Je connais trois types de flou, le premier est différent des deux
qui me tarabustent et on l'oublie :
- Mouvement à la prise de vue ;
- Profondeur de champ ;
- Filtre.
On a donc deux flous mais pourquoi seraient-ils différents, et si
oui comment ce fait-ce ?
Le premier est basé sur la profondeur de champ qui fait qu'on a plus
le ratio correct des distances pellicule-objectif-sujet. Le second lui
diffuse les faisceaux avant l'objectif. Pourquoi cette diffusion ne
serait pas identique ?
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Ca n'a rien à voir... Pour les utilisations où le flou est un procédé classique comme le portrait, il existe des optiques ou des accessoires spécialisés avec des réglages permettant d'introduire du flou en fonction de l'effet recherché (diaphragme à trou ou optique à réglage de la courbure de champ par exemple)
Mais si ça a à voir. Il s'agit de flou et je voudrai comprendre quelles sont les différences entre ces flous.
Tu as tout moi-même cité trois classes de «flous»
(i) les flous de mouvement : on a un objet qui bouge. La photo mélange une infinité d'images de cet objet décalées les unes par rapport aux autres. Attention, le bougé peut être dû au mouvement propre de l'objet ou au bougé volontaire (enfin, plus ou moins) de l'opérateur ; les effets ne sont pas les mêmes
(ii) les flous de focalisation imparfaite : flous de mise au point, imperfections plus ou moins volontaires de l'objectif (aberration de sphéricité, coma, utilisation délibérée de culs de bouteille). Les sténopés entrent dans cette catégorie.
(iii) les «flous» de diffusion apportés par divers filtres (Cokin et cie, buée sur l'objectif) sont surtout des voilages, où on superpose un fond lumineux plus ou moins uniforme à l'image
charles
Benoit a écrit :
Jean-Pierre Roche<jproche@sanspub.invalid> wrote:
Ca n'a rien à voir... Pour les utilisations où le flou est
un procédé classique comme le portrait, il existe des
optiques ou des accessoires spécialisés avec des réglages
permettant d'introduire du flou en fonction de l'effet
recherché (diaphragme à trou ou optique à réglage de la
courbure de champ par exemple)
Mais si ça a à voir. Il s'agit de flou et je voudrai comprendre
quelles sont les différences entre ces flous.
Tu as tout moi-même cité trois classes de «flous»
(i) les flous de mouvement : on a un objet qui bouge. La photo mélange
une infinité d'images de cet objet décalées les unes par rapport aux
autres. Attention, le bougé peut être dû au mouvement propre de l'objet
ou au bougé volontaire (enfin, plus ou moins) de l'opérateur ; les
effets ne sont pas les mêmes
(ii) les flous de focalisation imparfaite : flous de mise au point,
imperfections plus ou moins volontaires de l'objectif (aberration de
sphéricité, coma, utilisation délibérée de culs de bouteille). Les
sténopés entrent dans cette catégorie.
(iii) les «flous» de diffusion apportés par divers filtres (Cokin et
cie, buée sur l'objectif) sont surtout des voilages, où on superpose un
fond lumineux plus ou moins uniforme à l'image
Ca n'a rien à voir... Pour les utilisations où le flou est un procédé classique comme le portrait, il existe des optiques ou des accessoires spécialisés avec des réglages permettant d'introduire du flou en fonction de l'effet recherché (diaphragme à trou ou optique à réglage de la courbure de champ par exemple)
Mais si ça a à voir. Il s'agit de flou et je voudrai comprendre quelles sont les différences entre ces flous.
Tu as tout moi-même cité trois classes de «flous»
(i) les flous de mouvement : on a un objet qui bouge. La photo mélange une infinité d'images de cet objet décalées les unes par rapport aux autres. Attention, le bougé peut être dû au mouvement propre de l'objet ou au bougé volontaire (enfin, plus ou moins) de l'opérateur ; les effets ne sont pas les mêmes
(ii) les flous de focalisation imparfaite : flous de mise au point, imperfections plus ou moins volontaires de l'objectif (aberration de sphéricité, coma, utilisation délibérée de culs de bouteille). Les sténopés entrent dans cette catégorie.
(iii) les «flous» de diffusion apportés par divers filtres (Cokin et cie, buée sur l'objectif) sont surtout des voilages, où on superpose un fond lumineux plus ou moins uniforme à l'image
charles
filh
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle wrote:
Le 10/10/11 16:47, Jean-Pierre Roche a écrit :
> En gros, les flous "artistiques" partent d'une image nette. C'est la > combinaison du net et du flou (obtenue par divers procédés) qui est > intéressante. Un flou de mise au point, c'est flou, c'est tout et donc > sans intérêt.
