Le 17/07/11 12:32, Octave a écrit :"Suite" dans un de mes lieux favoris.
Maintenant, un an après l'incendie.www.octav.fr/quotidien/11-07-16/16juil11.html
Ça repousse autour des arbres morts, tout s'intègre. La ballade est
belle, les photos délicates et surtout la série très homogène, plus que
d'habitude où c'est l'idée (il me semble) qui te guide et là, juste le
regard. Un regard attentif. Ce n'est que du plaisir ; je suis d'accord
c'est varié et uni en même temps.
Noëlle Adam
Le 17/07/11 12:32, Octave a écrit :
"Suite" dans un de mes lieux favoris.
Maintenant, un an après l'incendie.
www.octav.fr/quotidien/11-07-16/16juil11.html
Ça repousse autour des arbres morts, tout s'intègre. La ballade est
belle, les photos délicates et surtout la série très homogène, plus que
d'habitude où c'est l'idée (il me semble) qui te guide et là, juste le
regard. Un regard attentif. Ce n'est que du plaisir ; je suis d'accord
c'est varié et uni en même temps.
Noëlle Adam
Le 17/07/11 12:32, Octave a écrit :"Suite" dans un de mes lieux favoris.
Maintenant, un an après l'incendie.www.octav.fr/quotidien/11-07-16/16juil11.html
Ça repousse autour des arbres morts, tout s'intègre. La ballade est
belle, les photos délicates et surtout la série très homogène, plus que
d'habitude où c'est l'idée (il me semble) qui te guide et là, juste le
regard. Un regard attentif. Ce n'est que du plaisir ; je suis d'accord
c'est varié et uni en même temps.
Noëlle Adam
"Suite" dans un de mes lieux favoris.
Maintenant, un an après l'incendie.
Pour ceux qui ont suivi le post sur cette optique, c'est au nikkor 20mm
2.8D.
Première à 100 iso, les deux d'après à 400 iso, toutes les suivantes à
800 iso.
Au départ, c'était pour un essai de matière pour des passages de couleur
au N&B. Et puis finalement, j'ai fait beaucoup de photos comme si
j'étais en manque après quelques jours sans, mais j'ai surtout vu pas
mal de choses intéressantes dans cette sortie.
J'ai vu la lumière. Le rendu avec la montée du bruit semble,
bizarrement, aider à retrouver cette qualité de lumière souvent à
contre-jour, avec la transparence des herbes.
J'ai aussi vu tous ces cadrages possibles dans ces "chaos", le plaisir
de faire une mise en place ordonnée en voyant les "constructions" en
passant.
Après le recul d'un jour, je pense que ça tient la route, au moins pour
le montrer ici et espérer un retour positif.
Donc, le prétexte du titre du post, c'est comme tout sujet, c'est juste
pour attirer l'oeil. ce n'est pas lui qui importe.
Ce qui m'intéresse dans ce lieu, c'est le chaos, la possibilité infinie
de cadrages dans la durée de la balade, mais aussi d'un jour sur
l'autre. C'est toujours changeant.
Le petit (pic en) plus, c'est que c'est aussi toujours "pareil":
www.octav.fr/quotidien/11-07-16/16juil11.html
Pour les fatigués de ce que je montre, voici un résumé:
www.octav.fr/quotidien/11-07-16/01.html
www.octav.fr/quotidien/11-07-16/06.html
www.octav.fr/quotidien/11-07-16/09.html
www.octav.fr/quotidien/11-07-16/21.html
www.octav.fr/quotidien/11-07-16/23.html
"Suite" dans un de mes lieux favoris.
Maintenant, un an après l'incendie.
Pour ceux qui ont suivi le post sur cette optique, c'est au nikkor 20mm
2.8D.
Première à 100 iso, les deux d'après à 400 iso, toutes les suivantes à
800 iso.
Au départ, c'était pour un essai de matière pour des passages de couleur
au N&B. Et puis finalement, j'ai fait beaucoup de photos comme si
j'étais en manque après quelques jours sans, mais j'ai surtout vu pas
mal de choses intéressantes dans cette sortie.
J'ai vu la lumière. Le rendu avec la montée du bruit semble,
bizarrement, aider à retrouver cette qualité de lumière souvent à
contre-jour, avec la transparence des herbes.
J'ai aussi vu tous ces cadrages possibles dans ces "chaos", le plaisir
de faire une mise en place ordonnée en voyant les "constructions" en
passant.
Après le recul d'un jour, je pense que ça tient la route, au moins pour
le montrer ici et espérer un retour positif.
