Dominiquede Corse a pensé très fort :Je n'ai pas de leçons de pseudonyme à recevoir du Baron de Crac :-)
C'était pour vous rendre service.
Dominique de Corse, ça manque de classe.
Dominiquede Corse a pensé très fort :
Je n'ai pas de leçons de pseudonyme à recevoir du Baron de Crac :-)
C'était pour vous rendre service.
Dominique de Corse, ça manque de classe.
Dominiquede Corse a pensé très fort :Je n'ai pas de leçons de pseudonyme à recevoir du Baron de Crac :-)
C'était pour vous rendre service.
Dominique de Corse, ça manque de classe.
Christian Navis a couché sur son écran :Dominiquede Corse a pensé très fort :Je n'ai pas de leçons de pseudonyme à recevoir du Baron de Crac :-)
C'était pour vous rendre service.
Dominique de Corse, ça manque de classe.
C'est donc parfaitement adapté.
Christian Navis a couché sur son écran :
Dominiquede Corse a pensé très fort :
Je n'ai pas de leçons de pseudonyme à recevoir du Baron de Crac :-)
C'était pour vous rendre service.
Dominique de Corse, ça manque de classe.
C'est donc parfaitement adapté.
Christian Navis a couché sur son écran :Dominiquede Corse a pensé très fort :Je n'ai pas de leçons de pseudonyme à recevoir du Baron de Crac :-)
C'était pour vous rendre service.
Dominique de Corse, ça manque de classe.
C'est donc parfaitement adapté.
"Christian Navis" a écrit dans le message de groupe de discussion :
539f411f$0$2046$
Curieux, Bertin et Marchal n'avaient pas compris ces "évidences"
et ceux qui leur emboîtent le pas aujourd'hui, idem.
"Christian Navis" a écrit dans le message de groupe de discussion :
539f411f$0$2046$426a74cc@news.free.fr...
Curieux, Bertin et Marchal n'avaient pas compris ces "évidences"
et ceux qui leur emboîtent le pas aujourd'hui, idem.
"Christian Navis" a écrit dans le message de groupe de discussion :
539f411f$0$2046$
Curieux, Bertin et Marchal n'avaient pas compris ces "évidences"
et ceux qui leur emboîtent le pas aujourd'hui, idem.
JKB avait prétendu :Raccroche-toi aux branches ! Tu te permets surtout de copier sans
les comprendre des articles pêchés ici et là (un peu comme mes
étudiants, mais c'est une autre histoire). La moindre des choses
lorsque l'on cherche à défendre une thèse, c'est de comprendre ce
que l'on dit.
J'avais mis en avant 2 grandes figures reconnues Bertin et Marchal.
Mais tu es tellement imbu de tes connaissances apprises par coeur
et récitées comme un perroquet que, plutôt que d'essayer d'analyser
les travaux de ces 2 illustres, tu t'es enferré dans un discours
stéréotypé rabâchant les arguments officiels.
On a déjà connu ça pour les centrales nucléaires, le nuage de
Tchernobyl
et les essais en pleine nature à Mururoa. Liste non exhaustive.
Mais que tu es con.
Tu es un exemplaire gratiné de l'imbécile instruit.L'aérotrain est mort parce que c'était une
fausse bonne idée. Ni plus, ni moins, et tu n'as d'ailleurs pas
apporté le début d'une preuve du complot.
1965 : la SNCF met en place un comité de surveillance de l'aérotrain
(le titre en dit long sur les intentions !)
1967 : l'industrie et le rail font un lobbying intense pour empêcher
que l'État passe un contrat d'exploitation avec la Sté Bertin.
1969 : les patrons de la métallurgie financent un comité d'études
démontrant la supériorité du futur TGV, sur de simples spéculations.
La SNCF l'adopte à 100% sans en discuter une ligne.
1970 : des milliards retirés à l'arotrain vont être dépensés au profit
d'un lobby apatride qui dispose pour ses essais de facilités en
matériel
et personnel jusqu'alors accordées au compte-gouttes à Bertin.
1974 : la campagne présidentielle de Giscard est financée par l'Union
des industriels de la métallurgie, fortement hostile à l'aérotrain.
In fine, un incendie criminel détruit le dernier exemplaire fonctionnel
d'aérotrain dans son hangar.
