Le 15/10/2018 à 22:50, jdd a écrit :Le 15/10/2018 à 20:47, Stéphan Peccini a écrit :Non, ils ne sont pas continus puisqu'une mire pour être utilisée et
visualisée le sera sur un support qui ne permet d'avoir que 10IL alors
que l’œil peut aller bien au-delà.
une mire peut être sur n'importe quel support, même des plumes de pie,
mais les traits sont calibrée et permettent la mesure
Comment veux-tu mesurer un capteur à 14IL avec le support d'une mire
(publiée sur ce que tu veux : diapo, papier, écran) qui ne pourra pas
dépasser 10IL ? Donc la pie est supérieure à la mire.
Le 15/10/2018 à 22:50, jdd a écrit :
Le 15/10/2018 à 20:47, Stéphan Peccini a écrit :
Non, ils ne sont pas continus puisqu'une mire pour être utilisée et
visualisée le sera sur un support qui ne permet d'avoir que 10IL alors
que l’œil peut aller bien au-delà.
une mire peut être sur n'importe quel support, même des plumes de pie,
mais les traits sont calibrée et permettent la mesure
Comment veux-tu mesurer un capteur à 14IL avec le support d'une mire
(publiée sur ce que tu veux : diapo, papier, écran) qui ne pourra pas
dépasser 10IL ? Donc la pie est supérieure à la mire.
Le 15/10/2018 à 22:50, jdd a écrit :Le 15/10/2018 à 20:47, Stéphan Peccini a écrit :Non, ils ne sont pas continus puisqu'une mire pour être utilisée et
visualisée le sera sur un support qui ne permet d'avoir que 10IL alors
que l’œil peut aller bien au-delà.
une mire peut être sur n'importe quel support, même des plumes de pie,
mais les traits sont calibrée et permettent la mesure
Comment veux-tu mesurer un capteur à 14IL avec le support d'une mire
(publiée sur ce que tu veux : diapo, papier, écran) qui ne pourra pas
dépasser 10IL ? Donc la pie est supérieure à la mire.
Le 16/10/2018 à 10:58, Den a écrit :Alf92 wrote:tu parles du codage de l'image d'un A
il parle du codage d'un A
<https://www.google.fr/imgres?imgurl=http://jetudielacom.com/wp-content/uploads/magritte_trahison.jpg&imgrefurl=https://jetudielacom.com/semiologie-la-trahison-des-images/&hq4&w00&tbnid=QvjuhLUv2DbAZM:&q=la+trahison+des+images+de+ren%C3%A9+magritte&tbnh0&tbnw"4&usg=AI4_-kSh4gXH0p0OJTZrpvbd7oRmgyDe0w&vet=1&docidaAHihXKmM1g3M&itg=1&sa=X&ved*hUKEwjzq6ndy4reAhWGesAKHRK4DWIQ_B0wEXoECAYQFA>
excellent, et excellente analyse, court extrait:
"Que nous dit la sémiologie : « Qu’il s’agisse d’une pipe, d’un soleil
couchant ou de mon beau visage, l’image n’est jamais le « réel ». On ne
peut même pas dire qu’elle reflète « le » réel, puisqu’elle ne peut
chaque fois qu’en refléter un reflet, à un moment donné.
Aussi « réaliste » que prétende être l’image d’un objet, aussi
spectaculaire que puisse nous sembler l’aspect phénoménal des choses
qu’on croit « saisir » en le photographiant, nous n’appréhendons chaque
fois qu’une apparence parmi une infinité d’autres, et ceci à un instant
précis parmi une infinité d’autres instants…
Même au pur plan visuel, même en n’en visant que la plus plate
reproduction, l’image ment toujours dans la mesure où elle sélectionne
une très infime partie du visible, où elle l’amplifie par ce simple
choix, et où elle cache du même coup tout ce qu’elle ne montre pas. »
Le 16/10/2018 à 10:58, Den a écrit :
Alf92 wrote:
tu parles du codage de l'image d'un A
il parle du codage d'un A
<https://www.google.fr/imgres?imgurl=http://jetudielacom.com/wp-content/uploads/magritte_trahison.jpg&imgrefurl=https://jetudielacom.com/semiologie-la-trahison-des-images/&hq4&w00&tbnid=QvjuhLUv2DbAZM:&q=la+trahison+des+images+de+ren%C3%A9+magritte&tbnh0&tbnw"4&usg=AI4_-kSh4gXH0p0OJTZrpvbd7oRmgyDe0w&vet=1&docidaAHihXKmM1g3M&itg=1&sa=X&ved*hUKEwjzq6ndy4reAhWGesAKHRK4DWIQ_B0wEXoECAYQFA>
excellent, et excellente analyse, court extrait:
"Que nous dit la sémiologie : « Qu’il s’agisse d’une pipe, d’un soleil
couchant ou de mon beau visage, l’image n’est jamais le « réel ». On ne
peut même pas dire qu’elle reflète « le » réel, puisqu’elle ne peut
chaque fois qu’en refléter un reflet, à un moment donné.
