Colonel Kilgore wrote:Il se trouve que luciole135 a formulé :
> Ce n'est pas l'économie planifiée qui a été un échec. En France, la
> planification a apporté Concorde (d'où les Airbus), le TGV et
Je crois que tout le monde sait que Concorde est un échec
retentissant. Il n'y a pas de raison de construire un avion
supersonique pour apprendre à faire des avions subsoniques : on le
fait directement, point. Airbus n'a pas besoin de Concorde : il
suffisait de faire Airbus d'abord.
Quand au TGV, pourqui est-il invendu à l'étranger (une ligne en corée
du sud, et c'est tout) ? La réponse est peut-être que faute de
subvention à la ligne spéciale indispensable, il intéresse peu....
> et nombre d'innovations.
Le minitel ?
Aucun pays n'achète le TGV français car il ne présente pas d'intérêt:
Le prix de revient du transport est énorme, le double des prix
pratiqués en France et bien supérieur aux prix de revient de l'avion.
Si les français devaient payer le vrai prix de revient des TGV, les
trains seraient vides.
Un AR Paris Marseille couterait 300 €.
La dette de la SNCF/RTT est de 40+ milliards en 2014.... soit un cout
de 120 € par foyer français chaque année.
Aucun pays n'a fait de TGV car ces pays ont réfléchi avant de se
lancer...ils ont conclu que cela ne tenait pas la route.
Dépenser 15 milliards d'euros pour gagner 30 minutes sur un trajet en
sachant que cela sera reperdu en attendant un taxi ou dans les
embouteillages, cela n'a aucun sens, ce ne sont que des caprices de
politiciens, d'énarques qui veulent faire joujou.
Colonel Kilgore wrote:
Il se trouve que luciole135 a formulé :
> Ce n'est pas l'économie planifiée qui a été un échec. En France, la
> planification a apporté Concorde (d'où les Airbus), le TGV et
Je crois que tout le monde sait que Concorde est un échec
retentissant. Il n'y a pas de raison de construire un avion
supersonique pour apprendre à faire des avions subsoniques : on le
fait directement, point. Airbus n'a pas besoin de Concorde : il
suffisait de faire Airbus d'abord.
Quand au TGV, pourqui est-il invendu à l'étranger (une ligne en corée
du sud, et c'est tout) ? La réponse est peut-être que faute de
subvention à la ligne spéciale indispensable, il intéresse peu....
> et nombre d'innovations.
Le minitel ?
Aucun pays n'achète le TGV français car il ne présente pas d'intérêt:
Le prix de revient du transport est énorme, le double des prix
pratiqués en France et bien supérieur aux prix de revient de l'avion.
Si les français devaient payer le vrai prix de revient des TGV, les
trains seraient vides.
Un AR Paris Marseille couterait 300 €.
La dette de la SNCF/RTT est de 40+ milliards en 2014.... soit un cout
de 120 € par foyer français chaque année.
Aucun pays n'a fait de TGV car ces pays ont réfléchi avant de se
lancer...ils ont conclu que cela ne tenait pas la route.
Dépenser 15 milliards d'euros pour gagner 30 minutes sur un trajet en
sachant que cela sera reperdu en attendant un taxi ou dans les
embouteillages, cela n'a aucun sens, ce ne sont que des caprices de
politiciens, d'énarques qui veulent faire joujou.
Colonel Kilgore wrote:Il se trouve que luciole135 a formulé :
> Ce n'est pas l'économie planifiée qui a été un échec. En France, la
> planification a apporté Concorde (d'où les Airbus), le TGV et
Je crois que tout le monde sait que Concorde est un échec
retentissant. Il n'y a pas de raison de construire un avion
supersonique pour apprendre à faire des avions subsoniques : on le
fait directement, point. Airbus n'a pas besoin de Concorde : il
suffisait de faire Airbus d'abord.
Quand au TGV, pourqui est-il invendu à l'étranger (une ligne en corée
du sud, et c'est tout) ? La réponse est peut-être que faute de
subvention à la ligne spéciale indispensable, il intéresse peu....
> et nombre d'innovations.
Le minitel ?
Aucun pays n'achète le TGV français car il ne présente pas d'intérêt:
Le prix de revient du transport est énorme, le double des prix
pratiqués en France et bien supérieur aux prix de revient de l'avion.
