Le Fri, 22 Jan 2016 20:58:18 +0100,
RVG a écrit :Mais un master de qualité est laminé par le pressage vinyle alors
qu'il reste intact sur un CD (sauf baisse de résolution pour
compatibilité).
De toute façon, il y aura toujours les lecteurs de magasines pour
répéter a l'envie ce qu'ils ont lu. Il n'y a aucune possibilité que le
son d'une source limitée soit meilleure que celui d'une autre source
qui fournie un signal plus complet en bande passante et en dynamique.
Bien sur, dès que le système d'écoute est lui même d'une qualité
discutable (même si le chèque d'achat est conséquent); la source
douteuse peut devenir acceptable.
Un bon ampli japonais grand public de 100W et une paire de Kilpch (au
hasard: Référence Séries R-28F) montrera les limitations d'un vinyl.
Les ânes diront que ce n'est pas bon, que c'est agressif, etc...
Sont-ils allé dans un concert? Oui, certains instruments sont agressifs
et sont utilisé comme tel par des artistes.
La musique, c'est d'abord de la dynamique, ceux qui trouvent que le
vinyl produit un son de qualité ont oublié les concerts, le «live» des
grands bretons.
Le Fri, 22 Jan 2016 20:58:18 +0100,
RVG <not.here@themoment.invalid.org> a écrit :
Mais un master de qualité est laminé par le pressage vinyle alors
qu'il reste intact sur un CD (sauf baisse de résolution pour
compatibilité).
De toute façon, il y aura toujours les lecteurs de magasines pour
répéter a l'envie ce qu'ils ont lu. Il n'y a aucune possibilité que le
son d'une source limitée soit meilleure que celui d'une autre source
qui fournie un signal plus complet en bande passante et en dynamique.
Bien sur, dès que le système d'écoute est lui même d'une qualité
discutable (même si le chèque d'achat est conséquent); la source
douteuse peut devenir acceptable.
Un bon ampli japonais grand public de 100W et une paire de Kilpch (au
hasard: Référence Séries R-28F) montrera les limitations d'un vinyl.
Les ânes diront que ce n'est pas bon, que c'est agressif, etc...
Sont-ils allé dans un concert? Oui, certains instruments sont agressifs
et sont utilisé comme tel par des artistes.
La musique, c'est d'abord de la dynamique, ceux qui trouvent que le
vinyl produit un son de qualité ont oublié les concerts, le «live» des
grands bretons.
Le Fri, 22 Jan 2016 20:58:18 +0100,
RVG a écrit :Mais un master de qualité est laminé par le pressage vinyle alors
qu'il reste intact sur un CD (sauf baisse de résolution pour
compatibilité).
De toute façon, il y aura toujours les lecteurs de magasines pour
répéter a l'envie ce qu'ils ont lu. Il n'y a aucune possibilité que le
son d'une source limitée soit meilleure que celui d'une autre source
qui fournie un signal plus complet en bande passante et en dynamique.
Bien sur, dès que le système d'écoute est lui même d'une qualité
discutable (même si le chèque d'achat est conséquent); la source
douteuse peut devenir acceptable.
Un bon ampli japonais grand public de 100W et une paire de Kilpch (au
hasard: Référence Séries R-28F) montrera les limitations d'un vinyl.
Les ânes diront que ce n'est pas bon, que c'est agressif, etc...
Sont-ils allé dans un concert? Oui, certains instruments sont agressifs
et sont utilisé comme tel par des artistes.
La musique, c'est d'abord de la dynamique, ceux qui trouvent que le
vinyl produit un son de qualité ont oublié les concerts, le «live» des
grands bretons.
Pour ceux qui en cherche une, la meilleure définition de la HiFi est
bien, pour ce qui me concerne, la restitution "aussi proche que
possible" de ce que l'on peut entendre en direct. Et cela est
indépendant des oreilles de l'auditeur.
Malgré tout cela dépend de la
position de l'auditeur dans une salle ou un cabaret pour ce qui est de
la spatialisation.
Ce n'est que sur du direct que l'on peut juger la
fidélité.
Sur du studio, seul celui qui est présent à l'enregistrement
peut juger, d'autant que derrière les "ingénieurs du son" peuvent
traficoter tout cela et on ne connait jamais le son original.
Pour ceux qui en cherche une, la meilleure définition de la HiFi est
bien, pour ce qui me concerne, la restitution "aussi proche que
possible" de ce que l'on peut entendre en direct. Et cela est
indépendant des oreilles de l'auditeur.
Malgré tout cela dépend de la
position de l'auditeur dans une salle ou un cabaret pour ce qui est de
la spatialisation.
Ce n'est que sur du direct que l'on peut juger la
fidélité.
Sur du studio, seul celui qui est présent à l'enregistrement
peut juger, d'autant que derrière les "ingénieurs du son" peuvent
traficoter tout cela et on ne connait jamais le son original.
