[CNE] à la cour d'appel de Paris... comme à la cour d'appel de Bordeaux le 18 juin dernier
301 réponses
www.juristprudence.c.la
La Cour d'appel de Paris a aujourd'hui repris et développé l'argumentaire du
Conseil de Prudhommes de Longjumeau.
Tout d'abord, la Cour relève que "durant une période de 2 années, le CNE
prive le salarié de l'essentiel de ses droits en matière de licenciement" et
ramène ainsi tout salarié à une situation où la charge de la preuve de
l'abus de la rupture du contrat de travail lui incomberait ;
d'où ce commentaire acerbe, DANS L'ARRET de la Cour :
c'est "Une régression qui va à l'encontre des principes fondamentaux du
droit du travail, dégagés par la jurisprudence et reconnus par la loi [et]
prive les salariés des garanties d'exercice de leur droit au travail".
Ce n'est pas tout,
la Cour déplore ensuite la politique retenue par le gouvernement :
/ ... / "dans la lutte contre le chômage, la protection des salariés dans
leur emploi semble être un moyen au moins aussi pertinent que les facilités
données aux employeurs pour les licencier" et, donc dans ce contexte de CNE,
la Cour souligne "qu'il est pour le moins paradoxal d'encourager les
embauches en facilitant les licenciements".
La cour d'appel a logiquement considéré que le CNE ne pouvait qu'être
requalifié en CDI de droit commun.
Bernard, viser juste ? Il est bigleux comme pas deux !...
Mais que visait-il au juste ? " Effectivement, vous n'avez jamais géré d'entreprise... et très certainement rien d'autre."
Raté ! ;-)))
Mais je vous laisse en bonne compagnie...
Rick
Moisse
D'une plume alerte, dans le message 469364ed$0$15328$, ricazerty écrit:
La condescendance vous va bien M. Moisse !!!
Rick
J'ai pris note de vos progrès fulgurants en quelques semaines. N'est-ce pas vous qui indiquiez que certains bénévoles se battent pour ne pas perdre leur emploi ?? Faudrait leur proposer un CNE :-)
--
D'une plume alerte, dans le message
469364ed$0$15328$426a74cc@news.free.fr,
ricazerty <ricazerty@free.fr> écrit:
La condescendance vous va bien M. Moisse !!!
Rick
J'ai pris note de vos progrès fulgurants en quelques semaines.
N'est-ce pas vous qui indiquiez que certains bénévoles se battent pour
ne pas perdre leur emploi ??
Faudrait leur proposer un CNE
:-)
D'une plume alerte, dans le message 469364ed$0$15328$, ricazerty écrit:
La condescendance vous va bien M. Moisse !!!
Rick
J'ai pris note de vos progrès fulgurants en quelques semaines. N'est-ce pas vous qui indiquiez que certains bénévoles se battent pour ne pas perdre leur emploi ?? Faudrait leur proposer un CNE :-)
--
Moisse
D'une plume alerte, dans le message 4693872f$0$19507$, Pikatchu écrit:
Une entreprise dont l'activité dependrait de façon significative de la "commandes inopinées" et une entreprise soumise au marché et donc mal gérée, sinon pas gérée du tout, ce qui ne peut a terme qu'avoir des incidences fatales sur sa trésorerie et donc sa survie et donc potentiellement sur le poids financiers des impayés que fera porter le dirigeant de cette entreprise sur ses créanciers ainsi que sur la prise en charge par la communauté du reclassement ou de la survie des salariés qui auront été licenciés et parfois non payés d'un certain nombre de mois de salaires.
