et cela ** quelles que soient ** les trois primaires choisies.
une ou deux des composantes chromatiques sont négatives
De nos jours, ce serait un simple problème d'optimisation
et cela ** quelles que soient ** les trois primaires choisies.
une ou deux des composantes chromatiques sont négatives
De nos jours, ce serait un simple problème d'optimisation
et cela ** quelles que soient ** les trois primaires choisies.
une ou deux des composantes chromatiques sont négatives
De nos jours, ce serait un simple problème d'optimisation
La couleur, physiquement, c'est un spectre continu,
La couleur n'existe pas.
Seuls , existent des fréquences Terahertz !et la trichromie, aussi
parfaite soit-elle, ne peut pas reproduire un spectre continu.
La couleur est du à un spectre discontinu en fréquences
imparfait ,
Parce que la technologie ne sait pas travailler
directement en fréquences Terahertz
(voir en un mode multifréquences Terahertz)
actuellement elle ne fait que des interpretations physico-chimiques
que se soit à la capture ou à la reproduction
La couleur, physiquement, c'est un spectre continu,
La couleur n'existe pas.
Seuls , existent des fréquences Terahertz !
et la trichromie, aussi
parfaite soit-elle, ne peut pas reproduire un spectre continu.
La couleur est du à un spectre discontinu en fréquences
imparfait ,
Parce que la technologie ne sait pas travailler
directement en fréquences Terahertz
(voir en un mode multifréquences Terahertz)
actuellement elle ne fait que des interpretations physico-chimiques
que se soit à la capture ou à la reproduction
La couleur, physiquement, c'est un spectre continu,
La couleur n'existe pas.
Seuls , existent des fréquences Terahertz !et la trichromie, aussi
parfaite soit-elle, ne peut pas reproduire un spectre continu.
La couleur est du à un spectre discontinu en fréquences
imparfait ,
Parce que la technologie ne sait pas travailler
directement en fréquences Terahertz
(voir en un mode multifréquences Terahertz)
actuellement elle ne fait que des interpretations physico-chimiques
que se soit à la capture ou à la reproduction
Moi je parle de couleurs perceptibles, réelles si tu préfères, mesurables.
La couleur qui intéresse le photographe, celle d'un tissu, d'un papier, d'un
éclairage. Eh bien il faut le dire, avec trois couleurs primaires réelles,
tu les choisis comme tu veux, tu ne peux pas reproduire tout le domaine du
visible. C'est aussi simple que cela.
Toi tu parles de modélisation théorique faisant appel à des composantes qui
n'ont pas d'existence physique, et auxquelles il faudrait parfois donner des
coefficients négatifs pour couvrir le domaine du visible. On peut en remplir
des pages et des pages, aligner les graphiques, les matrices, l'historique
des modèles ou tout ce qu'on voudra, en vrai ça ne marche pas.
Moi je parle de couleurs perceptibles, réelles si tu préfères, mesurables.
La couleur qui intéresse le photographe, celle d'un tissu, d'un papier, d'un
éclairage. Eh bien il faut le dire, avec trois couleurs primaires réelles,
tu les choisis comme tu veux, tu ne peux pas reproduire tout le domaine du
visible. C'est aussi simple que cela.
Toi tu parles de modélisation théorique faisant appel à des composantes qui
n'ont pas d'existence physique, et auxquelles il faudrait parfois donner des
coefficients négatifs pour couvrir le domaine du visible. On peut en remplir
des pages et des pages, aligner les graphiques, les matrices, l'historique
des modèles ou tout ce qu'on voudra, en vrai ça ne marche pas.
Moi je parle de couleurs perceptibles, réelles si tu préfères, mesurables.
La couleur qui intéresse le photographe, celle d'un tissu, d'un papier, d'un
éclairage. Eh bien il faut le dire, avec trois couleurs primaires réelles,
tu les choisis comme tu veux, tu ne peux pas reproduire tout le domaine du
visible. C'est aussi simple que cela.
Toi tu parles de modélisation théorique faisant appel à des composantes qui
n'ont pas d'existence physique, et auxquelles il faudrait parfois donner des
coefficients négatifs pour couvrir le domaine du visible. On peut en remplir
des pages et des pages, aligner les graphiques, les matrices, l'historique
des modèles ou tout ce qu'on voudra, en vrai ça ne marche pas.
Les peintres le savent depuis longtemps : pourquoi crois-tu qu'il y ait
tellement de pastels ou de tubes si trois suffisaient ?
On a choisi ce modèle parce qu'il était le plus simple et le plus pratique,
pas parce qu'il était le meilleur.
