Tu peux le prouver, ça, ou c'est juste un ressenti personnel ?
Tu peux le prouver, ça, ou c'est juste un ressenti personnel ?
Tu peux le prouver, ça, ou c'est juste un ressenti personnel ?
Mais bon si toi tu considères que faire un travail de copiste c'est
faire de l'art...
Mais bon si toi tu considères que faire un travail de copiste c'est
faire de l'art...
Mais bon si toi tu considères que faire un travail de copiste c'est
faire de l'art...
Florent Pessaud a écrit
( )Tu peux le prouver, ça, ou c'est juste un ressenti personnel ?
C'est impossible en la matière. Oh, on pourrait se lancer dans le jeu des
Florent Pessaud a écrit
( 4fa76c70.0409090212.7de3708a@posting.google.com )
Tu peux le prouver, ça, ou c'est juste un ressenti personnel ?
C'est impossible en la matière. Oh, on pourrait se lancer dans le jeu des
Florent Pessaud a écrit
( )Tu peux le prouver, ça, ou c'est juste un ressenti personnel ?
C'est impossible en la matière. Oh, on pourrait se lancer dans le jeu des
Florent Pessaud a écrit
( )Mais bon si toi tu considères que faire un travail de copiste c'est
faire de l'art...
Pas en ces termes, mais oui, très certainement, et je le pense tout à fait
sérieusement.
On devrait pouvoir montrer avec assez de bonheur que non seulement la copie
est un fondamental de notre histoire de l'Art, que notre société
industrielle pousse la logique de la copie à son terme, que jamais le débat
sur la copie de quelque nature qu'elle soit n'a été aussi grand, que nous
sommes sur un forum dont la copie, via la duplication, la diffusion ou
l'archivage, est un souci constant, que la volonté affichée d'originalité
que l'art contemporain se donne n'est pas autonome mais s'inscrit comme
réaction contre la copie, etc. mais vu le mépris que FiLH et toi-même vous
avez envers elle (ça transparaît autant dans la phrase que je reprends que
dans le rejet commun d'une référence pourtant prometteuse), je me verrais à
coup sûr reprocher une fois de plus de n'avoir aucun argument valide, de
déformer les propos, d'être de mauvaise foi ou je ne sais quoi d'autre.
Florent Pessaud a écrit
( 4fa76c70.0409090215.7eac65d2@posting.google.com )
Mais bon si toi tu considères que faire un travail de copiste c'est
faire de l'art...
Pas en ces termes, mais oui, très certainement, et je le pense tout à fait
sérieusement.
On devrait pouvoir montrer avec assez de bonheur que non seulement la copie
est un fondamental de notre histoire de l'Art, que notre société
industrielle pousse la logique de la copie à son terme, que jamais le débat
sur la copie de quelque nature qu'elle soit n'a été aussi grand, que nous
sommes sur un forum dont la copie, via la duplication, la diffusion ou
l'archivage, est un souci constant, que la volonté affichée d'originalité
que l'art contemporain se donne n'est pas autonome mais s'inscrit comme
réaction contre la copie, etc. mais vu le mépris que FiLH et toi-même vous
avez envers elle (ça transparaît autant dans la phrase que je reprends que
dans le rejet commun d'une référence pourtant prometteuse), je me verrais à
coup sûr reprocher une fois de plus de n'avoir aucun argument valide, de
déformer les propos, d'être de mauvaise foi ou je ne sais quoi d'autre.
Florent Pessaud a écrit
( )Mais bon si toi tu considères que faire un travail de copiste c'est
faire de l'art...
Pas en ces termes, mais oui, très certainement, et je le pense tout à fait
sérieusement.
On devrait pouvoir montrer avec assez de bonheur que non seulement la copie
est un fondamental de notre histoire de l'Art, que notre société
industrielle pousse la logique de la copie à son terme, que jamais le débat
sur la copie de quelque nature qu'elle soit n'a été aussi grand, que nous
sommes sur un forum dont la copie, via la duplication, la diffusion ou
l'archivage, est un souci constant, que la volonté affichée d'originalité
que l'art contemporain se donne n'est pas autonome mais s'inscrit comme
réaction contre la copie, etc. mais vu le mépris que FiLH et toi-même vous
avez envers elle (ça transparaît autant dans la phrase que je reprends que
dans le rejet commun d'une référence pourtant prometteuse), je me verrais à
coup sûr reprocher une fois de plus de n'avoir aucun argument valide, de
déformer les propos, d'être de mauvaise foi ou je ne sais quoi d'autre.
