je sais que le sujet a déjà été abordé récemment, mais j'ai
vu ces jours-ci des articles donnant les meilleures
appareils argentiques pour 150 000 déclanchements.
Cette valeur est très élevée pour un amateur en argentique
(environ 5000 pellicules), mais quand on passe en numérique...
Dave nous disait avoir fait 1000 photos en un mois, au moins
dans les débuts, quand l'appareil est tout nouveau, ça ne
m'étonne pas.
mais du coup, le chiffre ci-dessus ne donne plus que 150 mois.
sur, ca fait quand même 15 ans, mais il s'agit de MTBF, et
du meilleur.
Y a-t-il des gens, ici, qui aient dépassé les 20-30 000
images en numérique (sans ennuis)?
merci
jdd
NB:
MTBF en anglais: Mean Time Before Failure (Temps moyen avant
la panne)
TMBF en français: Temps Moyen de Bon Fonctionnement
cherchez l'erreur :-)
--
pour m'écrire, aller sur:
http://www.dodin.net
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http://arvamip.free.fr
"Pierre Pallier" a écrit dans le message de news: l9xp518tmv8r$
Hello, Stéphan Peccini a écrit dans <news:
Actuellement, je shoote très peu. Il m'arrive même de faire le repérage un week-end sans prendre de photo et d'aller le week-end d'après ou plus tard prendre les photos. Le tri est très rapide à faire. Mais bon, je suis passé au MF argentique :-) mais j'ai remarqué que ma pratique en argentique s'applique aussi en numérique.
Ah ça, le MF, rien de mieux pour se mettre à réfléchir sérieusement avant de déclencher... Ceci dit, on fait vraiment pas les mêmes photos. avec un tel outil. Difficile de réellement transposer. Sinon, pareil pour moi, argentique ou numérique, je déclenche aussi peu avec l'un ou avec l'autre.
Personnellement, j'ai toujours été contre cette prétendue ascèse photographique : "pense beaucoup, shoote peu". C'est une école, issue de l'impossibilité de faire autrement avec des chambres intransportables etc.
Pour des photos compliquées, je shoote beaucoup : j'affine le cadrage, la lumière, la profondeur de champ ... tout ça c'est une mise en jambe psychologique, si je puis dire. Il me faut un sujet et une fois que j'ai le sujet le manque de visibilité dans le viseur, ainsi que la ridicule visualisation dans l'écran de derrière fait qu'il faut mieux ne pas se priver de shooter, au risque de se priver de la bonne photo.
Voilà mon expérience : avec un le Coolpix 5000, les résultats sont vraiment aléatoires, faut shooter pour avoir du résultat (pas grand chose à sauver hélas de cette période). Avec le D100, les photos sont meilleures, on shoote moins, parce qu'on voit mieux dans le viseur. On peut cadrer, vérifier l'histogramme et la profondeur de champ.
Avec le Kodak et son grand viseur (rien à voir avec celui du D100 !), on voit bien mieux, on cadre encore mieux, les photos sont vraiment meilleures. Je shoote autant, mais parce que je tente plus de choses sur un sujet. Pour moi, shooter un plaisir en soi, une forme de zen et de conditionnement. Les bonnes photos arrivent ensuite, quand le conditionnement est fait : se concentrer à 100 % au sujet.
-- Jérôme
"Pierre Pallier" <mon_reply_to@nest-pas.invalid> a écrit dans le message de
news: l9xp518tmv8r$.dlg@birota.com...
Hello, Stéphan Peccini a écrit dans <news:ung233-4gb.ln1@photonature.fr>
Actuellement, je shoote très peu. Il m'arrive même de faire le repérage
un
week-end sans prendre de photo et d'aller le week-end d'après ou plus
tard
prendre les photos. Le tri est très rapide à faire. Mais bon, je suis
passé
au MF argentique :-) mais j'ai remarqué que ma pratique en argentique
s'applique aussi en numérique.
