Expositions interessantes sur Paris cette semaine ?
117 réponses
Alban Taraire
Bonjour,
de passage a Paris pour la semaine avant de repartir sur Shanghai, je me
demandais quelles expos visiter, niveau photo et/ou culture Chinoise (d'où
le cross-post sauvage).
Erwin Olaf a l'air intéressant coté photo, d'autres choses recommandées par
l'aimable (et érudite, à n'en pas douter) assistance ?
Jamais dit ça, pour la bonne et simple raison que votre sacro-sainte tournure « l'expérience de l'art » n'a aucun sens à mes yeux.
Ah, ça ça n m'étonne pas tiens !
L'érudition c'est une chose, l'art c'en est une autre, et l'expérience personnelle encore une autre.
Certes. Respirer c'est une chose, manger c'en est une autre, et boire une autre encore. Se contenter de respirer, ça ne mène pas très loin...
Ceci dit, il me semble assez indispensable de passer, à un moment donné, du livre à l'oeuvre, et de toucher du doigt (ou de l'oeil) la matière dont il est question dans les dits livres.
Aucun intérêt en ce qui me concerne.
Voir plus haut : ça ne m'étonne pas. C'est bien ce qui fait de toi l'etre stérile et aigri que tu es.
Le monde des bouquins, c'est le monde des idées. Dans ce monde-là les oeuvres ne viennent qu'étayer des raisonnements. En général il y a, quelque part, des références précises pour que le lecteur puisse se faire une idée, et cela suffit parfaitement.
Non. Si le lecteur en question ne va pas voir de lui-meme ces références précises en question, ça ne suffit pas. Certes, je ne dis pas qu'il faut absolument tout voir pour comprendre, mais qu'à un moment donné, passer du livre au vécu change quelque chose, et rend la compréhension plus pleine. L'expérience.
Les mondes de l'art, c'est complètement autre chose. C'est tout un enchevêtrement de structures complexes, organisées, presqu'autonomes. Le conservateur vivra les choses autrement qu'un vendeur, un artiste tout à fait différemment qu'un critique.
Et un spectateur ? C'est là seule chose qui m'intéresse dans ce cas précis. Le "spectateur" qui se contente du livre (pour peu que le livre lui-meme ne soit pas l'oeuvre, évidement) passe clairement à coté d'une bonne partie de l'expérience. Sinon pourquoi crois-tu que les gens se font chier à aller en concert ou au musée, alors qu'ils pourraient très bien rester dans leur salon ? T'as pas une petite idée ? Ou alors c'est juste par snobisme ?
Sur ce forum il n'y a vraiment que vous pour tout mélanger, et surtout tout hiérarchiser. Faudrait toujours être ceci plutôt que cela, vaudrait par exemple mieux être artiste qu'érudit, vaudrait mieux être amateur que critique, etc.
encore un strawman, je ne vois pas du tout où j'ai bien pu établir une telle hiérarchie. Pour ce genre de choses tu as une imagination débordante, que tu devrais plutot utiliser à autre chose. A tes photos par exemple. Mélanger, oui. L'expérience du livre et de l'oeuvre est à mélanger. Hiérarchiser, tu fantasmes.
Dans la vraie vie, on peut être cela tout à la fois, à des degrés divers et à divers moments. Le monde des autres n'est pas aussi manichéen que le vôtre, voilà tout.
On peut, en effet, c'est d'ailleurs sans doute le mieux. Ton problème c'est que tu ne l'es pas, vu que tu craches sur l'expérience au seul profit du livre.
Pour synthétiser, ton savoir livresque est stérile s'il n'est accompagné de l'expérience physique, du contact avec l'art.
Ce n'est pas toi qui décide de ce qui est stérile et ce qui est fécond.
Tu as raison, je ne le décide pas, je le constate. Y a que toi pour mélanger ces notions...
