On ne doit pas être loin du compte, même si j'aurais tendance à penser qu'ils sont plus nombreux encore. Le plus drôle dans le lot, c'est le mec qui est persuadé de connaître parce qu'il bidouille et a déjà tellement « cliquouillé » qu'il connaît les fenêtres qui sont chiantes à trouver...
-- Nicolas S.
"Thierry B." <tth@prout.stex.invalid> a écrit:
On peut estimer ça à combien ? 80% ?
On ne doit pas être loin du compte, même si j'aurais tendance à penser
qu'ils sont plus nombreux encore.
Le plus drôle dans le lot, c'est le mec qui est persuadé de
connaître parce qu'il bidouille et a déjà tellement « cliquouillé »
qu'il connaît les fenêtres qui sont chiantes à trouver...
On ne doit pas être loin du compte, même si j'aurais tendance à penser qu'ils sont plus nombreux encore. Le plus drôle dans le lot, c'est le mec qui est persuadé de connaître parce qu'il bidouille et a déjà tellement « cliquouillé » qu'il connaît les fenêtres qui sont chiantes à trouver...
-- Nicolas S.
Nicolas S.
laurent a écrit:
un user lamba (...) a une intelligence limitée.
Ce n'est pas tant ses capacités intellectuelles qui sont pointées du doigt. Plutôt sa méconnaissance de l'informatique.
-- Nicolas S.
laurent <laurent.news@wanadoo.fr> a écrit:
un user lamba (...) a une
intelligence limitée.
Ce n'est pas tant ses capacités intellectuelles qui sont pointées du
doigt. Plutôt sa méconnaissance de l'informatique.
Ce n'est pas tant ses capacités intellectuelles qui sont pointées du doigt. Plutôt sa méconnaissance de l'informatique.
-- Nicolas S.
SL
Le 06-01-2008, sansflotusspam a écrit :
SL wrote:
Le 06-01-2008, sansflotusspam a écrit :
Le fait que les besoins des utilisateurs non programmeur ne soit pas pris en compte par les développeurs et administrateurs de distribution est *précisément* ce qu'on reproche depuis le début. En voici une authentique et non triviale, de pétition de principe.
= GROSSE CONNERIE camarade commissaire !
Qu'est ce que tu essayes de dire exactement ?
qu'affirmer contre les réalités élémentaires et évidentes que :
"Le fait que les besoins des utilisateurs non programmeurS ne soiENt pas pris en compte par les développeurs et administrateurs de distribution"
constitue une GROSSE CONNERIE ....
mais tu n'en es plus à une près
Oui, à un certain niveau de fausses évidences, je comprends que ça passe pour une grosse connerie.
Le 06-01-2008, sansflotusspam <sansalain.flotspam@free.fr> a écrit :
SL wrote:
Le 06-01-2008, sansflotusspam <sansalain.flotspam@free.fr> a écrit :
Le fait que les besoins des utilisateurs non programmeur ne soit
pas pris en compte par les développeurs et administrateurs de
distribution est *précisément* ce qu'on reproche depuis le début.
En voici une authentique et non triviale, de pétition de principe.
= GROSSE CONNERIE camarade commissaire !
Qu'est ce que tu essayes de dire exactement ?
qu'affirmer contre les réalités élémentaires et évidentes que :
"Le fait que les besoins des utilisateurs non programmeurS ne soiENt
pas pris en compte par les développeurs et administrateurs de
distribution"
constitue une GROSSE CONNERIE ....
mais tu n'en es plus à une près
Oui, à un certain niveau de fausses évidences, je comprends que ça passe
pour une grosse connerie.
Le fait que les besoins des utilisateurs non programmeur ne soit pas pris en compte par les développeurs et administrateurs de distribution est *précisément* ce qu'on reproche depuis le début. En voici une authentique et non triviale, de pétition de principe.
= GROSSE CONNERIE camarade commissaire !
Qu'est ce que tu essayes de dire exactement ?
qu'affirmer contre les réalités élémentaires et évidentes que :
"Le fait que les besoins des utilisateurs non programmeurS ne soiENt pas pris en compte par les développeurs et administrateurs de distribution"
constitue une GROSSE CONNERIE ....
mais tu n'en es plus à une près
Oui, à un certain niveau de fausses évidences, je comprends que ça passe pour une grosse connerie.
