[CNE] à la cour d'appel de Paris... comme à la cour d'appel de Bordeaux le 18 juin dernier
301 réponses
www.juristprudence.c.la
La Cour d'appel de Paris a aujourd'hui repris et développé l'argumentaire du
Conseil de Prudhommes de Longjumeau.
Tout d'abord, la Cour relève que "durant une période de 2 années, le CNE
prive le salarié de l'essentiel de ses droits en matière de licenciement" et
ramène ainsi tout salarié à une situation où la charge de la preuve de
l'abus de la rupture du contrat de travail lui incomberait ;
d'où ce commentaire acerbe, DANS L'ARRET de la Cour :
c'est "Une régression qui va à l'encontre des principes fondamentaux du
droit du travail, dégagés par la jurisprudence et reconnus par la loi [et]
prive les salariés des garanties d'exercice de leur droit au travail".
Ce n'est pas tout,
la Cour déplore ensuite la politique retenue par le gouvernement :
/ ... / "dans la lutte contre le chômage, la protection des salariés dans
leur emploi semble être un moyen au moins aussi pertinent que les facilités
données aux employeurs pour les licencier" et, donc dans ce contexte de CNE,
la Cour souligne "qu'il est pour le moins paradoxal d'encourager les
embauches en facilitant les licenciements".
La cour d'appel a logiquement considéré que le CNE ne pouvait qu'être
requalifié en CDI de droit commun.
On a bien compris que vous êtes dans une logique de lutte des classes. Ceci fausse considérablement votre raisonnement. Créez une entreprise, avec, disons, 20 ou 30 salariés et reliez ensuite vos propos...
Mais ne vous méprenez pas, ce que vous prenez pour de l'ironie n'est autre que l'expression du profond dégoût que vos cyniques présomptions m'inspirent. On réalise à vous lire le chemin qui reste à parcourir pour réconcilier employeurs et employés et ce n'est certes pas vous qui le raccourcirez.
On a bien compris que vous êtes dans une logique de lutte des classes.
Ceci fausse considérablement votre raisonnement.
Créez une entreprise, avec, disons, 20 ou 30 salariés et reliez ensuite vos
propos...
Mais ne vous méprenez pas, ce que vous prenez pour de
l'ironie n'est autre que l'expression du profond dégoût que
vos cyniques présomptions m'inspirent. On réalise à vous
lire le chemin qui reste à parcourir pour réconcilier
employeurs et employés et ce n'est certes pas vous qui le
raccourcirez.
On a bien compris que vous êtes dans une logique de lutte des classes. Ceci fausse considérablement votre raisonnement. Créez une entreprise, avec, disons, 20 ou 30 salariés et reliez ensuite vos propos...
Mais ne vous méprenez pas, ce que vous prenez pour de l'ironie n'est autre que l'expression du profond dégoût que vos cyniques présomptions m'inspirent. On réalise à vous lire le chemin qui reste à parcourir pour réconcilier employeurs et employés et ce n'est certes pas vous qui le raccourcirez.
ricazerty
"Bernard"/"Ricazerty"
Quelle est ta définition non dogmatique de la productivité?
Productivité = production / cout de production
Ca c'est la productivité du capital. La productivité du travail c'est production/temps
Dans notre contexte c'est de la productivité du travail dont il s'agit et dans la démarche systémique que toute politique sérieuse se doit d'avoir, le facteur temps est à élargir à l'échelle de la population en évaluant les coûts sociaux.
Oui, mais pas le temps de présence, le temps "homme", le temps calendaire ce qui revient au même que le cout de production. Or, en augmentant les congés, vous alongez la durée de production, et donc perdez en productivité.
La durée de production n'est en rien allongée puisque plus de gens travaillent moins longtemps sur un total équivalent d'heures. Plus de gens = moins de chômeurs = coût social moindre. Moins de travail/pers. = moins de fatigue = + de productivité/trav.
Rick
"Bernard"/"Ricazerty"
Quelle est ta définition non dogmatique de la productivité?
Productivité = production / cout de production
Ca c'est la productivité du capital.