Pour ceux qui en cherche une, la meilleure définition de la HiFi est
bien, pour ce qui me concerne, la restitution "aussi proche que
possible" de ce que l'on peut entendre en direct. Et cela est
indépendant des oreilles de l'auditeur.
Malgré tout cela dépend de la
position de l'auditeur dans une salle ou un cabaret pour ce qui est de
la spatialisation.
Ce n'est que sur du direct que l'on peut juger la
fidélité.
Sur du studio, seul celui qui est présent à l'enregistrement
peut juger, d'autant que derrière les "ingénieurs du son" peuvent
traficoter tout cela et on ne connait jamais le son original.
Philippe avait soumis l'idée :Le Fri, 22 Jan 2016 20:58:18 +0100,
RVG a écrit :Mais un master de qualité est laminé par le pressage vinyle alors
qu'il reste intact sur un CD (sauf baisse de résolution pour
compatibilité).
De toute façon, il y aura toujours les lecteurs de magasines pour
répéter a l'envie ce qu'ils ont lu. Il n'y a aucune possibilité que le
son d'une source limitée soit meilleure que celui d'une autre source
qui fournie un signal plus complet en bande passante et en dynamique.
Bien sur, dès que le système d'écoute est lui même d'une qualité
discutable (même si le chèque d'achat est conséquent); la source
douteuse peut devenir acceptable.
Un bon ampli japonais grand public de 100W et une paire de Kilpch (au
hasard: Référence Séries R-28F) montrera les limitations d'un vinyl.
Les ânes diront que ce n'est pas bon, que c'est agressif, etc...
Sont-ils allé dans un concert? Oui, certains instruments sont agressifs
et sont utilisé comme tel par des artistes.
La musique, c'est d'abord de la dynamique, ceux qui trouvent que le
vinyl produit un son de qualité ont oublié les concerts, le «live» des
grands bretons.
+++++ entièrement d'accord ! De la dynamique et aussi de la bande
passante(mais cela dépend des oreilles de l'auditeur)et la
spatialisation (phases et niveaux gauche/droite).
Pour ceux qui en cherche une, la meilleure définition de la HiFi est
bien, pour ce qui me concerne, la restitution "aussi proche que
possible" de ce que l'on peut entendre en direct.
Et cela est
indépendant des oreilles de l'auditeur. Malgré tout cela dépend de la
position de l'auditeur dans une salle ou un cabaret pour ce qui est de
la spatialisation. Ce n'est que sur du direct que l'on peut juger la
fidélité.
Sur du studio, seul celui qui est présent à l'enregistrement
peut juger, d'autant que derrière les "ingénieurs du son" peuvent
traficoter tout cela et on ne connait jamais le son original.
Philippe avait soumis l'idée :
Le Fri, 22 Jan 2016 20:58:18 +0100,
RVG <not.here@themoment.invalid.org> a écrit :
Mais un master de qualité est laminé par le pressage vinyle alors
qu'il reste intact sur un CD (sauf baisse de résolution pour
compatibilité).
De toute façon, il y aura toujours les lecteurs de magasines pour
répéter a l'envie ce qu'ils ont lu. Il n'y a aucune possibilité que le
son d'une source limitée soit meilleure que celui d'une autre source
qui fournie un signal plus complet en bande passante et en dynamique.
Bien sur, dès que le système d'écoute est lui même d'une qualité
discutable (même si le chèque d'achat est conséquent); la source
douteuse peut devenir acceptable.
Un bon ampli japonais grand public de 100W et une paire de Kilpch (au
hasard: Référence Séries R-28F) montrera les limitations d'un vinyl.
Les ânes diront que ce n'est pas bon, que c'est agressif, etc...
Sont-ils allé dans un concert? Oui, certains instruments sont agressifs
et sont utilisé comme tel par des artistes.
La musique, c'est d'abord de la dynamique, ceux qui trouvent que le
vinyl produit un son de qualité ont oublié les concerts, le «live» des
grands bretons.
+++++ entièrement d'accord ! De la dynamique et aussi de la bande
passante(mais cela dépend des oreilles de l'auditeur)et la
spatialisation (phases et niveaux gauche/droite).
Pour ceux qui en cherche une, la meilleure définition de la HiFi est
bien, pour ce qui me concerne, la restitution "aussi proche que
possible" de ce que l'on peut entendre en direct.
Et cela est
indépendant des oreilles de l'auditeur. Malgré tout cela dépend de la
position de l'auditeur dans une salle ou un cabaret pour ce qui est de
la spatialisation. Ce n'est que sur du direct que l'on peut juger la
fidélité.
Sur du studio, seul celui qui est présent à l'enregistrement
peut juger, d'autant que derrière les "ingénieurs du son" peuvent
traficoter tout cela et on ne connait jamais le son original.
Philippe avait soumis l'idée :Le Fri, 22 Jan 2016 20:58:18 +0100,
RVG a écrit :Mais un master de qualité est laminé par le pressage vinyle alors
qu'il reste intact sur un CD (sauf baisse de résolution pour
compatibilité).