Si les français devaient payer le vrai prix de revient des TGV, les
trains seraient vides.
Un AR Paris Marseille couterait 300 €.
La dette de la SNCF/RTT est de 40+ milliards en 2014.... soit un cout
de 120 € par foyer français chaque année.
Aucun pays n'a fait de TGV car ces pays ont réfléchi avant de se
lancer...ils ont conclu que cela ne tenait pas la route.
Dépenser 15 milliards d'euros pour gagner 30 minutes sur un trajet en
sachant que cela sera reperdu en attendant un taxi ou dans les
embouteillages, cela n'a aucun sens, ce ne sont que des caprices de
politiciens, d'énarques qui veulent faire joujou.
zw wrote:
> Ricazerty wrote:
> > Voyons l'analyse de notre grand expert zw concernant le Rafale
> > qui lui ne s'est effectivement jamais vendu à l'étranger....
>
Vous dites :
> POur moi, les dépenses militaires sont une priorité absolue, elles
> sont l'un des fondements de la souveraineté,
(...)
> , sans budget militaire important, une nation est condamnée à être
> exploitée par la mondialisation.
(...)
Et ensuite, vous affirmez :
> Maintenant, concernant le programme Rafale, je crois
> qu'effectivement, l'état a, à nouveau, mal dépensé l'argent public,
> il me semble que le partage du risque a été mal géré,
(...)
> Ces programmes d'armements deviennent de plus en plus couteux, la
> France ne pourra pas porter cela toute seule, c'est impossible,
Donc, si je comprends bien, pour préserver la souveraineté de la
France et lutter contre la mondialisation, il faut que la France
construise des avions de guerre en collaboration avec des pays
étrangers, pour mieux ensuite les vendre à d'autres pays étrangers...
Vous ne prendriez pas ceux qui vous lisent pour des andouilles, par
hasard?
zw <zw@9y.com> wrote:
> Ricazerty wrote:
> > Voyons l'analyse de notre grand expert zw concernant le Rafale
> > qui lui ne s'est effectivement jamais vendu à l'étranger....
>
Vous dites :
> POur moi, les dépenses militaires sont une priorité absolue, elles
> sont l'un des fondements de la souveraineté,
(...)
> , sans budget militaire important, une nation est condamnée à être
> exploitée par la mondialisation.
(...)
Et ensuite, vous affirmez :
> Maintenant, concernant le programme Rafale, je crois
> qu'effectivement, l'état a, à nouveau, mal dépensé l'argent public,
> il me semble que le partage du risque a été mal géré,
(...)
> Ces programmes d'armements deviennent de plus en plus couteux, la
> France ne pourra pas porter cela toute seule, c'est impossible,
Donc, si je comprends bien, pour préserver la souveraineté de la
France et lutter contre la mondialisation, il faut que la France
construise des avions de guerre en collaboration avec des pays
étrangers, pour mieux ensuite les vendre à d'autres pays étrangers...
Vous ne prendriez pas ceux qui vous lisent pour des andouilles, par
hasard?
zw wrote:
> Ricazerty wrote:
> > Voyons l'analyse de notre grand expert zw concernant le Rafale
> > qui lui ne s'est effectivement jamais vendu à l'étranger....
>
Vous dites :
> POur moi, les dépenses militaires sont une priorité absolue, elles
> sont l'un des fondements de la souveraineté,
(...)
> , sans budget militaire important, une nation est condamnée à être
> exploitée par la mondialisation.
(...)
Et ensuite, vous affirmez :
> Maintenant, concernant le programme Rafale, je crois
> qu'effectivement, l'état a, à nouveau, mal dépensé l'argent public,
> il me semble que le partage du risque a été mal géré,
(...)
> Ces programmes d'armements deviennent de plus en plus couteux, la
> France ne pourra pas porter cela toute seule, c'est impossible,
Donc, si je comprends bien, pour préserver la souveraineté de la
France et lutter contre la mondialisation, il faut que la France
construise des avions de guerre en collaboration avec des pays
étrangers, pour mieux ensuite les vendre à d'autres pays étrangers...
Vous ne prendriez pas ceux qui vous lisent pour des andouilles, par
hasard?
