A l'inverse, un autre exemple de simplicité et de beauté dans la photographie, mais pour une photographe qui elle se veut éminemment artiste (20.000 euro la photo) : JungJin Lee. Voir sur sont site la rubrique *Buddha* et surtout *Thing*.
Même la série Israel...
J'aime beaucoup le travail sur l'homogénéité des gris et du contraste entre le sujet et le fond...
Il y a une certaine parentée avec le fine art (qui me gonfle bien souvent) mais effectivement avec assez de personnalité.
Merci pour la ref...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
albert <alphoto.nospam@wanadoo.fr> wrote:
A l'inverse, un autre exemple de simplicité et de beauté dans la
photographie, mais pour une photographe qui elle se veut éminemment artiste
(20.000 euro la photo) : JungJin Lee. Voir sur sont site la rubrique
*Buddha* et surtout *Thing*.
Même la série Israel...
J'aime beaucoup le travail sur l'homogénéité des gris et du contraste
entre le sujet et le fond...
Il y a une certaine parentée avec le fine art (qui me gonfle bien
souvent) mais effectivement avec assez de personnalité.
Merci pour la ref...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
A l'inverse, un autre exemple de simplicité et de beauté dans la photographie, mais pour une photographe qui elle se veut éminemment artiste (20.000 euro la photo) : JungJin Lee. Voir sur sont site la rubrique *Buddha* et surtout *Thing*.
Même la série Israel...
J'aime beaucoup le travail sur l'homogénéité des gris et du contraste entre le sujet et le fond...
Il y a une certaine parentée avec le fine art (qui me gonfle bien souvent) mais effectivement avec assez de personnalité.
Merci pour la ref...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Bour-Brown
Laszlo Lebrun a écrit ( k63tut$tmg$ )
Ben alors t'as jamais bossé pour une maison d'édition pour photographes.
Ben non, ça c'est de l'édition, donc pour les fondus du fétichisme dont je parlais justement.
Perso je m'intéresse à l'image, pas à sa matérialité. Autrement dit, je n'en ai rien à fiche du papier, de l'encre, de la calibration de l'éclairage ou de points de magenta.
(d'autant plus ridicule que dès qu'on change un truc cela en change un tas d'autres, c'est dire le sérieux de telles préoccupations)
Laszlo Lebrun a écrit
( k63tut$tmg$1@tota-refugium.de )
Ben alors t'as jamais bossé pour une maison d'édition pour photographes.
Ben non, ça c'est de l'édition, donc pour les fondus du fétichisme dont je
parlais justement.
Perso je m'intéresse à l'image, pas à sa matérialité. Autrement dit, je n'en
ai rien à fiche du papier, de l'encre, de la calibration de l'éclairage ou
de points de magenta.
(d'autant plus ridicule que dès qu'on change un truc cela en change un tas
d'autres, c'est dire le sérieux de telles préoccupations)
Ben alors t'as jamais bossé pour une maison d'édition pour photographes.
Ben non, ça c'est de l'édition, donc pour les fondus du fétichisme dont je parlais justement.
Perso je m'intéresse à l'image, pas à sa matérialité. Autrement dit, je n'en ai rien à fiche du papier, de l'encre, de la calibration de l'éclairage ou de points de magenta.
(d'autant plus ridicule que dès qu'on change un truc cela en change un tas d'autres, c'est dire le sérieux de telles préoccupations)
albert
"Bour-Brown" a écrit :
C'est toi qui es venu parler ici des dimensions, des soucis techniques, des logiciels et des admirateurs (avec force prénom pour bien montrer ta profonde gentillesse bien sûr), donc cet aspect-là des choses, pour toi, il existe, je ne l'ai pas inventé.
Bien sûr, un groupe de discussion sur la photographie est fait pour parler de tous ses aspects, matériels, virtuels autant que spirituels. Il y a même des occasions de se faire des amis, ou d'être aimable. Rien ne remplace la bonne volonté.
Souci technique ? Pourquoi me réduire à cela, désolé je ne comprends pas ta démarche. L'essence de l'image, on le sait, ne se réduit pas à la technique, ni à ses dimensions. Il n'y a pas non plus de définition, il n'y a pas d'image idéale. Par contre il y a des choses à raconter, qui font partie de notre expérience et que l'on peut partager.
