Et ce sont ces gens là qui nous demandent de leur faire confiance quand
ils nous endorment pour nous opérer?
Visiblement l'avocat est en phase avec cette culture du viol :
"D'après Jean-Sébastien Laloy, avocat du syndicat des internes de
Clermont-Ferrand interrogé par La Montagne, le dessin existe depuis des
années, seules les bulles de BD sont apparues au cours du week-end, dans
"le but de sensibiliser par une image choc, dans un cadre strictement
privé, aux conséquences de la loi santé ". Il ajoute: "L'image a été
détournée de manière déloyale et choquante. Le président du syndicat des
internes de Clermont-Ferrand regrette l'image dégradante qui est donné
de l'internat et assure que l'intention n'était pas de représenter la
ministre de la Santé"."
Comme si la représentation d'un viol n'était choquante que lorsqu'elle
était dévoilée aux patients et visait une ministre :-(
On 21/01/2015 15:06, jr wrote: > Dominique G. wrote: >> jr wrote: >> >>> Le 21/01/2015 10:59, Dominique G. a écrit : >>> >>>>> Ils sont miros. La bénéficiaire de ce gang-bang est évidemment une >>>>> représentation de la profession médicale, celle qui se fait supposément >>>>> baiser par la loi en question. Suffit de lire. >>>> >>>> Vos évidences ne sont pas les miennes. >>> >>> Ça fait 15 ans que le dessin est là. La ministre était conseillère >>> générale à Montbazon. >> >> Les bulles ont été dessinées la semaine dernière.
C'est donc bien *la santé publique* qui se fait enfiler, pas la ministre.
> Je ne vous le fais pas dire. Bref cette histoire est risible et va tourner > en eau de boudin. >
Ce n'est pas sûr ! Voici à quoi sert l'argent de la santé publique, des verts de travail :
Pourquoi obéissent-ils à une injonction sans base légale s'ils considérent que leur liberté d'expression est bafouée? Ce ne sont pas des pigeons mais des moutons...peut-être?
En tout cas, ils n'assument pas.
Michel Cimens dit qu'il a financé une fresque sur fond public :
On 21/01/2015 15:06, jr wrote:
> Dominique G. <dmkgbt@free.invalid> wrote:
>> jr <jqs@froc.net> wrote:
>>
>>> Le 21/01/2015 10:59, Dominique G. a écrit :
>>>
>>>>> Ils sont miros. La bénéficiaire de ce gang-bang est évidemment une
>>>>> représentation de la profession médicale, celle qui se fait supposément
>>>>> baiser par la loi en question. Suffit de lire.
>>>>
>>>> Vos évidences ne sont pas les miennes.
>>>
>>> Ça fait 15 ans que le dessin est là. La ministre était conseillère
>>> générale à Montbazon.
>>
>> Les bulles ont été dessinées la semaine dernière.
C'est donc bien *la santé publique* qui se fait enfiler, pas la ministre.
> Je ne vous le fais pas dire. Bref cette histoire est risible et va tourner
> en eau de boudin.
>
Ce n'est pas sûr ! Voici à quoi sert l'argent de la santé publique, des
verts de travail :
Pourquoi obéissent-ils à une injonction sans base légale s'ils
considérent que leur liberté d'expression est bafouée?
Ce ne sont pas des pigeons mais des moutons...peut-être?
En tout cas, ils n'assument pas.
Michel Cimens dit qu'il a financé une fresque sur fond public :
On 21/01/2015 15:06, jr wrote: > Dominique G. wrote: >> jr wrote: >> >>> Le 21/01/2015 10:59, Dominique G. a écrit : >>> >>>>> Ils sont miros. La bénéficiaire de ce gang-bang est évidemment une >>>>> représentation de la profession médicale, celle qui se fait supposément >>>>> baiser par la loi en question. Suffit de lire. >>>> >>>> Vos évidences ne sont pas les miennes. >>> >>> Ça fait 15 ans que le dessin est là. La ministre était conseillère >>> générale à Montbazon. >> >> Les bulles ont été dessinées la semaine dernière.
C'est donc bien *la santé publique* qui se fait enfiler, pas la ministre.
> Je ne vous le fais pas dire. Bref cette histoire est risible et va tourner > en eau de boudin. >
Ce n'est pas sûr ! Voici à quoi sert l'argent de la santé publique, des verts de travail :
Pourquoi obéissent-ils à une injonction sans base légale s'ils considérent que leur liberté d'expression est bafouée? Ce ne sont pas des pigeons mais des moutons...peut-être?
En tout cas, ils n'assument pas.
Michel Cimens dit qu'il a financé une fresque sur fond public :
Ils sont miros. La bénéficiaire de ce gang-bang est évidemment une représentation de la profession médicale, celle qui se fait supposément baiser par la loi en question. Suffit de lire.
