[ce n'est pas un troll !] - Lenteur de Word c'est vrai ça ?
87 réponses
Aegidius
Mon gendre fort sympathique au demeurant Administrateur Réseau quant
même, un peu (voir beaucoup) allergique au Mac se plaint constamment des
lenteurs de ce dernier...
Même avec les derniers MacBookPro (Processeur Intel Core i7) RAM 4Go ...
Bien qu'il y ait une part de taquinerie entre nous, je lui dis donnes
moi un exemple de programme qui rame il me site Word bien sur il y a
mieux...
d'abord est-ce vrai ?
Et ensuite a-t-on une possibilité de booster la chose ?
Ben oui c'est ce que je dis, et ça n'a rien à voir avec le fait dégrader volontairement les performances.
C'est assez logique qu'un éditeur ne consacre pas les mêmes efforts à l'optimisation d'un version qui ne représentait peut-être à l'époque que 1% de ses ventes.
Assez logique, mouais... Enfin quoi qu'il en soit, la vérité se trouve certainement quelque part entre la théorie du complot et l'angélisme béat...
Ce n'est pas une question d'angélisme. Si je suis éditeur d'un logiciel qui tourne initialement sur une plateforme ultra-majoritaire (99% à l'époque sans doute...), je ne vais pas être très motivé à consacrer des ressources importante pour le porter sur une plateforme minoritaire.
Le 04/03/13 22:10, Chris972 a écrit :
pehache <pehache.7@gmail.com> wrote:
Ben oui c'est ce que je dis, et ça n'a rien à voir avec le fait dégrader
volontairement les performances.
C'est assez logique qu'un éditeur ne consacre pas les mêmes efforts à
l'optimisation d'un version qui ne représentait peut-être à l'époque que
1% de ses ventes.
Assez logique, mouais... Enfin quoi qu'il en soit, la vérité se trouve
certainement quelque part entre la théorie du complot et l'angélisme
béat...
Ce n'est pas une question d'angélisme. Si je suis éditeur d'un logiciel
qui tourne initialement sur une plateforme ultra-majoritaire (99% à
l'époque sans doute...), je ne vais pas être très motivé à consacrer des
ressources importante pour le porter sur une plateforme minoritaire.
Ben oui c'est ce que je dis, et ça n'a rien à voir avec le fait dégrader volontairement les performances.
C'est assez logique qu'un éditeur ne consacre pas les mêmes efforts à l'optimisation d'un version qui ne représentait peut-être à l'époque que 1% de ses ventes.
Assez logique, mouais... Enfin quoi qu'il en soit, la vérité se trouve certainement quelque part entre la théorie du complot et l'angélisme béat...
Ce n'est pas une question d'angélisme. Si je suis éditeur d'un logiciel qui tourne initialement sur une plateforme ultra-majoritaire (99% à l'époque sans doute...), je ne vais pas être très motivé à consacrer des ressources importante pour le porter sur une plateforme minoritaire.
pehache
Le 04/03/13 22:20, Patrick Stadelmann a écrit :
In article , pehache wrote:
C'est assez logique qu'un éditeur ne consacre pas les mêmes efforts à l'optimisation d'un version qui ne représentait peut-être à l'époque que 1% de ses ventes.
C'était pas une question d'optimisation, mais de conception. Je sais plus quelle version ça concerne mais certaines n'avait quasiment pas de code natif, ce qui laissait penser que le code était en partie interprété, au tout au moins qu'il devait être manipulé avant de pouvoir être exécuté. Idem pour les éléments décrivant l'interface, qui n'était pas du tout présente sous leur forme native. Une sorte de Java avant l'heure...
M'étonnerait que ce soit comme tu le décris. Je ne sais pas en quoi était écrit Office à cette époque, mais ça ne devait pas être des langages si exotiques qu'ils ne pouvait pas être compilés sur Mac. Je pense tout simplement que plutôt que de réécrire le code en faisant appel aux API Mac OS, ils ont introduit des couches pour "traduire" les appels de fonctions Windows en appels de fonctions Mac OS, ce qui n'est bien sûr pas forcément optimal.
Après il faut voir aussi que la programmation sous Mac OS c'était un peu spécial et assez particulier à cet OS (qui d'ailleurs n'était pas un véritable OS, ceci expliquant cela), ce qui compliquait à la base n'importe quel portage.