De toute façon, parler de contact avec l'art au sujet d'expos, c'est comme parler de contact avec la nature au sujet des ménageries. Une oeuvre hors de son contexte, c'est comme un zèbre en cage : http://cjoint.com/?fxsdPhFbJ4
Ben en général une bonne expo s'attache à mettre les oeuvres dans "leur" contexte (si tant est qu'elles en aient un et un seul, ce qui est largement débatable). Mais meme quand ce n'est pas le cas, je ne suis pas d'accord du tout : une oeuvre peut très bien se suffir à elle-meme, ou plutot la relation spectateur/oeuvre peut très bien se suffir à elle-meme. Il n'est d'ailleurs clairement pas exclu que cette relation fonctionne dans des contextes complètement différents de celui de la génèse de l'oeuvre. C'est d'ailleurs d'autant plus évident que comme il n'y a que cette relation qui compte, il y a autant de relations que de spectateurs, le spectateur étant lui-meme partie prenante du "contexte" de la relation.
En plus ton discours n'a finalement ni queue ni tete vu que tu ne définis pas ce que tu appelles "le contexte d'une oeuvre". C'est quoi, son contexte ? L'atelier de l'artiste ?
tu es clairement limité dans ton expérience de l'art, c'est tout.
Ben voyons.
Ben voila.
Ou alors tu considères que visiter une expo c'est pré-digéré ?
Bien sûr que c'est pré-digéré, et il n'y a vraiment que toi pour ne pas t'en rendre compte.
Aujourd'hui l'organisation de ces expositions thématiques, dans lesquelles on réunit avec grand battage médiatique des oeuvres diverses dans le seul objectif de créer l'événement, c'est faire de la culture un produit de (grande) consommation, y a qu'à voir comment on bassine les lecteurs du Figaro Madame ou du Nouvel Observateur à ce sujet.
Ah ben oui, toutes les expositions de Paris ne sont que de grandes expositions thématiques à grand battage médiatique pour faire de la culture un produit de (grande) consomation. Evidement ! Tu m'ouvres les yeux, comment ne l'ai-je pas compris plus tot ?
T'as vraiment peur de rien... Enfin heureusement pour toi, le ridicule ne tue plus.
J'aime pas, c'est encore mon droit, non ?
Ahhh, bah voila le coeur de la question ! Sous ses dehors d'érudit grisonnant, abime de références livresques, puits de science artistique, BB, clamant sa haine des foules, son incommensurable originalité et sa lucidité tourmentée par le sombre avenir de l'art de grande consomation, n'est en fait qu'un imbécile de plus qui confond gout et qualité.
J'aime pas, donc c'est de la merde.
Eh bah c'est du joli tiens. Je pensais qu'on avait dépassé ça meme dans les livres, non ?
Décidément, tu es bien peu de chose.
Absolument. Minuscule, je suis.
Et pourtant tellement bruyant...
-- Alban
Bour-Brown wrote:
Jamais dit ça, pour la bonne et simple raison que votre sacro-sainte
tournure « l'expérience de l'art » n'a aucun sens à mes yeux.
Ah, ça ça n m'étonne pas tiens !
L'érudition c'est une chose, l'art c'en est une autre, et l'expérience
personnelle encore une autre.
Certes. Respirer c'est une chose, manger c'en est une autre, et boire une
autre encore. Se contenter de respirer, ça ne mène pas très loin...
Ceci dit, il me semble assez indispensable de passer, à un moment donné,
du livre à l'oeuvre, et de toucher du doigt (ou de l'oeil) la matière
dont il est question dans les dits livres.
Aucun intérêt en ce qui me concerne.
Voir plus haut : ça ne m'étonne pas. C'est bien ce qui fait de toi l'etre
stérile et aigri que tu es.
Le monde des bouquins, c'est le monde des idées. Dans ce monde-là les
oeuvres ne viennent qu'étayer des raisonnements. En général il y a,
quelque part, des références précises pour que le lecteur puisse se faire
une idée, et cela suffit parfaitement.