Autrement dit, il suffit qu'un constructeur sorte une imprimante avec cinq
ou six encres colorées au lieu de trois pour que son gamut explose.
n'a rien à voir avec la gestion de la couleur, des espaces sRGB ou je ne
sais pas quoi.
Les peintres le savent depuis longtemps : pourquoi crois-tu qu'il y ait
tellement de pastels ou de tubes si trois suffisaient ?
On a choisi ce modèle parce qu'il était le plus simple et le plus pratique,
pas parce qu'il était le meilleur.
Autrement dit, il suffit qu'un constructeur sorte une imprimante avec cinq
ou six encres colorées au lieu de trois pour que son gamut explose.
n'a rien à voir avec la gestion de la couleur, des espaces sRGB ou je ne
sais pas quoi.
Les peintres le savent depuis longtemps : pourquoi crois-tu qu'il y ait
tellement de pastels ou de tubes si trois suffisaient ?
On a choisi ce modèle parce qu'il était le plus simple et le plus pratique,
pas parce qu'il était le meilleur.
Autrement dit, il suffit qu'un constructeur sorte une imprimante avec cinq
ou six encres colorées au lieu de trois pour que son gamut explose.
n'a rien à voir avec la gestion de la couleur, des espaces sRGB ou je ne
sais pas quoi.
Je me suis fendue d'aller à un cours de peinture sur la couleur, bien que
je n'aime pas vraiment peindre,
Ce que je voulais, c'était apprendre au moins des choses sur la
perception, sur les composante psycho-emotionnelles-culturelles, ce genre
de bidules. . Ou celle qui fera le même effet perceptuel.
Je me suis fendue d'aller à un cours de peinture sur la couleur, bien que
je n'aime pas vraiment peindre,
Ce que je voulais, c'était apprendre au moins des choses sur la
perception, sur les composante psycho-emotionnelles-culturelles, ce genre
de bidules. . Ou celle qui fera le même effet perceptuel.
Je me suis fendue d'aller à un cours de peinture sur la couleur, bien que
je n'aime pas vraiment peindre,
Ce que je voulais, c'était apprendre au moins des choses sur la
perception, sur les composante psycho-emotionnelles-culturelles, ce genre
de bidules. . Ou celle qui fera le même effet perceptuel.
Charles Vassallo a écrit
et cela ** quelles que soient ** les trois primaires choisies.
Attends, tu prends un jaune, un orange et un rouge par exemple, et tu
arrives à faire du bleu, toi ? Fort.
En fait on parle de deux choses différentes.
Moi je parle de couleurs perceptibles, réelles si tu préfères, mesurables.
La couleur qui intéresse le photographe, celle d'un tissu, d'un papier,
d'un éclairage. Eh bien il faut le dire, avec trois couleurs primaires réelles,
tu les choisis comme tu veux, tu ne peux pas reproduire tout le domaine du
visible. C'est aussi simple que cela.
[...] Le modèle basé sur des primaires ne marche pas bien. Il n'est pas et ne
sera jamais complet. Faut l'admettre, c'est comme ça.
On a choisi ce modèle parce qu'il était le plus simple et le plus pratique,
pas parce qu'il était le meilleur.
Charles Vassallo a écrit
et cela ** quelles que soient ** les trois primaires choisies.
Attends, tu prends un jaune, un orange et un rouge par exemple, et tu
arrives à faire du bleu, toi ? Fort.
En fait on parle de deux choses différentes.
Moi je parle de couleurs perceptibles, réelles si tu préfères, mesurables.
La couleur qui intéresse le photographe, celle d'un tissu, d'un papier,
d'un éclairage. Eh bien il faut le dire, avec trois couleurs primaires réelles,
tu les choisis comme tu veux, tu ne peux pas reproduire tout le domaine du
visible. C'est aussi simple que cela.
[...] Le modèle basé sur des primaires ne marche pas bien. Il n'est pas et ne
sera jamais complet. Faut l'admettre, c'est comme ça.
On a choisi ce modèle parce qu'il était le plus simple et le plus pratique,
pas parce qu'il était le meilleur.
Charles Vassallo a écrit
et cela ** quelles que soient ** les trois primaires choisies.
Attends, tu prends un jaune, un orange et un rouge par exemple, et tu
arrives à faire du bleu, toi ? Fort.
En fait on parle de deux choses différentes.
Moi je parle de couleurs perceptibles, réelles si tu préfères, mesurables.