Quoi qu'il en soit, que ce question une question de portage ou d'optimisation, cela reste à la base le problème des efforts que MS était prêt (ou pas) à consacrer à cette version d'Office.
Le 04/03/13 22:20, Patrick Stadelmann a écrit :
In article <apkdp3FantfU1@mid.individual.net>,
pehache <pehache.7@gmail.com> wrote:
C'est assez logique qu'un éditeur ne consacre pas les mêmes efforts à
l'optimisation d'un version qui ne représentait peut-être à l'époque que
1% de ses ventes.
C'était pas une question d'optimisation, mais de conception. Je sais
plus quelle version ça concerne mais certaines n'avait quasiment pas de
code natif, ce qui laissait penser que le code était en partie
interprété, au tout au moins qu'il devait être manipulé avant de pouvoir
être exécuté. Idem pour les éléments décrivant l'interface, qui n'était
pas du tout présente sous leur forme native. Une sorte de Java avant
l'heure...
M'étonnerait que ce soit comme tu le décris. Je ne sais pas en quoi
était écrit Office à cette époque, mais ça ne devait pas être des
langages si exotiques qu'ils ne pouvait pas être compilés sur Mac. Je
pense tout simplement que plutôt que de réécrire le code en faisant
appel aux API Mac OS, ils ont introduit des couches pour "traduire" les
appels de fonctions Windows en appels de fonctions Mac OS, ce qui n'est
bien sûr pas forcément optimal.
Après il faut voir aussi que la programmation sous Mac OS c'était un peu
spécial et assez particulier à cet OS (qui d'ailleurs n'était pas un
véritable OS, ceci expliquant cela), ce qui compliquait à la base
n'importe quel portage.
Quoi qu'il en soit, que ce question une question de portage ou
d'optimisation, cela reste à la base le problème des efforts que MS
était prêt (ou pas) à consacrer à cette version d'Office.
C'est assez logique qu'un éditeur ne consacre pas les mêmes efforts à l'optimisation d'un version qui ne représentait peut-être à l'époque que 1% de ses ventes.
C'était pas une question d'optimisation, mais de conception. Je sais plus quelle version ça concerne mais certaines n'avait quasiment pas de code natif, ce qui laissait penser que le code était en partie interprété, au tout au moins qu'il devait être manipulé avant de pouvoir être exécuté. Idem pour les éléments décrivant l'interface, qui n'était pas du tout présente sous leur forme native. Une sorte de Java avant l'heure...
M'étonnerait que ce soit comme tu le décris. Je ne sais pas en quoi était écrit Office à cette époque, mais ça ne devait pas être des langages si exotiques qu'ils ne pouvait pas être compilés sur Mac. Je pense tout simplement que plutôt que de réécrire le code en faisant appel aux API Mac OS, ils ont introduit des couches pour "traduire" les appels de fonctions Windows en appels de fonctions Mac OS, ce qui n'est bien sûr pas forcément optimal.
Après il faut voir aussi que la programmation sous Mac OS c'était un peu spécial et assez particulier à cet OS (qui d'ailleurs n'était pas un véritable OS, ceci expliquant cela), ce qui compliquait à la base n'importe quel portage.
Quoi qu'il en soit, que ce question une question de portage ou d'optimisation, cela reste à la base le problème des efforts que MS était prêt (ou pas) à consacrer à cette version d'Office.
spam.out
Chris972 wrote:
a la version Windows a bien été reconnu publiquement par Microsoft qui a fait amende honorable. Je me souviens d'une publicité parue quelque temps après où l'on voyait un tableau de classe sur lequel était écrit à la craie une dizaine de fois une phrase du style "Je ne ferai plus de mauvais logiciels pour Mac" (ça dira peut-être quelque chose aux anciens... :-)
Ca me donne une piste pour trouver l'article...
