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format Windows Media Photo

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simon
Bonjour

Attention c'est une info zdnet, troll en perspective ...

Informatique
--> Microsoft s'attaque au format JPeg
Technologie - L'éditeur américain a mis au point le format Windows Media
Photo, pour détrôner le populaire JPeg. Pris en charge dans Vista, il sera
d'ici là disponible pour Windows XP et des systèmes d'exploitation tiers.
http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39352039,00.htm

Ce qui m'inquiète c'est "systèmes d'exploitation tiers". Ils en parle mais
aucune précision. Quelqu'un en aurait ?

Je ne suis pas technicien pointu, mais si m$ parvient à multiplier le taux
de conversion et qu'il partage, c'est bien non ? Ça cache quoi ?

10 réponses

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Stéphane Zuckerman
Gros con. Désolé, mais autant ta provoc ne me fait pas tiquer et je
^^^^^


Il manquait un « d'habitude »
continue de lire ta prose, parce que le plus souvent même si je ne suis pas
forcément d'accord, elle est (plus ou moins) argumentée. Mais là, on voit
bien que tu ne sais pas de quoi tu parles.


Tu en es si certain ?


Ben écoute, si tu dis « Moi j'ai pu le faire, alors tout le monde peut »,
avec tous tes discours précédents, je suis étonné que tu ne fasses pas un
parallèle avec le bizutage par exemple (« si moi j'ai été bizuté et que
je n'ai pas de séquelle psychologique, je ne vois pas pourquoi les
nouveaux n'y passeraient pas. »).

soirée. Dire que c'est juste une histoire de volonté est peut-être vrai
dans la théorie, mais dans la pratique c'est très différent.


Réponse : tu ne bouffes pas tes putains de yaourts ! C'est uniquement une
histoire de volonté.


La théorie c'est beau, mais le phénomène d'addiction, de stress, etc.,
n'existe pas seulement chez les alcooliques ou les fumeurs.

Regarde un peu : moi j'arrive à me retenir de violer une jolie fille dans la
rue. C'est pourtant autrement tentant qu'un yaourt n'est-ce pas?


Comparaison totalement débile et non pertinente : tu n'as pas l'habitude
de violer des jeunes filles depuis que tu as 10 ans, n'est-ce pas ?

Les problèmes de poids et autres viennent de mauvaises habitudes, comme
tout un tas d'autres problèmes d'ailleurs. Dire "yakafoktu" c'est très
très facile à dire. C'est beaucoup plus difficile en pratique (je radote,
je sais, mais ton discours est à la limite de me faire vomir, surtout vue
la gêne que mon surpoids me procure).

"Quand on veut, on peut. Quand on peut, on doit." N.B
Mais bien sûr.


--
"Je deteste les ordinateurs : ils font toujours ce que je dis, jamais ce
que je veux !"
"The obvious mathematical breakthrough would be development of an easy
way to factor large prime numbers." (Bill Gates, The Road Ahead)


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none
Stéphane Zuckerman wrote:

Les problèmes de poids et autres viennent de mauvaises habitudes, comme
tout un tas d'autres problèmes d'ailleurs. Dire "yakafoktu" c'est très
très facile à dire. C'est beaucoup plus difficile en pratique (je
radote, je sais, mais ton discours est à la limite de me faire vomir,
surtout vue la gêne que mon surpoids me procure).


Si ça te fait vomir, c'est toujours ça de gagné sur ton poids ! Enfin,
faut pas la jouer boulimie-anorexie non plus hein...

Je répète : ton yaourt tu ne le bouffes pas !

Il y a un bouquin pour amateur, "Les mots pour le dire" si je me
souviens bien. La nana avec une "névrose d'angoisse" (sic) et une
agoraphobie associée consulte. Et vas-y qu'elle raconte sa vie, sa
jeunesse, sa petite enfance, la mère qui l'épie, ses histoires de règles
etc...

Et enfin, au bout de 300 pages, le psychiatre a enfin l'éclair
salvateur. Il lui dit : "Vous savez, toutes vos histoires de règles, je
m'en fous !".

Et le problème de la nana disparaît.

Lacan faisait cela. Lorsqu'un patient répétait pour la énième fois son
histoire entortillée, il le foutait dehors dans les 5 mn. En prenant les
sous avant, faut pas déconner.