Donc, le prétexte du titre du post, c'est comme tout sujet, c'est juste
pour attirer l'oeil. ce n'est pas lui qui importe.
Ce qui m'intéresse dans ce lieu, c'est le chaos, la possibilité infinie
de cadrages dans la durée de la balade, mais aussi d'un jour sur
l'autre. C'est toujours changeant.
Le petit (pic en) plus, c'est que c'est aussi toujours "pareil":
www.octav.fr/quotidien/11-07-16/16juil11.html
Pour les fatigués de ce que je montre, voici un résumé:
www.octav.fr/quotidien/11-07-16/01.html
www.octav.fr/quotidien/11-07-16/06.html
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www.octav.fr/quotidien/11-07-16/21.html
www.octav.fr/quotidien/11-07-16/23.html
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Maintenant, un an après l'incendie.
Pour ceux qui ont suivi le post sur cette optique, c'est au nikkor 20mm
2.8D.
Première à 100 iso, les deux d'après à 400 iso, toutes les suivantes à
800 iso.
Au départ, c'était pour un essai de matière pour des passages de couleur
au N&B. Et puis finalement, j'ai fait beaucoup de photos comme si
j'étais en manque après quelques jours sans, mais j'ai surtout vu pas
mal de choses intéressantes dans cette sortie.
J'ai vu la lumière. Le rendu avec la montée du bruit semble,
bizarrement, aider à retrouver cette qualité de lumière souvent à
contre-jour, avec la transparence des herbes.
J'ai aussi vu tous ces cadrages possibles dans ces "chaos", le plaisir
de faire une mise en place ordonnée en voyant les "constructions" en
passant.
Après le recul d'un jour, je pense que ça tient la route, au moins pour
le montrer ici et espérer un retour positif.
Donc, le prétexte du titre du post, c'est comme tout sujet, c'est juste
pour attirer l'oeil. ce n'est pas lui qui importe.
Ce qui m'intéresse dans ce lieu, c'est le chaos, la possibilité infinie
de cadrages dans la durée de la balade, mais aussi d'un jour sur
l'autre. C'est toujours changeant.
Le petit (pic en) plus, c'est que c'est aussi toujours "pareil":
www.octav.fr/quotidien/11-07-16/16juil11.html
Pour les fatigués de ce que je montre, voici un résumé:
www.octav.fr/quotidien/11-07-16/01.html
www.octav.fr/quotidien/11-07-16/06.html
www.octav.fr/quotidien/11-07-16/09.html
www.octav.fr/quotidien/11-07-16/21.html
www.octav.fr/quotidien/11-07-16/23.html
Personellement, je ne vois rien dans ces photos qui explique pourquoi tu
as pris cette photo et pas une autre. Ca fait complètement pris au
hasard. Ca me fait penser à ces gens qui accrochent un appareil photo en
automatique au cou de leur chat (alias "catcam"). Ici, c'est une sorte
d'espèce de genre d'octavcam, Mais sur les chats, c'est drôle et parfois
instructif.
Personellement, je ne vois rien dans ces photos qui explique pourquoi tu
as pris cette photo et pas une autre. Ca fait complètement pris au
hasard. Ca me fait penser à ces gens qui accrochent un appareil photo en
automatique au cou de leur chat (alias "catcam"). Ici, c'est une sorte
d'espèce de genre d'octavcam, Mais sur les chats, c'est drôle et parfois
instructif.
Personellement, je ne vois rien dans ces photos qui explique pourquoi tu
as pris cette photo et pas une autre. Ca fait complètement pris au
hasard. Ca me fait penser à ces gens qui accrochent un appareil photo en
automatique au cou de leur chat (alias "catcam"). Ici, c'est une sorte
d'espèce de genre d'octavcam, Mais sur les chats, c'est drôle et parfois
instructif.
Le 18/07/2011 08:03, Ofnuts a écrit :
Cette photo est cadrée d'abord pour cet arbre décalé à droite mais qui
ramène le regard à gauche. La branche en bas à gauche et le poteau
carbonisé rééquilibrent l'image, ainsi que les fils barbelées qui sont
pourtant dans un autre sens. Ensuite, il y a toute une pluie de
branches qui partent du haut qui forment comme un cadre. Sans oublier
cette branche lumineuse qui part du premier arbre dans une diagonale
qui dirige mais qui ne ferme pas. L'image est aérée. Reste ensuite le
remplissage, les points de vert qui partent du sol dans une très
légère diagonale, et la terre riche de détails, de matière.
Les gros points cités plus haut sont très noirs, c'est voulu par le
sujet. Ce qui m'a bloqué pendant presque un an, je le sens maintenant
comme pouvant entrer dans l'image. Peut-être le moment où la nature
montre sa puissance.