En revanche, je t'ai donné des arguments techniques pour que tu puisses
comprendre pourquoi c'était une fausse bonne idée.
Curieux, Bertin et Marchal n'avaient pas compris ces "évidences"
et ceux qui leur emboîtent le pas aujourd'hui, idem.
Je ne défends pas le TGV, mais je défends encore moins l'aérotrain
qui n'a fait qu'engloutir à fonds perdus des sommes colossales. S'il
y avait eu un scientifique au gouvernement à l'époque, jamais un
centime n'aurait été filé à un tel projet.
Tous les ministres de l'industrie et/ou de l'aménagement du territoire
et des transports, ont eu des cabinets techniques truffés d'ingénieurs,
de chercheurs et d'universitaires... Hostiles à Bertin et à son
projet,
parce que stipendiés par la concurrence pour les meneurs, et docilement
carriéristes pour les suiveurs.
JKB avait prétendu :
Raccroche-toi aux branches ! Tu te permets surtout de copier sans
les comprendre des articles pêchés ici et là (un peu comme mes
étudiants, mais c'est une autre histoire). La moindre des choses
lorsque l'on cherche à défendre une thèse, c'est de comprendre ce
que l'on dit.
J'avais mis en avant 2 grandes figures reconnues Bertin et Marchal.
Mais tu es tellement imbu de tes connaissances apprises par coeur
et récitées comme un perroquet que, plutôt que d'essayer d'analyser
les travaux de ces 2 illustres, tu t'es enferré dans un discours
stéréotypé rabâchant les arguments officiels.
On a déjà connu ça pour les centrales nucléaires, le nuage de
Tchernobyl
et les essais en pleine nature à Mururoa. Liste non exhaustive.
Mais que tu es con.
Tu es un exemplaire gratiné de l'imbécile instruit.
L'aérotrain est mort parce que c'était une
fausse bonne idée. Ni plus, ni moins, et tu n'as d'ailleurs pas
apporté le début d'une preuve du complot.
1965 : la SNCF met en place un comité de surveillance de l'aérotrain
(le titre en dit long sur les intentions !)
1967 : l'industrie et le rail font un lobbying intense pour empêcher
que l'État passe un contrat d'exploitation avec la Sté Bertin.
1969 : les patrons de la métallurgie financent un comité d'études
démontrant la supériorité du futur TGV, sur de simples spéculations.
La SNCF l'adopte à 100% sans en discuter une ligne.
1970 : des milliards retirés à l'arotrain vont être dépensés au profit
d'un lobby apatride qui dispose pour ses essais de facilités en
matériel
et personnel jusqu'alors accordées au compte-gouttes à Bertin.
1974 : la campagne présidentielle de Giscard est financée par l'Union
des industriels de la métallurgie, fortement hostile à l'aérotrain.
In fine, un incendie criminel détruit le dernier exemplaire fonctionnel
d'aérotrain dans son hangar.
En revanche, je t'ai donné des arguments techniques pour que tu puisses
comprendre pourquoi c'était une fausse bonne idée.
Curieux, Bertin et Marchal n'avaient pas compris ces "évidences"
et ceux qui leur emboîtent le pas aujourd'hui, idem.
Je ne défends pas le TGV, mais je défends encore moins l'aérotrain
qui n'a fait qu'engloutir à fonds perdus des sommes colossales. S'il
y avait eu un scientifique au gouvernement à l'époque, jamais un
centime n'aurait été filé à un tel projet.
Tous les ministres de l'industrie et/ou de l'aménagement du territoire
et des transports, ont eu des cabinets techniques truffés d'ingénieurs,
de chercheurs et d'universitaires... Hostiles à Bertin et à son
projet,
parce que stipendiés par la concurrence pour les meneurs, et docilement
carriéristes pour les suiveurs.
JKB avait prétendu :Raccroche-toi aux branches ! Tu te permets surtout de copier sans
les comprendre des articles pêchés ici et là (un peu comme mes
étudiants, mais c'est une autre histoire). La moindre des choses
lorsque l'on cherche à défendre une thèse, c'est de comprendre ce
que l'on dit.
J'avais mis en avant 2 grandes figures reconnues Bertin et Marchal.
