Je ne résiste pas au plaisir de vous citer un texte de SCO
relatif au fait qu'il peut révoquer les licences Unix de SGI et
IBM:
http://www.theregister.co.uk/content/4/33326.html
You can.t take code based on a license you signed, change it a little
and then give it away for free (as in the case of XFS from SGI). If SCO
allowed companies to contribute derivative UNIX code to Linux and give
it away for free, it would destroy the value of all other versions of
UNIX, including SCO.s own, not to mention the versions of UNIX made by
SUN, HP, IBM, SGI, Sequent, Hitachi, Fujitsu, Siemens, and every other
one of the 6,000 other licensees. Why would SCO not have such a
provision in their licenses? This line of thinking is absolutely
ludicrous.
Je pense que vous pouvez voir là clairement que SCO prétend que XFS
est dérivé de Unix et donc lui appartient purement et simplement.
Voilà où mènent les idées absurdes de Stallmann et de la FSF, comme
je me tue à le dire. La clause virale n'est rien d'autre qu'une forme de
vol du travail d'autrui.
OoO Peu avant le début de l'après-midi du dimanche 26 octobre 2003, vers 13:46, (Michel Talon) disait:
Par contre, que la licence GPL soit perverse autant que possible, il suffit de lire les posts de Stephane, juste à coté. Je crois que ce qu'il dit est tout à fait conforme à la lettre de la GPL, et en même temps aussi opposé que possible à son esprit. A la moindre objection, comme tous les bons petits soldats GNU, il va te sortir: "Free as in free speech, not free as in free beer" la plus ignoble connerie que Stallmann ait inventée, pour toute justification de ses raisonnements sordides. Rééllement je suis trop fatigué par ce fatras de conneries pour poursuivre la discussion.
Tu es surtout trop fatigué pour sortir une argumentation sur ce point. En quoi la licence BSD provoque automatiquement la gratuité ? Donne voir une licence libre utilisée dans un certain nombre de logiciels énonçant la gratuité.
Comme je l'ai dit récemment, le gouvernement allemand a sorti un guide de migration Windows vers Linux, extrêmement détaillé, faisant plus de 400 pages. Quand il définit le logiciel libre, il mentionne les 3 tartes à la crème dont vous vous gargarisez, et il mentionne aussi que c'est librement accessible et sans frais de licence. Parceque pour la quasi totalité des utilisateurs, libre ça veut dire, d'abord et avant tout gratuit, la seule chose qui compte pour eux.
Librement accessible et sans frais de licence c'est évidemment une condition nécessaire (pas suffisante) pour qu'un logiciel soit libre, pour à peu prés tout le monde, sauf les gens qui se sont fait décérébrer par la FSF, ou les escrocs qui veulent faire des sous en mettant une étiquette libre sur un produit qui est commercial (genre Suse, Redhat). La FSF entretient l'ambiguité sur la question parceque les fondateurs historiques, y compris Stallmann n'étaient pas clairs sur la question et voulaient eux aussi pouvoir se faire du fric tout en clamant que le produit est libre. Quand on dit "free as in free speech, not free as in free beer" les gens honnêtes comprennent que ça veut dire que la gratuité n'est pas suffisante, il faut aussi l'accés aux sources. Les malhonnêtes voient aussitôt le filon, on va mettre l'accés aux sources, et par contre faire payer le soft. Comme 99% des gens n'ont rien à faire de l'accés aux sources, ça reste une variante infime du modèle commercial. Il y a même les fantaisistes comme Stéphane qui mettent une licence GPL sur un produit complètement fermé, tenu secret entre le programmeur et le client, et facturé fort cher au client. Bref c'est la GPL cache sexe super minimal, si ça l'amuse ...
La différence avec la licence BSD, ce qui est libre est bien clairement libre, ce qui est commercial est appelé commercial, et on ne vient pas embrouiller le client avec des propos fumeux. En particulier, on ne joue pas la vierge effarouchée et on accepte que des logiciels libres soient mis dans des logiciels commerciaux, lesquels on appelle commerciaux, et pas libres. Pour moi, une RedHat vendue avec une licence de 1 an par poste, c'est un logiciel commercial sans le moindre doute. Le fait qu'on puisse trouver le source sur un serveur ftp ne change rien à la chose.
--
Michel TALON
Vincent Bernat <vince@khabale.org> wrote:
OoO Peu avant le début de l'après-midi du dimanche 26 octobre 2003,
vers 13:46, talon@lpthe.jussieu.fr (Michel Talon) disait:
Par contre, que la licence GPL soit perverse autant que possible, il
suffit de lire les posts de Stephane, juste à coté. Je crois que ce
qu'il dit est tout à fait conforme à la lettre de la GPL, et en même
temps aussi opposé que possible à son esprit. A la moindre objection,
comme tous les bons petits soldats GNU, il va te sortir:
"Free as in free speech, not free as in free beer"
la plus ignoble connerie que Stallmann ait inventée, pour toute
justification de ses raisonnements sordides. Rééllement je suis trop
fatigué par ce fatras de conneries pour poursuivre la discussion.
Tu es surtout trop fatigué pour sortir une argumentation sur ce
point. En quoi la licence BSD provoque automatiquement la gratuité ?
