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droit à l'image

174 réponses
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palmerclaude
Cela m'énerve au plus haut point.
Je comprend que la plupart des amateurs ou professionnels se cantonnent ici
aux paysages, animaux et insectes. J'ai toujours préféré les personnes. Mais
sauf à éditer un bloc de cession de droits à balader sur soi et à faire
signer (Après et pas AVANT la prise de v(i)/ue, avec les risques de refus ou
d'engueulades, je regarde le peu d'archives qui me restent, et me dis que je
vivais la photographie de façon bien plus heureuse il y a quarante ans ou
cinquante ans.
Exemples en Algérie 1959...
Rollei - scan d'après tirages /Léonar...légèrement recadrés de tirages 24x30
en 21x27
http://cjoint.com/?0HhxiSYUuBP
http://cjoint.com/?BHhxjIYrgNz

10 réponses

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Olivier B.
On Wed, 8 Aug 2012 11:43:49 +0200, "palmerclaude"
wrote:

Elohan wrote:
Ofnuts a écrit :
On 08/08/2012 09:09 AM, Elohan wrote:
Donc on se contente de garder ces images pour soi-même, pour des
projections en petit comité ou pour des proches de confiance. Le
nouveau problème, c'est que des tiers n'aillent pas diffuser ces
photos sur le web.



Oui, mais ce sont eux qui ont diffusé, pas toi...



Mais quand ce sont des amis ou des membres de ta famille, ça la fout
mal.



Vous oubliez le droit de presse Si vous mettez sur le net une image ici par
exemple, qu'un tiers la reprend et la republie, les services de la
gendarmerie retrouveront les IP et contraindrot le dernier diffuseur à
donner sa source. C'est la responsabilité "en cascade". que j'ai connue
comme imprimeur. : Quand on ne retrouve pas l'auteur d'un délit, c'est le
dernier utilisateur connu qui trinque (brocheur, diffuseur etc)...



la cascade peut etre impossible à remonter sur internet, et quand elle
l'est l'action n'est pas toujours possible, bref c'est pas simple...

--
pas de turlututu. apres l'@robase
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palmerclaude
Bour-Brown wrote:
palmerclaude a écrit
( 5022395a$0$6190$ )

Pourquoi "pourri" ? parce qu'il n'y a pas de détails dans les noirs
et un étagement des gris qui défrise ?



Euh, à cause de méchantes pétouilles, de zones complètement
brouillées dans la première (le Scholtès de gauche par exemple,
carrément dédoublé), même chose sur la seconde, des glissements, des
bandes, une postérisation noir et blanc inhumaine, des choses comme
ça : http://cjoint.com/12au/BHinh6mH3R2.htm

en rouge, les bandes verticales, en vert, quelques pétouilles, en
bleu, des aplats d'encre de Chine.



Bon, pour les pétouilles j'ai encore au fond d'un tiroir la boîte de
gouaches à retouche de mes jeunes années et avec un pinceau fin, c'est
jouable. On peut aussi maintenant corriger directement le fichier
numérique...
Pour la scannérisation, j'attends encore l'informaticien qui doit remettre
en état l'ordinateur qui a la carte SCSI servant au scanner AGFA que je
considère toujours comme un bon scanner. L'autre, c'est celui de la
photocopieuse-fax-scanner HP dont je sais bien que c'est probablement une
bouse...
Mais comme je l'ai promis à de la famille, tôt ou tard, je reprendrai toute
la collection de ces photos et leur enverrai des fichiers numériques en
lieu et place de l'album.
Par contre je ne comprends pas bien les dédoublements et autres de ces
documents, sauf à me demander si le passage du scan de tiff en jpg est à
l'origine de ces défauts.
ou encore la conversion en psd, ou le passage faute de possibilités sous
photopaint au lieu de Photoshop...

Pourtant c''était précisément la richesse de qualité des noirs
argentiques de papiers comme le Léonar qui m'intéressait...



Je pense que les images que tu nous proposes ici ne leur rendent pas
honneur, et que sans doute les négatifs étaient bien plus
intéressants. Il n'est pas impossible également que tu n'aies plus
les yeux de ta jeunesse, et que tu nous proposes ici plutôt tes
souvenirs que des clichés de qualité.

(avec le lien, c'est mieux)



Quand je fais joujou le soir pour être sur les forums, je ne m'embarrasse
pas trop des corrections longues et complexes...mais cela dépend des jours.
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Claudio Bonavolta
Le mercredi 8 août 2012 12:40:42 UTC+2, Bour-Brown a écrit :
(quant a faire des bouquins ou des blogs au lieu de plaider, a mon avis,
c'est quand meme pas bon signe)



Pas compris le sens ni la finalité de cette phrase ...
Sous-entends-tu que seul un mauvais avocat peut trouver le temps d'écrire un bouquin ou gérer un blog ?