Mais tu es tellement imbu de tes connaissances apprises par coeur
et récitées comme un perroquet que, plutôt que d'essayer d'analyser
les travaux de ces 2 illustres, tu t'es enferré dans un discours
stéréotypé rabâchant les arguments officiels.
On a déjà connu ça pour les centrales nucléaires, le nuage de
Tchernobyl
et les essais en pleine nature à Mururoa. Liste non exhaustive.
Mais que tu es con.
Tu es un exemplaire gratiné de l'imbécile instruit.L'aérotrain est mort parce que c'était une
fausse bonne idée. Ni plus, ni moins, et tu n'as d'ailleurs pas
apporté le début d'une preuve du complot.
1965 : la SNCF met en place un comité de surveillance de l'aérotrain
(le titre en dit long sur les intentions !)
1967 : l'industrie et le rail font un lobbying intense pour empêcher
que l'État passe un contrat d'exploitation avec la Sté Bertin.
1969 : les patrons de la métallurgie financent un comité d'études
démontrant la supériorité du futur TGV, sur de simples spéculations.
La SNCF l'adopte à 100% sans en discuter une ligne.
1970 : des milliards retirés à l'arotrain vont être dépensés au profit
d'un lobby apatride qui dispose pour ses essais de facilités en
matériel
et personnel jusqu'alors accordées au compte-gouttes à Bertin.
1974 : la campagne présidentielle de Giscard est financée par l'Union
des industriels de la métallurgie, fortement hostile à l'aérotrain.
In fine, un incendie criminel détruit le dernier exemplaire fonctionnel
d'aérotrain dans son hangar.
En revanche, je t'ai donné des arguments techniques pour que tu puisses
comprendre pourquoi c'était une fausse bonne idée.
Curieux, Bertin et Marchal n'avaient pas compris ces "évidences"
et ceux qui leur emboîtent le pas aujourd'hui, idem.
Je ne défends pas le TGV, mais je défends encore moins l'aérotrain
qui n'a fait qu'engloutir à fonds perdus des sommes colossales. S'il
y avait eu un scientifique au gouvernement à l'époque, jamais un
centime n'aurait été filé à un tel projet.
Tous les ministres de l'industrie et/ou de l'aménagement du territoire
et des transports, ont eu des cabinets techniques truffés d'ingénieurs,
de chercheurs et d'universitaires... Hostiles à Bertin et à son
projet,
parce que stipendiés par la concurrence pour les meneurs, et docilement
carriéristes pour les suiveurs.
Dominiquede Corse a écrit:
>Thomas wrote:
>
> > Dominiquede Corse a écrit:
>
> > > Je suis assez vieille pour me rappeller l'incident lors de la
> > > "guerre" des Malouines.
> > > Vous savez, le HMS Sheffield britannique, coulé par les
> > > Argentins grâce à un missile Exocet tiré par un Super-Étendard
> > > : du bon matériel de guerre fabriqué en France et vendu à
> > > l'Argentine...
> >
> > Exemple hors sujet. Il n'y avait aucun partenariat pour produire
> > des équipements militaires là-dedans.
>
> Sans doute mais il y eu vente par la France à l'Argentine d'un
> matériel de guerre retourné contre un pays allié, la
> Grande-Bretagne. Du coup, les systèmes du Sheffield n'ont pas
> détecté l'Exocet comme une attaque, paraît-il...
>
> Petit problème diplomatique qui nous ramène au droit international.
Aucun problème de droit international. Et même pas de problème d
'alliance. La France n'était pas alliée du Royaume-Uni, elle n'était
même plus dans le commandement intégré de l'OTAN. Elle était neutre
dans ce conflit des Malouines.
Dominiquede Corse a écrit:
>Thomas <thomasxgrenier@gmail.com> wrote:
>
> > Dominiquede Corse a écrit:
>
> > > Je suis assez vieille pour me rappeller l'incident lors de la
> > > "guerre" des Malouines.
> > > Vous savez, le HMS Sheffield britannique, coulé par les
> > > Argentins grâce à un missile Exocet tiré par un Super-Étendard
> > > : du bon matériel de guerre fabriqué en France et vendu à
> > > l'Argentine...
> >
> > Exemple hors sujet. Il n'y avait aucun partenariat pour produire
> > des équipements militaires là-dedans.
