Ah non. Il reconnaît que le courrier électronique est une communication électronique, qu'elle est privée et que, dans certains cas, certains messages peuvent être massivement diffusés à des personnes indifférenciées et qu'il appartient alors au juge de les qualifier.
Je n'ai relevé nulle part la notion de masse critique au delà de laquelle un même message passit d'une correspondance à une communication.
Michel Guillou <mg@neottia.net> écrit:
Ah non. Il reconnaît que le courrier électronique est une communication
électronique, qu'elle est privée et que, dans certains cas, certains
messages peuvent être massivement diffusés à des personnes indifférenciées
et qu'il appartient alors au juge de les qualifier.
Je n'ai relevé nulle part la notion de masse critique au delà de
laquelle un même message passit d'une correspondance à une
communication.
Ah non. Il reconnaît que le courrier électronique est une communication électronique, qu'elle est privée et que, dans certains cas, certains messages peuvent être massivement diffusés à des personnes indifférenciées et qu'il appartient alors au juge de les qualifier.
Je n'ai relevé nulle part la notion de masse critique au delà de laquelle un même message passit d'une correspondance à une communication.
Laurent Wacrenier
Laurent Chemla écrit:
Le professionel qui recevrait ses virus de travail par courrier, mélangés parmi ses virus accidentels peut être vu comme un fou dangereux et la légitimité de ses motifs de détention peut être remise en question.
Oui. Par un juge. Mais pas par un intermédiaire technique qui se prend pour un juge.
Et bien, il va bien rire, le juge, quand il verra arriver le professionel furieux de ne pas avoir reçu son virus de travail, incapable qu'il est de trouver un autre procédé de transfert, et justifiant que son travail sur les virus est plus incomparablement important que la protection du reste du monde contre ces mêmes virus.
Laurent Chemla <laurent@REMOVETHIS.eu.org> écrit:
Le professionel qui recevrait ses virus de travail par courrier,
mélangés parmi ses virus accidentels peut être vu comme un fou
dangereux et la légitimité de ses motifs de détention peut être remise
en question.
Oui. Par un juge. Mais pas par un intermédiaire technique qui se prend
pour un juge.
Et bien, il va bien rire, le juge, quand il verra arriver le
professionel furieux de ne pas avoir reçu son virus de travail,
incapable qu'il est de trouver un autre procédé de transfert, et
justifiant que son travail sur les virus est plus incomparablement
important que la protection du reste du monde contre ces mêmes virus.
Le professionel qui recevrait ses virus de travail par courrier, mélangés parmi ses virus accidentels peut être vu comme un fou dangereux et la légitimité de ses motifs de détention peut être remise en question.
Oui. Par un juge. Mais pas par un intermédiaire technique qui se prend pour un juge.
Et bien, il va bien rire, le juge, quand il verra arriver le professionel furieux de ne pas avoir reçu son virus de travail, incapable qu'il est de trouver un autre procédé de transfert, et justifiant que son travail sur les virus est plus incomparablement important que la protection du reste du monde contre ces mêmes virus.
Laurent Wacrenier
Laurent Chemla écrit:
Le professionel qui recevrait ses virus de travail par courrier, mélangés parmi ses virus accidentels peut être vu comme un fou dangereux et la légitimité de ses motifs de détention peut être remise en question.
Oui. Par un juge. Mais pas par un intermédiaire technique qui se prend pour un juge.
Et bien, il va bien rire, le juge, quand il verra arriver le professionel furieux de ne pas avoir reçu son virus de travail, incapable qu'il est de trouver un autre procédé de transfert, et justifiant que son travail sur les virus est incomparablement plus important que la protection du reste du monde contre ces mêmes virus.
Laurent Chemla <laurent@REMOVETHIS.eu.org> écrit:
Le professionel qui recevrait ses virus de travail par courrier,
mélangés parmi ses virus accidentels peut être vu comme un fou
dangereux et la légitimité de ses motifs de détention peut être remise
en question.
Oui. Par un juge. Mais pas par un intermédiaire technique qui se prend
pour un juge.
Et bien, il va bien rire, le juge, quand il verra arriver le
professionel furieux de ne pas avoir reçu son virus de travail,
incapable qu'il est de trouver un autre procédé de transfert, et
justifiant que son travail sur les virus est incomparablement plus
important que la protection du reste du monde contre ces mêmes virus.
