Le Tue, 24 Jun 2008 01:05:20 +0200, Jil S a écrit :ceic dit, ça ne fait pas de mall de se dérouiller un peu la cervelle,
et reprendre des mécanismes de raisonnements appris dans le supérieur
en cours de droit
Si tu parles de ta propre formation, là ça devient inquiétant. Je ne
sais pas ce qu'on apprend en fac de droit,
où as tu vu celà?
Vu quoi ? J'ai l'impression que tu sautes à la conclusion que je te crois
passé par la fac de droit,
alors que je n'en fais rien ici.
mais à en juger par tes erreurs, ou
on n'enseigne rien, ou tu as tout oublié, ou tu n'es pas passé par une
formation de droit.
tout dépend ce qu'on entend par "formation"
Alors précise, ça évitera de devoir entendre.
Néanmoins, craignant que nous ne dérivision vers des attaques
personnelles ou des discussions sur les attaques personnelles, je
recentre aussitôt : cite-moi un propos de moi où je *conseille* une
stratégie aux éditeurs.
voici:
Cependant, AMA -- et là je rejoins et développe un point d'argumentation
de Jil S -- si tactiquement, dans cette espèce, les éditeurs avaient un
intérêt à laisser tomber, stratégiquement en revanche, ils en avaient à
poursuivre le plus longtemps possible : ils augmentaient leurs chances
d'épuiser l'adversaire, et en multipliant les jugements de fond
(première instance, deuxième instance, re-deuxième instance après
cassation) ils multipliaient leurs chances de voir naître une décision
en leur faveur. Ce ne serait pas la première fois qu'un jugement est
renversé, surtout dans un domaine mouvant comme le "droit d'auteur
numérique".
Et où là-dedans vois un conseil ? Moi, je vois deux exposés de stratégies
potentielles et de leurs intérêts. Pas de "ils devraient", pas de "ils
auraient dû" ;
l'exposé des intérêts propres aux deux options, soulignant
précisément que chaque option (tactique, stratégique) a ses intérêts
propres.
Dargaud peut remettre le couvert en changeant
de forme, en en prenant une plus intelligente, par exemple
Impossible, tu l'as dit toi-même,
ils n'avaient le choix que d'attaquer
Free
et d'options que de poursuivre ou s'arrêter... ou bien est-ce que,
finalement, l'éventail des possibles serait aussi large que j'ai dit
et celui des critères de choix aussi complexe ?
conclusion tout à fait nébuleuse, qui te ressemble fort bien
Conclusion claire, au contraire : ils avaient nombre d'options, bien plus
que la seule alternative binaire et simpliste que tu leur prêtes.
Le Tue, 24 Jun 2008 01:05:20 +0200, Jil S a écrit :
ceic dit, ça ne fait pas de mall de se dérouiller un peu la cervelle,
et reprendre des mécanismes de raisonnements appris dans le supérieur
en cours de droit
Si tu parles de ta propre formation, là ça devient inquiétant. Je ne
sais pas ce qu'on apprend en fac de droit,
où as tu vu celà?
Vu quoi ? J'ai l'impression que tu sautes à la conclusion que je te crois
passé par la fac de droit,
alors que je n'en fais rien ici.
mais à en juger par tes erreurs, ou
on n'enseigne rien, ou tu as tout oublié, ou tu n'es pas passé par une
formation de droit.
tout dépend ce qu'on entend par "formation"
Alors précise, ça évitera de devoir entendre.
Néanmoins, craignant que nous ne dérivision vers des attaques
personnelles ou des discussions sur les attaques personnelles, je
recentre aussitôt : cite-moi un propos de moi où je *conseille* une
stratégie aux éditeurs.
voici:
Cependant, AMA -- et là je rejoins et développe un point d'argumentation
de Jil S -- si tactiquement, dans cette espèce, les éditeurs avaient un
intérêt à laisser tomber, stratégiquement en revanche, ils en avaient à
poursuivre le plus longtemps possible : ils augmentaient leurs chances
d'épuiser l'adversaire, et en multipliant les jugements de fond
(première instance, deuxième instance, re-deuxième instance après
cassation) ils multipliaient leurs chances de voir naître une décision
en leur faveur. Ce ne serait pas la première fois qu'un jugement est
renversé, surtout dans un domaine mouvant comme le "droit d'auteur
numérique".
Et où là-dedans vois un conseil ? Moi, je vois deux exposés de stratégies
potentielles et de leurs intérêts. Pas de "ils devraient", pas de "ils
auraient dû" ;
l'exposé des intérêts propres aux deux options, soulignant
précisément que chaque option (tactique, stratégique) a ses intérêts
propres.