Tous les hotels, restaurants fonctionnent ainsi. Bien sûr certains ont des réservations à moyen voire long terme. D'ou la pratique du surbooking. Les transporteurs routiers ont une visibilité d'une semaine au plus, mais une grande partie du fret est commandé la veille pour le lendemain. Il sont donc un portefeuille de clients sans exclusivité, mais pas de carnet de commandes comme vous pourriez le penser. Au mieux des prévisions à 8 jours. Pour pallier à ce défaut de visibilité il a fallu inventer les échanges de fret et les bourses correspondantes. A+
--
D'une plume alerte, dans le message
4693872f$0$19507$79c14f64@nan-newsreader-06.noos.net,
Pikatchu <pikatchu@pika.fr> écrit:
Une entreprise dont l'activité dependrait de façon significative de la
"commandes inopinées" et une entreprise soumise au marché et donc mal
gérée, sinon pas gérée du tout, ce qui ne peut a terme qu'avoir des
incidences fatales sur sa trésorerie et donc sa survie et donc
potentiellement sur le poids financiers des impayés que fera porter
le dirigeant de cette entreprise sur ses créanciers ainsi que sur la
prise en charge par la communauté du reclassement ou de la survie des
salariés qui auront été licenciés et parfois non payés d'un certain
nombre de mois de salaires.
Tous les hotels, restaurants fonctionnent ainsi.
Bien sûr certains ont des réservations à moyen voire long terme. D'ou la
pratique du surbooking.
Les transporteurs routiers ont une visibilité d'une semaine au plus,
mais une grande partie du fret est commandé la veille pour le lendemain.
Il sont donc un portefeuille de clients sans exclusivité, mais pas de
carnet de commandes comme vous pourriez le penser.
Au mieux des prévisions à 8 jours.
Pour pallier à ce défaut de visibilité il a fallu inventer les échanges
de fret et les bourses correspondantes.
A+
D'une plume alerte, dans le message 4693872f$0$19507$, Pikatchu écrit:
Une entreprise dont l'activité dependrait de façon significative de la "commandes inopinées" et une entreprise soumise au marché et donc mal gérée, sinon pas gérée du tout, ce qui ne peut a terme qu'avoir des incidences fatales sur sa trésorerie et donc sa survie et donc potentiellement sur le poids financiers des impayés que fera porter le dirigeant de cette entreprise sur ses créanciers ainsi que sur la prise en charge par la communauté du reclassement ou de la survie des salariés qui auront été licenciés et parfois non payés d'un certain nombre de mois de salaires.
Tous les hotels, restaurants fonctionnent ainsi. Bien sûr certains ont des réservations à moyen voire long terme. D'ou la pratique du surbooking. Les transporteurs routiers ont une visibilité d'une semaine au plus, mais une grande partie du fret est commandé la veille pour le lendemain. Il sont donc un portefeuille de clients sans exclusivité, mais pas de carnet de commandes comme vous pourriez le penser. Au mieux des prévisions à 8 jours. Pour pallier à ce défaut de visibilité il a fallu inventer les échanges de fret et les bourses correspondantes. A+
--
ricazerty
"Bernard"/"Ricazerty"
Quelle est ta définition non dogmatique de la productivité?
Productivité = production / cout de production
Ca c'est la productivité du capital. La productivité du travail c'est production/temps
Dans notre contexte c'est de la productivité du travail dont il s'agit et dans la démarche systémique que toute politique sérieuse se doit d'avoir, le facteur temps est à élargir à l'échelle de la population en évaluant les coûts sociaux.
Rick
"Bernard"/"Ricazerty"
Quelle est ta définition non dogmatique de la productivité?
Productivité = production / cout de production
Ca c'est la productivité du capital.
La productivité du travail c'est production/temps
Dans notre contexte c'est de la productivité du travail dont
il s'agit et dans la démarche systémique que toute politique
sérieuse se doit d'avoir, le facteur temps est à élargir à
l'échelle de la population en évaluant les coûts sociaux.
Quelle est ta définition non dogmatique de la productivité?
Productivité = production / cout de production
Ca c'est la productivité du capital. La productivité du travail c'est production/temps
Dans notre contexte c'est de la productivité du travail dont il s'agit et dans la démarche systémique que toute politique sérieuse se doit d'avoir, le facteur temps est à élargir à l'échelle de la population en évaluant les coûts sociaux.
Rick
ricazerty
"Bernard"/"Ricazerty"
Mais en fait la réduction des horaires a une tendance importante, càd que l'on retrouve presque systématiquement dans les cas concrets, à augmenter la productivité. Il y a une série de facteurs qui expliquent cela par exemple dans de nombreuses activités, les premières heures travaillées sont les plus efficaces, la fatigue rendant les dernières moins productives, la conscience de disposer de moins de temps par semaine incite à mieux s'organiser pour rendre le travail plus productives, etc.
