« Libre ». Dans le paysage internet français, Free faisait figure de
symbole. L'enfant naît à la fin des années 90, sans hautbois ni musettes.
Face aux Nomade, Libertysurf, Freesurf, Oreka, Club-Internet, Free joue les
intrus. Pas de publicité, pas d'argent, la bouche-a-oreille. Le canard noir
des FAI fait son nid sans gêner la concurrence qui lutte pour survivre sur
un modèle économique déjà dépassé. Quand le haut débit apparaît en France,
Wanadoo double ses concurrents en jouant sur ses atouts de mastodonte.
Encore une fois, Free fait le dos rond, laisse passer le typhon, son oil et
sa chute. Le précurseur ne veut pas laisser sa part au chien. Se positionne
sur un marché porteur et casse les prix.
Free gagne la bataille de l'image, toujours sans foin excessif, ce qui plaît
dans ce monde alternatif. Mais bien vite, ce lavis se craquelle. De
débonnaire, les clients perçoivent un opérateur fermé, agressif, sans réel
appui technologique face aux multiples problèmes qu'ils subissent. Quelques
papiers de presse ne suffisent toutefois pas à entamer le crédit énorme
accumulé au cours des ans, qui ont vu tous ses concurrents sur le marché du
« gratuit » passer à la trappe. Un succès que Free veut rentabiliser. L'
introduction en bourse de la maison mère -Iliad- sera un succès. Qui cache
de profonds désenchantements chez un nombre croissant de clients fidèles, s'
étant lancés dans l'aventure Adsl à moins de trente euros dès le dernier
trimestre 2002. On grommelle, avant de crier. Les déconnections. Les
fameuses FreeBox promises, cette fois, à grand renfort de publicité, soit ne
sont pas livrées, soit ne fonctionnent pas. La ligne directe dédiée aux
clients, qu'on paye au prix fort, aboutit à des intervenants débordés et
sous informés, incapables de répondre efficacement aux demandes plus
pressantes chaque mois. Les réactions de défense des équipes dirigeantes
étonnent le grand public par leur morgue et leur impolitesse, aux frontières
de l'insulte. Les délais ne sont pas tenus.
L'incompréhension grandit entre clients qui se sentent floués et le
prestataire de service, incapable de satisfaire sa clientèle à hauteur de
ses exigences. Free clame à qui veut l'entendre qu'elle est toujours
pionnière. La belle affaire quand Neuf Telecom, Alice (Telecom Italia) se
lancent eux aussi dans l'aventure de la téléphonie via l'Adsl. La télévision
par l'Adsl, un argument de poids ? Les opérateurs télévisuels Tps, Canal
Satellite annoncent qu'elles ont mis sur le marché leur propre produit.
Appuyés par des moyens et des technologies bien plus amples que ce que Free
pourra jamais proposer. Les chaînes proposées par Free font rire dans le
landerneau télévisuel. En clair, celles du groupe Ab, sont pain béni pour la
concurrence qui n'en attendait pas tant pour gloser sur une offre aussi
pauvre.
Le déménagement des environs d'une faculté leader et innovante -Paris
Dauphine- vers ceux d'une église -la Madeleine- célèbre pour ses messes d'
enterrement, est assez révélateur de ce que devient Free : une entreprise
qui voulait, de rainette, devenir bison.
François Lopes wrote: entreprise qui voulait, de rainette, devenir bison.
Joli...
Ca vaut le coup d'être lu surtout comparé aux infames torchons habituels du type "FREE SA PUE ET SA MARCHE PA!!!!! AU SECOURRRRR! VOLEURS! ESCROCS! REMBOURSEZ MOAAAAA!"...
Merci ;-) (Oups, j'ai rougi...)
François Lopes wrote:
entreprise qui voulait, de rainette, devenir bison.
Joli...
Ca vaut le coup d'être lu surtout comparé aux infames torchons
habituels du type "FREE SA PUE ET SA MARCHE PA!!!!! AU SECOURRRRR!
VOLEURS! ESCROCS! REMBOURSEZ MOAAAAA!"...
François Lopes wrote: entreprise qui voulait, de rainette, devenir bison.
Joli...
Ca vaut le coup d'être lu surtout comparé aux infames torchons habituels du type "FREE SA PUE ET SA MARCHE PA!!!!! AU SECOURRRRR! VOLEURS! ESCROCS! REMBOURSEZ MOAAAAA!"...
