Le fait qu'on soit capable d'identifier immédiatement une photo au grand
angle et une photo au télé, ou le fait d'avoir une grosse différence de
géométrie sur une photo à cadrage égal, montre bien que chaque focale a une
géométrie qui lui est propre.
Le fait qu'on soit capable d'identifier immédiatement une photo au grand
angle et une photo au télé, ou le fait d'avoir une grosse différence de
géométrie sur une photo à cadrage égal, montre bien que chaque focale a une
géométrie qui lui est propre.
Le fait qu'on soit capable d'identifier immédiatement une photo au grand
angle et une photo au télé, ou le fait d'avoir une grosse différence de
géométrie sur une photo à cadrage égal, montre bien que chaque focale a une
géométrie qui lui est propre.
Que répondent ceux qui prétendent l'inverse?
Au lieu de projeter sur un plan, on projette sur une portion du plan
Que répondent ceux qui prétendent l'inverse?
Au lieu de projeter sur un plan, on projette sur une portion du plan
Que répondent ceux qui prétendent l'inverse?
Au lieu de projeter sur un plan, on projette sur une portion du plan
Ça, ça n'existe pas. Dans une perspective donnée, la focale n'intervient
que pour délimiter le champ découpé dans le plan-image, point barre.
Le vrai problème est discuter de la «vision» qui en résulte, selon le
choix de cette focale
Ça, ça n'existe pas. Dans une perspective donnée, la focale n'intervient
que pour délimiter le champ découpé dans le plan-image, point barre.
Le vrai problème est discuter de la «vision» qui en résulte, selon le
choix de cette focale
Ça, ça n'existe pas. Dans une perspective donnée, la focale n'intervient
que pour délimiter le champ découpé dans le plan-image, point barre.
Le vrai problème est discuter de la «vision» qui en résulte, selon le
choix de cette focale
On 09/29/2011 11:50 AM, KMS wrote:Yannick Patois a écrit le 29/09/2011 :On 09/29/2011 10:47 AM, KMS wrote:Jean-Pierre Roche a écrit le 29/09/2011 :
En effet, le Soleil tourne autour de la Terre: c'est parfaitement vrai
dans le référentiel géocentrique. Et c'est la Terre qui tourne autour du
Soleil, dans le référentiel héliocentrique. Facile.
Restent les JPR et autres étroits du bulbe, qui ont bien du mal à
admettre deux points de vue différents quoique parfaitement compatibles.
Reste les KMS, qui croient que ces deux repères sont équivalents?
Restent aussi les Yannick, qui confondent repères et référentiels.
Dans le contexte, elle est légitime.Reste aussi à Yannick à définir ce qu'il entend par "équivalents", et ce
que ça peut bien me contredire.
Tout à fait, ça vient.Ca rejoint exactement l'objet de ce fil, où l'on peut envisager deux
réponses valables quoiqu'antinomiques sur le rôle de la focale vis-à-vis
de la perspective.
Que dit-on? Que la focale ne change pas la perspective, seul le point de vue
le fait.
Que répondent ceux qui prétendent l'inverse? Que le changement de focale
nécessite un changement de point de vue pour conserver le cadre et que donc,
de fait, la focale modifie la perspective.
On voit donc bien qu'un des énoncé est premier, tandis que l'autre passe par
une implication. Et contrairement à la bijectivité complète de l'opération de
changement de référentiel (le référentiel galiléen est plus "naturel" mais
les calculs depuis un autre sont équivalents), elle ne l'est pas. En effet,
la conservation du cadre n'impose pas inévitablement un déplacement; un
recadrage suffit (élargissement ou rétrécissement de la zone sensible). Le
changement de perspective ne s'opère bien donc uniquement par la modification
du point de vue.
Après être finalement tombé d'accord sur ce qui précède, les contradicteurs
sortent un autre argument: le recadrage dans l'image est en elle même une
modification de la perspective.
Alors on revient à la définition de la perspective, qui est l'objet du débat.