Vos évidences ne sont pas les miennes.
Ça fait 15 ans que le dessin est là. La ministre était conseillère générale à Montbazon.
"L'arrivée des femmes dans les salles de garde dans les années 1970, dans une ambiance jusqu'ici 100% masculine, a apporté des changements. Une partie des femmes est à l'aise avec cet univers, et l'autre est terrifiée."
Quel pourcentage est-il "terrifié" par cet univers? On ne le sait pas... Peu importe d'ailleurs : pourquoi des femmes et peut-être des hommes, finalement, bref des gens, quel que soit leur nombre, sont-ils "terrifiés" par des dessins?
Le pourcentage, on s'en fout, tu viens de souligner l'essentiel, ça ne concerne pas que les femmes. Tu peux donc écarter (non, pas les jambes) ton approche féminisme.
Finalement, on n'est peut-être pas si loin que ça de la problèmatique "Charlie" : c'est dangereux, un dessin.
Notons aussi la date : on apprend qu'avant les années 1970, aucune femme médecin ne pouvait accéder à une salle de garde... Pourquoi?
Rappelle-toi, à cette époque, les filles et les garçons n'allaient pas dans la même école, ils ne faisaient pas les mêmes projets, ne jouaient pas avec les mêmes jouets...
-- Bonne année 2015 à toutes et à tous.
Dominique G. a présenté l'énoncé suivant :
Ericetrac <bienudefree@free.fr> wrote:
jr a exprimé avec précision :
Le 21/01/2015 10:59, Dominique G. a écrit :
Ils sont miros. La bénéficiaire de ce gang-bang est évidemment une
représentation de la profession médicale, celle qui se fait supposément
baiser par la loi en question. Suffit de lire.
Vos évidences ne sont pas les miennes.
Ça fait 15 ans que le dessin est là. La ministre était conseillère
générale à Montbazon.
"L'arrivée des femmes dans les salles de garde dans les années 1970,
dans une ambiance jusqu'ici 100% masculine, a apporté des changements.
Une partie des femmes est à l'aise avec cet univers, et l'autre est
terrifiée."
Quel pourcentage est-il "terrifié" par cet univers? On ne le sait pas...
Peu importe d'ailleurs : pourquoi des femmes et peut-être des hommes,
finalement, bref des gens, quel que soit leur nombre, sont-ils
"terrifiés" par des dessins?
Le pourcentage, on s'en fout, tu viens de souligner l'essentiel, ça ne
concerne pas que les femmes. Tu peux donc écarter (non, pas les jambes)
ton approche féminisme.
Finalement, on n'est peut-être pas si loin que ça de la problèmatique
"Charlie" : c'est dangereux, un dessin.
Notons aussi la date : on apprend qu'avant les années 1970, aucune femme
médecin ne pouvait accéder à une salle de garde...
Pourquoi?
Rappelle-toi, à cette époque, les filles et les garçons n'allaient pas
dans la même école, ils ne faisaient pas les mêmes projets, ne jouaient
pas avec les mêmes jouets...
Ils sont miros. La bénéficiaire de ce gang-bang est évidemment une représentation de la profession médicale, celle qui se fait supposément baiser par la loi en question. Suffit de lire.
Vos évidences ne sont pas les miennes.
Ça fait 15 ans que le dessin est là. La ministre était conseillère générale à Montbazon.
"L'arrivée des femmes dans les salles de garde dans les années 1970, dans une ambiance jusqu'ici 100% masculine, a apporté des changements. Une partie des femmes est à l'aise avec cet univers, et l'autre est terrifiée."
Quel pourcentage est-il "terrifié" par cet univers? On ne le sait pas... Peu importe d'ailleurs : pourquoi des femmes et peut-être des hommes, finalement, bref des gens, quel que soit leur nombre, sont-ils "terrifiés" par des dessins?
Le pourcentage, on s'en fout, tu viens de souligner l'essentiel, ça ne concerne pas que les femmes. Tu peux donc écarter (non, pas les jambes) ton approche féminisme.
Finalement, on n'est peut-être pas si loin que ça de la problèmatique "Charlie" : c'est dangereux, un dessin.
Notons aussi la date : on apprend qu'avant les années 1970, aucune femme médecin ne pouvait accéder à une salle de garde... Pourquoi?
Rappelle-toi, à cette époque, les filles et les garçons n'allaient pas dans la même école, ils ne faisaient pas les mêmes projets, ne jouaient pas avec les mêmes jouets...
-- Bonne année 2015 à toutes et à tous.
jr
Dominique G. wrote:
Ericetrac wrote:
jr a exprimé avec précision :
Le 21/01/2015 10:59, Dominique G. a écrit :
Ils sont miros. La bénéficiaire de ce gang-bang est évidemment une représentation de la profession médicale, celle qui se fait supposément baiser par la loi en question. Suffit de lire.