>
> Sans doute mais il y eu vente par la France à l'Argentine d'un
> matériel de guerre retourné contre un pays allié, la
> Grande-Bretagne. Du coup, les systèmes du Sheffield n'ont pas
> détecté l'Exocet comme une attaque, paraît-il...
>
> Petit problème diplomatique qui nous ramène au droit international.
Aucun problème de droit international. Et même pas de problème d
'alliance. La France n'était pas alliée du Royaume-Uni, elle n'était
même plus dans le commandement intégré de l'OTAN. Elle était neutre
dans ce conflit des Malouines.
Dominiquede Corse a écrit:
>Thomas wrote:
>
> > Dominiquede Corse a écrit:
>
> > > Je suis assez vieille pour me rappeller l'incident lors de la
> > > "guerre" des Malouines.
> > > Vous savez, le HMS Sheffield britannique, coulé par les
> > > Argentins grâce à un missile Exocet tiré par un Super-Étendard
> > > : du bon matériel de guerre fabriqué en France et vendu à
> > > l'Argentine...
> >
> > Exemple hors sujet. Il n'y avait aucun partenariat pour produire
> > des équipements militaires là-dedans.
>
> Sans doute mais il y eu vente par la France à l'Argentine d'un
> matériel de guerre retourné contre un pays allié, la
> Grande-Bretagne. Du coup, les systèmes du Sheffield n'ont pas
> détecté l'Exocet comme une attaque, paraît-il...
>
> Petit problème diplomatique qui nous ramène au droit international.
Aucun problème de droit international. Et même pas de problème d
'alliance. La France n'était pas alliée du Royaume-Uni, elle n'était
même plus dans le commandement intégré de l'OTAN. Elle était neutre
dans ce conflit des Malouines.
Dominiquede Corse a pensé très fort :
> Je n'ai pas de leçons de pseudonyme à recevoir du Baron de Crac :-)
C'était pour vous rendre service.
Dominique de Corse, ça manque de classe.
Dominiquede Corse a pensé très fort :
> Je n'ai pas de leçons de pseudonyme à recevoir du Baron de Crac :-)
C'était pour vous rendre service.
Dominique de Corse, ça manque de classe.
Dominiquede Corse a pensé très fort :
> Je n'ai pas de leçons de pseudonyme à recevoir du Baron de Crac :-)
C'était pour vous rendre service.
Dominique de Corse, ça manque de classe.
Prenons l'exemple d'un chasseur, d'un sous marin, d'un porte avion.
Est-il raisonnable de croire que la France peut, toute seule, financer
ces programmes ?
Non, ce n'est pas raisonnable... elle doit donc prendre le risque
d'alliance ad-hoc.
C'est un savoir faire.
Prenons l'exemple d'un chasseur, d'un sous marin, d'un porte avion.
Est-il raisonnable de croire que la France peut, toute seule, financer
ces programmes ?
Non, ce n'est pas raisonnable... elle doit donc prendre le risque
d'alliance ad-hoc.
C'est un savoir faire.
Prenons l'exemple d'un chasseur, d'un sous marin, d'un porte avion.
Est-il raisonnable de croire que la France peut, toute seule, financer
ces programmes ?
Non, ce n'est pas raisonnable... elle doit donc prendre le risque
d'alliance ad-hoc.
C'est un savoir faire.
JKB avait prétendu :
> Raccroche-toi aux branches ! Tu te permets surtout de copier sans
> les comprendre des articles pêchés ici et là (un peu comme mes
> étudiants, mais c'est une autre histoire). La moindre des choses
> lorsque l'on cherche à défendre une thèse, c'est de comprendre ce
> que l'on dit.
J'avais mis en avant 2 grandes figures reconnues Bertin et Marchal.
Mais tu es tellement imbu de tes connaissances apprises par coeur
et récitées comme un perroquet que, plutôt que d'essayer d'analyser
les travaux de ces 2 illustres, tu t'es enferré dans un discours
stéréotypé rabâchant les arguments officiels.
JKB avait prétendu :
> Raccroche-toi aux branches ! Tu te permets surtout de copier sans
> les comprendre des articles pêchés ici et là (un peu comme mes
> étudiants, mais c'est une autre histoire). La moindre des choses
> lorsque l'on cherche à défendre une thèse, c'est de comprendre ce
> que l'on dit.