J'en trouverait 3:
- La perspective est le mode mathématique de projection d'une scène 3D sur un
plan 2D (exemple "perspective cavalière). Dans ce sens là, pour des objectifs
standards, elle ne change jamais pour un appareil photo: c'est toujours une
perspective conique.
- La perspective est le résultat de la définition précédente appliqué à une
scène en particulier depuis un point en particulier en visant une direction
définie. "Depuis ici, on a une belle perspective sur la cathédrale". Ce n'est
rien d'autre que la définition précédente restreinte à une projection (la
projection conique) et correctement définie pour un cas donné.
Mathématiquement, c'est un jeu d'équations totalement défini. C'est la
définition que nous défendons.
- La perspective serait la définition ci-dessus, mais en y ajoutant des
"bords". Au lieu de projeter sur un plan, on projette sur une portion du plan
et on considère comme variation de perspective une variation de la
localisation de la portion de plan considérée. Tant que celle dernière est
centrée sur l'axe de la projection, nous considérons comme abusive cette
définition; qui n'ajoute rien à la précédente, sinon une confusion: est-ce
que maintenant dire "je modifie la perspective" peut s'entendre comme "je
recadre" ?Il y a de ces bons écoliers qui répêtent UNE des
réponses, parce que "la maîtresse a dit..." Et que plus d'UNE réponse
est de trop pour leurs petits capteurs psychologiques. Et ils n'en
démordront pas, même si on leur met des exemples sous les yeux.
Certains se croient plus intelligent, car par un raisonnement non trivial, il
leur semble pouvoir contredire un annoncé qui semble évident à la plupart. Ce
n'est pas toujours pertinent.
Yannick
On 09/29/2011 11:50 AM, KMS wrote:
Yannick Patois a écrit le 29/09/2011 :
On 09/29/2011 10:47 AM, KMS wrote:
Jean-Pierre Roche a écrit le 29/09/2011 :
En effet, le Soleil tourne autour de la Terre: c'est parfaitement vrai
dans le référentiel géocentrique. Et c'est la Terre qui tourne autour du
Soleil, dans le référentiel héliocentrique. Facile.
Restent les JPR et autres étroits du bulbe, qui ont bien du mal à
admettre deux points de vue différents quoique parfaitement compatibles.
Reste les KMS, qui croient que ces deux repères sont équivalents?
Restent aussi les Yannick, qui confondent repères et référentiels.
Dans le contexte, elle est légitime.
Reste aussi à Yannick à définir ce qu'il entend par "équivalents", et ce
que ça peut bien me contredire.
Tout à fait, ça vient.
Ca rejoint exactement l'objet de ce fil, où l'on peut envisager deux
réponses valables quoiqu'antinomiques sur le rôle de la focale vis-à-vis
de la perspective.
Que dit-on? Que la focale ne change pas la perspective, seul le point de vue
le fait.
Que répondent ceux qui prétendent l'inverse? Que le changement de focale
nécessite un changement de point de vue pour conserver le cadre et que donc,
de fait, la focale modifie la perspective.
On voit donc bien qu'un des énoncé est premier, tandis que l'autre passe par
une implication. Et contrairement à la bijectivité complète de l'opération de
changement de référentiel (le référentiel galiléen est plus "naturel" mais
les calculs depuis un autre sont équivalents), elle ne l'est pas. En effet,
la conservation du cadre n'impose pas inévitablement un déplacement; un
recadrage suffit (élargissement ou rétrécissement de la zone sensible). Le
changement de perspective ne s'opère bien donc uniquement par la modification
du point de vue.
Après être finalement tombé d'accord sur ce qui précède, les contradicteurs
sortent un autre argument: le recadrage dans l'image est en elle même une
modification de la perspective.
Alors on revient à la définition de la perspective, qui est l'objet du débat.
J'en trouverait 3:
- La perspective est le mode mathématique de projection d'une scène 3D sur un
plan 2D (exemple "perspective cavalière). Dans ce sens là, pour des objectifs
standards, elle ne change jamais pour un appareil photo: c'est toujours une
perspective conique.