Non. Si le lecteur en question ne va pas voir de lui-meme ces références
précises en question, ça ne suffit pas. Certes, je ne dis pas qu'il faut
absolument tout voir pour comprendre, mais qu'à un moment donné, passer du
livre au vécu change quelque chose, et rend la compréhension plus pleine.
L'expérience.
Les mondes de l'art, c'est complètement autre chose. C'est tout un
enchevêtrement de structures complexes, organisées, presqu'autonomes. Le
conservateur vivra les choses autrement qu'un vendeur, un artiste tout à
fait différemment qu'un critique.
Et un spectateur ? C'est là seule chose qui m'intéresse dans ce cas précis.
Le "spectateur" qui se contente du livre (pour peu que le livre lui-meme ne
soit pas l'oeuvre, évidement) passe clairement à coté d'une bonne partie de
l'expérience.
Sinon pourquoi crois-tu que les gens se font chier à aller en concert ou au
musée, alors qu'ils pourraient très bien rester dans leur salon ? T'as pas
une petite idée ? Ou alors c'est juste par snobisme ?
Sur ce forum il n'y a vraiment que vous pour tout mélanger, et surtout
tout hiérarchiser. Faudrait toujours être ceci plutôt que cela, vaudrait
par exemple mieux être artiste qu'érudit, vaudrait mieux être amateur que
critique, etc.
encore un strawman, je ne vois pas du tout où j'ai bien pu établir une telle
hiérarchie. Pour ce genre de choses tu as une imagination débordante, que
tu devrais plutot utiliser à autre chose. A tes photos par exemple.
Mélanger, oui. L'expérience du livre et de l'oeuvre est à mélanger.
Hiérarchiser, tu fantasmes.
Dans la vraie vie, on peut être cela tout à la fois, à des degrés divers
et à divers moments. Le monde des autres n'est pas aussi manichéen que le
vôtre, voilà tout.
On peut, en effet, c'est d'ailleurs sans doute le mieux. Ton problème c'est
que tu ne l'es pas, vu que tu craches sur l'expérience au seul profit du
livre.
Pour synthétiser, ton savoir livresque est stérile s'il n'est accompagné
de l'expérience physique, du contact avec l'art.
Ce n'est pas toi qui décide de ce qui est stérile et ce qui est fécond.
Tu as raison, je ne le décide pas, je le constate. Y a que toi pour mélanger
ces notions...
De toute façon, parler de contact avec l'art au sujet d'expos, c'est comme
parler de contact avec la nature au sujet des ménageries. Une oeuvre hors
de son contexte, c'est comme un zèbre en cage :
http://cjoint.com/?fxsdPhFbJ4
Ben en général une bonne expo s'attache à mettre les oeuvres dans "leur"
contexte (si tant est qu'elles en aient un et un seul, ce qui est largement
débatable).
Mais meme quand ce n'est pas le cas, je ne suis pas d'accord du tout : une
oeuvre peut très bien se suffir à elle-meme, ou plutot la relation
spectateur/oeuvre peut très bien se suffir à elle-meme.
Il n'est d'ailleurs clairement pas exclu que cette relation fonctionne dans
des contextes complètement différents de celui de la génèse de l'oeuvre.
C'est d'ailleurs d'autant plus évident que comme il n'y a que cette relation
qui compte, il y a autant de relations que de spectateurs, le spectateur
étant lui-meme partie prenante du "contexte" de la relation.
En plus ton discours n'a finalement ni queue ni tete vu que tu ne définis
pas ce que tu appelles "le contexte d'une oeuvre". C'est quoi, son
contexte ? L'atelier de l'artiste ?
tu es clairement limité dans ton expérience de l'art, c'est tout.
Ben voyons.
Ben voila.
Ou alors tu considères que visiter une expo c'est pré-digéré ?
Bien sûr que c'est pré-digéré, et il n'y a vraiment que toi pour ne pas
t'en rendre compte.
Aujourd'hui l'organisation de ces expositions thématiques, dans lesquelles
on réunit avec grand battage médiatique des oeuvres diverses dans le seul
objectif de créer l'événement, c'est faire de la culture un produit de
(grande) consommation, y a qu'à voir comment on bassine les lecteurs du
Figaro Madame ou du Nouvel Observateur à ce sujet.
