enlève 1 bit fort aux numero d'immeuble, la boulangerie devient la caisse d'epargne. c'est vrai qu'une banque c'est presque une boulangerie, il suffit de gagner en précision... :-D tu vis dans un monde mental très chelou !
Le 15/10/2018 22:56, Benoit a écrit :
Merci.
enlève 1 bit fort aux numero d'immeuble, la boulangerie devient la
caisse d'epargne.
c'est vrai qu'une banque c'est presque une boulangerie, il suffit de
gagner en précision... :-D
enlève 1 bit fort aux numero d'immeuble, la boulangerie devient la caisse d'epargne. c'est vrai qu'une banque c'est presque une boulangerie, il suffit de gagner en précision... :-D tu vis dans un monde mental très chelou !
GhostRaider
Le 16/10/2018 à 12:45, jdd a écrit :
Le 16/10/2018 à 12:28, GhostRaider a écrit :
Par perte d'information pour un texte, tu veux évidemment dire, pertes dues au codage des lettres qui ne sont plus représentées avec des détails qui distinguent certaines des autres.
pas forcément, je veux juste dire perte d'information. Beaucoup de choses sont une information quand on passe de l'analogique au numérique, on change de mode de perte si je peux utiliser ces termes. Une bande magnétique beaucoup utilisé, par exemple une cassette, va perdre de la qualité avec l'usure du support. Un mp3 non. On peut le repasser autant de fois qu'on veut sans perte de qualité, jusqu'au jour ou on ne peut plus lire le fichier, parce qu'une partie du support n'est pas lisible (par exemple, et ca peut être une toute petite partie du support comme les secteurs de la table de partition). le numérique c'est à la base 0 ou 1, on l'a ou on l'a pas, pas de gris, là. un codage sur 8bits, c'est juste un octet. Pour l'ordi, un octet de programme, de musique ou de photo c'est exactement la même chose. l'interprétation par l'utilisateur, elle, est complètement différente selon ce qui est supposé comme contenu le cas des lettres est spécial car le code ASCII et ses dérivés ne considèrent pas la lettre comme une image mais comme un caractère, ce qui est déjà une forme de numérisation.
Le code du caractère est lié à son image par une relation bi-univoque, mais un code, ce n'est pas une image. C'est pour ça que l'"analogie" de Benoit n'a pas de sens, elle est seulement introduite par le chiffre 8 mais qui ne désigne pas du tout des choses comparables.
Je ne crois pas qu'on puisse dire d'un caractère (à l'écran) qu'il est analogique, ou alors il faut admettre que le même code décrit un caractère calligraphié ou manuscrit
Un caractère affiché en tant que tel à l'écran, c'est une image en bitmap, une matrice de points affichée par l'appel d'un code qui se réfère à une table. Pour un même code, on peut faire appel à des tables différentes, donnant des matrices de points différentes, mais la relation sera toujours bi-univoque. Si on scanne un texte, on obtiendra une image de caractères qui ne seront que des images sans contenu signifiant et sans relations avec un code donné. Un logiciel de reconnaissance de caractères pourra permettre de discerner les caractères dans cette image et leur donner un code. Ce code pourra alors permettre de reconstituer un texte signifiant selon des types d'écritures éventuellement différents (droit, italique, polices diverses etc..).
une photo, au contraire, est tout à fait analogique au départ
Une photo prise avec un appareil argentique est analogique (1) Une photo prise avec un appareil numérique est automatiquement numérique car le fichier obtenu est constitué de valeurs discrètes. On en codifie les points pour permettre de la l'afficher, de la transmettre et de la reconstituer. Cette codification en termes discrets fait presque inévitablement perdre le détail des transitions progressives de la photo argentique. (1) encore que les grains d'argent ne soient pas progressifs, mais discrets.
Le 16/10/2018 à 12:45, jdd a écrit :
Le 16/10/2018 à 12:28, GhostRaider a écrit :
Par perte d'information pour un texte, tu veux évidemment dire, pertes
dues au codage des lettres qui ne sont plus représentées avec des
détails qui distinguent certaines des autres.
pas forcément, je veux juste dire perte d'information. Beaucoup de
choses sont une information
quand on passe de l'analogique au numérique, on change de mode de perte
si je peux utiliser ces termes.
