Dès le début j'ai bien précisé qu'il y avait « la » perspective, la méthode,
la projection théorique d'une scène, et « les » perspectives, c'est à dire
les différences représentations d'un même objet selon différents point de
vue ou les différentes géométries liées à l'angle de champ.
Dès le début j'ai bien précisé qu'il y avait « la » perspective, la méthode,
la projection théorique d'une scène, et « les » perspectives, c'est à dire
les différences représentations d'un même objet selon différents point de
vue ou les différentes géométries liées à l'angle de champ.
Dès le début j'ai bien précisé qu'il y avait « la » perspective, la méthode,
la projection théorique d'une scène, et « les » perspectives, c'est à dire
les différences représentations d'un même objet selon différents point de
vue ou les différentes géométries liées à l'angle de champ.
Mon idée, c'est simplement que la perspective varie avec la proximité. À
taille égale, plus les choses se rapprochent, plus elles se déforment. Rien
d'autre.
Mon idée, c'est simplement que la perspective varie avec la proximité. À
taille égale, plus les choses se rapprochent, plus elles se déforment. Rien
d'autre.
Mon idée, c'est simplement que la perspective varie avec la proximité. À
taille égale, plus les choses se rapprochent, plus elles se déforment. Rien
d'autre.
Le 01/10/2011 23:19, Bour-Brown a écrit :Eh bien le dogme d'une perspective unique, reprise sur quasiment tous les
sites, conduit les théoriciens à multiplier précautions et rectifications
tellement les différences géométriques qu'ils observent doivent être niées.
Un seul exemple, mais que l'on retrouve dans quantité d'écrits : comment
dire que la perspective d'un grand angle éloigne les plans et que la
perspective d'un télé les rapproche (c'est le fait observé, il n'y a qu'à
voir mes illustrations, désolé), quand on n'a justement pas le droit de le
dire ?
A mon avis, la raison en est simple.
Les photographes et artistes ont commencés par écrire:
"La perspective d'un grand angle éloigne les plans..." etc. Sans se
poser de question.
Puis, est venu un matheux qui a démontré que la perspective est la même;
parce que lui entends perspective au sens mathématique strict (c'est à
dire, ici, une projection plan-conique définie par un point et une
direction - et une distance, mais osef-), et il a raison dans son monde;
et personne ne le conteste.
Alors, les photographes se sont trouvés ennuyés,
ils utilisaient, comme
les peintres, et autres artistes graphique, ce terme dans un sens à la
fois simple et pour eux précis, et on leur enlève.
Donc, ils ont commencés à faire ces gymnastiques compliquées, pour dire
ce qu'ils avaient envie de dire sans avoir l'être d'être ignorant du
dogme mathématique.
Maintenant, BB prend la tête de ceux qui refuse de plier sous le joux
mathématique, et veulent se réaproprier le sens du terme "perspective".
Ta comparaison avec l'héliocentrisme est pertinente, mais je la
tournerais autrement:
Des peintres et des photographes font, et ont fait, depuis très
longtemps, des couchers et des levés de soleils, avec de très jolies
couleurs. Voilà un jour un astronome qui débarque, et dit "ce n'est pas
le soleil qui se couche ou se lève, c'est la Terre qui tourne sur
elle-même, le soleil ne tournant pas autour de la Terre". Consternation
chez les peintres et les photographes, qui en sont réduits à intituler
leurs oeuvres "Impression soleil levant" ou "J'ai crus voir le soleil se
coucher", etc. Et personne n'ose plus dire que le soleil se lève ou se
couche, et quand un type le fait, on lui dit qu'il se trompe et on lui
fout la honte, au point que les photographes n'osent même plus parler de
la qualité de la lumière au petit matin, parce que le premier qui dit
"j'aime la lumière du matin quand le soleil est bas sur l'horizon", on
lui répond que c'est pas le soleil, mais la Terre qui est tournée de la
sorte, et blablabla.
Le 01/10/2011 23:19, Bour-Brown a écrit :
Eh bien le dogme d'une perspective unique, reprise sur quasiment tous les
sites, conduit les théoriciens à multiplier précautions et rectifications
tellement les différences géométriques qu'ils observent doivent être niées.