Cela fait parti des arguments falacieux autant que stupide pour faire passer une loi démagogique : "Baisser le temps de travail et vous gagnerez en productivité".
Productivité du travail = production/temps "les premières heures travaillées sont les plus efficaces la fatigue rendant les dernières moins productives". Ce qui signifie que moins de temps travaillé = moins de fatigue plus de productivité. CQFD!
La réalité est inverse,
Mais oui mais oui !...
Rick
"Bernard"/"Ricazerty"
Mais en fait la réduction des horaires a une tendance importante, càd que
l'on retrouve presque systématiquement dans les cas concrets, à augmenter
la productivité. Il y a une série de facteurs qui expliquent cela par
exemple dans de nombreuses activités, les premières heures travaillées
sont les plus efficaces, la fatigue rendant les dernières moins
productives, la conscience de disposer de moins de temps par semaine
incite à mieux s'organiser pour rendre le travail plus productives, etc.
Cela fait parti des arguments falacieux autant que stupide pour faire
passer une loi démagogique :
"Baisser le temps de travail et vous gagnerez en productivité".
Productivité du travail = production/temps
"les premières heures travaillées sont les plus efficaces
la fatigue rendant les dernières moins productives".
Ce qui signifie que moins de temps travaillé = moins de fatigue plus de productivité. CQFD!
Mais en fait la réduction des horaires a une tendance importante, càd que l'on retrouve presque systématiquement dans les cas concrets, à augmenter la productivité. Il y a une série de facteurs qui expliquent cela par exemple dans de nombreuses activités, les premières heures travaillées sont les plus efficaces, la fatigue rendant les dernières moins productives, la conscience de disposer de moins de temps par semaine incite à mieux s'organiser pour rendre le travail plus productives, etc.
Cela fait parti des arguments falacieux autant que stupide pour faire passer une loi démagogique : "Baisser le temps de travail et vous gagnerez en productivité".
Productivité du travail = production/temps "les premières heures travaillées sont les plus efficaces la fatigue rendant les dernières moins productives". Ce qui signifie que moins de temps travaillé = moins de fatigue plus de productivité. CQFD!
La réalité est inverse,
Mais oui mais oui !...
Rick
Pikatchu
"Moisse" a écrit dans le message de news:469397ce$0$9694$
D'une plume alerte, dans le message 4693872f$0$19507$, Pikatchu écrit:
Une entreprise dont l'activité dependrait de façon significative de la "commandes inopinées" et une entreprise soumise au marché et donc mal gérée, sinon pas gérée du tout, ce qui ne peut a terme qu'avoir des incidences fatales sur sa trésorerie et donc sa survie et donc potentiellement sur le poids financiers des impayés que fera porter le dirigeant de cette entreprise sur ses créanciers ainsi que sur la prise en charge par la communauté du reclassement ou de la survie des salariés qui auront été licenciés et parfois non payés d'un certain nombre de mois de salaires.
Tous les hotels, restaurants fonctionnent ainsi. Bien sûr certains ont des réservations à moyen voire long terme. D'ou la pratique du surbooking. Les transporteurs routiers ont une visibilité d'une semaine au plus, mais une grande partie du fret est commandé la veille pour le lendemain. Il sont donc un portefeuille de clients sans exclusivité, mais pas de carnet de commandes comme vous pourriez le penser. Au mieux des prévisions à 8 jours. Pour pallier à ce défaut de visibilité il a fallu inventer les échanges de fret et les bourses correspondantes. A+
Concernant l'hotellerie et la restauration bien évidemment, mais cela reléve du fonctionnement normal de ces activités qui ont donc un cycle de production jour et aussi une trésorerie jour. Cela doit se traduire par une organisation de gestion correspondante mais en terme de stratégie cela rends pas cette activité particuliére ou différente des autres,
la possibilité et surtout la nécessité d'une stratégie demeure et reside dans l'action commerciale et le travail de l'offre
concernant la "flexibilité" de l'emploi ils ne manquent de rien sauf de prétendants aux emplois en question à la fois compte tenu des horaires mais surtout des abus de toutes natures y compris de droit bien connus, exercés par la quasi totalité des employeurs de cette profession.