Aussi « réaliste » que prétende être l’image d’un objet, aussi
spectaculaire que puisse nous sembler l’aspect phénoménal des choses
qu’on croit « saisir » en le photographiant, nous n’appréhendons chaque
fois qu’une apparence parmi une infinité d’autres, et ceci à un instant
précis parmi une infinité d’autres instants…
Même au pur plan visuel, même en n’en visant que la plus plate
reproduction, l’image ment toujours dans la mesure où elle sélectionne
une très infime partie du visible, où elle l’amplifie par ce simple
choix, et où elle cache du même coup tout ce qu’elle ne montre pas. »
Le 16/10/2018 à 10:58, Den a écrit :Alf92 wrote:tu parles du codage de l'image d'un A
il parle du codage d'un A
<https://www.google.fr/imgres?imgurl=http://jetudielacom.com/wp-content/uploads/magritte_trahison.jpg&imgrefurl=https://jetudielacom.com/semiologie-la-trahison-des-images/&hq4&w00&tbnid=QvjuhLUv2DbAZM:&q=la+trahison+des+images+de+ren%C3%A9+magritte&tbnh0&tbnw"4&usg=AI4_-kSh4gXH0p0OJTZrpvbd7oRmgyDe0w&vet=1&docidaAHihXKmM1g3M&itg=1&sa=X&ved*hUKEwjzq6ndy4reAhWGesAKHRK4DWIQ_B0wEXoECAYQFA>
excellent, et excellente analyse, court extrait:
"Que nous dit la sémiologie : « Qu’il s’agisse d’une pipe, d’un soleil
couchant ou de mon beau visage, l’image n’est jamais le « réel ». On ne
peut même pas dire qu’elle reflète « le » réel, puisqu’elle ne peut
chaque fois qu’en refléter un reflet, à un moment donné.
Aussi « réaliste » que prétende être l’image d’un objet, aussi
spectaculaire que puisse nous sembler l’aspect phénoménal des choses
qu’on croit « saisir » en le photographiant, nous n’appréhendons chaque
fois qu’une apparence parmi une infinité d’autres, et ceci à un instant
précis parmi une infinité d’autres instants…
Même au pur plan visuel, même en n’en visant que la plus plate
reproduction, l’image ment toujours dans la mesure où elle sélectionne
une très infime partie du visible, où elle l’amplifie par ce simple
choix, et où elle cache du même coup tout ce qu’elle ne montre pas. »
Stéphan Peccini :Le 15/10/2018 à 22:50, jdd a écrit :Le 15/10/2018 à 20:47, Stéphan Peccini a écrit :Non, ils ne sont pas continus puisqu'une mire pour être utilisée et
visualisée le sera sur un support qui ne permet d'avoir que 10IL alors
que l’œil peut aller bien au-delà.
une mire peut être sur n'importe quel support, même des plumes de pie,
mais les traits sont calibrée et permettent la mesure
Comment veux-tu mesurer un capteur à 14IL avec le support d'une mire
(publiée sur ce que tu veux : diapo, papier, écran) qui ne pourra pas
dépasser 10IL ? Donc la pie est supérieure à la mire.
je ne vois pas pourquoi une pie en plein soleil aurait une "dynamique"
plus importante qu'un carton noir et blanc dans les mêmes conditions
d'éclairage.
Stéphan Peccini :
Le 15/10/2018 à 22:50, jdd a écrit :
Le 15/10/2018 à 20:47, Stéphan Peccini a écrit :
Non, ils ne sont pas continus puisqu'une mire pour être utilisée et
visualisée le sera sur un support qui ne permet d'avoir que 10IL alors
que l’œil peut aller bien au-delà.
une mire peut être sur n'importe quel support, même des plumes de pie,
mais les traits sont calibrée et permettent la mesure
Comment veux-tu mesurer un capteur à 14IL avec le support d'une mire
(publiée sur ce que tu veux : diapo, papier, écran) qui ne pourra pas
dépasser 10IL ? Donc la pie est supérieure à la mire.
je ne vois pas pourquoi une pie en plein soleil aurait une "dynamique"
plus importante qu'un carton noir et blanc dans les mêmes conditions
d'éclairage.
