Cela m'énerve au plus haut point.
Je comprend que la plupart des amateurs ou professionnels se cantonnent ici
aux paysages, animaux et insectes. J'ai toujours préféré les personnes. Mais
sauf à éditer un bloc de cession de droits à balader sur soi et à faire
signer (Après et pas AVANT la prise de v(i)/ue, avec les risques de refus ou
d'engueulades, je regarde le peu d'archives qui me restent, et me dis que je
vivais la photographie de façon bien plus heureuse il y a quarante ans ou
cinquante ans.
Exemples en Algérie 1959...
Rollei - scan d'après tirages /Léonar...légèrement recadrés de tirages 24x30
en 21x27
http://cjoint.com/?0HhxiSYUuBP
http://cjoint.com/?BHhxjIYrgNz
Je n'en suis pas sûr. Depuis 15 ans le transporteur a dû foutre à la poubelle les dizaines de caisses et de cartons ou les disperser. Dans le cas contraire, je ne vois pas comment le contacter, et régler des arriérés énormes. Il ne s'agissait pas que d'archives, mais de machines, de justificatifs de parution, de stocks de papier, de magnétoscopes, caméras, chambres pro, matériel de studio, mobilier etc J'ai bien songé à saisir la BN pour la récupération en les cédant, mais comme je ne sais plus du tout comment faire, et sans moyens financiers, j'ai laissé tomber. Normalement l'entrepôt était en mesure de s'en saisir depuis des années.
Comme tu as des relations étroites avec les édiles locaux, je te suggère de faire voter la création d'un musée de la photographie dont le fond principal sera constitué de tes archives que le musée récupérera auprès du transporteur moyennant le paiement des loyers. Quoi de plus simple ? Souviens-toi que Marie-Josée Roig a obtenu facilement de Sarkozy les fonds nécessités par la création de son musée.
Le 08/08/2012 19:01, palmerclaude a écrit :
Je n'en suis pas sûr. Depuis 15 ans le transporteur a dû foutre à la
poubelle les dizaines de caisses et de cartons ou les disperser. Dans le cas
contraire, je ne vois pas comment le contacter, et régler des arriérés
énormes. Il ne s'agissait pas que d'archives, mais de machines, de
justificatifs de parution, de stocks de papier, de magnétoscopes, caméras,
chambres pro, matériel de studio, mobilier etc J'ai bien songé à saisir la
BN pour la récupération en les cédant, mais comme je ne sais plus du tout
comment faire, et sans moyens financiers, j'ai laissé tomber.
Normalement l'entrepôt était en mesure de s'en saisir depuis des années.
Comme tu as des relations étroites avec les édiles locaux, je te suggère
de faire voter la création d'un musée de la photographie dont le fond
principal sera constitué de tes archives que le musée récupérera auprès
du transporteur moyennant le paiement des loyers.
Quoi de plus simple ?
Souviens-toi que Marie-Josée Roig a obtenu facilement de Sarkozy les
fonds nécessités par la création de son musée.
Je n'en suis pas sûr. Depuis 15 ans le transporteur a dû foutre à la poubelle les dizaines de caisses et de cartons ou les disperser. Dans le cas contraire, je ne vois pas comment le contacter, et régler des arriérés énormes. Il ne s'agissait pas que d'archives, mais de machines, de justificatifs de parution, de stocks de papier, de magnétoscopes, caméras, chambres pro, matériel de studio, mobilier etc J'ai bien songé à saisir la BN pour la récupération en les cédant, mais comme je ne sais plus du tout comment faire, et sans moyens financiers, j'ai laissé tomber. Normalement l'entrepôt était en mesure de s'en saisir depuis des années.
Comme tu as des relations étroites avec les édiles locaux, je te suggère de faire voter la création d'un musée de la photographie dont le fond principal sera constitué de tes archives que le musée récupérera auprès du transporteur moyennant le paiement des loyers. Quoi de plus simple ? Souviens-toi que Marie-Josée Roig a obtenu facilement de Sarkozy les fonds nécessités par la création de son musée.
Pierre-Marcel
palmerclaude a couché sur son écran :
Pierre-Marcel wrote:
Oui, j'avais donné aussi.
Dans un autre ordre d'idées, j'ai ouï dire que Michel Lys allait prendre sa retraite des ondes radio. N'habitant pas la Saintonge, il y a longtemps que je n'entends plus ses conseils de jardinier.
palmerclaude a couché sur son écran :
Pierre-Marcel wrote:
Oui, j'avais donné aussi.