Dans le flux du travail on pense à ceci ou cela, après on en montre des exemples, tant mieux si cela correspond aux préoccupations partagées par d'autres.
Je ne sais plus quoi dire. Avec toi il faudrait être sur la brèche et continuellement se justifier. Je ne suis pas d'accord. On a le droit de raconter des histoires sans que sur l'échelle des valeurs on te dise : Mon pauvre gars t'es au plus bas.
Aujourd'hui j'ai longuement travaillé sur un assemblage, après que Autopanopro m'ait fournit son résultat. Il me livre l'image sous forme d'un calque d'ensemble, la synthèse qu'il a concocté, mais ce n'est qu'une machine. Donc j'ai pris garde de conserver en dessous tous les calques de chaque photos qui composent cet ensemble. Je peux donc en jouant avec les masques, corriger les erreurs dans l'image générale, en faisant réapparaître par endroits des parties plus justes de chacun des autres calques. C'est un travail fastidieux mais nécessaire afin de performer l'image. Cela m'aide aussi à comprendre que dans le temps de la prise de vue pour une centaine de photos qui vont composer cette image, il y en a où la lumière était plus juste et que je vais privilégier.
Je me suis arrêté sur le problème de l'ombre du pied de l'appareil photo. Elle apparaît forcément dans le champ panoramique. Des fois elle est marrante, je la garde comme une trace de ma propre existence. Ici elle était génante, je devais l'effacer. Elle se marquait sur le sol, un sol compliqué de terres, de galets, de pierrailles et de brindilles de couleurs diverses. Difficile. Jouer du tampon, et aussi du rapiécage dans Photoshop, qui est bien pratique mais a vite tendance à déraper. Prélever des matières ici et là. Au début j'avais des scrupules, mais au bout d'un moment je me suis aperçu que dans cette matière complexe mais informelle, on pouvait complètement réinventer. Faire des galets bicolores, gris et jaunes, avec une petite pointe de vert, pourquoi pas. Qui ira vérifier ? Brûler les branchages, fossiliser les herbes, créer un paysage à l'intérieur du paysage, un théatre de matières invraisemblables dans une image dont on sait qu'elle fera deux mètres de long, alors qu'on s'amuse avec le microcosme de tous petits détails. Quel pied ? Alors, jusqu'où aller trop loin sans que ces détails explosent à l'intérieur de l'image. Voilà pour moi l'essence d'une photographie. Elle t'emmène aussi loin que tu veux aller.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------
"Bour-Brown" a écrit :
C'est toi qui es venu parler ici des dimensions, des soucis techniques,
des
logiciels et des admirateurs (avec force prénom pour bien montrer ta
profonde gentillesse bien sûr), donc cet aspect-là des choses, pour toi,
il
existe, je ne l'ai pas inventé.
Bien sûr, un groupe de discussion sur la photographie est fait pour
parler de tous ses aspects, matériels, virtuels autant que spirituels. Il y
a même des occasions de se faire des amis, ou d'être aimable. Rien ne
remplace la bonne volonté.
Souci technique ? Pourquoi me réduire à cela, désolé je ne comprends pas
ta démarche. L'essence de l'image, on le sait, ne se réduit pas à la
technique, ni à ses dimensions. Il n'y a pas non plus de définition, il n'y
a pas d'image idéale. Par contre il y a des choses à raconter, qui font
partie de notre expérience et que l'on peut partager.
Dans le flux du travail on pense à ceci ou cela, après on en montre des
exemples, tant mieux si cela correspond aux préoccupations partagées par
d'autres.
Je ne sais plus quoi dire. Avec toi il faudrait être sur la brèche et
continuellement se justifier. Je ne suis pas d'accord. On a le droit de
raconter des histoires sans que sur l'échelle des valeurs on te dise : Mon
pauvre gars t'es au plus bas.