SL
Le 06-01-2008, Miod Vallat a écrit :
Pour ce qui est de skype, c'est mal, je n'en ai rien à branler.
C'est surtout dangereux.
En effet. D'ailleurs il n'était pas autorisé là où je l'avais mis, et je l'ai donc retiré. Tant mieux d'ailleurs, ça m'avait déjà fait perdre un temps fou en quelques jours.
Le 06-01-2008, Miod Vallat <miod@online.fr> a écrit :
Pour ce qui est de skype, c'est mal, je n'en ai rien à branler.
C'est surtout dangereux.
En effet. D'ailleurs il n'était pas autorisé là où je l'avais mis, et je
l'ai donc retiré. Tant mieux d'ailleurs, ça m'avait déjà fait perdre un
temps fou en quelques jours.
Pour ce qui est de skype, c'est mal, je n'en ai rien à branler.
C'est surtout dangereux.
En effet. D'ailleurs il n'était pas autorisé là où je l'avais mis, et je l'ai donc retiré. Tant mieux d'ailleurs, ça m'avait déjà fait perdre un temps fou en quelques jours.
Nicolas S.
laurent a écrit:
Il faut considerer que depuis des années tout est fait pour faire passer l'informatique comme facile.
Ben oui, logique de vente.
-- Nicolas S.
laurent <laurent.news@wanadoo.fr> a écrit:
Il faut considerer que depuis des années tout est fait
pour faire passer l'informatique comme facile.
Il faut considerer que depuis des années tout est fait pour faire passer l'informatique comme facile.
Ben oui, logique de vente.
-- Nicolas S.
Raphaël 'SurcouF' Bordet
laurent a écrit:
laurent a écrit:
Je lis les recommendationS de l'éditeur et s'il me dit qu'il y a une incompatibilités avec un matériel installé sur mon ordin ateur et bein j'installe pas. Tu n'es donc pas représentatif de l'utilisateur lambda,
particulièrement le windowsien de base...
Et pourquoi ne le serais-je pas ?
Mon entourage est composé de Windowsiens , de Macqueux , de Linuxi ens ( même moi mais c'est très loin je l'avoue RH 7.2) et bien, nous , la majorité des Windosiens pratiquons de la sorte. Alors nous sommes répresentatifs de quoi ? D'une espèce en voie de disparition. Tu te rends compte que ta dernière phrase et à l'opposé de ce q ue tu te
proposes de réfuter en première phrase?
Je pose simplement une question : pourquoi serais-je pas un utilisateu r
lamba ?
Parce que personne n'est capable d'en donner une définition exacte.
Vous n'avez pas de définition exacte mais cela ne vous empêche pas de savoir précisement ce qu'un user lamba fait et qu'il a une intelligence limitée.
Je ne prétends pas savoir ce qu'un utilisateur « lambda » fait. Je m'appuie sur les exemples que j'ai vu.
-- Raphaël SurcouF
laurent <laurent.news@wanadoo.fr> a écrit:
laurent <laurent.news@wanadoo.fr> a écrit:
Je lis les recommendationS de l'éditeur et s'il me dit qu'il y a
une incompatibilités avec un matériel installé sur mon ordin ateur
et bein j'installe pas.
Tu n'es donc pas représentatif de l'utilisateur lambda,
particulièrement le windowsien de base...
Et pourquoi ne le serais-je pas ?
Mon entourage est composé de Windowsiens , de Macqueux , de Linuxi ens
( même moi mais c'est très loin je l'avoue RH 7.2) et bien, nous , la
majorité des Windosiens pratiquons de la sorte. Alors nous sommes
répresentatifs de quoi ? D'une espèce en voie de disparition.
Tu te rends compte que ta dernière phrase et à l'opposé de ce q ue tu te
proposes de réfuter en première phrase?
Je pose simplement une question : pourquoi serais-je pas un utilisateu r
lamba ?
Parce que personne n'est capable d'en donner une définition exacte.
Vous n'avez pas de définition exacte mais cela ne vous empêche pas
de savoir précisement ce qu'un user lamba fait et qu'il a une
intelligence limitée.
Je ne prétends pas savoir ce qu'un utilisateur « lambda » fait.
Je m'appuie sur les exemples que j'ai vu.