ST a émis l'idée suivante :Ensuite sur le cout du TGV supérieur à celui de l'avion, tu repasseras,
on ne transporte pas exactement le même nombre de passager dans un TGV
que dans un avion et le taux de remplissage n'est pas mauvais du tout.
Si la SNCF était rentable, ça se saurait.
Mais le problème est ailleurs...
Dans les sixties, la France avait 30 ans d'avance sur le reste du monde
avec l'aérotrain de Jean Bertin.
Vitesse de croisière 300 Km/h, de pointe 400 Km/h, record à 450 Km/h
et surtout l'absence de surface de contact optimisait le ratio énergie
dépensée/puissance obtenue.
Dans un premier temps, la sustentation se faisait sur coussin d'air,
mais ensuite on envisageait la sustentation électro-magnétique, comme
le feront + tard les Allemands et les Japonais.
En outre, cet engin révolutionnaire n'utilisait pas des rails en aciers
spéciaux, onéreux et qui coûtent cher à entretenir, mais un T de béton,
bien meilleur marché, avec un assemblage modulaire type Lego, et dont
la longévité était assurée par l'absence de frottements.
Seulement, voilà, l'aérotrain approuvé par De Gaulle dérangeait
quelques
politiciens et hauts fonctionnaires au service de certains industriels.
D'abord, Bertin n'était pas du genre flagorneur.
Or les gens de pouvoir ne supportent pas qu'on ne leur lèche pas le
cul.
Et puis, il était Français.
Une tare irrémédiable pour "la caste" qui ne s'émerveille que devant
des personnalités et productions exotiques...
Ensuite, les énarques de la SNCF et des administrations qui se prennent
pour des cadors n'appréciaient pas d'être surclassés par un génie qui
n'était pas du sérail.
Certes, il avait fait X et Sup'Aéro, mais horresco referens, il avait
bossé dans le privé avant de fonder sa propre PME.
En France, on vous flingue pour moins que ça !
Enfin et surtout, l'aérotrain a été victime des lobbies industriels.
D'après Michel Guérin, élu communiste (pour une fois qu'on bolcho ne
dit
pas que des conneries, on ne va pas bouder son plaisir) ;-)
"Dans notre pays, les relations privées peuvent tordre le cou de
l’intérêt général. Et ce fut le cas pour l’aérotrain. […] Un engin qui
n’utilise ni pneus Michelin ni carburant Total et surtout pas de moteur
de chez Jeumont-Schneider, c’est intolérable, d’autant que Mme Giscard
appartenait à la lignée des Schneider…"
Il aurait pu également évoquer le lobby de l'acier, privé d'un marché
juteux, les rails mais aussi les wagons qui in fine auraient dû être
en composite carbone (bien meilleur rapport poids-solidité que l'acier)
L'aérotrain fut mis aux oubliettes en 1974.
Et définitivement abandonné en 1977.
Plus tard, un mystérieux incendie le fit s'évaporer dans son hangar.
La société de Bertin continue à fabriquer des engins sur coussin d'air
pour l'armée et le CNES, mais s'après son PDG actuel :
"Parmi les jeunes ingénieurs qui rejoignent l’usine, très peu ont une
connaissance précise des travaux de Jean Bertin. Dans le meilleur des
cas, leurs parents en ont vaguement parlé un jour…"
http://www.liberation.fr/culture/2009/08/05/l-elan-brise-de-l-aerotrain_574395
ST a émis l'idée suivante :
Ensuite sur le cout du TGV supérieur à celui de l'avion, tu repasseras,
on ne transporte pas exactement le même nombre de passager dans un TGV
que dans un avion et le taux de remplissage n'est pas mauvais du tout.
Si la SNCF était rentable, ça se saurait.
Mais le problème est ailleurs...
Dans les sixties, la France avait 30 ans d'avance sur le reste du monde
avec l'aérotrain de Jean Bertin.
Vitesse de croisière 300 Km/h, de pointe 400 Km/h, record à 450 Km/h
et surtout l'absence de surface de contact optimisait le ratio énergie
dépensée/puissance obtenue.
Dans un premier temps, la sustentation se faisait sur coussin d'air,
mais ensuite on envisageait la sustentation électro-magnétique, comme
le feront + tard les Allemands et les Japonais.