Chris972 <cf@nospam.invalid> wrote:
a la version Windows a bien été reconnu publiquement par Microsoft qui a
fait amende honorable. Je me souviens d'une publicité parue quelque
temps après où l'on voyait un tableau de classe sur lequel était écrit à
la craie une dizaine de fois une phrase du style "Je ne ferai plus de
mauvais logiciels pour Mac" (ça dira peut-être quelque chose aux
anciens... :-)
a la version Windows a bien été reconnu publiquement par Microsoft qui a fait amende honorable. Je me souviens d'une publicité parue quelque temps après où l'on voyait un tableau de classe sur lequel était écrit à la craie une dizaine de fois une phrase du style "Je ne ferai plus de mauvais logiciels pour Mac" (ça dira peut-être quelque chose aux anciens... :-)
Ca me donne une piste pour trouver l'article...
olivier.marti
pehache wrote:
Le 04/03/13 22:10, Chris972 a écrit : > pehache wrote: > >> Ben oui c'est ce que je dis, et ça n'a rien à voir avec le fait dégrader >> volontairement les performances. >> >> C'est assez logique qu'un éditeur ne consacre pas les mêmes efforts à >> l'optimisation d'un version qui ne représentait peut-être à l'époque que >> 1% de ses ventes. > > Assez logique, mouais... Enfin quoi qu'il en soit, la vérité se trouve > certainement quelque part entre la théorie du complot et l'angélisme > béat...
Ce n'est pas une question d'angélisme. Si je suis éditeur d'un logiciel qui tourne initialement sur une plateforme ultra-majoritaire (99% à l'époque sans doute...), je ne vais pas être très motivé à consacrer des ressources importante pour le porter sur une plateforme minoritaire.
Très mauvaise pub ! Je suis pas sûr que le responsable du marketing serait d'accord ...
pehache <pehache.7@gmail.com> wrote:
Le 04/03/13 22:10, Chris972 a écrit :
> pehache <pehache.7@gmail.com> wrote:
>
>> Ben oui c'est ce que je dis, et ça n'a rien à voir avec le fait dégrader
>> volontairement les performances.
>>
>> C'est assez logique qu'un éditeur ne consacre pas les mêmes efforts à
>> l'optimisation d'un version qui ne représentait peut-être à l'époque que
>> 1% de ses ventes.
>
> Assez logique, mouais... Enfin quoi qu'il en soit, la vérité se trouve
> certainement quelque part entre la théorie du complot et l'angélisme
> béat...
Ce n'est pas une question d'angélisme. Si je suis éditeur d'un logiciel
qui tourne initialement sur une plateforme ultra-majoritaire (99% à
l'époque sans doute...), je ne vais pas être très motivé à consacrer des
ressources importante pour le porter sur une plateforme minoritaire.
Très mauvaise pub ! Je suis pas sûr que le responsable du marketing
serait d'accord ...
Le 04/03/13 22:10, Chris972 a écrit : > pehache wrote: > >> Ben oui c'est ce que je dis, et ça n'a rien à voir avec le fait dégrader >> volontairement les performances. >> >> C'est assez logique qu'un éditeur ne consacre pas les mêmes efforts à >> l'optimisation d'un version qui ne représentait peut-être à l'époque que >> 1% de ses ventes. > > Assez logique, mouais... Enfin quoi qu'il en soit, la vérité se trouve > certainement quelque part entre la théorie du complot et l'angélisme > béat...
Ce n'est pas une question d'angélisme. Si je suis éditeur d'un logiciel qui tourne initialement sur une plateforme ultra-majoritaire (99% à l'époque sans doute...), je ne vais pas être très motivé à consacrer des ressources importante pour le porter sur une plateforme minoritaire.
Très mauvaise pub ! Je suis pas sûr que le responsable du marketing serait d'accord ...
Patrick Stadelmann
In article , pehache wrote:
M'étonnerait que ce soit comme tu le décris. Je ne sais pas en quoi était écrit Office à cette époque, mais ça ne devait pas être des langages si exotiques qu'ils ne pouvait pas être compilés sur Mac.
Même si le langage est le même, il faut tout quasiment tout récrire car l'API native n'est pas là même. Et il ne s'agit pas de remplacer un appel de fonction par un autre, cela nécessite de revoir complètement la structure.
Apple a d'ailleurs procédé ainsi en portant QuickTime sous Windows : c'est en fait une partie de l'API de Mac OS qui a été portée.
Je pense tout simplement que plutôt que de réécrire le code en faisant appel aux API Mac OS, ils ont introduit des couches pour "traduire" les appels de fonctions Windows en appels de fonctions Mac OS, ce qui n'est bien sûr pas forcément optimal.
Si je me souviens bien, il y avait également un niveau d'abstraction dans la version Windows. C'est effectivement à ce niveau que la "traduction" se passait.