La productivité du travail c'est production/temps
Dans notre contexte c'est de la productivité du travail dont
il s'agit et dans la démarche systémique que toute politique
sérieuse se doit d'avoir, le facteur temps est à élargir à
l'échelle de la population en évaluant les coûts sociaux.
Oui, mais pas le temps de présence, le temps "homme", le temps
calendaire ce qui revient au même que le cout de production.
Or, en augmentant les congés, vous alongez la durée de
production, et donc perdez en productivité.
La durée de production n'est en rien allongée puisque plus de gens
travaillent moins longtemps sur un total équivalent d'heures.
Plus de gens = moins de chômeurs = coût social moindre.
Moins de travail/pers. = moins de fatigue = + de productivité/trav.
Quelle est ta définition non dogmatique de la productivité?
Productivité = production / cout de production
Ca c'est la productivité du capital. La productivité du travail c'est production/temps
Dans notre contexte c'est de la productivité du travail dont il s'agit et dans la démarche systémique que toute politique sérieuse se doit d'avoir, le facteur temps est à élargir à l'échelle de la population en évaluant les coûts sociaux.
Oui, mais pas le temps de présence, le temps "homme", le temps calendaire ce qui revient au même que le cout de production. Or, en augmentant les congés, vous alongez la durée de production, et donc perdez en productivité.
La durée de production n'est en rien allongée puisque plus de gens travaillent moins longtemps sur un total équivalent d'heures. Plus de gens = moins de chômeurs = coût social moindre. Moins de travail/pers. = moins de fatigue = + de productivité/trav.
Rick
ricazerty
"Bernard"/"Ricazerty"
Vous vous contentez d'un calcul théorique enseigné en cour de seconde "ES" et vous vous bercez d'illusion.
Votre problème c'est que vous n'atteignez même pas ce niveau !
"Bernard"/"Ricazerty"
Vous vous contentez d'un calcul théorique enseigné en cour de seconde "ES"
et vous vous bercez d'illusion.
Votre problème c'est que vous n'atteignez même pas ce niveau !
Vous vous contentez d'un calcul théorique enseigné en cour de seconde "ES" et vous vous bercez d'illusion.
Votre problème c'est que vous n'atteignez même pas ce niveau !
Moisse
D'une plume alerte, dans le message 4693a0fd$0$19502$, Pikatchu écrit:
"Moisse" a écrit dans le message de news:469397ce$0$9694$
D'une plume alerte, dans le message 4693872f$0$19507$, Pikatchu écrit:
Concernant les transporteurs je ne peut me prononcer c'est une activité que je connais mal mais il m'étonnerais que la situation que vous exposez soit celle de la totalité d'entre eux. Il doit aussi dans cette activité exister des contrats clients ainsi que des clients qui gérent leurs transports selon des cycles de production ou d'approvisionnement sauf à ce que leurs clients soient eux aussi dans le cadre d'une gestion libre de leur activité.
Bien sûr qu'il existe des contrats clients. Avec ou sasn exclusivité -cas général -, mais ce n'est pas pour autant que la planification soit aussi fine que vous le pensez. J'ai débuté dans la PME pour finir dans une word companie. C'est le même problème pour tous, contrats ou pas. Tiens un exemple : la météo annonce de l'ensoleillement général ==> la demande de produits surgelés, cremes, glaces..est multipliée par 10 en une seule journée. Et la demande de transport évolue de la même façon. Les industriels ont des stocks et lissent donc la production. Le transporteur n'a pas une production stockable, et recours donc à l'affrêtement, ou fait parfois des choix.
Par ailleurs une diversification soit de la clientéle soit de l'activité et des services proposés de l'entreprise peut aussi faire l'objet d'une stratégie. Cela suppose des investissement qui reposent sur la capacité financiére ou a convaincre du bien fondée de la stratégie et pas de la facilité de licenciement.
Quand on veut faire tout, on y arrive et on fait tout mal. C'est pour cela que les transporteurs ont spécialisé leurs offres de services, car ceux sont des métiers bien différents que de transporter des chevaux, des machines-outils, des patates ou des pizzas surgelées.