Ah ça, le MF, rien de mieux pour se mettre à réfléchir sérieusement avant
de
déclencher... Ceci dit, on fait vraiment pas les mêmes photos. avec un tel
outil. Difficile de réellement transposer.
Sinon, pareil pour moi, argentique ou numérique, je déclenche aussi peu
avec
l'un ou avec l'autre.
Personnellement, j'ai toujours été contre cette prétendue ascèse
photographique : "pense beaucoup, shoote peu". C'est une école, issue de
l'impossibilité de faire autrement avec des chambres intransportables etc.
Pour des photos compliquées, je shoote beaucoup : j'affine le cadrage, la
lumière, la profondeur de champ ... tout ça c'est une mise en jambe
psychologique, si je puis dire. Il me faut un sujet et une fois que j'ai le
sujet le manque de visibilité dans le viseur, ainsi que la ridicule
visualisation dans l'écran de derrière fait qu'il faut mieux ne pas se
priver de shooter, au risque de se priver de la bonne photo.
Voilà mon expérience : avec un le Coolpix 5000, les résultats sont vraiment
aléatoires, faut shooter pour avoir du résultat (pas grand chose à sauver
hélas de cette période). Avec le D100, les photos sont meilleures, on shoote
moins, parce qu'on voit mieux dans le viseur. On peut cadrer, vérifier
l'histogramme et la profondeur de champ.
Avec le Kodak et son grand viseur (rien à voir avec celui du D100 !), on
voit bien mieux, on cadre encore mieux, les photos sont vraiment meilleures.
Je shoote autant, mais parce que je tente plus de choses sur un sujet. Pour
moi, shooter un plaisir en soi, une forme de zen et de conditionnement. Les
bonnes photos arrivent ensuite, quand le conditionnement est fait : se
concentrer à 100 % au sujet.
"Pierre Pallier" a écrit dans le message de news: l9xp518tmv8r$
Hello, Stéphan Peccini a écrit dans <news:
Actuellement, je shoote très peu. Il m'arrive même de faire le repérage un week-end sans prendre de photo et d'aller le week-end d'après ou plus tard prendre les photos. Le tri est très rapide à faire. Mais bon, je suis passé au MF argentique :-) mais j'ai remarqué que ma pratique en argentique s'applique aussi en numérique.
Ah ça, le MF, rien de mieux pour se mettre à réfléchir sérieusement avant de déclencher... Ceci dit, on fait vraiment pas les mêmes photos. avec un tel outil. Difficile de réellement transposer. Sinon, pareil pour moi, argentique ou numérique, je déclenche aussi peu avec l'un ou avec l'autre.
Personnellement, j'ai toujours été contre cette prétendue ascèse photographique : "pense beaucoup, shoote peu". C'est une école, issue de l'impossibilité de faire autrement avec des chambres intransportables etc.
Pour des photos compliquées, je shoote beaucoup : j'affine le cadrage, la lumière, la profondeur de champ ... tout ça c'est une mise en jambe psychologique, si je puis dire. Il me faut un sujet et une fois que j'ai le sujet le manque de visibilité dans le viseur, ainsi que la ridicule visualisation dans l'écran de derrière fait qu'il faut mieux ne pas se priver de shooter, au risque de se priver de la bonne photo.
Voilà mon expérience : avec un le Coolpix 5000, les résultats sont vraiment aléatoires, faut shooter pour avoir du résultat (pas grand chose à sauver hélas de cette période). Avec le D100, les photos sont meilleures, on shoote moins, parce qu'on voit mieux dans le viseur. On peut cadrer, vérifier l'histogramme et la profondeur de champ.
Avec le Kodak et son grand viseur (rien à voir avec celui du D100 !), on voit bien mieux, on cadre encore mieux, les photos sont vraiment meilleures. Je shoote autant, mais parce que je tente plus de choses sur un sujet. Pour moi, shooter un plaisir en soi, une forme de zen et de conditionnement. Les bonnes photos arrivent ensuite, quand le conditionnement est fait : se concentrer à 100 % au sujet.