Quelle déclaration péremptoire ! Je trouve que le flou de map est assez difficile, mais loin d'être sans interêt. Une photo n'est pas forcément une représentation fidèle , c'est aussi un objet visuel automone, tout comme une peinture ou autre chose. Le flou donne à voir une composition de masses de couleurs, de contrastes, de formes simplifiées. Si c'est bien joué, il reste la lumière, les sensations. Les détails sont gommés du coup la structure est mise en évidence. Le flou de mouvement en numérique est plus facile et permet de beaux effets, plus jolis à mon avis que le même en argentique.
+1 bien sûr..
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
> En gros, les flous "artistiques" partent d'une image nette. C'est la
> combinaison du net et du flou (obtenue par divers procédés) qui est
> intéressante. Un flou de mise au point, c'est flou, c'est tout et donc
> sans intérêt.
Quelle déclaration péremptoire !
Je trouve que le flou de map est assez difficile, mais loin d'être sans
interêt. Une photo n'est pas forcément une représentation fidèle , c'est
aussi un objet visuel automone, tout comme une peinture ou autre chose.
Le flou donne à voir une composition de masses de couleurs, de
contrastes, de formes simplifiées. Si c'est bien joué, il reste la
lumière, les sensations. Les détails sont gommés du coup la structure
est mise en évidence.
Le flou de mouvement en numérique est plus facile et permet de beaux
effets, plus jolis à mon avis que le même en argentique.
+1 bien sûr..
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
> En gros, les flous "artistiques" partent d'une image nette. C'est la > combinaison du net et du flou (obtenue par divers procédés) qui est > intéressante. Un flou de mise au point, c'est flou, c'est tout et donc > sans intérêt.
Quelle déclaration péremptoire ! Je trouve que le flou de map est assez difficile, mais loin d'être sans interêt. Une photo n'est pas forcément une représentation fidèle , c'est aussi un objet visuel automone, tout comme une peinture ou autre chose. Le flou donne à voir une composition de masses de couleurs, de contrastes, de formes simplifiées. Si c'est bien joué, il reste la lumière, les sensations. Les détails sont gommés du coup la structure est mise en évidence. Le flou de mouvement en numérique est plus facile et permet de beaux effets, plus jolis à mon avis que le même en argentique.
+1 bien sûr..
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
benoit
Charles Vassallo wrote:
(iii) les «flous» de diffusion apportés par divers filtres (Cokin et cie, buée sur l'objectif) sont surtout des voilages, où on superpose un fond lumineux plus ou moins uniforme à l'image ^^^^^^^^^^^^^
^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^
C'est vrai que cela tend à éclaircir l'image en diffusant les hautes lumières. Elles bavent.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Charles Vassallo <cv@waou.fr> wrote:
(iii) les «flous» de diffusion apportés par divers filtres (Cokin et
cie, buée sur l'objectif) sont surtout des voilages, où on superpose un
fond lumineux plus ou moins uniforme à l'image ^^^^^^^^^^^^^
^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^
C'est vrai que cela tend à éclaircir l'image en diffusant les hautes
lumières. Elles bavent.
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
(iii) les «flous» de diffusion apportés par divers filtres (Cokin et cie, buée sur l'objectif) sont surtout des voilages, où on superpose un fond lumineux plus ou moins uniforme à l'image ^^^^^^^^^^^^^
^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^
C'est vrai que cela tend à éclaircir l'image en diffusant les hautes lumières. Elles bavent.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Jean-Pierre Roche
Le 10/10/2011 17:12, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
En gros, les flous "artistiques" partent d'une image nette. C'est la combinaison du net et du flou (obtenue par divers procédés) qui est intéressante. Un flou de mise au point, c'est flou, c'est tout et donc sans intérêt.
Quelle déclaration péremptoire ! Je trouve que le flou de map est assez difficile, mais loin d'être sans interêt. Une photo n'est pas forcément une représentation fidèle , c'est aussi un objet visuel automone, tout comme une peinture ou autre chose. Le flou donne à voir une composition de masses de couleurs, de contrastes, de formes simplifiées. Si c'est bien joué, il reste la lumière, les sensations. Les détails sont gommés du coup la structure est mise en évidence. Le flou de mouvement en numérique est plus facile et permet de beaux effets, plus jolis à mon avis que le même en argentique.
