Tu aurais compris qu'il ne s'agit pas de *bourse* dans le seul sens que
tu sembles connaitre.
Tu aurais compris qu'il ne s'agit pas de *bourse* dans le seul sens que
tu sembles connaitre.
Tu aurais compris qu'il ne s'agit pas de *bourse* dans le seul sens que
tu sembles connaitre.
On 29/11/2014 17:13, wrote:Tu aurais compris qu'il ne s'agit pas de *bourse* dans le seul sens que
tu sembles connaitre.
Qui sont aussi fondées sur une discrimination.
On 29/11/2014 17:13, foo@foo.oof wrote:
Tu aurais compris qu'il ne s'agit pas de *bourse* dans le seul sens que
tu sembles connaitre.
Qui sont aussi fondées sur une discrimination.
On 29/11/2014 17:13, wrote:Tu aurais compris qu'il ne s'agit pas de *bourse* dans le seul sens que
tu sembles connaitre.
Qui sont aussi fondées sur une discrimination.
Des bourses d'études attribuées dans une université sur le critère premier
d'être du sexe féminin :
<http://femmes.fil.univ-lille1.fr/?page_id4>
Le gros problème posé par les discriminations dites _positives_ c'est
1) qu'elles constituent forcément des discriminations _négatives_ à l'égard
des catégories écartées
2) que la loi punit les _discriminations_ en tant que telles :
Des bourses d'études attribuées dans une université sur le critère premier
d'être du sexe féminin :
<http://femmes.fil.univ-lille1.fr/?page_id4>
Le gros problème posé par les discriminations dites _positives_ c'est
1) qu'elles constituent forcément des discriminations _négatives_ à l'égard
des catégories écartées
2) que la loi punit les _discriminations_ en tant que telles :
Des bourses d'études attribuées dans une université sur le critère premier
d'être du sexe féminin :
<http://femmes.fil.univ-lille1.fr/?page_id4>
Le gros problème posé par les discriminations dites _positives_ c'est
1) qu'elles constituent forcément des discriminations _négatives_ à l'égard
des catégories écartées
2) que la loi punit les _discriminations_ en tant que telles :
Des bourses d'études attribuées dans une université sur le critère
premier d'être du sexe féminin :
<<http://femmes.fil.univ-lille1.fr/?page_id4>
Le gros problème posé par les discriminations dites _positives_ c'est
1) qu'elles constituent forcément des discriminations _négatives_ à
l'égard des catégories écartées
2) que la loi punit les _discriminations_ en tant que telles :
Donc, il s'agit bien, dans ce cas d'une discrimination à l'égard des
étudiants mâles, au sens de l'article 225-1 du Code Pénal (Modifié par
LOI n°2014-173 du 21 février 2014 - art. 15) :
"Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les
personnes physiques à raison (...) de leur sexe (...)"
Des bourses d'études attribuées dans une université sur le critère
premier d'être du sexe féminin :
<<http://femmes.fil.univ-lille1.fr/?page_id4>
Le gros problème posé par les discriminations dites _positives_ c'est
1) qu'elles constituent forcément des discriminations _négatives_ à
l'égard des catégories écartées
2) que la loi punit les _discriminations_ en tant que telles :
Donc, il s'agit bien, dans ce cas d'une discrimination à l'égard des
étudiants mâles, au sens de l'article 225-1 du Code Pénal (Modifié par
LOI n°2014-173 du 21 février 2014 - art. 15) :
"Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les
personnes physiques à raison (...) de leur sexe (...)"
Des bourses d'études attribuées dans une université sur le critère
premier d'être du sexe féminin :
<<http://femmes.fil.univ-lille1.fr/?page_id4>
Le gros problème posé par les discriminations dites _positives_ c'est
1) qu'elles constituent forcément des discriminations _négatives_ à
l'égard des catégories écartées
2) que la loi punit les _discriminations_ en tant que telles :
Donc, il s'agit bien, dans ce cas d'une discrimination à l'égard des
étudiants mâles, au sens de l'article 225-1 du Code Pénal (Modifié par
LOI n°2014-173 du 21 février 2014 - art. 15) :
"Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les
personnes physiques à raison (...) de leur sexe (...)"