De toute façon, il y aura toujours les lecteurs de magasines pour
répéter a l'envie ce qu'ils ont lu. Il n'y a aucune possibilité que le
son d'une source limitée soit meilleure que celui d'une autre source
qui fournie un signal plus complet en bande passante et en dynamique.
Bien sur, dès que le système d'écoute est lui même d'une qualité
discutable (même si le chèque d'achat est conséquent); la source
douteuse peut devenir acceptable.
Un bon ampli japonais grand public de 100W et une paire de Kilpch (au
hasard: Référence Séries R-28F) montrera les limitations d'un vinyl.
Les ânes diront que ce n'est pas bon, que c'est agressif, etc...
Sont-ils allé dans un concert? Oui, certains instruments sont agressifs
et sont utilisé comme tel par des artistes.
La musique, c'est d'abord de la dynamique, ceux qui trouvent que le
vinyl produit un son de qualité ont oublié les concerts, le «live» des
grands bretons.
+++++ entièrement d'accord ! De la dynamique et aussi de la bande
passante(mais cela dépend des oreilles de l'auditeur)et la
spatialisation (phases et niveaux gauche/droite).
Pour ceux qui en cherche une, la meilleure définition de la HiFi est
bien, pour ce qui me concerne, la restitution "aussi proche que
possible" de ce que l'on peut entendre en direct.
Et cela est
indépendant des oreilles de l'auditeur. Malgré tout cela dépend de la
position de l'auditeur dans une salle ou un cabaret pour ce qui est de
la spatialisation. Ce n'est que sur du direct que l'on peut juger la
fidélité.
Sur du studio, seul celui qui est présent à l'enregistrement
peut juger, d'autant que derrière les "ingénieurs du son" peuvent
traficoter tout cela et on ne connait jamais le son original.
Pensez qu'un micro actuel enregistre le moindre pet de mouche dans les
toilettes derrière la salle de concert.
Pensez qu'un micro actuel enregistre le moindre pet de mouche dans les
toilettes derrière la salle de concert.
Pensez qu'un micro actuel enregistre le moindre pet de mouche dans les
toilettes derrière la salle de concert.
Le 23/01/2016 09:20, D. Bourdeau a écrit :Philippe avait soumis l'idée :Le Fri, 22 Jan 2016 20:58:18 +0100,
RVG a écrit :Pour ceux qui en cherche une, la meilleure définition de la HiFi est
bien, pour ce qui me concerne, la restitution "aussi proche que
possible" de ce que l'on peut entendre en direct.
Ça c'est le matos de studio. Avant de "maîtriser" Adobe Audition je
sortais mes enregistrements tel quel, donc théoriquement hifi (ou de
fait le plus près possible du son source) et c'est pas génial pour
l'auditeur final qui réclame de la pèche parce qu'il n'entend rien au
casque dans le métro.
Il faut recréer en post-prod une *fausse* acoustique de salle de
concert/club de jazz et au final effectuer une compression de
masterisation qui atténuera les écarts de volume entre les instruments
d'une part, et entre les période de son doux et fort d'autre part.
A ses débuts chez DG Karajan a effectivement sorti des enregistrements
de ce type, et dans les moments pianissimo en n'entend *rien* sauf à
booster le loudness, et là dans les tutti fortissimo les vitres se
fendent...
Et cela est
indépendant des oreilles de l'auditeur. Malgré tout cela dépend de la
position de l'auditeur dans une salle ou un cabaret pour ce qui est de
la spatialisation. Ce n'est que sur du direct que l'on peut juger la
fidélité.
Non, il y a des filtres en temps réel, ou avec un décalage de quelques
secondes.
Pensez qu'un micro actuel enregistre le moindre pet de mouche dans les
toilettes derrière la salle de concert.
Le 23/01/2016 09:20, D. Bourdeau a écrit :
Philippe avait soumis l'idée :
Le Fri, 22 Jan 2016 20:58:18 +0100,
RVG <not.here@themoment.invalid.org> a écrit :
Pour ceux qui en cherche une, la meilleure définition de la HiFi est
bien, pour ce qui me concerne, la restitution "aussi proche que
possible" de ce que l'on peut entendre en direct.
Ça c'est le matos de studio. Avant de "maîtriser" Adobe Audition je
sortais mes enregistrements tel quel, donc théoriquement hifi (ou de
fait le plus près possible du son source) et c'est pas génial pour
l'auditeur final qui réclame de la pèche parce qu'il n'entend rien au
casque dans le métro.
Il faut recréer en post-prod une *fausse* acoustique de salle de
concert/club de jazz et au final effectuer une compression de
masterisation qui atténuera les écarts de volume entre les instruments
d'une part, et entre les période de son doux et fort d'autre part.
A ses débuts chez DG Karajan a effectivement sorti des enregistrements
de ce type, et dans les moments pianissimo en n'entend *rien* sauf à
booster le loudness, et là dans les tutti fortissimo les vitres se
fendent...