Le 18/07/2011 08:03, Ofnuts a écrit :
Cette photo est cadrée d'abord pour cet arbre décalé à droite mais qui
ramène le regard à gauche. La branche en bas à gauche et le poteau
carbonisé rééquilibrent l'image, ainsi que les fils barbelées qui sont
pourtant dans un autre sens. Ensuite, il y a toute une pluie de
branches qui partent du haut qui forment comme un cadre. Sans oublier
cette branche lumineuse qui part du premier arbre dans une diagonale
qui dirige mais qui ne ferme pas. L'image est aérée. Reste ensuite le
remplissage, les points de vert qui partent du sol dans une très
légère diagonale, et la terre riche de détails, de matière.
Les gros points cités plus haut sont très noirs, c'est voulu par le
sujet. Ce qui m'a bloqué pendant presque un an, je le sens maintenant
comme pouvant entrer dans l'image. Peut-être le moment où la nature
montre sa puissance.
Le 18/07/2011 08:03, Ofnuts a écrit :
Cette photo est cadrée d'abord pour cet arbre décalé à droite mais qui
ramène le regard à gauche. La branche en bas à gauche et le poteau
carbonisé rééquilibrent l'image, ainsi que les fils barbelées qui sont
pourtant dans un autre sens. Ensuite, il y a toute une pluie de
branches qui partent du haut qui forment comme un cadre. Sans oublier
cette branche lumineuse qui part du premier arbre dans une diagonale
qui dirige mais qui ne ferme pas. L'image est aérée. Reste ensuite le
remplissage, les points de vert qui partent du sol dans une très
légère diagonale, et la terre riche de détails, de matière.
Les gros points cités plus haut sont très noirs, c'est voulu par le
sujet. Ce qui m'a bloqué pendant presque un an, je le sens maintenant
comme pouvant entrer dans l'image. Peut-être le moment où la nature
montre sa puissance.
On 07/17/2011 12:32 PM, Octave wrote:
Personellement, je ne vois rien dans ces photos qui explique pourquoi tu as
pris cette photo et pas une autre. Ca fait complètement pris au hasard. Ca me
fait penser à ces gens qui accrochent un appareil photo en automatique au cou
de leur chat (alias "catcam"). Ici, c'est une sorte d'espèce de genre
d'octavcam, Mais sur les chats, c'est drôle et parfois instructif.
On 07/17/2011 12:32 PM, Octave wrote:
Personellement, je ne vois rien dans ces photos qui explique pourquoi tu as
pris cette photo et pas une autre. Ca fait complètement pris au hasard. Ca me
fait penser à ces gens qui accrochent un appareil photo en automatique au cou
de leur chat (alias "catcam"). Ici, c'est une sorte d'espèce de genre
d'octavcam, Mais sur les chats, c'est drôle et parfois instructif.
On 07/17/2011 12:32 PM, Octave wrote:
Personellement, je ne vois rien dans ces photos qui explique pourquoi tu as
pris cette photo et pas une autre. Ca fait complètement pris au hasard. Ca me
fait penser à ces gens qui accrochent un appareil photo en automatique au cou
de leur chat (alias "catcam"). Ici, c'est une sorte d'espèce de genre
d'octavcam, Mais sur les chats, c'est drôle et parfois instructif.
Le 18/07/2011 08:03, Ofnuts a écrit :
Personellement, je ne vois rien dans ces photos qui explique pourquoi tu
as pris cette photo et pas une autre. Ca fait complètement pris au
hasard. Ca me fait penser à ces gens qui accrochent un appareil photo en
automatique au cou de leur chat (alias "catcam"). Ici, c'est une sorte
d'espèce de genre d'octavcam, Mais sur les chats, c'est drôle et parfois
instructif.
Dans un sens, ça me rassure. Ces images ne sont donc pas trop raides, trop
formelles. Elle garde une certaine liberté comme une photo déclenchée au cou
d'un chat.
Parce que c'est leur "qualité" principale, d'être construites, d'être cadrées
en fonction d'un maximum de lignes et/ou de densités.
Le concept de la balade, du toujours même lieu, le sujet prétexte mais bien
présent, le vide apparent mais la richesse de matières réelles, passent un peu
après.
Juste un exemple:
www.octav.fr/quotidien/11-07-16/27.html
Cette photo est cadrée d'abord pour cet arbre décalé à droite mais qui ramène
le regard à gauche. La branche en bas à gauche et le poteau carbonisé
rééquilibrent l'image, ainsi que les fils barbelées qui sont pourtant dans un
autre sens. Ensuite, il y a toute une pluie de branches qui partent du haut
qui forment comme un cadre. Sans oublier cette branche lumineuse qui part du
premier arbre dans une diagonale qui dirige mais qui ne ferme pas. L'image est
aérée. Reste ensuite le remplissage, les points de vert qui partent du sol
dans une très légère diagonale, et la terre riche de détails, de matière.