Vos évidences ne sont pas les miennes.
Ça fait 15 ans que le dessin est là. La ministre était conseillère générale à Montbazon.
"L'arrivée des femmes dans les salles de garde dans les années 1970, dans une ambiance jusqu'ici 100% masculine, a apporté des changements. Une partie des femmes est à l'aise avec cet univers, et l'autre est terrifiée."
Quel pourcentage est-il "terrifié" par cet univers? On ne le sait pas... Peu importe d'ailleurs : pourquoi des femmes et peut-être des hommes, finalement, bref des gens, quel que soit leur nombre, sont-ils "terrifiés" par des dessins?
C'est un mâle qui parle de faibles femmes.
Finalement, on n'est peut-être pas si loin que ça de la problèmatique "Charlie" : c'est dangereux, un dessin.
Notons aussi la date : on apprend qu'avant les années 1970, aucune femme médecin ne pouvait accéder à une salle de garde... Pourquoi?
Il me semble que dans l'ancien système pré-68 (qui permettait de diplômer un médecin n'ayant jamais vu un malade) les internes internés étaient forcément mâles célibataires. Les autres avaient une prime pour se loger et donc étaient moins souvent dans les locaux, seulement si garde où ils avaient une chambre provisoire. Du coup ils échappaient au quotidien de l'internat.
-- Naturellement trouble.
Dominique G. <dmkgbt@free.invalid> wrote:
Ericetrac <bienudefree@free.fr> wrote:
jr a exprimé avec précision :
Le 21/01/2015 10:59, Dominique G. a écrit :
Ils sont miros. La bénéficiaire de ce gang-bang est évidemment une
représentation de la profession médicale, celle qui se fait supposément
baiser par la loi en question. Suffit de lire.
Vos évidences ne sont pas les miennes.
Ça fait 15 ans que le dessin est là. La ministre était conseillère
générale à Montbazon.
"L'arrivée des femmes dans les salles de garde dans les années 1970,
dans une ambiance jusqu'ici 100% masculine, a apporté des changements.
Une partie des femmes est à l'aise avec cet univers, et l'autre est
terrifiée."
Quel pourcentage est-il "terrifié" par cet univers? On ne le sait pas...
Peu importe d'ailleurs : pourquoi des femmes et peut-être des hommes,
finalement, bref des gens, quel que soit leur nombre, sont-ils
"terrifiés" par des dessins?
C'est un mâle qui parle de faibles femmes.
Finalement, on n'est peut-être pas si loin que ça de la problèmatique
"Charlie" : c'est dangereux, un dessin.
Notons aussi la date : on apprend qu'avant les années 1970, aucune femme
médecin ne pouvait accéder à une salle de garde...
Pourquoi?
Il me semble que dans l'ancien système pré-68 (qui permettait de diplômer
un médecin n'ayant jamais vu un malade) les internes internés étaient
forcément mâles célibataires. Les autres avaient une prime pour se loger et
donc étaient moins souvent dans les locaux, seulement si garde où ils
avaient une chambre provisoire. Du coup ils échappaient au quotidien de
l'internat.
Ils sont miros. La bénéficiaire de ce gang-bang est évidemment une représentation de la profession médicale, celle qui se fait supposément baiser par la loi en question. Suffit de lire.
Vos évidences ne sont pas les miennes.
Ça fait 15 ans que le dessin est là. La ministre était conseillère générale à Montbazon.
"L'arrivée des femmes dans les salles de garde dans les années 1970, dans une ambiance jusqu'ici 100% masculine, a apporté des changements. Une partie des femmes est à l'aise avec cet univers, et l'autre est terrifiée."
Quel pourcentage est-il "terrifié" par cet univers? On ne le sait pas... Peu importe d'ailleurs : pourquoi des femmes et peut-être des hommes, finalement, bref des gens, quel que soit leur nombre, sont-ils "terrifiés" par des dessins?
C'est un mâle qui parle de faibles femmes.
Finalement, on n'est peut-être pas si loin que ça de la problèmatique "Charlie" : c'est dangereux, un dessin.
Notons aussi la date : on apprend qu'avant les années 1970, aucune femme médecin ne pouvait accéder à une salle de garde... Pourquoi?
Il me semble que dans l'ancien système pré-68 (qui permettait de diplômer un médecin n'ayant jamais vu un malade) les internes internés étaient forcément mâles célibataires. Les autres avaient une prime pour se loger et donc étaient moins souvent dans les locaux, seulement si garde où ils avaient une chambre provisoire. Du coup ils échappaient au quotidien de l'internat.