Le 29/11/2014, Dominique de Corse a supposé :
Des bourses d'études attribuées dans une université sur le critère
premier d'être du sexe féminin : >
<<http://femmes.fil.univ-lille1.fr/?page_id4>
Mince, un sujet sérieux et traité au-delà du copié-collé. :o)
Vous êtes dopée ? ;o)Le gros problème posé par les discriminations dites _positives_ c'est >
1) qu'elles constituent forcément des discriminations _négatives_ à
l'égard des catégories écartées
Tout à fait.2) que la loi punit les _discriminations_ en tant que telles :
Donc, il s'agit bien, dans ce cas d'une discrimination à l'égard des
étudiants mâles, au sens de l'article 225-1 du Code Pénal (Modifié par
LOI n°2014-173 du 21 février 2014 - art. 15) :
"Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les
personnes physiques à raison (...) de leur sexe (...)"
Le même article mentionne l'âge en tant que discrimination.
Or il existe quantité de modulations de tarifs en fonction de l'âge
(tarifs -25 ans, tarifs +65 ans...) sans que cela ne choque aucun procédurier.
Ensuite, il s'agit de mécénat d'entreprise (c'est tout du moins ce
qu'affirme ce site universitaire). A priori, il ne s'agit donc pas de
solliciter le contribuable. Est-ce un paramètre important ?
Enfin, QUI va saisir la Justice, pour autant que ce soit plaidable ?
Il existe une ribambelle d'associations féministes et anti-racistes
prêtes à attaquer en justice pour tout et (surtout) n'importe quoi. Mais
les mouvements masculinistes sont insignifiants, lavage de cerveau
culpabilisant oblige. Il y a aurait pourtant largement de quoi faire.
Le 29/11/2014, Dominique de Corse a supposé :
Des bourses d'études attribuées dans une université sur le critère
premier d'être du sexe féminin : >
<<http://femmes.fil.univ-lille1.fr/?page_id4>
Mince, un sujet sérieux et traité au-delà du copié-collé. :o)
Vous êtes dopée ? ;o)
Le gros problème posé par les discriminations dites _positives_ c'est >
1) qu'elles constituent forcément des discriminations _négatives_ à
l'égard des catégories écartées
Tout à fait.
2) que la loi punit les _discriminations_ en tant que telles :
Donc, il s'agit bien, dans ce cas d'une discrimination à l'égard des
étudiants mâles, au sens de l'article 225-1 du Code Pénal (Modifié par
LOI n°2014-173 du 21 février 2014 - art. 15) :
"Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les
personnes physiques à raison (...) de leur sexe (...)"
Le même article mentionne l'âge en tant que discrimination.
Or il existe quantité de modulations de tarifs en fonction de l'âge
(tarifs -25 ans, tarifs +65 ans...) sans que cela ne choque aucun procédurier.
Ensuite, il s'agit de mécénat d'entreprise (c'est tout du moins ce
qu'affirme ce site universitaire). A priori, il ne s'agit donc pas de
solliciter le contribuable. Est-ce un paramètre important ?
Enfin, QUI va saisir la Justice, pour autant que ce soit plaidable ?
Il existe une ribambelle d'associations féministes et anti-racistes
prêtes à attaquer en justice pour tout et (surtout) n'importe quoi. Mais
les mouvements masculinistes sont insignifiants, lavage de cerveau
culpabilisant oblige. Il y a aurait pourtant largement de quoi faire.
Le 29/11/2014, Dominique de Corse a supposé :
Des bourses d'études attribuées dans une université sur le critère
premier d'être du sexe féminin : >
<<http://femmes.fil.univ-lille1.fr/?page_id4>
Mince, un sujet sérieux et traité au-delà du copié-collé. :o)
Vous êtes dopée ? ;o)Le gros problème posé par les discriminations dites _positives_ c'est >
1) qu'elles constituent forcément des discriminations _négatives_ à
l'égard des catégories écartées
Tout à fait.2) que la loi punit les _discriminations_ en tant que telles :
Donc, il s'agit bien, dans ce cas d'une discrimination à l'égard des
étudiants mâles, au sens de l'article 225-1 du Code Pénal (Modifié par
LOI n°2014-173 du 21 février 2014 - art. 15) :
"Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les
personnes physiques à raison (...) de leur sexe (...)"
Le même article mentionne l'âge en tant que discrimination.
Or il existe quantité de modulations de tarifs en fonction de l'âge
(tarifs -25 ans, tarifs +65 ans...) sans que cela ne choque aucun procédurier.
Ensuite, il s'agit de mécénat d'entreprise (c'est tout du moins ce
qu'affirme ce site universitaire). A priori, il ne s'agit donc pas de
solliciter le contribuable. Est-ce un paramètre important ?