Florent Pessaud wrote:Et, depuis l'Antiquité, une majorité de personnes pense que l'art
contemporain est "hermétique" ou "décadent", essentiellement parce
qu'il est nouveau, qu'il explore de nouvelles formes qui déroutent les
contemporains.
Je peux te donner des tas de contre-exemples.
Chaque époque a eut ses exceptions. Mais ce n'est pas une constante.
A part avoir vécu ses époques rien ne permet d'affirmer celà sinon
quelques références que l'histoire de l'art a décidé de redécouvrir. Et
qui pour certains n'étaient pas connu de leur contemporains.
Besoin d'initiation pour écouter Mozart ? Non.
Oui.
Non. Tu as besoin de quelqu'un pour t'apprendre à écouter la musique
classique ? Quelle énormité !
Pour apprécier une oeuvre d'art, *quelle qu'elle soit*, on peut soit
s'appuyer sur l'affect, soit sur ce que tu appelles une "initiation".
Et c'est aussi vrai pour Raphaël que pour Mirò.
Dans ce cas pourquoi affirmes-tu qu'une initiation est nécessaire pour
Mozart, Raphaël, la poésie ou la chorégraphie ?
Une représentation d'une femme sereine tenant en ses bras un enfant
a-t-elle besoin d'initiés pour être apprécié ?
A-t-on
besoin d'être initié pour apprécier les photographies de HCB ou
Doisnaud?
A-t-on besoin d'être initié ? Selon ta citation celà
s'inscrit dans une logique où il faut affirmer : oui.
Quelle énormité de ta part... àmha !
- Toute la culture arabo-musulmane prohibe la représentation
figurative.
C'est faux.
Il y a toujours eu différentes représentations dans les cultures
musulmanes. Figuratives également.
Tu uses d'un cliché et démontres une méconnaissance su sujet.
Pour quelqu'un élevé dans cette culture, l'art pictural
contemporain
serait beaucoup plus "évident" à appréhender qu'un tableau de
Rubens
Un Picasso ou un Dali
serait plus évident à appréhender qu'un Rubens,
notamment pour un "musulman" selon toi. J'en reste coit !
Soit tu me prends pour un con soit tu t'exprimes très mal. A moins que
tu ne sois venu d'une autre planète... ?
Apparement tu conceptualises un art qui ne repose pas sur une base
culturelle mais sur une base commune à l'ensemble de l'humanité. Les
hommes ne sont pas si différents que ce que tu prétends et leur culture
ne les rends pas réfractaires à tous les arts étrangers.
Comme tu prends la musique en argument, c'est précisement le meilleur
exemple de mon point de vue qui unie le maximum de cultures.
Une mélodie
et des sonorités agréables n'ont pas de barrière de langue ou de
culture.
Je ne parle pas ni ne comprends l'allemand pourtant je peux
écouter Mozart dans la langue de Goethe et y prendre plaisir.
- Brian Eno travaillerait-il le son sur une théorie seulement valable
pour ses seules oreilles ?
- La musique de Ligeti pourrait-elle seulement être appréciée des
initiés ?
Tant que l'Art ne devient pas conceptuel, il peut être apprécié par tous
sans besoin d'initiation.
Difficilement abordable car il est trop conceptuel.
Florent Pessaud <florentpessaud@hotmail.com> wrote:
Et, depuis l'Antiquité, une majorité de personnes pense que l'art
contemporain est "hermétique" ou "décadent", essentiellement parce
qu'il est nouveau, qu'il explore de nouvelles formes qui déroutent les
contemporains.
Je peux te donner des tas de contre-exemples.
Chaque époque a eut ses exceptions. Mais ce n'est pas une constante.
A part avoir vécu ses époques rien ne permet d'affirmer celà sinon
quelques références que l'histoire de l'art a décidé de redécouvrir. Et
qui pour certains n'étaient pas connu de leur contemporains.
Besoin d'initiation pour écouter Mozart ? Non.
Oui.
Non. Tu as besoin de quelqu'un pour t'apprendre à écouter la musique
classique ? Quelle énormité !
Pour apprécier une oeuvre d'art, *quelle qu'elle soit*, on peut soit
s'appuyer sur l'affect, soit sur ce que tu appelles une "initiation".
Et c'est aussi vrai pour Raphaël que pour Mirò.
Dans ce cas pourquoi affirmes-tu qu'une initiation est nécessaire pour
Mozart, Raphaël, la poésie ou la chorégraphie ?
Une représentation d'une femme sereine tenant en ses bras un enfant
a-t-elle besoin d'initiés pour être apprécié ?