Stéphan Peccini :Le 15/10/2018 à 22:50, jdd a écrit :Le 15/10/2018 à 20:47, Stéphan Peccini a écrit :Non, ils ne sont pas continus puisqu'une mire pour être utilisée et
visualisée le sera sur un support qui ne permet d'avoir que 10IL alors
que l’œil peut aller bien au-delà.
une mire peut être sur n'importe quel support, même des plumes de pie,
mais les traits sont calibrée et permettent la mesure
Comment veux-tu mesurer un capteur à 14IL avec le support d'une mire
(publiée sur ce que tu veux : diapo, papier, écran) qui ne pourra pas
dépasser 10IL ? Donc la pie est supérieure à la mire.
je ne vois pas pourquoi une pie en plein soleil aurait une "dynamique"
plus importante qu'un carton noir et blanc dans les mêmes conditions
d'éclairage.
Le 16/10/2018 à 11:09, GhostRaider a écrit :Toutes ces analogies qui n'en sont pas entre une image et des codes
ascii n'ont strictement aucun sens et ne font absolument pas avancer la
compréhension de la dynamique d'un RAW vis-à-vis d'un JPG.
pas d'accord.
*toutes* nos images actuelles sont des assemblages informatiques, donc
numérisées et discrètes (formées d'informations binaires). Elles
entraînent donc une perte d'information liée à la transformation
analogique->numérique dont la quantité est parfaitement connue.
toute réduction du nombre de bits entraîne par définition une perte
d'information, qu'il s'agisse d'une image ou d'un texte.
cette perte est-elle significative pour celui qui regarde (la lettre ou
l'image) est un tout autre problème.
on a là une autre transformation, du numérique vers la représentation
intellectuelle, donc du concret à l'abstrait.
Les méthodes de compression destructives (jpg, mp3, mp4) essaient de
réduire le poids des informations en jetant les informations considérées
comme superflues, ce qui reste parfaitement subjectif (ce qui ne veut
pas dire faux)
la compression sans perte substitue un mode de numérisation à un autre
supposé moins efficace, mais, pas exemple, il est facile de vérifier
qu'une vidéo de neige en train de tomber, qui est très proche d'images
aléatoires ne se compresse à peu près pas.
Le 16/10/2018 à 11:09, GhostRaider a écrit :
Toutes ces analogies qui n'en sont pas entre une image et des codes
ascii n'ont strictement aucun sens et ne font absolument pas avancer la
compréhension de la dynamique d'un RAW vis-à-vis d'un JPG.
pas d'accord.
*toutes* nos images actuelles sont des assemblages informatiques, donc
numérisées et discrètes (formées d'informations binaires). Elles
entraînent donc une perte d'information liée à la transformation
analogique->numérique dont la quantité est parfaitement connue.
toute réduction du nombre de bits entraîne par définition une perte
d'information, qu'il s'agisse d'une image ou d'un texte.
cette perte est-elle significative pour celui qui regarde (la lettre ou
l'image) est un tout autre problème.
on a là une autre transformation, du numérique vers la représentation
intellectuelle, donc du concret à l'abstrait.
Les méthodes de compression destructives (jpg, mp3, mp4) essaient de
réduire le poids des informations en jetant les informations considérées
comme superflues, ce qui reste parfaitement subjectif (ce qui ne veut
pas dire faux)
la compression sans perte substitue un mode de numérisation à un autre
supposé moins efficace, mais, pas exemple, il est facile de vérifier
qu'une vidéo de neige en train de tomber, qui est très proche d'images
aléatoires ne se compresse à peu près pas.
Le 16/10/2018 à 11:09, GhostRaider a écrit :Toutes ces analogies qui n'en sont pas entre une image et des codes
ascii n'ont strictement aucun sens et ne font absolument pas avancer la
compréhension de la dynamique d'un RAW vis-à-vis d'un JPG.
pas d'accord.
*toutes* nos images actuelles sont des assemblages informatiques, donc
numérisées et discrètes (formées d'informations binaires). Elles
entraînent donc une perte d'information liée à la transformation
analogique->numérique dont la quantité est parfaitement connue.
toute réduction du nombre de bits entraîne par définition une perte
d'information, qu'il s'agisse d'une image ou d'un texte.
cette perte est-elle significative pour celui qui regarde (la lettre ou
l'image) est un tout autre problème.
on a là une autre transformation, du numérique vers la représentation
intellectuelle, donc du concret à l'abstrait.
