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diffamation et responsabilité du fournisseur d'accès

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docanski
Bonsoir,

Abonné à quelques groupes de discussions, je subis depuis plus d'un an
les propos calomnieux d'un triste individu dans l'un de ceux-ci.
Ma première plainte à abuse.wanadoo en janvier 2006 semble avoir été
suivie par contact avec le quidam en question pour le lui demander de se
calmer, sans plus. En mars de cette année, cet individu recommençait à
publier ses calomnies et j'ai donc à nouveau porté plainte à
abuse.orange. Elle n'a abouti qu'à une réponse de non recevoir se
bornant à dire, en substance :

> Les faits sont graves s'il s'agit de calomnie. Dans tous les cas nous
> ne pourrons rien faire tant qu'au niveau pénal nous n'aurons pas
> reçu de la part des autorités compétentes de commission rogatoire. De
> ce fait, et vous le comprendrez bien, nous ne pouvons divulguer les
> coordonnées de la personne en question. Dans le cas d'un litige
> entre deux personnes (diffamation, photos, insultes, récit etc),
> c'est à la personne qui se sent offensée de porter plainte auprès des
> autorités afin qu'une action soit menée. Auquel cas, nous fournirons
> à la justice, tous les éléments en notre possession, ceci afin de
> faire valoir les droits de l'offensé. Nous vous conseillons donc,
> vivement de porter plainte.

N'ayant pas l'intention d'engager des frais de justice pour une telle
cause, tout ce que je demandais c'est une décision de la part de
l'hébergeur Orange d'interdire cet individu de publication sur les
groupes "orange". Las, je n'ai pas eu satisfaction. Evidemment, le
calomniateur ne voyant aucune réaction de ma part (je n'ai d'ailleurs
jamais d'échange écrit avec lui et subis ses calomnies sans répondre)
continue et j'ai donc à nouveau déposé plainte à abuse.orange de même
qu'à son service commercial. Ils ne répondent même plus à cette dernière
plainte !
A ma connaissance, ils sont tout de même responsables de ce qui se
publie dans les espaces qu'ils mettent à disposition de leurs clients,
que je sache.
Leur indifférence me pousse donc à chercher d'autres moyens, notamment
de les mettre en cause pour complicité passive de publication d'écrits
calomnieux. Que puis-je faire (toujours en évitant d'engager des frais
de justice dans une affaire qui me coûterait et qui n'aboutirait
d'ailleurs probablement qu'aux calandes grecques), de préférence en
restant dans le cadre des autorités ayant le net dans leurs attributions
et si possible en pouvant les contacter par le même moyen de communication ?

Cordialement,
--
docanski

- Les Côtes du nord de la Bretagne par le sentier des douaniers
- Memento des champignons : le guide le plus complet du Web
- Et d'autres sujets encore sur ----> http://armorance.free.fr

10 réponses

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docanski
Alors que les eleveurs et agriculteurs polluent toujours la Bretagne,
Moisse nous narre ce qui suit en ce 7/05/2007 12:13 :

Simplement je suis surpris de la réaction du contributeur qui hésite
à attraire son calomniateur, un particulier, mais croit pouvoir
s'attaquer à un FAI de la taille de celui qu'il nous cite.



Qui parle d'attaque à l'encontre d'un FAI ?
Il s'agit tout simplement de lui demander de cesser *relayer* des propos
calomnieux !
Si on vous traitait de voleur, quelle serait votre réaction ?
Peut-on lancer de telles accusations sans que le *support* de celles-ci,
qu'il s'agisse d'un journal ou d'un groupe de discussions appartenant à
un fournisseur d'accès, n'ait la moindre responsabilité et n'agisse en
conséquence pour que cela cesse ?
Jugeriez-vous utile d'entamer une plainte avec constitution de partie
civile, prendre un avocat et engager des frais pour obtenir de la
justice qu'elle réponde que *vous n'êtes pas* un voleur ?
Soyons sérieux, voyons.

Après c'est la CPC qui effectivement complique la vie, ou de remuer
assez pour provoquer l'instruction et non un simple classement.