Le professionel qui recevrait ses virus de travail par courrier, mélangés parmi ses virus accidentels peut être vu comme un fou dangereux et la légitimité de ses motifs de détention peut être remise en question.
Oui. Par un juge. Mais pas par un intermédiaire technique qui se prend pour un juge.
Et bien, il va bien rire, le juge, quand il verra arriver le professionel furieux de ne pas avoir reçu son virus de travail, incapable qu'il est de trouver un autre procédé de transfert, et justifiant que son travail sur les virus est incomparablement plus important que la protection du reste du monde contre ces mêmes virus.
Laurent Chemla
Laurent Wacrenier <lwa@ teaser . fr> wrote:
Et bien, il va bien rire, le juge, quand il verra arriver le professionel furieux de ne pas avoir reçu son virus de travail, incapable qu'il est de trouver un autre procédé de transfert, et justifiant que son travail sur les virus est incomparablement plus important que la protection du reste du monde contre ces mêmes virus.
L'intermédiaire technique n'a pas pour charge de protéger le reste du monde contre son gré, pas plus qu'il n'a la charge de juger de la légitimité des motifs pour lesquels quelqu'un voudrait pouvoir recevoir des virus ou des spams.
Il n'est ni un flic ni un juge, malgré toute l'envie que l'un d'entre eux montre (et a déjà montré largement dans le passé) d'être à la fois l'un et l'autre.
L. -- Login: laurent Password: tapioca
Laurent Wacrenier <lwa@ teaser . fr> wrote:
Et bien, il va bien rire, le juge, quand il verra arriver le
professionel furieux de ne pas avoir reçu son virus de travail,
incapable qu'il est de trouver un autre procédé de transfert, et
justifiant que son travail sur les virus est incomparablement plus
important que la protection du reste du monde contre ces mêmes virus.
L'intermédiaire technique n'a pas pour charge de protéger le reste
du monde contre son gré, pas plus qu'il n'a la charge de juger de la
légitimité des motifs pour lesquels quelqu'un voudrait pouvoir recevoir
des virus ou des spams.
Il n'est ni un flic ni un juge, malgré toute l'envie que l'un d'entre
eux montre (et a déjà montré largement dans le passé) d'être à la fois
l'un et l'autre.
Et bien, il va bien rire, le juge, quand il verra arriver le professionel furieux de ne pas avoir reçu son virus de travail, incapable qu'il est de trouver un autre procédé de transfert, et justifiant que son travail sur les virus est incomparablement plus important que la protection du reste du monde contre ces mêmes virus.
L'intermédiaire technique n'a pas pour charge de protéger le reste du monde contre son gré, pas plus qu'il n'a la charge de juger de la légitimité des motifs pour lesquels quelqu'un voudrait pouvoir recevoir des virus ou des spams.
Il n'est ni un flic ni un juge, malgré toute l'envie que l'un d'entre eux montre (et a déjà montré largement dans le passé) d'être à la fois l'un et l'autre.
L. -- Login: laurent Password: tapioca
Patrick
Le Wed, 16 Jun 2004 16:35:14 +0200, Laurent Chemla a écrit :
Bonjour, Brina. Pas mal ton nouveau pseudo.
Au revoir donc, les questions resteront sans réponse, comme d'habitude...
On va attendre avec intérêt de savoir si le filtre anti-virus saute ou pas alors finalement.
Patrick.
Le Wed, 16 Jun 2004 16:35:14 +0200, Laurent Chemla a écrit :
Bonjour, Brina. Pas mal ton nouveau pseudo.
Au revoir donc,
les questions resteront sans réponse, comme d'habitude...
On va attendre avec intérêt de savoir si le filtre anti-virus saute ou
pas alors finalement.
Le Wed, 16 Jun 2004 16:35:14 +0200, Laurent Chemla a écrit :
Bonjour, Brina. Pas mal ton nouveau pseudo.
Au revoir donc, les questions resteront sans réponse, comme d'habitude...
On va attendre avec intérêt de savoir si le filtre anti-virus saute ou pas alors finalement.
Patrick.