Ah ben oui, toutes les expositions de Paris ne sont que de grandes
expositions thématiques à grand battage médiatique pour faire de la culture
un produit de (grande) consomation.
Evidement ! Tu m'ouvres les yeux, comment ne l'ai-je pas compris plus tot ?
T'as vraiment peur de rien... Enfin heureusement pour toi, le ridicule ne
tue plus.
J'aime pas, c'est encore mon droit, non ?
Ahhh, bah voila le coeur de la question ! Sous ses dehors d'érudit
grisonnant, abime de références livresques, puits de science artistique,
BB, clamant sa haine des foules, son incommensurable originalité et sa
lucidité tourmentée par le sombre avenir de l'art de grande consomation,
n'est en fait qu'un imbécile de plus qui confond gout et qualité.
J'aime pas, donc c'est de la merde.
Eh bah c'est du joli tiens. Je pensais qu'on avait dépassé ça meme dans les
livres, non ?
Jamais dit ça, pour la bonne et simple raison que votre sacro-sainte tournure « l'expérience de l'art » n'a aucun sens à mes yeux.
Ah, ça ça n m'étonne pas tiens !
L'érudition c'est une chose, l'art c'en est une autre, et l'expérience personnelle encore une autre.
Certes. Respirer c'est une chose, manger c'en est une autre, et boire une autre encore. Se contenter de respirer, ça ne mène pas très loin...
Ceci dit, il me semble assez indispensable de passer, à un moment donné, du livre à l'oeuvre, et de toucher du doigt (ou de l'oeil) la matière dont il est question dans les dits livres.
Aucun intérêt en ce qui me concerne.
Voir plus haut : ça ne m'étonne pas. C'est bien ce qui fait de toi l'etre stérile et aigri que tu es.
Le monde des bouquins, c'est le monde des idées. Dans ce monde-là les oeuvres ne viennent qu'étayer des raisonnements. En général il y a, quelque part, des références précises pour que le lecteur puisse se faire une idée, et cela suffit parfaitement.
Non. Si le lecteur en question ne va pas voir de lui-meme ces références précises en question, ça ne suffit pas. Certes, je ne dis pas qu'il faut absolument tout voir pour comprendre, mais qu'à un moment donné, passer du livre au vécu change quelque chose, et rend la compréhension plus pleine. L'expérience.
Les mondes de l'art, c'est complètement autre chose. C'est tout un enchevêtrement de structures complexes, organisées, presqu'autonomes. Le conservateur vivra les choses autrement qu'un vendeur, un artiste tout à fait différemment qu'un critique.
Et un spectateur ? C'est là seule chose qui m'intéresse dans ce cas précis. Le "spectateur" qui se contente du livre (pour peu que le livre lui-meme ne soit pas l'oeuvre, évidement) passe clairement à coté d'une bonne partie de l'expérience. Sinon pourquoi crois-tu que les gens se font chier à aller en concert ou au musée, alors qu'ils pourraient très bien rester dans leur salon ? T'as pas une petite idée ? Ou alors c'est juste par snobisme ?
Sur ce forum il n'y a vraiment que vous pour tout mélanger, et surtout tout hiérarchiser. Faudrait toujours être ceci plutôt que cela, vaudrait par exemple mieux être artiste qu'érudit, vaudrait mieux être amateur que critique, etc.
encore un strawman, je ne vois pas du tout où j'ai bien pu établir une telle hiérarchie. Pour ce genre de choses tu as une imagination débordante, que tu devrais plutot utiliser à autre chose. A tes photos par exemple. Mélanger, oui. L'expérience du livre et de l'oeuvre est à mélanger. Hiérarchiser, tu fantasmes.
Dans la vraie vie, on peut être cela tout à la fois, à des degrés divers et à divers moments. Le monde des autres n'est pas aussi manichéen que le vôtre, voilà tout.
