Gros con. Désolé, mais autant ta provoc ne me fait pas tiquer et je
^^^^^
continue de lire ta prose, parce que le plus souvent même si je ne suis pas
forcément d'accord, elle est (plus ou moins) argumentée. Mais là, on voit
bien que tu ne sais pas de quoi tu parles.
Tu en es si certain ?
soirée. Dire que c'est juste une histoire de volonté est peut-être vrai
dans la théorie, mais dans la pratique c'est très différent.
Réponse : tu ne bouffes pas tes putains de yaourts ! C'est uniquement une
histoire de volonté.
Regarde un peu : moi j'arrive à me retenir de violer une jolie fille dans la
rue. C'est pourtant autrement tentant qu'un yaourt n'est-ce pas?
"Quand on veut, on peut. Quand on peut, on doit." N.B
Mais bien sûr.
Gros con. Désolé, mais autant ta provoc ne me fait pas tiquer et je
^^^^^
continue de lire ta prose, parce que le plus souvent même si je ne suis pas
forcément d'accord, elle est (plus ou moins) argumentée. Mais là, on voit
bien que tu ne sais pas de quoi tu parles.
Tu en es si certain ?
soirée. Dire que c'est juste une histoire de volonté est peut-être vrai
dans la théorie, mais dans la pratique c'est très différent.
Réponse : tu ne bouffes pas tes putains de yaourts ! C'est uniquement une
histoire de volonté.
Regarde un peu : moi j'arrive à me retenir de violer une jolie fille dans la
rue. C'est pourtant autrement tentant qu'un yaourt n'est-ce pas?
"Quand on veut, on peut. Quand on peut, on doit." N.B
Mais bien sûr.
Gros con. Désolé, mais autant ta provoc ne me fait pas tiquer et je
^^^^^
continue de lire ta prose, parce que le plus souvent même si je ne suis pas
forcément d'accord, elle est (plus ou moins) argumentée. Mais là, on voit
bien que tu ne sais pas de quoi tu parles.
Tu en es si certain ?
soirée. Dire que c'est juste une histoire de volonté est peut-être vrai
dans la théorie, mais dans la pratique c'est très différent.
Réponse : tu ne bouffes pas tes putains de yaourts ! C'est uniquement une
histoire de volonté.
Regarde un peu : moi j'arrive à me retenir de violer une jolie fille dans la
rue. C'est pourtant autrement tentant qu'un yaourt n'est-ce pas?
"Quand on veut, on peut. Quand on peut, on doit." N.B
Mais bien sûr.
Les problèmes de poids et autres viennent de mauvaises habitudes, comme
tout un tas d'autres problèmes d'ailleurs. Dire "yakafoktu" c'est très
très facile à dire. C'est beaucoup plus difficile en pratique (je
radote, je sais, mais ton discours est à la limite de me faire vomir,
surtout vue la gêne que mon surpoids me procure).
Les problèmes de poids et autres viennent de mauvaises habitudes, comme
tout un tas d'autres problèmes d'ailleurs. Dire "yakafoktu" c'est très
très facile à dire. C'est beaucoup plus difficile en pratique (je
radote, je sais, mais ton discours est à la limite de me faire vomir,
surtout vue la gêne que mon surpoids me procure).
Les problèmes de poids et autres viennent de mauvaises habitudes, comme
tout un tas d'autres problèmes d'ailleurs. Dire "yakafoktu" c'est très
très facile à dire. C'est beaucoup plus difficile en pratique (je
radote, je sais, mais ton discours est à la limite de me faire vomir,
surtout vue la gêne que mon surpoids me procure).
Je répète : ton yaourt tu ne le bouffes pas !
Il ne faut pas laisser le patient prendre trop plaisir à s'expliquer et à
montrer combien "c'est difficile", combien "c'est complexe". Quand on tient
dur comme fer à son symptôme, on dit toujours que les choses sont "difficiles
et complexes".
Donc arrête de bouffer tes yaourts ;) C'est pas difficile,
c'est pas complexe,
c'est très simple.
Je répète : ton yaourt tu ne le bouffes pas !
Il ne faut pas laisser le patient prendre trop plaisir à s'expliquer et à
montrer combien "c'est difficile", combien "c'est complexe". Quand on tient
dur comme fer à son symptôme, on dit toujours que les choses sont "difficiles
et complexes".
Donc arrête de bouffer tes yaourts ;) C'est pas difficile,
c'est pas complexe,
c'est très simple.
Je répète : ton yaourt tu ne le bouffes pas !