Une bande magnétique beaucoup utilisé, par exemple une cassette, va
perdre de la qualité avec l'usure du support.
Un mp3 non. On peut le repasser autant de fois qu'on veut sans perte de
qualité, jusqu'au jour ou on ne peut plus lire le fichier, parce qu'une
partie du support n'est pas lisible (par exemple, et ca peut être une
toute petite partie du support comme les secteurs de la table de partition).
le numérique c'est à la base 0 ou 1, on l'a ou on l'a pas, pas de gris, là.
un codage sur 8bits, c'est juste un octet. Pour l'ordi, un octet de
programme, de musique ou de photo c'est exactement la même chose.
l'interprétation par l'utilisateur, elle, est complètement différente
selon ce qui est supposé comme contenu
le cas des lettres est spécial car le code ASCII et ses dérivés ne
considèrent pas la lettre comme une image mais comme un caractère, ce
qui est déjà une forme de numérisation.
Le code du caractère est lié à son image par une relation bi-univoque,
mais un code, ce n'est pas une image. C'est pour ça que l'"analogie" de
Benoit n'a pas de sens, elle est seulement introduite par le chiffre 8
mais qui ne désigne pas du tout des choses comparables.
Je ne crois pas qu'on puisse
dire d'un caractère (à l'écran) qu'il est analogique, ou alors il faut
admettre que le même code décrit un caractère calligraphié ou manuscrit
Un caractère affiché en tant que tel à l'écran, c'est une image en
bitmap, une matrice de points affichée par l'appel d'un code qui se
réfère à une table. Pour un même code, on peut faire appel à des tables
différentes, donnant des matrices de points différentes, mais la
relation sera toujours bi-univoque.
Si on scanne un texte, on obtiendra une image de caractères qui ne
seront que des images sans contenu signifiant et sans relations avec un
code donné. Un logiciel de reconnaissance de caractères pourra permettre
de discerner les caractères dans cette image et leur donner un code. Ce
code pourra alors permettre de reconstituer un texte signifiant selon
des types d'écritures éventuellement différents (droit, italique,
polices diverses etc..).
une photo, au contraire, est tout à fait analogique au départ
Une photo prise avec un appareil argentique est analogique (1)
Une photo prise avec un appareil numérique est automatiquement numérique
car le fichier obtenu est constitué de valeurs discrètes.
On en codifie les points pour permettre de la l'afficher, de la
transmettre et de la reconstituer. Cette codification en termes discrets
fait presque inévitablement perdre le détail des transitions
progressives de la photo argentique.
(1) encore que les grains d'argent ne soient pas progressifs, mais discrets.
Par perte d'information pour un texte, tu veux évidemment dire, pertes dues au codage des lettres qui ne sont plus représentées avec des détails qui distinguent certaines des autres.
pas forcément, je veux juste dire perte d'information. Beaucoup de choses sont une information quand on passe de l'analogique au numérique, on change de mode de perte si je peux utiliser ces termes. Une bande magnétique beaucoup utilisé, par exemple une cassette, va perdre de la qualité avec l'usure du support. Un mp3 non. On peut le repasser autant de fois qu'on veut sans perte de qualité, jusqu'au jour ou on ne peut plus lire le fichier, parce qu'une partie du support n'est pas lisible (par exemple, et ca peut être une toute petite partie du support comme les secteurs de la table de partition). le numérique c'est à la base 0 ou 1, on l'a ou on l'a pas, pas de gris, là. un codage sur 8bits, c'est juste un octet. Pour l'ordi, un octet de programme, de musique ou de photo c'est exactement la même chose. l'interprétation par l'utilisateur, elle, est complètement différente selon ce qui est supposé comme contenu le cas des lettres est spécial car le code ASCII et ses dérivés ne considèrent pas la lettre comme une image mais comme un caractère, ce qui est déjà une forme de numérisation.
Le code du caractère est lié à son image par une relation bi-univoque, mais un code, ce n'est pas une image. C'est pour ça que l'"analogie" de Benoit n'a pas de sens, elle est seulement introduite par le chiffre 8 mais qui ne désigne pas du tout des choses comparables.