-- Jérôme
jean-daniel dodin
Vincent Becker wrote:
avec un argentique, c'est uniquement la qualité de l'objectif qui fait la qualité de la photo. le boitier n'est q'une "chambre noire". avec un numérique, c'est l'objectif et le capteur qui font la qualité. si l'un des deux est mauvais ou si le premier est mal assorti avec le second, la qualité photo est mauvaise.
Ok, merci de la précision. C'est vrai que le temps où on pouvait investir dans l'optique quitte à délaisser un peu le boîtier est bien révolu.
si on en juge par certaines réponses à ce fil, les optiques
seront peut-être plus durables que le boitier :-() jdd
-- pour m'écrire, aller sur: http://www.dodin.net http://valerie.dodin.net http://arvamip.free.fr
Vincent Becker wrote:
avec un argentique, c'est uniquement la qualité de l'objectif qui fait
la qualité de la photo.
le boitier n'est q'une "chambre noire".
avec un numérique, c'est l'objectif et le capteur qui font la qualité.
si l'un des deux est mauvais ou si le premier est mal assorti avec le
second, la qualité photo est mauvaise.
Ok, merci de la précision. C'est vrai que le temps où on pouvait
investir dans l'optique quitte à délaisser un peu le boîtier est bien
révolu.
si on en juge par certaines réponses à ce fil, les optiques
seront peut-être plus durables que le boitier :-()
jdd
--
pour m'écrire, aller sur:
http://www.dodin.net
http://valerie.dodin.net
http://arvamip.free.fr
avec un argentique, c'est uniquement la qualité de l'objectif qui fait la qualité de la photo. le boitier n'est q'une "chambre noire". avec un numérique, c'est l'objectif et le capteur qui font la qualité. si l'un des deux est mauvais ou si le premier est mal assorti avec le second, la qualité photo est mauvaise.
Ok, merci de la précision. C'est vrai que le temps où on pouvait investir dans l'optique quitte à délaisser un peu le boîtier est bien révolu.
si on en juge par certaines réponses à ce fil, les optiques
seront peut-être plus durables que le boitier :-() jdd
-- pour m'écrire, aller sur: http://www.dodin.net http://valerie.dodin.net http://arvamip.free.fr
Jerome jj
"Aigle bavard" a écrit dans le message de news: 435f26af$0$454$
Va dire ça à tous les photographes professionnels qui sont à un endroit précis avec leur matos et dont la latitude de mouvement est faible.
C'est effectivement un cas de figure qui arrive et qui m'est déjà arrivé. Mais on peut ajouter que l'endroit n'est pas choisi au hasard et que cela ne change rien au fait de déclencher au bon moment.
Mitrailler sans cesse et choisir après, c'est un peu comme vouloir écrire un roman en générant des phrases aléatoires et en choisissant ce qui s'emboîte. Ce n'est pas impossible mais, en fin de compte, ça consomme plus de temps et d'énergie que l'écriture classique.
Nan, patafé : c'est plutôt comme rédiger plusieurs fois le même paragraphe avec des tournures différentes pour élire le meilleur à tête reposée. Et ça se fait.
+1 comme on dit ici :)
Pour la photo, je double et je triple souvent car j'ai constaté qu'un petit changement d'angle même ténu peut parfois modifier l'équilibre général (cadrage ou couleurs) et donner des atmosphères différentes. De même la MAP peut se faire différemment entre deux photos.
C'est exactement ça ! -- Jérôme
"Aigle bavard" <ycarl@club-internet.fr> a écrit dans le message de news:
435f26af$0$454$7a628cd7@news.club-internet.fr...
Va dire ça à tous les photographes professionnels qui sont à un
endroit précis avec leur matos et dont la latitude de mouvement est
faible.
C'est effectivement un cas de figure qui arrive et qui m'est déjà
arrivé. Mais on peut ajouter que l'endroit n'est pas choisi au hasard et
que cela ne change rien au fait de déclencher au bon moment.