Aujourd'hui j'ai longuement travaillé sur un assemblage, après que
Autopanopro m'ait fournit son résultat. Il me livre l'image sous forme d'un
calque d'ensemble, la synthèse qu'il a concocté, mais ce n'est qu'une
machine. Donc j'ai pris garde de conserver en dessous tous les calques de
chaque photos qui composent cet ensemble. Je peux donc en jouant avec les
masques, corriger les erreurs dans l'image générale, en faisant réapparaître
par endroits des parties plus justes de chacun des autres calques. C'est un
travail fastidieux mais nécessaire afin de performer l'image. Cela m'aide
aussi à comprendre que dans le temps de la prise de vue pour une centaine de
photos qui vont composer cette image, il y en a où la lumière était plus
juste et que je vais privilégier.
Je me suis arrêté sur le problème de l'ombre du pied de l'appareil
photo. Elle apparaît forcément dans le champ panoramique. Des fois elle est
marrante, je la garde comme une trace de ma propre existence. Ici elle était
génante, je devais l'effacer. Elle se marquait sur le sol, un sol compliqué
de terres, de galets, de pierrailles et de brindilles de couleurs diverses.
Difficile. Jouer du tampon, et aussi du rapiécage dans Photoshop, qui est
bien pratique mais a vite tendance à déraper. Prélever des matières ici et
là. Au début j'avais des scrupules, mais au bout d'un moment je me suis
aperçu que dans cette matière complexe mais informelle, on pouvait
complètement réinventer. Faire des galets bicolores, gris et jaunes, avec
une petite pointe de vert, pourquoi pas. Qui ira vérifier ? Brûler les
branchages, fossiliser les herbes, créer un paysage à l'intérieur du
paysage, un théatre de matières invraisemblables dans une image dont on sait
qu'elle fera deux mètres de long, alors qu'on s'amuse avec le microcosme de
tous petits détails. Quel pied ? Alors, jusqu'où aller trop loin sans que
ces détails explosent à l'intérieur de l'image. Voilà pour moi l'essence
d'une photographie. Elle t'emmène aussi loin que tu veux aller.
Amitiés,
albert
----------------------------------------------------------
Photographies imaginaires
http://photo.imaginaire.free.fr
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C'est toi qui es venu parler ici des dimensions, des soucis techniques, des logiciels et des admirateurs (avec force prénom pour bien montrer ta profonde gentillesse bien sûr), donc cet aspect-là des choses, pour toi, il existe, je ne l'ai pas inventé.
Bien sûr, un groupe de discussion sur la photographie est fait pour parler de tous ses aspects, matériels, virtuels autant que spirituels. Il y a même des occasions de se faire des amis, ou d'être aimable. Rien ne remplace la bonne volonté.
Souci technique ? Pourquoi me réduire à cela, désolé je ne comprends pas ta démarche. L'essence de l'image, on le sait, ne se réduit pas à la technique, ni à ses dimensions. Il n'y a pas non plus de définition, il n'y a pas d'image idéale. Par contre il y a des choses à raconter, qui font partie de notre expérience et que l'on peut partager.
Dans le flux du travail on pense à ceci ou cela, après on en montre des exemples, tant mieux si cela correspond aux préoccupations partagées par d'autres.
Je ne sais plus quoi dire. Avec toi il faudrait être sur la brèche et continuellement se justifier. Je ne suis pas d'accord. On a le droit de raconter des histoires sans que sur l'échelle des valeurs on te dise : Mon pauvre gars t'es au plus bas.
Aujourd'hui j'ai longuement travaillé sur un assemblage, après que Autopanopro m'ait fournit son résultat. Il me livre l'image sous forme d'un calque d'ensemble, la synthèse qu'il a concocté, mais ce n'est qu'une machine. Donc j'ai pris garde de conserver en dessous tous les calques de chaque photos qui composent cet ensemble. Je peux donc en jouant avec les masques, corriger les erreurs dans l'image générale, en faisant réapparaître par endroits des parties plus justes de chacun des autres calques. C'est un travail fastidieux mais nécessaire afin de performer l'image. Cela m'aide aussi à comprendre que dans le temps de la prise de vue pour une centaine de photos qui vont composer cette image, il y en a où la lumière était plus juste et que je vais privilégier.