Dargaud peut remettre le couvert en changeant
de forme, en en prenant une plus intelligente, par exemple
Impossible, tu l'as dit toi-même,
ils n'avaient le choix que d'attaquer
Free
et d'options que de poursuivre ou s'arrêter... ou bien est-ce que,
finalement, l'éventail des possibles serait aussi large que j'ai dit
et celui des critères de choix aussi complexe ?
conclusion tout à fait nébuleuse, qui te ressemble fort bien
Conclusion claire, au contraire : ils avaient nombre d'options, bien plus
que la seule alternative binaire et simpliste que tu leur prêtes.
Le Tue, 24 Jun 2008 01:05:20 +0200, Jil S a écrit :ceic dit, ça ne fait pas de mall de se dérouiller un peu la cervelle,
et reprendre des mécanismes de raisonnements appris dans le supérieur
en cours de droit
Si tu parles de ta propre formation, là ça devient inquiétant. Je ne
sais pas ce qu'on apprend en fac de droit,
où as tu vu celà?
Vu quoi ? J'ai l'impression que tu sautes à la conclusion que je te crois
passé par la fac de droit,
alors que je n'en fais rien ici.
mais à en juger par tes erreurs, ou
on n'enseigne rien, ou tu as tout oublié, ou tu n'es pas passé par une
formation de droit.
tout dépend ce qu'on entend par "formation"
Alors précise, ça évitera de devoir entendre.
Néanmoins, craignant que nous ne dérivision vers des attaques
personnelles ou des discussions sur les attaques personnelles, je
recentre aussitôt : cite-moi un propos de moi où je *conseille* une
stratégie aux éditeurs.
voici:
Cependant, AMA -- et là je rejoins et développe un point d'argumentation
de Jil S -- si tactiquement, dans cette espèce, les éditeurs avaient un
intérêt à laisser tomber, stratégiquement en revanche, ils en avaient à
poursuivre le plus longtemps possible : ils augmentaient leurs chances
d'épuiser l'adversaire, et en multipliant les jugements de fond
(première instance, deuxième instance, re-deuxième instance après
cassation) ils multipliaient leurs chances de voir naître une décision
en leur faveur. Ce ne serait pas la première fois qu'un jugement est
renversé, surtout dans un domaine mouvant comme le "droit d'auteur
numérique".
Et où là-dedans vois un conseil ? Moi, je vois deux exposés de stratégies
potentielles et de leurs intérêts. Pas de "ils devraient", pas de "ils
auraient dû" ;
l'exposé des intérêts propres aux deux options, soulignant
précisément que chaque option (tactique, stratégique) a ses intérêts
propres.
Dargaud peut remettre le couvert en changeant
de forme, en en prenant une plus intelligente, par exemple
Impossible, tu l'as dit toi-même,
ils n'avaient le choix que d'attaquer
Free
et d'options que de poursuivre ou s'arrêter... ou bien est-ce que,
finalement, l'éventail des possibles serait aussi large que j'ai dit
et celui des critères de choix aussi complexe ?
conclusion tout à fait nébuleuse, qui te ressemble fort bien
Conclusion claire, au contraire : ils avaient nombre d'options, bien plus
que la seule alternative binaire et simpliste que tu leur prêtes.
C'est le précédent qui fait la jurisprudence, quand il remplit
certaines conditions
Un précédent, en droit français, n'existe pas.
oh?
C'est le précédent qui fait la jurisprudence, quand il remplit
certaines conditions
Un précédent, en droit français, n'existe pas.
oh?
C'est le précédent qui fait la jurisprudence, quand il remplit
certaines conditions
Un précédent, en droit français, n'existe pas.
oh?
Petit Poucet a exprimé avec précision :> Les éditeurs de BD et surtout leurs avocats ont merdés.
Certes. Demander la fermeture du .d (text) était complètement débile,
tout comme le chiffrage de leur préjudice façon madame Soleil. Et free
compte bien récupérer les fruits de cet amateurisme pour d'autres
affaires... Pour le coup, même si c'était un juge de proximité, free y
verrait une jurisprudence indiscutable.
pas certain, car il est posible de réataquer sous d'autres angles, comme
le dit sérieusement Albert, et je l'approuve
mais en tout cas, réouverture ou pas, free ne peut plus être tenu pour
coupable, pas plus que Orange et Neuf pour Aaaarghhh comme je l'ai posté
Petit Poucet a exprimé avec précision :
> Les éditeurs de BD et surtout leurs avocats ont merdés.