On peut, en effet, c'est d'ailleurs sans doute le mieux. Ton problème c'est que tu ne l'es pas, vu que tu craches sur l'expérience au seul profit du livre.
Pour synthétiser, ton savoir livresque est stérile s'il n'est accompagné de l'expérience physique, du contact avec l'art.
Ce n'est pas toi qui décide de ce qui est stérile et ce qui est fécond.
Tu as raison, je ne le décide pas, je le constate. Y a que toi pour mélanger ces notions...
De toute façon, parler de contact avec l'art au sujet d'expos, c'est comme parler de contact avec la nature au sujet des ménageries. Une oeuvre hors de son contexte, c'est comme un zèbre en cage : http://cjoint.com/?fxsdPhFbJ4
Ben en général une bonne expo s'attache à mettre les oeuvres dans "leur" contexte (si tant est qu'elles en aient un et un seul, ce qui est largement débatable). Mais meme quand ce n'est pas le cas, je ne suis pas d'accord du tout : une oeuvre peut très bien se suffir à elle-meme, ou plutot la relation spectateur/oeuvre peut très bien se suffir à elle-meme. Il n'est d'ailleurs clairement pas exclu que cette relation fonctionne dans des contextes complètement différents de celui de la génèse de l'oeuvre. C'est d'ailleurs d'autant plus évident que comme il n'y a que cette relation qui compte, il y a autant de relations que de spectateurs, le spectateur étant lui-meme partie prenante du "contexte" de la relation.
En plus ton discours n'a finalement ni queue ni tete vu que tu ne définis pas ce que tu appelles "le contexte d'une oeuvre". C'est quoi, son contexte ? L'atelier de l'artiste ?
tu es clairement limité dans ton expérience de l'art, c'est tout.
Ben voyons.
Ben voila.
Ou alors tu considères que visiter une expo c'est pré-digéré ?
Bien sûr que c'est pré-digéré, et il n'y a vraiment que toi pour ne pas t'en rendre compte.
Aujourd'hui l'organisation de ces expositions thématiques, dans lesquelles on réunit avec grand battage médiatique des oeuvres diverses dans le seul objectif de créer l'événement, c'est faire de la culture un produit de (grande) consommation, y a qu'à voir comment on bassine les lecteurs du Figaro Madame ou du Nouvel Observateur à ce sujet.
Ah ben oui, toutes les expositions de Paris ne sont que de grandes expositions thématiques à grand battage médiatique pour faire de la culture un produit de (grande) consomation. Evidement ! Tu m'ouvres les yeux, comment ne l'ai-je pas compris plus tot ?
T'as vraiment peur de rien... Enfin heureusement pour toi, le ridicule ne tue plus.
J'aime pas, c'est encore mon droit, non ?
Ahhh, bah voila le coeur de la question ! Sous ses dehors d'érudit grisonnant, abime de références livresques, puits de science artistique, BB, clamant sa haine des foules, son incommensurable originalité et sa lucidité tourmentée par le sombre avenir de l'art de grande consomation, n'est en fait qu'un imbécile de plus qui confond gout et qualité.
J'aime pas, donc c'est de la merde.
Eh bah c'est du joli tiens. Je pensais qu'on avait dépassé ça meme dans les livres, non ?
Décidément, tu es bien peu de chose.
Absolument. Minuscule, je suis.
Et pourtant tellement bruyant...
-- Alban
jpw
"Alban Taraire" a écrit
Voir plus haut : ça ne m'étonne pas. C'est bien ce qui fait de toi l'etre stérile et aigri que tu es.
je ne trouve BB ni stérile ni aigi ????
t'es pas très crédible mon pauvre alban.
jpw
"Alban Taraire" <alban.taraire@netk5.com> a écrit
Voir plus haut : ça ne m'étonne pas. C'est bien ce qui fait de toi l'etre
stérile et aigri que tu es.