Je me suis arrêté sur le problème de l'ombre du pied de l'appareil photo. Elle apparaît forcément dans le champ panoramique. Des fois elle est marrante, je la garde comme une trace de ma propre existence. Ici elle était génante, je devais l'effacer. Elle se marquait sur le sol, un sol compliqué de terres, de galets, de pierrailles et de brindilles de couleurs diverses. Difficile. Jouer du tampon, et aussi du rapiécage dans Photoshop, qui est bien pratique mais a vite tendance à déraper. Prélever des matières ici et là. Au début j'avais des scrupules, mais au bout d'un moment je me suis aperçu que dans cette matière complexe mais informelle, on pouvait complètement réinventer. Faire des galets bicolores, gris et jaunes, avec une petite pointe de vert, pourquoi pas. Qui ira vérifier ? Brûler les branchages, fossiliser les herbes, créer un paysage à l'intérieur du paysage, un théatre de matières invraisemblables dans une image dont on sait qu'elle fera deux mètres de long, alors qu'on s'amuse avec le microcosme de tous petits détails. Quel pied ? Alors, jusqu'où aller trop loin sans que ces détails explosent à l'intérieur de l'image. Voilà pour moi l'essence d'une photographie. Elle t'emmène aussi loin que tu veux aller.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------
albert
"Bour-Brown" a écrit :
Perso je m'intéresse à l'image, pas à sa matérialité. Autrement dit, je n'en ai rien à fiche du papier, de l'encre, de la calibration de l'éclairage ou de points de magenta.
Ton argument tient la route. C'est comme mon beau-frère qui un jour m'a offert sa prestigieuse collection de vinyls, en me disant : "Tu sais, finalement quand j'ai envie d'écouter de la musique, il me suffit de lire la partition". Et pour toi, c'est quoi la partition ?
Amitiés, albert
"Bour-Brown" a écrit :
Perso je m'intéresse à l'image, pas à sa matérialité. Autrement dit, je
n'en
ai rien à fiche du papier, de l'encre, de la calibration de l'éclairage ou
de points de magenta.
Ton argument tient la route. C'est comme mon beau-frère qui un jour m'a
offert sa prestigieuse collection de vinyls, en me disant : "Tu sais,
finalement quand j'ai envie d'écouter de la musique, il me suffit de lire la
partition". Et pour toi, c'est quoi la partition ?
Perso je m'intéresse à l'image, pas à sa matérialité. Autrement dit, je n'en ai rien à fiche du papier, de l'encre, de la calibration de l'éclairage ou de points de magenta.
Ton argument tient la route. C'est comme mon beau-frère qui un jour m'a offert sa prestigieuse collection de vinyls, en me disant : "Tu sais, finalement quand j'ai envie d'écouter de la musique, il me suffit de lire la partition". Et pour toi, c'est quoi la partition ?
Amitiés, albert
Laszlo Lebrun
On 22.10.2012 22:29, albert wrote:
C'est comme mon beau-frère qui un jour m'a offert sa prestigieuse collection de vinyls, en me disant : "Tu sais, finalement quand j'ai envie d'écouter de la musique, il me suffit de lire la partition"
Quelle partition?: - C: - /dev/sdba - /disk(0)
-- One computer and three operating systems, not the other way round. One wife and many hotels, not the other way round ! ;-)
On 22.10.2012 22:29, albert wrote:
C'est comme mon beau-frère qui un jour m'a offert sa prestigieuse
collection de vinyls, en me disant : "Tu sais, finalement quand j'ai
envie d'écouter de la musique, il me suffit de lire la partition"
Quelle partition?:
- C:
- /dev/sdba
- /disk(0)
--
One computer and three operating systems, not the other way round.