Dans un autre ordre d'idées, j'ai ouï dire que Michel Lys allait
prendre sa retraite des ondes radio. N'habitant pas la Saintonge, il y
a longtemps que je n'entends plus ses conseils de jardinier.
Dans un autre ordre d'idées, j'ai ouï dire que Michel Lys allait prendre sa retraite des ondes radio. N'habitant pas la Saintonge, il y a longtemps que je n'entends plus ses conseils de jardinier.
palmerclaude
Ghost-Rider wrote:
Le 08/08/2012 19:01, palmerclaude a écrit :
Je n'en suis pas sûr. Depuis 15 ans le transporteur a dû foutre à la poubelle les dizaines de caisses et de cartons ou les disperser. Dans le cas contraire, je ne vois pas comment le contacter, et régler des arriérés énormes. Il ne s'agissait pas que d'archives, mais de machines, de justificatifs de parution, de stocks de papier, de magnétoscopes, caméras, chambres pro, matériel de studio, mobilier etc J'ai bien songé à saisir la BN pour la récupération en les cédant, mais comme je ne sais plus du tout comment faire, et sans moyens financiers, j'ai laissé tomber. Normalement l'entrepôt était en mesure de s'en saisir depuis des années.
Comme tu as des relations étroites avec les édiles locaux, je te suggère de faire voter la création d'un musée de la photographie dont le fond principal sera constitué de tes archives que le musée récupérera auprès du transporteur moyennant le paiement des loyers. Quoi de plus simple ? Souviens-toi que Marie-Josée Roig a obtenu facilement de Sarkozy les fonds nécessités par la création de son musée.
Très drôle. mes "relations" avec les édiles locaux, départementaux, régionaux, nationaux, ne fonctionnent que tant que je ne leur demande rien... Comme le célèbre adage "demandez-nous ce dont vous avez besoin, et on vous expliquera comment vous en passer" :-( Mais je suppose que certains d'entre vous connaissent, en particulier avec les banques . Non ?
Ghost-Rider wrote:
Le 08/08/2012 19:01, palmerclaude a écrit :
Je n'en suis pas sûr. Depuis 15 ans le transporteur a dû foutre à
la poubelle les dizaines de caisses et de cartons ou les disperser.
Dans le cas contraire, je ne vois pas comment le contacter, et
régler des arriérés énormes. Il ne s'agissait pas que d'archives,
mais de machines, de justificatifs de parution, de stocks de
papier, de magnétoscopes, caméras, chambres pro, matériel de studio,
mobilier etc J'ai bien songé à saisir la BN pour la récupération en
les cédant, mais comme je ne sais plus du tout comment faire, et
sans moyens financiers, j'ai laissé tomber. Normalement l'entrepôt
était en mesure de s'en saisir depuis des années.
Comme tu as des relations étroites avec les édiles locaux, je te
suggère de faire voter la création d'un musée de la photographie dont
le fond principal sera constitué de tes archives que le musée
récupérera auprès du transporteur moyennant le paiement des loyers.
Quoi de plus simple ?
Souviens-toi que Marie-Josée Roig a obtenu facilement de Sarkozy les
fonds nécessités par la création de son musée.
Très drôle. mes "relations" avec les édiles locaux, départementaux,
régionaux, nationaux, ne fonctionnent que tant que je ne leur demande
rien...
Comme le célèbre adage "demandez-nous ce dont vous avez besoin, et on vous
expliquera comment vous en passer" :-(
Mais je suppose que certains d'entre vous connaissent, en particulier avec
les banques . Non ?
Je n'en suis pas sûr. Depuis 15 ans le transporteur a dû foutre à la poubelle les dizaines de caisses et de cartons ou les disperser. Dans le cas contraire, je ne vois pas comment le contacter, et régler des arriérés énormes. Il ne s'agissait pas que d'archives, mais de machines, de justificatifs de parution, de stocks de papier, de magnétoscopes, caméras, chambres pro, matériel de studio, mobilier etc J'ai bien songé à saisir la BN pour la récupération en les cédant, mais comme je ne sais plus du tout comment faire, et sans moyens financiers, j'ai laissé tomber. Normalement l'entrepôt était en mesure de s'en saisir depuis des années.
