FiLH wrote:Il ne me semble pas que Le Carravage ait été un grand peintre de son
vivant. Goya non plus me semble-t-il également.
On s'en fout un peu de leurs temps, on est au 21e et c'est maintenant
que ça compte.
Dans ce cas quel est le rapport avec l'art contemporain et son
accessibilité au public comme aux artistes contemporain à Goya ou
Carvaggio ?
FiLH <filh@filh.org> wrote:
Il ne me semble pas que Le Carravage ait été un grand peintre de son
vivant. Goya non plus me semble-t-il également.
On s'en fout un peu de leurs temps, on est au 21e et c'est maintenant
que ça compte.
Dans ce cas quel est le rapport avec l'art contemporain et son
accessibilité au public comme aux artistes contemporain à Goya ou
Carvaggio ?
FiLH wrote:Il ne me semble pas que Le Carravage ait été un grand peintre de son
vivant. Goya non plus me semble-t-il également.
On s'en fout un peu de leurs temps, on est au 21e et c'est maintenant
que ça compte.
Dans ce cas quel est le rapport avec l'art contemporain et son
accessibilité au public comme aux artistes contemporain à Goya ou
Carvaggio ?
Un "carré blanc sur fond blanc" ça peut s'apprécier en tant que tel,
nul besoin d'explications pour être touché par l'oeuvre (juste une
sensibilité assez inhabituelle)
Il y a bien longtemps, un critique d'art m'avait dit : "Je peux pondre vingt
pages à propos d'un point noir sur une toile blanche, mais que voulez-vous
que j'écrive à propos d'un Vermeer, c'est beau pour le critique d'art, c'est
beau pour la femme de ménage, c'est beau pour l'ingénieur, c'est beau pour
l'étudiant, c'est tout simplement beau et il n'y a rien à ajouter."
La question de la conservation de son oeuvre est-elle de la
responsabilité de l'artiste ?
Je remarque que bien peu d'artiste se soucie de ce point ; certains,
minoritaires, en font une priorité. Je pense que par respect pour le
spectateur (acheteur) on doit, un minimum, se soucier de la conservation de
l'oeuvre.
Un "carré blanc sur fond blanc" ça peut s'apprécier en tant que tel,
nul besoin d'explications pour être touché par l'oeuvre (juste une
sensibilité assez inhabituelle)
Il y a bien longtemps, un critique d'art m'avait dit : "Je peux pondre vingt
pages à propos d'un point noir sur une toile blanche, mais que voulez-vous
que j'écrive à propos d'un Vermeer, c'est beau pour le critique d'art, c'est
beau pour la femme de ménage, c'est beau pour l'ingénieur, c'est beau pour
l'étudiant, c'est tout simplement beau et il n'y a rien à ajouter."
La question de la conservation de son oeuvre est-elle de la
responsabilité de l'artiste ?
Je remarque que bien peu d'artiste se soucie de ce point ; certains,
minoritaires, en font une priorité. Je pense que par respect pour le
spectateur (acheteur) on doit, un minimum, se soucier de la conservation de
l'oeuvre.
Un "carré blanc sur fond blanc" ça peut s'apprécier en tant que tel,
nul besoin d'explications pour être touché par l'oeuvre (juste une
sensibilité assez inhabituelle)
Il y a bien longtemps, un critique d'art m'avait dit : "Je peux pondre vingt
pages à propos d'un point noir sur une toile blanche, mais que voulez-vous
que j'écrive à propos d'un Vermeer, c'est beau pour le critique d'art, c'est
beau pour la femme de ménage, c'est beau pour l'ingénieur, c'est beau pour
l'étudiant, c'est tout simplement beau et il n'y a rien à ajouter."
La question de la conservation de son oeuvre est-elle de la
responsabilité de l'artiste ?
Je remarque que bien peu d'artiste se soucie de ce point ; certains,
minoritaires, en font une priorité. Je pense que par respect pour le
spectateur (acheteur) on doit, un minimum, se soucier de la conservation de
l'oeuvre.