Et cela est
indépendant des oreilles de l'auditeur. Malgré tout cela dépend de la
position de l'auditeur dans une salle ou un cabaret pour ce qui est de
la spatialisation. Ce n'est que sur du direct que l'on peut juger la
fidélité.
Non, il y a des filtres en temps réel, ou avec un décalage de quelques
secondes.
Pensez qu'un micro actuel enregistre le moindre pet de mouche dans les
toilettes derrière la salle de concert.
Le 23/01/2016 09:20, D. Bourdeau a écrit :Philippe avait soumis l'idée :Le Fri, 22 Jan 2016 20:58:18 +0100,
RVG a écrit :Pour ceux qui en cherche une, la meilleure définition de la HiFi est
bien, pour ce qui me concerne, la restitution "aussi proche que
possible" de ce que l'on peut entendre en direct.
Ça c'est le matos de studio. Avant de "maîtriser" Adobe Audition je
sortais mes enregistrements tel quel, donc théoriquement hifi (ou de
fait le plus près possible du son source) et c'est pas génial pour
l'auditeur final qui réclame de la pèche parce qu'il n'entend rien au
casque dans le métro.
Il faut recréer en post-prod une *fausse* acoustique de salle de
concert/club de jazz et au final effectuer une compression de
masterisation qui atténuera les écarts de volume entre les instruments
d'une part, et entre les période de son doux et fort d'autre part.
A ses débuts chez DG Karajan a effectivement sorti des enregistrements
de ce type, et dans les moments pianissimo en n'entend *rien* sauf à
booster le loudness, et là dans les tutti fortissimo les vitres se
fendent...
Et cela est
indépendant des oreilles de l'auditeur. Malgré tout cela dépend de la
position de l'auditeur dans une salle ou un cabaret pour ce qui est de
la spatialisation. Ce n'est que sur du direct que l'on peut juger la
fidélité.
Non, il y a des filtres en temps réel, ou avec un décalage de quelques
secondes.
Pensez qu'un micro actuel enregistre le moindre pet de mouche dans les
toilettes derrière la salle de concert.
RVG avait soumis l'idée :Le 23/01/2016 09:20, D. Bourdeau a écrit :Philippe avait soumis l'idée :Le Fri, 22 Jan 2016 20:58:18 +0100,
RVG a écrit :Pour ceux qui en cherche une, la meilleure définition de la HiFi est
bien, pour ce qui me concerne, la restitution "aussi proche que
possible" de ce que l'on peut entendre en direct.
Ça c'est le matos de studio. Avant de "maîtriser" Adobe Audition je
sortais mes enregistrements tel quel, donc théoriquement hifi (ou de
fait le plus près possible du son source) et c'est pas génial pour
l'auditeur final qui réclame de la pèche parce qu'il n'entend rien au
casque dans le métro.
La on ne parle plus de Hifi parce que écouter dans le métro même sur
un excellent casque on n'est plus dans la qualité sonore recherchée me
semble-t-il. Et donc peu importe dans ce cas le son original puisqu'il
faut faire joli pour l'auditeur et qu'on "bricole" du son. On est hors
sujet !Il faut recréer en post-prod une *fausse* acoustique de salle de
concert/club de jazz et au final effectuer une compression de
masterisation qui atténuera les écarts de volume entre les instruments
d'une part, et entre les période de son doux et fort d'autre part.
C'es tout ce que je ne voudrais pas avoir à écouter même évidemment si
c'est le cas en général. Les enregistrements Passavant ou Chesky sont à
cet égard les plus naturels que j'ai écoutés.>A ses débuts chez DG Karajan a effectivement sorti des enregistrements
de ce type, et dans les moments pianissimo en n'entend *rien* sauf à
booster le loudness, et là dans les tutti fortissimo les vitres se
fendent...
Si tout était parfait par ailleurs, alors c'est que l'auditeur ne les
entendait pas non plus dans la salle ces pianissimi !Et cela est
indépendant des oreilles de l'auditeur. Malgré tout cela dépend de la
position de l'auditeur dans une salle ou un cabaret pour ce qui est de
la spatialisation. Ce n'est que sur du direct que l'on peut juger la
fidélité.
Non, il y a des filtres en temps réel, ou avec un décalage de quelques
secondes.
??
Pensez qu'un micro actuel enregistre le moindre pet de mouche dans les
toilettes derrière la salle de concert.
Si le niveau restitué par la chaine de reproduction est identique à
l'original (fidélité du niveau !) alors peu importe si tous les niveaux
relatifs sont conservés. Celui qui voudra entendre le pet de mouche
n'aura qu'à monter le niveau !! Mais s'il l'entendait dans la salle il
est normal qu'il l'entende sur sa chaîne, c'est mon avis, il n'y a pas
à enjoliver le signal pour faire plaisir. Je sais ce n'est pas
commercial...