- La perspective est le résultat de la définition précédente appliqué à une
scène en particulier depuis un point en particulier en visant une direction
définie. "Depuis ici, on a une belle perspective sur la cathédrale". Ce n'est
rien d'autre que la définition précédente restreinte à une projection (la
projection conique) et correctement définie pour un cas donné.
Mathématiquement, c'est un jeu d'équations totalement défini. C'est la
définition que nous défendons.
- La perspective serait la définition ci-dessus, mais en y ajoutant des
"bords". Au lieu de projeter sur un plan, on projette sur une portion du plan
et on considère comme variation de perspective une variation de la
localisation de la portion de plan considérée. Tant que celle dernière est
centrée sur l'axe de la projection, nous considérons comme abusive cette
définition; qui n'ajoute rien à la précédente, sinon une confusion: est-ce
que maintenant dire "je modifie la perspective" peut s'entendre comme "je
recadre" ?
Il y a de ces bons écoliers qui répêtent UNE des
réponses, parce que "la maîtresse a dit..." Et que plus d'UNE réponse
est de trop pour leurs petits capteurs psychologiques. Et ils n'en
démordront pas, même si on leur met des exemples sous les yeux.
Certains se croient plus intelligent, car par un raisonnement non trivial, il
leur semble pouvoir contredire un annoncé qui semble évident à la plupart. Ce
n'est pas toujours pertinent.
Yannick
On 09/29/2011 11:50 AM, KMS wrote:Yannick Patois a écrit le 29/09/2011 :On 09/29/2011 10:47 AM, KMS wrote:Jean-Pierre Roche a écrit le 29/09/2011 :
En effet, le Soleil tourne autour de la Terre: c'est parfaitement vrai
dans le référentiel géocentrique. Et c'est la Terre qui tourne autour du
Soleil, dans le référentiel héliocentrique. Facile.
Restent les JPR et autres étroits du bulbe, qui ont bien du mal à
admettre deux points de vue différents quoique parfaitement compatibles.
Reste les KMS, qui croient que ces deux repères sont équivalents?
Restent aussi les Yannick, qui confondent repères et référentiels.
Dans le contexte, elle est légitime.Reste aussi à Yannick à définir ce qu'il entend par "équivalents", et ce
que ça peut bien me contredire.
Tout à fait, ça vient.Ca rejoint exactement l'objet de ce fil, où l'on peut envisager deux
réponses valables quoiqu'antinomiques sur le rôle de la focale vis-à-vis
de la perspective.
Que dit-on? Que la focale ne change pas la perspective, seul le point de vue
le fait.
Que répondent ceux qui prétendent l'inverse? Que le changement de focale
nécessite un changement de point de vue pour conserver le cadre et que donc,
de fait, la focale modifie la perspective.
On voit donc bien qu'un des énoncé est premier, tandis que l'autre passe par
une implication. Et contrairement à la bijectivité complète de l'opération de
changement de référentiel (le référentiel galiléen est plus "naturel" mais
les calculs depuis un autre sont équivalents), elle ne l'est pas. En effet,
la conservation du cadre n'impose pas inévitablement un déplacement; un
recadrage suffit (élargissement ou rétrécissement de la zone sensible). Le
changement de perspective ne s'opère bien donc uniquement par la modification
du point de vue.
Après être finalement tombé d'accord sur ce qui précède, les contradicteurs
sortent un autre argument: le recadrage dans l'image est en elle même une
modification de la perspective.
Alors on revient à la définition de la perspective, qui est l'objet du débat.
J'en trouverait 3:
- La perspective est le mode mathématique de projection d'une scène 3D sur un
plan 2D (exemple "perspective cavalière). Dans ce sens là, pour des objectifs
standards, elle ne change jamais pour un appareil photo: c'est toujours une
perspective conique.