Ou alors, il lisait le journal. Pire, quand vraiment il en avait marre,
il sortait ses biffetons et les comptait sous les yeux du patient qui
était en pleine discussion avec ... lui-même.

Il ne faut pas laisser le patient prendre trop plaisir à s'expliquer et
à montrer combien "c'est difficile", combien "c'est complexe". Quand on
tient dur comme fer à son symptôme, on dit toujours que les choses sont
"difficiles et complexes".

Pourquoi une séance est très courte (20 mn au plus) : pour faire monter
la tension au maximum. Quand à force de rien dire, il ne reste plus le
temps (comme la vie en fait), enfin on dit ce qui doit être dit.

Pourquoi est-ce si cher ? En fait, c'est adapté au patient : il faut
qu'il le sente passer. Qu'il constate à quel point il tient, malgré sa
plainte, à son malheur.

Donc arrête de bouffer tes yaourts ;) C'est pas difficile, c'est pas
complexe, c'est très simple.

costaclt

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Stéphane Zuckerman
On Fri, 16 Jun 2006, none wrote:

Je répète : ton yaourt tu ne le bouffes pas !


Je répète : c'est plus facile à dire qu'à faire. Je ne te parle pas des
problèmes de ma petite enfance, je ne te parle pas de névroses qui vont
jusqu'à me faire devenir un cas pathologique. Je te parle de mauvaises
habitudes prises malheureusement très tôt dans ma vie, et que l'inertie
est extrêmement difficile à vaincre. Et le côté « boulimie » n'est pas
exactement à exclure : cette année a été très stressante pour moi, à
différents niveaux (là je te vois venir avec tes « oui oui, tout est très
complexe, n'est-ce pas ? » :-), mais pour le coup, la pression que j'ai
eue durant les huit derniers mois était vraiment extrêmement forte).

Il ne faut pas laisser le patient prendre trop plaisir à s'expliquer et à
montrer combien "c'est difficile", combien "c'est complexe". Quand on tient
dur comme fer à son symptôme, on dit toujours que les choses sont "difficiles
et complexes".


Je ne te parle pas d'expliquer à quel point c'est dur. Je te parle de la
façon dont tu considères les gens comme moi (étant donné que tu as
généralisé à outrance, je m'inclus dans la population que tu prenais en
exemple, même si je suis loin d'être dans un état où la crise cardiaque
surviendra à 40 ans).

Donc arrête de bouffer tes yaourts ;) C'est pas difficile,


Ben si.

c'est pas complexe,


C'est vrai.

c'est très simple.


Ben non. Vaincre l'inertie c'est très difficile. Ce n'est pas perdre 20 kg
que je veux ; c'est perdre 20 kg *et ne pas les reprendre*. Et ça signifie
clairement changer plus que le fait de manger trois yaourts au lieu de
deux.

--
"Je deteste les ordinateurs : ils font toujours ce que je dis, jamais ce
que je veux !"
"The obvious mathematical breakthrough would be development of an easy
way to factor large prime numbers." (Bill Gates, The Road Ahead)

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stephane
On 2006-06-16, Stéphane Zuckerman wrote:

Tu n'as pas l'air d'avoir conscience de la difficulté qu'il y a à manger
moins. Je ne suis pas un "vrai" obèse, mais j'ai bien 20kg à perdre. Et je
te jure que j'essaie : j'achète pas trop de bouffe, j'essaie de ne pas
manger n'importe quoi... N'empêche : un machin qui devrait me durer deux
ou trois jours (yaourts, fromage, etc) peut très bien disparaître dans la
soirée. Dire que c'est juste une histoire de volonté est peut-être vrai
dans la théorie, mais dans la pratique c'est très différent.


Je comprends pas, tu connais le probleme et tu connais la solution, il
te suffit d'appliquer la solution pour resoudre le probleme.

J'ai arrete de fumer de cette facon, j'ai simplement dit : "C'est la
derniere du paquet, je n'acheterai jamais d'autre paquet". Je n'ai
jamais achete d'autre paquet.

Tout ce que tu as a faire est une inaction, juste ne pas faire, c'est
pourtant simple. Pas forcement facile, mais vraiment simple. T'es en
haut d'un building de 40 etages, tu sautes pas dans le vide parce que tu
sais que si tu fais ca, ben tu vas mourir. Ben la c'est pareil, tu sais
que c'est pas bon de le faire, le fais pas.