Enfin, QUI va saisir la Justice, pour autant que ce soit plaidable ?
Il existe une ribambelle d'associations féministes et anti-racistes
prêtes à attaquer en justice pour tout et (surtout) n'importe quoi. Mais
les mouvements masculinistes sont insignifiants, lavage de cerveau
culpabilisant oblige. Il y a aurait pourtant largement de quoi faire.
Ah bon? Et si je donne pour les jaunes victimes d'un tsunami et pas pour les
noirs victimes de famine, c'est aussi de la discrimination basée sur la race?
Surtout que droit à une réduction de mes impôts pour encourager mon infâme
racisme. Promis, je le ferai plus, je ne donnerai plus épicétout.
Ah bon? Et si je donne pour les jaunes victimes d'un tsunami et pas pour les
noirs victimes de famine, c'est aussi de la discrimination basée sur la race?
Surtout que droit à une réduction de mes impôts pour encourager mon infâme
racisme. Promis, je le ferai plus, je ne donnerai plus épicétout.
Ah bon? Et si je donne pour les jaunes victimes d'un tsunami et pas pour les
noirs victimes de famine, c'est aussi de la discrimination basée sur la race?
Surtout que droit à une réduction de mes impôts pour encourager mon infâme
racisme. Promis, je le ferai plus, je ne donnerai plus épicétout.
Le 29/11/2014, Dominique de Corse a supposé :
>
> Des bourses d'études attribuées dans une université sur le critère
> premier d'être du sexe féminin :
>
> <<http://femmes.fil.univ-lille1.fr/?page_id4>
Mince, un sujet sérieux et traité au-delà du copié-collé. :o)
Vous êtes dopée ? ;o)
> Le gros problème posé par les discriminations dites _positives_ c'est
> 1) qu'elles constituent forcément des discriminations _négatives_ à
> l'égard des catégories écartées
Tout à fait.
> 2) que la loi punit les _discriminations_ en tant que telles :
>
>
> Donc, il s'agit bien, dans ce cas d'une discrimination à l'égard des
> étudiants mâles, au sens de l'article 225-1 du Code Pénal (Modifié par
> LOI n°2014-173 du 21 février 2014 - art. 15) :
>
> "Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les
> personnes physiques à raison (...) de leur sexe (...)"
Le même article mentionne l'âge en tant que discrimination.
Or il existe quantité de modulations de tarifs en fonction de l'âge
(tarifs -25 ans, tarifs +65 ans...) sans que cela ne choque aucun
procédurier.
Ensuite, il s'agit de mécénat d'entreprise (c'est tout du moins ce
qu'affirme ce site universitaire). A priori, il ne s'agit donc pas de
solliciter le contribuable. Est-ce un paramètre important ?
Enfin, QUI va saisir la Justice, pour autant que ce soit plaidable ?
Il existe une ribambelle d'associations féministes et anti-racistes prêtes
à attaquer en justice pour tout et (surtout) n'importe quoi. Mais les
mouvements masculinistes sont insignifiants, lavage de cerveau
culpabilisant oblige. Il y a aurait pourtant largement de quoi faire.
Le 29/11/2014, Dominique de Corse a supposé :
>
> Des bourses d'études attribuées dans une université sur le critère
> premier d'être du sexe féminin :
>
> <<http://femmes.fil.univ-lille1.fr/?page_id4>
Mince, un sujet sérieux et traité au-delà du copié-collé. :o)
Vous êtes dopée ? ;o)
> Le gros problème posé par les discriminations dites _positives_ c'est
> 1) qu'elles constituent forcément des discriminations _négatives_ à
> l'égard des catégories écartées
Tout à fait.
> 2) que la loi punit les _discriminations_ en tant que telles :
>
>
> Donc, il s'agit bien, dans ce cas d'une discrimination à l'égard des
> étudiants mâles, au sens de l'article 225-1 du Code Pénal (Modifié par
> LOI n°2014-173 du 21 février 2014 - art. 15) :
>
> "Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les
> personnes physiques à raison (...) de leur sexe (...)"
Le même article mentionne l'âge en tant que discrimination.
Or il existe quantité de modulations de tarifs en fonction de l'âge
(tarifs -25 ans, tarifs +65 ans...) sans que cela ne choque aucun
procédurier.