Un seul exemple, mais que l'on retrouve dans quantité d'écrits : comment
dire que la perspective d'un grand angle éloigne les plans et que la
perspective d'un télé les rapproche (c'est le fait observé, il n'y a qu'à
voir mes illustrations, désolé), quand on n'a justement pas le droit de le
dire ?
A mon avis, la raison en est simple.
Les photographes et artistes ont commencés par écrire:
"La perspective d'un grand angle éloigne les plans..." etc. Sans se
poser de question.
Puis, est venu un matheux qui a démontré que la perspective est la même;
parce que lui entends perspective au sens mathématique strict (c'est à
dire, ici, une projection plan-conique définie par un point et une
direction - et une distance, mais osef-), et il a raison dans son monde;
et personne ne le conteste.
Alors, les photographes se sont trouvés ennuyés,
ils utilisaient, comme
les peintres, et autres artistes graphique, ce terme dans un sens à la
fois simple et pour eux précis, et on leur enlève.
Donc, ils ont commencés à faire ces gymnastiques compliquées, pour dire
ce qu'ils avaient envie de dire sans avoir l'être d'être ignorant du
dogme mathématique.
Maintenant, BB prend la tête de ceux qui refuse de plier sous le joux
mathématique, et veulent se réaproprier le sens du terme "perspective".
Ta comparaison avec l'héliocentrisme est pertinente, mais je la
tournerais autrement:
Des peintres et des photographes font, et ont fait, depuis très
longtemps, des couchers et des levés de soleils, avec de très jolies
couleurs. Voilà un jour un astronome qui débarque, et dit "ce n'est pas
le soleil qui se couche ou se lève, c'est la Terre qui tourne sur
elle-même, le soleil ne tournant pas autour de la Terre". Consternation
chez les peintres et les photographes, qui en sont réduits à intituler
leurs oeuvres "Impression soleil levant" ou "J'ai crus voir le soleil se
coucher", etc. Et personne n'ose plus dire que le soleil se lève ou se
couche, et quand un type le fait, on lui dit qu'il se trompe et on lui
fout la honte, au point que les photographes n'osent même plus parler de
la qualité de la lumière au petit matin, parce que le premier qui dit
"j'aime la lumière du matin quand le soleil est bas sur l'horizon", on
lui répond que c'est pas le soleil, mais la Terre qui est tournée de la
sorte, et blablabla.
Le 01/10/2011 23:19, Bour-Brown a écrit :Eh bien le dogme d'une perspective unique, reprise sur quasiment tous les
sites, conduit les théoriciens à multiplier précautions et rectifications
tellement les différences géométriques qu'ils observent doivent être niées.
Un seul exemple, mais que l'on retrouve dans quantité d'écrits : comment
dire que la perspective d'un grand angle éloigne les plans et que la
perspective d'un télé les rapproche (c'est le fait observé, il n'y a qu'à
voir mes illustrations, désolé), quand on n'a justement pas le droit de le
dire ?
A mon avis, la raison en est simple.
Les photographes et artistes ont commencés par écrire:
"La perspective d'un grand angle éloigne les plans..." etc. Sans se
poser de question.
Puis, est venu un matheux qui a démontré que la perspective est la même;
parce que lui entends perspective au sens mathématique strict (c'est à
dire, ici, une projection plan-conique définie par un point et une
direction - et une distance, mais osef-), et il a raison dans son monde;
et personne ne le conteste.
Alors, les photographes se sont trouvés ennuyés,
ils utilisaient, comme
les peintres, et autres artistes graphique, ce terme dans un sens à la
fois simple et pour eux précis, et on leur enlève.
Donc, ils ont commencés à faire ces gymnastiques compliquées, pour dire
ce qu'ils avaient envie de dire sans avoir l'être d'être ignorant du
dogme mathématique.
Maintenant, BB prend la tête de ceux qui refuse de plier sous le joux
mathématique, et veulent se réaproprier le sens du terme "perspective".