Comme tu as des relations étroites avec les édiles locaux, je te suggère de faire voter la création d'un musée de la photographie dont le fond principal sera constitué de tes archives que le musée récupérera auprès du transporteur moyennant le paiement des loyers. Quoi de plus simple ? Souviens-toi que Marie-Josée Roig a obtenu facilement de Sarkozy les fonds nécessités par la création de son musée.
Très drôle. mes "relations" avec les édiles locaux, départementaux, régionaux, nationaux, ne fonctionnent que tant que je ne leur demande rien... Comme le célèbre adage "demandez-nous ce dont vous avez besoin, et on vous expliquera comment vous en passer" :-( Mais je suppose que certains d'entre vous connaissent, en particulier avec les banques . Non ?
palmerclaude
Ghost-Rider wrote:
Le 08/08/2012 19:01, palmerclaude a écrit :
Je n'en suis pas sûr. Depuis 15 ans le transporteur a dû foutre à la poubelle les dizaines de caisses et de cartons ou les disperser. Dans le cas contraire, je ne vois pas comment le contacter, et régler des arriérés énormes. Il ne s'agissait pas que d'archives, mais de machines, de justificatifs de parution, de stocks de papier, de magnétoscopes, caméras, chambres pro, matériel de studio, mobilier etc J'ai bien songé à saisir la BN pour la récupération en les cédant, mais comme je ne sais plus du tout comment faire, et sans moyens financiers, j'ai laissé tomber. Normalement l'entrepôt était en mesure de s'en saisir depuis des années.
Comme tu as des relations étroites avec les édiles locaux, je te suggère de faire voter la création d'un musée de la photographie dont le fond principal sera constitué de tes archives que le musée récupérera auprès du transporteur moyennant le paiement des loyers. Quoi de plus simple ? Souviens-toi que Marie-Josée Roig a obtenu facilement de Sarkozy les fonds nécessités par la création de son musée.
Pour ces dernières années j'ai ainsi pu rater des expositions sur plusieurs thèmes ; expositions sur mai 68, le cinquantenaire de la fin de la guerre d'Algérie, l'histoire de la presse parallèle des années 70 dont j'ai été l'un des rares éditeurs. (A ce propos, j'ai découvert plusieurs de mes imprimés dans une librairie spécialisée dans les écrits alternatifs politiques ou de contre culture à Paris chez Didier Lecointre-Dominique Drouet. http://www.lecointredrouet.com/ J'ai pris contact il y a quelque temps et promis de les rencontrer. Mais tout cela ne réglera pas mon problème.
Ghost-Rider wrote:
Le 08/08/2012 19:01, palmerclaude a écrit :
Je n'en suis pas sûr. Depuis 15 ans le transporteur a dû foutre à
la poubelle les dizaines de caisses et de cartons ou les disperser.
Dans le cas contraire, je ne vois pas comment le contacter, et
régler des arriérés énormes. Il ne s'agissait pas que d'archives,
mais de machines, de justificatifs de parution, de stocks de
papier, de magnétoscopes, caméras, chambres pro, matériel de studio,
mobilier etc J'ai bien songé à saisir la BN pour la récupération en
les cédant, mais comme je ne sais plus du tout comment faire, et
sans moyens financiers, j'ai laissé tomber. Normalement l'entrepôt
était en mesure de s'en saisir depuis des années.
Comme tu as des relations étroites avec les édiles locaux, je te
suggère de faire voter la création d'un musée de la photographie dont
le fond principal sera constitué de tes archives que le musée
récupérera auprès du transporteur moyennant le paiement des loyers.
Quoi de plus simple ?
Souviens-toi que Marie-Josée Roig a obtenu facilement de Sarkozy les
fonds nécessités par la création de son musée.
Pour ces dernières années j'ai ainsi pu rater des expositions sur plusieurs
thèmes ; expositions sur mai 68, le cinquantenaire de la fin de la guerre
d'Algérie, l'histoire de la presse parallèle des années 70 dont j'ai été
l'un des rares éditeurs. (A ce propos, j'ai découvert plusieurs de mes
imprimés dans une librairie spécialisée dans les écrits alternatifs
politiques ou de contre culture à Paris chez Didier Lecointre-Dominique
Drouet.
http://www.lecointredrouet.com/
J'ai pris contact il y a quelque temps et promis de les rencontrer.
Mais tout cela ne réglera pas mon problème.