Ensuite, il s'agit de mécénat d'entreprise (c'est tout du moins ce
qu'affirme ce site universitaire). A priori, il ne s'agit donc pas de
solliciter le contribuable. Est-ce un paramètre important ?
Enfin, QUI va saisir la Justice, pour autant que ce soit plaidable ?
Il existe une ribambelle d'associations féministes et anti-racistes prêtes
à attaquer en justice pour tout et (surtout) n'importe quoi. Mais les
mouvements masculinistes sont insignifiants, lavage de cerveau
culpabilisant oblige. Il y a aurait pourtant largement de quoi faire.
Le 29/11/2014, Dominique de Corse a supposé :
>
> Des bourses d'études attribuées dans une université sur le critère
> premier d'être du sexe féminin :
>
> <<http://femmes.fil.univ-lille1.fr/?page_id4>
Mince, un sujet sérieux et traité au-delà du copié-collé. :o)
Vous êtes dopée ? ;o)
> Le gros problème posé par les discriminations dites _positives_ c'est
> 1) qu'elles constituent forcément des discriminations _négatives_ à
> l'égard des catégories écartées
Tout à fait.
> 2) que la loi punit les _discriminations_ en tant que telles :
>
>
> Donc, il s'agit bien, dans ce cas d'une discrimination à l'égard des
> étudiants mâles, au sens de l'article 225-1 du Code Pénal (Modifié par
> LOI n°2014-173 du 21 février 2014 - art. 15) :
>
> "Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les
> personnes physiques à raison (...) de leur sexe (...)"
Le même article mentionne l'âge en tant que discrimination.
Or il existe quantité de modulations de tarifs en fonction de l'âge
(tarifs -25 ans, tarifs +65 ans...) sans que cela ne choque aucun
procédurier.
Ensuite, il s'agit de mécénat d'entreprise (c'est tout du moins ce
qu'affirme ce site universitaire). A priori, il ne s'agit donc pas de
solliciter le contribuable. Est-ce un paramètre important ?
Enfin, QUI va saisir la Justice, pour autant que ce soit plaidable ?
Il existe une ribambelle d'associations féministes et anti-racistes prêtes
à attaquer en justice pour tout et (surtout) n'importe quoi. Mais les
mouvements masculinistes sont insignifiants, lavage de cerveau
culpabilisant oblige. Il y a aurait pourtant largement de quoi faire.
Dans son message précédent, Dominique de Corse a écrit :
> Moi j'estime que si et que 225-2, 4° s'applique.
> L'octroi d'une bourse entre parfaitement dans le cadre de la "fourniture
> d'un bien ou d'un service", àmha.
>
> D'autant que cette bourse est offerte par des entreprises privées qui
> souhaitent recruter des femmes informaticiennes.
> Ce qui veut dire que ces entreprises préparent une discrimination à
> l'embauche dès l'Université.
Ce mécénant d'entreprises surajoute des questions que je n'avais pas
envisagées dans mon post précédent :
Dans quelle mesure l'université est-elle impliquée ?
Ses décisions sont-elles souveraines ?
Ou prises en commission mixte sous l'amicale suggestion du privé ?
Mais aussi, évoquer "l'excellence académique" et "les critères sociaux"
parmi les éléments de choix nous ramène au service public, même si
c'est le privé qui finance.
D'autant qu'on n'a pas affaire à des philanthropes, ce genre de dons
à une ½uvre d'intérêt général permet de bénéficier de déductions
fiscales, on est donc encore amha dans le mélange des genres.
Je n'ai pas trouvé de jurisprudence pertinente en ce qui concerne
les discriminations dans le cadre de cette délégation de service public
à l'envers.
Dans son message précédent, Dominique de Corse a écrit :
> Moi j'estime que si et que 225-2, 4° s'applique.
> L'octroi d'une bourse entre parfaitement dans le cadre de la "fourniture
> d'un bien ou d'un service", àmha.
>
> D'autant que cette bourse est offerte par des entreprises privées qui
> souhaitent recruter des femmes informaticiennes.
> Ce qui veut dire que ces entreprises préparent une discrimination à
> l'embauche dès l'Université.
Ce mécénant d'entreprises surajoute des questions que je n'avais pas
envisagées dans mon post précédent :
Dans quelle mesure l'université est-elle impliquée ?
Ses décisions sont-elles souveraines ?
Ou prises en commission mixte sous l'amicale suggestion du privé ?