Certes. Demander la fermeture du .d (text) était complètement débile,
tout comme le chiffrage de leur préjudice façon madame Soleil. Et free
compte bien récupérer les fruits de cet amateurisme pour d'autres
affaires... Pour le coup, même si c'était un juge de proximité, free y
verrait une jurisprudence indiscutable.
pas certain, car il est posible de réataquer sous d'autres angles, comme
le dit sérieusement Albert, et je l'approuve
mais en tout cas, réouverture ou pas, free ne peut plus être tenu pour
coupable, pas plus que Orange et Neuf pour Aaaarghhh comme je l'ai posté
Petit Poucet a exprimé avec précision :> Les éditeurs de BD et surtout leurs avocats ont merdés.
Certes. Demander la fermeture du .d (text) était complètement débile,
tout comme le chiffrage de leur préjudice façon madame Soleil. Et free
compte bien récupérer les fruits de cet amateurisme pour d'autres
affaires... Pour le coup, même si c'était un juge de proximité, free y
verrait une jurisprudence indiscutable.
pas certain, car il est posible de réataquer sous d'autres angles, comme
le dit sérieusement Albert, et je l'approuve
mais en tout cas, réouverture ou pas, free ne peut plus être tenu pour
coupable, pas plus que Orange et Neuf pour Aaaarghhh comme je l'ai posté
Justement, l'offre de preuve a été écartée d'entrée de jeu, il ne
restait donc que la bonne fois,
la bonne foi de quoi? Tu as bien prononcé les injures commtre free et X
N
Surprenant : les critères pour la bonne foi sont la légitimité du but
justement
et le désistement de Dargaud prouve bien qu'on ne peut poursuivre un
opé à la place d'un éditeur
idem pour Orange et Neuf avec Aaargh
l’absence d’animosité personnelle,
vous blaguez grave làla prudence et la mesure
dans l’expression,
c'est une vanne?
ainsi que la qualité de l’enquête ; aucun ne nécessite de "tester" le
prévenu,
a mon avis le juge aura voulu tester la connaissance du contexte du
défendeur
Pas à ma connaissance, mais de toute façon ce jugement n'a plus
beaucoup d'importance maintenant. En gros c'est 6 pages pour la
défense de free, 10 lignes pour la mienne tout à la fin, et une relaxe
surréaliste au regard de ce qui précède qui tombe comme un cheveu au
milieu de la soupe.
avec un cul énorme
Justement, l'offre de preuve a été écartée d'entrée de jeu, il ne
restait donc que la bonne fois,
la bonne foi de quoi? Tu as bien prononcé les injures commtre free et X
N
Surprenant : les critères pour la bonne foi sont la légitimité du but
justement
et le désistement de Dargaud prouve bien qu'on ne peut poursuivre un
opé à la place d'un éditeur
idem pour Orange et Neuf avec Aaargh
l’absence d’animosité personnelle,
vous blaguez grave là
la prudence et la mesure
dans l’expression,
c'est une vanne?
ainsi que la qualité de l’enquête ; aucun ne nécessite de "tester" le
prévenu,
a mon avis le juge aura voulu tester la connaissance du contexte du
défendeur
Pas à ma connaissance, mais de toute façon ce jugement n'a plus
beaucoup d'importance maintenant. En gros c'est 6 pages pour la
défense de free, 10 lignes pour la mienne tout à la fin, et une relaxe
surréaliste au regard de ce qui précède qui tombe comme un cheveu au
milieu de la soupe.
avec un cul énorme
Justement, l'offre de preuve a été écartée d'entrée de jeu, il ne
restait donc que la bonne fois,
la bonne foi de quoi? Tu as bien prononcé les injures commtre free et X
N
Surprenant : les critères pour la bonne foi sont la légitimité du but
justement
et le désistement de Dargaud prouve bien qu'on ne peut poursuivre un
opé à la place d'un éditeur
idem pour Orange et Neuf avec Aaargh
l’absence d’animosité personnelle,
vous blaguez grave làla prudence et la mesure
dans l’expression,
c'est une vanne?
ainsi que la qualité de l’enquête ; aucun ne nécessite de "tester" le
prévenu,
a mon avis le juge aura voulu tester la connaissance du contexte du
défendeur
Pas à ma connaissance, mais de toute façon ce jugement n'a plus
beaucoup d'importance maintenant. En gros c'est 6 pages pour la
défense de free, 10 lignes pour la mienne tout à la fin, et une relaxe
surréaliste au regard de ce qui précède qui tombe comme un cheveu au
milieu de la soupe.
avec un cul énorme
Si tu parles de ta propre formation, là ça devient inquiétant. Je ne
sais pas ce qu'on apprend en fac de droit,
où as tu vu celà?