Donne voir une licence libre utilisée dans un certain nombre de
logiciels énonçant la gratuité.
Comme je l'ai dit récemment, le gouvernement allemand a sorti un guide
de migration Windows vers Linux, extrêmement détaillé, faisant plus de
400 pages. Quand il définit le logiciel libre, il mentionne les 3 tartes
à la crème dont vous vous gargarisez, et il mentionne aussi que c'est
librement accessible et sans frais de licence. Parceque pour la quasi
totalité des utilisateurs, libre ça veut dire, d'abord et avant tout
gratuit, la seule chose qui compte pour eux.
Librement accessible et sans frais de licence c'est évidemment une
condition nécessaire (pas suffisante) pour qu'un logiciel soit libre,
pour à peu prés tout le monde, sauf les gens qui se sont fait décérébrer
par la FSF, ou les escrocs qui veulent faire des sous en mettant une
étiquette libre sur un produit qui est commercial (genre Suse, Redhat).
La FSF entretient l'ambiguité sur la question parceque les fondateurs
historiques, y compris Stallmann n'étaient pas clairs sur la question et
voulaient eux aussi pouvoir se faire du fric tout en clamant que le
produit est libre. Quand on dit "free as in free speech, not free as in
free beer" les gens honnêtes comprennent que ça veut dire que la
gratuité n'est pas suffisante, il faut aussi l'accés aux sources. Les
malhonnêtes voient aussitôt le filon, on va mettre l'accés aux sources,
et par contre faire payer le soft. Comme 99% des gens n'ont rien à faire
de l'accés aux sources, ça reste une variante infime du modèle
commercial. Il y a même les fantaisistes comme Stéphane qui mettent une
licence GPL sur un produit complètement fermé, tenu secret entre le
programmeur et le client, et facturé fort cher au client. Bref c'est la
GPL cache sexe super minimal, si ça l'amuse ...
La différence avec la licence BSD, ce qui est libre est bien clairement
libre, ce qui est commercial est appelé commercial, et on ne vient pas
embrouiller le client avec des propos fumeux. En particulier, on ne joue
pas la vierge effarouchée et on accepte que des logiciels libres soient
mis dans des logiciels commerciaux, lesquels on appelle commerciaux, et
pas libres. Pour moi, une RedHat vendue avec une licence de 1 an par
poste, c'est un logiciel commercial sans le moindre doute. Le fait qu'on
puisse trouver le source sur un serveur ftp ne change rien à la chose.
OoO Peu avant le début de l'après-midi du dimanche 26 octobre 2003, vers 13:46, (Michel Talon) disait:
Par contre, que la licence GPL soit perverse autant que possible, il suffit de lire les posts de Stephane, juste à coté. Je crois que ce qu'il dit est tout à fait conforme à la lettre de la GPL, et en même temps aussi opposé que possible à son esprit. A la moindre objection, comme tous les bons petits soldats GNU, il va te sortir: "Free as in free speech, not free as in free beer" la plus ignoble connerie que Stallmann ait inventée, pour toute justification de ses raisonnements sordides. Rééllement je suis trop fatigué par ce fatras de conneries pour poursuivre la discussion.
Tu es surtout trop fatigué pour sortir une argumentation sur ce point. En quoi la licence BSD provoque automatiquement la gratuité ? Donne voir une licence libre utilisée dans un certain nombre de logiciels énonçant la gratuité.
Comme je l'ai dit récemment, le gouvernement allemand a sorti un guide de migration Windows vers Linux, extrêmement détaillé, faisant plus de 400 pages. Quand il définit le logiciel libre, il mentionne les 3 tartes à la crème dont vous vous gargarisez, et il mentionne aussi que c'est librement accessible et sans frais de licence. Parceque pour la quasi totalité des utilisateurs, libre ça veut dire, d'abord et avant tout gratuit, la seule chose qui compte pour eux.
Librement accessible et sans frais de licence c'est évidemment une condition nécessaire (pas suffisante) pour qu'un logiciel soit libre, pour à peu prés tout le monde, sauf les gens qui se sont fait décérébrer par la FSF, ou les escrocs qui veulent faire des sous en mettant une étiquette libre sur un produit qui est commercial (genre Suse, Redhat). La FSF entretient l'ambiguité sur la question parceque les fondateurs historiques, y compris Stallmann n'étaient pas clairs sur la question et voulaient eux aussi pouvoir se faire du fric tout en clamant que le produit est libre. Quand on dit "free as in free speech, not free as in free beer" les gens honnêtes comprennent que ça veut dire que la gratuité n'est pas suffisante, il faut aussi l'accés aux sources. Les malhonnêtes voient aussitôt le filon, on va mettre l'accés aux sources, et par contre faire payer le soft. Comme 99% des gens n'ont rien à faire de l'accés aux sources, ça reste une variante infime du modèle commercial. Il y a même les fantaisistes comme Stéphane qui mettent une licence GPL sur un produit complètement fermé, tenu secret entre le programmeur et le client, et facturé fort cher au client. Bref c'est la GPL cache sexe super minimal, si ça l'amuse ...