On peut trouver des exceptions à tout. Ca n'en fait en aucun cas une règle générale. Ce qui était demandé amha... Par contre ça fait des trolls interminables comme on peut le voir par ailleurs.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
Le 10/10/2011 17:12, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
En gros, les flous "artistiques" partent d'une image
nette. C'est la
combinaison du net et du flou (obtenue par divers
procédés) qui est
intéressante. Un flou de mise au point, c'est flou, c'est
tout et donc
sans intérêt.
Quelle déclaration péremptoire !
Je trouve que le flou de map est assez difficile, mais loin
d'être sans interêt. Une photo n'est pas forcément une
représentation fidèle , c'est aussi un objet visuel
automone, tout comme une peinture ou autre chose. Le flou
donne à voir une composition de masses de couleurs, de
contrastes, de formes simplifiées. Si c'est bien joué, il
reste la lumière, les sensations. Les détails sont gommés du
coup la structure est mise en évidence.
Le flou de mouvement en numérique est plus facile et permet
de beaux effets, plus jolis à mon avis que le même en
argentique.
On peut trouver des exceptions à tout. Ca n'en fait en aucun
cas une règle générale. Ce qui était demandé amha...
Par contre ça fait des trolls interminables comme on peut le
voir par ailleurs.
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
enlever sanspub pour m'écrire...
Le 10/10/2011 17:12, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
En gros, les flous "artistiques" partent d'une image nette. C'est la combinaison du net et du flou (obtenue par divers procédés) qui est intéressante. Un flou de mise au point, c'est flou, c'est tout et donc sans intérêt.
Quelle déclaration péremptoire ! Je trouve que le flou de map est assez difficile, mais loin d'être sans interêt. Une photo n'est pas forcément une représentation fidèle , c'est aussi un objet visuel automone, tout comme une peinture ou autre chose. Le flou donne à voir une composition de masses de couleurs, de contrastes, de formes simplifiées. Si c'est bien joué, il reste la lumière, les sensations. Les détails sont gommés du coup la structure est mise en évidence. Le flou de mouvement en numérique est plus facile et permet de beaux effets, plus jolis à mon avis que le même en argentique.
On peut trouver des exceptions à tout. Ca n'en fait en aucun cas une règle générale. Ce qui était demandé amha... Par contre ça fait des trolls interminables comme on peut le voir par ailleurs.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 11/10/11 07:52, Jean-Pierre Roche a écrit :
On peut trouver des exceptions à tout. Ca n'en fait en aucun cas une règle générale.
Le flou est un moyen comme un autre, avec lequel on peut composer ; cela ne constitue pas une exception. C'est toi qui là fait une déclaration générale
Un flou de mise au point, c'est flou, c'est
tout et donc sans intérêt.
Qui est aussi fausse que de trouver que le net est forcément une résussite ou "tout et donc sans interêt'. Je suppose que si on pose la question des différents flous, c'est qu'on s'y interesse et qu'on cherche à faire autre chose qu'une photo documentaire de mouche morte.
Le posteur ne parlait pas de problèmes de mauvaise mise au point alors qu'il aurait souhaité une photo nette.
Noëlle Adam
Le 11/10/11 07:52, Jean-Pierre Roche a écrit :
On peut trouver des exceptions à tout. Ca n'en fait en aucun cas une
règle générale.
Le flou est un moyen comme un autre, avec lequel on peut composer ; cela
ne constitue pas une exception. C'est toi qui là fait une déclaration
générale
Un flou de mise au point, c'est flou, c'est
tout et donc
sans intérêt.
Qui est aussi fausse que de trouver que le net est forcément une
résussite ou "tout et donc sans interêt'.
Je suppose que si on pose la question des différents flous, c'est qu'on
s'y interesse et qu'on cherche à faire autre chose qu'une photo
documentaire de mouche morte.
Le posteur ne parlait pas de problèmes de mauvaise mise au point alors
qu'il aurait souhaité une photo nette.
On peut trouver des exceptions à tout. Ca n'en fait en aucun cas une règle générale.
Le flou est un moyen comme un autre, avec lequel on peut composer ; cela ne constitue pas une exception. C'est toi qui là fait une déclaration générale
Un flou de mise au point, c'est flou, c'est
tout et donc sans intérêt.
Qui est aussi fausse que de trouver que le net est forcément une résussite ou "tout et donc sans interêt'. Je suppose que si on pose la question des différents flous, c'est qu'on s'y interesse et qu'on cherche à faire autre chose qu'une photo documentaire de mouche morte.