Vu quoi ? J'ai l'impression que tu sautes à la conclusion que je te
crois passé par la fac de droit,
en matière de projection tu es champion de trampoline, bref un levier
que tu utilises de façon pseudo innocente pour mieux la contredire
cousu de fil blanc gros une chaine de boulets
Si tu parles de ta propre formation, là ça devient inquiétant. Je ne
sais pas ce qu'on apprend en fac de droit, mais à en juger par tes
erreurs, ou on n'enseigne rien, ou tu as tout oublié, ou tu n'es
pas passé par une formation de droit.
Néanmoins, craignant que nous ne dérivision vers des attaques
personnelles ou des discussions sur les attaques personnelles, je
recentre aussitôt : cite-moi un propos de moi où je *conseille* une
stratégie aux éditeurs.
voici:
Cependant, AMA -- et là je rejoins et développe un point
d'argumentation de Jil S -- si tactiquement, dans cette espèce, les
éditeurs avaient un intérêt à laisser tomber, stratégiquement en
revanche, ils en avaient à poursuivre le plus longtemps possible :
ils augmentaient leurs chances d'épuiser l'adversaire, et en
multipliant les jugements de fond (première instance, deuxième
instance, re-deuxième instance après cassation) ils multipliaient
leurs chances de voir naître une décision en leur faveur. Ce ne serait
pas la première fois qu'un jugement est renversé, surtout dans un
domaine mouvant comme le "droit d'auteur numérique".
Et où là-dedans vois un conseil ? Moi, je vois deux exposés de
stratégies potentielles et de leurs intérêts. Pas de "ils devraient",
pas de "ils auraient dû" ;
je parle de "combien mieux"
l'exposé des intérêts propres aux deux options, soulignant
précisément que chaque option (tactique, stratégique) a ses intérêts
propres.
combien?
Dargaud peut remettre le couvert en changeant
de forme, en en prenant une plus intelligente, par exemple
Impossible, tu l'as dit toi-même,
tu m'as mal compris, ILS AURAIENT DU 1000 FOIS S Y PRENDRE DIF2REMMENT,
c'es clair
et d'options que de poursuivre ou s'arrêter... ou bien est-ce que,
finalement, l'éventail des possibles serait aussi large que j'ai dit
donc tu reconnais que cette méthode était nulle et non avenuie et perdue
d'avance depusi le début ! :-)))))
Si tu parles de ta propre formation, là ça devient inquiétant. Je ne
sais pas ce qu'on apprend en fac de droit,
où as tu vu celà?
Vu quoi ? J'ai l'impression que tu sautes à la conclusion que je te
crois passé par la fac de droit,
en matière de projection tu es champion de trampoline, bref un levier
que tu utilises de façon pseudo innocente pour mieux la contredire
cousu de fil blanc gros une chaine de boulets
Si tu parles de ta propre formation, là ça devient inquiétant. Je ne
sais pas ce qu'on apprend en fac de droit, mais à en juger par tes
erreurs, ou on n'enseigne rien, ou tu as tout oublié, ou tu n'es
pas passé par une formation de droit.
Néanmoins, craignant que nous ne dérivision vers des attaques
personnelles ou des discussions sur les attaques personnelles, je
recentre aussitôt : cite-moi un propos de moi où je *conseille* une
stratégie aux éditeurs.
voici:
Cependant, AMA -- et là je rejoins et développe un point
d'argumentation de Jil S -- si tactiquement, dans cette espèce, les
éditeurs avaient un intérêt à laisser tomber, stratégiquement en
revanche, ils en avaient à poursuivre le plus longtemps possible :
ils augmentaient leurs chances d'épuiser l'adversaire, et en
multipliant les jugements de fond (première instance, deuxième
instance, re-deuxième instance après cassation) ils multipliaient
leurs chances de voir naître une décision en leur faveur. Ce ne serait
pas la première fois qu'un jugement est renversé, surtout dans un
domaine mouvant comme le "droit d'auteur numérique".
Et où là-dedans vois un conseil ? Moi, je vois deux exposés de
stratégies potentielles et de leurs intérêts. Pas de "ils devraient",
pas de "ils auraient dû" ;
je parle de "combien mieux"
l'exposé des intérêts propres aux deux options, soulignant
précisément que chaque option (tactique, stratégique) a ses intérêts
propres.
combien?