Florent Pessaud a écrit
( )Non, l'art, les artistes continuent leur bonhomme de chemin, toujours
(et nécessairement) en avance sur leur temps.
Les artistes sont de leur temps, un point c'est tout.
Jusqu'au milieu du
XIXème ils produisaient en fonction de leur style et de la commande avec des
contrats parfois bien précis, ils étaient compris et appréciés par leurs
commanditaires et leurs contemporains.
La vision que tu proposes, c'est celle de la vulgate individualiste
contemporaine : l'artiste est solitaire, maudit, seul contre tous,
profondément génial et en avance sur son temps.
Et il sera bien sûr reconnu trop tard.
C'est quoi ce cliché ?
Tous les artistes que tu as cité plus bas
sont glorifié de leur vivant.
Tu crois vraiment qu'en dehors des historiens
on se souviendra d'un César, Buren ou Béjart dans deux siècles ?
Tu me demandais de quel académisme je parlais et quel était son pouvoir ? Il
est là.
J'en doute, j'en doute beaucoup... /L'assomoir/ toujours...
Zola a des convictions socialistes, très bien, il se bat pour améliorer la
condition humaine, bravo, mais son bouquin, c'est un roman, une mise en
scène, c'est un pur montage bricolé par un partisan, OK ?
C'est l'essence de l'art contemporain, cette recherche perpétuelle et
cette nouveauté permanente.
*Quelle que soit* la période considérée.
C'est ça, oui.
Florent Pessaud a écrit
( 4fa76c70.0409080321.450e0ec9@posting.google.com )
Non, l'art, les artistes continuent leur bonhomme de chemin, toujours
(et nécessairement) en avance sur leur temps.
Les artistes sont de leur temps, un point c'est tout.
Jusqu'au milieu du
XIXème ils produisaient en fonction de leur style et de la commande avec des
contrats parfois bien précis, ils étaient compris et appréciés par leurs
commanditaires et leurs contemporains.
La vision que tu proposes, c'est celle de la vulgate individualiste
contemporaine : l'artiste est solitaire, maudit, seul contre tous,
profondément génial et en avance sur son temps.
Et il sera bien sûr reconnu trop tard.
C'est quoi ce cliché ?
Tous les artistes que tu as cité plus bas
sont glorifié de leur vivant.
Tu crois vraiment qu'en dehors des historiens
on se souviendra d'un César, Buren ou Béjart dans deux siècles ?
Tu me demandais de quel académisme je parlais et quel était son pouvoir ? Il
est là.
J'en doute, j'en doute beaucoup... /L'assomoir/ toujours...
Zola a des convictions socialistes, très bien, il se bat pour améliorer la
condition humaine, bravo, mais son bouquin, c'est un roman, une mise en
scène, c'est un pur montage bricolé par un partisan, OK ?
C'est l'essence de l'art contemporain, cette recherche perpétuelle et
cette nouveauté permanente.
*Quelle que soit* la période considérée.
C'est ça, oui.
Florent Pessaud a écrit
( )Non, l'art, les artistes continuent leur bonhomme de chemin, toujours
(et nécessairement) en avance sur leur temps.
Les artistes sont de leur temps, un point c'est tout.
Jusqu'au milieu du
XIXème ils produisaient en fonction de leur style et de la commande avec des
contrats parfois bien précis, ils étaient compris et appréciés par leurs
commanditaires et leurs contemporains.
La vision que tu proposes, c'est celle de la vulgate individualiste
contemporaine : l'artiste est solitaire, maudit, seul contre tous,
profondément génial et en avance sur son temps.
Et il sera bien sûr reconnu trop tard.
C'est quoi ce cliché ?
Tous les artistes que tu as cité plus bas
sont glorifié de leur vivant.
Tu crois vraiment qu'en dehors des historiens
on se souviendra d'un César, Buren ou Béjart dans deux siècles ?
Tu me demandais de quel académisme je parlais et quel était son pouvoir ? Il
est là.
J'en doute, j'en doute beaucoup... /L'assomoir/ toujours...