La différence avec la licence BSD, ce qui est libre est bien clairement libre, ce qui est commercial est appelé commercial, et on ne vient pas embrouiller le client avec des propos fumeux. En particulier, on ne joue pas la vierge effarouchée et on accepte que des logiciels libres soient mis dans des logiciels commerciaux, lesquels on appelle commerciaux, et pas libres. Pour moi, une RedHat vendue avec une licence de 1 an par poste, c'est un logiciel commercial sans le moindre doute. Le fait qu'on puisse trouver le source sur un serveur ftp ne change rien à la chose.
--
Michel TALON
talon
Nicolas George wrote:
Vincent Bernat , dans le message , a écrit :
Donne voir une licence libre utilisée dans un certain nombre de logiciels énonçant la gratuité.
Il y en a plein, des licences qui exigent la gratuité. Celle de Scilab, par exemple. En général, ça a pour principale conséquence que le logiciel se retrouve absent des CD vendus quelques euros par Ikarios, génial. J'ai failli être très emmerdé le jour où j'ai eu besoin de Scilab alors que je n'avais pas d'accès réseau et où je ne l'ai pas trouvé sur mes CD de Woody.
La gratuité de principe n'empêche pas moralement qu'un distributeur de CD fasse payer ses CD une somme raisonnable qui couvre ses frais et un bénéfice décent. Autrefois les CD de FreeBSD étaient vendus par Walnut Creek Cdrom, dans mon souvenir quelque chose comme 230F les 4 CD. Ce même marchand vendait aussi Slackware. Il existait des clones moins cher comme CheapBytes. Ca ne me choque pas du tout. Au début de l'histoire de RedHat, ils vendaient aussi leurs CD à des sommes du même type. Comme il y avait une doc papier dans la boite, ça justifiait un prix un peu plus élevé, quelque chose comme 300 ou 400F.
Mais il est clair que les choses sont en train de radicalement changer. Toutes ces boites, comme RedHat, se sont mises à employer de plus en plus de personnel, à lever de l'argent en Bourse, les actionnaires veulent voir rentrer des bénéfices, donc elles passent à un modèle commercial. Ce qui me surprend, c'est que ça se passe avec la bénédiction des grands moralistes de la FSF.
--
Michel TALON
Nicolas George <george@clipper.ens.fr> wrote:
Vincent Bernat , dans le message <m37k2rtuos.fsf@neo.loria>, a écrit :
Donne voir une licence libre utilisée dans un certain nombre de
logiciels énonçant la gratuité.
Il y en a plein, des licences qui exigent la gratuité. Celle de Scilab,
par exemple. En général, ça a pour principale conséquence que le
logiciel se retrouve absent des CD vendus quelques euros par Ikarios,
génial. J'ai failli être très emmerdé le jour où j'ai eu besoin de
Scilab alors que je n'avais pas d'accès réseau et où je ne l'ai pas
trouvé sur mes CD de Woody.
La gratuité de principe n'empêche pas moralement qu'un distributeur de
CD fasse payer ses CD une somme raisonnable qui couvre ses frais et un
bénéfice décent. Autrefois les CD de FreeBSD étaient vendus par
Walnut Creek Cdrom, dans mon souvenir quelque chose comme 230F les 4 CD.
Ce même marchand vendait aussi Slackware. Il existait des clones moins
cher comme CheapBytes. Ca ne me choque pas du tout. Au début de
l'histoire de RedHat, ils vendaient aussi leurs CD à des sommes du même
type. Comme il y avait une doc papier dans la boite, ça justifiait un
prix un peu plus élevé, quelque chose comme 300 ou 400F.
Mais il est clair que les choses sont en train de radicalement changer.
Toutes ces boites, comme RedHat, se sont mises à employer de plus en plus
de personnel, à lever de l'argent en Bourse, les actionnaires veulent
voir rentrer des bénéfices, donc elles passent à un modèle commercial.
Ce qui me surprend, c'est que ça se passe avec la bénédiction des grands
moralistes de la FSF.
Donne voir une licence libre utilisée dans un certain nombre de logiciels énonçant la gratuité.
Il y en a plein, des licences qui exigent la gratuité. Celle de Scilab, par exemple. En général, ça a pour principale conséquence que le logiciel se retrouve absent des CD vendus quelques euros par Ikarios, génial. J'ai failli être très emmerdé le jour où j'ai eu besoin de Scilab alors que je n'avais pas d'accès réseau et où je ne l'ai pas trouvé sur mes CD de Woody.
La gratuité de principe n'empêche pas moralement qu'un distributeur de CD fasse payer ses CD une somme raisonnable qui couvre ses frais et un bénéfice décent. Autrefois les CD de FreeBSD étaient vendus par Walnut Creek Cdrom, dans mon souvenir quelque chose comme 230F les 4 CD. Ce même marchand vendait aussi Slackware. Il existait des clones moins cher comme CheapBytes. Ca ne me choque pas du tout. Au début de l'histoire de RedHat, ils vendaient aussi leurs CD à des sommes du même type. Comme il y avait une doc papier dans la boite, ça justifiait un prix un peu plus élevé, quelque chose comme 300 ou 400F.