Les méthodes de compression destructives (jpg, mp3, mp4) essaient de
réduire le poids des informations en jetant les informations considérées
comme superflues, ce qui reste parfaitement subjectif (ce qui ne veut
pas dire faux)
la compression sans perte substitue un mode de numérisation à un autre
supposé moins efficace, mais, pas exemple, il est facile de vérifier
qu'une vidéo de neige en train de tomber, qui est très proche d'images
aléatoires ne se compresse à peu près pas.
chutttt chutttt !
si GR lit ça il va devenir dingue
chutttt chutttt !
si GR lit ça il va devenir dingue
chutttt chutttt !
si GR lit ça il va devenir dingue
Le 16/10/2018 à 11:03, GhostRaider a écrit :Voilà, Jacques L'helgoualc'h a lu ce que j'ai écrit et l'a compris.
C'est apparemment le seul.
vues les multiples dérives de ce fil il devient difficile de comprendre
qui a dit quoi et sur quel sujet :-)
Le 16/10/2018 à 11:03, GhostRaider a écrit :
Voilà, Jacques L'helgoualc'h a lu ce que j'ai écrit et l'a compris.
C'est apparemment le seul.
vues les multiples dérives de ce fil il devient difficile de comprendre
qui a dit quoi et sur quel sujet :-)
Le 16/10/2018 à 11:03, GhostRaider a écrit :Voilà, Jacques L'helgoualc'h a lu ce que j'ai écrit et l'a compris.
C'est apparemment le seul.
vues les multiples dérives de ce fil il devient difficile de comprendre
qui a dit quoi et sur quel sujet :-)
Par perte d'information pour un texte, tu veux évidemment dire, pertes
dues au codage des lettres qui ne sont plus représentées avec des
détails qui distinguent certaines des autres.
Par perte d'information pour un texte, tu veux évidemment dire, pertes
dues au codage des lettres qui ne sont plus représentées avec des
détails qui distinguent certaines des autres.
Par perte d'information pour un texte, tu veux évidemment dire, pertes
dues au codage des lettres qui ne sont plus représentées avec des
détails qui distinguent certaines des autres.
jdd :Le 16/10/2018 à 10:58, Den a écrit :Alf92 wrote:tu parles du codage de l'image d'un A
il parle du codage d'un A
<https://www.google.fr/imgres?imgurl=http://jetudielacom.com/wp-content/uploads/magritte_trahison.jpg&imgrefurl=https://jetudielacom.com/semiologie-la-trahison-des-images/&hq4&w00&tbnid=QvjuhLUv2DbAZM:&q=la+trahison+des+images+de+ren%C3%A9+magritte&tbnh0&tbnw"4&usg=AI4_-kSh4gXH0p0OJTZrpvbd7oRmgyDe0w&vet=1&docidaAHihXKmM1g3M&itg=1&sa=X&ved*hUKEwjzq6ndy4reAhWGesAKHRK4DWIQ_B0wEXoECAYQFA>
excellent, et excellente analyse, court extrait:
"Que nous dit la sémiologie : « Qu’il s’agisse d’une pipe, d’un soleil
couchant ou de mon beau visage, l’image n’est jamais le « réel ». On ne
peut même pas dire qu’elle reflète « le » réel, puisqu’elle ne peut
chaque fois qu’en refléter un reflet, à un moment donné.
Aussi « réaliste » que prétende être l’image d’un objet, aussi
spectaculaire que puisse nous sembler l’aspect phénoménal des choses
qu’on croit « saisir » en le photographiant, nous n’appréhendons chaque
fois qu’une apparence parmi une infinité d’autres, et ceci à un instant
précis parmi une infinité d’autres instants…
Même au pur plan visuel, même en n’en visant que la plus plate
reproduction, l’image ment toujours dans la mesure où elle sélectionne
une très infime partie du visible, où elle l’amplifie par ce simple
choix, et où elle cache du même coup tout ce qu’elle ne montre pas. »
chutttt chutttt !