Je n'en suis pas sûr. Depuis 15 ans le transporteur a dû foutre à la poubelle les dizaines de caisses et de cartons ou les disperser. Dans le cas contraire, je ne vois pas comment le contacter, et régler des arriérés énormes. Il ne s'agissait pas que d'archives, mais de machines, de justificatifs de parution, de stocks de papier, de magnétoscopes, caméras, chambres pro, matériel de studio, mobilier etc J'ai bien songé à saisir la BN pour la récupération en les cédant, mais comme je ne sais plus du tout comment faire, et sans moyens financiers, j'ai laissé tomber. Normalement l'entrepôt était en mesure de s'en saisir depuis des années.
Comme tu as des relations étroites avec les édiles locaux, je te suggère de faire voter la création d'un musée de la photographie dont le fond principal sera constitué de tes archives que le musée récupérera auprès du transporteur moyennant le paiement des loyers. Quoi de plus simple ? Souviens-toi que Marie-Josée Roig a obtenu facilement de Sarkozy les fonds nécessités par la création de son musée.
Pour ces dernières années j'ai ainsi pu rater des expositions sur plusieurs thèmes ; expositions sur mai 68, le cinquantenaire de la fin de la guerre d'Algérie, l'histoire de la presse parallèle des années 70 dont j'ai été l'un des rares éditeurs. (A ce propos, j'ai découvert plusieurs de mes imprimés dans une librairie spécialisée dans les écrits alternatifs politiques ou de contre culture à Paris chez Didier Lecointre-Dominique Drouet. http://www.lecointredrouet.com/ J'ai pris contact il y a quelque temps et promis de les rencontrer. Mais tout cela ne réglera pas mon problème.
Ghost-Rider
Le 08/08/2012 20:24, palmerclaude a écrit :
Très drôle. mes "relations" avec les édiles locaux, départementaux, régionaux, nationaux, ne fonctionnent que tant que je ne leur demande rien...
Bon, ben, à ta place, je commencerais par ressortir mon contrat avec le transporteur pour savoir quelles sont vos obligations réciproques et évaluer le montant du loyer en retard. Ensuite, j'enverrais un ami sûr avec le contrat, disant que tu es mort et qu'il est chargé par le notaire de faire l'inventaire de tes biens. Ensuite, en fonction de ta dette et de ce que le transporteur a gardé, tu avises. Certaines des choses ont peut-être une valeur autre que sentimentale qui te permettrait de payer ce loyer et de récupérer le reste après leur revente.
Le 08/08/2012 20:24, palmerclaude a écrit :
Très drôle. mes "relations" avec les édiles locaux, départementaux,
régionaux, nationaux, ne fonctionnent que tant que je ne leur demande
rien...
Bon, ben, à ta place, je commencerais par ressortir mon contrat avec le
transporteur pour savoir quelles sont vos obligations réciproques et
évaluer le montant du loyer en retard. Ensuite, j'enverrais un ami sûr
avec le contrat, disant que tu es mort et qu'il est chargé par le
notaire de faire l'inventaire de tes biens.
Ensuite, en fonction de ta dette et de ce que le transporteur a gardé,
tu avises.
Certaines des choses ont peut-être une valeur autre que sentimentale qui
te permettrait de payer ce loyer et de récupérer le reste après leur
revente.
Très drôle. mes "relations" avec les édiles locaux, départementaux, régionaux, nationaux, ne fonctionnent que tant que je ne leur demande rien...
Bon, ben, à ta place, je commencerais par ressortir mon contrat avec le transporteur pour savoir quelles sont vos obligations réciproques et évaluer le montant du loyer en retard. Ensuite, j'enverrais un ami sûr avec le contrat, disant que tu es mort et qu'il est chargé par le notaire de faire l'inventaire de tes biens. Ensuite, en fonction de ta dette et de ce que le transporteur a gardé, tu avises. Certaines des choses ont peut-être une valeur autre que sentimentale qui te permettrait de payer ce loyer et de récupérer le reste après leur revente.
Bour-Brown
Ghost-Rider a écrit ( jvti71$ih0$ )
Elle rappelle néanmoins le critère fondamental retenu par les juges pour attribuer des dommages et intérêts : l'existence d'un véritable préjudice. Tout le reste est accessoire.
Même pas.
Des fois c'est le préjudice, d'autres fois la contre-façon (faudrait qu'on m'explique en quoi utiliser un accessoire vestimentaire sur une affiche porte préjudice à quelqu'un), ailleurs le non respect d'une clause contractuelle, etc.