Le posteur ne parlait pas de problèmes de mauvaise mise au point alors qu'il aurait souhaité une photo nette.
Noëlle Adam
benoit
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle wrote:
Je suppose que si on pose la question des différents flous, c'est qu'on s'y interesse et qu'on cherche à faire autre chose qu'une photo documentaire de mouche morte.
Absolument. En abandonnant mon 6x7, j'ai aussi laissé de côté du matériel divers et variés me permettant de faire un certain type de flou. Une loupe sur un soufflet macro pour un moyen format donne une profondeur de champ de 2/3 mm pour un portrait/buste, quand on réussit on a la pupille nette... et c'est tout.
Je cherche donc à savoir quels types de flous je pourrai travailler maintenant que je passe au numérique. J'ai fait des images qui me plaisent avec le mouvement, de l'appareil, mais j'aimerai aussi retrouver cette profondeur de champ minuscule qui noye le superflu.
Le posteur ne parlait pas de problèmes de mauvaise mise au point alors qu'il aurait souhaité une photo nette.
La netteté est à utiliser avec précaution.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Je suppose que si on pose la question des différents flous, c'est qu'on
s'y interesse et qu'on cherche à faire autre chose qu'une photo
documentaire de mouche morte.
Absolument. En abandonnant mon 6x7, j'ai aussi laissé de côté du
matériel divers et variés me permettant de faire un certain type de
flou. Une loupe sur un soufflet macro pour un moyen format donne une
profondeur de champ de 2/3 mm pour un portrait/buste, quand on réussit
on a la pupille nette... et c'est tout.
Je cherche donc à savoir quels types de flous je pourrai travailler
maintenant que je passe au numérique. J'ai fait des images qui me
plaisent avec le mouvement, de l'appareil, mais j'aimerai aussi
retrouver cette profondeur de champ minuscule qui noye le superflu.
Le posteur ne parlait pas de problèmes de mauvaise mise au point alors
qu'il aurait souhaité une photo nette.
La netteté est à utiliser avec précaution.
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Je suppose que si on pose la question des différents flous, c'est qu'on s'y interesse et qu'on cherche à faire autre chose qu'une photo documentaire de mouche morte.
Absolument. En abandonnant mon 6x7, j'ai aussi laissé de côté du matériel divers et variés me permettant de faire un certain type de flou. Une loupe sur un soufflet macro pour un moyen format donne une profondeur de champ de 2/3 mm pour un portrait/buste, quand on réussit on a la pupille nette... et c'est tout.
Je cherche donc à savoir quels types de flous je pourrai travailler maintenant que je passe au numérique. J'ai fait des images qui me plaisent avec le mouvement, de l'appareil, mais j'aimerai aussi retrouver cette profondeur de champ minuscule qui noye le superflu.
Le posteur ne parlait pas de problèmes de mauvaise mise au point alors qu'il aurait souhaité une photo nette.
La netteté est à utiliser avec précaution.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Claudio Bonavolta
On 11 oct, 18:23, (Benoit) wrote:
<snip> mais j'aimerai aussi retrouver cette profondeur de champ minuscule qui noye le superflu. <snip>
Comme les lois optiques n'ont pas changé, il te faut toujours soit: - un grand capteur - une grande ouverture - une longue focale ou une combinaison des trois.
Les deux premiers font exploser les coûts, le troisième n'est pas toujours suffisant tout seul.
Actuellement, y'a bien des moyen formats ou des dos numériques, voir même des dos pour chambres mais faut avoir le portefeuille plutôt garni. En full-frame et une optique lumineuse, genre petit télé ouvert à 2 o u mieux, on arrive déjà à quelque chose et le ticket d'entrée reste envisageable. En aps-c, c'est un peu moins facile, tout dépend de l'effet recherché, mais plus petit, tu oublies ...
Après, y'a moyen de bidouiller l'image à coups de Photoshop mais faut pas être maladroit pour simuler les zones hors netteté et la progressivité du flou.
Claudio Bonavolta www.bonavolta.ch
On 11 oct, 18:23, ben...@com.invalid (Benoit) wrote:
<snip> mais j'aimerai aussi
retrouver cette profondeur de champ minuscule qui noye le superflu.
<snip>
Comme les lois optiques n'ont pas changé, il te faut toujours soit:
- un grand capteur
- une grande ouverture
- une longue focale
ou une combinaison des trois.