Ta comparaison avec l'héliocentrisme est pertinente, mais je la
tournerais autrement:
Des peintres et des photographes font, et ont fait, depuis très
longtemps, des couchers et des levés de soleils, avec de très jolies
couleurs. Voilà un jour un astronome qui débarque, et dit "ce n'est pas
le soleil qui se couche ou se lève, c'est la Terre qui tourne sur
elle-même, le soleil ne tournant pas autour de la Terre". Consternation
chez les peintres et les photographes, qui en sont réduits à intituler
leurs oeuvres "Impression soleil levant" ou "J'ai crus voir le soleil se
coucher", etc. Et personne n'ose plus dire que le soleil se lève ou se
couche, et quand un type le fait, on lui dit qu'il se trompe et on lui
fout la honte, au point que les photographes n'osent même plus parler de
la qualité de la lumière au petit matin, parce que le premier qui dit
"j'aime la lumière du matin quand le soleil est bas sur l'horizon", on
lui répond que c'est pas le soleil, mais la Terre qui est tournée de la
sorte, et blablabla.
Encore mieux : « L'effet de perspective d'un grand angle tend
à faire paraître divers plans d'une même image plus éloignés les uns
des autres qu'en réalité, à l'opposé des téléobjectifs qui tendent plutôt
à « resserrer » les sujets dans un seul et même plan. »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Objectif_grand_angle
(faudra un jour qu'on m'explique la différence entre la perspective et
l'effet de perspective, entre faire paraître et tend à faire paraître, ou
m'expliquer la réalité dont on parle ici)
Résumé : on voit tous la même chose, on ressent tous la même chose, et
après c'est rigolo, il faut expliquer qu'en vrai ce n'est pas vrai.
Encore mieux : « L'effet de perspective d'un grand angle tend
à faire paraître divers plans d'une même image plus éloignés les uns
des autres qu'en réalité, à l'opposé des téléobjectifs qui tendent plutôt
à « resserrer » les sujets dans un seul et même plan. »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Objectif_grand_angle
(faudra un jour qu'on m'explique la différence entre la perspective et
l'effet de perspective, entre faire paraître et tend à faire paraître, ou
m'expliquer la réalité dont on parle ici)
Résumé : on voit tous la même chose, on ressent tous la même chose, et
après c'est rigolo, il faut expliquer qu'en vrai ce n'est pas vrai.
Encore mieux : « L'effet de perspective d'un grand angle tend
à faire paraître divers plans d'une même image plus éloignés les uns
des autres qu'en réalité, à l'opposé des téléobjectifs qui tendent plutôt
à « resserrer » les sujets dans un seul et même plan. »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Objectif_grand_angle
(faudra un jour qu'on m'explique la différence entre la perspective et
l'effet de perspective, entre faire paraître et tend à faire paraître, ou
m'expliquer la réalité dont on parle ici)
Résumé : on voit tous la même chose, on ressent tous la même chose, et
après c'est rigolo, il faut expliquer qu'en vrai ce n'est pas vrai.
Le 01/10/2011 23:12, Bour-Brown a écrit :Dès le début j'ai bien précisé qu'il y avait « la » perspective, la
méthode,
la projection théorique d'une scène, et « les » perspectives, c'est à
dire
les différences représentations d'un même objet selon différents
point de
vue ou les différentes géométries liées à l'angle de champ.
huhu, ça correspond bien à la troisième définition que j'en avais
donné dans un message (que tu peux ne pas avoir lu, c'est pas
obligatoire) ;)
je recolle (et corrige):
Alors on revient à la définition de la perspective, qui est l'objet du
débat. J'en trouverait 3:
- La perspective est le mode mathématique de projection d'une scène 3D
sur un plan 2D (exemple "perspective cavalière"). Dans ce sens là,
pour des objectifs standards, elle ne change jamais pour un appareil
photo: c'est toujours une perspective plan-conique.