Il ne faut pas laisser le patient prendre trop plaisir à s'expliquer et à
montrer combien "c'est difficile", combien "c'est complexe". Quand on tient
dur comme fer à son symptôme, on dit toujours que les choses sont "difficiles
et complexes".
Donc arrête de bouffer tes yaourts ;) C'est pas difficile,
c'est pas complexe,
c'est très simple.
Tu n'as pas l'air d'avoir conscience de la difficulté qu'il y a à manger
moins. Je ne suis pas un "vrai" obèse, mais j'ai bien 20kg à perdre. Et je
te jure que j'essaie : j'achète pas trop de bouffe, j'essaie de ne pas
manger n'importe quoi... N'empêche : un machin qui devrait me durer deux
ou trois jours (yaourts, fromage, etc) peut très bien disparaître dans la
soirée. Dire que c'est juste une histoire de volonté est peut-être vrai
dans la théorie, mais dans la pratique c'est très différent.
Tu n'as pas l'air d'avoir conscience de la difficulté qu'il y a à manger
moins. Je ne suis pas un "vrai" obèse, mais j'ai bien 20kg à perdre. Et je
te jure que j'essaie : j'achète pas trop de bouffe, j'essaie de ne pas
manger n'importe quoi... N'empêche : un machin qui devrait me durer deux
ou trois jours (yaourts, fromage, etc) peut très bien disparaître dans la
soirée. Dire que c'est juste une histoire de volonté est peut-être vrai
dans la théorie, mais dans la pratique c'est très différent.
Tu n'as pas l'air d'avoir conscience de la difficulté qu'il y a à manger
moins. Je ne suis pas un "vrai" obèse, mais j'ai bien 20kg à perdre. Et je
te jure que j'essaie : j'achète pas trop de bouffe, j'essaie de ne pas
manger n'importe quoi... N'empêche : un machin qui devrait me durer deux
ou trois jours (yaourts, fromage, etc) peut très bien disparaître dans la
soirée. Dire que c'est juste une histoire de volonté est peut-être vrai
dans la théorie, mais dans la pratique c'est très différent.
Emmanuel Florac writes:
[...]Beurk. Le problème c'est que le catholicisme interdit le doute.
Comme le
n'importe quoi. Même le Christ a douté avant d'expirer.
Emmanuel Florac <eflorac@imaginet.fr> writes:
[...]
Beurk. Le problème c'est que le catholicisme interdit le doute.
Comme le
n'importe quoi. Même le Christ a douté avant d'expirer.
Emmanuel Florac writes:
[...]Beurk. Le problème c'est que le catholicisme interdit le doute.
Comme le
n'importe quoi. Même le Christ a douté avant d'expirer.
On 2006-06-15, Ploc wrote:En toutes consideration, si j'avais un cancer, je commencerai tres
certainement par tester des voies moins dangereuses que les traitements
lourds de la medecine conventionelle.
Ca inclut un voyage a Lourdes?
Non, ca inclue un changement de regime alimentaire et de mode de vie, ca
inclue des traitements legers et des solutions comme le jeune.
Mais ca inclue aussi une responsabilisation de ma facon de vivre et qui
intervient avant que je sois malade : ne pas fumer, ne pas boire (ou
dans des quantites raisonnables), dormir de facon reguliere, ne pas
mener d'activites irresponsables ou dangereuses avec son corp est une
premiere voie vers la non-maladie.
Une maladie, avant de me demander comment la traiter, je commence par me
demander comment ne pas l'attraper.
On 2006-06-15, Ploc <ploc@clop.invalid> wrote:
En toutes consideration, si j'avais un cancer, je commencerai tres
certainement par tester des voies moins dangereuses que les traitements
lourds de la medecine conventionelle.
Ca inclut un voyage a Lourdes?
Non, ca inclue un changement de regime alimentaire et de mode de vie, ca
inclue des traitements legers et des solutions comme le jeune.
Mais ca inclue aussi une responsabilisation de ma facon de vivre et qui
intervient avant que je sois malade : ne pas fumer, ne pas boire (ou
dans des quantites raisonnables), dormir de facon reguliere, ne pas
mener d'activites irresponsables ou dangereuses avec son corp est une
premiere voie vers la non-maladie.
Une maladie, avant de me demander comment la traiter, je commence par me
demander comment ne pas l'attraper.
On 2006-06-15, Ploc wrote:En toutes consideration, si j'avais un cancer, je commencerai tres
certainement par tester des voies moins dangereuses que les traitements
lourds de la medecine conventionelle.
Ca inclut un voyage a Lourdes?
