un quidam distribue depuis l'an 2000 un logiciel open-source sous licence
GPL et gratuite. Ce logiciel est pas mal, mais souffre de quelques bugs,
d'un certain manque de fonctionnalités et surtout d'un sérieux manque de
stabilité. Puis le quidam décide, un jour, de fonder une société et de
développer la suite de ce logiciel sous la forme d'une version "pro";
celle-ci , beaucoup plus aboutie et beaucoup plus stable que la précédente,
n'est plus distribuée sous licence GPL (seuls les binaires sont distribués
pour différentes plateformes, dont linux) et devient payante. Est-ce une
violation de la licence GPL?
Corollaire à ma question: est-ce que le quidam (ou la société) peut diffuser
les codes source du logiciel à titre gratuit et sous licence GPL, alors
qu'il distribue les binaires à titre payant (et donc pas GPL)?
Merci d'avance de vos réponses et bonne soirée,
PC
--
"Avec internet, on peut faire n'importe quoi. On peut empêcher ces sites
d'être utilisables en France. Ils le font bien en Chine". (Benoît, Kyo)
Et à ce propos, je trouve que le nom de la FSF est bien choisi: Free software, ça signifie logiciel libre. Pas auteur libre.
Tu as raison, sauf que parler de la liberté du logiciel en lui même est au mieux allusif et au pire n'a pas de sens. D'ailleurs si tu lis la prose de Stallman, tu verras qu'il ne met jamais en avant ce point de vue, et qu'il parle uniquement des libertés de l'utilisateur du logiciel. Franchement je ne vois pas pourquoi l'utilisateur qui se voit offrir gracieusement un logiciel aurait quelque liberté supplémentaire que ce soit, tandis que je vois très bien pourquoi l'auteur, qui s'est donné tout le mal, devrait avoir toute liberté, et en particulier celle d'être en mesure à la fois de donner ce qu'il veut et de ne pas donner ce qu'il n'a pas envie de donner, autrement dit de se réserver quelques "fromages" lui permettant de vivre. En pratique la GPL permet à un écosystème de parasites (distributeurs, etc.) de profiter aux dépends des auteurs qui sont dépouillés. Le plus fort étant de persuader ces derniers que c'est dans leur intérêt.
--
Michel TALON
Kevin Denis <kevin@nowhere.invalid> wrote:
Et à ce propos, je trouve que le nom de la FSF est bien choisi:
Free software, ça signifie logiciel libre. Pas auteur libre.
Tu as raison, sauf que parler de la liberté du logiciel en lui même est
au mieux allusif et au pire n'a pas de sens. D'ailleurs si tu lis la
prose de Stallman, tu verras qu'il ne met jamais en avant ce point de
vue, et qu'il parle uniquement des libertés de l'utilisateur du
logiciel. Franchement je ne vois pas pourquoi l'utilisateur qui se voit
offrir gracieusement un logiciel aurait quelque liberté supplémentaire
que ce soit, tandis que je vois très bien pourquoi l'auteur, qui s'est
donné tout le mal, devrait avoir toute liberté, et en particulier celle
d'être en mesure à la fois de donner ce qu'il veut et de ne pas donner
ce qu'il n'a pas envie de donner, autrement dit de se réserver quelques
"fromages" lui permettant de vivre. En pratique la GPL permet à un
écosystème de parasites (distributeurs, etc.) de profiter aux dépends
des auteurs qui sont dépouillés. Le plus fort étant de persuader ces
derniers que c'est dans leur intérêt.
Et à ce propos, je trouve que le nom de la FSF est bien choisi: Free software, ça signifie logiciel libre. Pas auteur libre.
Tu as raison, sauf que parler de la liberté du logiciel en lui même est au mieux allusif et au pire n'a pas de sens. D'ailleurs si tu lis la prose de Stallman, tu verras qu'il ne met jamais en avant ce point de vue, et qu'il parle uniquement des libertés de l'utilisateur du logiciel. Franchement je ne vois pas pourquoi l'utilisateur qui se voit offrir gracieusement un logiciel aurait quelque liberté supplémentaire que ce soit, tandis que je vois très bien pourquoi l'auteur, qui s'est donné tout le mal, devrait avoir toute liberté, et en particulier celle d'être en mesure à la fois de donner ce qu'il veut et de ne pas donner ce qu'il n'a pas envie de donner, autrement dit de se réserver quelques "fromages" lui permettant de vivre. En pratique la GPL permet à un écosystème de parasites (distributeurs, etc.) de profiter aux dépends des auteurs qui sont dépouillés. Le plus fort étant de persuader ces derniers que c'est dans leur intérêt.