Mais il est clair que les choses sont en train de radicalement changer. Toutes ces boites, comme RedHat, se sont mises à employer de plus en plus de personnel, à lever de l'argent en Bourse, les actionnaires veulent voir rentrer des bénéfices, donc elles passent à un modèle commercial. Ce qui me surprend, c'est que ça se passe avec la bénédiction des grands moralistes de la FSF.
--
Michel TALON
talon
Vincent Bernat wrote:
Le point est qu'aucune licence largement utilisée ne revendique la gratuité du logiciel, qu'elle soit sous l'influence de la FSF ou non (comme la licence BSD, mais cela, certains évitent d'argumenter dessus en sautant sur la GPL à chaque fois que l'on aborde ce point).
Mais il n'y a pas à être hypocrite. Tant que J. Hubbard, qui faisait la release de FreeBSD, était employé de Walnut Creek, il n'y avait pas d'images isos officielles, on pouvait juste downloader la release et faire sa propre image iso, ce qui faisait une différence infime, mais enfin. Depuis qu'il est parti chez Apple, les choses sont claires, FreeBSD fait une image iso (et NetBSD aussi). Ca montre avec évidence quelle est la logique de la chose, et aussi les petits accomodements avec ce qui devrait être fait pour être moralement clair.
--
Michel TALON
Vincent Bernat <vincent.bernat@raysa.org> wrote:
Le point est qu'aucune licence largement utilisée ne revendique la
gratuité du logiciel, qu'elle soit sous l'influence de la FSF ou non
(comme la licence BSD, mais cela, certains évitent d'argumenter dessus
en sautant sur la GPL à chaque fois que l'on aborde ce point).
Mais il n'y a pas à être hypocrite. Tant que J. Hubbard, qui faisait la
release de FreeBSD, était employé de Walnut Creek, il n'y avait pas
d'images isos officielles, on pouvait juste downloader la release
et faire sa propre image iso, ce qui faisait une différence infime, mais
enfin. Depuis qu'il est parti chez Apple, les choses sont claires,
FreeBSD fait une image iso (et NetBSD aussi). Ca montre avec évidence
quelle est la logique de la chose, et aussi les petits accomodements
avec ce qui devrait être fait pour être moralement clair.
Le point est qu'aucune licence largement utilisée ne revendique la gratuité du logiciel, qu'elle soit sous l'influence de la FSF ou non (comme la licence BSD, mais cela, certains évitent d'argumenter dessus en sautant sur la GPL à chaque fois que l'on aborde ce point).
Mais il n'y a pas à être hypocrite. Tant que J. Hubbard, qui faisait la release de FreeBSD, était employé de Walnut Creek, il n'y avait pas d'images isos officielles, on pouvait juste downloader la release et faire sa propre image iso, ce qui faisait une différence infime, mais enfin. Depuis qu'il est parti chez Apple, les choses sont claires, FreeBSD fait une image iso (et NetBSD aussi). Ca montre avec évidence quelle est la logique de la chose, et aussi les petits accomodements avec ce qui devrait être fait pour être moralement clair.
--
Michel TALON
talon
Sam Hocevar <sam+ wrote:
On Mon, 27 Oct 2003 00:55:46 +0000 (UTC), Nicolas George wrote:
Vincent Bernat , dans le message , a écrit :
Donne voir une licence libre utilisée dans un certain nombre de logiciels énonçant la gratuité.
Il y en a plein, des licences qui exigent la gratuité. Celle de Scilab, par exemple. En général, ça a pour principale conséquence que
Non, exiger la gratuité, ça a pour principale conséquence d'être non-libre.
Tu devrais faire de la politique.
--
Michel TALON
Sam Hocevar <sam+news@zoy.org> wrote:
On Mon, 27 Oct 2003 00:55:46 +0000 (UTC), Nicolas George wrote:
Vincent Bernat , dans le message <m37k2rtuos.fsf@neo.loria>, a écrit :
Donne voir une licence libre utilisée dans un certain nombre de
logiciels énonçant la gratuité.
Il y en a plein, des licences qui exigent la gratuité. Celle de Scilab,
par exemple. En général, ça a pour principale conséquence que
Non, exiger la gratuité, ça a pour principale conséquence d'être
non-libre.
On Mon, 27 Oct 2003 00:55:46 +0000 (UTC), Nicolas George wrote:
Vincent Bernat , dans le message , a écrit :
Donne voir une licence libre utilisée dans un certain nombre de logiciels énonçant la gratuité.
Il y en a plein, des licences qui exigent la gratuité. Celle de Scilab, par exemple. En général, ça a pour principale conséquence que
Non, exiger la gratuité, ça a pour principale conséquence d'être non-libre.
Tu devrais faire de la politique.