Laurent Chemla
Patrick <patrick+ wrote:
Au revoir donc,
A bientôt.
les questions resteront sans réponse, comme d'habitude...
Lesquelles ? J'ai dit "je ne suis pas le patron de Gandi", tu as dit le contraire avant d'admettre que je n'étais pas "le" patron de Gandi, ensuite tu es parti dans tout un tas de considérations à la con pour justifier ton erreur. Comme une bonne petite Brina.
Mais des questions laissées sans réponse, moi, j'en ai pas vues. En tous cas, aucune qui concerne qui que ce soit en dehors des associés de Gandi.
On va attendre avec intérêt de savoir si le filtre anti-virus saute ou pas alors finalement.
Voilà, on va faire ça.
L. -- Login: laurent Password: tapioca
Patrick <patrick+news@deepcore.org> wrote:
Au revoir donc,
A bientôt.
les questions resteront sans réponse, comme d'habitude...
Lesquelles ? J'ai dit "je ne suis pas le patron de Gandi", tu as
dit le contraire avant d'admettre que je n'étais pas "le" patron
de Gandi, ensuite tu es parti dans tout un tas de considérations
à la con pour justifier ton erreur. Comme une bonne petite Brina.
Mais des questions laissées sans réponse, moi, j'en ai pas vues.
En tous cas, aucune qui concerne qui que ce soit en dehors des
associés de Gandi.
On va attendre avec intérêt de savoir si le filtre anti-virus
saute ou pas alors finalement.
les questions resteront sans réponse, comme d'habitude...
Lesquelles ? J'ai dit "je ne suis pas le patron de Gandi", tu as dit le contraire avant d'admettre que je n'étais pas "le" patron de Gandi, ensuite tu es parti dans tout un tas de considérations à la con pour justifier ton erreur. Comme une bonne petite Brina.
Mais des questions laissées sans réponse, moi, j'en ai pas vues. En tous cas, aucune qui concerne qui que ce soit en dehors des associés de Gandi.
On va attendre avec intérêt de savoir si le filtre anti-virus saute ou pas alors finalement.
Voilà, on va faire ça.
L. -- Login: laurent Password: tapioca
Brina
Dans l'article <caplr2$8c4$, Laurent Chemla a promptement déclamé ...
Bonjour, Brina. Pas mal ton nouveau pseudo.
Et en plus, il ne sait plus ce qu'est une IP ... la vieillesse est un naufrage
Dans l'article <caplr2$8c4$2@brasil.brainstorm.fr>, Laurent Chemla
<laurent@REMOVETHIS.eu.org> a promptement déclamé ...
Bonjour, Brina. Pas mal ton nouveau pseudo.
Et en plus, il ne sait plus ce qu'est une IP ... la vieillesse est un
naufrage
Dans l'article <caplr2$8c4$, Laurent Chemla a promptement déclamé ...
Bonjour, Brina. Pas mal ton nouveau pseudo.
Et en plus, il ne sait plus ce qu'est une IP ... la vieillesse est un naufrage
Bruno Cinelli
"Michel Guillou" a écrit...
> Le Conseil constitutionnel te contredit en énonçant "qu'en cas de > contestation sur le caractère privé d'un courrier électronique, il > appartiendra à l'autorité juridictionnelle compétente de se prononcer
sur sa
> qualification".
Oui. C'est donc bien qu'il y aura alors à le qualifier différemmernt.
Le Conseil constitutionnel dit qu'il appartiendra au juge de qualifier le courrier électronique. On reste dans le cadre du courrier électronique. Le Conseil n'a pas dit : "qu'en cas de contestation sur le caractère privé d'un courrier électronique, il appartiendra à l'autorité juridictionnelle compétente de se prononcer sur la qualification d'un tel message". Il faudra donc trouver une autre qualification que le courrier électronique/correspondance privée. Et je n'en vois qu'une : le courrier électronique/communication au public. A moins que tu ais une autre idée ?
Ah non. Il reconnaît que le courrier électronique est une communication électronique, qu'elle est privée et que, dans certains cas, certains messages peuvent être massivement diffusés à des personnes indifférenciées et qu'il appartient alors au juge de les qualifier.