-- Naturellement trouble.
dmkgbt
jr wrote:
Dominique G. wrote: > Ericetrac wrote:
>> "http://www.20minutes.fr/societe/1520551-20150119-peinture-viol-collect >> if-hopital-polemique-cote-plaque#xtor=RSS-176" >> > > Merci pour le lien. > > "L'arrivée des femmes dans les salles de garde dans les années 1970, > dans une ambiance jusqu'ici 100% masculine, a apporté des changements. > Une partie des femmes est à l'aise avec cet univers, et l'autre est > terrifiée." > > Quel pourcentage est-il "terrifié" par cet univers? On ne le sait pas... > Peu importe d'ailleurs : pourquoi des femmes et peut-être des hommes, > finalement, bref des gens, quel que soit leur nombre, sont-ils > "terrifiés" par des dessins?
C'est un mâle qui parle de faibles femmes.
Oui, j'avais compris ça, quand même :-) Je m'étonne juste du silence des femmes médecins de ce CHU sur le sujet de cette fresque. Comme si cette salle de garde ne servait qu'à des mâles blancs et hétérosexuels.
> Finalement, on n'est peut-être pas si loin que ça de la problèmatique > "Charlie" : c'est dangereux, un dessin. > > Notons aussi la date : on apprend qu'avant les années 1970, aucune femme > médecin ne pouvait accéder à une salle de garde... > Pourquoi?
Il me semble que dans l'ancien système pré-68 (qui permettait de diplômer un médecin n'ayant jamais vu un malade) les internes internés étaient forcément mâles célibataires. Les autres avaient une prime pour se loger et donc étaient moins souvent dans les locaux, seulement si garde où ils avaient une chambre provisoire. Du coup ils échappaient au quotidien de l'internat.
Ha, ce n'était pas comme dans Grey's Anatomy, alors :-)
-- Blanc-seing
jr <jqs@froc.net> wrote:
Dominique G. <dmkgbt@free.invalid> wrote:
> Ericetrac <bienudefree@free.fr> wrote:
>> "http://www.20minutes.fr/societe/1520551-20150119-peinture-viol-collect
>> if-hopital-polemique-cote-plaque#xtor=RSS-176"
>>
>
> Merci pour le lien.
>
> "L'arrivée des femmes dans les salles de garde dans les années 1970,
> dans une ambiance jusqu'ici 100% masculine, a apporté des changements.
> Une partie des femmes est à l'aise avec cet univers, et l'autre est
> terrifiée."
>
> Quel pourcentage est-il "terrifié" par cet univers? On ne le sait pas...
> Peu importe d'ailleurs : pourquoi des femmes et peut-être des hommes,
> finalement, bref des gens, quel que soit leur nombre, sont-ils
> "terrifiés" par des dessins?
C'est un mâle qui parle de faibles femmes.
Oui, j'avais compris ça, quand même :-)
Je m'étonne juste du silence des femmes médecins de ce CHU sur le sujet
de cette fresque.
Comme si cette salle de garde ne servait qu'à des mâles blancs et
hétérosexuels.
> Finalement, on n'est peut-être pas si loin que ça de la problèmatique
> "Charlie" : c'est dangereux, un dessin.
>
> Notons aussi la date : on apprend qu'avant les années 1970, aucune femme
> médecin ne pouvait accéder à une salle de garde...
> Pourquoi?
Il me semble que dans l'ancien système pré-68 (qui permettait de diplômer
un médecin n'ayant jamais vu un malade) les internes internés étaient
forcément mâles célibataires. Les autres avaient une prime pour se loger et
donc étaient moins souvent dans les locaux, seulement si garde où ils
avaient une chambre provisoire. Du coup ils échappaient au quotidien de
l'internat.
Ha, ce n'était pas comme dans Grey's Anatomy, alors :-)
>> "http://www.20minutes.fr/societe/1520551-20150119-peinture-viol-collect >> if-hopital-polemique-cote-plaque#xtor=RSS-176" >> > > Merci pour le lien. > > "L'arrivée des femmes dans les salles de garde dans les années 1970, > dans une ambiance jusqu'ici 100% masculine, a apporté des changements. > Une partie des femmes est à l'aise avec cet univers, et l'autre est > terrifiée." > > Quel pourcentage est-il "terrifié" par cet univers? On ne le sait pas... > Peu importe d'ailleurs : pourquoi des femmes et peut-être des hommes, > finalement, bref des gens, quel que soit leur nombre, sont-ils > "terrifiés" par des dessins?
C'est un mâle qui parle de faibles femmes.
Oui, j'avais compris ça, quand même :-) Je m'étonne juste du silence des femmes médecins de ce CHU sur le sujet de cette fresque. Comme si cette salle de garde ne servait qu'à des mâles blancs et hétérosexuels.