RVG avait soumis l'idée :
Le 23/01/2016 09:20, D. Bourdeau a écrit :
Philippe avait soumis l'idée :
Le Fri, 22 Jan 2016 20:58:18 +0100,
RVG <not.here@themoment.invalid.org> a écrit :
Pour ceux qui en cherche une, la meilleure définition de la HiFi est
bien, pour ce qui me concerne, la restitution "aussi proche que
possible" de ce que l'on peut entendre en direct.
Ça c'est le matos de studio. Avant de "maîtriser" Adobe Audition je
sortais mes enregistrements tel quel, donc théoriquement hifi (ou de
fait le plus près possible du son source) et c'est pas génial pour
l'auditeur final qui réclame de la pèche parce qu'il n'entend rien au
casque dans le métro.
La on ne parle plus de Hifi parce que écouter dans le métro même sur
un excellent casque on n'est plus dans la qualité sonore recherchée me
semble-t-il. Et donc peu importe dans ce cas le son original puisqu'il
faut faire joli pour l'auditeur et qu'on "bricole" du son. On est hors
sujet !
Il faut recréer en post-prod une *fausse* acoustique de salle de
concert/club de jazz et au final effectuer une compression de
masterisation qui atténuera les écarts de volume entre les instruments
d'une part, et entre les période de son doux et fort d'autre part.
C'es tout ce que je ne voudrais pas avoir à écouter même évidemment si
c'est le cas en général. Les enregistrements Passavant ou Chesky sont à
cet égard les plus naturels que j'ai écoutés.>
A ses débuts chez DG Karajan a effectivement sorti des enregistrements
de ce type, et dans les moments pianissimo en n'entend *rien* sauf à
booster le loudness, et là dans les tutti fortissimo les vitres se
fendent...
Si tout était parfait par ailleurs, alors c'est que l'auditeur ne les
entendait pas non plus dans la salle ces pianissimi !
Et cela est
indépendant des oreilles de l'auditeur. Malgré tout cela dépend de la
position de l'auditeur dans une salle ou un cabaret pour ce qui est de
la spatialisation. Ce n'est que sur du direct que l'on peut juger la
fidélité.
Non, il y a des filtres en temps réel, ou avec un décalage de quelques
secondes.
??
Pensez qu'un micro actuel enregistre le moindre pet de mouche dans les
toilettes derrière la salle de concert.
Si le niveau restitué par la chaine de reproduction est identique à
l'original (fidélité du niveau !) alors peu importe si tous les niveaux
relatifs sont conservés. Celui qui voudra entendre le pet de mouche
n'aura qu'à monter le niveau !! Mais s'il l'entendait dans la salle il
est normal qu'il l'entende sur sa chaîne, c'est mon avis, il n'y a pas
à enjoliver le signal pour faire plaisir. Je sais ce n'est pas
commercial...
RVG avait soumis l'idée :Le 23/01/2016 09:20, D. Bourdeau a écrit :Philippe avait soumis l'idée :Le Fri, 22 Jan 2016 20:58:18 +0100,
RVG a écrit :Pour ceux qui en cherche une, la meilleure définition de la HiFi est
bien, pour ce qui me concerne, la restitution "aussi proche que
possible" de ce que l'on peut entendre en direct.
Ça c'est le matos de studio. Avant de "maîtriser" Adobe Audition je
sortais mes enregistrements tel quel, donc théoriquement hifi (ou de
fait le plus près possible du son source) et c'est pas génial pour
l'auditeur final qui réclame de la pèche parce qu'il n'entend rien au
casque dans le métro.
La on ne parle plus de Hifi parce que écouter dans le métro même sur
un excellent casque on n'est plus dans la qualité sonore recherchée me
semble-t-il. Et donc peu importe dans ce cas le son original puisqu'il
faut faire joli pour l'auditeur et qu'on "bricole" du son. On est hors
sujet !Il faut recréer en post-prod une *fausse* acoustique de salle de
concert/club de jazz et au final effectuer une compression de
masterisation qui atténuera les écarts de volume entre les instruments
d'une part, et entre les période de son doux et fort d'autre part.
C'es tout ce que je ne voudrais pas avoir à écouter même évidemment si
c'est le cas en général. Les enregistrements Passavant ou Chesky sont à
cet égard les plus naturels que j'ai écoutés.>A ses débuts chez DG Karajan a effectivement sorti des enregistrements
de ce type, et dans les moments pianissimo en n'entend *rien* sauf à
booster le loudness, et là dans les tutti fortissimo les vitres se
fendent...
Si tout était parfait par ailleurs, alors c'est que l'auditeur ne les
entendait pas non plus dans la salle ces pianissimi !Et cela est
indépendant des oreilles de l'auditeur. Malgré tout cela dépend de la
position de l'auditeur dans une salle ou un cabaret pour ce qui est de
la spatialisation. Ce n'est que sur du direct que l'on peut juger la
fidélité.
Non, il y a des filtres en temps réel, ou avec un décalage de quelques
secondes.
??
Pensez qu'un micro actuel enregistre le moindre pet de mouche dans les
toilettes derrière la salle de concert.