Merci ;-) (Oups, j'ai rougi...)
François Lopes
"Raphaël Ader" a écrit dans le message de news:406d1528$0$16277$
François Lopes wrote: entreprise qui voulait, de rainette, devenir bison.
Joli...
Ca vaut le coup d'être lu surtout comparé aux infames torchons habituels du type "FREE SA PUE ET SA MARCHE PA!!!!! AU SECOURRRRR! VOLEURS! ESCROCS! REMBOURSEZ MOAAAAA!"...
Merci ;-)
De rien... ca change!
(Oups, j'ai rougi...)
Tu t'es pas fait pipi dessus au moins? ;-)
-- François Lopes.
"Raphaël Ader" <raderNOSPAM@free.fr> a écrit dans le message de
news:406d1528$0$16277$636a15ce@news.free.fr...
François Lopes wrote:
entreprise qui voulait, de rainette, devenir bison.
Joli...
Ca vaut le coup d'être lu surtout comparé aux infames torchons
habituels du type "FREE SA PUE ET SA MARCHE PA!!!!! AU SECOURRRRR!
VOLEURS! ESCROCS! REMBOURSEZ MOAAAAA!"...
"Raphaël Ader" a écrit dans le message de news:406d1528$0$16277$
François Lopes wrote: entreprise qui voulait, de rainette, devenir bison.
Joli...
Ca vaut le coup d'être lu surtout comparé aux infames torchons habituels du type "FREE SA PUE ET SA MARCHE PA!!!!! AU SECOURRRRR! VOLEURS! ESCROCS! REMBOURSEZ MOAAAAA!"...
Merci ;-)
De rien... ca change!
(Oups, j'ai rougi...)
Tu t'es pas fait pipi dessus au moins? ;-)
-- François Lopes.
Raphaël Ader
François Yves Le Gal wrote:
On Fri, 2 Apr 2004 03:36:46 +0200, "Tom Olivey" wrote:
C'est justement contre ça que je veux lutter ! Et je compte bien les faire plier !
On Fri, 2 Apr 2004 03:36:46 +0200, "Tom Olivey" wrote:
C'est justement contre ça que je veux lutter ! Et je compte bien les faire plier !
Camarade Zorro pn t'a reconnu.
Je me suis trompé de serveur de news ;-)
Sté.B
Raphaël Ader a tappoté des son doigt nerveux
« Libre ». Dans le paysage internet français, Free faisait figure de symbole. L'enfant naît à la fin des années 90, sans hautbois ni musettes. Face aux Nomade, Libertysurf, Freesurf, Oreka, Club-Internet, Free joue les
intrus. Pas de publicité, pas d'argent, la bouche-a-oreille. Le canard noir
des FAI fait son nid sans gêner la concurrence qui lutte pour survivre sur un modèle économique déjà dépassé. Quand le haut débit apparaît en France, Wanadoo double ses concurrents en jouant sur ses atouts de mastodonte. Encore une fois, Free fait le dos rond, laisse passer le typhon, son oil et
sa chute. Le précurseur ne veut pas laisser sa part au chien. Se positionne
sur un marché porteur et casse les prix.
Free gagne la bataille de l'image, toujours sans foin excessif, ce qui plaît
dans ce monde alternatif. Mais bien vite, ce lavis se craquelle. De débonnaire, les clients perçoivent un opérateur fermé, agressif, sans réel appui technologique face aux multiples problèmes qu'ils subissent. Quelques
papiers de presse ne suffisent toutefois pas à entamer le crédit énorme accumulé au cours des ans, qui ont vu tous ses concurrents sur le marché du
« gratuit » passer à la trappe. Un succès que Free veut rentabiliser. L' introduction en bourse de la maison mère -Iliad- sera un succès. Qui cache de profonds désenchantements chez un nombre croissant de clients fidèles, s'
étant lancés dans l'aventure Adsl à moins de trente euros dès le dernier trimestre 2002. On grommelle, avant de crier. Les déconnections. Les fameuses FreeBox promises, cette fois, à grand renfort de publicité, soit ne
sont pas livrées, soit ne fonctionnent pas. La ligne directe dédiée aux clients, qu'on paye au prix fort, aboutit à des intervenants débordés et sous informés, incapables de répondre efficacement aux demandes plus pressantes chaque mois. Les réactions de défense des équipes dirigeantes étonnent le grand public par leur morgue et leur impolitesse, aux frontières
de l'insulte. Les délais ne sont pas tenus.