Je lis les recommendationS de l'éditeur et s'il me dit qu'il y a une incompatibilités avec un matériel installé sur mon ordin ateur et bein j'installe pas. Tu n'es donc pas représentatif de l'utilisateur lambda,
particulièrement le windowsien de base...
Et pourquoi ne le serais-je pas ?
Mon entourage est composé de Windowsiens , de Macqueux , de Linuxi ens ( même moi mais c'est très loin je l'avoue RH 7.2) et bien, nous , la majorité des Windosiens pratiquons de la sorte. Alors nous sommes répresentatifs de quoi ? D'une espèce en voie de disparition. Tu te rends compte que ta dernière phrase et à l'opposé de ce q ue tu te
proposes de réfuter en première phrase?
Je pose simplement une question : pourquoi serais-je pas un utilisateu r
lamba ?
Parce que personne n'est capable d'en donner une définition exacte.
Vous n'avez pas de définition exacte mais cela ne vous empêche pas de savoir précisement ce qu'un user lamba fait et qu'il a une intelligence limitée.
Je ne prétends pas savoir ce qu'un utilisateur « lambda » fait. Je m'appuie sur les exemples que j'ai vu.
-- Raphaël SurcouF
Raphaël 'SurcouF' Bordet
Le 2008-01-05, Raphaël 'SurcouF' Bordet ecrivit:
Ce ne sont pas les utilisateurs qui courent après les versions, ce so nt les éditeurs qui les y poussent. Ils n'ont pas cette liberté de cho ix.
Alors quand une distrib a base de paquet impose et le logiciel, et
la version du logiciel, c'est bien, mais quand un editeur pousse ses utilisateurs a changer de version, c'est un manque criant de liberte?
La différence, c'est que l'utilisateur a le choix de la distribution qu'il souhaite utiliser. Si les conditions d'utilisation d'une ne lui plaisent pas, il peut en utiliser une autre et trouver à peu près les mêmes logiciels ainsi distribuer, y compris celui dont il voulait une version supérieure. Essaie d'en faire autant avec le logiciel propriétaire d'un éditeur don t la mise à jour est pratiquement imposée. Si tu veux changer d'éditeur s, tu dois changer de logiciel.
-- Raphaël SurcouF
Le 2008-01-05, Raphaël 'SurcouF' Bordet ecrivit:
Ce ne sont pas les utilisateurs qui courent après les versions, ce so nt
les éditeurs qui les y poussent. Ils n'ont pas cette liberté de cho ix.
Alors quand une distrib a base de paquet impose et le logiciel, et
la version du logiciel, c'est bien, mais quand un editeur pousse
ses utilisateurs a changer de version, c'est un manque criant
de liberte?
La différence, c'est que l'utilisateur a le choix de la distribution
qu'il souhaite utiliser. Si les conditions d'utilisation d'une ne lui
plaisent pas, il peut en utiliser une autre et trouver à peu près les
mêmes logiciels ainsi distribuer, y compris celui dont il voulait une
version supérieure.
Essaie d'en faire autant avec le logiciel propriétaire d'un éditeur don t
la mise à jour est pratiquement imposée. Si tu veux changer d'éditeur s,
tu dois changer de logiciel.
Ce ne sont pas les utilisateurs qui courent après les versions, ce so nt les éditeurs qui les y poussent. Ils n'ont pas cette liberté de cho ix.
Alors quand une distrib a base de paquet impose et le logiciel, et
la version du logiciel, c'est bien, mais quand un editeur pousse ses utilisateurs a changer de version, c'est un manque criant de liberte?
La différence, c'est que l'utilisateur a le choix de la distribution qu'il souhaite utiliser. Si les conditions d'utilisation d'une ne lui plaisent pas, il peut en utiliser une autre et trouver à peu près les mêmes logiciels ainsi distribuer, y compris celui dont il voulait une version supérieure. Essaie d'en faire autant avec le logiciel propriétaire d'un éditeur don t la mise à jour est pratiquement imposée. Si tu veux changer d'éditeur s, tu dois changer de logiciel.
-- Raphaël SurcouF
Raphaël 'SurcouF' Bordet
Le 2008-01-06, Benjamin FRANCOIS ecrivit:
C'est simple : il sait qu'il lui faut la dernière :-) Celle qu'a ses ami.
Comment font-ils pour l'avoir s'ils n'ont aucune compétence technique ?
Double cliquer sur un .exe demande une competence technique phenomenale.