Je ne crois pas qu'on puisse dire d'un caractère (à l'écran) qu'il est analogique, ou alors il faut admettre que le même code décrit un caractère calligraphié ou manuscrit
Un caractère affiché en tant que tel à l'écran, c'est une image en bitmap, une matrice de points affichée par l'appel d'un code qui se réfère à une table. Pour un même code, on peut faire appel à des tables différentes, donnant des matrices de points différentes, mais la relation sera toujours bi-univoque. Si on scanne un texte, on obtiendra une image de caractères qui ne seront que des images sans contenu signifiant et sans relations avec un code donné. Un logiciel de reconnaissance de caractères pourra permettre de discerner les caractères dans cette image et leur donner un code. Ce code pourra alors permettre de reconstituer un texte signifiant selon des types d'écritures éventuellement différents (droit, italique, polices diverses etc..).
une photo, au contraire, est tout à fait analogique au départ
Une photo prise avec un appareil argentique est analogique (1) Une photo prise avec un appareil numérique est automatiquement numérique car le fichier obtenu est constitué de valeurs discrètes. On en codifie les points pour permettre de la l'afficher, de la transmettre et de la reconstituer. Cette codification en termes discrets fait presque inévitablement perdre le détail des transitions progressives de la photo argentique. (1) encore que les grains d'argent ne soient pas progressifs, mais discrets.
GhostRaider
Le 16/10/2018 à 12:52, jdd a écrit :
Le 16/10/2018 à 12:48, GhostRaider a écrit :
Voilà, c'est quand même plus clair.
et ca confirme ce que j'ai publié...
Et en fait, l'article sur la pipe est une sorte de résumé simplifié de ce qu'a écrit Shopenhauer..
Le 16/10/2018 à 12:52, jdd a écrit :
Le 16/10/2018 à 12:48, GhostRaider a écrit :
Voilà, c'est quand même plus clair.
et ca confirme ce que j'ai publié...
Et en fait, l'article sur la pipe est une sorte de résumé simplifié de
ce qu'a écrit Shopenhauer..
Le 16/10/2018 à 14:21, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 16/10/2018 02:04, Benoit a écrit :
Stephane Legras-Decussy wrote:
Le 15/10/2018 22:41, GhostRaider a écrit :
En effet, si toi aussi tu t'y mets, ça va pas être triste
benoit parlait du codage ascii des caractères.
Merci, il ne connaît pas ce qu'il utilise pour écrire. Alors retoucher des images...
je comprends pourquoi il ne comprend pas de quoi tu parles, la comparaison entre l'ascii et une grandeur intensive numérisée étant tellement débile...
Ah ben finalement, tu avais bien compris.
Stephane Legras-Decussy
Le 16/10/2018 08:52, GhostRaider a écrit :
C'est tout Benoit, ça. Un manque total de rigueur. C'est un poète, Benoit.
exactement. j'ai un ami exactement identique, totalement poétique/artiste peintre mais s'interessant aux sciences... on obtient des échanges surréalistes tels que le ç qui est plus précis que le c. Il argue également l'intrication quantique pour justifier des choix absurdes dans sa vie... et il y croit fermement !
Le 16/10/2018 08:52, GhostRaider a écrit :
C'est tout Benoit, ça. Un manque total de rigueur. C'est un poète, Benoit.
exactement.
j'ai un ami exactement identique, totalement poétique/artiste peintre
mais s'interessant aux sciences... on obtient des échanges surréalistes
tels que le ç qui est plus précis que le c.
Il argue également l'intrication quantique pour justifier des choix
absurdes dans sa vie... et il y croit fermement !
C'est tout Benoit, ça. Un manque total de rigueur. C'est un poète, Benoit.
exactement. j'ai un ami exactement identique, totalement poétique/artiste peintre mais s'interessant aux sciences... on obtient des échanges surréalistes tels que le ç qui est plus précis que le c. Il argue également l'intrication quantique pour justifier des choix absurdes dans sa vie... et il y croit fermement !
Stephane Legras-Decussy
Le 16/10/2018 09:02, Stéphan Peccini a écrit :
Il n'a pas confondu et il a tout à fait raison dans son analogie. Il y a perte d'information dans les deux cas. Et c'est ce qu'il voulait montrer.
on perd rien du tout, le tome 1 c'est de l'anglais, le tome 2 c'est du français / espagnol ... aucun rapport de "précision" entre le tome 1 et le tome 2.