Les deux premiers font exploser les coûts, le troisième n'est pas
toujours suffisant tout seul.
Actuellement, y'a bien des moyen formats ou des dos numériques, voir
même des dos pour chambres mais faut avoir le portefeuille plutôt
garni.
En full-frame et une optique lumineuse, genre petit télé ouvert à 2 o u
mieux, on arrive déjà à quelque chose et le ticket d'entrée reste
envisageable.
En aps-c, c'est un peu moins facile, tout dépend de l'effet recherché,
mais plus petit, tu oublies ...
Après, y'a moyen de bidouiller l'image à coups de Photoshop mais faut
pas être maladroit pour simuler les zones hors netteté et la
progressivité du flou.
<snip> mais j'aimerai aussi retrouver cette profondeur de champ minuscule qui noye le superflu. <snip>
Comme les lois optiques n'ont pas changé, il te faut toujours soit: - un grand capteur - une grande ouverture - une longue focale ou une combinaison des trois.
Les deux premiers font exploser les coûts, le troisième n'est pas toujours suffisant tout seul.
Actuellement, y'a bien des moyen formats ou des dos numériques, voir même des dos pour chambres mais faut avoir le portefeuille plutôt garni. En full-frame et une optique lumineuse, genre petit télé ouvert à 2 o u mieux, on arrive déjà à quelque chose et le ticket d'entrée reste envisageable. En aps-c, c'est un peu moins facile, tout dépend de l'effet recherché, mais plus petit, tu oublies ...
Après, y'a moyen de bidouiller l'image à coups de Photoshop mais faut pas être maladroit pour simuler les zones hors netteté et la progressivité du flou.
Claudio Bonavolta www.bonavolta.ch
Jean-Pierre Roche
Le 11/10/2011 18:08, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le flou est un moyen comme un autre, avec lequel on peut composer ; cela ne constitue pas une exception. C'est toi qui là fait une déclaration générale
Un flou de mise au point, c'est flou, c'est >>> tout et donc >>> sans intérêt.
Oui c'est une déclaration générale que je maintiens. Sur la quantité astronomique de photos floues produites combien ont trouvé un intérêt aux yeux du public ? En dehors du coté documentaire/historique éventuel.
Qui est aussi fausse que de trouver que le net est forcément une résussite ou "tout et donc sans interêt'.
Le net est d'abord une réussite technique qui conditionne très souvent l'intérêt que pourra ensuite prendre l'image...
Je suppose que si on pose la question des différents flous, c'est qu'on s'y interesse et qu'on cherche à faire autre chose qu'une photo documentaire de mouche morte.
Bien sûr et donc j'explique ce qu'est le "flou artistique" expression qui a un sens dans le monde de la photo...
Le posteur ne parlait pas de problèmes de mauvaise mise au point alors qu'il aurait souhaité une photo nette.
Je n'ai jamais envisagé ça... Savoir faire une photo nette ne demande pas de grandes compétences. En général !
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
Le 11/10/2011 18:08, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le flou est un moyen comme un autre, avec lequel on peut
composer ; cela ne constitue pas une exception. C'est toi
qui là fait une déclaration générale
Un flou de mise au point, c'est flou, c'est
>>> tout et donc
>>> sans intérêt.
Oui c'est une déclaration générale que je maintiens. Sur la
quantité astronomique de photos floues produites combien ont
trouvé un intérêt aux yeux du public ?
En dehors du coté documentaire/historique éventuel.
Qui est aussi fausse que de trouver que le net est forcément
une résussite ou "tout et donc sans interêt'.
Le net est d'abord une réussite technique qui conditionne
très souvent l'intérêt que pourra ensuite prendre l'image...
Je suppose que si on pose la question des différents flous,
c'est qu'on s'y interesse et qu'on cherche à faire autre
chose qu'une photo documentaire de mouche morte.
Bien sûr et donc j'explique ce qu'est le "flou artistique"
expression qui a un sens dans le monde de la photo...
Le posteur ne parlait pas de problèmes de mauvaise mise au
point alors qu'il aurait souhaité une photo nette.
Je n'ai jamais envisagé ça... Savoir faire une photo nette
ne demande pas de grandes compétences. En général !
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
enlever sanspub pour m'écrire...
Le 11/10/2011 18:08, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le flou est un moyen comme un autre, avec lequel on peut composer ; cela ne constitue pas une exception. C'est toi qui là fait une déclaration générale
Un flou de mise au point, c'est flou, c'est >>> tout et donc >>> sans intérêt.