Les gros points cités plus haut sont très noirs, c'est voulu par le sujet. Ce
qui m'a bloqué pendant presque un an, je le sens maintenant comme pouvant
entrer dans l'image. Peut-être le moment où la nature montre sa puissance.
--
www.octav.fr
Le 18/07/2011 08:03, Ofnuts a écrit :
Personellement, je ne vois rien dans ces photos qui explique pourquoi tu
as pris cette photo et pas une autre. Ca fait complètement pris au
hasard. Ca me fait penser à ces gens qui accrochent un appareil photo en
automatique au cou de leur chat (alias "catcam"). Ici, c'est une sorte
d'espèce de genre d'octavcam, Mais sur les chats, c'est drôle et parfois
instructif.
Dans un sens, ça me rassure. Ces images ne sont donc pas trop raides, trop
formelles. Elle garde une certaine liberté comme une photo déclenchée au cou
d'un chat.
Parce que c'est leur "qualité" principale, d'être construites, d'être cadrées
en fonction d'un maximum de lignes et/ou de densités.
Le concept de la balade, du toujours même lieu, le sujet prétexte mais bien
présent, le vide apparent mais la richesse de matières réelles, passent un peu
après.
Juste un exemple:
www.octav.fr/quotidien/11-07-16/27.html
Cette photo est cadrée d'abord pour cet arbre décalé à droite mais qui ramène
le regard à gauche. La branche en bas à gauche et le poteau carbonisé
rééquilibrent l'image, ainsi que les fils barbelées qui sont pourtant dans un
autre sens. Ensuite, il y a toute une pluie de branches qui partent du haut
qui forment comme un cadre. Sans oublier cette branche lumineuse qui part du
premier arbre dans une diagonale qui dirige mais qui ne ferme pas. L'image est
aérée. Reste ensuite le remplissage, les points de vert qui partent du sol
dans une très légère diagonale, et la terre riche de détails, de matière.
Les gros points cités plus haut sont très noirs, c'est voulu par le sujet. Ce
qui m'a bloqué pendant presque un an, je le sens maintenant comme pouvant
entrer dans l'image. Peut-être le moment où la nature montre sa puissance.
--
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Le 18/07/2011 08:03, Ofnuts a écrit :
Personellement, je ne vois rien dans ces photos qui explique pourquoi tu
as pris cette photo et pas une autre. Ca fait complètement pris au
hasard. Ca me fait penser à ces gens qui accrochent un appareil photo en
automatique au cou de leur chat (alias "catcam"). Ici, c'est une sorte
d'espèce de genre d'octavcam, Mais sur les chats, c'est drôle et parfois
instructif.
Dans un sens, ça me rassure. Ces images ne sont donc pas trop raides, trop
formelles. Elle garde une certaine liberté comme une photo déclenchée au cou
d'un chat.
Parce que c'est leur "qualité" principale, d'être construites, d'être cadrées
en fonction d'un maximum de lignes et/ou de densités.
Le concept de la balade, du toujours même lieu, le sujet prétexte mais bien
présent, le vide apparent mais la richesse de matières réelles, passent un peu
après.
Juste un exemple:
www.octav.fr/quotidien/11-07-16/27.html
Cette photo est cadrée d'abord pour cet arbre décalé à droite mais qui ramène
le regard à gauche. La branche en bas à gauche et le poteau carbonisé
rééquilibrent l'image, ainsi que les fils barbelées qui sont pourtant dans un
autre sens. Ensuite, il y a toute une pluie de branches qui partent du haut
qui forment comme un cadre. Sans oublier cette branche lumineuse qui part du
premier arbre dans une diagonale qui dirige mais qui ne ferme pas. L'image est
aérée. Reste ensuite le remplissage, les points de vert qui partent du sol
dans une très légère diagonale, et la terre riche de détails, de matière.
Les gros points cités plus haut sont très noirs, c'est voulu par le sujet. Ce
qui m'a bloqué pendant presque un an, je le sens maintenant comme pouvant
entrer dans l'image. Peut-être le moment où la nature montre sa puissance.