Non, ca inclue un changement de regime alimentaire et de mode de vie, ca
inclue des traitements legers et des solutions comme le jeune.
Mais ca inclue aussi une responsabilisation de ma facon de vivre et qui
intervient avant que je sois malade : ne pas fumer, ne pas boire (ou
dans des quantites raisonnables), dormir de facon reguliere, ne pas
mener d'activites irresponsables ou dangereuses avec son corp est une
premiere voie vers la non-maladie.
Une maladie, avant de me demander comment la traiter, je commence par me
demander comment ne pas l'attraper.
On 2006-06-16, SL wrote:Une maladie, avant de me demander comment la traiter, je commence
par me demander comment ne pas l'attraper.
Tout cela est effectivement décisif sur la question du traitement de
la maladie.
Je sais que la notion de "responsabilite" vous echappe un peu etant
donnees vos penchants politiques, mais oui, c'est effectivement decisif
dans la facon de traiter la maladie.
Parler de responsabilité ne fait qu'expliciter la première salve :
vous nous proposez de revenir à d'intéressantes considérations sur le
fait que c'est la faute du malade s'il est malade ? Un traitement
moral au lieu d'un traitement scientifique en somme ? Encore une fois
vous êtes incapable de rien comprendre et vous mélangez tout. Que la
médecine moderne soigne en grande part des maux dû à des comportements
irresponsables, tout le monde est d'accord. Seulement cela ne permet
en rien de remettre en cause l'efficacité (et moins encore le principe
de leur mesure) des méthodes de la médecine aujourd'hui. A moins de se
placer sur le terrain d'une critique de notre civilisation décadante,
de faire des jugements absolus qui sont surtout naïfs faibles et
bistrotiers. Votre niveau de raisonnement c'est : c'est la même
société qui a produit la médecine et qui produit un comportement
irresponsable, donc la science vaut rien.
Et au final, inévitablement, ça donne des propositions dont le sens
politique est abjectes, à savoir : c'est aux gens de s'en tirer par
eux mêmes, chacun pour soit, les malades sont responsables de leur
maladie.
On 2006-06-16, SL <nospam@nospam.com> wrote:
Une maladie, avant de me demander comment la traiter, je commence
par me demander comment ne pas l'attraper.
Tout cela est effectivement décisif sur la question du traitement de
la maladie.
Je sais que la notion de "responsabilite" vous echappe un peu etant
donnees vos penchants politiques, mais oui, c'est effectivement decisif
dans la facon de traiter la maladie.
Parler de responsabilité ne fait qu'expliciter la première salve :
vous nous proposez de revenir à d'intéressantes considérations sur le
fait que c'est la faute du malade s'il est malade ? Un traitement
moral au lieu d'un traitement scientifique en somme ? Encore une fois
vous êtes incapable de rien comprendre et vous mélangez tout. Que la
médecine moderne soigne en grande part des maux dû à des comportements
irresponsables, tout le monde est d'accord. Seulement cela ne permet
en rien de remettre en cause l'efficacité (et moins encore le principe
de leur mesure) des méthodes de la médecine aujourd'hui. A moins de se
placer sur le terrain d'une critique de notre civilisation décadante,
de faire des jugements absolus qui sont surtout naïfs faibles et
bistrotiers. Votre niveau de raisonnement c'est : c'est la même
société qui a produit la médecine et qui produit un comportement
irresponsable, donc la science vaut rien.
Et au final, inévitablement, ça donne des propositions dont le sens
politique est abjectes, à savoir : c'est aux gens de s'en tirer par
eux mêmes, chacun pour soit, les malades sont responsables de leur
maladie.
On 2006-06-16, SL wrote:Une maladie, avant de me demander comment la traiter, je commence
par me demander comment ne pas l'attraper.
Tout cela est effectivement décisif sur la question du traitement de
la maladie.
Je sais que la notion de "responsabilite" vous echappe un peu etant
donnees vos penchants politiques, mais oui, c'est effectivement decisif
dans la facon de traiter la maladie.
Parler de responsabilité ne fait qu'expliciter la première salve :
vous nous proposez de revenir à d'intéressantes considérations sur le
fait que c'est la faute du malade s'il est malade ? Un traitement
moral au lieu d'un traitement scientifique en somme ? Encore une fois
vous êtes incapable de rien comprendre et vous mélangez tout. Que la
médecine moderne soigne en grande part des maux dû à des comportements
irresponsables, tout le monde est d'accord. Seulement cela ne permet
en rien de remettre en cause l'efficacité (et moins encore le principe
de leur mesure) des méthodes de la médecine aujourd'hui. A moins de se
placer sur le terrain d'une critique de notre civilisation décadante,
de faire des jugements absolus qui sont surtout naïfs faibles et
bistrotiers. Votre niveau de raisonnement c'est : c'est la même
société qui a produit la médecine et qui produit un comportement
irresponsable, donc la science vaut rien.