... ce que j'ai vécu il y a plusieurs années : classement vertical pour
des menaces de mort en public ! La communication de ce classement : le
procureur jugeait que les faits n'étaient pas assez graves et/ou
caractérisés ... malgré une enquête de gendarmerie et le témoignage d'un
adjoint au maire ayant fait lui-même préalablement son enquête de
voisinage attestant du bien-fondé de ma plainte !
Il me restait la seule possibilité de prendre un avocat !
Croire en une possibilité de réglement par la justice après une telle
expérience relèverait de la naïveté.

Merci quand même pour ce dernier conseil.

Cordialement,
--
docanski

- Les Côtes du nord de la Bretagne par le sentier des douaniers
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Patrick V
On 7 mai, 14:12, docanski
wrote:
> Si vous vous en sentez le courage, faites comme moi : portez plainte

Ce serait faire trop d'honneur au calomniateur et m'engager à des
dépenses auxquelles je me refuse : il me semble tout de même que la
justice est faite pour protéger les citoyens lorsque des écrits publi cs
sont de cette nature.



Encore faudrait-il y faire appel !

> Attention au délai de prescription qui est très court (trois mois à
> compter de la première mise en ligne des propos)

Comme je l'ai signalé, les premiers écrits datent de plus d'un an.



Alors, selon la nature des propos, tu peux toujours tenter l'angle
d'attaque de la LCEN si les propos tenus sont *manifestement*
illicites.
Avatar
Dominique G
docanski a écrit dans news:463f1b6f$0$27398$:

Alors que les eleveurs et agriculteurs polluent toujours la Bretagne,
Dominique G nous narre ce qui suit en ce 7/05/2007 11:05 :



Si je ne m'abuse ( :-) ), il existe tout de même une autorité de
tutelle destinée à responsabiliser les acteurs commerciaux, notamment
les vendeurs d'hébergement et d'espaces de discussion, et assurer un
minimum de moralité parmi ceux dont le siège est établi en France ...
Non ?



Non.
Le contrôle est fait par le juge, suite à une plainte.


On ne peut jamais faire condamner un *complice* si on ne prend pas la
peine de faire condamner l'auteur principal, voyons !



En l'occurrence, la complicité passive que je dénonce consiste au fait
que malgré plusieurs plaintes au contenu vérifiable, l'hebergeur
*publie* des calomnies émises par un de ses clients.



Ce que vous appelez des "plaintes" vis-à-vis d'Orange ne sont que des
abuses.
Orange attend d'y être contraint par un jugement pour clôturer le compte
d'un client payant.

Traiter quelqu'un de voleur n'est pas censé amener la justice à exiger
un retournement de la preuve, me semble-t'il.



Non.
En matière de diffamation publique, l'action publique ne peut être
engagée que suite à une plainte du diffamé .
Vous confondez avec d'autres délits comme l'incitation à la haine
raciale ou la diffusion de photos pornographiques à caractère pédophile,
par exemple.


Si vous vous en sentez le courage, faites comme moi : portez plainte





Ce serait faire trop d'honneur au calomniateur



C'est ce que j'ai longtemps pensé, comme mon ami, traité d'antisémite
sur des forums publics et dont la fille s'est fait dire, à l'école, que
son père n'était qu'un sale raciste...
Merci Google ...


et m'engager à des
dépenses auxquelles je me refuse : il me semble tout de même que la
justice est faite pour protéger les citoyens lorsque des écrits
publics sont de cette nature.



Oui, la justice est là pour vous protéger.
Encore faut-il que vous le lui demandiez directement.

Attention au délai de prescription qui est très court (trois mois à
compter de la première mise en ligne des propos)



Comme je l'ai signalé, les premiers écrits datent de plus d'un an.



Prescrits.
Il vous reste l'action civile , peut être...

Comme
je faisais confiance en la morale du fournisseur d'accès, je m'en
remettais évidemment totalement à son éventuelle action vis-à-vis du
calomniateur et j'espérais, jusqu'il y a peu, que celle-ci avait porté
ses fruits ne fut-ce que par l'arrêt de tels écrits.
Las ...



Et oui.
Je suis chez Orange, aussi .