Zola a des convictions socialistes, très bien, il se bat pour améliorer la
condition humaine, bravo, mais son bouquin, c'est un roman, une mise en
scène, c'est un pur montage bricolé par un partisan, OK ?
C'est l'essence de l'art contemporain, cette recherche perpétuelle et
cette nouveauté permanente.
*Quelle que soit* la période considérée.
C'est ça, oui.
Florent Pessaud a écrit
( )Et surtout le raisonnement sur la "facilité d'accès" des oeuvres
classiques me paraît discutable.
Tout est discutable.
Ca on avait compris. Le problème, c'est que les résistances ne sont
pas du tout les mêmes ni pour les mêmes raisons :
Donc rejeter l'impressionisme (hermétique d'il y a 130 ans)
A son époque même l'impressionnisme n'a rien d'énigmatique.
On en connaît
les peintres, on en connaît les mots d'ordre, entre «Impression, soleil
levant» (1874) et la reconnaissance (on va dire 1886) il y a moins de quinze
ans.
J'aimerais bien savoir ce qu'il y a là d'équivalent avec, par exemple,
le «Carré blanc sur fond blanc» de Malevitch (1918) toujours aussi difficile
à justifier de nos jours.
Florent Pessaud a écrit
( 4fa76c70.0409080438.33cfc981@posting.google.com )
Et surtout le raisonnement sur la "facilité d'accès" des oeuvres
classiques me paraît discutable.
Tout est discutable.
Ca on avait compris. Le problème, c'est que les résistances ne sont
pas du tout les mêmes ni pour les mêmes raisons :
Donc rejeter l'impressionisme (hermétique d'il y a 130 ans)
A son époque même l'impressionnisme n'a rien d'énigmatique.
On en connaît
les peintres, on en connaît les mots d'ordre, entre «Impression, soleil
levant» (1874) et la reconnaissance (on va dire 1886) il y a moins de quinze
ans.
J'aimerais bien savoir ce qu'il y a là d'équivalent avec, par exemple,
le «Carré blanc sur fond blanc» de Malevitch (1918) toujours aussi difficile
à justifier de nos jours.
Florent Pessaud a écrit
( )Et surtout le raisonnement sur la "facilité d'accès" des oeuvres
classiques me paraît discutable.
Tout est discutable.
Ca on avait compris. Le problème, c'est que les résistances ne sont
pas du tout les mêmes ni pour les mêmes raisons :
Donc rejeter l'impressionisme (hermétique d'il y a 130 ans)
A son époque même l'impressionnisme n'a rien d'énigmatique.
On en connaît
les peintres, on en connaît les mots d'ordre, entre «Impression, soleil
levant» (1874) et la reconnaissance (on va dire 1886) il y a moins de quinze
ans.
J'aimerais bien savoir ce qu'il y a là d'équivalent avec, par exemple,
le «Carré blanc sur fond blanc» de Malevitch (1918) toujours aussi difficile
à justifier de nos jours.
Alors, maintenant le plus inculte des incultes connaît Mozart et
Picasso.
Vaut mieux pas demander ce qu'il en pense.
Est ce être un artiste que de refaire ce qui s'est fait 50, 100, 300
ans avant ?
Alors, maintenant le plus inculte des incultes connaît Mozart et
Picasso.
Vaut mieux pas demander ce qu'il en pense.
Est ce être un artiste que de refaire ce qui s'est fait 50, 100, 300
ans avant ?
Alors, maintenant le plus inculte des incultes connaît Mozart et
Picasso.
Vaut mieux pas demander ce qu'il en pense.
Est ce être un artiste que de refaire ce qui s'est fait 50, 100, 300
ans avant ?