--
Michel TALON
remy
Kevin Denis wrote:
Et à ce propos, je trouve que le nom de la FSF est bien choisi: Free software, ça signifie logiciel libre. Pas auteur libre.
Tu as raison, sauf que parler de la liberté du logiciel en lui même est au mieux allusif et au pire n'a pas de sens. D'ailleurs si tu lis la prose de Stallman, tu verras qu'il ne met jamais en avant ce point de vue, et qu'il parle uniquement des libertés de l'utilisateur du logiciel. Franchement je ne vois pas pourquoi l'utilisateur qui se voit offrir gracieusement un logiciel aurait quelque liberté supplémentaire que ce soit, tandis que je vois très bien pourquoi l'auteur, qui s'est donné tout le mal, devrait avoir toute liberté, et en particulier celle d'être en mesure à la fois de donner ce qu'il veut et de ne pas donner ce qu'il n'a pas envie de donner, autrement dit de se réserver quelques "fromages" lui permettant de vivre. En pratique la GPL permet à un écosystème de parasites (distributeurs, etc.) de profiter aux dépends des auteurs qui sont dépouillés. Le plus fort étant de persuader ces derniers que c'est dans leur intérêt.
ne le répètes pas mais c'est ce qui se passe actuellement
il n'y a pas un seul progiciel exploitable sous linux
aïe pas la tête
que cela soit de la comptabilité de la gestion de stock de la CAO DAO blabla_AO je sais la mode est passée contrôle d'automates
etc...
il existe bien quelques solutions mais pour que cela soit exploitable il faut l'adapter au besoin je pense à la gestion par exemple
par contre pour tout ce qui est environnement de développement base de données compilateur langage administration tu as tout ce qu'il te faut
et pour ce qui concerne le marché des suites bureautiques ou autres logiciels grand public celui-ci est inaccessible même IBM c'est mis à open office avec symphonie
remy
Kevin Denis <kevin@nowhere.invalid> wrote:
Et à ce propos, je trouve que le nom de la FSF est bien choisi:
Free software, ça signifie logiciel libre. Pas auteur libre.
Tu as raison, sauf que parler de la liberté du logiciel en lui même est
au mieux allusif et au pire n'a pas de sens. D'ailleurs si tu lis la
prose de Stallman, tu verras qu'il ne met jamais en avant ce point de
vue, et qu'il parle uniquement des libertés de l'utilisateur du
logiciel. Franchement je ne vois pas pourquoi l'utilisateur qui se voit
offrir gracieusement un logiciel aurait quelque liberté supplémentaire
que ce soit, tandis que je vois très bien pourquoi l'auteur, qui s'est
donné tout le mal, devrait avoir toute liberté, et en particulier celle
d'être en mesure à la fois de donner ce qu'il veut et de ne pas donner
ce qu'il n'a pas envie de donner, autrement dit de se réserver quelques
"fromages" lui permettant de vivre. En pratique la GPL permet à un
écosystème de parasites (distributeurs, etc.) de profiter aux dépends
des auteurs qui sont dépouillés. Le plus fort étant de persuader ces
derniers que c'est dans leur intérêt.
ne le répètes pas mais c'est ce qui se passe actuellement
il n'y a pas un seul progiciel exploitable sous linux
aïe pas la tête
que cela soit de la comptabilité
de la gestion de stock
de la CAO DAO blabla_AO je sais la mode est passée
contrôle d'automates
etc...
il existe bien quelques solutions mais pour que cela soit exploitable il
faut l'adapter au besoin je pense à la gestion par exemple
par contre pour tout ce qui est environnement de développement base de
données compilateur langage administration tu as tout ce qu'il te faut
et pour ce qui concerne le marché des suites bureautiques ou autres
logiciels grand public celui-ci est inaccessible même IBM c'est mis à
open office avec symphonie
Et à ce propos, je trouve que le nom de la FSF est bien choisi: Free software, ça signifie logiciel libre. Pas auteur libre.