One wife and many hotels, not the other way round ! ;-)
C'est comme mon beau-frère qui un jour m'a offert sa prestigieuse collection de vinyls, en me disant : "Tu sais, finalement quand j'ai envie d'écouter de la musique, il me suffit de lire la partition"
Quelle partition?: - C: - /dev/sdba - /disk(0)
-- One computer and three operating systems, not the other way round. One wife and many hotels, not the other way round ! ;-)
Bour-Brown
Charles Vassallo a écrit ( 50857d91$0$21260$ )
Mais pas du tout : (1) je pars d'une bonne photo, qui mérite qu'on l'expose
Dès qu'on pense que l'exposition est un hommage particulier, dès qu'on parle de mérite, on est dans une posture de sacralisation. Cela ne me dérange pas, bien sûr, mais c'est quelque chose qui ne m'intéresse pas du tout.
Le meilleur qui puisse arriver à mes photos pas trop ratées, c'est que je les montre, et c'est tout. Que cela soit sur un tirage papier qui passe de main en main à l'heure de l'apéro, une ouverture fenêtrée sur un écran pourri, une exposition avec cimaises et petits fours ou une projection grand écran en salle spécialisée, finalement c'est du pareil au même, ce qu'on en retient c'est l'image, autant directement s'intéresser à elle.
(2) et je lui donne alors une présentation décente -- si elle rentre dans le cadre d'une expo ou d'un concours.
Pourquoi prends-tu tout à l'envers ?
Je ne prends rien à l'envers, je dis que vos préoccupations n'ont rien à voir avec l'image elle-même, que ce sont les mêmes que pour un poisson empaillé, place dédiée, ambiance contrôlée, public choisi tout ça.
Charles Vassallo a écrit
( 50857d91$0$21260$ba4acef3@reader.news.orange.fr )
Mais pas du tout :
(1) je pars d'une bonne photo, qui mérite qu'on l'expose
Dès qu'on pense que l'exposition est un hommage particulier, dès qu'on parle
de mérite, on est dans une posture de sacralisation. Cela ne me dérange pas,
bien sûr, mais c'est quelque chose qui ne m'intéresse pas du tout.
Le meilleur qui puisse arriver à mes photos pas trop ratées, c'est que je
les montre, et c'est tout. Que cela soit sur un tirage papier qui passe de
main en main à l'heure de l'apéro, une ouverture fenêtrée sur un écran
pourri, une exposition avec cimaises et petits fours ou une projection grand
écran en salle spécialisée, finalement c'est du pareil au même, ce qu'on en
retient c'est l'image, autant directement s'intéresser à elle.
(2) et je lui donne alors une présentation décente -- si elle rentre
dans le cadre d'une expo ou d'un concours.
Pourquoi prends-tu tout à l'envers ?
Je ne prends rien à l'envers, je dis que vos préoccupations n'ont rien à
voir avec l'image elle-même, que ce sont les mêmes que pour un poisson
empaillé, place dédiée, ambiance contrôlée, public choisi tout ça.
Mais pas du tout : (1) je pars d'une bonne photo, qui mérite qu'on l'expose
Dès qu'on pense que l'exposition est un hommage particulier, dès qu'on parle de mérite, on est dans une posture de sacralisation. Cela ne me dérange pas, bien sûr, mais c'est quelque chose qui ne m'intéresse pas du tout.
Le meilleur qui puisse arriver à mes photos pas trop ratées, c'est que je les montre, et c'est tout. Que cela soit sur un tirage papier qui passe de main en main à l'heure de l'apéro, une ouverture fenêtrée sur un écran pourri, une exposition avec cimaises et petits fours ou une projection grand écran en salle spécialisée, finalement c'est du pareil au même, ce qu'on en retient c'est l'image, autant directement s'intéresser à elle.
(2) et je lui donne alors une présentation décente -- si elle rentre dans le cadre d'une expo ou d'un concours.
Pourquoi prends-tu tout à l'envers ?
Je ne prends rien à l'envers, je dis que vos préoccupations n'ont rien à voir avec l'image elle-même, que ce sont les mêmes que pour un poisson empaillé, place dédiée, ambiance contrôlée, public choisi tout ça.
Bour-Brown
MELMOTH a écrit (
L'*image* qui te gonfle fait _toujours_ appel à un lien, sur lequel tu n'es _absolument pas obligé_ de cliquer, n'est-ce pas...
Un lien ne présage aucunement de ce qu'on y trouvera, et quand il est ouvert c'est trop tard.