J'avais mis en avant 2 grandes figures reconnues Bertin et Marchal.
Mais tu es tellement imbu de tes connaissances apprises par coeur
et récitées comme un perroquet que, plutôt que d'essayer d'analyser
les travaux de ces 2 illustres, tu t'es enferré dans un discours
stéréotypé rabâchant les arguments officiels.
JKB avait prétendu :
> Raccroche-toi aux branches ! Tu te permets surtout de copier sans
> les comprendre des articles pêchés ici et là (un peu comme mes
> étudiants, mais c'est une autre histoire). La moindre des choses
> lorsque l'on cherche à défendre une thèse, c'est de comprendre ce
> que l'on dit.
J'avais mis en avant 2 grandes figures reconnues Bertin et Marchal.
Mais tu es tellement imbu de tes connaissances apprises par coeur
et récitées comme un perroquet que, plutôt que d'essayer d'analyser
les travaux de ces 2 illustres, tu t'es enferré dans un discours
stéréotypé rabâchant les arguments officiels.
zw wrote:Prenons l'exemple d'un chasseur, d'un sous marin, d'un porte avion.
Est-il raisonnable de croire que la France peut, toute seule, financer
ces programmes ?
Non, ce n'est pas raisonnable... elle doit donc prendre le risque
d'alliance ad-hoc.
Ou décider de supprimer toute dépense militaire qui ne fait pas partie
du cadre commercial.
Vous (collectif) êtes en train de m'expliquer que la France n'a plus les
moyens d'avoir une véritable armée de défense
donc que sa souveraineté
n'est plus protégée par elle seule et, en même temps, qu'elle doit
s'allier à d'autres pays (et donc abdiquer au moins une part de sa
souveraineté)
Cette activité hautement lucrative n'a effectivement rien à voir avec la
notion de souveraineté de la France mais tout à voir avec le commerce
et, à mon grand regret/effroi/dégoût, tout ce que je vois, ce sont des
pays à forte technologie militaire qui maintiennent des guerres qui
s'éteindraient d'elles-mêmes, dans des pays sous-évolués, tant sur le
plan de la fabrication des armes que sur le plan des droits de l'Homme
(et de la femme) uniquement parce que ces pays constituent un débouché
juteux à leurs matériels militaires.
Comme si des adultes, voyant des enfants se battre à coups de poings,
décidaient, au lieu de les séparer, de leur vendre des poignards et des
épées, des pistolets et des canons, dans un but de lucre mais tout en
affirmant haut et fort aux témoins de la scène que c'est pour faire
cesser ces combats stériles.
zw <zw@9y.com> wrote:
Prenons l'exemple d'un chasseur, d'un sous marin, d'un porte avion.
Est-il raisonnable de croire que la France peut, toute seule, financer
ces programmes ?
Non, ce n'est pas raisonnable... elle doit donc prendre le risque
d'alliance ad-hoc.
Ou décider de supprimer toute dépense militaire qui ne fait pas partie
du cadre commercial.
Vous (collectif) êtes en train de m'expliquer que la France n'a plus les
moyens d'avoir une véritable armée de défense
donc que sa souveraineté
n'est plus protégée par elle seule et, en même temps, qu'elle doit
s'allier à d'autres pays (et donc abdiquer au moins une part de sa
souveraineté)
Cette activité hautement lucrative n'a effectivement rien à voir avec la
notion de souveraineté de la France mais tout à voir avec le commerce
et, à mon grand regret/effroi/dégoût, tout ce que je vois, ce sont des
pays à forte technologie militaire qui maintiennent des guerres qui
s'éteindraient d'elles-mêmes, dans des pays sous-évolués, tant sur le
plan de la fabrication des armes que sur le plan des droits de l'Homme
(et de la femme) uniquement parce que ces pays constituent un débouché
juteux à leurs matériels militaires.
Comme si des adultes, voyant des enfants se battre à coups de poings,
décidaient, au lieu de les séparer, de leur vendre des poignards et des
épées, des pistolets et des canons, dans un but de lucre mais tout en
affirmant haut et fort aux témoins de la scène que c'est pour faire
cesser ces combats stériles.
zw wrote:Prenons l'exemple d'un chasseur, d'un sous marin, d'un porte avion.