Dans ce cas la situation est plus grave que l'on pouvait l'imaginer car cela signifierait que de trés nombreuses entreprises sont livrées à elle même et qu'il serait temps d'y mettre des chef d'entreprises professionnels et experimentés.
On en cherche. Proposez-vous et quittez le métier - petit boulot - que je crois être le vôtre.
cela dit je ne doutes pas que certain transporteurs soient dans cette situation, la question se posant alors, si la survie de l'entreprise est trop aléatoire, d'une decision de saine gestion d'arreter l'activité. Cela est aussi de la gestion.
Compte tenu de la faible visibilité, des aléas, la gestion d'un centre de profit dans cette profession n'est pas à la portée de tout le monde. Et on y désarme rarement, on disparait du paysage et c'est tout, même si on a assisté ces dernières années à des retraits retentissants, surtout d'anglo-saxons. A+
--
D'une plume alerte, dans le message
4693a0fd$0$19502$79c14f64@nan-newsreader-06.noos.net,
Pikatchu <pikatchu@pika.fr> écrit:
"Moisse" <moisse@douteifrance.com> a écrit dans le message de
news:469397ce$0$9694$426a34cc@news.free.fr...
D'une plume alerte, dans le message
4693872f$0$19507$79c14f64@nan-newsreader-06.noos.net,
Pikatchu <pikatchu@pika.fr> écrit:
Concernant les transporteurs je ne peut me prononcer c'est une
activité que je connais mal mais il m'étonnerais que la situation que
vous exposez soit celle de la totalité d'entre eux. Il doit aussi
dans cette activité exister des contrats clients ainsi que des
clients qui gérent leurs transports selon des cycles de production ou
d'approvisionnement sauf à ce que leurs clients soient eux aussi dans
le cadre d'une gestion libre de leur activité.
Bien sûr qu'il existe des contrats clients. Avec ou sasn
exclusivité -cas général -, mais ce n'est pas pour autant que la
planification soit aussi fine que vous le pensez.
J'ai débuté dans la PME pour finir dans une word companie.
C'est le même problème pour tous, contrats ou pas.
Tiens un exemple : la météo annonce de l'ensoleillement général ==> la
demande de produits surgelés, cremes, glaces..est multipliée par 10 en
une seule journée.
Et la demande de transport évolue de la même façon.
Les industriels ont des stocks et lissent donc la production.
Le transporteur n'a pas une production stockable, et recours donc à
l'affrêtement, ou fait parfois des choix.
Par ailleurs une diversification soit de la clientéle soit de
l'activité et des services proposés de l'entreprise peut aussi faire
l'objet d'une stratégie. Cela suppose des investissement qui reposent
sur la capacité financiére ou a convaincre du bien fondée de la
stratégie et pas de la facilité de licenciement.
Quand on veut faire tout, on y arrive et on fait tout mal. C'est pour
cela que les transporteurs ont spécialisé leurs offres de services, car
ceux sont des métiers bien différents que de transporter des chevaux,
des machines-outils, des patates ou des pizzas surgelées.
Dans ce cas la situation est plus grave que l'on pouvait l'imaginer
car cela signifierait que de trés nombreuses entreprises sont livrées
à elle même et qu'il serait temps d'y mettre des chef d'entreprises
professionnels et experimentés.
On en cherche. Proposez-vous et quittez le métier - petit boulot - que
je crois être le vôtre.
cela dit je ne doutes pas que certain transporteurs soient dans cette
situation, la question se posant alors, si la survie de l'entreprise
est trop aléatoire, d'une decision de saine gestion d'arreter
l'activité.
Cela est aussi de la gestion.
Compte tenu de la faible visibilité, des aléas, la gestion d'un centre
de profit dans cette profession n'est pas à la portée de tout le monde.
Et on y désarme rarement, on disparait du paysage et c'est tout, même si
on a assisté ces dernières années à des retraits retentissants, surtout
d'anglo-saxons.