Après il faut voir aussi que la programmation sous Mac OS c'était un peu spécial et assez particulier à cet OS (qui d'ailleurs n'était pas un véritable OS, ceci expliquant cela),
Merci de ne pas troller.
ce qui compliquait à la base n'importe quel portage.
Si on part dans l'idée de porter, i.e. modifier pour que ça fonctionne, on aura de toute façon une solution boiteuse. Ce qu'il faut faire, c'est récrire une application native qui reprend les fonctionnalité qui définissent l'application, mais les bases sur les technologie natives.
Patrick -- Patrick Stadelmann
In article <apkinvFbt49U1@mid.individual.net>,
pehache <pehache.7@gmail.com> wrote:
M'étonnerait que ce soit comme tu le décris. Je ne sais pas en quoi
était écrit Office à cette époque, mais ça ne devait pas être des
langages si exotiques qu'ils ne pouvait pas être compilés sur Mac.
Même si le langage est le même, il faut tout quasiment tout récrire car
l'API native n'est pas là même. Et il ne s'agit pas de remplacer un
appel de fonction par un autre, cela nécessite de revoir complètement la
structure.
Apple a d'ailleurs procédé ainsi en portant QuickTime sous Windows :
c'est en fait une partie de l'API de Mac OS qui a été portée.
Je
pense tout simplement que plutôt que de réécrire le code en faisant
appel aux API Mac OS, ils ont introduit des couches pour "traduire" les
appels de fonctions Windows en appels de fonctions Mac OS, ce qui n'est
bien sûr pas forcément optimal.
Si je me souviens bien, il y avait également un niveau d'abstraction
dans la version Windows. C'est effectivement à ce niveau que la
"traduction" se passait.
Après il faut voir aussi que la programmation sous Mac OS c'était un peu
spécial et assez particulier à cet OS (qui d'ailleurs n'était pas un
véritable OS, ceci expliquant cela),
Merci de ne pas troller.
ce qui compliquait à la base
n'importe quel portage.
Si on part dans l'idée de porter, i.e. modifier pour que ça fonctionne,
on aura de toute façon une solution boiteuse. Ce qu'il faut faire, c'est
récrire une application native qui reprend les fonctionnalité qui
définissent l'application, mais les bases sur les technologie natives.
Patrick
--
Patrick Stadelmann <Patrick.Stadelmann@unine.ch>
M'étonnerait que ce soit comme tu le décris. Je ne sais pas en quoi était écrit Office à cette époque, mais ça ne devait pas être des langages si exotiques qu'ils ne pouvait pas être compilés sur Mac.
Même si le langage est le même, il faut tout quasiment tout récrire car l'API native n'est pas là même. Et il ne s'agit pas de remplacer un appel de fonction par un autre, cela nécessite de revoir complètement la structure.
Apple a d'ailleurs procédé ainsi en portant QuickTime sous Windows : c'est en fait une partie de l'API de Mac OS qui a été portée.
Je pense tout simplement que plutôt que de réécrire le code en faisant appel aux API Mac OS, ils ont introduit des couches pour "traduire" les appels de fonctions Windows en appels de fonctions Mac OS, ce qui n'est bien sûr pas forcément optimal.
Si je me souviens bien, il y avait également un niveau d'abstraction dans la version Windows. C'est effectivement à ce niveau que la "traduction" se passait.
Après il faut voir aussi que la programmation sous Mac OS c'était un peu spécial et assez particulier à cet OS (qui d'ailleurs n'était pas un véritable OS, ceci expliquant cela),
Merci de ne pas troller.
ce qui compliquait à la base n'importe quel portage.
Si on part dans l'idée de porter, i.e. modifier pour que ça fonctionne, on aura de toute façon une solution boiteuse. Ce qu'il faut faire, c'est récrire une application native qui reprend les fonctionnalité qui définissent l'application, mais les bases sur les technologie natives.
Patrick -- Patrick Stadelmann
pehache
Le 04/03/13 22:50, Olivier Marti a écrit :
pehache wrote:
Le 04/03/13 22:10, Chris972 a écrit :
pehache wrote:
Ben oui c'est ce que je dis, et ça n'a rien à voir avec le fait dégrader volontairement les performances.
C'est assez logique qu'un éditeur ne consacre pas les mêmes efforts à l'optimisation d'un version qui ne représentait peut-être à l'époque que 1% de ses ventes.
Assez logique, mouais... Enfin quoi qu'il en soit, la vérité se trouve certainement quelque part entre la théorie du complot et l'angélisme béat...