En outre, cet engin révolutionnaire n'utilisait pas des rails en aciers
spéciaux, onéreux et qui coûtent cher à entretenir, mais un T de béton,
bien meilleur marché, avec un assemblage modulaire type Lego, et dont
la longévité était assurée par l'absence de frottements.
Seulement, voilà, l'aérotrain approuvé par De Gaulle dérangeait
quelques
politiciens et hauts fonctionnaires au service de certains industriels.
D'abord, Bertin n'était pas du genre flagorneur.
Or les gens de pouvoir ne supportent pas qu'on ne leur lèche pas le
cul.
Et puis, il était Français.
Une tare irrémédiable pour "la caste" qui ne s'émerveille que devant
des personnalités et productions exotiques...
Ensuite, les énarques de la SNCF et des administrations qui se prennent
pour des cadors n'appréciaient pas d'être surclassés par un génie qui
n'était pas du sérail.
Certes, il avait fait X et Sup'Aéro, mais horresco referens, il avait
bossé dans le privé avant de fonder sa propre PME.
En France, on vous flingue pour moins que ça !
Enfin et surtout, l'aérotrain a été victime des lobbies industriels.
D'après Michel Guérin, élu communiste (pour une fois qu'on bolcho ne
dit
pas que des conneries, on ne va pas bouder son plaisir) ;-)
"Dans notre pays, les relations privées peuvent tordre le cou de
l’intérêt général. Et ce fut le cas pour l’aérotrain. […] Un engin qui
n’utilise ni pneus Michelin ni carburant Total et surtout pas de moteur
de chez Jeumont-Schneider, c’est intolérable, d’autant que Mme Giscard
appartenait à la lignée des Schneider…"
Il aurait pu également évoquer le lobby de l'acier, privé d'un marché
juteux, les rails mais aussi les wagons qui in fine auraient dû être
en composite carbone (bien meilleur rapport poids-solidité que l'acier)
L'aérotrain fut mis aux oubliettes en 1974.
Et définitivement abandonné en 1977.
Plus tard, un mystérieux incendie le fit s'évaporer dans son hangar.
La société de Bertin continue à fabriquer des engins sur coussin d'air
pour l'armée et le CNES, mais s'après son PDG actuel :
"Parmi les jeunes ingénieurs qui rejoignent l’usine, très peu ont une
connaissance précise des travaux de Jean Bertin. Dans le meilleur des
cas, leurs parents en ont vaguement parlé un jour…"
http://www.liberation.fr/culture/2009/08/05/l-elan-brise-de-l-aerotrain_574395
ST a émis l'idée suivante :Ensuite sur le cout du TGV supérieur à celui de l'avion, tu repasseras,
on ne transporte pas exactement le même nombre de passager dans un TGV
que dans un avion et le taux de remplissage n'est pas mauvais du tout.
Si la SNCF était rentable, ça se saurait.
Mais le problème est ailleurs...
Dans les sixties, la France avait 30 ans d'avance sur le reste du monde
avec l'aérotrain de Jean Bertin.
Vitesse de croisière 300 Km/h, de pointe 400 Km/h, record à 450 Km/h
et surtout l'absence de surface de contact optimisait le ratio énergie
dépensée/puissance obtenue.
Dans un premier temps, la sustentation se faisait sur coussin d'air,
mais ensuite on envisageait la sustentation électro-magnétique, comme
le feront + tard les Allemands et les Japonais.
En outre, cet engin révolutionnaire n'utilisait pas des rails en aciers
spéciaux, onéreux et qui coûtent cher à entretenir, mais un T de béton,
bien meilleur marché, avec un assemblage modulaire type Lego, et dont
la longévité était assurée par l'absence de frottements.
Seulement, voilà, l'aérotrain approuvé par De Gaulle dérangeait
quelques
politiciens et hauts fonctionnaires au service de certains industriels.
D'abord, Bertin n'était pas du genre flagorneur.
Or les gens de pouvoir ne supportent pas qu'on ne leur lèche pas le
cul.
Et puis, il était Français.
Une tare irrémédiable pour "la caste" qui ne s'émerveille que devant
des personnalités et productions exotiques...