Sérieusement, pour moi cela s'apparente à la bobologie des pages médicales des magazines télé, des gens de la profession qui signent des articles de vulgarisation à ras les pâquerettes, consistant en général à une succession de conseils de bons sens et surtout de mises en garde, se résumant finalement à : consultez votre avocat / médecin.
Ghost-Rider a écrit
( jvti71$ih0$1@dont-email.me )
Elle rappelle néanmoins le critère fondamental retenu par les juges pour
attribuer des dommages et intérêts : l'existence d'un véritable préjudice.
Tout le reste est accessoire.
Même pas.
Des fois c'est le préjudice, d'autres fois la contre-façon (faudrait qu'on
m'explique en quoi utiliser un accessoire vestimentaire sur une affiche
porte préjudice à quelqu'un), ailleurs le non respect d'une clause
contractuelle, etc.
Sérieusement, pour moi cela s'apparente à la bobologie des pages médicales
des magazines télé, des gens de la profession qui signent des articles de
vulgarisation à ras les pâquerettes, consistant en général à une succession
de conseils de bons sens et surtout de mises en garde, se résumant
finalement à : consultez votre avocat / médecin.
Elle rappelle néanmoins le critère fondamental retenu par les juges pour attribuer des dommages et intérêts : l'existence d'un véritable préjudice. Tout le reste est accessoire.
Même pas.
Des fois c'est le préjudice, d'autres fois la contre-façon (faudrait qu'on m'explique en quoi utiliser un accessoire vestimentaire sur une affiche porte préjudice à quelqu'un), ailleurs le non respect d'une clause contractuelle, etc.
Sérieusement, pour moi cela s'apparente à la bobologie des pages médicales des magazines télé, des gens de la profession qui signent des articles de vulgarisation à ras les pâquerettes, consistant en général à une succession de conseils de bons sens et surtout de mises en garde, se résumant finalement à : consultez votre avocat / médecin.
Bour-Brown
Claudio Bonavolta a écrit ( )
Pas compris le sens ni la finalité de cette phrase ...
Disons que je suis circonspect.
Mon impression, c'est qu'elle ne partage pas avec nous sa vie de photographe, mais qu'elle a quelque chose à vendre et que cette comm' s'inscrit dans cette stratégie, genre le droit de l'image est quelque chose de compliqué, je vous le montre à chaque billet.
Bof.
Claudio Bonavolta a écrit
( 904d9aa8-45ed-441d-985b-84097265a049@googlegroups.com )
Pas compris le sens ni la finalité de cette phrase ...
Disons que je suis circonspect.
Mon impression, c'est qu'elle ne partage pas avec nous sa vie de
photographe, mais qu'elle a quelque chose à vendre et que cette comm'
s'inscrit dans cette stratégie, genre le droit de l'image est quelque chose
de compliqué, je vous le montre à chaque billet.
Pas compris le sens ni la finalité de cette phrase ...
Disons que je suis circonspect.
Mon impression, c'est qu'elle ne partage pas avec nous sa vie de photographe, mais qu'elle a quelque chose à vendre et que cette comm' s'inscrit dans cette stratégie, genre le droit de l'image est quelque chose de compliqué, je vous le montre à chaque billet.
Bof.
Bour-Brown
Elohan a écrit ( jvu3jp$9b9$ )
Ensuite, il y a une jurisprudence à consulter.
Ce qui veut clairement dire qu'en l'état, personne n'en sait rien. On navigue en permanence entre des textes législatifs (qui changent) et les décisions de justice (qui interprètent). Chaque cas est particulier, chaque jugement peut être invalidé par un jugement suivant, c'est une gigantesque usine à gaz dont finalement personne ne sait grand chose.
Les sources telles que le blog indiqué par Grenault sont intéressantes pour appréhender les limites.
On n'a pas la même vision des choses, semble-t-il.
Elohan a écrit
( jvu3jp$9b9$1@speranza.aioe.org )
Ensuite, il y a une jurisprudence à consulter.
Ce qui veut clairement dire qu'en l'état, personne n'en sait rien. On
navigue en permanence entre des textes législatifs (qui changent) et les
décisions de justice (qui interprètent). Chaque cas est particulier, chaque
jugement peut être invalidé par un jugement suivant, c'est une gigantesque
usine à gaz dont finalement personne ne sait grand chose.
Les sources telles que le blog indiqué par Grenault sont intéressantes
pour appréhender les limites.
On n'a pas la même vision des choses, semble-t-il.
