème est que tu prends
une acception
extrêmement restreinte de flou, en ne considérant que les flous
gaussiens ou
quasi-gaussiens.
La représentation avec antialiasing n'est pas fidèle non plus.
Elle est plus fidèle.
Dommage pour toi, on peut constater ici que tu te plantes : une
représentation en niveau de gris permettra de distinguer un I d'un point par
exemple, car le I sera représenté par un gris plus clair (sur fond noi r) que
le point. En tout ou rien, les deux sont en noir.
Non, je ne crois pas.
Si, absolument : les algorithmes de rendu sont exactement les mêmes, seu le
la quantification du résultat à la fin est différente.
N'importe quelle métrique ? Tu t'avances un peu beaucoup, là.
Tellement qu'en quelques secondes j'ai trouvé sur un exemple
tout
simple qu'une métrique toute simple (norme L1) donne
l'avantage à la
représentation non anti-aliasée.
Je t'accorde : j'ai oublié << raisonnable >>. Personne n'utilise > de no rme L1
pour des images.
Mais bien sûr. Et avec une bonne raison: c'est cette
représentation,
et elle seule, que voit et interprète le couple oeil/cerveau.
Justement, c'est ce qu'on veut éviter.
Et c'est ce que tu n'as toujours pas
compris, c'est que quand on voit les escaliers, c'est justement
que l'affichage est mauvais.
Ce caractère "idéal" n'a aucune existence concrète pour le
cerveau.
Ce caractère idéal est ce qu'on essaie de rendre, précisément.
Je n'ai pas dit que les hautes fréquences étaient parfaitement
préservées, mais qu'elles étaient toujours présentes. Nuance.
Non, c'est toujours faux : tu perds les hautes fréquences
originales,
et tu
en introduis d'autres, complètement différentes.
Le flou de pixelisation n'a en effet rien de gaussien ou de n'importe
quoi d'autre, vu qu'il n'existe pas. Par contre le flou d'antialiasing
existe bel et bien.
Le problème ici est que tu semble changer le concept de flou/net à t a
convenance. Encore une fois, peux-tu définir clairement ce qu'est la
netteté pour toi ? J'ai l'impression qu'en disant "netteté", tu parl es
en fait de "fidélité".
Je le dirais dans l'autre sens : le problème est que tu prends
une acception
extrêmement restreinte de flou, en ne considérant que les flous
gaussiens ou
quasi-gaussiens.
La représentation avec antialiasing n'est pas fidèle non plus.
Elle est plus fidèle.
Dommage pour toi, on peut constater ici que tu te plantes : une
représentation en niveau de gris permettra de distinguer un I d'un point par
exemple, car le I sera représenté par un gris plus clair (sur fond noi r) que
le point. En tout ou rien, les deux sont en noir.
Non, je ne crois pas.
Si, absolument : les algorithmes de rendu sont exactement les mêmes, seu le
la quantification du résultat à la fin est différente.
N'importe quelle métrique ? Tu t'avances un peu beaucoup, là.
Tellement qu'en quelques secondes j'ai trouvé sur un exemple
tout
simple qu'une métrique toute simple (norme L1) donne
l'avantage à la
représentation non anti-aliasée.
Je t'accorde : j'ai oublié << raisonnable >>. Personne n'utilise > de no rme L1
pour des images.
Mais bien sûr. Et avec une bonne raison: c'est cette
représentation,
et elle seule, que voit et interprète le couple oeil/cerveau.
Justement, c'est ce qu'on veut éviter.
Et c'est ce que tu n'as toujours pas
compris, c'est que quand on voit les escaliers, c'est justement
que l'affichage est mauvais.
Ce caractère "idéal" n'a aucune existence concrète pour le
cerveau.
Ce caractère idéal est ce qu'on essaie de rendre, précisément.
Je n'ai pas dit que les hautes fréquences étaient parfaitement
préservées, mais qu'elles étaient toujours présentes. Nuance.
Non, c'est toujours faux : tu perds les hautes fréquences
originales,
et tu
en introduis d'autres, complètement différentes.
Le flou de pixelisation n'a en effet rien de gaussien ou de n'importe
quoi d'autre, vu qu'il n'existe pas. Par contre le flou d'antialiasing
existe bel et bien.
Le problème ici est que tu semble changer le concept de flou/net à t a
convenance. Encore une fois, peux-tu définir clairement ce qu'est la
netteté pour toi ? J'ai l'impression qu'en disant "netteté", tu parl es
en fait de "fidélité".
Je le dirais dans l'autre sens : le problème est que tu prends
une acception
extrêmement restreinte de flou, en ne considérant que les flous
gaussiens ou
quasi-gaussiens.
La représentation avec antialiasing n'est pas fidèle non plus.
Elle est plus fidèle.
Dommage pour toi, on peut constater ici que tu te plantes : une
représentation en niveau de gris permettra de distinguer un I d'un point par
exemple, car le I sera représenté par un gris plus clair (sur fond noi r) que
le point. En tout ou rien, les deux sont en noir.
Non, je ne crois pas.
Si, absolument : les algorithmes de rendu sont exactement les mêmes, seu le
la quantification du résultat à la fin est différente.
N'importe quelle métrique ? Tu t'avances un peu beaucoup, là.
Tellement qu'en quelques secondes j'ai trouvé sur un exemple
tout
simple qu'une métrique toute simple (norme L1) donne
l'avantage à la
représentation non anti-aliasée.
Je t'accorde : j'ai oublié << raisonnable >>. Personne n'utilise > de no rme L1
pour des images.
Mais bien sûr. Et avec une bonne raison: c'est cette
représentation,
et elle seule, que voit et interprète le couple oeil/cerveau.
Justement, c'est ce qu'on veut éviter.
Et c'est ce que tu n'as toujours pas
compris, c'est que quand on voit les escaliers, c'est justement
que l'affichage est mauvais.
Ce caractère "idéal" n'a aucune existence concrète pour le
cerveau.
Ce caractère idéal est ce qu'on essaie de rendre, précisément.