Oui c'est une déclaration générale que je maintiens. Sur la quantité astronomique de photos floues produites combien ont trouvé un intérêt aux yeux du public ? En dehors du coté documentaire/historique éventuel.
Qui est aussi fausse que de trouver que le net est forcément une résussite ou "tout et donc sans interêt'.
Le net est d'abord une réussite technique qui conditionne très souvent l'intérêt que pourra ensuite prendre l'image...
Je suppose que si on pose la question des différents flous, c'est qu'on s'y interesse et qu'on cherche à faire autre chose qu'une photo documentaire de mouche morte.
Bien sûr et donc j'explique ce qu'est le "flou artistique" expression qui a un sens dans le monde de la photo...
Le posteur ne parlait pas de problèmes de mauvaise mise au point alors qu'il aurait souhaité une photo nette.
Je n'ai jamais envisagé ça... Savoir faire une photo nette ne demande pas de grandes compétences. En général !
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 12/10/11 07:11, Jean-Pierre Roche a écrit :
Je n'ai jamais envisagé ça... Savoir faire une photo nette ne demande pas de grandes compétences. En général !
Sur ce point je suis tout à fait d'accord.
En revanche faire une photo floue tout ou partie demande un peu de plus de technique et d'anticipation. Et là dedans, je trouve que le flou de map complet est la technique la plus difficile à réussir. Le flou de mouvement surtout en numérique, ça marque plutôt bien.
Il y a pire, je n'ai jamais vu une photo (encore moins fait) où l'association flou de mouvement et flou de map fonctionne bien. Mais si quelqu'un a ça dans ses tiroirs je suis curieuse.
Noëlle Adam
Le 12/10/11 07:11, Jean-Pierre Roche a écrit :
Je n'ai jamais envisagé ça... Savoir faire une photo nette ne demande
pas de grandes compétences. En général !
Sur ce point je suis tout à fait d'accord.
En revanche faire une photo floue tout ou partie demande un peu de plus
de technique et d'anticipation.
Et là dedans, je trouve que le flou de map complet est la technique la
plus difficile à réussir.
Le flou de mouvement surtout en numérique, ça marque plutôt bien.
Il y a pire, je n'ai jamais vu une photo (encore moins fait) où
l'association flou de mouvement et flou de map fonctionne bien.
Mais si quelqu'un a ça dans ses tiroirs je suis curieuse.
Je n'ai jamais envisagé ça... Savoir faire une photo nette ne demande pas de grandes compétences. En général !
Sur ce point je suis tout à fait d'accord.
En revanche faire une photo floue tout ou partie demande un peu de plus de technique et d'anticipation. Et là dedans, je trouve que le flou de map complet est la technique la plus difficile à réussir. Le flou de mouvement surtout en numérique, ça marque plutôt bien.
Il y a pire, je n'ai jamais vu une photo (encore moins fait) où l'association flou de mouvement et flou de map fonctionne bien. Mais si quelqu'un a ça dans ses tiroirs je suis curieuse.
Noëlle Adam
delestaque
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message de groupe de discussion : j737ia$lmc$
Je n'ai jamais envisagé ça... Savoir faire une photo nette ne demande pas de grandes compétences. En général !
c'est surtout faire une photo avec flou de pdc qui n'est pas évident. avant on pouvait avoir une inquiètu de sur la netteté, maintenant, c'est plus le pb, comme avec un 110 argentique : toujours net ( bon, pas très piqué mais net )
-- Ricco
"Jean-Pierre Roche" <jproche@sanspub.invalid> a écrit dans le message de groupe
de discussion : j737ia$lmc$1@talisker.lacave.net...
Je n'ai jamais envisagé ça... Savoir faire une photo nette ne demande pas de
grandes compétences. En général !
c'est surtout faire une photo avec flou de pdc qui n'est pas évident.
avant on pouvait avoir une inquiètu de sur la netteté, maintenant, c'est plus le
pb, comme avec un 110 argentique : toujours net ( bon, pas très piqué mais net )
"Jean-Pierre Roche" a écrit dans le message de groupe de discussion : j737ia$lmc$
Je n'ai jamais envisagé ça... Savoir faire une photo nette ne demande pas de grandes compétences. En général !
c'est surtout faire une photo avec flou de pdc qui n'est pas évident. avant on pouvait avoir une inquiètu de sur la netteté, maintenant, c'est plus le pb, comme avec un 110 argentique : toujours net ( bon, pas très piqué mais net )