Si le niveau restitué par la chaine de reproduction est identique à
l'original (fidélité du niveau !) alors peu importe si tous les niveaux
relatifs sont conservés. Celui qui voudra entendre le pet de mouche
n'aura qu'à monter le niveau !! Mais s'il l'entendait dans la salle il
est normal qu'il l'entende sur sa chaîne, c'est mon avis, il n'y a pas
à enjoliver le signal pour faire plaisir. Je sais ce n'est pas
commercial...
Le 25/01/2016 18:03, D. Bourdeau a écrit :RVG avait soumis l'idée :Le 23/01/2016 09:20, D. Bourdeau a écrit :Philippe avait soumis l'idée :Le Fri, 22 Jan 2016 20:58:18 +0100,
RVG a écrit :Pour ceux qui en cherche une, la meilleure définition de la HiFi est
bien, pour ce qui me concerne, la restitution "aussi proche que
possible" de ce que l'on peut entendre en direct.
Ça c'est le matos de studio. Avant de "maîtriser" Adobe Audition je
sortais mes enregistrements tel quel, donc théoriquement hifi (ou de
fait le plus près possible du son source) et c'est pas génial pour
l'auditeur final qui réclame de la pèche parce qu'il n'entend rien au
casque dans le métro.
La on ne parle plus de Hifi parce que écouter dans le métro même sur
un excellent casque on n'est plus dans la qualité sonore recherchée me
semble-t-il. Et donc peu importe dans ce cas le son original puisqu'il
faut faire joli pour l'auditeur et qu'on "bricole" du son. On est hors
sujet !Il faut recréer en post-prod une *fausse* acoustique de salle de
concert/club de jazz et au final effectuer une compression de
masterisation qui atténuera les écarts de volume entre les instruments
d'une part, et entre les période de son doux et fort d'autre part.
C'es tout ce que je ne voudrais pas avoir à écouter même évidemment si
c'est le cas en général. Les enregistrements Passavant ou Chesky sont à
cet égard les plus naturels que j'ai écoutés.>A ses débuts chez DG Karajan a effectivement sorti des enregistrements
de ce type, et dans les moments pianissimo en n'entend *rien* sauf à
booster le loudness, et là dans les tutti fortissimo les vitres se
fendent...
Si tout était parfait par ailleurs, alors c'est que l'auditeur ne les
entendait pas non plus dans la salle ces pianissimi !Et cela est
indépendant des oreilles de l'auditeur. Malgré tout cela dépend de la
position de l'auditeur dans une salle ou un cabaret pour ce qui est de
la spatialisation. Ce n'est que sur du direct que l'on peut juger la
fidélité.
Non, il y a des filtres en temps réel, ou avec un décalage de quelques
secondes.
??
Ben oui, les prises de son (et d'image) en direct sont traitées à la
volée pour obtenir quelque chose qui passe bien dans le poste.Pensez qu'un micro actuel enregistre le moindre pet de mouche dans les
toilettes derrière la salle de concert.
Si le niveau restitué par la chaine de reproduction est identique à
l'original (fidélité du niveau !) alors peu importe si tous les niveaux
relatifs sont conservés. Celui qui voudra entendre le pet de mouche
n'aura qu'à monter le niveau !! Mais s'il l'entendait dans la salle il
est normal qu'il l'entende sur sa chaîne, c'est mon avis, il n'y a pas
à enjoliver le signal pour faire plaisir. Je sais ce n'est pas
commercial...
Justement non, en situation réelle notre cerveau filtre les éléments
insignifiants. En concert, le voisin qui renifle n'est pas si gênant
lorsqu'on s'aperçoit qu'il est enrhumé. L'empathie fait le travail.
Sur un enregistrement tous les signes nous arrivent avec la même valeur.
Nous ne pouvons effectuer un tel filtrage qu'entre son enregistré et son
réel (on écoute un disque et le voisin est enrhumé).
Regardez le travail des cinéastes sur la bande son. S'ils laissent un
son insignifiant pour le film, le spectateur le surinterprétera, donc il
faut l'enlever (le son, pas le spectateur).
Le 25/01/2016 18:03, D. Bourdeau a écrit :
RVG avait soumis l'idée :
Le 23/01/2016 09:20, D. Bourdeau a écrit :
Philippe avait soumis l'idée :
Le Fri, 22 Jan 2016 20:58:18 +0100,
RVG <not.here@themoment.invalid.org> a écrit :
Pour ceux qui en cherche une, la meilleure définition de la HiFi est
bien, pour ce qui me concerne, la restitution "aussi proche que
possible" de ce que l'on peut entendre en direct.
Ça c'est le matos de studio. Avant de "maîtriser" Adobe Audition je
sortais mes enregistrements tel quel, donc théoriquement hifi (ou de
fait le plus près possible du son source) et c'est pas génial pour
l'auditeur final qui réclame de la pèche parce qu'il n'entend rien au
casque dans le métro.