Ils arrivent bien a installer des trojans, des virus, des emoticons qui font pouet pouet, des addons a leur logiciel de mail, et ils seraient incapable d'installer un logiciel?
Merci. Donc, cliquer sur le menu Applications > Ajouter/Supprimer et choisir une nouvelle application parmi les thèmes de cet utilitaire qu'est gnome-app-install est donc au moins aussi simple. Ajoutons à cela que l'utilisateur n'aura que des questions vraiment nécessaires et en relation avec l'application choisie pour l'installation (et non pas de savoir s'il doit l'installer dans D: ou C:Program Files), et on finit par se demander quel système est le plus simple pour un utilisateur sans compétence technique.
-- Raphaël SurcouF
Le 2008-01-06, Benjamin FRANCOIS ecrivit:
C'est simple : il sait qu'il lui faut la dernière :-) Celle qu'a ses
ami.
Comment font-ils pour l'avoir s'ils n'ont aucune compétence technique ?
Double cliquer sur un .exe demande une competence technique phenomenale.
Ils arrivent bien a installer des trojans, des virus, des emoticons qui
font pouet pouet, des addons a leur logiciel de mail, et ils seraient
incapable d'installer un logiciel?
Merci.
Donc, cliquer sur le menu Applications > Ajouter/Supprimer et choisir
une nouvelle application parmi les thèmes de cet utilitaire qu'est
gnome-app-install est donc au moins aussi simple.
Ajoutons à cela que l'utilisateur n'aura que des questions vraiment
nécessaires et en relation avec l'application choisie pour
l'installation (et non pas de savoir s'il doit l'installer dans D: ou
C:Program Files), et on finit par se demander quel système est le plus
simple pour un utilisateur sans compétence technique.
C'est simple : il sait qu'il lui faut la dernière :-) Celle qu'a ses ami.
Comment font-ils pour l'avoir s'ils n'ont aucune compétence technique ?
Double cliquer sur un .exe demande une competence technique phenomenale.
Ils arrivent bien a installer des trojans, des virus, des emoticons qui font pouet pouet, des addons a leur logiciel de mail, et ils seraient incapable d'installer un logiciel?
Merci. Donc, cliquer sur le menu Applications > Ajouter/Supprimer et choisir une nouvelle application parmi les thèmes de cet utilitaire qu'est gnome-app-install est donc au moins aussi simple. Ajoutons à cela que l'utilisateur n'aura que des questions vraiment nécessaires et en relation avec l'application choisie pour l'installation (et non pas de savoir s'il doit l'installer dans D: ou C:Program Files), et on finit par se demander quel système est le plus simple pour un utilisateur sans compétence technique.
-- Raphaël SurcouF
Raphaël 'SurcouF' Bordet
SL s'est exprimé en ces termes:
Précisément. En voilà une source de malthusianisme logiciel.
Oh mon Dieu. Maintenir des logiciels abandonnés par l'upstream maintenant c'est un DÉFAUT.
Je disais rigoureusement l'inverse. Le gestionnaire tend à imposer une limite sur le nombre de logiciels plus développés qui sont proposés .
Oui, c'est sans doute pour cela qu'on recense de plus en plus de logiciels au sein de la distribution Debian : - Debian 1.1 (« Buzz ») : 474 paquets ; - Debian 1.2 (« Rex ») : 848 paquets ; - Debian 1.3 (« Bo ») : 974 paquets ; - Debian 2.0 (« hamm ») : au moins 1500 paquets ; - Debian 2.1 (« slink ») : environ 2500 paquets ; - Debian 2.2 (« potato ») : 3900 binaires pour 2600 sources ; - Debian 3.0 (« woody ») : 8500 paquets binaires ; - Debian 3.1 (« sarge ») : environ 15000 paquets ; - Debian 4.0 (« etch ») : 18200 paquets binaires.
Je t'accorde qu'un paquet source peut se subdiviser en plusieurs paquets binaires mais, toutefois, la tendance semble plutôt être l'inverse de c e que tu affirmes. Le nombre de logiciels disponibles au travers d'un gestionnaire de paquets d'une distribution s'accroît. À moins que tu ne donnes une définition exacte de « logiciels plus développés ».
Précisément. En voilà une source de malthusianisme logiciel.
Oh mon Dieu. Maintenir des logiciels abandonnés par l'upstream
maintenant c'est un DÉFAUT.