--
www.octav.fr
Octave vient de nous annoncerLe 18/07/2011 08:03, Ofnuts a écrit :
Cette photo est cadrée d'abord pour cet arbre décalé à droite mais qui
ramène le regard à gauche. La branche en bas à gauche et le poteau
carbonisé rééquilibrent l'image, ainsi que les fils barbelées qui sont
pourtant dans un autre sens. Ensuite, il y a toute une pluie de
branches qui partent du haut qui forment comme un cadre. Sans oublier
cette branche lumineuse qui part du premier arbre dans une diagonale
qui dirige mais qui ne ferme pas. L'image est aérée. Reste ensuite le
remplissage, les points de vert qui partent du sol dans une très
légère diagonale, et la terre riche de détails, de matière.
Les gros points cités plus haut sont très noirs, c'est voulu par le
sujet. Ce qui m'a bloqué pendant presque un an, je le sens maintenant
comme pouvant entrer dans l'image. Peut-être le moment où la nature
montre sa puissance.
Bel exercice de masturbation neuronale pour "expliquer" une photo
qui n'a vraiment pas besoin de ca
--
Andre
Octave vient de nous annoncer
Le 18/07/2011 08:03, Ofnuts a écrit :
Cette photo est cadrée d'abord pour cet arbre décalé à droite mais qui
ramène le regard à gauche. La branche en bas à gauche et le poteau
carbonisé rééquilibrent l'image, ainsi que les fils barbelées qui sont
pourtant dans un autre sens. Ensuite, il y a toute une pluie de
branches qui partent du haut qui forment comme un cadre. Sans oublier
cette branche lumineuse qui part du premier arbre dans une diagonale
qui dirige mais qui ne ferme pas. L'image est aérée. Reste ensuite le
remplissage, les points de vert qui partent du sol dans une très
légère diagonale, et la terre riche de détails, de matière.
Les gros points cités plus haut sont très noirs, c'est voulu par le
sujet. Ce qui m'a bloqué pendant presque un an, je le sens maintenant
comme pouvant entrer dans l'image. Peut-être le moment où la nature
montre sa puissance.
Bel exercice de masturbation neuronale pour "expliquer" une photo
qui n'a vraiment pas besoin de ca
--
Andre
Octave vient de nous annoncerLe 18/07/2011 08:03, Ofnuts a écrit :
Cette photo est cadrée d'abord pour cet arbre décalé à droite mais qui
ramène le regard à gauche. La branche en bas à gauche et le poteau
carbonisé rééquilibrent l'image, ainsi que les fils barbelées qui sont
pourtant dans un autre sens. Ensuite, il y a toute une pluie de
branches qui partent du haut qui forment comme un cadre. Sans oublier
cette branche lumineuse qui part du premier arbre dans une diagonale
qui dirige mais qui ne ferme pas. L'image est aérée. Reste ensuite le
remplissage, les points de vert qui partent du sol dans une très
légère diagonale, et la terre riche de détails, de matière.
Les gros points cités plus haut sont très noirs, c'est voulu par le
sujet. Ce qui m'a bloqué pendant presque un an, je le sens maintenant
comme pouvant entrer dans l'image. Peut-être le moment où la nature
montre sa puissance.
Bel exercice de masturbation neuronale pour "expliquer" une photo
qui n'a vraiment pas besoin de ca
--
Andre
Personellement, je ne vois rien dans ces photos qui explique pourquoi tu
as pris cette photo et pas une autre. Ca fait complètement pris au
hasard. Ca me fait penser à ces gens qui accrochent un appareil photo en
automatique au cou de leur chat (alias "catcam"). Ici, c'est une sorte
d'espèce de genre d'octavcam, Mais sur les chats, c'est drôle et parfois
instructif.
Dans un sens, ça me rassure. Ces images ne sont donc pas trop raides, trop
formelles. Elle garde une certaine liberté comme une photo déclenchée au
cou d'un chat.
Parce que c'est leur "qualité" principale, d'être construites, d'être
cadrées en fonction d'un maximum de lignes et/ou de densités.
Le concept de la balade, du toujours même lieu, le sujet prétexte mais
bien présent, le vide apparent mais la richesse de matières réelles,
passent un peu après.
Juste un exemple:
www.octav.fr/quotidien/11-07-16/27.html
Cette photo est cadrée d'abord pour cet arbre décalé à droite mais qui
ramène le regard à gauche. La branche en bas à gauche et le poteau
carbonisé rééquilibrent l'image, ainsi que les fils barbelées qui sont
pourtant dans un autre sens. Ensuite, il y a toute une pluie de branches
qui partent du haut qui forment comme un cadre. Sans oublier cette branche
lumineuse qui part du premier arbre dans une diagonale qui dirige mais qui
ne ferme pas. L'image est aérée. Reste ensuite le remplissage, les points
de vert qui partent du sol dans une très légère diagonale, et la terre
riche de détails, de matière.