A-t-on
besoin d'être initié pour apprécier les photographies de HCB ou
Doisnaud?
A-t-on besoin d'être initié ? Selon ta citation celà
s'inscrit dans une logique où il faut affirmer : oui.
Quelle énormité de ta part... àmha !
- Toute la culture arabo-musulmane prohibe la représentation
figurative.
C'est faux.
Il y a toujours eu différentes représentations dans les cultures
musulmanes. Figuratives également.
Tu uses d'un cliché et démontres une méconnaissance su sujet.
Pour quelqu'un élevé dans cette culture, l'art pictural
contemporain
serait beaucoup plus "évident" à appréhender qu'un tableau de
Rubens
Un Picasso ou un Dali
serait plus évident à appréhender qu'un Rubens,
notamment pour un "musulman" selon toi. J'en reste coit !
Soit tu me prends pour un con soit tu t'exprimes très mal. A moins que
tu ne sois venu d'une autre planète... ?
Apparement tu conceptualises un art qui ne repose pas sur une base
culturelle mais sur une base commune à l'ensemble de l'humanité. Les
hommes ne sont pas si différents que ce que tu prétends et leur culture
ne les rends pas réfractaires à tous les arts étrangers.
Comme tu prends la musique en argument, c'est précisement le meilleur
exemple de mon point de vue qui unie le maximum de cultures.
Une mélodie
et des sonorités agréables n'ont pas de barrière de langue ou de
culture.
Je ne parle pas ni ne comprends l'allemand pourtant je peux
écouter Mozart dans la langue de Goethe et y prendre plaisir.
- Brian Eno travaillerait-il le son sur une théorie seulement valable
pour ses seules oreilles ?
- La musique de Ligeti pourrait-elle seulement être appréciée des
initiés ?
Tant que l'Art ne devient pas conceptuel, il peut être apprécié par tous
sans besoin d'initiation.
Difficilement abordable car il est trop conceptuel.
Florent Pessaud wrote:Et, depuis l'Antiquité, une majorité de personnes pense que l'art
contemporain est "hermétique" ou "décadent", essentiellement parce
qu'il est nouveau, qu'il explore de nouvelles formes qui déroutent les
contemporains.
Je peux te donner des tas de contre-exemples.
Chaque époque a eut ses exceptions. Mais ce n'est pas une constante.
A part avoir vécu ses époques rien ne permet d'affirmer celà sinon
quelques références que l'histoire de l'art a décidé de redécouvrir. Et
qui pour certains n'étaient pas connu de leur contemporains.
Besoin d'initiation pour écouter Mozart ? Non.
Oui.
Non. Tu as besoin de quelqu'un pour t'apprendre à écouter la musique
classique ? Quelle énormité !
Pour apprécier une oeuvre d'art, *quelle qu'elle soit*, on peut soit
s'appuyer sur l'affect, soit sur ce que tu appelles une "initiation".
Et c'est aussi vrai pour Raphaël que pour Mirò.
Dans ce cas pourquoi affirmes-tu qu'une initiation est nécessaire pour
Mozart, Raphaël, la poésie ou la chorégraphie ?
Une représentation d'une femme sereine tenant en ses bras un enfant
a-t-elle besoin d'initiés pour être apprécié ?
A-t-on
besoin d'être initié pour apprécier les photographies de HCB ou
Doisnaud?
A-t-on besoin d'être initié ? Selon ta citation celà
s'inscrit dans une logique où il faut affirmer : oui.
Quelle énormité de ta part... àmha !
- Toute la culture arabo-musulmane prohibe la représentation
figurative.
C'est faux.
Il y a toujours eu différentes représentations dans les cultures
musulmanes. Figuratives également.
Tu uses d'un cliché et démontres une méconnaissance su sujet.
Pour quelqu'un élevé dans cette culture, l'art pictural
contemporain
serait beaucoup plus "évident" à appréhender qu'un tableau de
Rubens
Un Picasso ou un Dali
serait plus évident à appréhender qu'un Rubens,
notamment pour un "musulman" selon toi. J'en reste coit !
Soit tu me prends pour un con soit tu t'exprimes très mal. A moins que
tu ne sois venu d'une autre planète... ?
Apparement tu conceptualises un art qui ne repose pas sur une base
culturelle mais sur une base commune à l'ensemble de l'humanité. Les
hommes ne sont pas si différents que ce que tu prétends et leur culture
ne les rends pas réfractaires à tous les arts étrangers.