Je disais rigoureusement l'inverse. Le gestionnaire tend à imposer une
limite sur le nombre de logiciels plus développés qui sont proposés .
Oui, c'est sans doute pour cela qu'on recense de plus en plus de
logiciels au sein de la distribution Debian :
- Debian 1.1 (« Buzz ») : 474 paquets ;
- Debian 1.2 (« Rex ») : 848 paquets ;
- Debian 1.3 (« Bo ») : 974 paquets ;
- Debian 2.0 (« hamm ») : au moins 1500 paquets ;
- Debian 2.1 (« slink ») : environ 2500 paquets ;
- Debian 2.2 (« potato ») : 3900 binaires pour 2600 sources ;
- Debian 3.0 (« woody ») : 8500 paquets binaires ;
- Debian 3.1 (« sarge ») : environ 15000 paquets ;
- Debian 4.0 (« etch ») : 18200 paquets binaires.
Je t'accorde qu'un paquet source peut se subdiviser en plusieurs paquets
binaires mais, toutefois, la tendance semble plutôt être l'inverse de c e
que tu affirmes. Le nombre de logiciels disponibles au travers d'un
gestionnaire de paquets d'une distribution s'accroît.
À moins que tu ne donnes une définition exacte de « logiciels plus
développés ».
Précisément. En voilà une source de malthusianisme logiciel.
Oh mon Dieu. Maintenir des logiciels abandonnés par l'upstream maintenant c'est un DÉFAUT.
Je disais rigoureusement l'inverse. Le gestionnaire tend à imposer une limite sur le nombre de logiciels plus développés qui sont proposés .
Oui, c'est sans doute pour cela qu'on recense de plus en plus de logiciels au sein de la distribution Debian : - Debian 1.1 (« Buzz ») : 474 paquets ; - Debian 1.2 (« Rex ») : 848 paquets ; - Debian 1.3 (« Bo ») : 974 paquets ; - Debian 2.0 (« hamm ») : au moins 1500 paquets ; - Debian 2.1 (« slink ») : environ 2500 paquets ; - Debian 2.2 (« potato ») : 3900 binaires pour 2600 sources ; - Debian 3.0 (« woody ») : 8500 paquets binaires ; - Debian 3.1 (« sarge ») : environ 15000 paquets ; - Debian 4.0 (« etch ») : 18200 paquets binaires.
Je t'accorde qu'un paquet source peut se subdiviser en plusieurs paquets binaires mais, toutefois, la tendance semble plutôt être l'inverse de c e que tu affirmes. Le nombre de logiciels disponibles au travers d'un gestionnaire de paquets d'une distribution s'accroît. À moins que tu ne donnes une définition exacte de « logiciels plus développés ».
Précisément. En voilà une source de malthusianisme logiciel.
Oh mon Dieu. Maintenir des logiciels abandonnés par l'upstream maintenant c'est un DÉFAUT.
Je disais rigoureusement l'inverse. Le gestionnaire tend à imposer une limite sur le nombre de logiciels plus développés qui sont proposés.
Oui, c'est sans doute pour cela qu'on recense de plus en plus de logiciels au sein de la distribution Debian : - Debian 1.1 (« Buzz ») : 474 paquets ; - Debian 1.2 (« Rex ») : 848 paquets ; - Debian 1.3 (« Bo ») : 974 paquets ; - Debian 2.0 (« hamm ») : au moins 1500 paquets ; - Debian 2.1 (« slink ») : environ 2500 paquets ; - Debian 2.2 (« potato ») : 3900 binaires pour 2600 sources ; - Debian 3.0 (« woody ») : 8500 paquets binaires ; - Debian 3.1 (« sarge ») : environ 15000 paquets ; - Debian 4.0 (« etch ») : 18200 paquets binaires.
Le fait qu'il y ait une croissance forte du nombre de paquets debian est sans rapport avec le fait qu'un gestionnaire de paquet impose un ascétisme par rapport à la prolifération de gadgets, illustrée par exemple sur Windows.