Non vraiment. Le Conseil reconnait que le courrier peut être privé. Que ce caractère privé peut etre mis en question. Que dès lors, il faudra qualifier autrement le courrier électronique. Tout ce qui n'est pas privé étant public, alors le courrier électronique peut être public. Autrement, je te le redemande : quelle qualification donnerais-tu au SPAM, en sachant qu'en l'espèce il s'agit d'un mail envoyé à des personnes indifférenciées ?
"Michel Guillou" <mg@neottia.net> a écrit...
> Le Conseil constitutionnel te contredit en énonçant "qu'en cas de
> contestation sur le caractère privé d'un courrier électronique, il
> appartiendra à l'autorité juridictionnelle compétente de se prononcer
sur sa
> qualification".
Oui. C'est donc bien qu'il y aura alors à le qualifier différemmernt.
Le Conseil constitutionnel dit qu'il appartiendra au juge de qualifier le
courrier électronique. On reste dans le cadre du courrier électronique. Le
Conseil n'a pas dit : "qu'en cas de contestation sur le caractère privé d'un
courrier électronique, il appartiendra à l'autorité juridictionnelle
compétente de se prononcer sur la qualification d'un tel message". Il faudra
donc trouver une autre qualification que le courrier
électronique/correspondance privée. Et je n'en vois qu'une : le courrier
électronique/communication au public. A moins que tu ais une autre idée ?
Ah non. Il reconnaît que le courrier électronique est une communication
électronique, qu'elle est privée et que, dans certains cas, certains
messages peuvent être massivement diffusés à des personnes indifférenciées
et qu'il appartient alors au juge de les qualifier.
Non vraiment. Le Conseil reconnait que le courrier peut être privé. Que ce
caractère privé peut etre mis en question. Que dès lors, il faudra qualifier
autrement le courrier électronique. Tout ce qui n'est pas privé étant
public, alors le courrier électronique peut être public. Autrement, je te le
redemande : quelle qualification donnerais-tu au SPAM, en sachant qu'en
l'espèce il s'agit d'un mail envoyé à des personnes indifférenciées ?
> Le Conseil constitutionnel te contredit en énonçant "qu'en cas de > contestation sur le caractère privé d'un courrier électronique, il > appartiendra à l'autorité juridictionnelle compétente de se prononcer
sur sa
> qualification".
Oui. C'est donc bien qu'il y aura alors à le qualifier différemmernt.
Le Conseil constitutionnel dit qu'il appartiendra au juge de qualifier le courrier électronique. On reste dans le cadre du courrier électronique. Le Conseil n'a pas dit : "qu'en cas de contestation sur le caractère privé d'un courrier électronique, il appartiendra à l'autorité juridictionnelle compétente de se prononcer sur la qualification d'un tel message". Il faudra donc trouver une autre qualification que le courrier électronique/correspondance privée. Et je n'en vois qu'une : le courrier électronique/communication au public. A moins que tu ais une autre idée ?
Ah non. Il reconnaît que le courrier électronique est une communication électronique, qu'elle est privée et que, dans certains cas, certains messages peuvent être massivement diffusés à des personnes indifférenciées et qu'il appartient alors au juge de les qualifier.
Non vraiment. Le Conseil reconnait que le courrier peut être privé. Que ce caractère privé peut etre mis en question. Que dès lors, il faudra qualifier autrement le courrier électronique. Tout ce qui n'est pas privé étant public, alors le courrier électronique peut être public. Autrement, je te le redemande : quelle qualification donnerais-tu au SPAM, en sachant qu'en l'espèce il s'agit d'un mail envoyé à des personnes indifférenciées ?
JustMe
Brina wrote:
Dans l'article <caplr2$8c4$, Laurent Chemla a promptement déclamé ...
Bonjour, Brina. Pas mal ton nouveau pseudo.
Et en plus, il ne sait plus ce qu'est une IP ... la vieillesse est un naufrage
C'est comme le sens de l'humour chez certain(e)s
Brina wrote:
Dans l'article <caplr2$8c4$2@brasil.brainstorm.fr>, Laurent Chemla
<laurent@REMOVETHIS.eu.org> a promptement déclamé ...
Bonjour, Brina. Pas mal ton nouveau pseudo.
Et en plus, il ne sait plus ce qu'est une IP ... la vieillesse est un
naufrage