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droit à l'image

62 réponses
Avatar
helios
bonjour,

un avocat vient de me transmettre des photos :

ces photos montre ma propriété et on voit plusieurs de mes enfants
mineurs et ma conjointe .

Ces photo ont ete prise par un voisin sans aucun accord et lorsque celle
ci on ete prise nous avions déposé une main courante en gendarmerie la
réponse de la gendarmerie était "tant que aucune photo est publié rien
ne prouve que des photos ont reellement été prise"
aujourd huui ces photo sont effective et figure dans le dossier de
litige sur les limites de propriété

Quel recourt puis je faire contre ces photos? droit à l'image .......

merci

10 réponses

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Black Shark 21''
. a écrit sur fr.misc.droit :

ça fait longtemps que je vous traine comme serpillère
et sous différents pseudos petit black arrogant


tu devrais te méfier des propos racistes par les temps qui courent,
petite lopette,



Nommer son interlocuteur par son pseudo
quoi d'illégal



HAHAHAHA et il fuit ... "couilles molles" !
Logique.

vous avez la video sur votre lecteur de news?
petit schark black ....hammer shark perhaps ?

la Savoie est un pays de transit assez fréquenté et
facile d'accès.


Oui et ?
C'est un département français , pas un pays



Inculte persistant ...
Avatar
Albert ARIBAUD
Bonjour,

Le Thu, 03 Dec 2015 23:41:51 +0100
Black Shark 21'' a écrit:

Albert ARIBAUD a écrit sur fr.misc.droit :
> Bonjour,

> Le Thu, 03 Dec 2015 17:10:21 +0100
> Black Shark 21'' a écrit:

>> helios a écrit sur fr.misc.droit :
>>> Le 03/12/2015 09:52, Albert ARIBAUD a écrit :
>>>> Bonjour,
>>>>
>>>> Le Thu, 3 Dec 2015 09:31:27 +0100
>>>> "." <"._._._ "@gmail.com> a écrit:
>>>>
>>>>> Le 02/12/2015 23:27, Black Shark 21'' a écrit :
>>>>> Avant d'atteindre 2 m tout végétal passe par une taille m ineure
>>>>> ...
>>>>> On ne peut qualifier de haie un assemblage de végétaux q ui
>>>>> auraient
>>>>> plus de 2m et qui boucheraient la circulation du chemin proche
>>>>> C'est le début d'une petite futaie
>>>>> Fréquent dans l'arc Est avec les sapins
>>>>
>>>> Toutes ces informations pratiques sur les hauteurs, largeurs,
>>>> distances
>>>> et autres mesures sont intéressantes, mais manquent cruellement
>>>> de références qui permettraient d'évaluer la pertinen ce de ces
>>>> infos : sont-elles valables aujourd'hui ? Sont-elles les mêmes
>>>> sur tout le territoire national, ou bien varient-elles selon les
>>>> lieux ? Et surtout... où peut-on trouver la version officielle
>>>> courante de ces informations ?
>>>>
>>>> Du reste, une telle référence serait utile au demandeur
>>>> original, pour
>>>> au moins en parler à son avocat si celui-ci estime qu'elles
>>>> peuvent servir sa cause.
>>>>
>>>> Amicalement,
>>>>
>>> code civil
>>
>>> Article 670 Créé par Loi 1804-01-31 promulguée le 10 f évrier 1804
>>> Les arbres qui se trouvent dans la haie mitoyenne sont mitoyens
>>> comme la haie. Les arbres plantés sur la ligne séparative d e deux
>>> héritages sont aussi réputés mitoyens. Lorsqu'ils meur ent ou
>>> lorsqu'ils sont coupés ou arrachés, ces arbres sont partag és par
>>> moitié. Les fruits sont recueillis à frais communs et parta gés
>>> aussi par moitié, soit qu'ils tombent naturellement, soit que la
>>> chute en ait été provoquée, soit qu'ils aient ét é cueillis.
>>> Chaque propriétaire a le droit d'exiger que les arbres mitoyens
>>> soient arrachés.
>>
>>> Article 671 Créé par Loi 1804-03-19 promulguée le 29 m ars 1804
>>> Il n'est permis d'avoir des arbres, arbrisseaux et arbustes près
>>> de la limite de la propriété voisine qu'à la distance prescrite
>>> par les règlements particuliers actuellement existants, ou par d es
>>> usages constants et reconnus et, à défaut de règlement s et usages,
>>> qu'à la distance de deux mètres de la ligne séparative des deux
>>> héritages pour les plantations dont la hauteur dépasse deux
>>> mètres, et à la distance d'un demi-mètre pour les autr es
>>> plantations. Les arbres, arbustes et arbrisseaux de toute espèce
>>> peuvent être plantés en espaliers, de chaque côté du mur
>>> séparatif, sans que l'on soit tenu d'observer aucune distance,
>>> mais ils ne pourront dépasser la crête du mur.
>>
>>> Si le mur n'est pas mitoyen, le propriétaire seul a le droit d'y
>>> appuyer les espaliers.
>>
>>> Article 672 Créé par Loi 1804-01-31 promulguée le 10 f évrier 1804
>>> Le voisin peut exiger que les arbres, arbrisseaux et arbustes,
>>> plantés à une distance moindre que la distance légale, soient
>>> arrachés ou réduits à la hauteur déterminée dans l'article
>>> précédent, à moins qu'il n'y ait titre, destination du père de
>>> famille ou prescription trentenaire.
>>> Si les arbres meurent ou s'ils sont coupés ou arrachés, le voisin
>>> ne peut les remplacer qu'en observant les distances légales.
>>> Article 673 Créé par Loi 1804-01-31 promulguée le 10 f évrier 1804
>>> Celui sur la propriété duquel avancent les branches des arb res,
>>> arbustes et arbrisseaux du voisin peut contraindre celui-ci à le s
>>> couper. Les fruits tombés naturellement de ces branches lui
>>> appartiennent.
>>
>>> Si ce sont les racines, ronces ou brindilles qui avancent sur son
>>> héritage, il a le droit de les couper lui-même à la li mite de la
>>> ligne séparative.
>>
>>> Le droit de couper les racines, ronces et brindilles ou de faire
>>> couper les branches des arbres, arbustes ou arbrisseaux est
>>> imprescriptible.
>>
>> Concernant la règlementation en vigueur aujourd'hui en 2015, la
>> réponse version simplifiée est donnée ici :
>>
>> https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F614