Et au final, inévitablement, ça donne des propositions dont le sens
politique est abjectes, à savoir : c'est aux gens de s'en tirer par
eux mêmes, chacun pour soit, les malades sont responsables de leur
maladie.
On 2006-06-16, SL wrote:Et au final, inévitablement, ça donne des propositions dont le sens
politique est abjectes, à savoir : c'est aux gens de s'en tirer par
eux mêmes, chacun pour soit, les malades sont responsables de leur
maladie.
Tres clairement, un mec qui fume un paquet de cigarette par jour, je ne
vois aucune raison qui peut justifier que j'ai a payer pour le soigner
de son suicide lent.
On 2006-06-16, SL <nospam@nospam.com> wrote:
Et au final, inévitablement, ça donne des propositions dont le sens
politique est abjectes, à savoir : c'est aux gens de s'en tirer par
eux mêmes, chacun pour soit, les malades sont responsables de leur
maladie.
Tres clairement, un mec qui fume un paquet de cigarette par jour, je ne
vois aucune raison qui peut justifier que j'ai a payer pour le soigner
de son suicide lent.
On 2006-06-16, SL wrote:Et au final, inévitablement, ça donne des propositions dont le sens
politique est abjectes, à savoir : c'est aux gens de s'en tirer par
eux mêmes, chacun pour soit, les malades sont responsables de leur
maladie.
Tres clairement, un mec qui fume un paquet de cigarette par jour, je ne
vois aucune raison qui peut justifier que j'ai a payer pour le soigner
de son suicide lent.
wrote:Tres clairement, un mec qui fume un paquet de cigarette par jour, je ne
vois aucune raison qui peut justifier que j'ai a payer pour le soigner
de son suicide lent.
Je suis toujours heureux de voir qu'un autre que moi partage une idée
considérée comme très facho :)
Effectivement, les malades sont en grande partie responsable de leur
maladie. Et ceux-là doivent payer. L'atteinte au porte-monnaie étant,
hélas, toujours efficace.
Quand je vois un gros lard se préparer un bon avc à force de bouffer, et
que tout le monde paie pour ce con, ça me rend...malade.
Le gros dit qu'il a du mal à ne pas s'empifrer. C'est pourtant simple :
il suffit qu'il ne mange pas ! Pas la peine qu'il raconte sa petite
enfance, son oncle incestueux et sa mère frigide. Il ne bouffe pas,
point barre.
Comme quoi, écouter un malade, oui. Mais pas au point où le discours
devient le moyen de se réfugier dans l'inaction.
costaclt
stephane@unices.org wrote:
Tres clairement, un mec qui fume un paquet de cigarette par jour, je ne
vois aucune raison qui peut justifier que j'ai a payer pour le soigner
de son suicide lent.
Je suis toujours heureux de voir qu'un autre que moi partage une idée
considérée comme très facho :)
Effectivement, les malades sont en grande partie responsable de leur
maladie. Et ceux-là doivent payer. L'atteinte au porte-monnaie étant,
hélas, toujours efficace.
Quand je vois un gros lard se préparer un bon avc à force de bouffer, et
que tout le monde paie pour ce con, ça me rend...malade.
Le gros dit qu'il a du mal à ne pas s'empifrer. C'est pourtant simple :
il suffit qu'il ne mange pas ! Pas la peine qu'il raconte sa petite
enfance, son oncle incestueux et sa mère frigide. Il ne bouffe pas,
point barre.
Comme quoi, écouter un malade, oui. Mais pas au point où le discours
devient le moyen de se réfugier dans l'inaction.
costaclt
wrote:Tres clairement, un mec qui fume un paquet de cigarette par jour, je ne
vois aucune raison qui peut justifier que j'ai a payer pour le soigner
de son suicide lent.
Je suis toujours heureux de voir qu'un autre que moi partage une idée
considérée comme très facho :)
Effectivement, les malades sont en grande partie responsable de leur
maladie. Et ceux-là doivent payer. L'atteinte au porte-monnaie étant,
hélas, toujours efficace.
Quand je vois un gros lard se préparer un bon avc à force de bouffer, et
que tout le monde paie pour ce con, ça me rend...malade.