--
http://www.unices.org Photos, humour et autres blogueries
http://www.pbase.com/stougard/ Pfff, encore des photos

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sansflotusspam
Patrice Karatchentzeff wrote:

Emmanuel Florac writes:

[...]

Beurk. Le problème c'est que le catholicisme interdit le doute.
Comme le


n'importe quoi. Même le Christ a douté avant d'expirer.


Stop ! fausse route !

le camarade parlait du catholicisme, pas de Rabi Yeshua !
Ça n'a rien à voir !


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sansflotusspam
wrote:

On 2006-06-15, Ploc wrote:
En toutes consideration, si j'avais un cancer, je commencerai tres
certainement par tester des voies moins dangereuses que les traitements
lourds de la medecine conventionelle.


Ca inclut un voyage a Lourdes?


Non, ca inclue un changement de regime alimentaire et de mode de vie, ca
inclue des traitements legers et des solutions comme le jeune.

Mais ca inclue aussi une responsabilisation de ma facon de vivre et qui
intervient avant que je sois malade : ne pas fumer, ne pas boire (ou
dans des quantites raisonnables), dormir de facon reguliere, ne pas
mener d'activites irresponsables ou dangereuses avec son corp est une
premiere voie vers la non-maladie.

Une maladie, avant de me demander comment la traiter, je commence par me
demander comment ne pas l'attraper.



là, on est vraiment dans la croyance !
comme si on "attrapait" le cancer depuis l'extérieur, comme une vulgaire
vérole !
et plus grave, comme si "de bonnes habitudes" pouvaient en préserver !
ça va pas la tête ?
et le terrain génétique ? c'est la seule "composante" qui ait une vraie
"probabilité" ... et encore.
aucune autre "grande raison" potentielle (enfin, supposée potentielle) n'a
encore jamais émergée du flou "du hasard et de la destinée".
et puisque la statistique est beaucoup citée, il faudrait déjà se rappeler
qu'il y a des règles de validité, c'est d'ailleurs la première difficulté
de l'exercice : la validité des données que l'on va étudier, avant de se
lancer dans les calculs.
j'ai lu trop de triomphales publications basées sur l'analyse présentée
comme sérieuse de ... 30 à 40 cas : c'est tout ce qu'on veut, sauf
"statistique".
quand on pense qu'en mécanique très simple (estamper et aplatir des
rondelles de ferraille, par exemple), avec des machines et des méthodes
aussi simples qu'éprouvées, aucun technicien ne se risquerait à sortir sa
cloche de Gauss à moins de 500 rondelles, et qu'on lit des trucs basés sur
moins de 10 paramètres sur du "matériel humain" (pardon), il y a quand même
de quoi se dire qu'on se fout de notre pomme !
OK, on peut essayer de travailler en Loi de Poisson (les petites séries),
on peut aussi calculer des probabilités sur les effets secondaires du
cyanure de potassium,
mais moi j'appelle ces trucs Pseudozoaires et Bidonacées !



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sansflotusspam
SL wrote:

On 2006-06-16, SL wrote:
Une maladie, avant de me demander comment la traiter, je commence
par me demander comment ne pas l'attraper.
Tout cela est effectivement décisif sur la question du traitement de

la maladie.


Je sais que la notion de "responsabilite" vous echappe un peu etant
donnees vos penchants politiques, mais oui, c'est effectivement decisif
dans la facon de traiter la maladie.


Parler de responsabilité ne fait qu'expliciter la première salve :
vous nous proposez de revenir à d'intéressantes considérations sur le
fait que c'est la faute du malade s'il est malade ? Un traitement
moral au lieu d'un traitement scientifique en somme ? Encore une fois
vous êtes incapable de rien comprendre et vous mélangez tout. Que la
médecine moderne soigne en grande part des maux dû à des comportements
irresponsables, tout le monde est d'accord. Seulement cela ne permet
en rien de remettre en cause l'efficacité (et moins encore le principe
de leur mesure) des méthodes de la médecine aujourd'hui. A moins de se
placer sur le terrain d'une critique de notre civilisation décadante,
de faire des jugements absolus qui sont surtout naïfs faibles et
bistrotiers. Votre niveau de raisonnement c'est : c'est la même
société qui a produit la médecine et qui produit un comportement
irresponsable, donc la science vaut rien.