Ce n'est pas une question d'angélisme. Si je suis éditeur d'un logiciel qui tourne initialement sur une plateforme ultra-majoritaire (99% à l'époque sans doute...), je ne vais pas être très motivé à consacrer des ressources importante pour le porter sur une plateforme minoritaire.
Très mauvaise pub ! Je suis pas sûr que le responsable du marketing serait d'accord ...
Si il n'est pas content j'annule le projet de portage :)
Le 04/03/13 22:50, Olivier Marti a écrit :
pehache <pehache.7@gmail.com> wrote:
Le 04/03/13 22:10, Chris972 a écrit :
pehache <pehache.7@gmail.com> wrote:
Ben oui c'est ce que je dis, et ça n'a rien à voir avec le fait dégrader
volontairement les performances.
C'est assez logique qu'un éditeur ne consacre pas les mêmes efforts à
l'optimisation d'un version qui ne représentait peut-être à l'époque que
1% de ses ventes.
Assez logique, mouais... Enfin quoi qu'il en soit, la vérité se trouve
certainement quelque part entre la théorie du complot et l'angélisme
béat...
Ce n'est pas une question d'angélisme. Si je suis éditeur d'un logiciel
qui tourne initialement sur une plateforme ultra-majoritaire (99% à
l'époque sans doute...), je ne vais pas être très motivé à consacrer des
ressources importante pour le porter sur une plateforme minoritaire.
Très mauvaise pub ! Je suis pas sûr que le responsable du marketing
serait d'accord ...
Si il n'est pas content j'annule le projet de portage :)
Ben oui c'est ce que je dis, et ça n'a rien à voir avec le fait dégrader volontairement les performances.
C'est assez logique qu'un éditeur ne consacre pas les mêmes efforts à l'optimisation d'un version qui ne représentait peut-être à l'époque que 1% de ses ventes.
Assez logique, mouais... Enfin quoi qu'il en soit, la vérité se trouve certainement quelque part entre la théorie du complot et l'angélisme béat...
Ce n'est pas une question d'angélisme. Si je suis éditeur d'un logiciel qui tourne initialement sur une plateforme ultra-majoritaire (99% à l'époque sans doute...), je ne vais pas être très motivé à consacrer des ressources importante pour le porter sur une plateforme minoritaire.
Très mauvaise pub ! Je suis pas sûr que le responsable du marketing serait d'accord ...
Si il n'est pas content j'annule le projet de portage :)
pehache
Le 04/03/13 23:28, Patrick Stadelmann a écrit :
Après il faut voir aussi que la programmation sous Mac OS c'était un peu spécial et assez particulier à cet OS (qui d'ailleurs n'était pas un véritable OS, ceci expliquant cela),
Merci de ne pas troller.
Euh non ce n'est pas un troll. Mac OS n'était pas un véritable OS au sens où on l'entend habituellement. Ce n'est pas moi qui le dit, d'ailleurs.
ce qui compliquait à la base n'importe quel portage.
Si on part dans l'idée de porter, i.e. modifier pour que ça fonctionne, on aura de toute façon une solution boiteuse. Ce qu'il faut faire, c'est récrire une application native qui reprend les fonctionnalité qui définissent l'application, mais les bases sur les technologie natives.
Et on comprend bien qu'un éditeur n'ait pas forcément envie de s'y coller, si tout son code tourne autour d'une API donnée.
Les applis modernes actuelles sont souvent pensées dès le départ pour être multi-plateformes, car peu d'éditeurs peuvent se permettre de maintenir des codes totalement différents d'une plateforme à l'autre.
Le 04/03/13 23:28, Patrick Stadelmann a écrit :
Après il faut voir aussi que la programmation sous Mac OS c'était un peu
spécial et assez particulier à cet OS (qui d'ailleurs n'était pas un
véritable OS, ceci expliquant cela),
Merci de ne pas troller.
Euh non ce n'est pas un troll. Mac OS n'était pas un véritable OS au
sens où on l'entend habituellement. Ce n'est pas moi qui le dit, d'ailleurs.
ce qui compliquait à la base
n'importe quel portage.
Si on part dans l'idée de porter, i.e. modifier pour que ça fonctionne,
on aura de toute façon une solution boiteuse. Ce qu'il faut faire, c'est
récrire une application native qui reprend les fonctionnalité qui
définissent l'application, mais les bases sur les technologie natives.