Ensuite, les énarques de la SNCF et des administrations qui se prennent
pour des cadors n'appréciaient pas d'être surclassés par un génie qui
n'était pas du sérail.
Certes, il avait fait X et Sup'Aéro, mais horresco referens, il avait
bossé dans le privé avant de fonder sa propre PME.
En France, on vous flingue pour moins que ça !
Enfin et surtout, l'aérotrain a été victime des lobbies industriels.
D'après Michel Guérin, élu communiste (pour une fois qu'on bolcho ne
dit
pas que des conneries, on ne va pas bouder son plaisir) ;-)
"Dans notre pays, les relations privées peuvent tordre le cou de
l’intérêt général. Et ce fut le cas pour l’aérotrain. […] Un engin qui
n’utilise ni pneus Michelin ni carburant Total et surtout pas de moteur
de chez Jeumont-Schneider, c’est intolérable, d’autant que Mme Giscard
appartenait à la lignée des Schneider…"
Il aurait pu également évoquer le lobby de l'acier, privé d'un marché
juteux, les rails mais aussi les wagons qui in fine auraient dû être
en composite carbone (bien meilleur rapport poids-solidité que l'acier)
L'aérotrain fut mis aux oubliettes en 1974.
Et définitivement abandonné en 1977.
Plus tard, un mystérieux incendie le fit s'évaporer dans son hangar.
La société de Bertin continue à fabriquer des engins sur coussin d'air
pour l'armée et le CNES, mais s'après son PDG actuel :
"Parmi les jeunes ingénieurs qui rejoignent l’usine, très peu ont une
connaissance précise des travaux de Jean Bertin. Dans le meilleur des
cas, leurs parents en ont vaguement parlé un jour…"
http://www.liberation.fr/culture/2009/08/05/l-elan-brise-de-l-aerotrain_574395
POur moi, les dépenses militaires sont une priorité absolue, elles sont
l'un des fondements de la souveraineté, non pas pour défendre les
frontières bien entendu, mais pour intervenir partout dans le monde et
s'assurer de protéger les intérêts stratégiques français. Dis de façon
plus directe: influencer le cours des choses dans une direction
favorable à la France, ce que font les USA avec leur Ministère de
l'Attaque aussi appelé Ministère de la Défense dans le domaine public.
POur moi, les dépenses militaires sont une priorité absolue, elles sont
l'un des fondements de la souveraineté, non pas pour défendre les
frontières bien entendu, mais pour intervenir partout dans le monde et
s'assurer de protéger les intérêts stratégiques français. Dis de façon
plus directe: influencer le cours des choses dans une direction
favorable à la France, ce que font les USA avec leur Ministère de
l'Attaque aussi appelé Ministère de la Défense dans le domaine public.
POur moi, les dépenses militaires sont une priorité absolue, elles sont
l'un des fondements de la souveraineté, non pas pour défendre les
frontières bien entendu, mais pour intervenir partout dans le monde et
s'assurer de protéger les intérêts stratégiques français. Dis de façon
plus directe: influencer le cours des choses dans une direction
favorable à la France, ce que font les USA avec leur Ministère de
l'Attaque aussi appelé Ministère de la Défense dans le domaine public.
Le problème de l'ex URSS a été un désastreux processus comptable. Seule la
matière première consommée était comptabilisée comme référence, ainsi, les
Lada des années 70/80 avaient un porte roue de secours qui pesait à lui seul
70 kg.
Le problème de l'ex URSS a été un désastreux processus comptable. Seule la
matière première consommée était comptabilisée comme référence, ainsi, les
Lada des années 70/80 avaient un porte roue de secours qui pesait à lui seul
70 kg.
Le problème de l'ex URSS a été un désastreux processus comptable. Seule la
matière première consommée était comptabilisée comme référence, ainsi, les
Lada des années 70/80 avaient un porte roue de secours qui pesait à lui seul
70 kg.
Si la SNCF était rentable, ça se saurait.
Mais le problème est ailleurs...
Dans les sixties, la France avait 30 ans d'avance sur le reste du monde
avec l'aérotrain de Jean Bertin.
Si la SNCF était rentable, ça se saurait.
Mais le problème est ailleurs...
Dans les sixties, la France avait 30 ans d'avance sur le reste du monde
avec l'aérotrain de Jean Bertin.