Comme tu prends la musique en argument, c'est précisement le meilleur
exemple de mon point de vue qui unie le maximum de cultures.
Une mélodie
et des sonorités agréables n'ont pas de barrière de langue ou de
culture.
Je ne parle pas ni ne comprends l'allemand pourtant je peux
écouter Mozart dans la langue de Goethe et y prendre plaisir.
- Brian Eno travaillerait-il le son sur une théorie seulement valable
pour ses seules oreilles ?
- La musique de Ligeti pourrait-elle seulement être appréciée des
initiés ?
Tant que l'Art ne devient pas conceptuel, il peut être apprécié par tous
sans besoin d'initiation.
Difficilement abordable car il est trop conceptuel.
Florent Pessaud a écrit
( )Reste que, comme ce discours *est* une constante du discours
intellectuel humain, loin d'être toujours justifié, et même plus
souvent faux que vrai, il faut pouvoir le *démontrer* , que ce n'est
pas une réaction atavique contre le progrès.
Ce n'est pas sérieux, il est impossible de «prouver» quoi que ce soit en ce
domaine.
De toute façon tu récuses une contestation au seul motif que ce
genre de contestation a existé de tout temps. Bof...
Florent Pessaud a écrit
( 4fa76c70.0409080222.4e2cada2@posting.google.com )
Reste que, comme ce discours *est* une constante du discours
intellectuel humain, loin d'être toujours justifié, et même plus
souvent faux que vrai, il faut pouvoir le *démontrer* , que ce n'est
pas une réaction atavique contre le progrès.
Ce n'est pas sérieux, il est impossible de «prouver» quoi que ce soit en ce
domaine.
De toute façon tu récuses une contestation au seul motif que ce
genre de contestation a existé de tout temps. Bof...
Florent Pessaud a écrit
( )Reste que, comme ce discours *est* une constante du discours
intellectuel humain, loin d'être toujours justifié, et même plus
souvent faux que vrai, il faut pouvoir le *démontrer* , que ce n'est
pas une réaction atavique contre le progrès.
Ce n'est pas sérieux, il est impossible de «prouver» quoi que ce soit en ce
domaine.
De toute façon tu récuses une contestation au seul motif que ce
genre de contestation a existé de tout temps. Bof...
Et c'est quoi ce "nouvel académisme" que tu dénonces tant, quel
pouvoir *réel a t'il ?
Dans ce thread, les doléances sont de deux ordres :
- les discours sont prétentieux et fumeux
- l'originalité est impérative
A partir du moment où l'ensemble des institutionnels en font des passages
obligés, j'appelle ça un académisme. Il détermine, via différents relais, ce
qui est de l'art contemporain ou n'en est pas. Ce qui va recevoir des
subventions, va disposer de locaux, de diffusion, de reconnaissance, etc.
Bref, ce qui va vivre et ce qui va mourir.
Et c'est quoi ce "nouvel académisme" que tu dénonces tant, quel
pouvoir *réel a t'il ?
Dans ce thread, les doléances sont de deux ordres :
- les discours sont prétentieux et fumeux
- l'originalité est impérative
A partir du moment où l'ensemble des institutionnels en font des passages
obligés, j'appelle ça un académisme. Il détermine, via différents relais, ce
qui est de l'art contemporain ou n'en est pas. Ce qui va recevoir des
subventions, va disposer de locaux, de diffusion, de reconnaissance, etc.
Bref, ce qui va vivre et ce qui va mourir.
Et c'est quoi ce "nouvel académisme" que tu dénonces tant, quel
pouvoir *réel a t'il ?
Dans ce thread, les doléances sont de deux ordres :
- les discours sont prétentieux et fumeux
- l'originalité est impérative
A partir du moment où l'ensemble des institutionnels en font des passages
obligés, j'appelle ça un académisme. Il détermine, via différents relais, ce
qui est de l'art contemporain ou n'en est pas. Ce qui va recevoir des
subventions, va disposer de locaux, de diffusion, de reconnaissance, etc.
Bref, ce qui va vivre et ce qui va mourir.
Il ne me semble pas que Le Carravage ait été un grand peintre de son
vivant. Goya non plus me semble-t-il également.
On s'en fout un peu de leurs temps, on est au 21e et c'est maintenant
que ça compte.
Parfois les mouvements ne sont perceptibles que bien plus tard et on se
rend compte que des années après de l'importance de gens.
Tu sais comme une graine: pendant longtemps on ne voit rien puis un
jour t'as une fleur.