A part ça, je ne vois que des moyens amiables avec la personne en
question.



Je ne vois pas comment de tels moyens peuvent être mis en oeuvre avec
un individu qui, par ailleurs, pratique l'insulte comme argument
final à l'égard de ses contradicteurs, d'autres intervenants dans ce
groupe de discussions.



Un conciliateur de justice peut vous aider. Il y en a un par
circonscription judiciaie, il me semble.
Demandez ses coordonnées au TGI.

Merci pour votre intervention.



C'est rien , comme je l'ai expliqué, je suis en plein dedans :-(

Cordialement

--
Fufer nuit gravement à votre santé et à celle de votre entourage.
Votre médecin ou votre pharmacien peuvent vous aider à arrêter de fufer.
Avatar
Moisse
D'une plume alerte, dans le message ,
Goret Neuneu écrit:
Moisse a écrit :

Vous aurez bien compris que je ne donne aucun conseil de violence, à
mon âge cela ne défoule plus depuis longtemps.



Votre interlocutrice interprète peut-être vos écrits à l'aune de ses
propres envies ?

[...]

Pour le reste la plainte en diffamation est une affaire simple - un
courrier auprès du doyen suffit, sans même chercher à qualifier les
faits. Après c'est la CPC qui effectivement complique la vie, ou de
remuer assez pour provoquer l'instruction et non un simple
classement.



Votre interlocutrice a prétendument porté plainte contre plusieurs
dizaines de contributeurs, au motif que ceux-ci disaient qu'elle était
un peu méchante: dans un tel contexte, la plainte avec CPC est
indispensable pour éviter le classement sans suite.

L'avantage de porter plainte est d'acter pour éviter la prescription.



L'inconvénient, quand la plainte n'est pas justifiée, est d'engorger
la Justice: vous qui avez l'air d'en connaître un peu sur la
question, dans quelle mesure le procédurier abusif peut-il être
condamné ?



Il faut à son tour former une demande reconventionelle pour demander des
dommages et intérêts.

--
Avatar
Moisse
D'une plume alerte, dans le message
463f1b72$0$5107$,
docanski écrit:
Alors que les eleveurs et agriculteurs polluent toujours la Bretagne,
Moisse nous narre ce qui suit en ce 7/05/2007 12:13 :

Simplement je suis surpris de la réaction du contributeur qui hésite
à attraire son calomniateur, un particulier, mais croit pouvoir
s'attaquer à un FAI de la taille de celui qu'il nous cite.



Qui parle d'attaque à l'encontre d'un FAI ?
Il s'agit tout simplement de lui demander de cesser *relayer* des
propos calomnieux !
Si on vous traitait de voleur, quelle serait votre réaction ?
Peut-on lancer de telles accusations sans que le *support* de
celles-ci, qu'il s'agisse d'un journal ou d'un groupe de discussions
appartenant à un fournisseur d'accès, n'ait la moindre responsabilité
et n'agisse en conséquence pour que cela cesse ?



Inutile de m'agresser, je n'y suis pour rien.
Un individu propage des propos à votre endroit en prétendant qu'ils sont
vrais, et vous prétendez le contraire.
La justice est faite pour cela, trancher et attribuer le cas échéant des
punitions et des dommages.
Le fournisseur ne peut réagir favorablement à votre endroit sans risquer
de tomber dans la censure.


Jugeriez-vous utile d'entamer une plainte avec constitution de partie
civile, prendre un avocat et engager des frais pour obtenir de la
justice qu'elle réponde que *vous n'êtes pas* un voleur ?
Soyons sérieux, voyons.




Que proposez-vous pour être sérieux, dans la mesure où on ne peut se
faire justice soi-même (cela c'est pour les posts en supra) ?


--
Avatar
Uly
"Dominique G" <dmkgbt+ a écrit dans le message de news:

..............
Le problème c'est que votre calomniateur est un client d'Orange et
qu'Orange gagne de l'argent avec lui.