- La perspective est le résultat de la définition précédente appliqué
à une scène en particulier depuis un point en particulier en visant
une direction définie. "Depuis ici, on a une belle perspective sur la
cathédrale". Ce n'est rien d'autre que la définition précédente
restreinte à une projection (la projection plan-conique) et
correctement définie pour un cas donné. Mathématiquement, c'est un jeu
d'équations totalement défini. C'est la définition que nous défendons.
- La perspective serait la définition ci-dessus, mais en y ajoutant
des "bords". Au lieu de projeter sur un plan, on projette sur une
portion du plan et on considère comme variation de perspective une
variation de la localisation de la portion de plan considérée. Nous
considérons comme abusive cette définition; qui n'ajoute rien à la
précédente, sinon une confusion: est-ce que maintenant dire "je
modifie la perspective" peut s'entendre comme "je recadre" ?
Mais du point de vue du photographe, je pense que la troisième
définition se tient. Et donc, que je vais finir par être en accord
avec toi, zut.
Yannick
--
Le 01/10/2011 23:12, Bour-Brown a écrit :
Dès le début j'ai bien précisé qu'il y avait « la » perspective, la
méthode,
la projection théorique d'une scène, et « les » perspectives, c'est à
dire
les différences représentations d'un même objet selon différents
point de
vue ou les différentes géométries liées à l'angle de champ.
huhu, ça correspond bien à la troisième définition que j'en avais
donné dans un message (que tu peux ne pas avoir lu, c'est pas
obligatoire) ;)
je recolle (et corrige):
Alors on revient à la définition de la perspective, qui est l'objet du
débat. J'en trouverait 3:
- La perspective est le mode mathématique de projection d'une scène 3D
sur un plan 2D (exemple "perspective cavalière"). Dans ce sens là,
pour des objectifs standards, elle ne change jamais pour un appareil
photo: c'est toujours une perspective plan-conique.
- La perspective est le résultat de la définition précédente appliqué
à une scène en particulier depuis un point en particulier en visant
une direction définie. "Depuis ici, on a une belle perspective sur la
cathédrale". Ce n'est rien d'autre que la définition précédente
restreinte à une projection (la projection plan-conique) et
correctement définie pour un cas donné. Mathématiquement, c'est un jeu
d'équations totalement défini. C'est la définition que nous défendons.
- La perspective serait la définition ci-dessus, mais en y ajoutant
des "bords". Au lieu de projeter sur un plan, on projette sur une
portion du plan et on considère comme variation de perspective une
variation de la localisation de la portion de plan considérée. Nous
considérons comme abusive cette définition; qui n'ajoute rien à la
précédente, sinon une confusion: est-ce que maintenant dire "je
modifie la perspective" peut s'entendre comme "je recadre" ?
Mais du point de vue du photographe, je pense que la troisième
définition se tient. Et donc, que je vais finir par être en accord
avec toi, zut.
Yannick
--
Le 01/10/2011 23:12, Bour-Brown a écrit :Dès le début j'ai bien précisé qu'il y avait « la » perspective, la
méthode,
la projection théorique d'une scène, et « les » perspectives, c'est à
dire
les différences représentations d'un même objet selon différents
point de
vue ou les différentes géométries liées à l'angle de champ.
huhu, ça correspond bien à la troisième définition que j'en avais
donné dans un message (que tu peux ne pas avoir lu, c'est pas
obligatoire) ;)
je recolle (et corrige):
Alors on revient à la définition de la perspective, qui est l'objet du
débat. J'en trouverait 3:
- La perspective est le mode mathématique de projection d'une scène 3D
sur un plan 2D (exemple "perspective cavalière"). Dans ce sens là,
pour des objectifs standards, elle ne change jamais pour un appareil
photo: c'est toujours une perspective plan-conique.
- La perspective est le résultat de la définition précédente appliqué
à une scène en particulier depuis un point en particulier en visant
une direction définie. "Depuis ici, on a une belle perspective sur la
cathédrale". Ce n'est rien d'autre que la définition précédente
restreinte à une projection (la projection plan-conique) et
correctement définie pour un cas donné. Mathématiquement, c'est un jeu
d'équations totalement défini. C'est la définition que nous défendons.