L'incompréhension grandit entre clients qui se sentent floués et le prestataire de service, incapable de satisfaire sa clientèle à hauteur de ses exigences. Free clame à qui veut l'entendre qu'elle est toujours pionnière. La belle affaire quand Neuf Telecom, Alice (Telecom Italia) se lancent eux aussi dans l'aventure de la téléphonie via l'Adsl. La télévision
par l'Adsl, un argument de poids ? Les opérateurs télévisuels Tps, Canal Satellite annoncent qu'elles ont mis sur le marché leur propre produit. Appuyés par des moyens et des technologies bien plus amples que ce que Free
pourra jamais proposer. Les chaînes proposées par Free font rire dans le landerneau télévisuel. En clair, celles du groupe Ab, sont pain béni pour la
concurrence qui n'en attendait pas tant pour gloser sur une offre aussi pauvre.
Le déménagement des environs d'une faculté leader et innovante -Paris Dauphine- vers ceux d'une église -la Madeleine- célèbre pour ses messes d' enterrement, est assez révélateur de ce que devient Free : une entreprise qui voulait, de rainette, devenir bison.
Bonjour,
Je ne peut pas me taire en lisant un tel pamphlet. En milieu de lecture j'ai regardé la date du poste pour voir si ce n'etait pas un poisson d'avril...
Je suis chez Free depuis l'époque des premiers 56K ( suis passé par Noos-cable ) et suis maintenant Freeboxé et dégroupé. je ne reviendrais pas sur le passé avec ces arnaqueurs de AOL , Wanadoo et compagnie qui n'avaient qu'un but : me soutirer de l'argent.
En somme : Jamais eu de sérieux problèmes chez Free au niveau de la qualité du service en général. J'ai fait leur publicité auprès de mes amis qui hallucinaient sur l'offre tarifaire: 3 nouveaux Freeboxés sans aucun soucie non plus.
Pensez bien que si Free n'avait pas lancé son offre la concurrence n'aurait pas baissé ses tarifs.
Votre écrit transpire votre haine de ce FAI ( va savoir pourquoi ... ) et vous ne faites que fantasmer sur la fin de ce FAI.
Longue vie à Free! Cordialement,
Sté.B
Raphaël Ader a tappoté des son doigt nerveux
« Libre ». Dans le paysage internet français, Free faisait figure de
symbole. L'enfant naît à la fin des années 90, sans hautbois ni musettes.
Face aux Nomade, Libertysurf, Freesurf, Oreka, Club-Internet, Free joue
les
intrus. Pas de publicité, pas d'argent, la bouche-a-oreille. Le canard
noir
des FAI fait son nid sans gêner la concurrence qui lutte pour survivre sur
un modèle économique déjà dépassé. Quand le haut débit apparaît en France,
Wanadoo double ses concurrents en jouant sur ses atouts de mastodonte.
Encore une fois, Free fait le dos rond, laisse passer le typhon, son oil
et
sa chute. Le précurseur ne veut pas laisser sa part au chien. Se
positionne
sur un marché porteur et casse les prix.
Free gagne la bataille de l'image, toujours sans foin excessif, ce qui
plaît
dans ce monde alternatif. Mais bien vite, ce lavis se craquelle. De
débonnaire, les clients perçoivent un opérateur fermé, agressif, sans réel
appui technologique face aux multiples problèmes qu'ils subissent.
Quelques
papiers de presse ne suffisent toutefois pas à entamer le crédit énorme
accumulé au cours des ans, qui ont vu tous ses concurrents sur le marché
du
« gratuit » passer à la trappe. Un succès que Free veut rentabiliser. L'
introduction en bourse de la maison mère -Iliad- sera un succès. Qui cache
de profonds désenchantements chez un nombre croissant de clients fidèles,
s'
étant lancés dans l'aventure Adsl à moins de trente euros dès le dernier
trimestre 2002. On grommelle, avant de crier. Les déconnections. Les
fameuses FreeBox promises, cette fois, à grand renfort de publicité, soit
ne
sont pas livrées, soit ne fonctionnent pas. La ligne directe dédiée aux
clients, qu'on paye au prix fort, aboutit à des intervenants débordés et
sous informés, incapables de répondre efficacement aux demandes plus
pressantes chaque mois. Les réactions de défense des équipes dirigeantes
étonnent le grand public par leur morgue et leur impolitesse, aux
frontières
de l'insulte. Les délais ne sont pas tenus.