La couleur qui intéresse le photographe, celle d'un tissu, d'un papier,
d'un éclairage. Eh bien il faut le dire, avec trois couleurs primaires réelles,
tu les choisis comme tu veux, tu ne peux pas reproduire tout le domaine du
visible. C'est aussi simple que cela.
[...] Le modèle basé sur des primaires ne marche pas bien. Il n'est pas et ne
sera jamais complet. Faut l'admettre, c'est comme ça.
On a choisi ce modèle parce qu'il était le plus simple et le plus pratique,
pas parce qu'il était le meilleur.
Le 13/07/11 12:21, Bour-Brown a écrit :Les peintres le savent depuis longtemps : pourquoi crois-tu qu'il y ait
tellement de pastels ou de tubes si trois suffisaient ?
Je suis contente que tu dises ça.
Je me suis fendue d'aller à un cours de peinture sur la couleur, bien que je
n'aime pas vraiment peindre, pour en apprendre plus. Et ça a commencé avec ce
putain de cercle chromatique et les couleurs primaires, quelle arnaque. Je n'y
ai pas cru une minute.
Ce que je voulais, c'était apprendre au moins des choses sur la perception,
sur les composante psycho-emotionnelles-culturelles, ce genre de bidules. Et
comment produire la couleur que je veux. Ou celle qui fera le même effet
perceptuel.
Mais bon, c'est de la matière. La lumière c'est différent.
On a choisi ce modèle parce qu'il était le plus simple et le plus pratique,
pas parce qu'il était le meilleur.
Autrement dit, il suffit qu'un constructeur sorte une imprimante avec cinq
ou six encres colorées au lieu de trois pour que son gamut explose.
Epson en est à 11 ou 12. Ce qui explose, c'est le budget, et la probabilité
d'avoir une tête qui est bouchée. Le gamut gagne un petit-petit peu...
Et celan'a rien à voir avec la gestion de la couleur, des espaces sRGB ou je ne
sais pas quoi.
Si parce que quand on peut prévoir les limitations et les dérives, on peut
aussi s'organiser pour en tenir compte, dans l'interêt de la photographie
elle-même et de ce qu'elle est supposée véhiculer.
Charles et moi avions fait une expérience avec une photo dont la couleur
principale - le vert brillant, anisé, était celui d'un emballage et sensé
donner une impression de fraicheur appétissante.
Sur une imprimante, nickel, la sienne comme la mienne arrivaient dans un
mouchoir même sur des papiers différents. Sur une tireuse, du pire au plus
pire, vert toxique, moutarde radioactive sur la Frontier.Hors gamut.
En revanche, un vert foncé, ombre d'un feuillage, hors gamut pour les
imprimantes, sortait bien sur les tireuses. Plus clair sur les imprimantes.
Comme par rapport à la photo il n'avait pas trop d'importance, on a laissé la
teinte de substitution plus claire.
Ce vert sombre aurait été indispensable, on aurait pu travailler sur les zones
pour que la substitution se fasse vers une couleur acceptable : par exemple un
vert un peu plus brun, mais aussi sombre.
J'ai d'autres exemples concrets parce que pour mon malheur, j'aime les
couleurs en bord de gamut. Par contre, je n'ai pas l'usage des teintes
"exactes" genre rouge caca-cola. Et ne fait pas tirer mes photos en Pantone,
comme me l'avait suggéré un rigolo :). Faut se mordre les joues parfois...
Comme tous les codes, les encodages des espaces couleurs et des profils
couleurs ça permet de communiquer.
Si tu es dans ton monde fermé, tu fais comme tu veux.What you get is what you
get, et tu peins par dessus ton impression.
Noëlle Adam
Le 13/07/11 12:21, Bour-Brown a écrit :
Les peintres le savent depuis longtemps : pourquoi crois-tu qu'il y ait
tellement de pastels ou de tubes si trois suffisaient ?
Je suis contente que tu dises ça.
Je me suis fendue d'aller à un cours de peinture sur la couleur, bien que je
n'aime pas vraiment peindre, pour en apprendre plus. Et ça a commencé avec ce
putain de cercle chromatique et les couleurs primaires, quelle arnaque. Je n'y
ai pas cru une minute.
Ce que je voulais, c'était apprendre au moins des choses sur la perception,
sur les composante psycho-emotionnelles-culturelles, ce genre de bidules. Et
comment produire la couleur que je veux. Ou celle qui fera le même effet
perceptuel.
Mais bon, c'est de la matière. La lumière c'est différent.
On a choisi ce modèle parce qu'il était le plus simple et le plus pratique,
pas parce qu'il était le meilleur.
