Je serais plutot d'accord avec toi sauf sur un point, tu as l'air de
considerer qu'un type qui ne va pas (ou ne devrait pas) faire des etudes
est un ane fait pour les travaux manuels.
J'aurais plutot tendance a considerer que les etudes ont ete inventees
pour qu'on puisse inculquer une culture aux anes qui sont incapables de
se former par eux memes.
Je serais plutot d'accord avec toi sauf sur un point, tu as l'air de
considerer qu'un type qui ne va pas (ou ne devrait pas) faire des etudes
est un ane fait pour les travaux manuels.
J'aurais plutot tendance a considerer que les etudes ont ete inventees
pour qu'on puisse inculquer une culture aux anes qui sont incapables de
se former par eux memes.
Je serais plutot d'accord avec toi sauf sur un point, tu as l'air de
considerer qu'un type qui ne va pas (ou ne devrait pas) faire des etudes
est un ane fait pour les travaux manuels.
J'aurais plutot tendance a considerer que les etudes ont ete inventees
pour qu'on puisse inculquer une culture aux anes qui sont incapables de
se former par eux memes.
Patrice Karatchentzeff wrote:PK
PS : Michel, tu peux rebondir, cela correspond justement à ta
branche...
Je ne peux pas trop rebondir vu que je ne suis pas loin de penser comme toi.
En fait les 80% d'une classe d'êge au bac ont été une erreur monumentale, déjà
il n'y a en fait que 60% qui y arrive à l'heure actuelle, et la moitié de ces
60% se fait étendre en première année de fac. Si bien qu'il n'y aurait que 30%
d'une classe d'age au bac ça ne changerait rien en pratique. C'est à dire ce
qui se passait dans le bon vieux temps. Evidemment, c'était inspiré par les
meilleurs sentiments, élever le niveau général de la population, mais de fait
on ne peut pas transformer un âne en génie, ni faire rentrer quelque chose
dans le crane de celui qui ne veut rien apprendre ou dont la famille considère
que les études c'est des conneries, les profs des guignols, etc. Le résultat
est que pour poursuivre ce mythe on a complètement effondré le niveau, qui est
devenu désastreux.
Un bachelier peut très bien faire un faute par mot, être
incapable d'écrire deux lignes, ne pas savoir émettre une phrase d'anglais,
pour ne parler que des choses les plus élémentaires et pas des maths de la
physique ou de la philo.
Patrice Karatchentzeff <p.karatchentzeff@free.fr> wrote:
PK
PS : Michel, tu peux rebondir, cela correspond justement à ta
branche...
Je ne peux pas trop rebondir vu que je ne suis pas loin de penser comme toi.
En fait les 80% d'une classe d'êge au bac ont été une erreur monumentale, déjà
il n'y a en fait que 60% qui y arrive à l'heure actuelle, et la moitié de ces
60% se fait étendre en première année de fac. Si bien qu'il n'y aurait que 30%
d'une classe d'age au bac ça ne changerait rien en pratique. C'est à dire ce
qui se passait dans le bon vieux temps. Evidemment, c'était inspiré par les
meilleurs sentiments, élever le niveau général de la population, mais de fait
on ne peut pas transformer un âne en génie, ni faire rentrer quelque chose
dans le crane de celui qui ne veut rien apprendre ou dont la famille considère
que les études c'est des conneries, les profs des guignols, etc. Le résultat
est que pour poursuivre ce mythe on a complètement effondré le niveau, qui est
devenu désastreux.
Un bachelier peut très bien faire un faute par mot, être
incapable d'écrire deux lignes, ne pas savoir émettre une phrase d'anglais,
pour ne parler que des choses les plus élémentaires et pas des maths de la
physique ou de la philo.
Patrice Karatchentzeff wrote:PK
PS : Michel, tu peux rebondir, cela correspond justement à ta
branche...
Je ne peux pas trop rebondir vu que je ne suis pas loin de penser comme toi.