Est-il raisonnable de croire que la France peut, toute seule, financer
ces programmes ?
Non, ce n'est pas raisonnable... elle doit donc prendre le risque
d'alliance ad-hoc.
Ou décider de supprimer toute dépense militaire qui ne fait pas partie
du cadre commercial.
Vous (collectif) êtes en train de m'expliquer que la France n'a plus les
moyens d'avoir une véritable armée de défense
donc que sa souveraineté
n'est plus protégée par elle seule et, en même temps, qu'elle doit
s'allier à d'autres pays (et donc abdiquer au moins une part de sa
souveraineté)
Cette activité hautement lucrative n'a effectivement rien à voir avec la
notion de souveraineté de la France mais tout à voir avec le commerce
et, à mon grand regret/effroi/dégoût, tout ce que je vois, ce sont des
pays à forte technologie militaire qui maintiennent des guerres qui
s'éteindraient d'elles-mêmes, dans des pays sous-évolués, tant sur le
plan de la fabrication des armes que sur le plan des droits de l'Homme
(et de la femme) uniquement parce que ces pays constituent un débouché
juteux à leurs matériels militaires.
Comme si des adultes, voyant des enfants se battre à coups de poings,
décidaient, au lieu de les séparer, de leur vendre des poignards et des
épées, des pistolets et des canons, dans un but de lucre mais tout en
affirmant haut et fort aux témoins de la scène que c'est pour faire
cesser ces combats stériles.
zw wrote:
> Prenons l'exemple d'un chasseur, d'un sous marin, d'un porte avion.
>
> Est-il raisonnable de croire que la France peut, toute seule,
> financer ces programmes ?
>
> Non, ce n'est pas raisonnable... elle doit donc prendre le risque
> d'alliance ad-hoc.
Ou décider de supprimer toute dépense militaire qui ne fait pas partie
du cadre commercial.
Vous (collectif) êtes en train de m'expliquer que la France n'a plus
les moyens d'avoir une véritable armée de défense donc que sa
souveraineté n'est plus protégée par elle seule et, en même temps,
qu'elle doit s'allier à d'autres pays (et donc abdiquer au moins une
part de sa souveraineté) dans le but de fabriquer des armes dont -
pour certaines - elle fera commerce, y compris auprès de pays
non-alliés voire ennemis potentiels ou avérés.
Qu'est ce qui ne va pas chez vous quand j'essaye de vous faire
comprendre (ou dire, si vous avez compris) que la France - comme
plusieurs pays européens ou occidentaux ou membres de l'ex-URSS -
n'ayant plus à s'occuper d'une guerre chez elle, sur son propre
territoire (guerre devenue quasi impossible par le jeu des alliances
politiques et économiques) est désormais réduite à l'état de _marchand
d'armes_?
Cette activité hautement lucrative n'a effectivement rien à voir avec
la notion de souveraineté de la France mais tout à voir avec le
commerce et, à mon grand regret/effroi/dégoût, tout ce que je vois,
ce sont des pays à forte technologie militaire qui maintiennent des
guerres qui s'éteindraient d'elles-mêmes, dans des pays sous-évolués,
tant sur le plan de la fabrication des armes que sur le plan des
droits de l'Homme (et de la femme) uniquement parce que ces pays
constituent un débouché juteux à leurs matériels militaires.
Comme si des adultes, voyant des enfants se battre à coups de poings,
décidaient, au lieu de les séparer, de leur vendre des poignards et
des épées, des pistolets et des canons, dans un but de lucre mais
tout en affirmant haut et fort aux témoins de la scène que c'est pour
faire cesser ces combats stériles.
> C'est un savoir faire.
Vous parlez comme un VRP.
Nos politiques sont des VRP qui travaillent pour le compte des
marchands d'armes (et d'OGM, mais on verra ça plus tard).
zw <zw@9y.com> wrote:
> Prenons l'exemple d'un chasseur, d'un sous marin, d'un porte avion.
>
> Est-il raisonnable de croire que la France peut, toute seule,
> financer ces programmes ?
>
> Non, ce n'est pas raisonnable... elle doit donc prendre le risque
> d'alliance ad-hoc.
Ou décider de supprimer toute dépense militaire qui ne fait pas partie
du cadre commercial.