Concernant les transporteurs je ne peut me prononcer c'est une activité que je connais mal mais il m'étonnerais que la situation que vous exposez soit celle de la totalité d'entre eux. Il doit aussi dans cette activité exister des contrats clients ainsi que des clients qui gérent leurs transports selon des cycles de production ou d'approvisionnement sauf à ce que leurs clients soient eux aussi dans le cadre d'une gestion libre de leur activité.
Par ailleurs une diversification soit de la clientéle soit de l'activité et des services proposés de l'entreprise peut aussi faire l'objet d'une stratégie. Cela suppose des investissement qui reposent sur la capacité financiére ou a convaincre du bien fondée de la stratégie et pas de la facilité de licenciement.
Dans ce cas la situation est plus grave que l'on pouvait l'imaginer car cela signifierait que de trés nombreuses entreprises sont livrées à elle même et qu'il serait temps d'y mettre des chef d'entreprises professionnels et experimentés.
cela dit je ne doutes pas que certain transporteurs soient dans cette situation, la question se posant alors, si la survie de l'entreprise est trop aléatoire, d'une decision de saine gestion d'arreter l'activité.
Cela est aussi de la gestion.
"Moisse" <moisse@douteifrance.com> a écrit dans le message de
news:469397ce$0$9694$426a34cc@news.free.fr...
D'une plume alerte, dans le message
4693872f$0$19507$79c14f64@nan-newsreader-06.noos.net,
Pikatchu <pikatchu@pika.fr> écrit:
Une entreprise dont l'activité dependrait de façon significative de la
"commandes inopinées" et une entreprise soumise au marché et donc mal
gérée, sinon pas gérée du tout, ce qui ne peut a terme qu'avoir des
incidences fatales sur sa trésorerie et donc sa survie et donc
potentiellement sur le poids financiers des impayés que fera porter
le dirigeant de cette entreprise sur ses créanciers ainsi que sur la
prise en charge par la communauté du reclassement ou de la survie des
salariés qui auront été licenciés et parfois non payés d'un certain
nombre de mois de salaires.
Tous les hotels, restaurants fonctionnent ainsi.
Bien sûr certains ont des réservations à moyen voire long terme. D'ou la
pratique du surbooking.
Les transporteurs routiers ont une visibilité d'une semaine au plus, mais
une grande partie du fret est commandé la veille pour le lendemain.
Il sont donc un portefeuille de clients sans exclusivité, mais pas de
carnet de commandes comme vous pourriez le penser.
Au mieux des prévisions à 8 jours.
Pour pallier à ce défaut de visibilité il a fallu inventer les échanges de
fret et les bourses correspondantes.
A+
Concernant l'hotellerie et la restauration bien évidemment, mais cela reléve
du fonctionnement normal de ces activités qui ont donc un cycle de
production jour et aussi une trésorerie jour. Cela doit se traduire par une
organisation de gestion correspondante mais en terme de stratégie cela rends
pas cette activité particuliére ou différente des autres,
la possibilité et surtout la nécessité d'une stratégie demeure et reside
dans l'action commerciale et le travail de l'offre
concernant la "flexibilité" de l'emploi ils ne manquent de rien sauf de
prétendants aux emplois en question à la fois compte tenu des horaires mais
surtout des abus de toutes natures y compris de droit bien connus, exercés
par la quasi totalité des employeurs de cette profession.
Concernant les transporteurs je ne peut me prononcer c'est une activité que
je connais mal mais il m'étonnerais que la situation que vous exposez soit
celle de la totalité d'entre eux. Il doit aussi dans cette activité exister
des contrats clients ainsi que des clients qui gérent leurs transports selon
des cycles de production ou d'approvisionnement sauf à ce que leurs clients
soient eux aussi dans le cadre d'une gestion libre de leur activité.
Par ailleurs une diversification soit de la clientéle soit de l'activité et
des services proposés de l'entreprise peut aussi faire l'objet d'une
stratégie. Cela suppose des investissement qui reposent sur la capacité
financiére ou a convaincre du bien fondée de la stratégie et pas de la
facilité de licenciement.