On n'a pas à se faire justice soit même. Il faut saisir la justice.
Avatar
Michel Bacqué
Dominique G a écrit :

Et c'est un problème parce que le trouble à l'ordre public perdure



Bigre, la diffamation vue comme un trouble à l'ordre public, vous
devriez écrire une thèse là-dessus.

alors
que la prescription de trois mois était faite pour le faire cesser
rapidement.



N'importe quoi. La prescription abrégée en matière de diffamation n'a
jamais eu pour but de faire cesser un trouble à l'ordre public. Elle
vise à concilier la liberté d'expression et le droit des victimes à
obtenir réparation.

"Elle serait tyrannique la loi qui, après un long intervalle, punirait
une publication à raison de tous ses effets possibles les plus éloignés,
lorsque la disposition toute nouvelle des esprits peut changer du tout
au tout les impressions que l’auteur lui-même se serait proposé de
produire dans l'origine, lorsqu’enfin le long silence de l’autorité
élève une présomption si forte contre la criminalité de la publication.
Il a donc paru convenable d'abréger de beaucoup le temps de la
prescription de l'action publique".

--
Michel
Avatar
Bill
Bonjour,

Le seul moyen est une plainte avec constitution de partie civile.

Mais il faut absolument voir un avocat car c'est très compliqué les plaintes
en matiere de diffamation.

Voyez eventuellement votre assurance protection juridique si vous en avez
une.

J'ai moi même subi cela et obtenu des condamnations... Mais aprés plusieurs
années de procédures.

Heureusement, pour le coût, il y a l'aide juridictionelle, sinon ca peut se
compter en plusieurs milliers d'euros si vous n'y avez pas droit et que
votre assurance protection juridique ne couvre pas ce genre de délit.

"docanski" a écrit dans le
message de news:463e41fc$0$5104$
Bonsoir,

Abonné à quelques groupes de discussions, je subis depuis plus d'un an
les propos calomnieux d'un triste individu dans l'un de ceux-ci.
Ma première plainte à abuse.wanadoo en janvier 2006 semble avoir été
suivie par contact avec le quidam en question pour le lui demander de se
calmer, sans plus. En mars de cette année, cet individu recommençait à
publier ses calomnies et j'ai donc à nouveau porté plainte à
abuse.orange. Elle n'a abouti qu'à une réponse de non recevoir se
bornant à dire, en substance :

Les faits sont graves s'il s'agit de calomnie. Dans tous les cas nous
ne pourrons rien faire tant qu'au niveau pénal nous n'aurons pas reçu de
la part des autorités compétentes de commission rogatoire. De
ce fait, et vous le comprendrez bien, nous ne pouvons divulguer les
coordonnées de la personne en question. Dans le cas d'un litige
entre deux personnes (diffamation, photos, insultes, récit etc),
c'est à la personne qui se sent offensée de porter plainte auprès des
autorités afin qu'une action soit menée. Auquel cas, nous fournirons
à la justice, tous les éléments en notre possession, ceci afin de faire
valoir les droits de l'offensé. Nous vous conseillons donc, vivement de
porter plainte.



N'ayant pas l'intention d'engager des frais de justice pour une telle
cause, tout ce que je demandais c'est une décision de la part de
l'hébergeur Orange d'interdire cet individu de publication sur les
groupes "orange". Las, je n'ai pas eu satisfaction. Evidemment, le
calomniateur ne voyant aucune réaction de ma part (je n'ai d'ailleurs
jamais d'échange écrit avec lui et subis ses calomnies sans répondre)
continue et j'ai donc à nouveau déposé plainte à abuse.orange de même
qu'à son service commercial. Ils ne répondent même plus à cette dernière
plainte !
A ma connaissance, ils sont tout de même responsables de ce qui se
publie dans les espaces qu'ils mettent à disposition de leurs clients,
que je sache.
Leur indifférence me pousse donc à chercher d'autres moyens, notamment
de les mettre en cause pour complicité passive de publication d'écrits
calomnieux. Que puis-je faire (toujours en évitant d'engager des frais
de justice dans une affaire qui me coûterait et qui n'aboutirait
d'ailleurs probablement qu'aux calandes grecques), de préférence en
restant dans le cadre des autorités ayant le net dans leurs attributions
et si possible en pouvant les contacter par le même moyen de communication
?