Voir plus haut : ça ne m'étonne pas. C'est bien ce qui fait de toi l'etre stérile et aigri que tu es.
je ne trouve BB ni stérile ni aigi ????
t'es pas très crédible mon pauvre alban.
jpw
140 lignes sur Usenet, perdu d'avance... même sur le news réservé à l'art.
-- G.Ricco
Bour-Brown
FiLH a écrit ( 1j07toi.arpmp2suzeohN% )
Mais c'est qu'il nous fait sa petite crise le BB !
Même pas.
Ta réponse : « sur le paysage ou la peinture de lettrés il n'y a pas un pet de réflexions sur le sujet » est d'une telle bêtise que je préfère t'orienter vers des lectures de ton niveau, c'est tout.
FiLH a écrit
( 1j07toi.arpmp2suzeohN%filh@filh.orgie )
Mais c'est qu'il nous fait sa petite crise le BB !
Même pas.
Ta réponse : « sur le paysage ou la peinture de lettrés il n'y a pas un pet
de réflexions sur le sujet » est d'une telle bêtise que je préfère
t'orienter vers des lectures de ton niveau, c'est tout.
Mais c'est qu'il nous fait sa petite crise le BB !
Même pas.
Ta réponse : « sur le paysage ou la peinture de lettrés il n'y a pas un pet de réflexions sur le sujet » est d'une telle bêtise que je préfère t'orienter vers des lectures de ton niveau, c'est tout.
Bour-Brown
Alban Taraire a écrit ( gvchde$dci$ )
Non. Si le lecteur en question ne va pas voir de lui-meme ces références précises en question, ça ne suffit pas.
Je me marre, c'est avec ce genre de raisonnement que des millions de pékins s'agglutinent chaque année devant la Joconde.
À t'entendre, à chaque lecture un peu construite il faudrait courir aux quatre coins du monde - en admettant que les oeuvres de références existent encore et ne font pas partie de collections privées bien sûr - ce qui est tellement détaché de tout réalisme que je commence à comprendre vos lacunes...
Seulement ça ne marche pas comme ça. Si on veut étudier un domaine artistique, par exemple le gothique au moyen âge, on commence à s'enfiler un max de connaissances, on fera les cathédrales après.
(et on ne laisse pas entendre que le type qui a les connaissances n'aurait pas fait les cathédrales, soit dit en passant)
passer du livre au vécu change quelque chose, et rend la compréhension plus pleine.
Je ne sais pas ce que ça veut dire, mais certes.
L'expérience du livre et de l'oeuvre est à mélanger.
L'expérience du livre est à mélanger...
Pfff, un livre ça se lit, c'est tout.
Ben en général une bonne expo s'attache à mettre les oeuvres dans "leur" contexte
Faut le dire vite, hein.
la relation spectateur/oeuvre peut très bien se suffir à elle-meme.
La relation spectateur/oeuvre maintenant...
Un spectateur, c'est quelqu'un qui regarde un événement, point. Que des artistes ou des critiques en mal de lyrisme inventent des tournures d'un air entendu moi je veux bien, mais si c'est pour dire finalement que les gens qui assistent à une manifestation éprouvent des sentiments ou des réactions, c'est très banal et on n'est pas plus avancé.
Il n'est d'ailleurs clairement pas exclu que cette relation fonctionne dans des contextes complètement différents de celui de la génèse de l'oeuvre.
[bâillement]
il y a autant de relations que de spectateurs, le spectateur étant lui-meme partie prenante du "contexte" de la relation.
[bâillement]
Et pourtant tellement bruyant...
Du bruit, je n'ai pas l'impression d'être le seul à en faire, sur ce coup.
Sérieusement, tu nous fais quoi, là, une nouvelle forme de pipotron ?
Alban Taraire a écrit
( gvchde$dci$1@eweb.domicile )
Non. Si le lecteur en question ne va pas voir de lui-meme ces références
précises en question, ça ne suffit pas.
Je me marre, c'est avec ce genre de raisonnement que des millions de pékins
s'agglutinent chaque année devant la Joconde.