A+
D'une plume alerte, dans le message 4693a0fd$0$19502$, Pikatchu écrit:
"Moisse" a écrit dans le message de news:469397ce$0$9694$
D'une plume alerte, dans le message 4693872f$0$19507$, Pikatchu écrit:
Concernant les transporteurs je ne peut me prononcer c'est une activité que je connais mal mais il m'étonnerais que la situation que vous exposez soit celle de la totalité d'entre eux. Il doit aussi dans cette activité exister des contrats clients ainsi que des clients qui gérent leurs transports selon des cycles de production ou d'approvisionnement sauf à ce que leurs clients soient eux aussi dans le cadre d'une gestion libre de leur activité.
Bien sûr qu'il existe des contrats clients. Avec ou sasn exclusivité -cas général -, mais ce n'est pas pour autant que la planification soit aussi fine que vous le pensez. J'ai débuté dans la PME pour finir dans une word companie. C'est le même problème pour tous, contrats ou pas. Tiens un exemple : la météo annonce de l'ensoleillement général ==> la demande de produits surgelés, cremes, glaces..est multipliée par 10 en une seule journée. Et la demande de transport évolue de la même façon. Les industriels ont des stocks et lissent donc la production. Le transporteur n'a pas une production stockable, et recours donc à l'affrêtement, ou fait parfois des choix.
Par ailleurs une diversification soit de la clientéle soit de l'activité et des services proposés de l'entreprise peut aussi faire l'objet d'une stratégie. Cela suppose des investissement qui reposent sur la capacité financiére ou a convaincre du bien fondée de la stratégie et pas de la facilité de licenciement.
Quand on veut faire tout, on y arrive et on fait tout mal. C'est pour cela que les transporteurs ont spécialisé leurs offres de services, car ceux sont des métiers bien différents que de transporter des chevaux, des machines-outils, des patates ou des pizzas surgelées.
Dans ce cas la situation est plus grave que l'on pouvait l'imaginer car cela signifierait que de trés nombreuses entreprises sont livrées à elle même et qu'il serait temps d'y mettre des chef d'entreprises professionnels et experimentés.
On en cherche. Proposez-vous et quittez le métier - petit boulot - que je crois être le vôtre.
cela dit je ne doutes pas que certain transporteurs soient dans cette situation, la question se posant alors, si la survie de l'entreprise est trop aléatoire, d'une decision de saine gestion d'arreter l'activité. Cela est aussi de la gestion.
Compte tenu de la faible visibilité, des aléas, la gestion d'un centre de profit dans cette profession n'est pas à la portée de tout le monde. Et on y désarme rarement, on disparait du paysage et c'est tout, même si on a assisté ces dernières années à des retraits retentissants, surtout d'anglo-saxons. A+
--
ricazerty
"Moisse"/"Ricazerty"
Quand j'étais jeune les filles du quartier se battaient pour faire mon ménage. Cela n'a pas duré malheureusement. Non pas que j'ai changé, c'est elles qui ont changé. :-)
Hé hé, c'est toujours les autres qui "vieillissent" ! ;-))
Rick
"Moisse"/"Ricazerty"
Quand j'étais jeune les filles du quartier se battaient pour faire mon
ménage.
Cela n'a pas duré malheureusement.
Non pas que j'ai changé, c'est elles qui ont changé.
:-)
Hé hé, c'est toujours les autres qui "vieillissent" ! ;-))
Quand j'étais jeune les filles du quartier se battaient pour faire mon ménage. Cela n'a pas duré malheureusement. Non pas que j'ai changé, c'est elles qui ont changé. :-)
Hé hé, c'est toujours les autres qui "vieillissent" ! ;-))
Rick
ricazerty
"Bernard"/"Ricazerty"
Mais ne vous méprenez pas, ce que vous prenez pour de l'ironie n'est autre que l'expression du profond dégoût que vos cyniques présomptions m'inspirent. On réalise à vous lire le chemin qui reste à parcourir pour réconcilier employeurs et employés et ce n'est certes pas vous qui le raccourcirez.
On a bien compris que vous êtes dans une logique de lutte des classes.