Par ailleurs, toutes les remarques qu'on a pu lire dernièrement sur le « niveau » des utilisateurs sont profondément désagréable. Il y a parmi ces utilisateurs des gens qui consacrent leur intelligence à autre chose que de la tuyauterie logicielle, des gens qui n'ont envie que de s'amuser et dont les choix ne vous regardent absolument pas, tous ces jugements de valeur et ce mépris sont riducule et déplacé. Le fait d'être expert en administration système devrait faire rester modeste. D'ailleurs les administrateurs de l'institution que je fréquente, et qui ne sont pas vraiment des branques (ni des zélotes de x ou y), qui administrent des salles entières de clusters, sont immensément modestes. Ainsi que les gens manifestement compétents qu'on voit trainer ici. On demande à un administrateur de répondre aux besoins qui lui formulé. En aucun cas de les définir. En fait, sa situation professionnelle le met peut être en dernière place des gens capables de juger ce qu'il faut pour les "gens" et quelles sont leur besoin. Toute cette discussion donne l'impression d'un syndicat de plombier qui se serait mis en tête, on ne sait pour quelle raison, de définir l'usage que les gens font de l'eau. Ceci dit avec le respect que j'ai, personnellement, pour le travail d'administration système, ingra mais pas dénué d'élégance.
Les remarques aussi sur le fait que l'utilisateur normal n'utilise qu'un mail, internet, un éditeur, et deux ou trois choses de cette ordre sont grotesques et insultantes. Chacun à ses lubies - qui fait de la généalogie, qui des statistiques, qui de sjeux, de la compta, de la musique, que sais-je, de l'acquisition vidéo, etc. Et dès que quelqu'un a un besoin précis de cet ordre, il est plus *libre* il faut bien dire le mot, sur un système propriétaire, où on fait les choses pour lui, que sur un système ou on décide à sa place des choix qu'il doit faire -- fut au non de la rationalité vue par les administateurs.
Je viens encore d'installer une imprimante sur kubuntu (pixma ip 1500). Evidemment c'était simple et bien documenté, à partir du moment où on fait une recherche sur le nom du modèle, qu'on modifie /etc/apt/source.list, update, http://localhost:631 pour l'installer via cups puisque cette imprimante était réputée pour ne pas s'insérer dans l'interface d'administration kde. N'empêche que tout utilisateur qui n'a pas envie de consacrer la moindre attention à ces conneries va croire qu'on se fout de sa gueule et qu'on ne bosse pas pour lui dès qu'il verra qu'on lui demande de saisir apt-get quelquechose dans une console. Et il n'aura pas tort. Être au service des usagers, c'est faire des systèmes où il n'y a aucune technicité. Et d'ailleurs c'est là qu'est la vraie complexité, une complexité pour un système informatique, beaucoup plus que dans le fait de faire un système de gestion de sdépendances ou les structures maintenues en interne sont assez fidèlement reproduite au niveau de la logique et des alternatives de l'interface utilisateur.
Je t'accorde qu'un paquet source peut se subdiviser en plusieurs paquets binaires mais, toutefois, la tendance semble plutôt être l'inverse de ce que tu affirmes. Le nombre de logiciels disponibles au travers d'un gestionnaire de paquets d'une distribution s'accroît.
Cette croissance ne dit rien sur la tendance d'un gestionnaire de paquet à imposer une restriction à la prolifération possible de logiciel, la disponibilité simultanée de version différente, l'indépendance à une administration centralisée, etc.
Le 06-01-2008, Raphaël 'SurcouF' Bordet <surcouf@debianfr> a écrit :
SL s'est exprimé en ces termes:
Précisément. En voilà une source de malthusianisme logiciel.
Oh mon Dieu. Maintenir des logiciels abandonnés par l'upstream
maintenant c'est un DÉFAUT.
Je disais rigoureusement l'inverse. Le gestionnaire tend à imposer une
limite sur le nombre de logiciels plus développés qui sont proposés.
Oui, c'est sans doute pour cela qu'on recense de plus en plus de
logiciels au sein de la distribution Debian :
- Debian 1.1 (« Buzz ») : 474 paquets ;
- Debian 1.2 (« Rex ») : 848 paquets ;
- Debian 1.3 (« Bo ») : 974 paquets ;
- Debian 2.0 (« hamm ») : au moins 1500 paquets ;
- Debian 2.1 (« slink ») : environ 2500 paquets ;
- Debian 2.2 (« potato ») : 3900 binaires pour 2600 sources ;
- Debian 3.0 (« woody ») : 8500 paquets binaires ;
- Debian 3.1 (« sarge ») : environ 15000 paquets ;
- Debian 4.0 (« etch ») : 18200 paquets binaires.