--
Michel TALON
Galkine
On Mon, 27 Oct 2003 10:42:06 +0000, Michel Talon wrote:
Mais il est clair que les choses sont en train de radicalement changer. Toutes ces boites, comme RedHat, se sont mises à employer de plus en plus de personnel, à lever de l'argent en Bourse, les actionnaires veulent voir rentrer des bénéfices, donc elles passent à un modèle commercial. Ce qui me surprend, c'est que ça se passe avec la bénédiction des grands moralistes de la FSF. non
tout d'abord le juriste de la fsf a été contacté pour savoir s'il n'y avait pas de violation de la GPL je te conseille d'envoyer un mail a Loic Dachary la discussion sur la mailling list de la fsf france http://mail.gnu.org/archive/html/fsfe-france/2003-09/msg00090.html http://zdnet.com.com/2100-1107_2-5057755.html Ian Murdock "Yet the business models that are built around today's leading commercial Linux distributions are remarkably similar to those built around the proprietary operating systems they seek to replace: Position the OS as a standard, then control the standard by locking customers in through proprietary technology, subscription agreement legerdemain or an "embrace and extend" approach to existing standards and best practices."
On Mon, 27 Oct 2003 10:42:06 +0000, Michel Talon wrote:
Mais il est clair que les choses sont en train de radicalement changer.
Toutes ces boites, comme RedHat, se sont mises à employer de plus en plus
de personnel, à lever de l'argent en Bourse, les actionnaires veulent
voir rentrer des bénéfices, donc elles passent à un modèle commercial.
Ce qui me surprend, c'est que ça se passe avec la bénédiction des grands
moralistes de la FSF.
non
tout d'abord le juriste de la fsf a été contacté pour savoir s'il n'y
avait pas de violation de la GPL
je te conseille d'envoyer un mail a Loic Dachary
la discussion sur la mailling list de la fsf france
http://mail.gnu.org/archive/html/fsfe-france/2003-09/msg00090.html
http://zdnet.com.com/2100-1107_2-5057755.html
Ian Murdock
"Yet the business models that are built around today's leading commercial
Linux distributions are remarkably similar to those built around the
proprietary operating systems they seek to replace: Position the OS as a
standard, then control the standard by locking customers in through
proprietary technology, subscription agreement legerdemain or an "embrace
and extend" approach to existing standards and best practices."
On Mon, 27 Oct 2003 10:42:06 +0000, Michel Talon wrote:
Mais il est clair que les choses sont en train de radicalement changer. Toutes ces boites, comme RedHat, se sont mises à employer de plus en plus de personnel, à lever de l'argent en Bourse, les actionnaires veulent voir rentrer des bénéfices, donc elles passent à un modèle commercial. Ce qui me surprend, c'est que ça se passe avec la bénédiction des grands moralistes de la FSF. non
tout d'abord le juriste de la fsf a été contacté pour savoir s'il n'y avait pas de violation de la GPL je te conseille d'envoyer un mail a Loic Dachary la discussion sur la mailling list de la fsf france http://mail.gnu.org/archive/html/fsfe-france/2003-09/msg00090.html http://zdnet.com.com/2100-1107_2-5057755.html Ian Murdock "Yet the business models that are built around today's leading commercial Linux distributions are remarkably similar to those built around the proprietary operating systems they seek to replace: Position the OS as a standard, then control the standard by locking customers in through proprietary technology, subscription agreement legerdemain or an "embrace and extend" approach to existing standards and best practices."
Sam Hocevar
On Mon, 27 Oct 2003 11:12:46 +0000 (UTC), Michel Talon wrote:
Non, exiger la gratuité, ça a pour principale conséquence d'être non-libre.
Tu devrais faire de la politique.
J't'ai pas insulté.
Sam. -- Sam Hocevar <http://sam.zoy.org/>
On Mon, 27 Oct 2003 11:12:46 +0000 (UTC), Michel Talon wrote:
Non, exiger la gratuité, ça a pour principale conséquence d'être
non-libre.
Tu devrais faire de la politique.
J't'ai pas insulté.
Sam.
--
Sam Hocevar <sam@zoy.org> <http://sam.zoy.org/>
On Mon, 27 Oct 2003 11:12:46 +0000 (UTC), Michel Talon wrote:
Non, exiger la gratuité, ça a pour principale conséquence d'être non-libre.
Tu devrais faire de la politique.
J't'ai pas insulté.
Sam. -- Sam Hocevar <http://sam.zoy.org/>
Stephane TOUGARD
Michel Talon wrote:
Librement accessible et sans frais de licence c'est évidemment une
Librement accessible n'est pas une condition sine quanon pour du logiciel Libre, pas plus qu'il n'y a pas des frais lies a son achat.
Par contre, les sources sont fournies, librement re-utilisable, modifiables et distribuables sans rendre de compte a qui que ce soit (bien que cette re-distribution peut se faire sous certaines conditions).
condition nécessaire (pas suffisante) pour qu'un logiciel soit libre, pour à peu prés tout le monde, sauf les gens qui se sont fait décérébrer par la FSF, ou les escrocs qui veulent faire des sous en mettant une étiquette libre sur un produit qui est commercial (genre Suse, Redhat).
Argent, monnaie, capitalistes verreux, mondialiste, ... C'est mal.
Que c'est simple de critiquer la libre entreprise cache derriere un status de fonctionnaire ou assimile, avec un emploi securise et un revenu regulier.
Avant de critiquer un chef d'entreprise, commence par faire une journee de marche dans ses chaussures. Tu verras que la situation n'est pas si simple.