Tu as raison, sauf que parler de la liberté du logiciel en lui même est au mieux allusif et au pire n'a pas de sens. D'ailleurs si tu lis la prose de Stallman, tu verras qu'il ne met jamais en avant ce point de vue, et qu'il parle uniquement des libertés de l'utilisateur du logiciel. Franchement je ne vois pas pourquoi l'utilisateur qui se voit offrir gracieusement un logiciel aurait quelque liberté supplémentaire que ce soit, tandis que je vois très bien pourquoi l'auteur, qui s'est donné tout le mal, devrait avoir toute liberté, et en particulier celle d'être en mesure à la fois de donner ce qu'il veut et de ne pas donner ce qu'il n'a pas envie de donner, autrement dit de se réserver quelques "fromages" lui permettant de vivre. En pratique la GPL permet à un écosystème de parasites (distributeurs, etc.) de profiter aux dépends des auteurs qui sont dépouillés. Le plus fort étant de persuader ces derniers que c'est dans leur intérêt.
ne le répètes pas mais c'est ce qui se passe actuellement
il n'y a pas un seul progiciel exploitable sous linux
aïe pas la tête
que cela soit de la comptabilité de la gestion de stock de la CAO DAO blabla_AO je sais la mode est passée contrôle d'automates
etc...
il existe bien quelques solutions mais pour que cela soit exploitable il faut l'adapter au besoin je pense à la gestion par exemple
par contre pour tout ce qui est environnement de développement base de données compilateur langage administration tu as tout ce qu'il te faut
et pour ce qui concerne le marché des suites bureautiques ou autres logiciels grand public celui-ci est inaccessible même IBM c'est mis à open office avec symphonie
remy
Kevin Denis
Le 06-06-2008, Michel Talon a écrit :
Et à ce propos, je trouve que le nom de la FSF est bien choisi: Free software, ça signifie logiciel libre. Pas auteur libre.
Tu as raison, sauf que parler de la liberté du logiciel en lui même est au mieux allusif et au pire n'a pas de sens.
Oui un logiciel n'est pas une personne.
D'ailleurs si tu lis la prose de Stallman, tu verras qu'il ne met jamais en avant ce point de vue, et qu'il parle uniquement des libertés de l'utilisateur du logiciel.
Oui, un logiciel est appelé à être utilisé. Je ne crois pas qu'il y ait des oeuvres d'art de programmation destinées à être placées sous verre.
Franchement je ne vois pas pourquoi l'utilisateur qui se voit offrir gracieusement un logiciel aurait quelque liberté supplémentaire que ce soit,
Non. L'utilisateur utilise ce qu'on lui donne. On ne parle pas de la liberté d'utilisateur final, là.
tandis que je vois très bien pourquoi l'auteur, qui s'est donné tout le mal, devrait avoir toute liberté, et en particulier celle d'être en mesure à la fois de donner ce qu'il veut et de ne pas donner ce qu'il n'a pas envie de donner, autrement dit de se réserver quelques "fromages" lui permettant de vivre.
Un auteur peut faire autre chose qu'être auteur. A tout hasard, expert. Ou support, ou n'importe quelle autre solution. Je ne diminue pas le travail formidable que font les auteurs de code, je dis juste que ça ne rentre pas dans la balance.
En pratique la GPL permet à un écosystème de parasites (distributeurs, etc.) de profiter aux dépends des auteurs qui sont dépouillés.
C'est la théorie du passager clandestin. A partir de combien de profiteurs un système reste t'il viable? Dans le cas du LL ou le but n'est pas de faire de l'argent mais d'ouvrir l'information, cela ne pose justement aucun problème.
Le plus fort étant de persuader ces derniers que c'est dans leur intérêt.
Oui, car un auteur est _aussi_ un utilisateur.
-- Kevin
Le 06-06-2008, Michel Talon <talon@lpthe.jussieu.fr> a écrit :
Et à ce propos, je trouve que le nom de la FSF est bien choisi:
Free software, ça signifie logiciel libre. Pas auteur libre.
Tu as raison, sauf que parler de la liberté du logiciel en lui même est
au mieux allusif et au pire n'a pas de sens.
Oui un logiciel n'est pas une personne.
D'ailleurs si tu lis la
prose de Stallman, tu verras qu'il ne met jamais en avant ce point de
vue, et qu'il parle uniquement des libertés de l'utilisateur du
logiciel.
Oui, un logiciel est appelé à être utilisé. Je ne crois pas qu'il y
ait des oeuvres d'art de programmation destinées à être placées
sous verre.