- La perspective est le résultat de la définition précédente appliqué à une
scène en particulier depuis un point en particulier en visant une direction
définie. "Depuis ici, on a une belle perspective sur la cathédrale". Ce n'est
rien d'autre que la définition précédente restreinte à une projection (la
projection conique) et correctement définie pour un cas donné.
Mathématiquement, c'est un jeu d'équations totalement défini. C'est la
définition que nous défendons.
- La perspective serait la définition ci-dessus, mais en y ajoutant des
"bords". Au lieu de projeter sur un plan, on projette sur une portion du plan
et on considère comme variation de perspective une variation de la
localisation de la portion de plan considérée. Tant que celle dernière est
centrée sur l'axe de la projection, nous considérons comme abusive cette
définition; qui n'ajoute rien à la précédente, sinon une confusion: est-ce
que maintenant dire "je modifie la perspective" peut s'entendre comme "je
recadre" ?Il y a de ces bons écoliers qui répêtent UNE des
réponses, parce que "la maîtresse a dit..." Et que plus d'UNE réponse
est de trop pour leurs petits capteurs psychologiques. Et ils n'en
démordront pas, même si on leur met des exemples sous les yeux.
Certains se croient plus intelligent, car par un raisonnement non trivial, il
leur semble pouvoir contredire un annoncé qui semble évident à la plupart. Ce
n'est pas toujours pertinent.
Yannick
Le vrai problème est discuter de la «vision» qui en résulte, selon le
choix de cette focale
Je me marre. Tout ça pour ne pas écrire « Le vrai problème est discuter de
la perspective qui en résulte, selon le choix de cette focale ».
T'as raison, remplacer par « vision », c'est tellement plus rigoureux.
Le vrai problème est discuter de la «vision» qui en résulte, selon le
choix de cette focale
Je me marre. Tout ça pour ne pas écrire « Le vrai problème est discuter de
la perspective qui en résulte, selon le choix de cette focale ».
T'as raison, remplacer par « vision », c'est tellement plus rigoureux.
Le vrai problème est discuter de la «vision» qui en résulte, selon le
choix de cette focale
Je me marre. Tout ça pour ne pas écrire « Le vrai problème est discuter de
la perspective qui en résulte, selon le choix de cette focale ».
T'as raison, remplacer par « vision », c'est tellement plus rigoureux.
Le 29/09/2011 15:19, KMS a écrit :Yannick Patois a écrit le 29/09/2011 :Et en plus en arrivant avec comme pseudo Karl Marx et en défendant
l'ordre policier bourgeois un fil plus haut...
C'est normal, je suis un ancien de la Stasi. Reconverti en
identificateur de jeunes décervelés qui photographient dans les manifs
néo-trotskistes... ;-)
Et moi, je laisse tomber; pas le courage (ni le temps) de continuer à
discuter avec un troll.
Yannick
Le 29/09/2011 15:19, KMS a écrit :
Yannick Patois a écrit le 29/09/2011 :
Et en plus en arrivant avec comme pseudo Karl Marx et en défendant
l'ordre policier bourgeois un fil plus haut...
C'est normal, je suis un ancien de la Stasi. Reconverti en
identificateur de jeunes décervelés qui photographient dans les manifs
néo-trotskistes... ;-)
Et moi, je laisse tomber; pas le courage (ni le temps) de continuer à
discuter avec un troll.
Yannick
Le 29/09/2011 15:19, KMS a écrit :Yannick Patois a écrit le 29/09/2011 :Et en plus en arrivant avec comme pseudo Karl Marx et en défendant
l'ordre policier bourgeois un fil plus haut...
C'est normal, je suis un ancien de la Stasi. Reconverti en
identificateur de jeunes décervelés qui photographient dans les manifs
néo-trotskistes... ;-)
Et moi, je laisse tomber; pas le courage (ni le temps) de continuer à
discuter avec un troll.
Yannick
Le 29-09-2011, Bour-Brown a écrit :
[...]Le fait qu'on soit capable d'identifier immédiatement une photo au grand
angle et une photo au télé, ou le fait d'avoir une grosse différence de
géométrie sur une photo à cadrage égal, montre bien que chaque focale a une
géométrie qui lui est propre.