La FSF entretient l'ambiguité sur la question parceque les fondateurs historiques, y compris Stallmann n'étaient pas clairs sur la question et voulaient eux aussi pouvoir se faire du fric tout en clamant que le produit est libre. Quand on dit "free as in free speech, not free as in free beer" les gens honnêtes comprennent que ça veut dire que la gratuité n'est pas suffisante, il faut aussi l'accés aux sources. Les malhonnêtes voient aussitôt le filon, on va mettre l'accés aux sources, et par contre faire payer le soft. Comme 99% des gens n'ont rien à faire de l'accés aux sources, ça reste une variante infime du modèle commercial. Il y a même les fantaisistes comme Stéphane qui mettent une licence GPL sur un produit complètement fermé, tenu secret entre le programmeur et le client, et facturé fort cher au client. Bref c'est la GPL cache sexe super minimal, si ça l'amuse ...
Non, c'est la GPL, toute simple. Ceci dit, fidele a ton habitude pour inventer les propos d'autrui (je n'aimerais pas te voir avec un pouvoir politique, ca m'inquieterait pour la democratie) je n'ai jamais vendu un produit sous licence GPL qui fut ecrit par moi. J'utilise la BSD pour livrer mon code a mon client, ce qui l'autorise, lui comme moi, a en faire ce qu'on veut pour la version livree. Ensuite, si je diffuse librement, alors j'utilise la GPL, si un client veut en faire une version proprio alors je lui livre sous licence BSD et il est autorise a en faire ce qu'il veut. Les autres ne peuvent ne l'utiliser que sous GPL et rien d'autre.
La différence avec la licence BSD, ce qui est libre est bien clairement libre, ce qui est commercial est appelé commercial, et on ne vient pas embrouiller le client avec des propos fumeux. En particulier, on ne joue
C'est amusant que j'utilise le procede absolument inverse a ta description. Ce qui est BSD est justement destinee a devenir proprio alors que ce qui est GPL est destine a rester Libre.
pas la vierge effarouchée et on accepte que des logiciels libres soient mis dans des logiciels commerciaux, lesquels on appelle commerciaux, et pas libres. Pour moi, une RedHat vendue avec une licence de 1 an par poste, c'est un logiciel commercial sans le moindre doute. Le fait qu'on puisse trouver le source sur un serveur ftp ne change rien à la chose.
A moins que tu ne me retrouve tres precisement l'endroit ou il est dit que la RedHat, le programme en lui meme, est livre pour un seul poste, je suis tres interesse. Pour le moment, la seule chose que j'ai trouve, c'est que la boite est vendue avec une prestation obligatoire qui est valable sur un poste uniquement (ou un nombre pre-defini) mais que le logiciel en lui meme est gratuit et librement copiable.
Michel Talon wrote:
Librement accessible et sans frais de licence c'est évidemment une
Librement accessible n'est pas une condition sine quanon pour du
logiciel Libre, pas plus qu'il n'y a pas des frais lies a son achat.
Par contre, les sources sont fournies, librement re-utilisable,
modifiables et distribuables sans rendre de compte a qui que ce soit
(bien que cette re-distribution peut se faire sous certaines
conditions).
condition nécessaire (pas suffisante) pour qu'un logiciel soit libre,
pour à peu prés tout le monde, sauf les gens qui se sont fait décérébrer
par la FSF, ou les escrocs qui veulent faire des sous en mettant une
étiquette libre sur un produit qui est commercial (genre Suse, Redhat).
Argent, monnaie, capitalistes verreux, mondialiste, ... C'est mal.
Que c'est simple de critiquer la libre entreprise cache derriere un
status de fonctionnaire ou assimile, avec un emploi securise et un
revenu regulier.
Avant de critiquer un chef d'entreprise, commence par faire une journee
de marche dans ses chaussures. Tu verras que la situation n'est pas si
simple.
La FSF entretient l'ambiguité sur la question parceque les fondateurs
historiques, y compris Stallmann n'étaient pas clairs sur la question et
voulaient eux aussi pouvoir se faire du fric tout en clamant que le
produit est libre. Quand on dit "free as in free speech, not free as in
free beer" les gens honnêtes comprennent que ça veut dire que la
gratuité n'est pas suffisante, il faut aussi l'accés aux sources. Les
malhonnêtes voient aussitôt le filon, on va mettre l'accés aux sources,
et par contre faire payer le soft. Comme 99% des gens n'ont rien à faire
de l'accés aux sources, ça reste une variante infime du modèle
commercial. Il y a même les fantaisistes comme Stéphane qui mettent une
licence GPL sur un produit complètement fermé, tenu secret entre le
programmeur et le client, et facturé fort cher au client. Bref c'est la
GPL cache sexe super minimal, si ça l'amuse ...
Non, c'est la GPL, toute simple. Ceci dit, fidele a ton habitude pour
inventer les propos d'autrui (je n'aimerais pas te voir avec un pouvoir
politique, ca m'inquieterait pour la democratie) je n'ai jamais vendu un
produit sous licence GPL qui fut ecrit par moi. J'utilise la BSD pour
livrer mon code a mon client, ce qui l'autorise, lui comme moi, a en
faire ce qu'on veut pour la version livree. Ensuite, si je diffuse
librement, alors j'utilise la GPL, si un client veut en faire une
version proprio alors je lui livre sous licence BSD et il est autorise a
en faire ce qu'il veut. Les autres ne peuvent ne l'utiliser que sous GPL
et rien d'autre.