Mitrailler sans cesse et choisir après, c'est un peu comme vouloir
écrire un roman en générant des phrases aléatoires et en choisissant ce
qui s'emboîte. Ce n'est pas impossible mais, en fin de compte, ça
consomme plus de temps et d'énergie que l'écriture classique.
Nan, patafé : c'est plutôt comme rédiger plusieurs fois le même paragraphe
avec des tournures différentes pour élire le meilleur à tête reposée. Et
ça se fait.
+1 comme on dit ici :)
Pour la photo, je double et je triple souvent car j'ai constaté qu'un
petit changement d'angle même ténu peut parfois modifier l'équilibre
général (cadrage ou couleurs) et donner des atmosphères différentes.
De même la MAP peut se faire différemment entre deux photos.
"Aigle bavard" a écrit dans le message de news: 435f26af$0$454$
Va dire ça à tous les photographes professionnels qui sont à un endroit précis avec leur matos et dont la latitude de mouvement est faible.
C'est effectivement un cas de figure qui arrive et qui m'est déjà arrivé. Mais on peut ajouter que l'endroit n'est pas choisi au hasard et que cela ne change rien au fait de déclencher au bon moment.
Mitrailler sans cesse et choisir après, c'est un peu comme vouloir écrire un roman en générant des phrases aléatoires et en choisissant ce qui s'emboîte. Ce n'est pas impossible mais, en fin de compte, ça consomme plus de temps et d'énergie que l'écriture classique.
Nan, patafé : c'est plutôt comme rédiger plusieurs fois le même paragraphe avec des tournures différentes pour élire le meilleur à tête reposée. Et ça se fait.
+1 comme on dit ici :)
Pour la photo, je double et je triple souvent car j'ai constaté qu'un petit changement d'angle même ténu peut parfois modifier l'équilibre général (cadrage ou couleurs) et donner des atmosphères différentes. De même la MAP peut se faire différemment entre deux photos.
C'est exactement ça ! -- Jérôme
jean-daniel dodin
Jerome jj wrote:
Voilà mon expérience : avec un le Coolpix 5000
n'importe quel compact APN attends si lontemps avant de prendre la photo que tu shoote au hasard, dans ce cas, c'est sur...
mais avec un réflexe, ce n'est pas le cas, et en tirant sans arrêt, on sera toujours bloqué si le bon moment vient soudain (comme il avait été dit dans un autre fil sur les rafales).
il n'en reste pas moins qu'on doit quand même faire facilement trois fois plus d'images en numérique qu'en argentique, en moyenne (bien plus avec un compact)
jdd
-- pour m'écrire, aller sur: http://www.dodin.net http://valerie.dodin.net http://arvamip.free.fr
Jerome jj wrote:
Voilà mon expérience : avec un le Coolpix 5000
n'importe quel compact APN attends si lontemps avant de
prendre la photo que tu shoote au hasard, dans ce cas, c'est
sur...
mais avec un réflexe, ce n'est pas le cas, et en tirant sans
arrêt, on sera toujours bloqué si le bon moment vient
soudain (comme il avait été dit dans un autre fil sur les
rafales).
il n'en reste pas moins qu'on doit quand même faire
facilement trois fois plus d'images en numérique qu'en
argentique, en moyenne (bien plus avec un compact)
jdd
--
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n'importe quel compact APN attends si lontemps avant de prendre la photo que tu shoote au hasard, dans ce cas, c'est sur...
mais avec un réflexe, ce n'est pas le cas, et en tirant sans arrêt, on sera toujours bloqué si le bon moment vient soudain (comme il avait été dit dans un autre fil sur les rafales).
il n'en reste pas moins qu'on doit quand même faire facilement trois fois plus d'images en numérique qu'en argentique, en moyenne (bien plus avec un compact)
jdd
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jean-daniel dodin
Le Chevalier Noir wrote:
Surtout si on compare un boitier a 500 euros qui dure 10 ans a un boitier a 1000 euros qui dure 2 ans. Ca fait un "surcout" pour le numerique de 450 euros/an par raport a l'argentique.