En fait les 80% d'une classe d'êge au bac ont été une erreur monumentale, déjà
il n'y a en fait que 60% qui y arrive à l'heure actuelle, et la moitié de ces
60% se fait étendre en première année de fac. Si bien qu'il n'y aurait que 30%
d'une classe d'age au bac ça ne changerait rien en pratique. C'est à dire ce
qui se passait dans le bon vieux temps. Evidemment, c'était inspiré par les
meilleurs sentiments, élever le niveau général de la population, mais de fait
on ne peut pas transformer un âne en génie, ni faire rentrer quelque chose
dans le crane de celui qui ne veut rien apprendre ou dont la famille considère
que les études c'est des conneries, les profs des guignols, etc. Le résultat
est que pour poursuivre ce mythe on a complètement effondré le niveau, qui est
devenu désastreux.
Un bachelier peut très bien faire un faute par mot, être
incapable d'écrire deux lignes, ne pas savoir émettre une phrase d'anglais,
pour ne parler que des choses les plus élémentaires et pas des maths de la
physique ou de la philo.
mais oui mais oui et a qui tu veux faire croire cela
les bacheliers d'aujourd'hui ont a gerer des matieres qui n'existaient pas
ou qui etaient tres peu etudiees
par exemple l'informatique ,l'electronique,electricite ,biologie du cote
de l'adn de l'economie /l'ecologie et je dois en oublier le petit
dernier l'histoire des religions
alors oui l'orthographe en a pris un coup et le niveau
en mathemathiques a baisse
mais entre nous les maths en general
cela ne sert qu'a faire une selection
un exemple l'equation du 2ieme degre
je m'en sers tous les jours
mais oui mais oui et a qui tu veux faire croire cela
les bacheliers d'aujourd'hui ont a gerer des matieres qui n'existaient pas
ou qui etaient tres peu etudiees
par exemple l'informatique ,l'electronique,electricite ,biologie du cote
de l'adn de l'economie /l'ecologie et je dois en oublier le petit
dernier l'histoire des religions
alors oui l'orthographe en a pris un coup et le niveau
en mathemathiques a baisse
mais entre nous les maths en general
cela ne sert qu'a faire une selection
un exemple l'equation du 2ieme degre
je m'en sers tous les jours
mais oui mais oui et a qui tu veux faire croire cela
les bacheliers d'aujourd'hui ont a gerer des matieres qui n'existaient pas
ou qui etaient tres peu etudiees
par exemple l'informatique ,l'electronique,electricite ,biologie du cote
de l'adn de l'economie /l'ecologie et je dois en oublier le petit
dernier l'histoire des religions
alors oui l'orthographe en a pris un coup et le niveau
en mathemathiques a baisse
mais entre nous les maths en general
cela ne sert qu'a faire une selection
un exemple l'equation du 2ieme degre
je m'en sers tous les jours
Les connaissances actuelles en médecine ne tiennent pas de
l'empirisme,
C'est totalement discutable... la recherche, quelqu'elle soit
d'ailleurs, est essentiellement empirique...
Et je ne parle même pas des traitements, que l'on ajuste au fur et à
mesure des différents symptômes qui apparaissent...
Les connaissances actuelles en médecine ne tiennent pas de
l'empirisme,
C'est totalement discutable... la recherche, quelqu'elle soit
d'ailleurs, est essentiellement empirique...
Et je ne parle même pas des traitements, que l'on ajuste au fur et à
mesure des différents symptômes qui apparaissent...
Les connaissances actuelles en médecine ne tiennent pas de
l'empirisme,
C'est totalement discutable... la recherche, quelqu'elle soit
d'ailleurs, est essentiellement empirique...
Et je ne parle même pas des traitements, que l'on ajuste au fur et à
mesure des différents symptômes qui apparaissent...
les bacheliers d'aujourd'hui ont a gerer des matieres qui
n'existaient pas ou qui etaient tres peu etudiees
alors oui l'orthographe en a pris un coup
les bacheliers d'aujourd'hui ont a gerer des matieres qui
n'existaient pas ou qui etaient tres peu etudiees
alors oui l'orthographe en a pris un coup
les bacheliers d'aujourd'hui ont a gerer des matieres qui
n'existaient pas ou qui etaient tres peu etudiees
alors oui l'orthographe en a pris un coup
Patrice Karatchentzeff wrote:Les connaissances actuelles en médecine ne tiennent pas de
l'empirisme,
C'est totalement discutable... la recherche, quelqu'elle soit
d'ailleurs, est essentiellement empirique...