si GR lit ça il va devenir dingue
jdd :
Le 16/10/2018 à 10:58, Den a écrit :
Alf92 wrote:
tu parles du codage de l'image d'un A
il parle du codage d'un A
<https://www.google.fr/imgres?imgurl=http://jetudielacom.com/wp-content/uploads/magritte_trahison.jpg&imgrefurl=https://jetudielacom.com/semiologie-la-trahison-des-images/&hq4&w00&tbnid=QvjuhLUv2DbAZM:&q=la+trahison+des+images+de+ren%C3%A9+magritte&tbnh0&tbnw"4&usg=AI4_-kSh4gXH0p0OJTZrpvbd7oRmgyDe0w&vet=1&docidaAHihXKmM1g3M&itg=1&sa=X&ved*hUKEwjzq6ndy4reAhWGesAKHRK4DWIQ_B0wEXoECAYQFA>
excellent, et excellente analyse, court extrait:
"Que nous dit la sémiologie : « Qu’il s’agisse d’une pipe, d’un soleil
couchant ou de mon beau visage, l’image n’est jamais le « réel ». On ne
peut même pas dire qu’elle reflète « le » réel, puisqu’elle ne peut
chaque fois qu’en refléter un reflet, à un moment donné.
Aussi « réaliste » que prétende être l’image d’un objet, aussi
spectaculaire que puisse nous sembler l’aspect phénoménal des choses
qu’on croit « saisir » en le photographiant, nous n’appréhendons chaque
fois qu’une apparence parmi une infinité d’autres, et ceci à un instant
précis parmi une infinité d’autres instants…
Même au pur plan visuel, même en n’en visant que la plus plate
reproduction, l’image ment toujours dans la mesure où elle sélectionne
une très infime partie du visible, où elle l’amplifie par ce simple
choix, et où elle cache du même coup tout ce qu’elle ne montre pas. »
chutttt chutttt !
si GR lit ça il va devenir dingue
jdd :Le 16/10/2018 à 10:58, Den a écrit :Alf92 wrote:tu parles du codage de l'image d'un A
il parle du codage d'un A
<https://www.google.fr/imgres?imgurl=http://jetudielacom.com/wp-content/uploads/magritte_trahison.jpg&imgrefurl=https://jetudielacom.com/semiologie-la-trahison-des-images/&hq4&w00&tbnid=QvjuhLUv2DbAZM:&q=la+trahison+des+images+de+ren%C3%A9+magritte&tbnh0&tbnw"4&usg=AI4_-kSh4gXH0p0OJTZrpvbd7oRmgyDe0w&vet=1&docidaAHihXKmM1g3M&itg=1&sa=X&ved*hUKEwjzq6ndy4reAhWGesAKHRK4DWIQ_B0wEXoECAYQFA>
excellent, et excellente analyse, court extrait:
"Que nous dit la sémiologie : « Qu’il s’agisse d’une pipe, d’un soleil
couchant ou de mon beau visage, l’image n’est jamais le « réel ». On ne
peut même pas dire qu’elle reflète « le » réel, puisqu’elle ne peut
chaque fois qu’en refléter un reflet, à un moment donné.
Aussi « réaliste » que prétende être l’image d’un objet, aussi
spectaculaire que puisse nous sembler l’aspect phénoménal des choses
qu’on croit « saisir » en le photographiant, nous n’appréhendons chaque
fois qu’une apparence parmi une infinité d’autres, et ceci à un instant
précis parmi une infinité d’autres instants…
Même au pur plan visuel, même en n’en visant que la plus plate
reproduction, l’image ment toujours dans la mesure où elle sélectionne
une très infime partie du visible, où elle l’amplifie par ce simple
choix, et où elle cache du même coup tout ce qu’elle ne montre pas. »
chutttt chutttt !
si GR lit ça il va devenir dingue
Voilà, c'est quand même plus clair.
Voilà, c'est quand même plus clair.
Voilà, c'est quand même plus clair.
L'encodage de la couleur est aussi arbiraire. Il utilise trois base RVB,
pourquoi pas CMYK ou mieux 5, 6, 7 couleurs ?
Non, c'est avoir plus de détails grâce la quantité de caractères
utilisables dans la même table.
L'encodage de la couleur est aussi arbiraire. Il utilise trois base RVB,
pourquoi pas CMYK ou mieux 5, 6, 7 couleurs ?
Non, c'est avoir plus de détails grâce la quantité de caractères
utilisables dans la même table.
L'encodage de la couleur est aussi arbiraire. Il utilise trois base RVB,
pourquoi pas CMYK ou mieux 5, 6, 7 couleurs ?
Non, c'est avoir plus de détails grâce la quantité de caractères
utilisables dans la même table.