faut voir, mon eos 10 m'a coûté plus de 5000F, boitier nu...
et de 300 à 400 euros de pellicule/papier par an
sur papier c'est le cd qui a permis l'économie: je donne les photos sur cd aux amis et parents, ils tirent ce qu'ils veulent (à leurs frais :-)
jdd -- pour m'écrire, aller sur: http://www.dodin.net http://valerie.dodin.net http://arvamip.free.fr
Le Chevalier Noir wrote:
Surtout si on compare un boitier a 500 euros qui dure 10 ans a un boitier a
1000 euros qui dure 2 ans.
Ca fait un "surcout" pour le numerique de 450 euros/an par raport a
l'argentique.
faut voir, mon eos 10 m'a coûté plus de 5000F, boitier nu...
et de 300 à 400 euros de pellicule/papier par an
sur papier c'est le cd qui a permis l'économie: je donne les
photos sur cd aux amis et parents, ils tirent ce qu'ils
veulent (à leurs frais :-)
jdd
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Surtout si on compare un boitier a 500 euros qui dure 10 ans a un boitier a 1000 euros qui dure 2 ans. Ca fait un "surcout" pour le numerique de 450 euros/an par raport a l'argentique.
faut voir, mon eos 10 m'a coûté plus de 5000F, boitier nu...
et de 300 à 400 euros de pellicule/papier par an
sur papier c'est le cd qui a permis l'économie: je donne les photos sur cd aux amis et parents, ils tirent ce qu'ils veulent (à leurs frais :-)
jdd -- pour m'écrire, aller sur: http://www.dodin.net http://valerie.dodin.net http://arvamip.free.fr
Aigle bavard
Le processeur de traitement est aussi à prendre en compte, car certains fabriquants de capteurs équipent plusieurs marques et pourtant le résultat n'est pas le même selon les algorithmes utilisés pour traiter les données brutes de capteur, l'un va privilégier le traitement du bruit, l'autre la finesse, un autre le traitement des couleurs etc. On peut donc aussi choisir en fonction du goût qu'on a en matière de rendu d'image finale, appareil en configuration d'usine, c'est à dire hors personnalisation complète par l'utilisateur.
Oui mais comment peut-on avoir une idée de l'orientation de chaque appareil avant de l'acheter ? Aigle bavard
Le processeur de traitement est aussi à prendre en compte, car
certains fabriquants de capteurs équipent plusieurs marques et
pourtant le résultat n'est pas le même selon les algorithmes utilisés
pour traiter les données brutes de capteur, l'un va privilégier le
traitement du bruit, l'autre la finesse, un autre le traitement des
couleurs etc. On peut donc aussi choisir en fonction du goût qu'on a
en matière de rendu d'image finale, appareil en configuration d'usine,
c'est à dire hors personnalisation complète par l'utilisateur.
Oui mais comment peut-on avoir une idée de l'orientation de chaque
appareil avant de l'acheter ?
Aigle bavard
Le processeur de traitement est aussi à prendre en compte, car certains fabriquants de capteurs équipent plusieurs marques et pourtant le résultat n'est pas le même selon les algorithmes utilisés pour traiter les données brutes de capteur, l'un va privilégier le traitement du bruit, l'autre la finesse, un autre le traitement des couleurs etc. On peut donc aussi choisir en fonction du goût qu'on a en matière de rendu d'image finale, appareil en configuration d'usine, c'est à dire hors personnalisation complète par l'utilisateur.
Oui mais comment peut-on avoir une idée de l'orientation de chaque appareil avant de l'acheter ? Aigle bavard
Aigle bavard
il n'en reste pas moins qu'on doit quand même faire facilement trois fois plus d'images en numérique qu'en argentique, en moyenne (bien plus avec un compact)
On ferait cinq fois plus de photos depuis qu'il y a le numérique, paraît-il. Aigle bavard
il n'en reste pas moins qu'on doit quand même faire facilement trois
fois plus d'images en numérique qu'en argentique, en moyenne (bien plus
avec un compact)
On ferait cinq fois plus de photos depuis qu'il y a le numérique, paraît-il.