Vous avez encore tout compris ! :-/ => " ... réconcilier employeurs et employés... "
"Bernard"/"Ricazerty"
Mais ne vous méprenez pas, ce que vous prenez pour de
l'ironie n'est autre que l'expression du profond dégoût que
vos cyniques présomptions m'inspirent. On réalise à vous
lire le chemin qui reste à parcourir pour réconcilier
employeurs et employés et ce n'est certes pas vous qui le
raccourcirez.
On a bien compris que vous êtes dans une logique de lutte des classes.
Vous avez encore tout compris ! :-/
=> " ... réconcilier employeurs et employés... "
Mais ne vous méprenez pas, ce que vous prenez pour de l'ironie n'est autre que l'expression du profond dégoût que vos cyniques présomptions m'inspirent. On réalise à vous lire le chemin qui reste à parcourir pour réconcilier employeurs et employés et ce n'est certes pas vous qui le raccourcirez.
On a bien compris que vous êtes dans une logique de lutte des classes.
Vous avez encore tout compris ! :-/ => " ... réconcilier employeurs et employés... "
Bernard
> La durée de production n'est en rien allongée puisque plus de gens travaillent moins longtemps sur un total équivalent d'heures. Plus de gens = moins de chômeurs = coût social moindre. Moins de travail/pers. = moins de fatigue = + de productivité/trav.
On ne vous a pas expliqué que le passage a 35h était sans diminution de salaire ?
Donc plus de gens pour le meme travail que l'on vend le même prix au client = - de productivité. Moins de travail/personne pour le même prix = - de productivité.
A ben oui, la réalité est différente que ce qu'on trouve dans "oui-oui président". Quand a la question de "fatigue", on retrouve là tout a fait le slogan marxiste "non aux cadences infernales" du PCF des années 60.
ha oui, un dernier mot, une durée de production se compte en mois/h. Et donc l'abaissement de la durée du travail hebdomadaire/mensuelle augmente la quantité de mois/h necessaire pour une même tache.
Enfin je dis ca, vous n'avez certainemnt jamais géné ni une entreprise ni un projet, ni autre chose...
> La durée de production n'est en rien allongée puisque plus de gens
travaillent moins longtemps sur un total équivalent d'heures.
Plus de gens = moins de chômeurs = coût social moindre.
Moins de travail/pers. = moins de fatigue = + de productivité/trav.
On ne vous a pas expliqué que le passage a 35h était sans diminution de
salaire ?
Donc plus de gens pour le meme travail que l'on vend le même prix au client
= - de productivité.
Moins de travail/personne pour le même prix = - de productivité.
A ben oui, la réalité est différente que ce qu'on trouve dans "oui-oui
président". Quand a la question de "fatigue", on retrouve là tout a fait le
slogan marxiste "non aux cadences infernales" du PCF des années 60.
ha oui, un dernier mot, une durée de production se compte en mois/h. Et donc
l'abaissement de la durée du travail hebdomadaire/mensuelle augmente la
quantité de mois/h necessaire pour une même tache.
Enfin je dis ca, vous n'avez certainemnt jamais géné ni une entreprise ni un
projet, ni autre chose...
> La durée de production n'est en rien allongée puisque plus de gens travaillent moins longtemps sur un total équivalent d'heures. Plus de gens = moins de chômeurs = coût social moindre. Moins de travail/pers. = moins de fatigue = + de productivité/trav.
On ne vous a pas expliqué que le passage a 35h était sans diminution de salaire ?
Donc plus de gens pour le meme travail que l'on vend le même prix au client = - de productivité. Moins de travail/personne pour le même prix = - de productivité.
A ben oui, la réalité est différente que ce qu'on trouve dans "oui-oui président". Quand a la question de "fatigue", on retrouve là tout a fait le slogan marxiste "non aux cadences infernales" du PCF des années 60.
ha oui, un dernier mot, une durée de production se compte en mois/h. Et donc l'abaissement de la durée du travail hebdomadaire/mensuelle augmente la quantité de mois/h necessaire pour une même tache.