La on ne parle plus de Hifi parce que écouter dans le métro même sur
un excellent casque on n'est plus dans la qualité sonore recherchée me
semble-t-il. Et donc peu importe dans ce cas le son original puisqu'il
faut faire joli pour l'auditeur et qu'on "bricole" du son. On est hors
sujet !
Il faut recréer en post-prod une *fausse* acoustique de salle de
concert/club de jazz et au final effectuer une compression de
masterisation qui atténuera les écarts de volume entre les instruments
d'une part, et entre les période de son doux et fort d'autre part.
C'es tout ce que je ne voudrais pas avoir à écouter même évidemment si
c'est le cas en général. Les enregistrements Passavant ou Chesky sont à
cet égard les plus naturels que j'ai écoutés.>
A ses débuts chez DG Karajan a effectivement sorti des enregistrements
de ce type, et dans les moments pianissimo en n'entend *rien* sauf à
booster le loudness, et là dans les tutti fortissimo les vitres se
fendent...
Si tout était parfait par ailleurs, alors c'est que l'auditeur ne les
entendait pas non plus dans la salle ces pianissimi !
Et cela est
indépendant des oreilles de l'auditeur. Malgré tout cela dépend de la
position de l'auditeur dans une salle ou un cabaret pour ce qui est de
la spatialisation. Ce n'est que sur du direct que l'on peut juger la
fidélité.
Non, il y a des filtres en temps réel, ou avec un décalage de quelques
secondes.
??
Ben oui, les prises de son (et d'image) en direct sont traitées à la
volée pour obtenir quelque chose qui passe bien dans le poste.
Pensez qu'un micro actuel enregistre le moindre pet de mouche dans les
toilettes derrière la salle de concert.
Si le niveau restitué par la chaine de reproduction est identique à
l'original (fidélité du niveau !) alors peu importe si tous les niveaux
relatifs sont conservés. Celui qui voudra entendre le pet de mouche
n'aura qu'à monter le niveau !! Mais s'il l'entendait dans la salle il
est normal qu'il l'entende sur sa chaîne, c'est mon avis, il n'y a pas
à enjoliver le signal pour faire plaisir. Je sais ce n'est pas
commercial...
Justement non, en situation réelle notre cerveau filtre les éléments
insignifiants. En concert, le voisin qui renifle n'est pas si gênant
lorsqu'on s'aperçoit qu'il est enrhumé. L'empathie fait le travail.
Sur un enregistrement tous les signes nous arrivent avec la même valeur.
Nous ne pouvons effectuer un tel filtrage qu'entre son enregistré et son
réel (on écoute un disque et le voisin est enrhumé).
Regardez le travail des cinéastes sur la bande son. S'ils laissent un
son insignifiant pour le film, le spectateur le surinterprétera, donc il
faut l'enlever (le son, pas le spectateur).
Le 25/01/2016 18:03, D. Bourdeau a écrit :RVG avait soumis l'idée :Le 23/01/2016 09:20, D. Bourdeau a écrit :Philippe avait soumis l'idée :Le Fri, 22 Jan 2016 20:58:18 +0100,
RVG a écrit :Pour ceux qui en cherche une, la meilleure définition de la HiFi est
bien, pour ce qui me concerne, la restitution "aussi proche que
possible" de ce que l'on peut entendre en direct.
Ça c'est le matos de studio. Avant de "maîtriser" Adobe Audition je
sortais mes enregistrements tel quel, donc théoriquement hifi (ou de
fait le plus près possible du son source) et c'est pas génial pour
l'auditeur final qui réclame de la pèche parce qu'il n'entend rien au
casque dans le métro.
La on ne parle plus de Hifi parce que écouter dans le métro même sur
un excellent casque on n'est plus dans la qualité sonore recherchée me
semble-t-il. Et donc peu importe dans ce cas le son original puisqu'il
faut faire joli pour l'auditeur et qu'on "bricole" du son. On est hors
sujet !Il faut recréer en post-prod une *fausse* acoustique de salle de
concert/club de jazz et au final effectuer une compression de
masterisation qui atténuera les écarts de volume entre les instruments
d'une part, et entre les période de son doux et fort d'autre part.
C'es tout ce que je ne voudrais pas avoir à écouter même évidemment si
c'est le cas en général. Les enregistrements Passavant ou Chesky sont à
cet égard les plus naturels que j'ai écoutés.>A ses débuts chez DG Karajan a effectivement sorti des enregistrements
de ce type, et dans les moments pianissimo en n'entend *rien* sauf à
booster le loudness, et là dans les tutti fortissimo les vitres se
fendent...
Si tout était parfait par ailleurs, alors c'est que l'auditeur ne les
entendait pas non plus dans la salle ces pianissimi !Et cela est
indépendant des oreilles de l'auditeur. Malgré tout cela dépend de la
position de l'auditeur dans une salle ou un cabaret pour ce qui est de
la spatialisation. Ce n'est que sur du direct que l'on peut juger la
fidélité.