> Finalement, on n'est peut-être pas si loin que ça de la problèmatique > "Charlie" : c'est dangereux, un dessin. > > Notons aussi la date : on apprend qu'avant les années 1970, aucune femme > médecin ne pouvait accéder à une salle de garde... > Pourquoi?
Il me semble que dans l'ancien système pré-68 (qui permettait de diplômer un médecin n'ayant jamais vu un malade) les internes internés étaient forcément mâles célibataires. Les autres avaient une prime pour se loger et donc étaient moins souvent dans les locaux, seulement si garde où ils avaient une chambre provisoire. Du coup ils échappaient au quotidien de l'internat.
Ha, ce n'était pas comme dans Grey's Anatomy, alors :-)
-- Blanc-seing
jc_lavau
Le 21/01/2015 18:04, Dominique G. a écrit :
Ericetrac wrote:
jr a exprimé avec précision :
Le 21/01/2015 10:59, Dominique G. a écrit :
Ils sont miros. La bénéficiaire de ce gang-bang est évidemment une représentation de la profession médicale, celle qui se fait supposément baiser par la loi en question. Suffit de lire.
Vos évidences ne sont pas les miennes.
Ça fait 15 ans que le dessin est là. La ministre était conseillère générale à Montbazon.
"L'arrivée des femmes dans les salles de garde dans les années 1970, dans une ambiance jusqu'ici 100% masculine, a apporté des changements. Une partie des femmes est à l'aise avec cet univers, et l'autre est terrifiée."
Quel pourcentage est-il "terrifié" par cet univers? On ne le sait pas... Peu importe d'ailleurs : pourquoi des femmes et peut-être des hommes, finalement, bref des gens, quel que soit leur nombre, sont-ils "terrifiés" par des dessins?
Finalement, on n'est peut-être pas si loin que ça de la problèmatique "Charlie" : c'est dangereux, un dessin.
Notons aussi la date : on apprend qu'avant les années 1970, aucune femme médecin ne pouvait accéder à une salle de garde... Pourquoi?
Ce qui est monumentalement faux. Andrée racontait ses souvenirs de salle de garde, nécessairement années quarante-cinquante, avec bataille de seaux d'eau, "et Calas au dessus de la mêlée, assis en tailleur sur une armoire, qui jouait du violon". Depuis, Calas était passé à l'alto. Ou Andrée confondait alto et violon ?
-- Né dans le sérail misandre victimaire, j'en connais les turpitudes. Les morts ne témoignent pas. Moi si, jusqu'à présent. Et cela, les imposteurs et les tortionnaires ne me le pardonneront jamais.
Le 21/01/2015 18:04, Dominique G. a écrit :
Ericetrac <bienudefree@free.fr> wrote:
jr a exprimé avec précision :
Le 21/01/2015 10:59, Dominique G. a écrit :
Ils sont miros. La bénéficiaire de ce gang-bang est évidemment une
représentation de la profession médicale, celle qui se fait supposément
baiser par la loi en question. Suffit de lire.
Vos évidences ne sont pas les miennes.
Ça fait 15 ans que le dessin est là. La ministre était conseillère
générale à Montbazon.
"L'arrivée des femmes dans les salles de garde dans les années 1970,
dans une ambiance jusqu'ici 100% masculine, a apporté des changements.
Une partie des femmes est à l'aise avec cet univers, et l'autre est
terrifiée."
Quel pourcentage est-il "terrifié" par cet univers? On ne le sait pas...
Peu importe d'ailleurs : pourquoi des femmes et peut-être des hommes,
finalement, bref des gens, quel que soit leur nombre, sont-ils
"terrifiés" par des dessins?
Finalement, on n'est peut-être pas si loin que ça de la problèmatique
"Charlie" : c'est dangereux, un dessin.
Notons aussi la date : on apprend qu'avant les années 1970, aucune femme
médecin ne pouvait accéder à une salle de garde...
Pourquoi?
Ce qui est monumentalement faux. Andrée racontait ses souvenirs de
salle de garde, nécessairement années quarante-cinquante, avec bataille
de seaux d'eau, "et Calas au dessus de la mêlée, assis en tailleur sur
une armoire, qui jouait du violon".
Depuis, Calas était passé à l'alto. Ou Andrée confondait alto et violon ?
--
Né dans le sérail misandre victimaire, j'en connais les turpitudes.
Les morts ne témoignent pas. Moi si, jusqu'à présent. Et cela, les
imposteurs et les tortionnaires ne me le pardonneront jamais.
Ils sont miros. La bénéficiaire de ce gang-bang est évidemment une représentation de la profession médicale, celle qui se fait supposément baiser par la loi en question. Suffit de lire.
Vos évidences ne sont pas les miennes.
Ça fait 15 ans que le dessin est là. La ministre était conseillère générale à Montbazon.