- La perspective serait la définition ci-dessus, mais en y ajoutant
des "bords". Au lieu de projeter sur un plan, on projette sur une
portion du plan et on considère comme variation de perspective une
variation de la localisation de la portion de plan considérée. Nous
considérons comme abusive cette définition; qui n'ajoute rien à la
précédente, sinon une confusion: est-ce que maintenant dire "je
modifie la perspective" peut s'entendre comme "je recadre" ?
Mais du point de vue du photographe, je pense que la troisième
définition se tient. Et donc, que je vais finir par être en accord
avec toi, zut.
Yannick
--
markorki a couché sur son écran :KMS a écrit :
la perspective est une projection , en dessin comme en photo
2D c'est pour la maternel
3D c'est la perspective
--
AuReVoiR Hic
Le futur a été crée pour être changé. - Paulo Coelho
ftp://Hic::21
markorki a couché sur son écran :
KMS a écrit :
la perspective est une projection , en dessin comme en photo
2D c'est pour la maternel
3D c'est la perspective
--
AuReVoiR Hic
Le futur a été crée pour être changé. - Paulo Coelho
ftp://Hic:Hic@83.141.166.47:21
markorki a couché sur son écran :KMS a écrit :
la perspective est une projection , en dessin comme en photo
2D c'est pour la maternel
3D c'est la perspective
--
AuReVoiR Hic
Le futur a été crée pour être changé. - Paulo Coelho
ftp://Hic::21
ceux qui ne voient pas le relief , analysent mal la projection en
perspective
ceux qui ne voient pas le relief , analysent mal la projection en
perspective
ceux qui ne voient pas le relief , analysent mal la projection en
perspective
Bour-Brown a écrit :
Encore mieux : « L'effet de perspective d'un grand angle tend
à faire paraître divers plans d'une même image plus éloignés les uns
des autres qu'en réalité, à l'opposé des téléobjectifs qui tendent plutôt
à « resserrer » les sujets dans un seul et même plan. »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Objectif_grand_angle
(faudra un jour qu'on m'explique la différence entre la perspective et
l'effet de perspective, entre faire paraître et tend à faire paraître, ou
m'expliquer la réalité dont on parle ici)
Ce sera donc moi, dit la petite poule rousse.
Dans tous les cas, c'est une utilisation abusive du mot «perspective». Je le
répète, celui-ci a un sens très strict
Si on part d'une image prise au 20mm et qu'on en retienne que la moitié au
centre, on aura le même résultat que si on avait opéré directement au 40 mm.
Bour-Brown a écrit :
Encore mieux : « L'effet de perspective d'un grand angle tend
à faire paraître divers plans d'une même image plus éloignés les uns
des autres qu'en réalité, à l'opposé des téléobjectifs qui tendent plutôt
à « resserrer » les sujets dans un seul et même plan. »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Objectif_grand_angle
(faudra un jour qu'on m'explique la différence entre la perspective et
l'effet de perspective, entre faire paraître et tend à faire paraître, ou
m'expliquer la réalité dont on parle ici)
Ce sera donc moi, dit la petite poule rousse.
Dans tous les cas, c'est une utilisation abusive du mot «perspective». Je le
répète, celui-ci a un sens très strict
Si on part d'une image prise au 20mm et qu'on en retienne que la moitié au
centre, on aura le même résultat que si on avait opéré directement au 40 mm.
Bour-Brown a écrit :
Encore mieux : « L'effet de perspective d'un grand angle tend
à faire paraître divers plans d'une même image plus éloignés les uns
des autres qu'en réalité, à l'opposé des téléobjectifs qui tendent plutôt
à « resserrer » les sujets dans un seul et même plan. »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Objectif_grand_angle
(faudra un jour qu'on m'explique la différence entre la perspective et
l'effet de perspective, entre faire paraître et tend à faire paraître, ou
m'expliquer la réalité dont on parle ici)
Ce sera donc moi, dit la petite poule rousse.
Dans tous les cas, c'est une utilisation abusive du mot «perspective». Je le
répète, celui-ci a un sens très strict
Si on part d'une image prise au 20mm et qu'on en retienne que la moitié au
centre, on aura le même résultat que si on avait opéré directement au 40 mm.