Le fait qu'il y ait une croissance forte du nombre de paquets debian est
sans rapport avec le fait qu'un gestionnaire de paquet impose un
ascétisme par rapport à la prolifération de gadgets, illustrée par
exemple sur Windows.
Par ailleurs, toutes les remarques qu'on a pu lire dernièrement sur le
« niveau » des utilisateurs sont profondément désagréable. Il y a
parmi ces utilisateurs des gens qui consacrent leur intelligence à autre
chose que de la tuyauterie logicielle, des gens qui n'ont envie que de
s'amuser et dont les choix ne vous regardent absolument pas, tous ces
jugements de valeur et ce mépris sont riducule et déplacé. Le fait
d'être expert en administration système devrait faire rester modeste.
D'ailleurs les administrateurs de l'institution que je fréquente, et qui
ne sont pas vraiment des branques (ni des zélotes de x ou y), qui
administrent des salles entières de clusters, sont immensément modestes.
Ainsi que les gens manifestement compétents qu'on voit trainer ici. On
demande à un administrateur de répondre aux besoins qui lui formulé. En
aucun cas de les définir. En fait, sa situation professionnelle le met
peut être en dernière place des gens capables de juger ce qu'il faut
pour les "gens" et quelles sont leur besoin. Toute cette discussion
donne l'impression d'un syndicat de plombier qui se serait mis en tête,
on ne sait pour quelle raison, de définir l'usage que les gens font de
l'eau. Ceci dit avec le respect que j'ai, personnellement, pour le
travail d'administration système, ingra mais pas dénué d'élégance.
Les remarques aussi sur le fait que l'utilisateur normal n'utilise qu'un
mail, internet, un éditeur, et deux ou trois choses de cette ordre sont
grotesques et insultantes. Chacun à ses lubies - qui fait de la
généalogie, qui des statistiques, qui de sjeux, de la compta, de la
musique, que sais-je, de l'acquisition vidéo, etc. Et dès que quelqu'un
a un besoin précis de cet ordre, il est plus *libre* il faut bien dire
le mot, sur un système propriétaire, où on fait les choses pour lui, que
sur un système ou on décide à sa place des choix qu'il doit faire -- fut
au non de la rationalité vue par les administateurs.
Je viens encore d'installer une imprimante sur kubuntu (pixma ip 1500).
Evidemment c'était simple et bien documenté, à partir du moment où on
fait une recherche sur le nom du modèle, qu'on modifie
/etc/apt/source.list, update, http://localhost:631 pour l'installer via
cups puisque cette imprimante était réputée pour ne pas s'insérer dans
l'interface d'administration kde. N'empêche que tout utilisateur qui n'a
pas envie de consacrer la moindre attention à ces conneries va croire
qu'on se fout de sa gueule et qu'on ne bosse pas pour lui dès qu'il
verra qu'on lui demande de saisir apt-get quelquechose dans une console.
Et il n'aura pas tort. Être au service des usagers, c'est faire des
systèmes où il n'y a aucune technicité. Et d'ailleurs c'est là qu'est la
vraie complexité, une complexité pour un système informatique, beaucoup
plus que dans le fait de faire un système de gestion de sdépendances ou
les structures maintenues en interne sont assez fidèlement reproduite au
niveau de la logique et des alternatives de l'interface utilisateur.
Je t'accorde qu'un paquet source peut se subdiviser en plusieurs
paquets binaires mais, toutefois, la tendance semble plutôt être
l'inverse de ce que tu affirmes. Le nombre de logiciels disponibles au
travers d'un gestionnaire de paquets d'une distribution s'accroît.
Cette croissance ne dit rien sur la tendance d'un gestionnaire de paquet
à imposer une restriction à la prolifération possible de logiciel, la
disponibilité simultanée de version différente, l'indépendance à une
administration centralisée, etc.
Précisément. En voilà une source de malthusianisme logiciel.
Oh mon Dieu. Maintenir des logiciels abandonnés par l'upstream maintenant c'est un DÉFAUT.
Je disais rigoureusement l'inverse. Le gestionnaire tend à imposer une limite sur le nombre de logiciels plus développés qui sont proposés.