Si la SNCF était rentable, ça se saurait.
Mais le problème est ailleurs...
Dans les sixties, la France avait 30 ans d'avance sur le reste du monde
avec l'aérotrain de Jean Bertin.
luciole135 a écrit:Le problème de l'ex URSS a été un désastreux processus comptable.
Seule la matière première consommée était comptabilisée comme
référence, ainsi, les Lada des années 70/80 avaient un porte roue de
secours qui pesait à lui seul 70 kg.
Vérifiez l'authenticité de cette anecdote. Les Lada des années 70/80
étaient majoritairement des modèles Fiat déclassés. Rajouter du poids
inutile pour faire plaisir aux grands planificateurs ? Les
administrateurs soviétiques n'étaient sans doute pas aussi bêtes que cela.
C'est juste donner des idées aux féroces inventeurs de blagues sur les
Lada.
luciole135 a écrit:
Le problème de l'ex URSS a été un désastreux processus comptable.
Seule la matière première consommée était comptabilisée comme
référence, ainsi, les Lada des années 70/80 avaient un porte roue de
secours qui pesait à lui seul 70 kg.
Vérifiez l'authenticité de cette anecdote. Les Lada des années 70/80
étaient majoritairement des modèles Fiat déclassés. Rajouter du poids
inutile pour faire plaisir aux grands planificateurs ? Les
administrateurs soviétiques n'étaient sans doute pas aussi bêtes que cela.
C'est juste donner des idées aux féroces inventeurs de blagues sur les
Lada.
luciole135 a écrit:Le problème de l'ex URSS a été un désastreux processus comptable.
Seule la matière première consommée était comptabilisée comme
référence, ainsi, les Lada des années 70/80 avaient un porte roue de
secours qui pesait à lui seul 70 kg.
Vérifiez l'authenticité de cette anecdote. Les Lada des années 70/80
étaient majoritairement des modèles Fiat déclassés. Rajouter du poids
inutile pour faire plaisir aux grands planificateurs ? Les
administrateurs soviétiques n'étaient sans doute pas aussi bêtes que cela.
C'est juste donner des idées aux féroces inventeurs de blagues sur les
Lada.
zw wrote:
Vous dites :POur moi, les dépenses militaires sont une priorité absolue, elles sont
l'un des fondements de la souveraineté, (...)
, sans budget militaire important, une nation est condamnée à être
exploitée par la mondialisation.
(...)
Et ensuite, vous affirmez :Maintenant, concernant le programme Rafale, je crois qu'effectivement,
l'état a, à nouveau, mal dépensé l'argent public, il me semble que le
partage du risque a été mal géré, (...)
Ces programmes d'armements deviennent de plus en plus couteux, la
France ne pourra pas porter cela toute seule, c'est impossible,
Donc, si je comprends bien, pour préserver la souveraineté de la France
et lutter contre la mondialisation, il faut que la France construise des
avions de guerre en collaboration avec des pays étrangers, pour mieux
ensuite les vendre à d'autres pays étrangers...
zw <zw@9y.com> wrote:
Vous dites :
POur moi, les dépenses militaires sont une priorité absolue, elles sont
l'un des fondements de la souveraineté, (...)
, sans budget militaire important, une nation est condamnée à être
exploitée par la mondialisation.
(...)
Et ensuite, vous affirmez :
Maintenant, concernant le programme Rafale, je crois qu'effectivement,
l'état a, à nouveau, mal dépensé l'argent public, il me semble que le
partage du risque a été mal géré, (...)
Ces programmes d'armements deviennent de plus en plus couteux, la
France ne pourra pas porter cela toute seule, c'est impossible,
Donc, si je comprends bien, pour préserver la souveraineté de la France
et lutter contre la mondialisation, il faut que la France construise des
avions de guerre en collaboration avec des pays étrangers, pour mieux
ensuite les vendre à d'autres pays étrangers...
zw wrote:
Vous dites :POur moi, les dépenses militaires sont une priorité absolue, elles sont
l'un des fondements de la souveraineté, (...)
, sans budget militaire important, une nation est condamnée à être
exploitée par la mondialisation.
(...)
Et ensuite, vous affirmez :Maintenant, concernant le programme Rafale, je crois qu'effectivement,
l'état a, à nouveau, mal dépensé l'argent public, il me semble que le
partage du risque a été mal géré, (...)