Aigle bavard
il n'en reste pas moins qu'on doit quand même faire facilement trois fois plus d'images en numérique qu'en argentique, en moyenne (bien plus avec un compact)
On ferait cinq fois plus de photos depuis qu'il y a le numérique, paraît-il. Aigle bavard
jean-daniel dodin
Jerome jj wrote:
Nan, patafé : c'est plutôt comme rédiger plusieurs fois le même paragraphe avec des tournures différentes pour élire le meilleur à tête reposée. Et ça se fait.
+1 comme on dit ici :)
Pour la photo, je double et je triple souvent car j'ai constaté qu'un petit changement d'angle même ténu peut parfois modifier l'équilibre général (cadrage ou couleurs) et donner des atmosphères différentes. De même la MAP peut se faire différemment entre deux photos.
C'est exactement ça !
mais ca c'est très bien :-)
je crois que ce qui choque un peu c'est de voir faire une rafale à tout propos en disant "avec de la chance ca passera". En général _aucune_ des photos n'est bonne.
Il est toujours utile d'apprendre à anticiper.
Mais ca ne dispense pas "d'assurer".
Je sais que j'efface sur place une bonne moitié de mes photos dont il est visible rien que sur l'écran du boitier qu'elle est loupée.
jdd
-- pour m'écrire, aller sur: http://www.dodin.net http://valerie.dodin.net http://arvamip.free.fr
Jerome jj wrote:
Nan, patafé : c'est plutôt comme rédiger plusieurs fois le même paragraphe
avec des tournures différentes pour élire le meilleur à tête reposée. Et
ça se fait.
+1 comme on dit ici :)
Pour la photo, je double et je triple souvent car j'ai constaté qu'un
petit changement d'angle même ténu peut parfois modifier l'équilibre
général (cadrage ou couleurs) et donner des atmosphères différentes.
De même la MAP peut se faire différemment entre deux photos.
C'est exactement ça !
mais ca c'est très bien :-)
je crois que ce qui choque un peu c'est de voir faire une
rafale à tout propos en disant "avec de la chance ca
passera". En général _aucune_ des photos n'est bonne.
Il est toujours utile d'apprendre à anticiper.
Mais ca ne dispense pas "d'assurer".
Je sais que j'efface sur place une bonne moitié de mes
photos dont il est visible rien que sur l'écran du boitier
qu'elle est loupée.
jdd
--
pour m'écrire, aller sur:
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Nan, patafé : c'est plutôt comme rédiger plusieurs fois le même paragraphe avec des tournures différentes pour élire le meilleur à tête reposée. Et ça se fait.
+1 comme on dit ici :)
Pour la photo, je double et je triple souvent car j'ai constaté qu'un petit changement d'angle même ténu peut parfois modifier l'équilibre général (cadrage ou couleurs) et donner des atmosphères différentes. De même la MAP peut se faire différemment entre deux photos.
C'est exactement ça !
mais ca c'est très bien :-)
je crois que ce qui choque un peu c'est de voir faire une rafale à tout propos en disant "avec de la chance ca passera". En général _aucune_ des photos n'est bonne.
Il est toujours utile d'apprendre à anticiper.
Mais ca ne dispense pas "d'assurer".
Je sais que j'efface sur place une bonne moitié de mes photos dont il est visible rien que sur l'écran du boitier qu'elle est loupée.
jdd
-- pour m'écrire, aller sur: http://www.dodin.net http://valerie.dodin.net http://arvamip.free.fr
jean-daniel dodin
Aigle bavard wrote:
il n'en reste pas moins qu'on doit quand même faire facilement trois fois plus d'images en numérique qu'en argentique, en moyenne (bien plus avec un compact)
On ferait cinq fois plus de photos depuis qu'il y a le numérique, paraît-il. Aigle bavard prise de vue ne veut pas dire impression papier, mettre une
image sur le net ne coute pas cher
tiens, je viens de voir un pap à 1 euro :-)
jdd
-- pour m'écrire, aller sur: http://www.dodin.net http://valerie.dodin.net http://arvamip.free.fr
Aigle bavard wrote:
il n'en reste pas moins qu'on doit quand même faire facilement trois
fois plus d'images en numérique qu'en argentique, en moyenne (bien
plus avec un compact)
On ferait cinq fois plus de photos depuis qu'il y a le numérique,
paraît-il.