> ... laquelle page donne pour textes de référence... Les artic les du
> code civil 653 à 673, donc ceux ci-dessus et que tu qualifiais de
> "totalement dépassé" trente minutes auparavant. :)

Mon lien confirme quels sont les textes et articles encore en vigueur
à la date concernée qui est le 25 novembre 2014.



Oui, et ça inclut les articles du Code civil 653 à 673, donc les 670 à
673 que tu avais qualifiés de "Totalement dépassé".

On y lit aussi que "la coupe des branches des arbres, arbustes et
arbrisseaux appartenant au voisin et qui avancent sur votre propriét é
relève de sa responsabilité", ce qui semble être le sujet révélé de
la photographie dont nous parlions.



Oui, et ça, ça vient du 672 CCiv que tu avais qualifiés de " Totalement
dépassé".

La conclusion est encore plus précise, puisque : "Vous pouvez
contraindre votre voisin à couper les branches de son arbre si elles
avancent sur votre propriété, mais *vous n'avez pas le droit de les
couper vous-même* Pour obtenir gain de cause, il faut saisir tribuna l
d'instance."



Oui, et ça, ça vient du 672 CCiv que tu avais qualifiés de " Totalement
dépassé".

Parce que bon, ma réponse ne visait qu'à ça : te faire remar quer que
les articles du Code civil, toujours "en vigueur en 2015" comme une
lecture de légifrance l'indique, et que tu avais rejetés cinq (et non
trente du reste) minutes avant, tu les as soutenus, quasi directement,
cinq minutes après, en paraphrasant ci-dessus exactement ce qu'ils
disent et qui est toujours cité in extenso du reste. :)

Ce qui nous rappelle qu'avant d'affirmer qu'un texte est dépassé, il
est bon d'aller vérifier qu'il l'est -- ou, si on pense qu'il est
toujours en vigueur mais ne correspond plus à l'époque, de dire en
quoi ; et que quand on trouve une référence sérieuse mais sa ns réelle
force de loi, il est bon d'aller voir sur quels textes elle s'appuie,
ce qu'elle indiquera si elle est sérieuse, justement.

(et comme cette histoire de textes dépassés ou pas était le seul
point que je voulais souligner dans ce sous-fil, j'en reste là)

Amicalement,
--
Albert.
Avatar
patrick.K1600GTLcazaux
Albert ARIBAUD wrote:

que tu avais qualifiés de "Totalement dépassé".



Ce qui est un peu une idiotie dans la mesure où ces questions sont
inchangées depuis qu'il ya des voisins, des arbres et de haies, que le
code civil napoléonien a fixé des règles qui existaient déjà à la
satisfaction générale, et qu'on ne voit pas ce que le modernisme de
notre notre époque ultra-avancée a de différent quant à l'entretien des
branhces et des feuilles.