Franchement je ne vois pas pourquoi l'utilisateur qui se voit
offrir gracieusement un logiciel aurait quelque liberté supplémentaire
que ce soit,
Non. L'utilisateur utilise ce qu'on lui donne. On ne parle pas de la
liberté d'utilisateur final, là.
tandis que je vois très bien pourquoi l'auteur, qui s'est
donné tout le mal, devrait avoir toute liberté, et en particulier celle
d'être en mesure à la fois de donner ce qu'il veut et de ne pas donner
ce qu'il n'a pas envie de donner, autrement dit de se réserver quelques
"fromages" lui permettant de vivre.
Un auteur peut faire autre chose qu'être auteur. A tout hasard, expert.
Ou support, ou n'importe quelle autre solution. Je ne diminue pas le
travail formidable que font les auteurs de code, je dis juste que
ça ne rentre pas dans la balance.
En pratique la GPL permet à un
écosystème de parasites (distributeurs, etc.) de profiter aux dépends
des auteurs qui sont dépouillés.
C'est la théorie du passager clandestin. A partir de combien de profiteurs
un système reste t'il viable? Dans le cas du LL ou le but n'est pas de
faire de l'argent mais d'ouvrir l'information, cela ne pose justement
aucun problème.
Le plus fort étant de persuader ces
derniers que c'est dans leur intérêt.
Et à ce propos, je trouve que le nom de la FSF est bien choisi: Free software, ça signifie logiciel libre. Pas auteur libre.
Tu as raison, sauf que parler de la liberté du logiciel en lui même est au mieux allusif et au pire n'a pas de sens.
Oui un logiciel n'est pas une personne.
D'ailleurs si tu lis la prose de Stallman, tu verras qu'il ne met jamais en avant ce point de vue, et qu'il parle uniquement des libertés de l'utilisateur du logiciel.
Oui, un logiciel est appelé à être utilisé. Je ne crois pas qu'il y ait des oeuvres d'art de programmation destinées à être placées sous verre.
Franchement je ne vois pas pourquoi l'utilisateur qui se voit offrir gracieusement un logiciel aurait quelque liberté supplémentaire que ce soit,
Non. L'utilisateur utilise ce qu'on lui donne. On ne parle pas de la liberté d'utilisateur final, là.
tandis que je vois très bien pourquoi l'auteur, qui s'est donné tout le mal, devrait avoir toute liberté, et en particulier celle d'être en mesure à la fois de donner ce qu'il veut et de ne pas donner ce qu'il n'a pas envie de donner, autrement dit de se réserver quelques "fromages" lui permettant de vivre.
Un auteur peut faire autre chose qu'être auteur. A tout hasard, expert. Ou support, ou n'importe quelle autre solution. Je ne diminue pas le travail formidable que font les auteurs de code, je dis juste que ça ne rentre pas dans la balance.
En pratique la GPL permet à un écosystème de parasites (distributeurs, etc.) de profiter aux dépends des auteurs qui sont dépouillés.
C'est la théorie du passager clandestin. A partir de combien de profiteurs un système reste t'il viable? Dans le cas du LL ou le but n'est pas de faire de l'argent mais d'ouvrir l'information, cela ne pose justement aucun problème.
Le plus fort étant de persuader ces derniers que c'est dans leur intérêt.
Oui, car un auteur est _aussi_ un utilisateur.
-- Kevin
Nicolas George
Michel Talon, dans le message <g2bddn$elh$, a écrit :
tandis que je vois très bien pourquoi l'auteur, qui s'est donné tout le mal, devrait avoir toute liberté, et en particulier celle d'être en mesure à la fois de donner ce qu'il veut et de ne pas donner ce qu'il n'a pas envie de donner, autrement dit de se réserver quelques "fromages" lui permettant de vivre.
Euh, allô ? Si ton auteur est seul auteur, qu'il met son logiciel sous GPL, et qu'il se plaint ensuite de ne pas pouvoir le distribuer sans les sources, il est juste con.
Si ton auteur a utilisé une contribution tierce, il est normal qu'il respecte les contraintes exigées par les contributions tierces, et l'exigence que le travail commun ne soit pas distribué de manière plus restrictive que l'original ne me semble absolument pas choquante.
Michel Talon, dans le message <g2bddn$elh$1@asmodee.lpthe.jussieu.fr>, a
écrit :
tandis que je vois très bien pourquoi l'auteur, qui s'est
donné tout le mal, devrait avoir toute liberté, et en particulier celle
d'être en mesure à la fois de donner ce qu'il veut et de ne pas donner
ce qu'il n'a pas envie de donner, autrement dit de se réserver quelques
"fromages" lui permettant de vivre.