Dans ce cas la situation est plus grave que l'on pouvait l'imaginer car cela
signifierait que de trés nombreuses entreprises sont livrées à elle même et
qu'il serait temps d'y mettre des chef d'entreprises professionnels et
experimentés.
cela dit je ne doutes pas que certain transporteurs soient dans cette
situation, la question se posant alors, si la survie de l'entreprise est
trop aléatoire, d'une decision de saine gestion d'arreter l'activité.
"Moisse" a écrit dans le message de news:469397ce$0$9694$
D'une plume alerte, dans le message 4693872f$0$19507$, Pikatchu écrit:
Une entreprise dont l'activité dependrait de façon significative de la "commandes inopinées" et une entreprise soumise au marché et donc mal gérée, sinon pas gérée du tout, ce qui ne peut a terme qu'avoir des incidences fatales sur sa trésorerie et donc sa survie et donc potentiellement sur le poids financiers des impayés que fera porter le dirigeant de cette entreprise sur ses créanciers ainsi que sur la prise en charge par la communauté du reclassement ou de la survie des salariés qui auront été licenciés et parfois non payés d'un certain nombre de mois de salaires.
Tous les hotels, restaurants fonctionnent ainsi. Bien sûr certains ont des réservations à moyen voire long terme. D'ou la pratique du surbooking. Les transporteurs routiers ont une visibilité d'une semaine au plus, mais une grande partie du fret est commandé la veille pour le lendemain. Il sont donc un portefeuille de clients sans exclusivité, mais pas de carnet de commandes comme vous pourriez le penser. Au mieux des prévisions à 8 jours. Pour pallier à ce défaut de visibilité il a fallu inventer les échanges de fret et les bourses correspondantes. A+
Concernant l'hotellerie et la restauration bien évidemment, mais cela reléve du fonctionnement normal de ces activités qui ont donc un cycle de production jour et aussi une trésorerie jour. Cela doit se traduire par une organisation de gestion correspondante mais en terme de stratégie cela rends pas cette activité particuliére ou différente des autres,
la possibilité et surtout la nécessité d'une stratégie demeure et reside dans l'action commerciale et le travail de l'offre
concernant la "flexibilité" de l'emploi ils ne manquent de rien sauf de prétendants aux emplois en question à la fois compte tenu des horaires mais surtout des abus de toutes natures y compris de droit bien connus, exercés par la quasi totalité des employeurs de cette profession.
Concernant les transporteurs je ne peut me prononcer c'est une activité que je connais mal mais il m'étonnerais que la situation que vous exposez soit celle de la totalité d'entre eux. Il doit aussi dans cette activité exister des contrats clients ainsi que des clients qui gérent leurs transports selon des cycles de production ou d'approvisionnement sauf à ce que leurs clients soient eux aussi dans le cadre d'une gestion libre de leur activité.
Par ailleurs une diversification soit de la clientéle soit de l'activité et des services proposés de l'entreprise peut aussi faire l'objet d'une stratégie. Cela suppose des investissement qui reposent sur la capacité financiére ou a convaincre du bien fondée de la stratégie et pas de la facilité de licenciement.
Dans ce cas la situation est plus grave que l'on pouvait l'imaginer car cela signifierait que de trés nombreuses entreprises sont livrées à elle même et qu'il serait temps d'y mettre des chef d'entreprises professionnels et experimentés.
cela dit je ne doutes pas que certain transporteurs soient dans cette situation, la question se posant alors, si la survie de l'entreprise est trop aléatoire, d'une decision de saine gestion d'arreter l'activité.
Cela est aussi de la gestion.
Bernard
>>> Quelle est ta définition non dogmatique de la productivité?
Productivité = production / cout de production
Ca c'est la productivité du capital. La productivité du travail c'est production/temps
Dans notre contexte c'est de la productivité du travail dont il s'agit et dans la démarche systémique que toute politique sérieuse se doit d'avoir, le facteur temps est à élargir à l'échelle de la population en évaluant les coûts sociaux.