Et de toutes façons, c'est la loi, donc le seul appui sur lequel se
fonder pour se plaindre de son voisin.

--
Tardigradus
e^iπ=-1 c'est magnifique
Avatar
none
a émis l'idée suivante :
à défaut de règlements et usages



C'est une partie de code que beaucoup oublient (volontairement ou non)
de lire

Il y a des endroits ou, du coup, cet article ne s'applique pas... Paris
et proche banlieu par exemple.
Avatar
.
Le 03/12/2015 14:06, helios a écrit :
Le 03/12/2015 09:52, Albert ARIBAUD a écrit :
Bonjour,

Le Thu, 3 Dec 2015 09:31:27 +0100
"." <"._._._ "@gmail.com> a écrit:

Le 02/12/2015 23:27, Black Shark 21'' a écrit :
. a écrit sur fr.misc.droit :

La limite de plantation est de 0.5m sur l'axe des futs alignés et
ils ne doivent pas dépasser 2m de haut
et non pas êtres situés à 2m comme vous dites



Si les plantes mesurent plus de 2 mètres de haut, les futs doivent
être à 2 mètres de distance de la limite de propriété.




Des avis comme le tien, je crois qu'il peut se les fourrer dans
le cul


s'il n'est pas dégoûté.


Avant d'atteindre 2 m tout végétal passe par une taille mineure ...
On ne peut qualifier de haie un assemblage de végétaux qui auraient
plus de 2m et qui boucheraient la circulation du chemin proche
C'est le début d'une petite futaie
Fréquent dans l'arc Est avec les sapins



Toutes ces informations pratiques sur les hauteurs, largeurs, distances
et autres mesures sont intéressantes, mais manquent cruellement de
références qui permettraient d'évaluer la pertinence de ces infos :
sont-elles valables aujourd'hui ? Sont-elles les mêmes sur tout le
territoire national, ou bien varient-elles selon les lieux ? Et
surtout... où peut-on trouver la version officielle courante de ces
informations ?

Du reste, une telle référence serait utile au demandeur original, pour
au moins en parler à son avocat si celui-ci estime qu'elles peuvent
servir sa cause.

Amicalement,



code civil

Article 670 Créé par Loi 1804-01-31 promulguée le 10 février 1804

Les arbres qui se trouvent dans la haie mitoyenne sont mitoyens comme la
haie. Les arbres plantés sur la ligne séparative de deux héritages sont
aussi réputés mitoyens. Lorsqu'ils meurent ou lorsqu'ils sont coupés ou
arrachés, ces arbres sont partagés par moitié. Les fruits sont
recueillis à frais communs et partagés aussi par moitié, soit qu'ils
tombent naturellement, soit que la chute en ait été provoquée, soit
qu'ils aient été cueillis.

Chaque propriétaire a le droit d'exiger que les arbres mitoyens soient
arrachés.

Article 671 Créé par Loi 1804-03-19 promulguée le 29 mars 1804

Il n'est permis d'avoir des arbres, arbrisseaux et arbustes près de la
limite de la propriété voisine qu'à la distance prescrite par les
règlements particuliers actuellement existants, ou par des usages
constants et reconnus et, à défaut de règlements et usages, qu'à la
distance de deux mètres de la ligne séparative des deux héritages pour
les plantations dont la hauteur dépasse deux mètres, et à la distance
d'un demi-mètre pour les autres plantations.

Les arbres, arbustes et arbrisseaux de toute espèce peuvent être plantés
en espaliers, de chaque côté du mur séparatif, sans que l'on soit tenu
d'observer aucune distance, mais ils ne pourront dépasser la crête du mur.

Si le mur n'est pas mitoyen, le propriétaire seul a le droit d'y appuyer
les espaliers.

Article 672 Créé par Loi 1804-01-31 promulguée le 10 février 1804

Le voisin peut exiger que les arbres, arbrisseaux et arbustes, plantés à
une distance moindre que la distance légale, soient arrachés ou réduits
à la hauteur déterminée dans l'article précédent, à moins qu'il n'y ait
titre, destination du père de famille ou prescription trentenaire.

Si les arbres meurent ou s'ils sont coupés ou arrachés, le voisin ne
peut les remplacer qu'en observant les distances légales.

Article 673 Créé par Loi 1804-01-31 promulguée le 10 février 1804

Celui sur la propriété duquel avancent les branches des arbres, arbustes
et arbrisseaux du voisin peut contraindre celui-ci à les couper. Les
fruits tombés naturellement de ces branches lui appartiennent.