Qu'à son époque Géricault ait été ignoré n'a strictement aucune
influence sur le fait qu'il est ou pas un grand peintre, idem pour les
autres.
Il ne me semble pas que Le Carravage ait été un grand peintre de son
vivant. Goya non plus me semble-t-il également.
On s'en fout un peu de leurs temps, on est au 21e et c'est maintenant
que ça compte.
Parfois les mouvements ne sont perceptibles que bien plus tard et on se
rend compte que des années après de l'importance de gens.
Tu sais comme une graine: pendant longtemps on ne voit rien puis un
jour t'as une fleur.
Qu'à son époque Géricault ait été ignoré n'a strictement aucune
influence sur le fait qu'il est ou pas un grand peintre, idem pour les
autres.
Il ne me semble pas que Le Carravage ait été un grand peintre de son
vivant. Goya non plus me semble-t-il également.
On s'en fout un peu de leurs temps, on est au 21e et c'est maintenant
que ça compte.
Parfois les mouvements ne sont perceptibles que bien plus tard et on se
rend compte que des années après de l'importance de gens.
Tu sais comme une graine: pendant longtemps on ne voit rien puis un
jour t'as une fleur.
Qu'à son époque Géricault ait été ignoré n'a strictement aucune
influence sur le fait qu'il est ou pas un grand peintre, idem pour les
autres.
Un point pour toi. Il est tout à fait *possible* que, en effet, cette
fois-ci, ce soit une réaction pertinente contre une évolution
"erronée" de l'art.
Et puis arrive une époque étrange, si les sciences et les technologies
continuent de progresser et même de façon exponentielle, les arts décident
de régresser. Prenons l'exemple de la peinture : après des siècles d'effort
pour découvrir des pigments, pour découvrir la perspective, pour développer
le réalisme, pour amener la technique à des sommets, tout à coup une
régression pour en arriver à une toile blanche...
Pourquoi ? Chacun y va de sa petite explication, cela va du retour aux
sources, en passant par la société décadente, en faisant un détour par
l'erreur historique, en revenant vers la prise de conscience, pour terminer
du côté de l'affranchissement de l'homme envers sa nature profonde.
L'avenir donnera la clé, mais le phénomène est étrange : pourquoi dans les
arts et pas dans les sciences et techniques ?
Un point pour toi. Il est tout à fait *possible* que, en effet, cette
fois-ci, ce soit une réaction pertinente contre une évolution
"erronée" de l'art.
Et puis arrive une époque étrange, si les sciences et les technologies
continuent de progresser et même de façon exponentielle, les arts décident
de régresser. Prenons l'exemple de la peinture : après des siècles d'effort
pour découvrir des pigments, pour découvrir la perspective, pour développer
le réalisme, pour amener la technique à des sommets, tout à coup une
régression pour en arriver à une toile blanche...
Pourquoi ? Chacun y va de sa petite explication, cela va du retour aux
sources, en passant par la société décadente, en faisant un détour par
l'erreur historique, en revenant vers la prise de conscience, pour terminer
du côté de l'affranchissement de l'homme envers sa nature profonde.
L'avenir donnera la clé, mais le phénomène est étrange : pourquoi dans les
arts et pas dans les sciences et techniques ?
Un point pour toi. Il est tout à fait *possible* que, en effet, cette
fois-ci, ce soit une réaction pertinente contre une évolution
"erronée" de l'art.
Et puis arrive une époque étrange, si les sciences et les technologies
continuent de progresser et même de façon exponentielle, les arts décident
de régresser. Prenons l'exemple de la peinture : après des siècles d'effort
pour découvrir des pigments, pour découvrir la perspective, pour développer
le réalisme, pour amener la technique à des sommets, tout à coup une
régression pour en arriver à une toile blanche...
Pourquoi ? Chacun y va de sa petite explication, cela va du retour aux
sources, en passant par la société décadente, en faisant un détour par
l'erreur historique, en revenant vers la prise de conscience, pour terminer
du côté de l'affranchissement de l'homme envers sa nature profonde.
L'avenir donnera la clé, mais le phénomène est étrange : pourquoi dans les
arts et pas dans les sciences et techniques ?
Et ce fameux critique fait justement ce que je dénonce dans ce fil :
il tombe dans "l'évidence", le classicisme, le "bon sens populaire",
Et ce fameux critique fait justement ce que je dénonce dans ce fil :
il tombe dans "l'évidence", le classicisme, le "bon sens populaire",
Et ce fameux critique fait justement ce que je dénonce dans ce fil :
il tombe dans "l'évidence", le classicisme, le "bon sens populaire",