Et c'est pour ça que je parle de *connaissances* actuelles. On peut
bâtir des nouvelles théories scientifiques en ayant découvert
fortuitement ou empiriquement des faits et des résultats expérimentaux
nouveaux, mais une fois la théorie énoncée, on la vérifie par une
démarche scientifique et non pas une démarche empirique.
Et non, la recherche n'est pas de manière *essentielle* empirique.
L'expérience n'est là que pour confirmer des hypothèses déjà énoncées,
mais ce n'est surement valable que quand on sait ce qu'on cherche...Et je ne parle même pas des traitements, que l'on ajuste au fur et à
mesure des différents symptômes qui apparaissent...
Oui, mais il n'empêche pas qu'un médecin doit avoir des connaissances
pour ajuster le traitement. Un médecin donnera un peu plus de tel
médicament en ayant effectué une démarche scientifique, et non pas en
priant le dieu des praticiens, ni en s'appuyant sur une démarche
empirique, en ayant un argument statistique par exemple : « je vous
donne un peu plus de ce médicament parce que ça marche dans 73% des cas
». Bien évidemment, mes affirmations deviennent contestables dans le
cadre de maladies qu'on ne sait pas encore guérir, et c'est peut-être
ce à quoi tu pensais. Mais là, quelle que soit la démarche, le résultat
n'est pas là.
Patrice Karatchentzeff <p.karatchentzeff@free.fr> wrote:
Les connaissances actuelles en médecine ne tiennent pas de
l'empirisme,
C'est totalement discutable... la recherche, quelqu'elle soit
d'ailleurs, est essentiellement empirique...
Et c'est pour ça que je parle de *connaissances* actuelles. On peut
bâtir des nouvelles théories scientifiques en ayant découvert
fortuitement ou empiriquement des faits et des résultats expérimentaux
nouveaux, mais une fois la théorie énoncée, on la vérifie par une
démarche scientifique et non pas une démarche empirique.
Et non, la recherche n'est pas de manière *essentielle* empirique.
L'expérience n'est là que pour confirmer des hypothèses déjà énoncées,
mais ce n'est surement valable que quand on sait ce qu'on cherche...
Et je ne parle même pas des traitements, que l'on ajuste au fur et à
mesure des différents symptômes qui apparaissent...
Oui, mais il n'empêche pas qu'un médecin doit avoir des connaissances
pour ajuster le traitement. Un médecin donnera un peu plus de tel
médicament en ayant effectué une démarche scientifique, et non pas en
priant le dieu des praticiens, ni en s'appuyant sur une démarche
empirique, en ayant un argument statistique par exemple : « je vous
donne un peu plus de ce médicament parce que ça marche dans 73% des cas
». Bien évidemment, mes affirmations deviennent contestables dans le
cadre de maladies qu'on ne sait pas encore guérir, et c'est peut-être
ce à quoi tu pensais. Mais là, quelle que soit la démarche, le résultat
n'est pas là.
Patrice Karatchentzeff wrote:Les connaissances actuelles en médecine ne tiennent pas de
l'empirisme,
C'est totalement discutable... la recherche, quelqu'elle soit
d'ailleurs, est essentiellement empirique...
Et c'est pour ça que je parle de *connaissances* actuelles. On peut
bâtir des nouvelles théories scientifiques en ayant découvert
fortuitement ou empiriquement des faits et des résultats expérimentaux
nouveaux, mais une fois la théorie énoncée, on la vérifie par une
démarche scientifique et non pas une démarche empirique.
Et non, la recherche n'est pas de manière *essentielle* empirique.
L'expérience n'est là que pour confirmer des hypothèses déjà énoncées,
mais ce n'est surement valable que quand on sait ce qu'on cherche...Et je ne parle même pas des traitements, que l'on ajuste au fur et à
mesure des différents symptômes qui apparaissent...