Le gros dit qu'il a du mal à ne pas s'empifrer. C'est pourtant simple :
il suffit qu'il ne mange pas ! Pas la peine qu'il raconte sa petite
enfance, son oncle incestueux et sa mère frigide. Il ne bouffe pas,
point barre.
Comme quoi, écouter un malade, oui. Mais pas au point où le discours
devient le moyen de se réfugier dans l'inaction.
costaclt
Stéphane Zuckerman wrote:Gros con. Désolé, mais autant ta provoc ne me fait pas tiquer et je
continue de lire ta prose, parce que le plus souvent même si je ne suis
pas forcément d'accord, elle est (plus ou moins) argumentée. Mais là, on
voit bien que tu ne sais pas de quoi tu parles.
Tu en es si certain ?Tu n'as pas l'air d'avoir conscience de la difficulté qu'il y a à manger
moins. Je ne suis pas un "vrai" obèse, mais j'ai bien 20kg à perdre. Et
je te jure que j'essaie : j'achète pas trop de bouffe, j'essaie de ne
pas manger n'importe quoi... N'empêche : un machin qui devrait me durer
deux ou trois jours (yaourts, fromage, etc) peut très bien disparaître
dans la soirée. Dire que c'est juste une histoire de volonté est
peut-être vrai dans la théorie, mais dans la pratique c'est très
différent.
Réponse : tu ne bouffes pas tes putains de yaourts ! C'est uniquement
une histoire de volonté.
Regarde un peu : moi j'arrive à me retenir de violer une jolie fille
dans la rue. C'est pourtant autrement tentant qu'un yaourt n'est-ce pas?Et oui, pour le coup, tu m'as vexé. J'aurais pas répondu sinon.
"Quand on veut, on peut. Quand on peut, on doit." N.B
costaclt
Stéphane Zuckerman wrote:
Gros con. Désolé, mais autant ta provoc ne me fait pas tiquer et je
continue de lire ta prose, parce que le plus souvent même si je ne suis
pas forcément d'accord, elle est (plus ou moins) argumentée. Mais là, on
voit bien que tu ne sais pas de quoi tu parles.
Tu en es si certain ?
Tu n'as pas l'air d'avoir conscience de la difficulté qu'il y a à manger
moins. Je ne suis pas un "vrai" obèse, mais j'ai bien 20kg à perdre. Et
je te jure que j'essaie : j'achète pas trop de bouffe, j'essaie de ne
pas manger n'importe quoi... N'empêche : un machin qui devrait me durer
deux ou trois jours (yaourts, fromage, etc) peut très bien disparaître
dans la soirée. Dire que c'est juste une histoire de volonté est
peut-être vrai dans la théorie, mais dans la pratique c'est très
différent.
Réponse : tu ne bouffes pas tes putains de yaourts ! C'est uniquement
une histoire de volonté.
Regarde un peu : moi j'arrive à me retenir de violer une jolie fille
dans la rue. C'est pourtant autrement tentant qu'un yaourt n'est-ce pas?
Et oui, pour le coup, tu m'as vexé. J'aurais pas répondu sinon.
"Quand on veut, on peut. Quand on peut, on doit." N.B
costaclt
Stéphane Zuckerman wrote:Gros con. Désolé, mais autant ta provoc ne me fait pas tiquer et je
continue de lire ta prose, parce que le plus souvent même si je ne suis
pas forcément d'accord, elle est (plus ou moins) argumentée. Mais là, on
voit bien que tu ne sais pas de quoi tu parles.
Tu en es si certain ?Tu n'as pas l'air d'avoir conscience de la difficulté qu'il y a à manger
moins. Je ne suis pas un "vrai" obèse, mais j'ai bien 20kg à perdre. Et
je te jure que j'essaie : j'achète pas trop de bouffe, j'essaie de ne
pas manger n'importe quoi... N'empêche : un machin qui devrait me durer
deux ou trois jours (yaourts, fromage, etc) peut très bien disparaître
dans la soirée. Dire que c'est juste une histoire de volonté est
peut-être vrai dans la théorie, mais dans la pratique c'est très
différent.
Réponse : tu ne bouffes pas tes putains de yaourts ! C'est uniquement
une histoire de volonté.
Regarde un peu : moi j'arrive à me retenir de violer une jolie fille
dans la rue. C'est pourtant autrement tentant qu'un yaourt n'est-ce pas?Et oui, pour le coup, tu m'as vexé. J'aurais pas répondu sinon.
"Quand on veut, on peut. Quand on peut, on doit." N.B
costaclt