Les gros points cités plus haut sont très noirs, c'est voulu par le sujet.
Ce qui m'a bloqué pendant presque un an, je le sens maintenant comme
pouvant entrer dans l'image. Peut-être le moment où la nature montre sa
puissance.
Personellement, je ne vois rien dans ces photos qui explique pourquoi tu
as pris cette photo et pas une autre. Ca fait complètement pris au
hasard. Ca me fait penser à ces gens qui accrochent un appareil photo en
automatique au cou de leur chat (alias "catcam"). Ici, c'est une sorte
d'espèce de genre d'octavcam, Mais sur les chats, c'est drôle et parfois
instructif.
Dans un sens, ça me rassure. Ces images ne sont donc pas trop raides, trop
formelles. Elle garde une certaine liberté comme une photo déclenchée au
cou d'un chat.
Parce que c'est leur "qualité" principale, d'être construites, d'être
cadrées en fonction d'un maximum de lignes et/ou de densités.
Le concept de la balade, du toujours même lieu, le sujet prétexte mais
bien présent, le vide apparent mais la richesse de matières réelles,
passent un peu après.
Juste un exemple:
www.octav.fr/quotidien/11-07-16/27.html
Cette photo est cadrée d'abord pour cet arbre décalé à droite mais qui
ramène le regard à gauche. La branche en bas à gauche et le poteau
carbonisé rééquilibrent l'image, ainsi que les fils barbelées qui sont
pourtant dans un autre sens. Ensuite, il y a toute une pluie de branches
qui partent du haut qui forment comme un cadre. Sans oublier cette branche
lumineuse qui part du premier arbre dans une diagonale qui dirige mais qui
ne ferme pas. L'image est aérée. Reste ensuite le remplissage, les points
de vert qui partent du sol dans une très légère diagonale, et la terre
riche de détails, de matière.
Les gros points cités plus haut sont très noirs, c'est voulu par le sujet.
Ce qui m'a bloqué pendant presque un an, je le sens maintenant comme
pouvant entrer dans l'image. Peut-être le moment où la nature montre sa
puissance.
Personellement, je ne vois rien dans ces photos qui explique pourquoi tu
as pris cette photo et pas une autre. Ca fait complètement pris au
hasard. Ca me fait penser à ces gens qui accrochent un appareil photo en
automatique au cou de leur chat (alias "catcam"). Ici, c'est une sorte
d'espèce de genre d'octavcam, Mais sur les chats, c'est drôle et parfois
instructif.
Dans un sens, ça me rassure. Ces images ne sont donc pas trop raides, trop
formelles. Elle garde une certaine liberté comme une photo déclenchée au
cou d'un chat.
Parce que c'est leur "qualité" principale, d'être construites, d'être
cadrées en fonction d'un maximum de lignes et/ou de densités.
Le concept de la balade, du toujours même lieu, le sujet prétexte mais
bien présent, le vide apparent mais la richesse de matières réelles,
passent un peu après.
Juste un exemple:
www.octav.fr/quotidien/11-07-16/27.html
Cette photo est cadrée d'abord pour cet arbre décalé à droite mais qui
ramène le regard à gauche. La branche en bas à gauche et le poteau
carbonisé rééquilibrent l'image, ainsi que les fils barbelées qui sont
pourtant dans un autre sens. Ensuite, il y a toute une pluie de branches
qui partent du haut qui forment comme un cadre. Sans oublier cette branche
lumineuse qui part du premier arbre dans une diagonale qui dirige mais qui
ne ferme pas. L'image est aérée. Reste ensuite le remplissage, les points
de vert qui partent du sol dans une très légère diagonale, et la terre
riche de détails, de matière.
Les gros points cités plus haut sont très noirs, c'est voulu par le sujet.
Ce qui m'a bloqué pendant presque un an, je le sens maintenant comme
pouvant entrer dans l'image. Peut-être le moment où la nature montre sa
puissance.
"André" a écrit dans le message de groupe de discussion :
4e23e358$0$30748$Octave vient de nous annoncerLe 18/07/2011 08:03, Ofnuts a écrit :
Cette photo est cadrée d'abord pour cet arbre décalé à droite mais qui
ramène le regard à gauche. La branche en bas à gauche et le poteau
carbonisé rééquilibrent l'image, ainsi que les fils barbelées qui sont
pourtant dans un autre sens. Ensuite, il y a toute une pluie de
branches qui partent du haut qui forment comme un cadre. Sans oublier
cette branche lumineuse qui part du premier arbre dans une diagonale
qui dirige mais qui ne ferme pas. L'image est aérée. Reste ensuite le
remplissage, les points de vert qui partent du sol dans une très
légère diagonale, et la terre riche de détails, de matière.