Ces programmes d'armements deviennent de plus en plus couteux, la
France ne pourra pas porter cela toute seule, c'est impossible,
Donc, si je comprends bien, pour préserver la souveraineté de la France
et lutter contre la mondialisation, il faut que la France construise des
avions de guerre en collaboration avec des pays étrangers, pour mieux
ensuite les vendre à d'autres pays étrangers...
Dominique (de Corse) wrote:zw wrote:Ricazerty wrote:Voyons l'analyse de notre grand expert zw concernant le Rafale
qui lui ne s'est effectivement jamais vendu à l'étranger....
Vous dites :POur moi, les dépenses militaires sont une priorité absolue, elles
sont l'un des fondements de la souveraineté,
(...), sans budget militaire important, une nation est condamnée à être
exploitée par la mondialisation.
(...)
Et ensuite, vous affirmez :Maintenant, concernant le programme Rafale, je crois
qu'effectivement, l'état a, à nouveau, mal dépensé l'argent public,
il me semble que le partage du risque a été mal géré,
(...)Ces programmes d'armements deviennent de plus en plus couteux, la
France ne pourra pas porter cela toute seule, c'est impossible,
Donc, si je comprends bien, pour préserver la souveraineté de la
France et lutter contre la mondialisation, il faut que la France
construise des avions de guerre en collaboration avec des pays
étrangers, pour mieux ensuite les vendre à d'autres pays étrangers...
Vous ne prendriez pas ceux qui vous lisent pour des andouilles, par
hasard?
(...)
Je précise ou ré-explique différement ma position: Les dépenses
militaires sont des dépenses importantes, ...........................
Dominique (de Corse) wrote:
zw <zw@9y.com> wrote:
Ricazerty wrote:
Voyons l'analyse de notre grand expert zw concernant le Rafale
qui lui ne s'est effectivement jamais vendu à l'étranger....
Vous dites :
POur moi, les dépenses militaires sont une priorité absolue, elles
sont l'un des fondements de la souveraineté,
(...)
, sans budget militaire important, une nation est condamnée à être
exploitée par la mondialisation.
(...)
Et ensuite, vous affirmez :
Maintenant, concernant le programme Rafale, je crois
qu'effectivement, l'état a, à nouveau, mal dépensé l'argent public,
il me semble que le partage du risque a été mal géré,
(...)
Ces programmes d'armements deviennent de plus en plus couteux, la
France ne pourra pas porter cela toute seule, c'est impossible,
Donc, si je comprends bien, pour préserver la souveraineté de la
France et lutter contre la mondialisation, il faut que la France
construise des avions de guerre en collaboration avec des pays
étrangers, pour mieux ensuite les vendre à d'autres pays étrangers...
Vous ne prendriez pas ceux qui vous lisent pour des andouilles, par
hasard?
(...)
Je précise ou ré-explique différement ma position: Les dépenses
militaires sont des dépenses importantes, ...........................
Dominique (de Corse) wrote:zw wrote:Ricazerty wrote:Voyons l'analyse de notre grand expert zw concernant le Rafale
qui lui ne s'est effectivement jamais vendu à l'étranger....
Vous dites :POur moi, les dépenses militaires sont une priorité absolue, elles
sont l'un des fondements de la souveraineté,
(...), sans budget militaire important, une nation est condamnée à être
exploitée par la mondialisation.
(...)
Et ensuite, vous affirmez :Maintenant, concernant le programme Rafale, je crois
qu'effectivement, l'état a, à nouveau, mal dépensé l'argent public,
il me semble que le partage du risque a été mal géré,
(...)Ces programmes d'armements deviennent de plus en plus couteux, la
France ne pourra pas porter cela toute seule, c'est impossible,
Donc, si je comprends bien, pour préserver la souveraineté de la
France et lutter contre la mondialisation, il faut que la France
construise des avions de guerre en collaboration avec des pays
étrangers, pour mieux ensuite les vendre à d'autres pays étrangers...
Vous ne prendriez pas ceux qui vous lisent pour des andouilles, par
hasard?
(...)
Je précise ou ré-explique différement ma position: Les dépenses
militaires sont des dépenses importantes, ...........................