Non, c'est le /cadrage/ qui cause cet effet...
Le 29-09-2011, Bour-Brown a écrit :
[...]
Le fait qu'on soit capable d'identifier immédiatement une photo au grand
angle et une photo au télé, ou le fait d'avoir une grosse différence de
géométrie sur une photo à cadrage égal, montre bien que chaque focale a une
géométrie qui lui est propre.
Non, c'est le /cadrage/ qui cause cet effet...
Le 29-09-2011, Bour-Brown a écrit :
[...]Le fait qu'on soit capable d'identifier immédiatement une photo au grand
angle et une photo au télé, ou le fait d'avoir une grosse différence de
géométrie sur une photo à cadrage égal, montre bien que chaque focale a une
géométrie qui lui est propre.
Non, c'est le /cadrage/ qui cause cet effet...
On t'a dit cent fois
On t'a dit cent fois
On t'a dit cent fois
Mais pourquoi diable veux-tu qu'"il soit équivalent" ? La focale modifie
indirectement la perspective, point.
Mais pourquoi diable veux-tu qu'"il soit équivalent" ? La focale modifie
indirectement la perspective, point.
Mais pourquoi diable veux-tu qu'"il soit équivalent" ? La focale modifie
indirectement la perspective, point.
On regarde une route droite devant soi avec une succession de cubes d'un
côté. La projection plane nous donne la perspective de cette route, et la
perspective de chaque cube également. Car chaque cube a une perspective qui
lui est propre, qu'on le veuille ou non, et aucun n'est substituable à un
autre. Facile à comprendre : c'est comme s'il n'y en avait qu'un seul sur
lequel on aurait une succession de points de vue différents. Et comme on
admet que changer de point de vue change la perspective...
Bref, au fur et à mesure que la projection des cubes les éloigne du centre,
leur perspective change. Si, si. Et c'est là où ça devient drôle : cet
éloignement du centre correspond au raccourcissement de la focale en photo.
Plus on s'éloigne du centre (plus la focale devient courte) plus les cubes
périphériques ont une perspective particulière, qu'on ne trouve *jamais* à
une focale plus longue.
On regarde une route droite devant soi avec une succession de cubes d'un
côté. La projection plane nous donne la perspective de cette route, et la
perspective de chaque cube également. Car chaque cube a une perspective qui
lui est propre, qu'on le veuille ou non, et aucun n'est substituable à un
autre. Facile à comprendre : c'est comme s'il n'y en avait qu'un seul sur
lequel on aurait une succession de points de vue différents. Et comme on
admet que changer de point de vue change la perspective...
Bref, au fur et à mesure que la projection des cubes les éloigne du centre,
leur perspective change. Si, si. Et c'est là où ça devient drôle : cet
éloignement du centre correspond au raccourcissement de la focale en photo.
Plus on s'éloigne du centre (plus la focale devient courte) plus les cubes
périphériques ont une perspective particulière, qu'on ne trouve *jamais* à
une focale plus longue.
On regarde une route droite devant soi avec une succession de cubes d'un
côté. La projection plane nous donne la perspective de cette route, et la
perspective de chaque cube également. Car chaque cube a une perspective qui
lui est propre, qu'on le veuille ou non, et aucun n'est substituable à un
autre. Facile à comprendre : c'est comme s'il n'y en avait qu'un seul sur
lequel on aurait une succession de points de vue différents. Et comme on
admet que changer de point de vue change la perspective...
Bref, au fur et à mesure que la projection des cubes les éloigne du centre,
leur perspective change. Si, si. Et c'est là où ça devient drôle : cet
éloignement du centre correspond au raccourcissement de la focale en photo.
Plus on s'éloigne du centre (plus la focale devient courte) plus les cubes
périphériques ont une perspective particulière, qu'on ne trouve *jamais* à
une focale plus longue.