Les gros points cités plus haut sont très noirs, c'est voulu par le
sujet. Ce qui m'a bloqué pendant presque un an, je le sens maintenant
comme pouvant entrer dans l'image. Peut-être le moment où la nature
montre sa puissance.
Bel exercice de masturbation neuronale pour "expliquer" une photo
qui n'a vraiment pas besoin de ca
--
Andre
On se croirait sur la chaine de télé PureScreens, où l'on détaille les
tableaux des grands maitres, même discours, sauf que là, on parle de
daubes ordinaires, d'ailleurs, je suis un excellent rédacteur de pipeau
pour bobos, et il ne faut pas croire que ça vient comme ça, il faut lire
les critiques comme dans Ouest France, et il est regrettable que notre
pourvoyeur bénévole ne nous relaie plus ces moments grandioses, il faut
s'entrainer, capter la dernière terminologie revue façon bobo, observer,
noter, synthétiser.
Il est important de ne pas non plus commettre d'erreur, sous peine d'être
démasqué, ne jamais parler de photo mais de cliché, ça, c'est leçon numéro
un.
Le texte ci-dessus est un sommet en la matière, mais je suis tenté de
penser qu'i s'agit là également d'une supercherie, d'une blague, non, mais
qui oserait parler ainsi de ses propres photos, surtout quand on les voit.
En fait, les textes en regard des photos pourraient constituer un monument
pour un truc comme " vidéo gag ", pour moi, pas de critique trop dure,
c'est une vaste blague, certes un peu longue.
je cite ce merveilleux passage :
Les gros points cités plus haut sont très noirs, c'est voulu par le
sujet. Ce qui m'a bloqué pendant presque un an, je le sens maintenant
comme pouvant entrer dans l'image
Et qu'on ne me les brise pas, la critique est permise ici
"André" <machin@truc.fr> a écrit dans le message de groupe de discussion :
4e23e358$0$30748$ba4acef3@reader.news.orange.fr...
Octave vient de nous annoncer
Le 18/07/2011 08:03, Ofnuts a écrit :
Cette photo est cadrée d'abord pour cet arbre décalé à droite mais qui
ramène le regard à gauche. La branche en bas à gauche et le poteau
carbonisé rééquilibrent l'image, ainsi que les fils barbelées qui sont
pourtant dans un autre sens. Ensuite, il y a toute une pluie de
branches qui partent du haut qui forment comme un cadre. Sans oublier
cette branche lumineuse qui part du premier arbre dans une diagonale
qui dirige mais qui ne ferme pas. L'image est aérée. Reste ensuite le
remplissage, les points de vert qui partent du sol dans une très
légère diagonale, et la terre riche de détails, de matière.
Les gros points cités plus haut sont très noirs, c'est voulu par le
sujet. Ce qui m'a bloqué pendant presque un an, je le sens maintenant
comme pouvant entrer dans l'image. Peut-être le moment où la nature
montre sa puissance.
Bel exercice de masturbation neuronale pour "expliquer" une photo
qui n'a vraiment pas besoin de ca
--
Andre
On se croirait sur la chaine de télé PureScreens, où l'on détaille les
tableaux des grands maitres, même discours, sauf que là, on parle de
daubes ordinaires, d'ailleurs, je suis un excellent rédacteur de pipeau
pour bobos, et il ne faut pas croire que ça vient comme ça, il faut lire
les critiques comme dans Ouest France, et il est regrettable que notre
pourvoyeur bénévole ne nous relaie plus ces moments grandioses, il faut
s'entrainer, capter la dernière terminologie revue façon bobo, observer,
noter, synthétiser.
Il est important de ne pas non plus commettre d'erreur, sous peine d'être
démasqué, ne jamais parler de photo mais de cliché, ça, c'est leçon numéro
un.
Le texte ci-dessus est un sommet en la matière, mais je suis tenté de
penser qu'i s'agit là également d'une supercherie, d'une blague, non, mais
qui oserait parler ainsi de ses propres photos, surtout quand on les voit.