Non, il y a des filtres en temps réel, ou avec un décalage de quelques
secondes.
??
Ben oui, les prises de son (et d'image) en direct sont traitées à la
volée pour obtenir quelque chose qui passe bien dans le poste.Pensez qu'un micro actuel enregistre le moindre pet de mouche dans les
toilettes derrière la salle de concert.
Si le niveau restitué par la chaine de reproduction est identique à
l'original (fidélité du niveau !) alors peu importe si tous les niveaux
relatifs sont conservés. Celui qui voudra entendre le pet de mouche
n'aura qu'à monter le niveau !! Mais s'il l'entendait dans la salle il
est normal qu'il l'entende sur sa chaîne, c'est mon avis, il n'y a pas
à enjoliver le signal pour faire plaisir. Je sais ce n'est pas
commercial...
Justement non, en situation réelle notre cerveau filtre les éléments
insignifiants. En concert, le voisin qui renifle n'est pas si gênant
lorsqu'on s'aperçoit qu'il est enrhumé. L'empathie fait le travail.
Sur un enregistrement tous les signes nous arrivent avec la même valeur.
Nous ne pouvons effectuer un tel filtrage qu'entre son enregistré et son
réel (on écoute un disque et le voisin est enrhumé).
Regardez le travail des cinéastes sur la bande son. S'ils laissent un
son insignifiant pour le film, le spectateur le surinterprétera, donc il
faut l'enlever (le son, pas le spectateur).
Chacun a sa manière d'être concentré. Mais j'entend quelqu'un renifler ou
tousser sur un CD, cela me procure également la même "rage" que lors d'un
concert. Désolé mais je ne filtre pas, qu'il soit enrhumé ou pas ça
m'énerve !!
Chacun a sa manière d'être concentré. Mais j'entend quelqu'un renifler ou
tousser sur un CD, cela me procure également la même "rage" que lors d'un
concert. Désolé mais je ne filtre pas, qu'il soit enrhumé ou pas ça
m'énerve !!
Chacun a sa manière d'être concentré. Mais j'entend quelqu'un renifler ou
tousser sur un CD, cela me procure également la même "rage" que lors d'un
concert. Désolé mais je ne filtre pas, qu'il soit enrhumé ou pas ça
m'énerve !!
Chacun a sa manière d'être concentré. Mais j'entend quelqu'un renifler ou
tousser sur un CD, cela me procure également la même "rage" que lors d'un
concert. Désolé mais je ne filtre pas, qu'il soit enrhumé ou pas ça
m'énerve !!
T'es pas seul!
Moi ce qui m'énerve le plus ce sont les "vieux" (et pourtant j'en suis) qui
comme ils sont plus ou moins sourds, se parlent à voix haute ou déplie le
papier qui entoure le bonbon en plein pianissimo... Et reniflent car ils ont
attrapé la grippe....
Bref... que du bonheur!!!
B.
Chacun a sa manière d'être concentré. Mais j'entend quelqu'un renifler ou
tousser sur un CD, cela me procure également la même "rage" que lors d'un
concert. Désolé mais je ne filtre pas, qu'il soit enrhumé ou pas ça
m'énerve !!
T'es pas seul!
Moi ce qui m'énerve le plus ce sont les "vieux" (et pourtant j'en suis) qui
comme ils sont plus ou moins sourds, se parlent à voix haute ou déplie le
papier qui entoure le bonbon en plein pianissimo... Et reniflent car ils ont
attrapé la grippe....
Bref... que du bonheur!!!
B.
Chacun a sa manière d'être concentré. Mais j'entend quelqu'un renifler ou
tousser sur un CD, cela me procure également la même "rage" que lors d'un
concert. Désolé mais je ne filtre pas, qu'il soit enrhumé ou pas ça
m'énerve !!
T'es pas seul!
Moi ce qui m'énerve le plus ce sont les "vieux" (et pourtant j'en suis) qui
comme ils sont plus ou moins sourds, se parlent à voix haute ou déplie le
papier qui entoure le bonbon en plein pianissimo... Et reniflent car ils ont
attrapé la grippe....
Bref... que du bonheur!!!
B.
Chacun a sa manière d'être concentré. Mais j'entend quelqu'un renifler
ou tousser sur un CD, cela me procure également la même "rage" que lors
d'un concert. Désolé mais je ne filtre pas, qu'il soit enrhumé ou pas
ça m'énerve !!
Chacun a sa manière d'être concentré. Mais j'entend quelqu'un renifler
ou tousser sur un CD, cela me procure également la même "rage" que lors
d'un concert. Désolé mais je ne filtre pas, qu'il soit enrhumé ou pas
ça m'énerve !!
Chacun a sa manière d'être concentré. Mais j'entend quelqu'un renifler
ou tousser sur un CD, cela me procure également la même "rage" que lors
d'un concert. Désolé mais je ne filtre pas, qu'il soit enrhumé ou pas
ça m'énerve !!