Claudio Bonavolta
www.bonavolta.ch
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Pierre-Marcel
palmerclaude avait soumis l'idée :
Cela me turlupine d'avoir abandonné mon travail de 50 ans depuis quinze ans,
dans un entrepôt oublié.



C'est exactement la même question que se pose Bert Stern, après toute
sa carrière : http://videos.arte.tv/fr/videos/bert_stern-6843018.html

Mais lui, il collectionne plutôt les femmes que les photos.
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Richard
Sinon la solution consiste à aller à l'étranger, là où le droit d'images
n'est pas (encore) un problème: pays d'Asie, d'Afrique,



Euh... moi je veux bien. Tu peux y aller. Mais en
Afrique, dans certains endroits, tu peux te faire tuer
pour avoir pris une photo sans demander très poliment
l'autorisation.
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Elohan
jean-daniel dodin a écrit :
Le 08/08/2012 09:09, Elohan a écrit :

Donc on se contente de garder ces images pour soi-même,



mais dans ce cas point besoin d'autorisation...



Bien sûr. Ensuite, il y a une jurisprudence à consulter. A priori je ne
pense pas qu'on aie à craindre le droit d'image lorsqu'on publie sur un
blog ou sur Flickr des photos de spectacles publics, par exemple.
Les sources telles que le blog indiqué par Grenault sont intéressantes
pour appréhender les limites.
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Elohan
Richard a écrit :
Sinon la solution consiste à aller à l'étranger, là où le droit d'images
n'est pas (encore) un problème: pays d'Asie, d'Afrique,



Euh... moi je veux bien. Tu peux y aller. Mais en
Afrique, dans certains endroits, tu peux te faire tuer
pour avoir pris une photo sans demander très poliment
l'autorisation.



Peut-être, mais ce n'est pas tout à fait la même question.
L'autorisation de prendre une photo et la cession du droit à l'image
sont des notions différentes.
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Elohan
palmerclaude a écrit :

C'est tiré qd'un album destiné à des proches à l'époque, avec des tirages
particulièrement soignés. Le choix des contrastes était volontaire.
Pourquoi "pourri" ? parce qu'il n'y a pas de détails dans les noirs et un
étagement des gris qui défrise ?
Pourtant c''était précisément la richesse de qualité des noirs argentiques
de papiers comme le Léonar qui m'intéressait...
Reste que je n'ai plus les négatifs pour les scanner et retraiter en
numérique.
Cela me turlupine d'avoir abandonné mon travail de 50 ans depuis quinze
ans, dans un entrepôt oublié.
Comme ma descendance s'en fout, je n'ai même pas la possibilité de les
récupérer et de m'en servir pour des expos commémoratives ou documentaires
sur des sujets et des périodes dignes d'intérêt.



Donc les négatifs existent toujours, mais qu'est-ce qui empêche plus
précisément de les récupérer ?
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palmerclaude
Pierre-Marcel wrote:
palmerclaude avait soumis l'idée :
Cela me turlupine d'avoir abandonné mon travail de 50 ans depuis
quinze ans, dans un entrepôt oublié.



C'est exactement la même question que se pose Bert Stern, après toute
sa carrière : http://videos.arte.tv/fr/videos/bert_stern-6843018.html

Mais lui, il collectionne plutôt les femmes que les photos.



Oui, j'avais donné aussi. Maintenant je me cantonne aux chat(te)s :-)
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palmerclaude
Elohan wrote:
palmerclaude a écrit :

C'est tiré qd'un album destiné à des proches à l'époque, avec des
tirages particulièrement soignés. Le choix des contrastes était
volontaire. Pourquoi "pourri" ? parce qu'il n'y a pas de détails
dans les noirs et un étagement des gris qui défrise ?
Pourtant c''était précisément la richesse de qualité des noirs
argentiques de papiers comme le Léonar qui m'intéressait...
Reste que je n'ai plus les négatifs pour les scanner et retraiter en
numérique.
Cela me turlupine d'avoir abandonné mon travail de 50 ans depuis
quinze ans, dans un entrepôt oublié.
Comme ma descendance s'en fout, je n'ai même pas la possibilité de
les récupérer et de m'en servir pour des expos commémoratives ou
documentaires sur des sujets et des périodes dignes d'intérêt.



Donc les négatifs existent toujours, mais qu'est-ce qui empêche plus
précisément de les récupérer ?



Je n'en suis pas sûr. Depuis 15 ans le transporteur a dû foutre à la
poubelle les dizaines de caisses et de cartons ou les disperser. Dans le cas
contraire, je ne vois pas comment le contacter, et régler des arriérés
énormes. Il ne s'agissait pas que d'archives, mais de machines, de
justificatifs de parution, de stocks de papier, de magnétoscopes, caméras,
chambres pro, matériel de studio, mobilier etc J'ai bien songé à saisir la
BN pour la récupération en les cédant, mais comme je ne sais plus du tout
comment faire, et sans moyens financiers, j'ai laissé tomber.
Normalement l'entrepôt était en mesure de s'en saisir depuis des années.
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