"grands" (prestigieux, plutôt) artistes français contemporains vivent
de commandes de l'Etat (qui est mécène ni plus ni moins institutionnel
que le Vatican pour Michel-Ange, hein)
"grands" (prestigieux, plutôt) artistes français contemporains vivent
de commandes de l'Etat (qui est mécène ni plus ni moins institutionnel
que le Vatican pour Michel-Ange, hein)
"grands" (prestigieux, plutôt) artistes français contemporains vivent
de commandes de l'Etat (qui est mécène ni plus ni moins institutionnel
que le Vatican pour Michel-Ange, hein)
Je te
dirais qu'il y a des sociétés humaines qui ont vécu sans AUCUNE nouveauté
pendant des siècles et des siècles, tu me dirais encore que non. Je te
citerais les Indiens d'Amérique ou les Bushmen d'Australie que tu me
demanderais de démontrer qu'ils existent ou de prouver qu'ils n'ont pas
inventé la roue.
===== EXEMPLE CONCRET ==== > ===== PREUVE ==== > «Ainsi la copie, plus ou moins conforme, est devenue au IIe siècle après
J.-C. l'acte essentiel de l'activité artistique
===== NOTE AU LECTEUR ==== > Là, je suis vraiment curieux de l'invention qu'il va trouver pour nier
l'évidence.
Je te
dirais qu'il y a des sociétés humaines qui ont vécu sans AUCUNE nouveauté
pendant des siècles et des siècles, tu me dirais encore que non. Je te
citerais les Indiens d'Amérique ou les Bushmen d'Australie que tu me
demanderais de démontrer qu'ils existent ou de prouver qu'ils n'ont pas
inventé la roue.
===== EXEMPLE CONCRET ==== > ===== PREUVE ==== > «Ainsi la copie, plus ou moins conforme, est devenue au IIe siècle après
J.-C. l'acte essentiel de l'activité artistique
===== NOTE AU LECTEUR ==== > Là, je suis vraiment curieux de l'invention qu'il va trouver pour nier
l'évidence.
Je te
dirais qu'il y a des sociétés humaines qui ont vécu sans AUCUNE nouveauté
pendant des siècles et des siècles, tu me dirais encore que non. Je te
citerais les Indiens d'Amérique ou les Bushmen d'Australie que tu me
demanderais de démontrer qu'ils existent ou de prouver qu'ils n'ont pas
inventé la roue.
===== EXEMPLE CONCRET ==== > ===== PREUVE ==== > «Ainsi la copie, plus ou moins conforme, est devenue au IIe siècle après
J.-C. l'acte essentiel de l'activité artistique
===== NOTE AU LECTEUR ==== > Là, je suis vraiment curieux de l'invention qu'il va trouver pour nier
l'évidence.
L'ensemble des points que tu soulèves semblent incontestables. Mais à mon
sens, ce qui est très différent _aujourd'hui_ est le cheminement.
Pour m'en tenir aux Arts Plastiques, je doute fort que le public ait les
moyens de s'émouvoir devant une "production" de Lewitt autant que devant un
Klee, tout simplement parce que le premier nous demande de réfléchir avant de
s'émou[voir].
Je comprends qu'il devient complexe de "produire" de la nouveauté mais "faire
advenir des formes nouvelles" (sic) est-il donné à tout le monde ?
Car je n'ai
pas cru lire ici un élément qui augmente la confusion (et la diffusion) autour
de l'art : les moyens de communication bien plus accessibles.
De fait, le grand public, le spectateur, passe plus facilement de l'autre côté
de la barrière, avec son lot de mauvaise foi : c'est le fond du débat, la
mauvaise foi, non ?
L'ensemble des points que tu soulèves semblent incontestables. Mais à mon
sens, ce qui est très différent _aujourd'hui_ est le cheminement.
Pour m'en tenir aux Arts Plastiques, je doute fort que le public ait les
moyens de s'émouvoir devant une "production" de Lewitt autant que devant un
Klee, tout simplement parce que le premier nous demande de réfléchir avant de
s'émou[voir].
Je comprends qu'il devient complexe de "produire" de la nouveauté mais "faire
advenir des formes nouvelles" (sic) est-il donné à tout le monde ?
Car je n'ai
pas cru lire ici un élément qui augmente la confusion (et la diffusion) autour
de l'art : les moyens de communication bien plus accessibles.