"L'arrivée des femmes dans les salles de garde dans les années 1970, dans une ambiance jusqu'ici 100% masculine, a apporté des changements. Une partie des femmes est à l'aise avec cet univers, et l'autre est terrifiée."
Quel pourcentage est-il "terrifié" par cet univers? On ne le sait pas... Peu importe d'ailleurs : pourquoi des femmes et peut-être des hommes, finalement, bref des gens, quel que soit leur nombre, sont-ils "terrifiés" par des dessins?
Finalement, on n'est peut-être pas si loin que ça de la problèmatique "Charlie" : c'est dangereux, un dessin.
Notons aussi la date : on apprend qu'avant les années 1970, aucune femme médecin ne pouvait accéder à une salle de garde... Pourquoi?
Ce qui est monumentalement faux. Andrée racontait ses souvenirs de salle de garde, nécessairement années quarante-cinquante, avec bataille de seaux d'eau, "et Calas au dessus de la mêlée, assis en tailleur sur une armoire, qui jouait du violon". Depuis, Calas était passé à l'alto. Ou Andrée confondait alto et violon ?
-- Né dans le sérail misandre victimaire, j'en connais les turpitudes. Les morts ne témoignent pas. Moi si, jusqu'à présent. Et cela, les imposteurs et les tortionnaires ne me le pardonneront jamais.
jr
jc_lavau wrote:
Le 21/01/2015 18:04, Dominique G. a écrit :
Ericetrac wrote:
jr a exprimé avec précision :
Le 21/01/2015 10:59, Dominique G. a écrit :
Ils sont miros. La bénéficiaire de ce gang-bang est évidemment une représentation de la profession médicale, celle qui se fait supposément baiser par la loi en question. Suffit de lire.
Vos évidences ne sont pas les miennes.
Ça fait 15 ans que le dessin est là. La ministre était conseillère générale à Montbazon.
"L'arrivée des femmes dans les salles de garde dans les années 1970, dans une ambiance jusqu'ici 100% masculine, a apporté des changements. Une partie des femmes est à l'aise avec cet univers, et l'autre est terrifiée."
Quel pourcentage est-il "terrifié" par cet univers? On ne le sait pas... Peu importe d'ailleurs : pourquoi des femmes et peut-être des hommes, finalement, bref des gens, quel que soit leur nombre, sont-ils "terrifiés" par des dessins?
Finalement, on n'est peut-être pas si loin que ça de la problèmatique "Charlie" : c'est dangereux, un dessin.
Notons aussi la date : on apprend qu'avant les années 1970, aucune femme médecin ne pouvait accéder à une salle de garde... Pourquoi?
Ce qui est monumentalement faux.
Ben oui et non. Il fut un temps où l'internat était un concours réservé aux externes eux-mêmes sélectionnés sur concours, le tout étant extrêmement masculin. Et on ne pouvait pas passer sa thèse comme interne, ce qui permettait des remplacements mais pas d'installation ni de "privés", donc dépendance totale du patron qui payait ce qu'il voulait et bien sûr en liquide comme la plupart des salaires.
Vu la population les hostos ne prévoyaient pas l'hébergement des femmes, qui pouvaient bien sûr passer les concours depuis l'entre-deux guerre. Donc au bilan les internats étaient habités par des mâles ambitieux et impécunieux. Les quelques cas de femmes -et de couples- étaient gérés au cas par cas, hébergement à l'extérieur et encouragement discret à faire dermato ou une autre spécialité sans urgences.
Ils sont miros. La bénéficiaire de ce gang-bang est évidemment une
représentation de la profession médicale, celle qui se fait supposément
baiser par la loi en question. Suffit de lire.
Vos évidences ne sont pas les miennes.
Ça fait 15 ans que le dessin est là. La ministre était conseillère
générale à Montbazon.
"L'arrivée des femmes dans les salles de garde dans les années 1970,
dans une ambiance jusqu'ici 100% masculine, a apporté des changements.
Une partie des femmes est à l'aise avec cet univers, et l'autre est
terrifiée."
Quel pourcentage est-il "terrifié" par cet univers? On ne le sait pas...
Peu importe d'ailleurs : pourquoi des femmes et peut-être des hommes,
finalement, bref des gens, quel que soit leur nombre, sont-ils
"terrifiés" par des dessins?
Finalement, on n'est peut-être pas si loin que ça de la problèmatique
"Charlie" : c'est dangereux, un dessin.
Notons aussi la date : on apprend qu'avant les années 1970, aucune femme
médecin ne pouvait accéder à une salle de garde...
Pourquoi?
Ce qui est monumentalement faux.