(d'ailleurs certains sites mettent une balise à leurs liens pour prévenir de certains désagréments, genre [spoiler] quand ça donne une solution à un problème ou quand ça révèle la fin d'un film)
MELMOTH a écrit
( mn.b4897dca759ebd45.12355@free.fr
L'*image* qui te gonfle fait _toujours_ appel à un lien, sur lequel tu
n'es _absolument pas obligé_ de cliquer, n'est-ce pas...
Un lien ne présage aucunement de ce qu'on y trouvera, et quand il est ouvert
c'est trop tard.
(d'ailleurs certains sites mettent une balise à leurs liens pour prévenir de
certains désagréments, genre [spoiler] quand ça donne une solution à un
problème ou quand ça révèle la fin d'un film)
L'*image* qui te gonfle fait _toujours_ appel à un lien, sur lequel tu n'es _absolument pas obligé_ de cliquer, n'est-ce pas...
Un lien ne présage aucunement de ce qu'on y trouvera, et quand il est ouvert c'est trop tard.
(d'ailleurs certains sites mettent une balise à leurs liens pour prévenir de certains désagréments, genre [spoiler] quand ça donne une solution à un problème ou quand ça révèle la fin d'un film)
Bour-Brown
Dominique a écrit ( 50859375$0$23432$ )
À nouveau au risque de me répéter, tes états d'âme indiffèrent les promeneurs de frp.
Le type qui parle au nom des autres maintenant, tiens, ça nous manquait.
Ce qui te « gonfle » fait peut-être le bonheur de certains.
Je n'ai jamais dit le contraire.
Personne ne t'oblige à aller voir les photos que tu appelles des « bouses ».
Quand je suis sur un forum photo, et que je clique sur un lien photo, je n'ai aucune idée de ce qui m'attend. Quand je tombe sur une photo bougée, cramée, bruitée, penchée, et que tout ça n'est pas dans un souci esthétique, ça n'a rien à faire là. Sauf si le posteur a dix ans et souhaite apprendre quelque chose, mais ce n'est jamais le cas. C'est toujours de quelqu'un avec une looooongue expérience, un tas d'appareils, beaucoup d'états d'âme, et très peu d'humilité.
Au passage, je ne trouve aucune critique intéressante dans ce mot.
Bien sûr que si. La preuve : tu réagis immédiatement. (je ne comprendrais décidément jamais ces dénis ridicules)
Et je vais même te dire, tu réagis à mes propos exactement comme je le fais avec ces photos : tu n'aimes pas le propos, tu ne te gênes pas pour le dire. (sauf que toi, c'est bien, et moi, c'est mal, comme c'est original)
ils devraient commencer par apprendre à se taire.
Balaie devant ta porte.
Dominique a écrit
( 50859375$0$23432$ba4acef3@reader.news.orange.fr )
À nouveau au risque de me répéter, tes états d'âme indiffèrent les
promeneurs de frp.
Le type qui parle au nom des autres maintenant, tiens, ça nous manquait.
Ce qui te « gonfle » fait peut-être le bonheur de certains.
Je n'ai jamais dit le contraire.
Personne ne t'oblige à aller voir les photos que tu appelles
des « bouses ».
Quand je suis sur un forum photo, et que je clique sur un lien photo, je
n'ai aucune idée de ce qui m'attend. Quand je tombe sur une photo bougée,
cramée, bruitée, penchée, et que tout ça n'est pas dans un souci esthétique,
ça n'a rien à faire là. Sauf si le posteur a dix ans et souhaite apprendre
quelque chose, mais ce n'est jamais le cas. C'est toujours de quelqu'un avec
une looooongue expérience, un tas d'appareils, beaucoup d'états d'âme, et
très peu d'humilité.
Au passage, je ne trouve aucune critique intéressante dans ce mot.
Bien sûr que si. La preuve : tu réagis immédiatement.
(je ne comprendrais décidément jamais ces dénis ridicules)
Et je vais même te dire, tu réagis à mes propos exactement comme je le fais
avec ces photos : tu n'aimes pas le propos, tu ne te gênes pas pour le dire.