L'incompréhension grandit entre clients qui se sentent floués et le
prestataire de service, incapable de satisfaire sa clientèle à hauteur de
ses exigences. Free clame à qui veut l'entendre qu'elle est toujours
pionnière. La belle affaire quand Neuf Telecom, Alice (Telecom Italia) se
lancent eux aussi dans l'aventure de la téléphonie via l'Adsl. La
télévision
par l'Adsl, un argument de poids ? Les opérateurs télévisuels Tps, Canal
Satellite annoncent qu'elles ont mis sur le marché leur propre produit.
Appuyés par des moyens et des technologies bien plus amples que ce que
Free
pourra jamais proposer. Les chaînes proposées par Free font rire dans le
landerneau télévisuel. En clair, celles du groupe Ab, sont pain béni pour
la
concurrence qui n'en attendait pas tant pour gloser sur une offre aussi
pauvre.
Le déménagement des environs d'une faculté leader et innovante -Paris
Dauphine- vers ceux d'une église -la Madeleine- célèbre pour ses messes d'
enterrement, est assez révélateur de ce que devient Free : une entreprise
qui voulait, de rainette, devenir bison.
Bonjour,
Je ne peut pas me taire en lisant un tel pamphlet.
En milieu de lecture j'ai regardé la date du poste pour voir si ce n'etait
pas un poisson d'avril...
Je suis chez Free depuis l'époque des premiers 56K ( suis passé par
Noos-cable ) et suis maintenant Freeboxé et dégroupé.
je ne reviendrais pas sur le passé avec ces arnaqueurs de AOL , Wanadoo et
compagnie qui n'avaient qu'un but : me soutirer de l'argent.
En somme : Jamais eu de sérieux problèmes chez Free au niveau de la qualité
du service en général.
J'ai fait leur publicité auprès de mes amis qui hallucinaient sur l'offre
tarifaire: 3 nouveaux Freeboxés sans aucun soucie non plus.
Pensez bien que si Free n'avait pas lancé son offre la concurrence n'aurait
pas baissé ses tarifs.
Votre écrit transpire votre haine de ce FAI ( va savoir pourquoi ... ) et
vous ne faites que fantasmer sur la fin de ce FAI.
« Libre ». Dans le paysage internet français, Free faisait figure de symbole. L'enfant naît à la fin des années 90, sans hautbois ni musettes. Face aux Nomade, Libertysurf, Freesurf, Oreka, Club-Internet, Free joue les
intrus. Pas de publicité, pas d'argent, la bouche-a-oreille. Le canard noir
des FAI fait son nid sans gêner la concurrence qui lutte pour survivre sur un modèle économique déjà dépassé. Quand le haut débit apparaît en France, Wanadoo double ses concurrents en jouant sur ses atouts de mastodonte. Encore une fois, Free fait le dos rond, laisse passer le typhon, son oil et
sa chute. Le précurseur ne veut pas laisser sa part au chien. Se positionne
sur un marché porteur et casse les prix.
Free gagne la bataille de l'image, toujours sans foin excessif, ce qui plaît
dans ce monde alternatif. Mais bien vite, ce lavis se craquelle. De débonnaire, les clients perçoivent un opérateur fermé, agressif, sans réel appui technologique face aux multiples problèmes qu'ils subissent. Quelques
papiers de presse ne suffisent toutefois pas à entamer le crédit énorme accumulé au cours des ans, qui ont vu tous ses concurrents sur le marché du
« gratuit » passer à la trappe. Un succès que Free veut rentabiliser. L' introduction en bourse de la maison mère -Iliad- sera un succès. Qui cache de profonds désenchantements chez un nombre croissant de clients fidèles, s'
étant lancés dans l'aventure Adsl à moins de trente euros dès le dernier trimestre 2002. On grommelle, avant de crier. Les déconnections. Les fameuses FreeBox promises, cette fois, à grand renfort de publicité, soit ne
sont pas livrées, soit ne fonctionnent pas. La ligne directe dédiée aux clients, qu'on paye au prix fort, aboutit à des intervenants débordés et sous informés, incapables de répondre efficacement aux demandes plus pressantes chaque mois. Les réactions de défense des équipes dirigeantes étonnent le grand public par leur morgue et leur impolitesse, aux frontières
de l'insulte. Les délais ne sont pas tenus.