Si ce sont les racines, ronces ou brindilles qui avancent sur son
héritage, il a le droit de les couper lui-même à la limite de la ligne
séparative.

Le droit de couper les racines, ronces et brindilles ou de faire couper
les branches des arbres, arbustes ou arbrisseaux est imprescriptible.







.../...
oui ce sont des détails pratiques
Vous n'avez pas renseigné sur la propriété de cette cloture


Je reviens au droit à l'image après avoir relu qqs magazines
récents

Je note :

" le propriétaire d'un bien n'a pas de droit exclusif sur l'image de ce
bien "

Il peut s'opposer à l'utilisation de cette image
par un tiers ( ici l'avocat du voisin )
lorsque cela lui cause un trouble anormal
(Cass AP du 07.5.04 n° 02-10450 )

A vous de prouver le trouble anormal
Aux spécialistes ici de qualifier le mot " utilisation"


Si l'avocat est expérimenté , il grattera au cutter les têtes des
personnes sur la photo insérée dans ses conclusions
Si l'avocat est expérimenté et souhaite un report d'audience, il ne
grattera pas les têtes ...

C'est bien foutu le droit quand on veut merdouiller volontairement
;-)



V
Avatar
jr
Le 04/12/2015 09:48, Tardigradus a écrit :
Albert ARIBAUD wrote:

que tu avais qualifiés de "Totalement dépassé".



Ce qui est un peu une idiotie dans la mesure où ces questions sont
inchangées depuis qu'il ya des voisins, des arbres et de haies, que le
code civil napoléonien a fixé des règles qui existaient déjà à la
satisfaction générale, et qu'on ne voit pas ce que le modernisme de
notre notre époque ultra-avancée a de différent quant à l'entretien des
branhces et des feuilles.



On pourrait faire des haies OGM réglées pour ne pas dépasser.


--
http://rouillard.org/bd.jpg
Avatar
Black Shark 21''
Albert ARIBAUD a écrit sur fr.misc.droit :

Parce que bon, ma réponse ne visait qu'à ça : te faire remarquer que
les articles du Code civil, toujours "en vigueur en 2015" comme une
lecture de légifrance l'indique, et que tu avais rejetés cinq (et non
trente du reste) minutes avant, tu les as soutenus, quasi
directement, cinq minutes après, en paraphrasant ci-dessus exactement
ce qu'ils disent et qui est toujours cité in extenso du reste. :)

Ce qui nous rappelle qu'avant d'affirmer qu'un texte est dépassé, il
est bon d'aller vérifier qu'il l'est -- ou, si on pense qu'il est
toujours en vigueur mais ne correspond plus à l'époque, de dire en
quoi ; et que quand on trouve une référence sérieuse mais sans réelle
force de loi, il est bon d'aller voir sur quels textes elle s'appuie,
ce qu'elle indiquera si elle est sérieuse, justement.

(et comme cette histoire de textes dépassés ou pas était le seul
point que je voulais souligner dans ce sous-fil, j'en reste là)



Ma réponse n'avait pour but que de faire remarquer qu'un copié-collé
sans référence vérifiable équivaut à une merde molle.
D'ailleurs, le temps où on pouvait s'en contenter sur usenet est ...
totalement dépassé.
De plus, l'identité du posteur ajoute bien plus qu'un doute à toute
opportunité de réponse.

J'ai donné un LIEN qui apportait des réponses claires et SURTOUT
vérifiables. Peu importe que ce lien redonne les mêmes infos ou qu'il
en donne d'autres, chacun peut légitimement mettre ma seule parole en
doute car je ne suis pas un de ces pédants prétentieux qui hantent
encore les groupes moribonds de usenet, mais ce lien pointe un site
officiel qui, lui n'est pas dans le même cas.

Voila, votre mésaventure nous rappelle qu'avant de contredire pour le
plaisir un intervenant qui n'a pas l'heur de vous plaire, il est
parfois bon de vérifier qu'on a emporté sa collection de mouchoirs à
usage immédiat.
Avatar
Albert ARIBAUD
Bonjour,

Le Fri, 04 Dec 2015 18:54:01 +0100
Black Shark 21'' a écrit:

Albert ARIBAUD a écrit sur fr.misc.droit :

> Parce que bon, ma réponse ne visait qu'à ça : te faire r emarquer que
> les articles du Code civil, toujours "en vigueur en 2015" comme une
> lecture de légifrance l'indique, et que tu avais rejetés cinq (et
> non trente du reste) minutes avant, tu les as soutenus, quasi
> directement, cinq minutes après, en paraphrasant ci-dessus
> exactement ce qu'ils disent et qui est toujours cité in extenso du
> reste. :)

> Ce qui nous rappelle qu'avant d'affirmer qu'un texte est dépassà ©, il
> est bon d'aller vérifier qu'il l'est -- ou, si on pense qu'il est
> toujours en vigueur mais ne correspond plus à l'époque, de di re en
> quoi ; et que quand on trouve une référence sérieuse mai s sans
> réelle force de loi, il est bon d'aller voir sur quels textes elle
> s'appuie, ce qu'elle indiquera si elle est sérieuse, justement.