La différence avec la licence BSD, ce qui est libre est bien clairement
libre, ce qui est commercial est appelé commercial, et on ne vient pas
embrouiller le client avec des propos fumeux. En particulier, on ne joue
C'est amusant que j'utilise le procede absolument inverse a ta
description. Ce qui est BSD est justement destinee a devenir proprio alors
que ce qui est GPL est destine a rester Libre.
pas la vierge effarouchée et on accepte que des logiciels libres soient
mis dans des logiciels commerciaux, lesquels on appelle commerciaux, et
pas libres. Pour moi, une RedHat vendue avec une licence de 1 an par
poste, c'est un logiciel commercial sans le moindre doute. Le fait qu'on
puisse trouver le source sur un serveur ftp ne change rien à la chose.
A moins que tu ne me retrouve tres precisement l'endroit ou il est dit
que la RedHat, le programme en lui meme, est livre pour un seul poste,
je suis tres interesse. Pour le moment, la seule chose que j'ai trouve,
c'est que la boite est vendue avec une prestation obligatoire qui est
valable sur un poste uniquement (ou un nombre pre-defini) mais que le
logiciel en lui meme est gratuit et librement copiable.
Librement accessible et sans frais de licence c'est évidemment une
Librement accessible n'est pas une condition sine quanon pour du logiciel Libre, pas plus qu'il n'y a pas des frais lies a son achat.
Par contre, les sources sont fournies, librement re-utilisable, modifiables et distribuables sans rendre de compte a qui que ce soit (bien que cette re-distribution peut se faire sous certaines conditions).
condition nécessaire (pas suffisante) pour qu'un logiciel soit libre, pour à peu prés tout le monde, sauf les gens qui se sont fait décérébrer par la FSF, ou les escrocs qui veulent faire des sous en mettant une étiquette libre sur un produit qui est commercial (genre Suse, Redhat).
Argent, monnaie, capitalistes verreux, mondialiste, ... C'est mal.
Que c'est simple de critiquer la libre entreprise cache derriere un status de fonctionnaire ou assimile, avec un emploi securise et un revenu regulier.
Avant de critiquer un chef d'entreprise, commence par faire une journee de marche dans ses chaussures. Tu verras que la situation n'est pas si simple.
La FSF entretient l'ambiguité sur la question parceque les fondateurs historiques, y compris Stallmann n'étaient pas clairs sur la question et voulaient eux aussi pouvoir se faire du fric tout en clamant que le produit est libre. Quand on dit "free as in free speech, not free as in free beer" les gens honnêtes comprennent que ça veut dire que la gratuité n'est pas suffisante, il faut aussi l'accés aux sources. Les malhonnêtes voient aussitôt le filon, on va mettre l'accés aux sources, et par contre faire payer le soft. Comme 99% des gens n'ont rien à faire de l'accés aux sources, ça reste une variante infime du modèle commercial. Il y a même les fantaisistes comme Stéphane qui mettent une licence GPL sur un produit complètement fermé, tenu secret entre le programmeur et le client, et facturé fort cher au client. Bref c'est la GPL cache sexe super minimal, si ça l'amuse ...
Non, c'est la GPL, toute simple. Ceci dit, fidele a ton habitude pour inventer les propos d'autrui (je n'aimerais pas te voir avec un pouvoir politique, ca m'inquieterait pour la democratie) je n'ai jamais vendu un produit sous licence GPL qui fut ecrit par moi. J'utilise la BSD pour livrer mon code a mon client, ce qui l'autorise, lui comme moi, a en faire ce qu'on veut pour la version livree. Ensuite, si je diffuse librement, alors j'utilise la GPL, si un client veut en faire une version proprio alors je lui livre sous licence BSD et il est autorise a en faire ce qu'il veut. Les autres ne peuvent ne l'utiliser que sous GPL et rien d'autre.
La différence avec la licence BSD, ce qui est libre est bien clairement libre, ce qui est commercial est appelé commercial, et on ne vient pas embrouiller le client avec des propos fumeux. En particulier, on ne joue
C'est amusant que j'utilise le procede absolument inverse a ta description. Ce qui est BSD est justement destinee a devenir proprio alors que ce qui est GPL est destine a rester Libre.
pas la vierge effarouchée et on accepte que des logiciels libres soient mis dans des logiciels commerciaux, lesquels on appelle commerciaux, et pas libres. Pour moi, une RedHat vendue avec une licence de 1 an par poste, c'est un logiciel commercial sans le moindre doute. Le fait qu'on puisse trouver le source sur un serveur ftp ne change rien à la chose.