Enfin je dis ca, vous n'avez certainemnt jamais géné ni une entreprise ni un projet, ni autre chose...
ricazerty
"Bernard"/"Ricazerty"
La durée de production n'est en rien allongée puisque plus de gens travaillent moins longtemps sur un total équivalent d'heures. Plus de gens = moins de chômeurs = coût social moindre. Moins de travail/pers. = moins de fatigue = + de productivité/trav.
On ne vous a pas expliqué que le passage a 35h était sans diminution de salaire ?
Je vous parle ici de productivité/travail et non de productivité/capital.
[...] Enfin je dis ca, vous n'avez certainemnt jamais géné ni une entreprise ni un projet, ni autre chose...
Il me semble vous avoir répondu que si... Je pourrais aussi vous parler de mon QI si vous voulez ! ;-)))
Rick
"Bernard"/"Ricazerty"
La durée de production n'est en rien allongée puisque plus de gens
travaillent moins longtemps sur un total équivalent d'heures.
Plus de gens = moins de chômeurs = coût social moindre.
Moins de travail/pers. = moins de fatigue = + de productivité/trav.
On ne vous a pas expliqué que le passage a 35h était sans
diminution de salaire ?
Je vous parle ici de productivité/travail et non de productivité/capital.
[...]
Enfin je dis ca, vous n'avez certainemnt jamais géné ni une
entreprise ni un projet, ni autre chose...
Il me semble vous avoir répondu que si...
Je pourrais aussi vous parler de mon QI si vous voulez ! ;-)))
La durée de production n'est en rien allongée puisque plus de gens travaillent moins longtemps sur un total équivalent d'heures. Plus de gens = moins de chômeurs = coût social moindre. Moins de travail/pers. = moins de fatigue = + de productivité/trav.
On ne vous a pas expliqué que le passage a 35h était sans diminution de salaire ?
Je vous parle ici de productivité/travail et non de productivité/capital.
[...] Enfin je dis ca, vous n'avez certainemnt jamais géné ni une entreprise ni un projet, ni autre chose...
Il me semble vous avoir répondu que si... Je pourrais aussi vous parler de mon QI si vous voulez ! ;-)))
Rick
Laurent GARNIER
"Bernard" <poil> wrote in news:469346f0$0$27372$:
Va falloir que vous m'expliquiez comment du jour au lendemain, l'assouplissement du contrat de travail va permettre de tranformer des personnes incompetentes en personnes competentes...
Par la formation interne, évidement, au contact des professionels expérimenté et déjà en poste.
Vous etes tombé de la dernière pluie et il faut tout vous dire, c'est ca ?
Parceque, grace a la souplesse contractuelle, un employeur va trouver soudainement le temps et l'argent qui lui manquait avant pour former des gens ?
-- Laurent GARNIER
"Bernard" <poil> wrote in news:469346f0$0$27372$ba4acef3@news.orange.fr:
Va falloir que vous m'expliquiez comment du jour au lendemain,
l'assouplissement du contrat de travail va permettre de tranformer
des personnes incompetentes en personnes competentes...
Par la formation interne, évidement, au contact des professionels
expérimenté et déjà en poste.
Vous etes tombé de la dernière pluie et il faut tout vous dire, c'est
ca ?
Parceque, grace a la souplesse contractuelle, un employeur va trouver
soudainement le temps et l'argent qui lui manquait avant pour former des
gens ?
Va falloir que vous m'expliquiez comment du jour au lendemain, l'assouplissement du contrat de travail va permettre de tranformer des personnes incompetentes en personnes competentes...
Par la formation interne, évidement, au contact des professionels expérimenté et déjà en poste.
Vous etes tombé de la dernière pluie et il faut tout vous dire, c'est ca ?
Parceque, grace a la souplesse contractuelle, un employeur va trouver soudainement le temps et l'argent qui lui manquait avant pour former des gens ?
-- Laurent GARNIER
Laurent GARNIER
"Bernard" <poil> wrote in news:46934908$0$27375$:
Et puis, faudrait pas oublier une chose : les employeurs, ils ont signe les conventions collectives qui les prevoient les periodes d'essai ! On leur a pas mis un couteau ni un fusil sous la gorge quand meme a ce que je sache !