Et on comprend bien qu'un éditeur n'ait pas forcément envie de s'y
coller, si tout son code tourne autour d'une API donnée.
Les applis modernes actuelles sont souvent pensées dès le départ pour
être multi-plateformes, car peu d'éditeurs peuvent se permettre de
maintenir des codes totalement différents d'une plateforme à l'autre.
Après il faut voir aussi que la programmation sous Mac OS c'était un peu spécial et assez particulier à cet OS (qui d'ailleurs n'était pas un véritable OS, ceci expliquant cela),
Merci de ne pas troller.
Euh non ce n'est pas un troll. Mac OS n'était pas un véritable OS au sens où on l'entend habituellement. Ce n'est pas moi qui le dit, d'ailleurs.
ce qui compliquait à la base n'importe quel portage.
Si on part dans l'idée de porter, i.e. modifier pour que ça fonctionne, on aura de toute façon une solution boiteuse. Ce qu'il faut faire, c'est récrire une application native qui reprend les fonctionnalité qui définissent l'application, mais les bases sur les technologie natives.
Et on comprend bien qu'un éditeur n'ait pas forcément envie de s'y coller, si tout son code tourne autour d'une API donnée.
Les applis modernes actuelles sont souvent pensées dès le départ pour être multi-plateformes, car peu d'éditeurs peuvent se permettre de maintenir des codes totalement différents d'une plateforme à l'autre.
Patrick Stadelmann
In article , pehache wrote:
Euh non ce n'est pas un troll. Mac OS n'était pas un véritable OS au sens où on l'entend habituellement.
... au sens où on l'entend si on veut troller, sans doute.
Ce n'est pas moi qui le dit, d'ailleurs.
Je veux bien croire que tu n'es pas le premier à troller sur ce sujet.
Les applis modernes actuelles sont souvent pensées dès le départ pour être multi-plateformes, car peu d'éditeurs peuvent se permettre de maintenir des codes totalement différents d'une plateforme à l'autre.
C'est une mauvaise approche. Personne n'est obligé de développer pour plusieurs plateforme. Comme disait Steve Jobs quand un développeur lui demandait ce qu'il pendait des hésitation de Adobe à proposer ses logiciels sur Mac OS X : mais qu'est-ce que vous attendez vous le faire à leur place ?
Le web est un bon exemple de l'approche qui fonctionne : divers éditeurs qui proposent des navigateurs, sur une ou plusieurs plateformes.
Patrick -- Patrick Stadelmann
In article <apkm9iFcm4fU1@mid.individual.net>,
pehache <pehache.7@gmail.com> wrote:
Euh non ce n'est pas un troll. Mac OS n'était pas un véritable OS au
sens où on l'entend habituellement.
... au sens où on l'entend si on veut troller, sans doute.
Ce n'est pas moi qui le dit, d'ailleurs.
Je veux bien croire que tu n'es pas le premier à troller sur ce sujet.
Les applis modernes actuelles sont souvent pensées dès le départ pour
être multi-plateformes, car peu d'éditeurs peuvent se permettre de
maintenir des codes totalement différents d'une plateforme à l'autre.
C'est une mauvaise approche. Personne n'est obligé de développer pour
plusieurs plateforme. Comme disait Steve Jobs quand un développeur lui
demandait ce qu'il pendait des hésitation de Adobe à proposer ses
logiciels sur Mac OS X : mais qu'est-ce que vous attendez vous le faire
à leur place ?
Le web est un bon exemple de l'approche qui fonctionne : divers éditeurs
qui proposent des navigateurs, sur une ou plusieurs plateformes.
Patrick
--
Patrick Stadelmann <Patrick.Stadelmann@unine.ch>
Euh non ce n'est pas un troll. Mac OS n'était pas un véritable OS au sens où on l'entend habituellement.
... au sens où on l'entend si on veut troller, sans doute.
Ce n'est pas moi qui le dit, d'ailleurs.
Je veux bien croire que tu n'es pas le premier à troller sur ce sujet.
Les applis modernes actuelles sont souvent pensées dès le départ pour être multi-plateformes, car peu d'éditeurs peuvent se permettre de maintenir des codes totalement différents d'une plateforme à l'autre.