Autrement dit, il suffit qu'un constructeur sorte une imprimante avec cinq
ou six encres colorées au lieu de trois pour que son gamut explose.
Epson en est à 11 ou 12. Ce qui explose, c'est le budget, et la probabilité
d'avoir une tête qui est bouchée. Le gamut gagne un petit-petit peu...
Et cela
n'a rien à voir avec la gestion de la couleur, des espaces sRGB ou je ne
sais pas quoi.
Si parce que quand on peut prévoir les limitations et les dérives, on peut
aussi s'organiser pour en tenir compte, dans l'interêt de la photographie
elle-même et de ce qu'elle est supposée véhiculer.
Charles et moi avions fait une expérience avec une photo dont la couleur
principale - le vert brillant, anisé, était celui d'un emballage et sensé
donner une impression de fraicheur appétissante.
Sur une imprimante, nickel, la sienne comme la mienne arrivaient dans un
mouchoir même sur des papiers différents. Sur une tireuse, du pire au plus
pire, vert toxique, moutarde radioactive sur la Frontier.Hors gamut.
En revanche, un vert foncé, ombre d'un feuillage, hors gamut pour les
imprimantes, sortait bien sur les tireuses. Plus clair sur les imprimantes.
Comme par rapport à la photo il n'avait pas trop d'importance, on a laissé la
teinte de substitution plus claire.
Ce vert sombre aurait été indispensable, on aurait pu travailler sur les zones
pour que la substitution se fasse vers une couleur acceptable : par exemple un
vert un peu plus brun, mais aussi sombre.
J'ai d'autres exemples concrets parce que pour mon malheur, j'aime les
couleurs en bord de gamut. Par contre, je n'ai pas l'usage des teintes
"exactes" genre rouge caca-cola. Et ne fait pas tirer mes photos en Pantone,
comme me l'avait suggéré un rigolo :). Faut se mordre les joues parfois...
Comme tous les codes, les encodages des espaces couleurs et des profils
couleurs ça permet de communiquer.
Si tu es dans ton monde fermé, tu fais comme tu veux.What you get is what you
get, et tu peins par dessus ton impression.
Noëlle Adam
Le 13/07/11 12:21, Bour-Brown a écrit :Les peintres le savent depuis longtemps : pourquoi crois-tu qu'il y ait
tellement de pastels ou de tubes si trois suffisaient ?
Je suis contente que tu dises ça.
Je me suis fendue d'aller à un cours de peinture sur la couleur, bien que je
n'aime pas vraiment peindre, pour en apprendre plus. Et ça a commencé avec ce
putain de cercle chromatique et les couleurs primaires, quelle arnaque. Je n'y
ai pas cru une minute.
Ce que je voulais, c'était apprendre au moins des choses sur la perception,
sur les composante psycho-emotionnelles-culturelles, ce genre de bidules. Et
comment produire la couleur que je veux. Ou celle qui fera le même effet
perceptuel.
Mais bon, c'est de la matière. La lumière c'est différent.
On a choisi ce modèle parce qu'il était le plus simple et le plus pratique,
pas parce qu'il était le meilleur.
Autrement dit, il suffit qu'un constructeur sorte une imprimante avec cinq
ou six encres colorées au lieu de trois pour que son gamut explose.
Epson en est à 11 ou 12. Ce qui explose, c'est le budget, et la probabilité
d'avoir une tête qui est bouchée. Le gamut gagne un petit-petit peu...
Et celan'a rien à voir avec la gestion de la couleur, des espaces sRGB ou je ne
sais pas quoi.
Si parce que quand on peut prévoir les limitations et les dérives, on peut
aussi s'organiser pour en tenir compte, dans l'interêt de la photographie
elle-même et de ce qu'elle est supposée véhiculer.
Charles et moi avions fait une expérience avec une photo dont la couleur
principale - le vert brillant, anisé, était celui d'un emballage et sensé
donner une impression de fraicheur appétissante.
Sur une imprimante, nickel, la sienne comme la mienne arrivaient dans un
mouchoir même sur des papiers différents. Sur une tireuse, du pire au plus
pire, vert toxique, moutarde radioactive sur la Frontier.Hors gamut.
En revanche, un vert foncé, ombre d'un feuillage, hors gamut pour les
imprimantes, sortait bien sur les tireuses. Plus clair sur les imprimantes.
Comme par rapport à la photo il n'avait pas trop d'importance, on a laissé la
teinte de substitution plus claire.
Ce vert sombre aurait été indispensable, on aurait pu travailler sur les zones
pour que la substitution se fasse vers une couleur acceptable : par exemple un
vert un peu plus brun, mais aussi sombre.