A moins que tu ne me retrouve tres precisement l'endroit ou il est dit que la RedHat, le programme en lui meme, est livre pour un seul poste, je suis tres interesse. Pour le moment, la seule chose que j'ai trouve, c'est que la boite est vendue avec une prestation obligatoire qui est valable sur un poste uniquement (ou un nombre pre-defini) mais que le logiciel en lui meme est gratuit et librement copiable.
george
Michel Talon, dans le message <bnit62$2qb6$, a écrit :
Mais il n'y a pas à être hypocrite. Tant que J. Hubbard, qui faisait la release de FreeBSD, était employé de Walnut Creek, il n'y avait pas d'images isos officielles, on pouvait juste downloader la release et faire sa propre image iso, ce qui faisait une différence infime, mais enfin. Depuis qu'il est parti chez Apple, les choses sont claires, FreeBSD fait une image iso (et NetBSD aussi). Ca montre avec évidence quelle est la logique de la chose, et aussi les petits accomodements avec ce qui devrait être fait pour être moralement clair.
So what ?
Il y a également des images ISO officielles de Debian ou de Slackware.
Michel Talon, dans le message <bnit62$2qb6$3@asmodee.lpthe.jussieu.fr>,
a écrit :
Mais il n'y a pas à être hypocrite. Tant que J. Hubbard, qui faisait la
release de FreeBSD, était employé de Walnut Creek, il n'y avait pas
d'images isos officielles, on pouvait juste downloader la release
et faire sa propre image iso, ce qui faisait une différence infime, mais
enfin. Depuis qu'il est parti chez Apple, les choses sont claires,
FreeBSD fait une image iso (et NetBSD aussi). Ca montre avec évidence
quelle est la logique de la chose, et aussi les petits accomodements
avec ce qui devrait être fait pour être moralement clair.
So what ?
Il y a également des images ISO officielles de Debian ou de Slackware.
Michel Talon, dans le message <bnit62$2qb6$, a écrit :
Mais il n'y a pas à être hypocrite. Tant que J. Hubbard, qui faisait la release de FreeBSD, était employé de Walnut Creek, il n'y avait pas d'images isos officielles, on pouvait juste downloader la release et faire sa propre image iso, ce qui faisait une différence infime, mais enfin. Depuis qu'il est parti chez Apple, les choses sont claires, FreeBSD fait une image iso (et NetBSD aussi). Ca montre avec évidence quelle est la logique de la chose, et aussi les petits accomodements avec ce qui devrait être fait pour être moralement clair.
So what ?
Il y a également des images ISO officielles de Debian ou de Slackware.
Stephane TOUGARD
Michel Talon wrote:
Mais il est clair que les choses sont en train de radicalement changer. Toutes ces boites, comme RedHat, se sont mises à employer de plus en plus de personnel, à lever de l'argent en Bourse, les actionnaires veulent voir rentrer des bénéfices, donc elles passent à un modèle commercial. Ce qui me surprend, c'est que ça se passe avec la bénédiction des grands moralistes de la FSF.
Sans doutes parce que les motivation des grands moralistes de la FSF n'a jamais ete d'empecher les gagner de l'argent.
Ce probleme relationnel avec l'argent dont souffre le francais moyen est absolument exasperant. Un probleme de jalousie sans doute, le pays va en crever.
Michel Talon wrote:
Mais il est clair que les choses sont en train de radicalement changer.
Toutes ces boites, comme RedHat, se sont mises à employer de plus en plus
de personnel, à lever de l'argent en Bourse, les actionnaires veulent
voir rentrer des bénéfices, donc elles passent à un modèle commercial.
Ce qui me surprend, c'est que ça se passe avec la bénédiction des grands
moralistes de la FSF.
Sans doutes parce que les motivation des grands moralistes de la FSF n'a
jamais ete d'empecher les gagner de l'argent.
Ce probleme relationnel avec l'argent dont souffre le francais moyen est
absolument exasperant. Un probleme de jalousie sans doute, le pays va en
crever.
Mais il est clair que les choses sont en train de radicalement changer. Toutes ces boites, comme RedHat, se sont mises à employer de plus en plus de personnel, à lever de l'argent en Bourse, les actionnaires veulent voir rentrer des bénéfices, donc elles passent à un modèle commercial. Ce qui me surprend, c'est que ça se passe avec la bénédiction des grands moralistes de la FSF.
Sans doutes parce que les motivation des grands moralistes de la FSF n'a jamais ete d'empecher les gagner de l'argent.
Ce probleme relationnel avec l'argent dont souffre le francais moyen est absolument exasperant. Un probleme de jalousie sans doute, le pays va en crever.
george
Michel Talon, dans le message <bnispu$2qb6$, a écrit :
La gratuité de principe n'empêche pas moralement qu'un distributeur de CD fasse payer ses CD une somme raisonnable qui couvre ses frais et un bénéfice décent.
Définis ça rigoursuement pour le mettre dans une licence, on va rire.
Michel Talon, dans le message <bnispu$2qb6$2@asmodee.lpthe.jussieu.fr>,
a écrit :
La gratuité de principe n'empêche pas moralement qu'un distributeur de
CD fasse payer ses CD une somme raisonnable qui couvre ses frais et un
bénéfice décent.
Définis ça rigoursuement pour le mettre dans une licence, on va rire.
Michel Talon, dans le message <bnispu$2qb6$, a écrit :
La gratuité de principe n'empêche pas moralement qu'un distributeur de CD fasse payer ses CD une somme raisonnable qui couvre ses frais et un bénéfice décent.
Définis ça rigoursuement pour le mettre dans une licence, on va rire.