Ben oui et non. Il fut un temps où l'internat était un concours réservé aux
externes eux-mêmes sélectionnés sur concours, le tout étant extrêmement
masculin. Et on ne pouvait pas passer sa thèse comme interne, ce qui
permettait des remplacements mais pas d'installation ni de "privés", donc
dépendance totale du patron qui payait ce qu'il voulait et bien sûr en
liquide comme la plupart des salaires.
Vu la population les hostos ne prévoyaient pas l'hébergement des femmes,
qui pouvaient bien sûr passer les concours depuis l'entre-deux guerre. Donc
au bilan les internats étaient habités par des mâles ambitieux et
impécunieux. Les quelques cas de femmes -et de couples- étaient gérés au
cas par cas, hébergement à l'extérieur et encouragement discret à faire
dermato ou une autre spécialité sans urgences.
Ils sont miros. La bénéficiaire de ce gang-bang est évidemment une représentation de la profession médicale, celle qui se fait supposément baiser par la loi en question. Suffit de lire.
Vos évidences ne sont pas les miennes.
Ça fait 15 ans que le dessin est là. La ministre était conseillère générale à Montbazon.
"L'arrivée des femmes dans les salles de garde dans les années 1970, dans une ambiance jusqu'ici 100% masculine, a apporté des changements. Une partie des femmes est à l'aise avec cet univers, et l'autre est terrifiée."
Quel pourcentage est-il "terrifié" par cet univers? On ne le sait pas... Peu importe d'ailleurs : pourquoi des femmes et peut-être des hommes, finalement, bref des gens, quel que soit leur nombre, sont-ils "terrifiés" par des dessins?
Finalement, on n'est peut-être pas si loin que ça de la problèmatique "Charlie" : c'est dangereux, un dessin.
Notons aussi la date : on apprend qu'avant les années 1970, aucune femme médecin ne pouvait accéder à une salle de garde... Pourquoi?
Ce qui est monumentalement faux.
Ben oui et non. Il fut un temps où l'internat était un concours réservé aux externes eux-mêmes sélectionnés sur concours, le tout étant extrêmement masculin. Et on ne pouvait pas passer sa thèse comme interne, ce qui permettait des remplacements mais pas d'installation ni de "privés", donc dépendance totale du patron qui payait ce qu'il voulait et bien sûr en liquide comme la plupart des salaires.
Vu la population les hostos ne prévoyaient pas l'hébergement des femmes, qui pouvaient bien sûr passer les concours depuis l'entre-deux guerre. Donc au bilan les internats étaient habités par des mâles ambitieux et impécunieux. Les quelques cas de femmes -et de couples- étaient gérés au cas par cas, hébergement à l'extérieur et encouragement discret à faire dermato ou une autre spécialité sans urgences.
-- Naturellement trouble.
Sylvain
"Anne G" wrote in message news:
Une femme qui aimerait ça, c'est pas possible. Les femmes, c'est doux et tendre et ça n'aime pas le sexe sale.
C'est donc forcément qu'elle est obligée.
MDR !!!!
Vous en avez d'autres comme ça ?
Jamais vu plus obsédées sexuelles que les femmes
"Anne G" wrote in message news:54be98a6@ac-versailles.fr...
Une femme qui aimerait ça, c'est pas possible.
Les femmes, c'est doux et tendre et ça n'aime pas le sexe sale.
Une femme qui aimerait ça, c'est pas possible. Les femmes, c'est doux et tendre et ça n'aime pas le sexe sale.
C'est donc forcément qu'elle est obligée.
MDR !!!!
Vous en avez d'autres comme ça ?
Jamais vu plus obsédées sexuelles que les femmes
Sylvain, toujours dans le fil.
-- jr
Cl.Massé
"Dominique G." a écrit dans le message de groupe de discussion : 1lyjjhd.3gtfmu15u179dN%
jr wrote:
> Bon enfin bref, cette fresque ne montre pas un viol collectif.
De source sûre.
Ben y'a pas trente-six alternatives avec toi, soit on est un violeur, soit on est un violeur mais on ne veut pas l'admettre. C'est tellement grotesque que ça incite à devenir sexiste définitivement.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone Liberté, Egalité, Sale assisté.
"Dominique G." a écrit dans le message de groupe de discussion :
1lyjjhd.3gtfmu15u179dN%dmkgbt@free.invalid...
jr <jqs@froc.net> wrote:
> Bon enfin bref, cette fresque ne montre pas un viol collectif.
De source sûre.
Ben y'a pas trente-six alternatives avec toi, soit on est un violeur, soit on
est un violeur mais on ne veut pas l'admettre. C'est tellement grotesque que ça
incite à devenir sexiste définitivement.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
"Dominique G." a écrit dans le message de groupe de discussion : 1lyjjhd.3gtfmu15u179dN%
jr wrote:
> Bon enfin bref, cette fresque ne montre pas un viol collectif.