De fait, le grand public, le spectateur, passe plus facilement de l'autre côté
de la barrière, avec son lot de mauvaise foi : c'est le fond du débat, la
mauvaise foi, non ?
L'ensemble des points que tu soulèves semblent incontestables. Mais à mon
sens, ce qui est très différent _aujourd'hui_ est le cheminement.
Pour m'en tenir aux Arts Plastiques, je doute fort que le public ait les
moyens de s'émouvoir devant une "production" de Lewitt autant que devant un
Klee, tout simplement parce que le premier nous demande de réfléchir avant de
s'émou[voir].
Je comprends qu'il devient complexe de "produire" de la nouveauté mais "faire
advenir des formes nouvelles" (sic) est-il donné à tout le monde ?
Car je n'ai
pas cru lire ici un élément qui augmente la confusion (et la diffusion) autour
de l'art : les moyens de communication bien plus accessibles.
De fait, le grand public, le spectateur, passe plus facilement de l'autre côté
de la barrière, avec son lot de mauvaise foi : c'est le fond du débat, la
mauvaise foi, non ?
Un "carré blanc sur fond blanc" ça peut s'apprécier en tant que tel,
nul besoin d'explications pour être touché par l'oeuvre (juste une
sensibilité assez inhabituelle)
Oui et non. Puisqu'on parle de la quête de nouveauté, Malevitch a fait sa
trace dans cette voie. Ceux qui y remettent le "pinceau" avec l'ajout d'un
dico vont-ils faire avancer le shil... shimil... truc ?
Et j'ai beau chercher, de fait je n'arrive pas à imaginer une oeuvre
d'ou l'esthétique serait absente.
Idem.
Des vieux cons nous sommes ? Nous le saurons dans... 30 ans :o)
En reprenant mes commentaires sur Malevitch, Duchamps a mis les pieds dans le
pl... l'urinoir mais il a montré par l'ensemble de son oeuvre qu'il s'agissait
d'un cheminement, pas d'une fin en soi.
Un "carré blanc sur fond blanc" ça peut s'apprécier en tant que tel,
nul besoin d'explications pour être touché par l'oeuvre (juste une
sensibilité assez inhabituelle)
Oui et non. Puisqu'on parle de la quête de nouveauté, Malevitch a fait sa
trace dans cette voie. Ceux qui y remettent le "pinceau" avec l'ajout d'un
dico vont-ils faire avancer le shil... shimil... truc ?
Et j'ai beau chercher, de fait je n'arrive pas à imaginer une oeuvre
d'ou l'esthétique serait absente.
Idem.
Des vieux cons nous sommes ? Nous le saurons dans... 30 ans :o)
En reprenant mes commentaires sur Malevitch, Duchamps a mis les pieds dans le
pl... l'urinoir mais il a montré par l'ensemble de son oeuvre qu'il s'agissait
d'un cheminement, pas d'une fin en soi.
Un "carré blanc sur fond blanc" ça peut s'apprécier en tant que tel,
nul besoin d'explications pour être touché par l'oeuvre (juste une
sensibilité assez inhabituelle)
Oui et non. Puisqu'on parle de la quête de nouveauté, Malevitch a fait sa
trace dans cette voie. Ceux qui y remettent le "pinceau" avec l'ajout d'un
dico vont-ils faire avancer le shil... shimil... truc ?
Et j'ai beau chercher, de fait je n'arrive pas à imaginer une oeuvre
d'ou l'esthétique serait absente.
Idem.
Des vieux cons nous sommes ? Nous le saurons dans... 30 ans :o)
En reprenant mes commentaires sur Malevitch, Duchamps a mis les pieds dans le
pl... l'urinoir mais il a montré par l'ensemble de son oeuvre qu'il s'agissait
d'un cheminement, pas d'une fin en soi.
Mais bon si toi tu considères que faire un travail de copiste c'est
faire de l'art...
Mais bon si toi tu considères que faire un travail de copiste c'est
faire de l'art...
Mais bon si toi tu considères que faire un travail de copiste c'est
faire de l'art...