Oui, c'est sans doute pour cela qu'on recense de plus en plus de logiciels au sein de la distribution Debian : - Debian 1.1 (« Buzz ») : 474 paquets ; - Debian 1.2 (« Rex ») : 848 paquets ; - Debian 1.3 (« Bo ») : 974 paquets ; - Debian 2.0 (« hamm ») : au moins 1500 paquets ; - Debian 2.1 (« slink ») : environ 2500 paquets ; - Debian 2.2 (« potato ») : 3900 binaires pour 2600 sources ; - Debian 3.0 (« woody ») : 8500 paquets binaires ; - Debian 3.1 (« sarge ») : environ 15000 paquets ; - Debian 4.0 (« etch ») : 18200 paquets binaires.
Le fait qu'il y ait une croissance forte du nombre de paquets debian est sans rapport avec le fait qu'un gestionnaire de paquet impose un ascétisme par rapport à la prolifération de gadgets, illustrée par exemple sur Windows.
Par ailleurs, toutes les remarques qu'on a pu lire dernièrement sur le « niveau » des utilisateurs sont profondément désagréable. Il y a parmi ces utilisateurs des gens qui consacrent leur intelligence à autre chose que de la tuyauterie logicielle, des gens qui n'ont envie que de s'amuser et dont les choix ne vous regardent absolument pas, tous ces jugements de valeur et ce mépris sont riducule et déplacé. Le fait d'être expert en administration système devrait faire rester modeste. D'ailleurs les administrateurs de l'institution que je fréquente, et qui ne sont pas vraiment des branques (ni des zélotes de x ou y), qui administrent des salles entières de clusters, sont immensément modestes. Ainsi que les gens manifestement compétents qu'on voit trainer ici. On demande à un administrateur de répondre aux besoins qui lui formulé. En aucun cas de les définir. En fait, sa situation professionnelle le met peut être en dernière place des gens capables de juger ce qu'il faut pour les "gens" et quelles sont leur besoin. Toute cette discussion donne l'impression d'un syndicat de plombier qui se serait mis en tête, on ne sait pour quelle raison, de définir l'usage que les gens font de l'eau. Ceci dit avec le respect que j'ai, personnellement, pour le travail d'administration système, ingra mais pas dénué d'élégance.
Les remarques aussi sur le fait que l'utilisateur normal n'utilise qu'un mail, internet, un éditeur, et deux ou trois choses de cette ordre sont grotesques et insultantes. Chacun à ses lubies - qui fait de la généalogie, qui des statistiques, qui de sjeux, de la compta, de la musique, que sais-je, de l'acquisition vidéo, etc. Et dès que quelqu'un a un besoin précis de cet ordre, il est plus *libre* il faut bien dire le mot, sur un système propriétaire, où on fait les choses pour lui, que sur un système ou on décide à sa place des choix qu'il doit faire -- fut au non de la rationalité vue par les administateurs.
Je viens encore d'installer une imprimante sur kubuntu (pixma ip 1500). Evidemment c'était simple et bien documenté, à partir du moment où on fait une recherche sur le nom du modèle, qu'on modifie /etc/apt/source.list, update, http://localhost:631 pour l'installer via cups puisque cette imprimante était réputée pour ne pas s'insérer dans l'interface d'administration kde. N'empêche que tout utilisateur qui n'a pas envie de consacrer la moindre attention à ces conneries va croire qu'on se fout de sa gueule et qu'on ne bosse pas pour lui dès qu'il verra qu'on lui demande de saisir apt-get quelquechose dans une console. Et il n'aura pas tort. Être au service des usagers, c'est faire des systèmes où il n'y a aucune technicité. Et d'ailleurs c'est là qu'est la vraie complexité, une complexité pour un système informatique, beaucoup plus que dans le fait de faire un système de gestion de sdépendances ou les structures maintenues en interne sont assez fidèlement reproduite au niveau de la logique et des alternatives de l'interface utilisateur.
Je t'accorde qu'un paquet source peut se subdiviser en plusieurs paquets binaires mais, toutefois, la tendance semble plutôt être l'inverse de ce que tu affirmes. Le nombre de logiciels disponibles au travers d'un gestionnaire de paquets d'une distribution s'accroît.
Cette croissance ne dit rien sur la tendance d'un gestionnaire de paquet à imposer une restriction à la prolifération possible de logiciel, la disponibilité simultanée de version différente, l'indépendance à une administration centralisée, etc.