Lol, vous croyez que les employeurs ont signé ça !!??
Vous allez peut etre me faire croire que les organisations patronales ne sont pas composes d''employeur ou d'entreprise mais d'ouvier de la metallo ?
Et les employeurs, quand un syndicat signe une convention qui leur donne la possibilite de de realiser des forfaits horaires, de realiser un lissage annuel du temps de travail, etc... ca pas l'air de les gener beaucoup que ca soit pas un salarie qui signe !
Bah oui ! Etre entrepreneur, c'est prendre des risques ! Ce que vous souhaitez, c'est tranferer ces risques sur le salarie ! Et si possible sans surcout !
Prendre le minimum de risque si possible...
Et donc, les transferer sur les salaries sans que ces derniers en retire quoique ce soit de flagrant a part une eventuelle vague promesse de "reduction du chomage que tellement elle va etre importante ta mere elle va pas le croire !!!".
Parcequ'il peut embaucher plsu facilement aussi. Donc chacun trouvera un poste mieux adapté a ses compétences. C'est une loi de répatition dynamique.
Ce que vous etes en train de me dire c'est que les salaries trouveront plus de poste lies a leurs competences. C'est tres loin de "un employeur trouvera plus de personnel competent" !
Ya pas que la France dans la vie.
Et bien, dans ca cas la aller negocier de la souplesse a l'etranger !
Ben oui, et nottament les avis de Xavier qui sont a tous les coups écrit avec beaucoup de bon sens.
Expliquez moi ce qu'est pour vous un "faux travail" puisque vous en realiser un "vrai" ?
Ce qui m'interresse c'est de voir que l'entreprise a été condamnée alors que vous prétendez le contraire...
Elle a ete condamne aux depens ! Ca rien a voir avec le fond de l'affaire...
A quoi a été condamné l'enployé au fait ?
La cours de cassation verifie la validite des juridictions inferieures par rapport a la loi. Elle ne condamne pas "au fond" !
Elle a renvoye l'affaire devant une cours d'appel parcequ'une autre cours d'appel a refuse a la societe une indemnite de brusque rupture alors que la societe est en droit d'y pretendre. En gros, le salarie va devoir payer cette indemnite (et s'il est pas idiot, il le fera avant que l'affaire aille devant cette nouvelle cours histoire d'eviter des frais inutiles) !
Donc, oui, contrairement a vous, j'affirme qu'un salarie est condamnable s'il ne respecte pas le preavis contractuel !
-- Laurent GARNIER
"Bernard" <poil> wrote in news:46934908$0$27375$ba4acef3@news.orange.fr:
Et puis, faudrait pas oublier une chose : les employeurs, ils ont
signe les conventions collectives qui les prevoient les periodes
d'essai ! On leur a pas mis un couteau ni un fusil sous la gorge
quand meme a ce que je sache !
Lol, vous croyez que les employeurs ont signé ça !!??
Vous allez peut etre me faire croire que les organisations patronales ne
sont pas composes d''employeur ou d'entreprise mais d'ouvier de la
metallo ?
Et les employeurs, quand un syndicat signe une convention qui leur donne
la possibilite de de realiser des forfaits horaires, de realiser un
lissage annuel du temps de travail, etc... ca pas l'air de les gener
beaucoup que ca soit pas un salarie qui signe !
Bah oui ! Etre entrepreneur, c'est prendre des risques ! Ce que vous
souhaitez, c'est tranferer ces risques sur le salarie ! Et si
possible sans surcout !
Prendre le minimum de risque si possible...
Et donc, les transferer sur les salaries sans que ces derniers en retire
quoique ce soit de flagrant a part une eventuelle vague promesse de
"reduction du chomage que tellement elle va etre importante ta mere elle
va pas le croire !!!".
Parcequ'il peut embaucher plsu facilement aussi. Donc chacun trouvera
un poste mieux adapté a ses compétences. C'est une loi de répatition
dynamique.