Euh, allô ? Si ton auteur est seul auteur, qu'il met son logiciel sous GPL,
et qu'il se plaint ensuite de ne pas pouvoir le distribuer sans les sources,
il est juste con.
Si ton auteur a utilisé une contribution tierce, il est normal qu'il
respecte les contraintes exigées par les contributions tierces, et
l'exigence que le travail commun ne soit pas distribué de manière plus
restrictive que l'original ne me semble absolument pas choquante.
Michel Talon, dans le message <g2bddn$elh$, a écrit :
tandis que je vois très bien pourquoi l'auteur, qui s'est donné tout le mal, devrait avoir toute liberté, et en particulier celle d'être en mesure à la fois de donner ce qu'il veut et de ne pas donner ce qu'il n'a pas envie de donner, autrement dit de se réserver quelques "fromages" lui permettant de vivre.
Euh, allô ? Si ton auteur est seul auteur, qu'il met son logiciel sous GPL, et qu'il se plaint ensuite de ne pas pouvoir le distribuer sans les sources, il est juste con.
Si ton auteur a utilisé une contribution tierce, il est normal qu'il respecte les contraintes exigées par les contributions tierces, et l'exigence que le travail commun ne soit pas distribué de manière plus restrictive que l'original ne me semble absolument pas choquante.
Nicolas George
remy , dans le message <g2b9hv$dsb$, a écrit :
oui mais non
Oui mais oui. Relis mon message.
remy , dans le message <g2b9hv$dsb$1@s1.news.oleane.net>, a écrit :
Mmmmm, je ne sais pas. Je n'ai pas mes archives historiques sous la main (A quarter century of Unix, par exemple); mais ce qui sortait de Berkeley, à une époque, etait assez proche du logiciel libéré, non ?
Le mot était-il employé ?
"Thierry B." , dans le message <f9nnh5-am8.ln1@prout.stex>, a écrit :
Mmmmm, je ne sais pas. Je n'ai pas mes archives historiques
sous la main (A quarter century of Unix, par exemple); mais
ce qui sortait de Berkeley, à une époque, etait assez proche
du logiciel libéré, non ?
Mmmmm, je ne sais pas. Je n'ai pas mes archives historiques sous la main (A quarter century of Unix, par exemple); mais ce qui sortait de Berkeley, à une époque, etait assez proche du logiciel libéré, non ?
Le mot était-il employé ?
talon
Nicolas George <nicolas$ wrote:
Si ton auteur a utilisé une contribution tierce, il est normal qu'il respecte les contraintes exigées par les contributions tierces, et l'exigence que le travail commun ne soit pas distribué de manière plus restrictive que l'original ne me semble absolument pas choquante.
Totalement d'accord avec toi, mais heureusement que se développe un corps suffisant de logiciels vraiment libres qui permettent de contribuer sans se trouver tenu par des restrictions à la con.
--
Michel TALON
Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> wrote:
Si ton auteur a utilisé une contribution tierce, il est normal qu'il
respecte les contraintes exigées par les contributions tierces, et
l'exigence que le travail commun ne soit pas distribué de manière plus
restrictive que l'original ne me semble absolument pas choquante.
Totalement d'accord avec toi, mais heureusement que se développe un
corps suffisant de logiciels vraiment libres qui permettent de
contribuer sans se trouver tenu par des restrictions à la con.
Si ton auteur a utilisé une contribution tierce, il est normal qu'il respecte les contraintes exigées par les contributions tierces, et l'exigence que le travail commun ne soit pas distribué de manière plus restrictive que l'original ne me semble absolument pas choquante.
Totalement d'accord avec toi, mais heureusement que se développe un corps suffisant de logiciels vraiment libres qui permettent de contribuer sans se trouver tenu par des restrictions à la con.
--
Michel TALON
Nicolas George
Michel Talon, dans le message <g2c0a6$kbs$, a écrit :
Totalement d'accord avec toi, mais heureusement que se développe un corps suffisant de logiciels vraiment libres qui permettent de contribuer sans se trouver tenu par des restrictions à la con.
Bon, donc si tu n'as rien de sérieux contre la GPL, tu pourrais t'abstenir de déblatérer contre à tout bout de champ, peut-être ?