Oui, mais pas le temps de présence, le temps "homme", le temps calendaire ce qui revient au même que le cout de production. Or, en augmentant les congés, vous alongez la durée de production, et donc perdez en productivité.
>>> Quelle est ta définition non dogmatique de la productivité?
Productivité = production / cout de production
Ca c'est la productivité du capital.
La productivité du travail c'est production/temps
Dans notre contexte c'est de la productivité du travail dont
il s'agit et dans la démarche systémique que toute politique
sérieuse se doit d'avoir, le facteur temps est à élargir à
l'échelle de la population en évaluant les coûts sociaux.
Oui, mais pas le temps de présence, le temps "homme", le temps calendaire ce
qui revient au même que le cout de production.
Or, en augmentant les congés, vous alongez la durée de production, et donc
perdez en productivité.
>>> Quelle est ta définition non dogmatique de la productivité?
Productivité = production / cout de production
Ca c'est la productivité du capital. La productivité du travail c'est production/temps
Dans notre contexte c'est de la productivité du travail dont il s'agit et dans la démarche systémique que toute politique sérieuse se doit d'avoir, le facteur temps est à élargir à l'échelle de la population en évaluant les coûts sociaux.
Oui, mais pas le temps de présence, le temps "homme", le temps calendaire ce qui revient au même que le cout de production. Or, en augmentant les congés, vous alongez la durée de production, et donc perdez en productivité.
ricazerty
"Moisse"/"Ricazerty"
J'ai pris note de vos progrès fulgurants en quelques semaines. N'est-ce pas vous qui indiquiez que certains bénévoles se battent pour ne pas perdre leur emploi ?? Faudrait leur proposer un CNE :-)
J'ai encore vu mieux fin juin: un bénévole réclamer une semaine durant parce qu'il lui manquait une heure de travail sur son timing.
Y a des jours !... ^_^ Mais croyez-vous vraiment que la chose soit courante ?
Rick
"Moisse"/"Ricazerty"
J'ai pris note de vos progrès fulgurants en quelques semaines.
N'est-ce pas vous qui indiquiez que certains bénévoles se battent pour ne
pas perdre leur emploi ??
Faudrait leur proposer un CNE
:-)
J'ai encore vu mieux fin juin:
un bénévole réclamer une semaine durant parce qu'il
lui manquait une heure de travail sur son timing.
Y a des jours !... ^_^
Mais croyez-vous vraiment que la chose soit courante ?
J'ai pris note de vos progrès fulgurants en quelques semaines. N'est-ce pas vous qui indiquiez que certains bénévoles se battent pour ne pas perdre leur emploi ?? Faudrait leur proposer un CNE :-)
J'ai encore vu mieux fin juin: un bénévole réclamer une semaine durant parce qu'il lui manquait une heure de travail sur son timing.
Y a des jours !... ^_^ Mais croyez-vous vraiment que la chose soit courante ?
Rick
Bernard
> Productivité du travail = production/temps "les premières heures travaillées sont les plus efficaces la fatigue rendant les dernières moins productives". Ce qui signifie que moins de temps travaillé = moins de fatigue > plus de productivité. CQFD!
Démonstration par l'absurde : va-t'on faire des journées de 4h pour augmenter la productivité ?
Une des premières préocupation de tout dirigeant d'entreprise, c'est d'abaisser le cout du mois/homme.
C'est parcequ'un dirigeant ne compte pas le temps de présence dans le calcul de productivité, mais le temps calendaire. En réalité il divise la valeur produite par la somme dépensée pour l'obtenir.
Vous vous contentez d'un calcul théorique enseigné en cour de seconde "ES" et vous vous bercez d'illusion.
Concernant cette histoire de productivité décroissante en court de journée, là encore, c'est n'importe quoi. En tout cas, ce n'est pas quantifée, juste qualifiée.
> Productivité du travail = production/temps
"les premières heures travaillées sont les plus efficaces
la fatigue rendant les dernières moins productives".
Ce qui signifie que moins de temps travaillé = moins de fatigue > plus de productivité. CQFD!
Démonstration par l'absurde : va-t'on faire des journées de 4h pour
augmenter la productivité ?