Ce qui veut clairement dire qu'en l'état, personne n'en sait rien. On navigue en permanence entre des textes législatifs (qui changent) et les décisions de justice (qui interprètent). Chaque cas est particulier, chaque jugement peut être invalidé par un jugement suivant, c'est une gigantesque usine à gaz dont finalement personne ne sait grand chose.
Les sources telles que le blog indiqué par Grenault sont intéressantes pour appréhender les limites.
On n'a pas la même vision des choses, semble-t-il.
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 08/08/12 12:07, jean-daniel dodin a écrit :
Le 08/08/2012 09:09, Elohan a écrit :
Donc on se contente de garder ces images pour soi-même,
mais dans ce cas point besoin d'autorisation...
Exactement mais ça n'empêche pas les péquins qui passent devant toi dans la rue de brailler Hé mon droit à l'image !
Noëlle Adam
Le 08/08/12 12:07, jean-daniel dodin a écrit :
Le 08/08/2012 09:09, Elohan a écrit :
Donc on se contente de garder ces images pour soi-même,
mais dans ce cas point besoin d'autorisation...
Exactement mais ça n'empêche pas les péquins qui passent devant toi dans
la rue de brailler Hé mon droit à l'image !
Donc on se contente de garder ces images pour soi-même,
mais dans ce cas point besoin d'autorisation...
Exactement mais ça n'empêche pas les péquins qui passent devant toi dans la rue de brailler Hé mon droit à l'image !
Noëlle Adam
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 09/08/12 12:34, Bour-Brown a écrit :
Elohan a écrit ( jvu3jp$9b9$ )
Ensuite, il y a une jurisprudence à consulter.
Ce qui veut clairement dire qu'en l'état, personne n'en sait rien. On navigue en permanence entre des textes législatifs (qui changent)
Pas tant que ça, par contre ils différent selon les pays.
et les
décisions de justice (qui interprètent).
Oui, c'est le cas de toute, absolument toute décision de justice : interprétation des textes en fonction du cas et des jurisprudences.
Chaque cas est particulier, chaque
jugement peut être invalidé par un jugement suivant, c'est une gigantesque usine à gaz dont finalement personne ne sait grand chose.
N'exagérons rien, de grâce. Tout un chacun peut lire les textes relatifs au droit à la vie privée et au droit d'auteur ainsi qu'au droit de la presse. Les formules comme ça ressemblent à on ne sait pas tout, donc on ne sait rien, on ne peut rien comprendre donc Dieu existe.
Noëlle Adam
Le 09/08/12 12:34, Bour-Brown a écrit :
Elohan a écrit
( jvu3jp$9b9$1@speranza.aioe.org )
Ensuite, il y a une jurisprudence à consulter.
Ce qui veut clairement dire qu'en l'état, personne n'en sait rien. On
navigue en permanence entre des textes législatifs (qui changent)
Pas tant que ça, par contre ils différent selon les pays.
et les
décisions de justice (qui interprètent).
Oui, c'est le cas de toute, absolument toute décision de justice :
interprétation des textes en fonction du cas et des jurisprudences.
Chaque cas est particulier, chaque
jugement peut être invalidé par un jugement suivant, c'est une gigantesque
usine à gaz dont finalement personne ne sait grand chose.
N'exagérons rien, de grâce.
Tout un chacun peut lire les textes relatifs au droit à la vie privée et
au droit d'auteur ainsi qu'au droit de la presse.
Les formules comme ça ressemblent à on ne sait pas tout, donc on ne sait
rien, on ne peut rien comprendre donc Dieu existe.
Ce qui veut clairement dire qu'en l'état, personne n'en sait rien. On navigue en permanence entre des textes législatifs (qui changent)
Pas tant que ça, par contre ils différent selon les pays.
et les
décisions de justice (qui interprètent).
Oui, c'est le cas de toute, absolument toute décision de justice : interprétation des textes en fonction du cas et des jurisprudences.
Chaque cas est particulier, chaque
jugement peut être invalidé par un jugement suivant, c'est une gigantesque usine à gaz dont finalement personne ne sait grand chose.
N'exagérons rien, de grâce. Tout un chacun peut lire les textes relatifs au droit à la vie privée et au droit d'auteur ainsi qu'au droit de la presse. Les formules comme ça ressemblent à on ne sait pas tout, donc on ne sait rien, on ne peut rien comprendre donc Dieu existe.