De source sûre.
Ben y'a pas trente-six alternatives avec toi, soit on est un violeur, soit on est un violeur mais on ne veut pas l'admettre. C'est tellement grotesque que ça incite à devenir sexiste définitivement.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone Liberté, Egalité, Sale assisté.
Cl.Massé
"Dominique G." a écrit dans le message de groupe de discussion : 1lyjgsu.1pogj9c1oek7n8N%
Je ne suis pas bégueule mais j'avais une amie qui bossait comme infirmière au CHU de Clermont-Ferrand et ce qu'elle m'avait raconté sur les pratiques de certains médecins en salle d'op', sur des jeunes femmes ou des mineures endormies (comme de vérifier leur virginité avec un doigt, pour rigoler) ou le fait qu'une infirmière _devait_ coucher pour ne pas se retrouver en gériatrie à torcher les grabataires (ma copine s'est retrouvée un an dans ce service alors qu'elle avait une spécialité en chirurgie) m'avait particulièrement écoeurée.
Amalgamons amalgamons, il en restera toujours quelque chose. Quel rapport entre ces pratiques, surement très minoritaires, et les chansons de salle de garde, inscrites au patrimoine de l'humanité? D'ailleurs de nos jours on n'en crée plus beaucoup. Pour ajouter au patrimoine folklorique des carabins, j'en ai faite une putain de moine, plaise à Dieu qu'elle plaise aux copains.
Avec toi on n'a plus le droit de rigoler sinon on est tout suite taxé de violeur, assassin, terroriste, n'importe quoi pourvu que ça traite tous les mecs de salauds. Mais aujourd'hui tu peux te marier avec une gouine alors arrête de nous les casser et va voir ailleurs si nous y sommes.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone Liberté, Egalité, Sale assisté.
"Dominique G." a écrit dans le message de groupe de discussion :
1lyjgsu.1pogj9c1oek7n8N%dmkgbt@free.invalid...
Je ne suis pas bégueule mais j'avais une amie qui bossait comme infirmière au
CHU de Clermont-Ferrand et ce qu'elle m'avait raconté sur les pratiques de
certains médecins en salle d'op', sur des jeunes femmes ou des mineures
endormies (comme de vérifier leur virginité avec un doigt, pour rigoler) ou le
fait qu'une infirmière _devait_ coucher pour ne pas se retrouver en gériatrie
à torcher les grabataires (ma copine s'est retrouvée un an dans ce service
alors qu'elle avait une spécialité en chirurgie) m'avait particulièrement
écoeurée.
Amalgamons amalgamons, il en restera toujours quelque chose. Quel rapport entre
ces pratiques, surement très minoritaires, et les chansons de salle de garde,
inscrites au patrimoine de l'humanité? D'ailleurs de nos jours on n'en crée
plus beaucoup. Pour ajouter au patrimoine folklorique des carabins, j'en ai
faite une putain de moine, plaise à Dieu qu'elle plaise aux copains.
Avec toi on n'a plus le droit de rigoler sinon on est tout suite taxé de
violeur, assassin, terroriste, n'importe quoi pourvu que ça traite tous les mecs
de salauds. Mais aujourd'hui tu peux te marier avec une gouine alors arrête de
nous les casser et va voir ailleurs si nous y sommes.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
"Dominique G." a écrit dans le message de groupe de discussion : 1lyjgsu.1pogj9c1oek7n8N%
Je ne suis pas bégueule mais j'avais une amie qui bossait comme infirmière au CHU de Clermont-Ferrand et ce qu'elle m'avait raconté sur les pratiques de certains médecins en salle d'op', sur des jeunes femmes ou des mineures endormies (comme de vérifier leur virginité avec un doigt, pour rigoler) ou le fait qu'une infirmière _devait_ coucher pour ne pas se retrouver en gériatrie à torcher les grabataires (ma copine s'est retrouvée un an dans ce service alors qu'elle avait une spécialité en chirurgie) m'avait particulièrement écoeurée.
Amalgamons amalgamons, il en restera toujours quelque chose. Quel rapport entre ces pratiques, surement très minoritaires, et les chansons de salle de garde, inscrites au patrimoine de l'humanité? D'ailleurs de nos jours on n'en crée plus beaucoup. Pour ajouter au patrimoine folklorique des carabins, j'en ai faite une putain de moine, plaise à Dieu qu'elle plaise aux copains.
Avec toi on n'a plus le droit de rigoler sinon on est tout suite taxé de violeur, assassin, terroriste, n'importe quoi pourvu que ça traite tous les mecs de salauds. Mais aujourd'hui tu peux te marier avec une gouine alors arrête de nous les casser et va voir ailleurs si nous y sommes.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone Liberté, Egalité, Sale assisté.