Aigle bavard
prise de vue ne veut pas dire impression papier, mettre une
image sur le net ne coute pas cher
tiens, je viens de voir un pap à 1 euro :-)
jdd
--
pour m'écrire, aller sur:
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il n'en reste pas moins qu'on doit quand même faire facilement trois fois plus d'images en numérique qu'en argentique, en moyenne (bien plus avec un compact)
On ferait cinq fois plus de photos depuis qu'il y a le numérique, paraît-il. Aigle bavard prise de vue ne veut pas dire impression papier, mettre une
image sur le net ne coute pas cher
tiens, je viens de voir un pap à 1 euro :-)
jdd
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Jean-Claude Ghislain
Personnellement, j'ai toujours été contre cette prétendue ascèse photographique : "pense beaucoup, shoote peu". C'est une école, issue de l'impossibilité de faire autrement avec des chambres intransportables etc.
Effectivement, il y a de ça.
Il y a certaines pratiques photographiques qui consomment beaucoup de pellicules ou de cartes mémoires, les photographes de mode sont souvent des grands consommateurs d'obturateurs et que dire des photofilmeurs. Le photofilmeur prend énormément de photos, mais pas dans le but de choisir, toutes les images devraient être utilisables, le photographe de mode multiplie les prises à la recherche de la pose, de l'expression qui fera la différence car, en fin de compte, la majorité des images seront bonnes, mais certaines auront un petit plus. Jusque-là, je trouve que c'est une pratique normale de la photographie.
Mais pourquoi déclencher quand on sait pertinemment que la photo sera mauvaise ? Parce que le photographe ne s'en rend pas compte ? C'est assez compréhensible pour un débutant, mais après un moment on commence à voir comme l'appareil, à anticiper le résultat.
Alors, pourquoi déclencher quand on sent que l'image ne sera pas bonne ?
Avant j'appelais cela les gâcheurs de pellicule. Ce n'est pas juste une vue philosophique, au labo c'est par bidons de 150 litres de nous évacuons la chimie usagée et cela se rempli très vite, sans parler de l'époque du tout à l'égout. Pourquoi polluer plus que le nécessaire ? Le numérique peut être une réponse à ce problème, mais beaucoup de clients remplissent leur carte mémoire, la donne au labo pour tirage comme il le faisait avec un film et veulent toujours laisser les photos ratées sur le comptoir. La technologie change, les habitudes restent.
Je disais donc qu'avec la pratique on finissait par voir comme l'appareil, à ne faire plus qu'un avec lui. En dehors de certaines constantes propres à la photographie en général, chaque appareil a ses particularités et pour en tirer le maximum, il faut être familiarisé avec tous ces petits détails, cela prend un peu de temps. En changeant d'appareil tous les six mois pour le nouveau de la mort qui tue qui vient de sortir, comme certains amateurs aiment le faire, on n'atteint jamais la parfaite communion avec le matériel.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Personnellement, j'ai toujours été contre cette prétendue ascèse
photographique : "pense beaucoup, shoote peu". C'est une école, issue
de l'impossibilité de faire autrement avec des chambres
intransportables etc.
Effectivement, il y a de ça.