À t'entendre, à chaque lecture un peu construite il faudrait courir aux
quatre coins du monde - en admettant que les oeuvres de références existent
encore et ne font pas partie de collections privées bien sûr - ce qui est
tellement détaché de tout réalisme que je commence à comprendre vos
lacunes...
Seulement ça ne marche pas comme ça. Si on veut étudier un domaine
artistique, par exemple le gothique au moyen âge, on commence à s'enfiler un
max de connaissances, on fera les cathédrales après.
(et on ne laisse pas entendre que le type qui a les connaissances n'aurait
pas fait les cathédrales, soit dit en passant)
passer du livre au vécu change quelque chose, et rend la compréhension
plus pleine.
Je ne sais pas ce que ça veut dire, mais certes.
L'expérience du livre et de l'oeuvre est à mélanger.
L'expérience du livre est à mélanger...
Pfff, un livre ça se lit, c'est tout.
Ben en général une bonne expo s'attache à mettre les oeuvres dans "leur"
contexte
Faut le dire vite, hein.
la relation spectateur/oeuvre peut très bien se suffir à elle-meme.
La relation spectateur/oeuvre maintenant...
Un spectateur, c'est quelqu'un qui regarde un événement, point. Que des
artistes ou des critiques en mal de lyrisme inventent des tournures d'un air
entendu moi je veux bien, mais si c'est pour dire finalement que les gens
qui assistent à une manifestation éprouvent des sentiments ou des réactions,
c'est très banal et on n'est pas plus avancé.
Il n'est d'ailleurs clairement pas exclu que cette relation fonctionne
dans des contextes complètement différents de celui de la génèse de
l'oeuvre.
[bâillement]
il y a autant de relations que de spectateurs, le spectateur étant
lui-meme partie prenante du "contexte" de la relation.
[bâillement]
Et pourtant tellement bruyant...
Du bruit, je n'ai pas l'impression d'être le seul à en faire, sur ce coup.
Sérieusement, tu nous fais quoi, là, une nouvelle forme de pipotron ?
Non. Si le lecteur en question ne va pas voir de lui-meme ces références précises en question, ça ne suffit pas.
Je me marre, c'est avec ce genre de raisonnement que des millions de pékins s'agglutinent chaque année devant la Joconde.
À t'entendre, à chaque lecture un peu construite il faudrait courir aux quatre coins du monde - en admettant que les oeuvres de références existent encore et ne font pas partie de collections privées bien sûr - ce qui est tellement détaché de tout réalisme que je commence à comprendre vos lacunes...
Seulement ça ne marche pas comme ça. Si on veut étudier un domaine artistique, par exemple le gothique au moyen âge, on commence à s'enfiler un max de connaissances, on fera les cathédrales après.
(et on ne laisse pas entendre que le type qui a les connaissances n'aurait pas fait les cathédrales, soit dit en passant)
passer du livre au vécu change quelque chose, et rend la compréhension plus pleine.
Je ne sais pas ce que ça veut dire, mais certes.
L'expérience du livre et de l'oeuvre est à mélanger.
L'expérience du livre est à mélanger...
Pfff, un livre ça se lit, c'est tout.
Ben en général une bonne expo s'attache à mettre les oeuvres dans "leur" contexte
Faut le dire vite, hein.
la relation spectateur/oeuvre peut très bien se suffir à elle-meme.
La relation spectateur/oeuvre maintenant...
Un spectateur, c'est quelqu'un qui regarde un événement, point. Que des artistes ou des critiques en mal de lyrisme inventent des tournures d'un air entendu moi je veux bien, mais si c'est pour dire finalement que les gens qui assistent à une manifestation éprouvent des sentiments ou des réactions, c'est très banal et on n'est pas plus avancé.
Il n'est d'ailleurs clairement pas exclu que cette relation fonctionne dans des contextes complètement différents de celui de la génèse de l'oeuvre.
[bâillement]
il y a autant de relations que de spectateurs, le spectateur étant lui-meme partie prenante du "contexte" de la relation.