Le 16/10/2018 09:02, Stéphan Peccini a écrit :
Il n'a pas confondu et il a tout à fait raison dans son analogie. Il y a
perte d'information dans les deux cas. Et c'est ce qu'il voulait montrer.
on perd rien du tout, le tome 1 c'est de l'anglais, le tome 2 c'est du
français / espagnol ...
aucun rapport de "précision" entre le tome 1 et le tome 2.
Il n'a pas confondu et il a tout à fait raison dans son analogie. Il y a perte d'information dans les deux cas. Et c'est ce qu'il voulait montrer.
on perd rien du tout, le tome 1 c'est de l'anglais, le tome 2 c'est du français / espagnol ... aucun rapport de "précision" entre le tome 1 et le tome 2.
jdd
Le 16/10/2018 à 14:34, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 16/10/2018 09:02, Stéphan Peccini a écrit :
Il n'a pas confondu et il a tout à fait raison dans son analogie. Il y a perte d'information dans les deux cas. Et c'est ce qu'il voulait montrer.
on perd rien du tout, le tome 1 c'est de l'anglais, le tome 2 c'est du français / espagnol ... aucun rapport de "précision" entre le tome 1 et le tome 2.
confondre information et précision, c'est grave, il est temps d'aller prendre un café :-) jdd -- http://dodin.org
Le 16/10/2018 à 14:34, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 16/10/2018 09:02, Stéphan Peccini a écrit :
Il n'a pas confondu et il a tout à fait raison dans son analogie. Il y a
perte d'information dans les deux cas. Et c'est ce qu'il voulait montrer.
on perd rien du tout, le tome 1 c'est de l'anglais, le tome 2 c'est du
français / espagnol ...
aucun rapport de "précision" entre le tome 1 et le tome 2.
confondre information et précision, c'est grave, il est temps d'aller
prendre un café :-)
Le 16/10/2018 à 14:34, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 16/10/2018 09:02, Stéphan Peccini a écrit :
Il n'a pas confondu et il a tout à fait raison dans son analogie. Il y a perte d'information dans les deux cas. Et c'est ce qu'il voulait montrer.
on perd rien du tout, le tome 1 c'est de l'anglais, le tome 2 c'est du français / espagnol ... aucun rapport de "précision" entre le tome 1 et le tome 2.
confondre information et précision, c'est grave, il est temps d'aller prendre un café :-) jdd -- http://dodin.org
Stephane Legras-Decussy
Le 16/10/2018 11:03, jdd a écrit :
mais il me semble que si des circonstances nécessitent 14IL et qu'on peut les photographier, on doit pouvoir trouver un moyen de les traduire en mire (au sens large d'étalon)
j'avais vu un truc comme ça... le gars avait fait un panneau blanc de blanc et avait pris un tuyaux 100mm de diamètre peint en noir mat à l'intérieur. installé dehors, on a 14EV entre le panneau et l'intérieur du tuyau, largement...
Le 16/10/2018 11:03, jdd a écrit :
mais il me semble que si des circonstances nécessitent 14IL et qu'on
peut les photographier, on doit pouvoir trouver un moyen de les traduire
en mire (au sens large d'étalon)
j'avais vu un truc comme ça... le gars avait
fait un panneau blanc de blanc et avait pris un tuyaux 100mm
de diamètre peint en noir mat à l'intérieur.
installé dehors, on a 14EV entre le panneau et l'intérieur
du tuyau, largement...
mais il me semble que si des circonstances nécessitent 14IL et qu'on peut les photographier, on doit pouvoir trouver un moyen de les traduire en mire (au sens large d'étalon)
j'avais vu un truc comme ça... le gars avait fait un panneau blanc de blanc et avait pris un tuyaux 100mm de diamètre peint en noir mat à l'intérieur. installé dehors, on a 14EV entre le panneau et l'intérieur du tuyau, largement...
Jacques L'helgoualc'h
Le 16-10-2018, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 15/10/2018 22:56, Benoit a écrit :
Merci.
enlève 1 bit fort aux numero d'immeuble, la boulangerie devient la caisse d'epargne.
Le fainéant préfèrera changer le bit faible, pour aller au bistrot d'en face.
Le 16-10-2018, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 15/10/2018 22:56, Benoit a écrit :
Merci.
enlève 1 bit fort aux numero d'immeuble, la boulangerie devient la
caisse d'epargne.
Le fainéant préfèrera changer le bit faible, pour aller au bistrot
d'en face.