Mais aussi, évoquer "l'excellence académique" et "les critères sociaux"
parmi les éléments de choix nous ramène au service public, même si
c'est le privé qui finance.
D'autant qu'on n'a pas affaire à des philanthropes, ce genre de dons
à une ½uvre d'intérêt général permet de bénéficier de déductions
fiscales, on est donc encore amha dans le mélange des genres.
Je n'ai pas trouvé de jurisprudence pertinente en ce qui concerne
les discriminations dans le cadre de cette délégation de service public
à l'envers.
Dans son message précédent, Dominique de Corse a écrit :
> Moi j'estime que si et que 225-2, 4° s'applique.
> L'octroi d'une bourse entre parfaitement dans le cadre de la "fourniture
> d'un bien ou d'un service", àmha.
>
> D'autant que cette bourse est offerte par des entreprises privées qui
> souhaitent recruter des femmes informaticiennes.
> Ce qui veut dire que ces entreprises préparent une discrimination à
> l'embauche dès l'Université.
Ce mécénant d'entreprises surajoute des questions que je n'avais pas
envisagées dans mon post précédent :
Dans quelle mesure l'université est-elle impliquée ?
Ses décisions sont-elles souveraines ?
Ou prises en commission mixte sous l'amicale suggestion du privé ?
Mais aussi, évoquer "l'excellence académique" et "les critères sociaux"
parmi les éléments de choix nous ramène au service public, même si
c'est le privé qui finance.
D'autant qu'on n'a pas affaire à des philanthropes, ce genre de dons
à une ½uvre d'intérêt général permet de bénéficier de déductions
fiscales, on est donc encore amha dans le mélange des genres.
Je n'ai pas trouvé de jurisprudence pertinente en ce qui concerne
les discriminations dans le cadre de cette délégation de service public
à l'envers.
Ensuite, il s'agit de mécénat d'entreprise (c'est tout du moins ce
qu'affirme ce site universitaire). A priori, il ne s'agit donc pas de
solliciter le contribuable. Est-ce un paramètre important ?
Non. Bien au contraire d'ailleurs, l'état se permet des discriminations qui
sont interdites au chef d'entreprise.
Enfin, QUI va saisir la Justice, pour autant que ce soit plaidable ?
En l'occurrence personne, ce n'est pas plaidable. Vous ne pouvez pas
empêcher des particuliers ou des privés de donner à qui ils veulent.
Ensuite, il s'agit de mécénat d'entreprise (c'est tout du moins ce
qu'affirme ce site universitaire). A priori, il ne s'agit donc pas de
solliciter le contribuable. Est-ce un paramètre important ?
Non. Bien au contraire d'ailleurs, l'état se permet des discriminations qui
sont interdites au chef d'entreprise.
Enfin, QUI va saisir la Justice, pour autant que ce soit plaidable ?
En l'occurrence personne, ce n'est pas plaidable. Vous ne pouvez pas
empêcher des particuliers ou des privés de donner à qui ils veulent.
Ensuite, il s'agit de mécénat d'entreprise (c'est tout du moins ce
qu'affirme ce site universitaire). A priori, il ne s'agit donc pas de
solliciter le contribuable. Est-ce un paramètre important ?
Non. Bien au contraire d'ailleurs, l'état se permet des discriminations qui
sont interdites au chef d'entreprise.
Enfin, QUI va saisir la Justice, pour autant que ce soit plaidable ?
En l'occurrence personne, ce n'est pas plaidable. Vous ne pouvez pas
empêcher des particuliers ou des privés de donner à qui ils veulent.
C'est à dire qu'il y a un truc qui me dérange beaucoup c'est la
participation des "partenaires" aux jurys d'attribution des bourses...
Notons que les entreprises ne sont nullement tenues d'embaucher les
femmes ainsi sponsorisées ni, si elles sont embauchées, de leur établir
un CDI...
C'est à dire qu'il y a un truc qui me dérange beaucoup c'est la
participation des "partenaires" aux jurys d'attribution des bourses...
Notons que les entreprises ne sont nullement tenues d'embaucher les
femmes ainsi sponsorisées ni, si elles sont embauchées, de leur établir
un CDI...
C'est à dire qu'il y a un truc qui me dérange beaucoup c'est la
participation des "partenaires" aux jurys d'attribution des bourses...
Notons que les entreprises ne sont nullement tenues d'embaucher les
femmes ainsi sponsorisées ni, si elles sont embauchées, de leur établir
un CDI...