Oui, mais il n'empêche pas qu'un médecin doit avoir des connaissances
pour ajuster le traitement. Un médecin donnera un peu plus de tel
médicament en ayant effectué une démarche scientifique, et non pas en
priant le dieu des praticiens, ni en s'appuyant sur une démarche
empirique, en ayant un argument statistique par exemple : « je vous
donne un peu plus de ce médicament parce que ça marche dans 73% des cas
». Bien évidemment, mes affirmations deviennent contestables dans le
cadre de maladies qu'on ne sait pas encore guérir, et c'est peut-être
ce à quoi tu pensais. Mais là, quelle que soit la démarche, le résultat
n'est pas là.
alors le couplet ils sont tous cons les genes j'aurais tendance
a croire le contraire ils en savent nettement plus que nous au meme
age mais ils ne savent pas la meme chose c'est tout et la societe en
plus leur en demande nettement plus
alors le couplet ils sont tous cons les genes j'aurais tendance
a croire le contraire ils en savent nettement plus que nous au meme
age mais ils ne savent pas la meme chose c'est tout et la societe en
plus leur en demande nettement plus
alors le couplet ils sont tous cons les genes j'aurais tendance
a croire le contraire ils en savent nettement plus que nous au meme
age mais ils ne savent pas la meme chose c'est tout et la societe en
plus leur en demande nettement plus
Ce que tu fais, toi, tous les jours, je n'en sais rien, mais ce que
je peux te garantir, c'est qu'une orthographe catastrophique et une
incapacité à faire des phrases correctes, ça fait une sélection
autrement plus drastique que tout ce que tu peux imaginer. Un patron
Ce que tu fais, toi, tous les jours, je n'en sais rien, mais ce que
je peux te garantir, c'est qu'une orthographe catastrophique et une
incapacité à faire des phrases correctes, ça fait une sélection
autrement plus drastique que tout ce que tu peux imaginer. Un patron
Ce que tu fais, toi, tous les jours, je n'en sais rien, mais ce que
je peux te garantir, c'est qu'une orthographe catastrophique et une
incapacité à faire des phrases correctes, ça fait une sélection
autrement plus drastique que tout ce que tu peux imaginer. Un patron
Les connaissances actuelles en médecine ne tiennent pas de l'empirisme,
et ce depuis au moins la Renaissance, avec l'arrivée de Claude Bernard
par exemple. Si la médecine est empirique et seulement empirique, alors
elle relève de la croyance.
Les connaissances actuelles en médecine ne tiennent pas de l'empirisme,
et ce depuis au moins la Renaissance, avec l'arrivée de Claude Bernard
par exemple. Si la médecine est empirique et seulement empirique, alors
elle relève de la croyance.
Les connaissances actuelles en médecine ne tiennent pas de l'empirisme,
et ce depuis au moins la Renaissance, avec l'arrivée de Claude Bernard
par exemple. Si la médecine est empirique et seulement empirique, alors
elle relève de la croyance.
alors oui l'orthographe en a pris un coup
Ce que tu fais, toi, tous les jours, je n'en sais rien, mais ce que je peux te
garantir, c'est qu'une orthographe catastrophique et une incapacité à faire
des phrases correctes, ça fait une sélection autrement plus drastique que tout
ce que tu peux imaginer. Un patron qui est souvent un bourgeois ayant reçu une
éducation classique ne va même pas regarder une seconde un dossier quelles
que soient les compétence supposées du candidat si la forme n'y est pas.
alors oui l'orthographe en a pris un coup
Ce que tu fais, toi, tous les jours, je n'en sais rien, mais ce que je peux te
garantir, c'est qu'une orthographe catastrophique et une incapacité à faire
des phrases correctes, ça fait une sélection autrement plus drastique que tout
ce que tu peux imaginer. Un patron qui est souvent un bourgeois ayant reçu une
éducation classique ne va même pas regarder une seconde un dossier quelles
que soient les compétence supposées du candidat si la forme n'y est pas.
alors oui l'orthographe en a pris un coup
Ce que tu fais, toi, tous les jours, je n'en sais rien, mais ce que je peux te
garantir, c'est qu'une orthographe catastrophique et une incapacité à faire
des phrases correctes, ça fait une sélection autrement plus drastique que tout
ce que tu peux imaginer. Un patron qui est souvent un bourgeois ayant reçu une
éducation classique ne va même pas regarder une seconde un dossier quelles
que soient les compétence supposées du candidat si la forme n'y est pas.