Vous (collectif) êtes en train de m'expliquer que la France n'a plus
les moyens d'avoir une véritable armée de défense donc que sa
souveraineté n'est plus protégée par elle seule et, en même temps,
qu'elle doit s'allier à d'autres pays (et donc abdiquer au moins une
part de sa souveraineté) dans le but de fabriquer des armes dont -
pour certaines - elle fera commerce, y compris auprès de pays
non-alliés voire ennemis potentiels ou avérés.
Qu'est ce qui ne va pas chez vous quand j'essaye de vous faire
comprendre (ou dire, si vous avez compris) que la France - comme
plusieurs pays européens ou occidentaux ou membres de l'ex-URSS -
n'ayant plus à s'occuper d'une guerre chez elle, sur son propre
territoire (guerre devenue quasi impossible par le jeu des alliances
politiques et économiques) est désormais réduite à l'état de _marchand
d'armes_?
Cette activité hautement lucrative n'a effectivement rien à voir avec
la notion de souveraineté de la France mais tout à voir avec le
commerce et, à mon grand regret/effroi/dégoût, tout ce que je vois,
ce sont des pays à forte technologie militaire qui maintiennent des
guerres qui s'éteindraient d'elles-mêmes, dans des pays sous-évolués,
tant sur le plan de la fabrication des armes que sur le plan des
droits de l'Homme (et de la femme) uniquement parce que ces pays
constituent un débouché juteux à leurs matériels militaires.
Comme si des adultes, voyant des enfants se battre à coups de poings,
décidaient, au lieu de les séparer, de leur vendre des poignards et
des épées, des pistolets et des canons, dans un but de lucre mais
tout en affirmant haut et fort aux témoins de la scène que c'est pour
faire cesser ces combats stériles.
> C'est un savoir faire.
Vous parlez comme un VRP.
Nos politiques sont des VRP qui travaillent pour le compte des
marchands d'armes (et d'OGM, mais on verra ça plus tard).
zw wrote:
> Prenons l'exemple d'un chasseur, d'un sous marin, d'un porte avion.
>
> Est-il raisonnable de croire que la France peut, toute seule,
> financer ces programmes ?
>
> Non, ce n'est pas raisonnable... elle doit donc prendre le risque
> d'alliance ad-hoc.
Ou décider de supprimer toute dépense militaire qui ne fait pas partie
du cadre commercial.
Vous (collectif) êtes en train de m'expliquer que la France n'a plus
les moyens d'avoir une véritable armée de défense donc que sa
souveraineté n'est plus protégée par elle seule et, en même temps,
qu'elle doit s'allier à d'autres pays (et donc abdiquer au moins une
part de sa souveraineté) dans le but de fabriquer des armes dont -
pour certaines - elle fera commerce, y compris auprès de pays
non-alliés voire ennemis potentiels ou avérés.
Qu'est ce qui ne va pas chez vous quand j'essaye de vous faire
comprendre (ou dire, si vous avez compris) que la France - comme
plusieurs pays européens ou occidentaux ou membres de l'ex-URSS -
n'ayant plus à s'occuper d'une guerre chez elle, sur son propre
territoire (guerre devenue quasi impossible par le jeu des alliances
politiques et économiques) est désormais réduite à l'état de _marchand
d'armes_?
Cette activité hautement lucrative n'a effectivement rien à voir avec
la notion de souveraineté de la France mais tout à voir avec le
commerce et, à mon grand regret/effroi/dégoût, tout ce que je vois,
ce sont des pays à forte technologie militaire qui maintiennent des
guerres qui s'éteindraient d'elles-mêmes, dans des pays sous-évolués,
tant sur le plan de la fabrication des armes que sur le plan des
droits de l'Homme (et de la femme) uniquement parce que ces pays
constituent un débouché juteux à leurs matériels militaires.
Comme si des adultes, voyant des enfants se battre à coups de poings,
décidaient, au lieu de les séparer, de leur vendre des poignards et
des épées, des pistolets et des canons, dans un but de lucre mais
tout en affirmant haut et fort aux témoins de la scène que c'est pour
faire cesser ces combats stériles.
> C'est un savoir faire.
Vous parlez comme un VRP.
Nos politiques sont des VRP qui travaillent pour le compte des
marchands d'armes (et d'OGM, mais on verra ça plus tard).