En fait, les textes en regard des photos pourraient constituer un monument
pour un truc comme " vidéo gag ", pour moi, pas de critique trop dure,
c'est une vaste blague, certes un peu longue.
je cite ce merveilleux passage :
Les gros points cités plus haut sont très noirs, c'est voulu par le
sujet. Ce qui m'a bloqué pendant presque un an, je le sens maintenant
comme pouvant entrer dans l'image
Et qu'on ne me les brise pas, la critique est permise ici
"André" a écrit dans le message de groupe de discussion :
4e23e358$0$30748$Octave vient de nous annoncerLe 18/07/2011 08:03, Ofnuts a écrit :
Cette photo est cadrée d'abord pour cet arbre décalé à droite mais qui
ramène le regard à gauche. La branche en bas à gauche et le poteau
carbonisé rééquilibrent l'image, ainsi que les fils barbelées qui sont
pourtant dans un autre sens. Ensuite, il y a toute une pluie de
branches qui partent du haut qui forment comme un cadre. Sans oublier
cette branche lumineuse qui part du premier arbre dans une diagonale
qui dirige mais qui ne ferme pas. L'image est aérée. Reste ensuite le
remplissage, les points de vert qui partent du sol dans une très
légère diagonale, et la terre riche de détails, de matière.
Les gros points cités plus haut sont très noirs, c'est voulu par le
sujet. Ce qui m'a bloqué pendant presque un an, je le sens maintenant
comme pouvant entrer dans l'image. Peut-être le moment où la nature
montre sa puissance.
Bel exercice de masturbation neuronale pour "expliquer" une photo
qui n'a vraiment pas besoin de ca
--
Andre
On se croirait sur la chaine de télé PureScreens, où l'on détaille les
tableaux des grands maitres, même discours, sauf que là, on parle de
daubes ordinaires, d'ailleurs, je suis un excellent rédacteur de pipeau
pour bobos, et il ne faut pas croire que ça vient comme ça, il faut lire
les critiques comme dans Ouest France, et il est regrettable que notre
pourvoyeur bénévole ne nous relaie plus ces moments grandioses, il faut
s'entrainer, capter la dernière terminologie revue façon bobo, observer,
noter, synthétiser.
Il est important de ne pas non plus commettre d'erreur, sous peine d'être
démasqué, ne jamais parler de photo mais de cliché, ça, c'est leçon numéro
un.
Le texte ci-dessus est un sommet en la matière, mais je suis tenté de
penser qu'i s'agit là également d'une supercherie, d'une blague, non, mais
qui oserait parler ainsi de ses propres photos, surtout quand on les voit.
En fait, les textes en regard des photos pourraient constituer un monument
pour un truc comme " vidéo gag ", pour moi, pas de critique trop dure,
c'est une vaste blague, certes un peu longue.
je cite ce merveilleux passage :
Les gros points cités plus haut sont très noirs, c'est voulu par le
sujet. Ce qui m'a bloqué pendant presque un an, je le sens maintenant
comme pouvant entrer dans l'image
Et qu'on ne me les brise pas, la critique est permise ici
Après tout, l'important, c'est de photographier, alors la photo, peu
importe, et le sujet encore moi, le camchat est une excellente idée,, le
sujet n'importe pas, la photo n'importe pas, mais de plus, le photographe
n'importe pas, ce nouveau concept dépasse tout, même la banalité et la
médiocrité, fabuleux, et je suis aux premières loges pour assister à ça.
Ave ça, le fantastique concept de la " photo constat " est relégué loin
derrière.
Comme : il y a une camion qui roule sur une route, mais il pourrait n'y
avoir ni camion ni route.
ou Klein et son exposition d'un appartement aux murs blancs.
Supercherie ma super chérie.
Après tout, l'important, c'est de photographier, alors la photo, peu
importe, et le sujet encore moi, le camchat est une excellente idée,, le
sujet n'importe pas, la photo n'importe pas, mais de plus, le photographe
n'importe pas, ce nouveau concept dépasse tout, même la banalité et la
médiocrité, fabuleux, et je suis aux premières loges pour assister à ça.
Ave ça, le fantastique concept de la " photo constat " est relégué loin
derrière.
Comme : il y a une camion qui roule sur une route, mais il pourrait n'y
avoir ni camion ni route.
ou Klein et son exposition d'un appartement aux murs blancs.
Supercherie ma super chérie.
Après tout, l'important, c'est de photographier, alors la photo, peu
importe, et le sujet encore moi, le camchat est une excellente idée,, le
sujet n'importe pas, la photo n'importe pas, mais de plus, le photographe
n'importe pas, ce nouveau concept dépasse tout, même la banalité et la
médiocrité, fabuleux, et je suis aux premières loges pour assister à ça.
Ave ça, le fantastique concept de la " photo constat " est relégué loin
derrière.
Comme : il y a une camion qui roule sur une route, mais il pourrait n'y
avoir ni camion ni route.
ou Klein et son exposition d'un appartement aux murs blancs.
Supercherie ma super chérie.