(sauf que toi, c'est bien, et moi, c'est mal, comme c'est original)
À nouveau au risque de me répéter, tes états d'âme indiffèrent les promeneurs de frp.
Le type qui parle au nom des autres maintenant, tiens, ça nous manquait.
Ce qui te « gonfle » fait peut-être le bonheur de certains.
Je n'ai jamais dit le contraire.
Personne ne t'oblige à aller voir les photos que tu appelles des « bouses ».
Quand je suis sur un forum photo, et que je clique sur un lien photo, je n'ai aucune idée de ce qui m'attend. Quand je tombe sur une photo bougée, cramée, bruitée, penchée, et que tout ça n'est pas dans un souci esthétique, ça n'a rien à faire là. Sauf si le posteur a dix ans et souhaite apprendre quelque chose, mais ce n'est jamais le cas. C'est toujours de quelqu'un avec une looooongue expérience, un tas d'appareils, beaucoup d'états d'âme, et très peu d'humilité.
Au passage, je ne trouve aucune critique intéressante dans ce mot.
Bien sûr que si. La preuve : tu réagis immédiatement. (je ne comprendrais décidément jamais ces dénis ridicules)
Et je vais même te dire, tu réagis à mes propos exactement comme je le fais avec ces photos : tu n'aimes pas le propos, tu ne te gênes pas pour le dire. (sauf que toi, c'est bien, et moi, c'est mal, comme c'est original)
ils devraient commencer par apprendre à se taire.
Balaie devant ta porte.
albert
"Laszlo Lebrun" a écrit :
Quelle partition?: - C: - /dev/sdba - /disk(0)
Grouik ! Parti ! Sion ! Neiges éternelles. J'entends comme un bruit sourd au fond de mes entrailles. Non, malheureux, tu n'es plus qu'un robot, crack crack ! J'ai perdu tous mes pixels, il n'y a plus de musique, elle était douce la musique, dans le ventre de ma maman, ma - ma man - ma man - ma - ma - ma ma ma ma ....
Amitiés, albert
"Laszlo Lebrun" a écrit :
Quelle partition?:
- C:
- /dev/sdba
- /disk(0)
Grouik ! Parti ! Sion ! Neiges éternelles. J'entends comme un bruit
sourd au fond de mes entrailles. Non, malheureux, tu n'es plus qu'un robot,
crack crack ! J'ai perdu tous mes pixels, il n'y a plus de musique, elle
était douce la musique, dans le ventre de ma maman, ma - ma man - ma man -
ma - ma - ma ma ma ma ....
Grouik ! Parti ! Sion ! Neiges éternelles. J'entends comme un bruit sourd au fond de mes entrailles. Non, malheureux, tu n'es plus qu'un robot, crack crack ! J'ai perdu tous mes pixels, il n'y a plus de musique, elle était douce la musique, dans le ventre de ma maman, ma - ma man - ma man - ma - ma - ma ma ma ma ....
Amitiés, albert
jdanield
Le 22/10/2012 22:08, albert a écrit :
microcosme de tous petits détails. Quel pied ? Alors, jusqu'où aller trop loin sans que ces détails explosent à l'intérieur de l'image. Voilà pour moi l'essence d'une photographie. Elle t'emmène aussi loin que tu veux aller.
et ça justifie qu'on fasse "péter" la définition pour pouvoir regarder le nez sur l'image :-)
jdd
Le 22/10/2012 22:08, albert a écrit :
microcosme de tous petits détails. Quel pied ? Alors, jusqu'où aller
trop loin sans que ces détails explosent à l'intérieur de l'image.
Voilà pour moi l'essence d'une photographie. Elle t'emmène aussi loin
que tu veux aller.
et ça justifie qu'on fasse "péter" la définition pour pouvoir regarder
le nez sur l'image :-)
microcosme de tous petits détails. Quel pied ? Alors, jusqu'où aller trop loin sans que ces détails explosent à l'intérieur de l'image. Voilà pour moi l'essence d'une photographie. Elle t'emmène aussi loin que tu veux aller.
et ça justifie qu'on fasse "péter" la définition pour pouvoir regarder le nez sur l'image :-)