Cordialement,
--
docanski

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Avatar
Bill
Bonjour,

Le seul moyen est une plainte avec constitution de partie civile.

Mais il faut absolument voir un avocat car c'est très compliqué les plaintes
en matiere de diffamation.

Voyez eventuellement votre assurance protection juridique si vous en avez
une.

J'ai moi même subi cela et obtenu des condamnations... Mais aprés plusieurs
années de procédures.

Heureusement, pour le coût, il y a l'aide juridictionelle, sinon ca peut se
compter en plusieurs milliers d'euros si vous n'y avez pas droit et que
votre assurance protection juridique ne couvre pas ce genre de délit.

"docanski" a écrit dans le
message de news:463e41fc$0$5104$
Bonsoir,

Abonné à quelques groupes de discussions, je subis depuis plus d'un an
les propos calomnieux d'un triste individu dans l'un de ceux-ci.
Ma première plainte à abuse.wanadoo en janvier 2006 semble avoir été
suivie par contact avec le quidam en question pour le lui demander de se
calmer, sans plus. En mars de cette année, cet individu recommençait à
publier ses calomnies et j'ai donc à nouveau porté plainte à
abuse.orange. Elle n'a abouti qu'à une réponse de non recevoir se
bornant à dire, en substance :

Les faits sont graves s'il s'agit de calomnie. Dans tous les cas nous
ne pourrons rien faire tant qu'au niveau pénal nous n'aurons pas reçu de
la part des autorités compétentes de commission rogatoire. De
ce fait, et vous le comprendrez bien, nous ne pouvons divulguer les
coordonnées de la personne en question. Dans le cas d'un litige
entre deux personnes (diffamation, photos, insultes, récit etc),
c'est à la personne qui se sent offensée de porter plainte auprès des
autorités afin qu'une action soit menée. Auquel cas, nous fournirons
à la justice, tous les éléments en notre possession, ceci afin de faire
valoir les droits de l'offensé. Nous vous conseillons donc, vivement de
porter plainte.



N'ayant pas l'intention d'engager des frais de justice pour une telle
cause, tout ce que je demandais c'est une décision de la part de
l'hébergeur Orange d'interdire cet individu de publication sur les
groupes "orange". Las, je n'ai pas eu satisfaction. Evidemment, le
calomniateur ne voyant aucune réaction de ma part (je n'ai d'ailleurs
jamais d'échange écrit avec lui et subis ses calomnies sans répondre)
continue et j'ai donc à nouveau déposé plainte à abuse.orange de même
qu'à son service commercial. Ils ne répondent même plus à cette dernière
plainte !
A ma connaissance, ils sont tout de même responsables de ce qui se
publie dans les espaces qu'ils mettent à disposition de leurs clients,
que je sache.
Leur indifférence me pousse donc à chercher d'autres moyens, notamment
de les mettre en cause pour complicité passive de publication d'écrits
calomnieux. Que puis-je faire (toujours en évitant d'engager des frais
de justice dans une affaire qui me coûterait et qui n'aboutirait
d'ailleurs probablement qu'aux calandes grecques), de préférence en
restant dans le cadre des autorités ayant le net dans leurs attributions
et si possible en pouvant les contacter par le même moyen de communication
?

Cordialement,
--
docanski

- Les Côtes du nord de la Bretagne par le sentier des douaniers
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Dominique G
Moisse a écrit dans news:463f2db2$0$14547$:

D'une plume alerte, dans le message ,
Goret Neuneu écrit:



L'inconvénient, quand la plainte n'est pas justifiée, est d'engorger
la Justice: vous qui avez l'air d'en connaître un peu sur la
question, dans quelle mesure le procédurier abusif peut-il être
condamné ?



Il faut à son tour former une demande reconventionelle pour demander des
dommages et intérêts.



J'ai porté plainte contre X.
Et l'instruction étant en cours, je n'ai pas pu faire l'objet d'une
condamnation pour plainte abusive.

Maintenez vous votre conseil ? :-)

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Votre médecin ou votre pharmacien peuvent vous aider à arrêter de fufer.
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