Bour-Brown a écrit :Il faut rapporter ce trapèze sur une feuille quadrillée, l'intersection des
deux grands côtés donne la position du point de vue, l'oblicité du trapèze
donne l'angle de décentrement, des choses comme ça, mais dans le cadre de
cette discussion cela n'a plus aucun sens.
Je croyais sincèrement que dès que tu verrais avec quelle facilité un
logiciel calcule aujourd'hui les angles et les distances en perspective
avec
seulement quatre points et rien d'autre, tu aurais trouvé ça sublime, parce
que moi c'est encore ce que ça me fait.
Tu parles ici de l'image d'un rectangle plan tout seul dans l'image.
Tu te trompes. La seule donnée du trapèze enregistré ne permet pas de
remonter à la position du point de vue par rapport au cadre de l'image.
Essaie de redresser ce trapèze avec un logiciel automatique comme ShiftN.
Celui-ci te demandera une focale afin de positionner le point de vue par
rapport à l'image. Tu peux lui en donner plusieurs : à chaque fois il
redressera le trapèze en rectangle mais avec des rapports largeur/hauteur
différents.
charle
Bour-Brown a écrit :
Il faut rapporter ce trapèze sur une feuille quadrillée, l'intersection des
deux grands côtés donne la position du point de vue, l'oblicité du trapèze
donne l'angle de décentrement, des choses comme ça, mais dans le cadre de
cette discussion cela n'a plus aucun sens.
Je croyais sincèrement que dès que tu verrais avec quelle facilité un
logiciel calcule aujourd'hui les angles et les distances en perspective
avec
seulement quatre points et rien d'autre, tu aurais trouvé ça sublime, parce
que moi c'est encore ce que ça me fait.
Tu parles ici de l'image d'un rectangle plan tout seul dans l'image.
Tu te trompes. La seule donnée du trapèze enregistré ne permet pas de
remonter à la position du point de vue par rapport au cadre de l'image.
Essaie de redresser ce trapèze avec un logiciel automatique comme ShiftN.
Celui-ci te demandera une focale afin de positionner le point de vue par
rapport à l'image. Tu peux lui en donner plusieurs : à chaque fois il
redressera le trapèze en rectangle mais avec des rapports largeur/hauteur
différents.
charle
Bour-Brown a écrit :Il faut rapporter ce trapèze sur une feuille quadrillée, l'intersection des
deux grands côtés donne la position du point de vue, l'oblicité du trapèze
donne l'angle de décentrement, des choses comme ça, mais dans le cadre de
cette discussion cela n'a plus aucun sens.
Je croyais sincèrement que dès que tu verrais avec quelle facilité un
logiciel calcule aujourd'hui les angles et les distances en perspective
avec
seulement quatre points et rien d'autre, tu aurais trouvé ça sublime, parce
que moi c'est encore ce que ça me fait.
Tu parles ici de l'image d'un rectangle plan tout seul dans l'image.
Tu te trompes. La seule donnée du trapèze enregistré ne permet pas de
remonter à la position du point de vue par rapport au cadre de l'image.
Essaie de redresser ce trapèze avec un logiciel automatique comme ShiftN.
Celui-ci te demandera une focale afin de positionner le point de vue par
rapport à l'image. Tu peux lui en donner plusieurs : à chaque fois il
redressera le trapèze en rectangle mais avec des rapports largeur/hauteur
différents.
charle
L'allusion aux épicycles de Ptolémée n'est pas mal: gare à se laisser
embarquer par des développements aussi foireux que "savants" en apparence.
L'essentiel est de leur montrer des photos.
L'allusion aux épicycles de Ptolémée n'est pas mal: gare à se laisser
embarquer par des développements aussi foireux que "savants" en apparence.
L'essentiel est de leur montrer des photos.
L'allusion aux épicycles de Ptolémée n'est pas mal: gare à se laisser
embarquer par des développements aussi foireux que "savants" en apparence.
L'essentiel est de leur montrer des photos.