[bâillement]
Et pourtant tellement bruyant...
Du bruit, je n'ai pas l'impression d'être le seul à en faire, sur ce coup.
Sérieusement, tu nous fais quoi, là, une nouvelle forme de pipotron ?
Delestaque
Bour-Brown wrote:
FiLH a écrit ( 1j07toi.arpmp2suzeohN% )
Mais c'est qu'il nous fait sa petite crise le BB !
Même pas.
Ta réponse : « sur le paysage ou la peinture de lettrés il n'y a pas un pet de réflexions sur le sujet » est d'une telle bêtise que je préfère t'orienter vers des lectures de ton niveau, c'est tout.
en principe il se contente d'une synthèse de Wiki et s'appuie sur les critiques des autres.
-- G.Ricco
Bour-Brown wrote:
FiLH a écrit
( 1j07toi.arpmp2suzeohN%filh@filh.orgie )
Mais c'est qu'il nous fait sa petite crise le BB !
Même pas.
Ta réponse : « sur le paysage ou la peinture de lettrés il n'y a pas
un pet de réflexions sur le sujet » est d'une telle bêtise que je
préfère t'orienter vers des lectures de ton niveau, c'est tout.
en principe il se contente d'une synthèse de Wiki et s'appuie sur les
critiques des autres.
Mais c'est qu'il nous fait sa petite crise le BB !
Même pas.
Ta réponse : « sur le paysage ou la peinture de lettrés il n'y a pas un pet de réflexions sur le sujet » est d'une telle bêtise que je préfère t'orienter vers des lectures de ton niveau, c'est tout.
en principe il se contente d'une synthèse de Wiki et s'appuie sur les critiques des autres.
-- G.Ricco
filh
Bour-Brown wrote:
FiLH a écrit ( 1j07toi.arpmp2suzeohN% )
> Mais c'est qu'il nous fait sa petite crise le BB !
Même pas.
Ta réponse : « sur le paysage ou la peinture de lettrés il n'y a pas un pet de réflexions sur le sujet » est d'une telle bêtise
Allons bon.. . si Sa Boursouflure BB le dit...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Bour-Brown <bour-brown@wnd.fr> wrote:
FiLH a écrit
( 1j07toi.arpmp2suzeohN%filh@filh.orgie )
> Mais c'est qu'il nous fait sa petite crise le BB !
Même pas.
Ta réponse : « sur le paysage ou la peinture de lettrés il n'y a pas un pet
de réflexions sur le sujet » est d'une telle bêtise
Allons bon.. . si Sa Boursouflure BB le dit...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
> Mais c'est qu'il nous fait sa petite crise le BB !
Même pas.
Ta réponse : « sur le paysage ou la peinture de lettrés il n'y a pas un pet de réflexions sur le sujet » est d'une telle bêtise
Allons bon.. . si Sa Boursouflure BB le dit...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
Delestaque wrote:
Tiens youki qui court derrière BB pour poser sa petite crotte...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Delestaque <1@1.com> wrote:
Tiens youki qui court derrière BB pour poser sa petite crotte...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Tiens youki qui court derrière BB pour poser sa petite crotte...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
Bour-Brown wrote:
Seulement ça ne marche pas comme ça. Si on veut étudier un domaine artistique, par exemple le gothique au moyen âge, on commence à s'enfiler un max de connaissances, on fera les cathédrales après.
Et d'où elle tient ça Sa Boursouflure ?
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Bour-Brown <bour-brown@wnd.fr> wrote:
Seulement ça ne marche pas comme ça. Si on veut étudier un domaine
artistique, par exemple le gothique au moyen âge, on commence à s'enfiler un
max de connaissances, on fera les cathédrales après.
Et d'où elle tient ça Sa Boursouflure ?
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Seulement ça ne marche pas comme ça. Si on veut étudier un domaine artistique, par exemple le gothique au moyen âge, on commence à s'enfiler un max de connaissances, on fera les cathédrales après.
Et d'où elle tient ça Sa Boursouflure ?
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org