Michel Talon, dans le message <g2c0a6$kbs$1@asmodee.lpthe.jussieu.fr>, a
écrit :
Totalement d'accord avec toi, mais heureusement que se développe un
corps suffisant de logiciels vraiment libres qui permettent de
contribuer sans se trouver tenu par des restrictions à la con.
Bon, donc si tu n'as rien de sérieux contre la GPL, tu pourrais t'abstenir
de déblatérer contre à tout bout de champ, peut-être ?
Michel Talon, dans le message <g2c0a6$kbs$, a écrit :
Totalement d'accord avec toi, mais heureusement que se développe un corps suffisant de logiciels vraiment libres qui permettent de contribuer sans se trouver tenu par des restrictions à la con.
Bon, donc si tu n'as rien de sérieux contre la GPL, tu pourrais t'abstenir de déblatérer contre à tout bout de champ, peut-être ?
Thierry B.
--{ Nicolas George a plopé ceci: }--
Mmmmm, je ne sais pas. Je n'ai pas mes archives historiques sous la main (A quarter century of Unix, par exemple); mais ce qui sortait de Berkeley, à une époque, etait assez proche du logiciel libéré, non ?
Le mot était-il employé ?
L'esprit y était, en tout cas.
-- Par contre ça change la sémantique du blanc qui a maintenant l'effetr de favoriser le passage de la proposition. Ce qui va à l'encontre des habitudes des votants. --{ ED, in fufe révoluzionne }--
--{ Nicolas George a plopé ceci: }--
Mmmmm, je ne sais pas. Je n'ai pas mes archives historiques
sous la main (A quarter century of Unix, par exemple); mais
ce qui sortait de Berkeley, à une époque, etait assez proche
du logiciel libéré, non ?
Le mot était-il employé ?
L'esprit y était, en tout cas.
--
Par contre ça change la sémantique du blanc qui a maintenant l'effetr
de favoriser le passage de la proposition. Ce qui va à l'encontre des
habitudes des votants.
--{ ED, in fufe révoluzionne }--
Mmmmm, je ne sais pas. Je n'ai pas mes archives historiques sous la main (A quarter century of Unix, par exemple); mais ce qui sortait de Berkeley, à une époque, etait assez proche du logiciel libéré, non ?
Le mot était-il employé ?
L'esprit y était, en tout cas.
-- Par contre ça change la sémantique du blanc qui a maintenant l'effetr de favoriser le passage de la proposition. Ce qui va à l'encontre des habitudes des votants. --{ ED, in fufe révoluzionne }--
Thierry B.
--{ Michel Talon a plopé ceci: }--
Non, ce n'est pas du totalitarisme, parce que rien ne l'oblige à se baser sur du code GPL en premier lieu.
Si, le but de la GPL c'est bien de crééer une base tellement vaste de logiciel "libre" qu'elle *oblige* les contributeurs éventuels à s'en servir et donc se faire contaminer. Heureusement que ce projet de contamination universelle est contrecarré par l'existence d'une base suffisante de logiciels rééllement libres.
Et ça semble assez clair quand on lit ça: http://www.gnu.org/licenses/why-not-lgpl.html
-- La convivialisme se traite par la racine. --{ BP, in fufe }--
--{ Michel Talon a plopé ceci: }--
Non, ce n'est pas du totalitarisme, parce que rien ne l'oblige à se baser
sur du code GPL en premier lieu.
Si, le but de la GPL c'est bien de crééer une base tellement vaste de
logiciel "libre" qu'elle *oblige* les contributeurs éventuels à s'en
servir et donc se faire contaminer. Heureusement que ce projet de
contamination universelle est contrecarré par l'existence d'une base
suffisante de logiciels rééllement libres.
Et ça semble assez clair quand on lit ça:
http://www.gnu.org/licenses/why-not-lgpl.html
--
La convivialisme se traite par la racine.
--{ BP, in fufe }--
Non, ce n'est pas du totalitarisme, parce que rien ne l'oblige à se baser sur du code GPL en premier lieu.
Si, le but de la GPL c'est bien de crééer une base tellement vaste de logiciel "libre" qu'elle *oblige* les contributeurs éventuels à s'en servir et donc se faire contaminer. Heureusement que ce projet de contamination universelle est contrecarré par l'existence d'une base suffisante de logiciels rééllement libres.
Et ça semble assez clair quand on lit ça: http://www.gnu.org/licenses/why-not-lgpl.html
-- La convivialisme se traite par la racine. --{ BP, in fufe }--