J'ai d'autres exemples concrets parce que pour mon malheur, j'aime les
couleurs en bord de gamut. Par contre, je n'ai pas l'usage des teintes
"exactes" genre rouge caca-cola. Et ne fait pas tirer mes photos en Pantone,
comme me l'avait suggéré un rigolo :). Faut se mordre les joues parfois...
Comme tous les codes, les encodages des espaces couleurs et des profils
couleurs ça permet de communiquer.
Si tu es dans ton monde fermé, tu fais comme tu veux.What you get is what you
get, et tu peins par dessus ton impression.
Noëlle Adam
en CMYK (on passe à quatre) il y a des couleurs qui ne peuvent être
imprimées (se balader dans la gamme Pantone pendant deux minutes suffit).
la plupart des logos sur les affiches sont faits justement avec un aplat
de la couleur et non une approximation par un mélange de CMYK.
en CMYK (on passe à quatre) il y a des couleurs qui ne peuvent être
imprimées (se balader dans la gamme Pantone pendant deux minutes suffit).
la plupart des logos sur les affiches sont faits justement avec un aplat
de la couleur et non une approximation par un mélange de CMYK.
en CMYK (on passe à quatre) il y a des couleurs qui ne peuvent être
imprimées (se balader dans la gamme Pantone pendant deux minutes suffit).
la plupart des logos sur les affiches sont faits justement avec un aplat
de la couleur et non une approximation par un mélange de CMYK.
Bour-Brown a écrit :Charles Vassallo a écriton n'a absolument pas besoin d'un chapitre sur le fonctionnement de la
rétine pour expliquer ce qu'on fait avec la synthèse trichrome
C'est que la *seule* justification de cette synthèse, c'est justement la
rétine et son fonctionnement.
On n'a absolument rien à justifier. On a juste à constater que ça marche,
puis, pour la gestion de la couleur, étudier *comment* ça marche. L'oeil
considéré comme une boîte noire, quoi.
Il est certes intéressant d'essayer de comprendre pourquoi il en
est ainsi, mais c'est une tout autre histoire.
En théorie des circuits, on ne cherche pas à savoir comment une boite noire
fonctionne, mais simplement de savoir comment elle répond aux entrées.
Charles
Bour-Brown a écrit :
Charles Vassallo a écrit
on n'a absolument pas besoin d'un chapitre sur le fonctionnement de la
rétine pour expliquer ce qu'on fait avec la synthèse trichrome
C'est que la *seule* justification de cette synthèse, c'est justement la
rétine et son fonctionnement.
On n'a absolument rien à justifier. On a juste à constater que ça marche,
puis, pour la gestion de la couleur, étudier *comment* ça marche. L'oeil
considéré comme une boîte noire, quoi.
Il est certes intéressant d'essayer de comprendre pourquoi il en
est ainsi, mais c'est une tout autre histoire.
En théorie des circuits, on ne cherche pas à savoir comment une boite noire
fonctionne, mais simplement de savoir comment elle répond aux entrées.
Charles
Bour-Brown a écrit :Charles Vassallo a écriton n'a absolument pas besoin d'un chapitre sur le fonctionnement de la
rétine pour expliquer ce qu'on fait avec la synthèse trichrome
C'est que la *seule* justification de cette synthèse, c'est justement la
rétine et son fonctionnement.
On n'a absolument rien à justifier. On a juste à constater que ça marche,
puis, pour la gestion de la couleur, étudier *comment* ça marche. L'oeil
considéré comme une boîte noire, quoi.
Il est certes intéressant d'essayer de comprendre pourquoi il en
est ainsi, mais c'est une tout autre histoire.
En théorie des circuits, on ne cherche pas à savoir comment une boite noire
fonctionne, mais simplement de savoir comment elle répond aux entrées.
Charles
ça dépend aussi du médium
En acrylique on peut très bien travailler avec six couleurs, ça prend un
peu plus de temps, mais ça fonctionne très bien.
à savoir qu'on puisse recréer toutes le couleurs avec quelques bases, ça
les fait rire.
ça dépend aussi du médium
En acrylique on peut très bien travailler avec six couleurs, ça prend un
peu plus de temps, mais ça fonctionne très bien.
à savoir qu'on puisse recréer toutes le couleurs avec quelques bases, ça
les fait rire.
ça dépend aussi du médium
En acrylique on peut très bien travailler avec six couleurs, ça prend un
peu plus de temps, mais ça fonctionne très bien.
à savoir qu'on puisse recréer toutes le couleurs avec quelques bases, ça
les fait rire.