Il y a certaines pratiques photographiques qui consomment beaucoup de
pellicules ou de cartes mémoires, les photographes de mode sont souvent
des grands consommateurs d'obturateurs et que dire des photofilmeurs. Le
photofilmeur prend énormément de photos, mais pas dans le but de
choisir, toutes les images devraient être utilisables, le photographe de
mode multiplie les prises à la recherche de la pose, de l'expression qui
fera la différence car, en fin de compte, la majorité des images seront
bonnes, mais certaines auront un petit plus. Jusque-là, je trouve que
c'est une pratique normale de la photographie.
Mais pourquoi déclencher quand on sait pertinemment que la photo sera
mauvaise ? Parce que le photographe ne s'en rend pas compte ? C'est
assez compréhensible pour un débutant, mais après un moment on commence
à voir comme l'appareil, à anticiper le résultat.
Alors, pourquoi déclencher quand on sent que l'image ne sera pas bonne ?
Avant j'appelais cela les gâcheurs de pellicule. Ce n'est pas juste une
vue philosophique, au labo c'est par bidons de 150 litres de nous
évacuons la chimie usagée et cela se rempli très vite, sans parler de
l'époque du tout à l'égout. Pourquoi polluer plus que le nécessaire ? Le
numérique peut être une réponse à ce problème, mais beaucoup de clients
remplissent leur carte mémoire, la donne au labo pour tirage comme il le
faisait avec un film et veulent toujours laisser les photos ratées sur
le comptoir. La technologie change, les habitudes restent.
Je disais donc qu'avec la pratique on finissait par voir comme
l'appareil, à ne faire plus qu'un avec lui. En dehors de certaines
constantes propres à la photographie en général, chaque appareil a ses
particularités et pour en tirer le maximum, il faut être familiarisé
avec tous ces petits détails, cela prend un peu de temps. En changeant
d'appareil tous les six mois pour le nouveau de la mort qui tue qui
vient de sortir, comme certains amateurs aiment le faire, on n'atteint
jamais la parfaite communion avec le matériel.
Personnellement, j'ai toujours été contre cette prétendue ascèse photographique : "pense beaucoup, shoote peu". C'est une école, issue de l'impossibilité de faire autrement avec des chambres intransportables etc.
Effectivement, il y a de ça.
Il y a certaines pratiques photographiques qui consomment beaucoup de pellicules ou de cartes mémoires, les photographes de mode sont souvent des grands consommateurs d'obturateurs et que dire des photofilmeurs. Le photofilmeur prend énormément de photos, mais pas dans le but de choisir, toutes les images devraient être utilisables, le photographe de mode multiplie les prises à la recherche de la pose, de l'expression qui fera la différence car, en fin de compte, la majorité des images seront bonnes, mais certaines auront un petit plus. Jusque-là, je trouve que c'est une pratique normale de la photographie.
Mais pourquoi déclencher quand on sait pertinemment que la photo sera mauvaise ? Parce que le photographe ne s'en rend pas compte ? C'est assez compréhensible pour un débutant, mais après un moment on commence à voir comme l'appareil, à anticiper le résultat.
Alors, pourquoi déclencher quand on sent que l'image ne sera pas bonne ?
Avant j'appelais cela les gâcheurs de pellicule. Ce n'est pas juste une vue philosophique, au labo c'est par bidons de 150 litres de nous évacuons la chimie usagée et cela se rempli très vite, sans parler de l'époque du tout à l'égout. Pourquoi polluer plus que le nécessaire ? Le numérique peut être une réponse à ce problème, mais beaucoup de clients remplissent leur carte mémoire, la donne au labo pour tirage comme il le faisait avec un film et veulent toujours laisser les photos ratées sur le comptoir. La technologie change, les habitudes restent.
Je disais donc qu'avec la pratique on finissait par voir comme l'appareil, à ne faire plus qu'un avec lui. En dehors de certaines constantes propres à la photographie en général, chaque appareil a ses particularités et pour en tirer le maximum, il faut être familiarisé avec tous ces petits détails, cela prend un peu de temps. En changeant d'appareil tous les six mois pour le nouveau de la mort qui tue qui vient de sortir, comme certains amateurs aiment le faire, on n'atteint jamais la parfaite communion avec le matériel.