Et au final, inévitablement, ça donne des propositions dont le sens
politique est abjectes, à savoir : c'est aux gens de s'en tirer par
eux mêmes, chacun pour soit, les malades sont responsables de leur
maladie.


merci, cher SL, de recadrer si clairement les choses !

un détail, cependant : la médecine, quoiqu'elle prétende, n'est pas une
science, c'est un art individuel appuyé sur des techniques qui elles mêmes
sont issues de connaissances scientifique.
ben oui !




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sansflotusspam
wrote:

On 2006-06-16, SL wrote:

Et au final, inévitablement, ça donne des propositions dont le sens
politique est abjectes, à savoir : c'est aux gens de s'en tirer par
eux mêmes, chacun pour soit, les malades sont responsables de leur
maladie.


Tres clairement, un mec qui fume un paquet de cigarette par jour, je ne
vois aucune raison qui peut justifier que j'ai a payer pour le soigner
de son suicide lent.



une fois de plus, vous vous situez dans la croyance, pas dans la technique,
et encore moins dans la science.
que vous teniez ce raisonnement dans l'ordre de la morale, c'est votre
droit.
que vous en fassiez une "vérité" objective, c'est de la religion.
merci de ne pas confondre "fait" (au sens scientifique) et "opinion".


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sansflotusspam
none wrote:

wrote:

Tres clairement, un mec qui fume un paquet de cigarette par jour, je ne
vois aucune raison qui peut justifier que j'ai a payer pour le soigner
de son suicide lent.


Je suis toujours heureux de voir qu'un autre que moi partage une idée
considérée comme très facho :)

Effectivement, les malades sont en grande partie responsable de leur
maladie. Et ceux-là doivent payer. L'atteinte au porte-monnaie étant,
hélas, toujours efficace.

Quand je vois un gros lard se préparer un bon avc à force de bouffer, et
que tout le monde paie pour ce con, ça me rend...malade.

Le gros dit qu'il a du mal à ne pas s'empifrer. C'est pourtant simple :
il suffit qu'il ne mange pas ! Pas la peine qu'il raconte sa petite
enfance, son oncle incestueux et sa mère frigide. Il ne bouffe pas,
point barre.

Comme quoi, écouter un malade, oui. Mais pas au point où le discours
devient le moyen de se réfugier dans l'inaction.

costaclt


ah ben là, il n'y a plus de doute ! la secte médicale s'est dévoilée !
avec ses dogmes, ses pontifes, ses excommunications, le ciel, l'enfer en
punition, les bons moines qui sauvent les pécheurs, tout y est !
quel dommage que vous vous soyez trompé d'époque, vous eussiez bien plu à
votre maître à penser Torquemada (errare humanum est, sed diabolicum
perseverare .... )


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sansflotusspam
none wrote:

Stéphane Zuckerman wrote:

Gros con. Désolé, mais autant ta provoc ne me fait pas tiquer et je
continue de lire ta prose, parce que le plus souvent même si je ne suis
pas forcément d'accord, elle est (plus ou moins) argumentée. Mais là, on
voit bien que tu ne sais pas de quoi tu parles.


Tu en es si certain ?

Tu n'as pas l'air d'avoir conscience de la difficulté qu'il y a à manger
moins. Je ne suis pas un "vrai" obèse, mais j'ai bien 20kg à perdre. Et
je te jure que j'essaie : j'achète pas trop de bouffe, j'essaie de ne
pas manger n'importe quoi... N'empêche : un machin qui devrait me durer
deux ou trois jours (yaourts, fromage, etc) peut très bien disparaître
dans la soirée. Dire que c'est juste une histoire de volonté est
peut-être vrai dans la théorie, mais dans la pratique c'est très
différent.


Réponse : tu ne bouffes pas tes putains de yaourts ! C'est uniquement
une histoire de volonté.

Regarde un peu : moi j'arrive à me retenir de violer une jolie fille
dans la rue. C'est pourtant autrement tentant qu'un yaourt n'est-ce pas?

Et oui, pour le coup, tu m'as vexé. J'aurais pas répondu sinon.


"Quand on veut, on peut. Quand on peut, on doit." N.B

costaclt


c'était très exactement la devise et la pensée du regretté Benito Mussolini,
un des inventeurs du fascisme, et vous êtes bien proche et de son verbe et
de sa pensée (en actions ... de grâce .... ?)