Une des premières préocupation de tout dirigeant d'entreprise, c'est
d'abaisser le cout du mois/homme.
C'est parcequ'un dirigeant ne compte pas le temps de présence dans le calcul
de productivité, mais le temps calendaire. En réalité il divise la valeur
produite par la somme dépensée pour l'obtenir.
Vous vous contentez d'un calcul théorique enseigné en cour de seconde "ES"
et vous vous bercez d'illusion.
Concernant cette histoire de productivité décroissante en court de journée,
là encore, c'est n'importe quoi. En tout cas, ce n'est pas quantifée, juste
qualifiée.
> Productivité du travail = production/temps "les premières heures travaillées sont les plus efficaces la fatigue rendant les dernières moins productives". Ce qui signifie que moins de temps travaillé = moins de fatigue > plus de productivité. CQFD!
Démonstration par l'absurde : va-t'on faire des journées de 4h pour augmenter la productivité ?
Une des premières préocupation de tout dirigeant d'entreprise, c'est d'abaisser le cout du mois/homme.
C'est parcequ'un dirigeant ne compte pas le temps de présence dans le calcul de productivité, mais le temps calendaire. En réalité il divise la valeur produite par la somme dépensée pour l'obtenir.
Vous vous contentez d'un calcul théorique enseigné en cour de seconde "ES" et vous vous bercez d'illusion.
Concernant cette histoire de productivité décroissante en court de journée, là encore, c'est n'importe quoi. En tout cas, ce n'est pas quantifée, juste qualifiée.
Moisse
D'une plume alerte, dans le message 4693a380$0$19174$, ricazerty écrit:
"Moisse"/"Ricazerty"
J'ai pris note de vos progrès fulgurants en quelques semaines. N'est-ce pas vous qui indiquiez que certains bénévoles se battent pour ne pas perdre leur emploi ?? Faudrait leur proposer un CNE :-)
J'ai encore vu mieux fin juin: un bénévole réclamer une semaine durant parce qu'il lui manquait une heure de travail sur son timing.
Y a des jours !... ^_^ Mais croyez-vous vraiment que la chose soit courante ?
Rick
Alors là effectivement ce n'est pas ordinaire. Quand j'étais jeune les filles du quartier se battaient pour faire mon ménage. Cela n'a pas duré malheureusement. Non pas que j'ai changé, c'est elles qui ont changé. :-)
--
D'une plume alerte, dans le message
4693a380$0$19174$426a74cc@news.free.fr,
ricazerty <ricazerty@free.fr> écrit:
"Moisse"/"Ricazerty"
J'ai pris note de vos progrès fulgurants en quelques semaines.
N'est-ce pas vous qui indiquiez que certains bénévoles se battent
pour ne pas perdre leur emploi ??
Faudrait leur proposer un CNE
:-)
J'ai encore vu mieux fin juin:
un bénévole réclamer une semaine durant parce qu'il
lui manquait une heure de travail sur son timing.
Y a des jours !... ^_^
Mais croyez-vous vraiment que la chose soit courante ?
Rick
Alors là effectivement ce n'est pas ordinaire.
Quand j'étais jeune les filles du quartier se battaient pour faire mon
ménage.
Cela n'a pas duré malheureusement.
Non pas que j'ai changé, c'est elles qui ont changé.
:-)
D'une plume alerte, dans le message 4693a380$0$19174$, ricazerty écrit:
"Moisse"/"Ricazerty"
J'ai pris note de vos progrès fulgurants en quelques semaines. N'est-ce pas vous qui indiquiez que certains bénévoles se battent pour ne pas perdre leur emploi ?? Faudrait leur proposer un CNE :-)
J'ai encore vu mieux fin juin: un bénévole réclamer une semaine durant parce qu'il lui manquait une heure de travail sur son timing.
Y a des jours !... ^_^ Mais croyez-vous vraiment que la chose soit courante ?
Rick
Alors là effectivement ce n'est pas ordinaire. Quand j'étais jeune les filles du quartier se battaient pour faire mon ménage. Cela n'a pas duré malheureusement. Non pas que j'ai changé, c'est elles qui ont changé. :-)