Ce que vous etes en train de me dire c'est que les salaries trouveront
plus de poste lies a leurs competences. C'est tres loin de "un employeur
trouvera plus de personnel competent" !
Ya pas que la France dans la vie.
Et bien, dans ca cas la aller negocier de la souplesse a l'etranger !
Ben oui, et nottament les avis de Xavier qui sont a tous les coups
écrit avec beaucoup de bon sens.
Expliquez moi ce qu'est pour vous un "faux travail" puisque vous en
realiser un "vrai" ?
Ce qui m'interresse c'est de voir que l'entreprise a été condamnée
alors que vous prétendez le contraire...
Elle a ete condamne aux depens ! Ca rien a voir avec le fond de
l'affaire...
A quoi a été condamné l'enployé au fait ?
La cours de cassation verifie la validite des juridictions inferieures
par rapport a la loi. Elle ne condamne pas "au fond" !
Elle a renvoye l'affaire devant une cours d'appel parcequ'une autre
cours d'appel a refuse a la societe une indemnite de brusque rupture
alors que la societe est en droit d'y pretendre. En gros, le salarie va
devoir payer cette indemnite (et s'il est pas idiot, il le fera avant
que l'affaire aille devant cette nouvelle cours histoire d'eviter des
frais inutiles) !
Donc, oui, contrairement a vous, j'affirme qu'un salarie est condamnable
s'il ne respecte pas le preavis contractuel !
Et puis, faudrait pas oublier une chose : les employeurs, ils ont signe les conventions collectives qui les prevoient les periodes d'essai ! On leur a pas mis un couteau ni un fusil sous la gorge quand meme a ce que je sache !
Lol, vous croyez que les employeurs ont signé ça !!??
Vous allez peut etre me faire croire que les organisations patronales ne sont pas composes d''employeur ou d'entreprise mais d'ouvier de la metallo ?
Et les employeurs, quand un syndicat signe une convention qui leur donne la possibilite de de realiser des forfaits horaires, de realiser un lissage annuel du temps de travail, etc... ca pas l'air de les gener beaucoup que ca soit pas un salarie qui signe !
Bah oui ! Etre entrepreneur, c'est prendre des risques ! Ce que vous souhaitez, c'est tranferer ces risques sur le salarie ! Et si possible sans surcout !
Prendre le minimum de risque si possible...
Et donc, les transferer sur les salaries sans que ces derniers en retire quoique ce soit de flagrant a part une eventuelle vague promesse de "reduction du chomage que tellement elle va etre importante ta mere elle va pas le croire !!!".
Parcequ'il peut embaucher plsu facilement aussi. Donc chacun trouvera un poste mieux adapté a ses compétences. C'est une loi de répatition dynamique.
Ce que vous etes en train de me dire c'est que les salaries trouveront plus de poste lies a leurs competences. C'est tres loin de "un employeur trouvera plus de personnel competent" !
Ya pas que la France dans la vie.
Et bien, dans ca cas la aller negocier de la souplesse a l'etranger !
Ben oui, et nottament les avis de Xavier qui sont a tous les coups écrit avec beaucoup de bon sens.
Expliquez moi ce qu'est pour vous un "faux travail" puisque vous en realiser un "vrai" ?
Ce qui m'interresse c'est de voir que l'entreprise a été condamnée alors que vous prétendez le contraire...
Elle a ete condamne aux depens ! Ca rien a voir avec le fond de l'affaire...
A quoi a été condamné l'enployé au fait ?
La cours de cassation verifie la validite des juridictions inferieures par rapport a la loi. Elle ne condamne pas "au fond" !
Elle a renvoye l'affaire devant une cours d'appel parcequ'une autre cours d'appel a refuse a la societe une indemnite de brusque rupture alors que la societe est en droit d'y pretendre. En gros, le salarie va devoir payer cette indemnite (et s'il est pas idiot, il le fera avant que l'affaire aille devant cette nouvelle cours histoire d'eviter des frais inutiles) !
Donc, oui, contrairement a vous, j'affirme qu'un salarie est condamnable s'il ne respecte pas le preavis contractuel !