> (et comme cette histoire de textes dépassés ou pas était le seul
> point que je voulais souligner dans ce sous-fil, j'en reste là)

Ma réponse n'avait pour but que de faire remarquer qu'un copié- collé
sans référence vérifiable équivaut à une merde m olle.



Le copier-collé en question était précédé de la me ntion "code civil" et
indiquait le numéro avant chacun des articles reproduits... :)

Amicalement,
--
Albert.
Avatar
.
Le 04/12/2015 18:54, Black Shark 21'' a écrit :
Albert ARIBAUD a écrit sur fr.misc.droit :

Parce que bon, ma réponse ne visait qu'à ça : te faire remarquer que
les articles du Code civil, toujours "en vigueur en 2015" comme une
lecture de légifrance l'indique, et que tu avais rejetés cinq (et non
trente du reste) minutes avant, tu les as soutenus, quasi directement,
cinq minutes après, en paraphrasant ci-dessus exactement ce qu'ils
disent et qui est toujours cité in extenso du reste. :)



Ce qui nous rappelle qu'avant d'affirmer qu'un texte est dépassé, il
est bon d'aller vérifier qu'il l'est -- ou, si on pense qu'il est
toujours en vigueur mais ne correspond plus à l'époque, de dire en
quoi ; et que quand on trouve une référence sérieuse mais sans réelle
force de loi, il est bon d'aller voir sur quels textes elle s'appuie,
ce qu'elle indiquera si elle est sérieuse, justement.



(et comme cette histoire de textes dépassés ou pas était le seul
point que je voulais souligner dans ce sous-fil, j'en reste là)



Ma réponse n'avait pour but que


:-))))))))))))))))))))))))))))

de faire remarquer qu'un copié-collé
sans référence vérifiable équivaut à une merde molle.


D'ailleurs, le temps où on pouvait s'en contenter sur usenet est ...
totalement dépassé.


Certainement monseigneur


De plus, l'identité du posteur ajoute bien plus qu'un doute à toute
opportunité de réponse.

J'ai donné un LIEN


le lien du retardé congénital ...

qui apportait des réponses claires et SURTOUT
vérifiables. Peu importe que ce lien redonne les mêmes infos ou qu'il en
donne d'autres, chacun peut légitimement mettre ma seule parole en doute
car je ne suis pas un de ces pédants prétentieux



non, seulement quelqu'un sans esprit français
bonne éducation apparente mais sans esprit de fond


qui hantent encore les
groupes moribonds de usenet, mais ce lien pointe un site officiel qui,
lui n'est pas dans le même cas.

Voila,



tiens , encore " un voila "

votre mésaventure
:-)))))))))))))))))



nous rappelle qu'avant de contredire pour le
plaisir un intervenant qui n'a pas l'heur de vous plaire, il est parfois
bon de vérifier qu'on a emporté sa collection de mouchoirs à usage
immédiat.




Quel merdeux ...
au sens propre

Un peu le style du harlem desir , le gars aux casseroles qui fait une
tronche impayable de 36 culs quand la segodiche se faufile devant lui
pour lui piquer la place près de Flamby devant les caméras

Le pur bobo direct from caraiban ( poulvard au masculin-neutre )
formaté parigot à la petite semaine comme on en
croise en nombre derrière les portes rue de l'Université





V
Avatar
Black Shark 21''
Albert ARIBAUD a écrit sur fr.misc.droit :

(et comme cette histoire de textes dépassés ou pas était le seul
point que je voulais souligner dans ce sous-fil, j'en reste là)







On va voir ça, oui.

Ma réponse n'avait pour but que de faire remarquer qu'un copié-collé
sans référence vérifiable équivaut à une merde molle.


Le copier-collé en question était précédé de la mention "code civil"
et indiquait le numéro avant chacun des articles reproduits... :)



Sans lien permettant de vérifier quoique ce soit, notamment si ces
articles étaient toujours valides ou le fruit d'une lecture distraite
voire malveillante d'un ancien almanach Vermot mal conservé.