C'est une mauvaise approche. Personne n'est obligé de développer pour plusieurs plateforme. Comme disait Steve Jobs quand un développeur lui demandait ce qu'il pendait des hésitation de Adobe à proposer ses logiciels sur Mac OS X : mais qu'est-ce que vous attendez vous le faire à leur place ?
Le web est un bon exemple de l'approche qui fonctionne : divers éditeurs qui proposent des navigateurs, sur une ou plusieurs plateformes.
Patrick -- Patrick Stadelmann
Matt
On Lun 04 mars 2013 à 23:41, pehache wrote:
Euh non ce n'est pas un troll. Mac OS n'était pas un véritable OS au sens où on l'entend habituellement. Ce n'est pas moi qui le dit, d'ailleurs.
Ah bon. Quel type de logiciel était-ce ?
Qu'il ait été différent des autres ne veut pas dire qu'il n'en était pas un. Il faut arrêter de tenter de réécrire l'histoire.
-- Unfortunate user: Check my emails Siri: Sorry, no Cheikh in your contact list. Would you like to create it? (_+_) Siri, part twelve (_+_)
On Lun 04 mars 2013 à 23:41,
pehache <pehache.7@gmail.com> wrote:
Euh non ce n'est pas un troll. Mac OS n'était pas un véritable OS au
sens où on l'entend habituellement. Ce n'est pas moi qui le dit, d'ailleurs.
Ah bon. Quel type de logiciel était-ce ?
Qu'il ait été différent des autres ne veut pas dire qu'il n'en était pas
un. Il faut arrêter de tenter de réécrire l'histoire.
--
Unfortunate user: Check my emails
Siri: Sorry, no Cheikh in your contact list. Would you like to create it?
(_+_) Siri, part twelve (_+_)
Euh non ce n'est pas un troll. Mac OS n'était pas un véritable OS au sens où on l'entend habituellement. Ce n'est pas moi qui le dit, d'ailleurs.
Ah bon. Quel type de logiciel était-ce ?
Qu'il ait été différent des autres ne veut pas dire qu'il n'en était pas un. Il faut arrêter de tenter de réécrire l'histoire.
-- Unfortunate user: Check my emails Siri: Sorry, no Cheikh in your contact list. Would you like to create it? (_+_) Siri, part twelve (_+_)
pehache
Le 05/03/13 00:27, Patrick Stadelmann a écrit :
In article , pehache wrote:
Euh non ce n'est pas un troll. Mac OS n'était pas un véritable OS au sens où on l'entend habituellement.
... au sens où on l'entend si on veut troller, sans doute.
Je sais qu'il est hors de question de dire que le roi est bossu.
Les applis modernes actuelles sont souvent pensées dès le départ pour être multi-plateformes, car peu d'éditeurs peuvent se permettre de maintenir des codes totalement différents d'une plateforme à l'autre.
C'est une mauvaise approche.
C'est une approche moderne, effectivement assez loin des conceptions de plus en plus fermées d'Apple actuellement (puisqu'il parait que je trolle, atant y aller).
Le 05/03/13 00:27, Patrick Stadelmann a écrit :
In article <apkm9iFcm4fU1@mid.individual.net>,
pehache <pehache.7@gmail.com> wrote:
Euh non ce n'est pas un troll. Mac OS n'était pas un véritable OS au
sens où on l'entend habituellement.
... au sens où on l'entend si on veut troller, sans doute.
Je sais qu'il est hors de question de dire que le roi est bossu.
Les applis modernes actuelles sont souvent pensées dès le départ pour
être multi-plateformes, car peu d'éditeurs peuvent se permettre de
maintenir des codes totalement différents d'une plateforme à l'autre.
C'est une mauvaise approche.
C'est une approche moderne, effectivement assez loin des conceptions de
plus en plus fermées d'Apple actuellement (puisqu'il parait que je
trolle, atant y aller).
Euh non ce n'est pas un troll. Mac OS n'était pas un véritable OS au sens où on l'entend habituellement.
... au sens où on l'entend si on veut troller, sans doute.
Je sais qu'il est hors de question de dire que le roi est bossu.
Les applis modernes actuelles sont souvent pensées dès le départ pour être multi-plateformes, car peu d'éditeurs peuvent se permettre de maintenir des codes totalement différents d'une plateforme à l'autre.
C'est une mauvaise approche.
C'est une approche moderne, effectivement assez loin des conceptions de plus en plus fermées d'Apple actuellement (puisqu'il parait que je trolle, atant y aller).