Dargaud peut remettre le couvert en changeant
de forme, en en prenant une plus intelligente, par exemple
Impossible, tu l'as dit toi-même,
tu m'as mal compris, ILS AURAIENT DU 1000 FOIS S Y PRENDRE DIF2REMMENT,
c'es clair
et d'options que de poursuivre ou s'arrêter... ou bien est-ce que,
finalement, l'éventail des possibles serait aussi large que j'ai dit
donc tu reconnais que cette méthode était nulle et non avenuie et perdue
d'avance depusi le début ! :-)))))
Si tu parles de ta propre formation, là ça devient inquiétant. Je ne
sais pas ce qu'on apprend en fac de droit,
où as tu vu celà?
Vu quoi ? J'ai l'impression que tu sautes à la conclusion que je te
crois passé par la fac de droit,
en matière de projection tu es champion de trampoline, bref un levier
que tu utilises de façon pseudo innocente pour mieux la contredire
cousu de fil blanc gros une chaine de boulets
Si tu parles de ta propre formation, là ça devient inquiétant. Je ne
sais pas ce qu'on apprend en fac de droit, mais à en juger par tes
erreurs, ou on n'enseigne rien, ou tu as tout oublié, ou tu n'es
pas passé par une formation de droit.
Néanmoins, craignant que nous ne dérivision vers des attaques
personnelles ou des discussions sur les attaques personnelles, je
recentre aussitôt : cite-moi un propos de moi où je *conseille* une
stratégie aux éditeurs.
voici:
Cependant, AMA -- et là je rejoins et développe un point
d'argumentation de Jil S -- si tactiquement, dans cette espèce, les
éditeurs avaient un intérêt à laisser tomber, stratégiquement en
revanche, ils en avaient à poursuivre le plus longtemps possible :
ils augmentaient leurs chances d'épuiser l'adversaire, et en
multipliant les jugements de fond (première instance, deuxième
instance, re-deuxième instance après cassation) ils multipliaient
leurs chances de voir naître une décision en leur faveur. Ce ne serait
pas la première fois qu'un jugement est renversé, surtout dans un
domaine mouvant comme le "droit d'auteur numérique".
Et où là-dedans vois un conseil ? Moi, je vois deux exposés de
stratégies potentielles et de leurs intérêts. Pas de "ils devraient",
pas de "ils auraient dû" ;
je parle de "combien mieux"
l'exposé des intérêts propres aux deux options, soulignant
précisément que chaque option (tactique, stratégique) a ses intérêts
propres.
combien?
Dargaud peut remettre le couvert en changeant
de forme, en en prenant une plus intelligente, par exemple
Impossible, tu l'as dit toi-même,
tu m'as mal compris, ILS AURAIENT DU 1000 FOIS S Y PRENDRE DIF2REMMENT,
c'es clair
et d'options que de poursuivre ou s'arrêter... ou bien est-ce que,
finalement, l'éventail des possibles serait aussi large que j'ai dit
donc tu reconnais que cette méthode était nulle et non avenuie et perdue
d'avance depusi le début ! :-)))))
> pour ce que ça vaut, je dirais qu e tu as bénéficié d'une bienveillance
exceptionnelle de ce juge appparement ensomméillé
> pour ce que ça vaut, je dirais qu e tu as bénéficié d'une bienveillance
exceptionnelle de ce juge appparement ensomméillé
> pour ce que ça vaut, je dirais qu e tu as bénéficié d'une bienveillance
exceptionnelle de ce juge appparement ensomméillé
Une énorme horreur, en écrivant "Petit Volcan" au lieu de Petit Poucet.
Une énorme horreur, en écrivant "Petit Volcan" au lieu de Petit Poucet.
Une énorme horreur, en écrivant "Petit Volcan" au lieu de Petit Poucet.
Et puis je maintiens que demander des D&I quand on a rien fait pour
faire retirer le message litigieux est non seulement incohérent mais
abusif, point également absent du 1er jugement.
Et puis je maintiens que demander des D&I quand on a rien fait pour
faire retirer le message litigieux est non seulement incohérent mais
abusif, point également absent du 1er jugement.
Et puis je maintiens que demander des D&I quand on a rien fait pour
faire retirer le message litigieux est non seulement incohérent mais
abusif, point également absent du 1er jugement.
Et puis je maintiens que demander des D&I quand on a rien fait pour
faire retirer le message litigieux est non seulement incohérent mais
abusif, point également absent du 1er jugement.
Et puis je maintiens que demander des D&I quand on a rien fait pour
faire retirer le message litigieux est non seulement incohérent mais
abusif, point également absent du 1er jugement.
Et puis je maintiens que demander des D&I quand on a rien fait pour
faire retirer le message litigieux est non seulement incohérent mais
abusif, point également absent du 1er jugement.