L'incompréhension grandit entre clients qui se sentent floués et le prestataire de service, incapable de satisfaire sa clientèle à hauteur de ses exigences. Free clame à qui veut l'entendre qu'elle est toujours pionnière. La belle affaire quand Neuf Telecom, Alice (Telecom Italia) se lancent eux aussi dans l'aventure de la téléphonie via l'Adsl. La télévision
par l'Adsl, un argument de poids ? Les opérateurs télévisuels Tps, Canal Satellite annoncent qu'elles ont mis sur le marché leur propre produit. Appuyés par des moyens et des technologies bien plus amples que ce que Free
pourra jamais proposer. Les chaînes proposées par Free font rire dans le landerneau télévisuel. En clair, celles du groupe Ab, sont pain béni pour la
concurrence qui n'en attendait pas tant pour gloser sur une offre aussi pauvre.
Le déménagement des environs d'une faculté leader et innovante -Paris Dauphine- vers ceux d'une église -la Madeleine- célèbre pour ses messes d' enterrement, est assez révélateur de ce que devient Free : une entreprise qui voulait, de rainette, devenir bison.
Bonjour,
Je ne peut pas me taire en lisant un tel pamphlet. En milieu de lecture j'ai regardé la date du poste pour voir si ce n'etait pas un poisson d'avril...
Je suis chez Free depuis l'époque des premiers 56K ( suis passé par Noos-cable ) et suis maintenant Freeboxé et dégroupé. je ne reviendrais pas sur le passé avec ces arnaqueurs de AOL , Wanadoo et compagnie qui n'avaient qu'un but : me soutirer de l'argent.
En somme : Jamais eu de sérieux problèmes chez Free au niveau de la qualité du service en général. J'ai fait leur publicité auprès de mes amis qui hallucinaient sur l'offre tarifaire: 3 nouveaux Freeboxés sans aucun soucie non plus.
Pensez bien que si Free n'avait pas lancé son offre la concurrence n'aurait pas baissé ses tarifs.
Votre écrit transpire votre haine de ce FAI ( va savoir pourquoi ... ) et vous ne faites que fantasmer sur la fin de ce FAI.
Longue vie à Free! Cordialement,
Sté.B
Jil S
"Raphaël Ader" a écrit dans le message de news: 406ca72d$0$14173$
« Libre ». Dans le paysage internet français, Free faisait figure de symbole. L'enfant naît à la fin des années 90, sans hautbois ni musettes. Face aux Nomade, Libertysurf, Freesurf, Oreka, Club-Internet, Free joue les
intrus. Pas de publicité, pas d'argent, la bouche-a-oreille.
A l'époque déjà Free était le bon choix, déjà moins cher que ses concurrents pour un service égal sinon supérieur ( 50h 100F)
Le canard noir des FAI fait son nid sans gêner la concurrence qui lutte pour survivre sur un modèle économique déjà dépassé.
La concurrence plus chère déjà ligotait ses clients pour ne pas qu'ils partent, avec des engagements sur 1 an pour payer le double ( 100F 25h ou moins)
Quand le haut débit apparaît en France, Wanadoo double ses concurrents en jouant sur ses atouts de mastodonte.
Un mastodonte, c'est connu, c'est pas très rapide, celui-ci n'échappait pas à la règle, il était même connu pour avancer à reculons
Encore une fois, Free fait le dos rond, laisse passer le typhon, son oEil et
sa chute.
Glissant sur les erreurs de chronologie...
Le précurseur ne veut pas laisser sa part au chien. Se positionne sur un marché porteur et casse les prix.
Erreur historique: Free crée un nouveau marché, un créneau d'avant-garde, un nouveau matos conçu maison, l'adsl dégroupé, à un prix qui flingue la concurrence.
Free gagne la bataille de l'image,
?????
toujours sans foin excessif, ce qui plaît dans ce monde alternatif. Mais bien vite, ce lavis se craquelle. De débonnaire,
???? L'oiseau Free se mue en l'oiseau Free Box
les clients perçoivent un opérateur fermé, agressif, sans réel appui technologique face aux multiples problèmes qu'ils subissent.
Aprés de lourds problèmes de démarrage dus à cette nouvelle technologie impliquant le partenariat du dit mastodonte lequel bien sûr se fait tirer l'oreille, j'ai nommé l'horrible Mastodonte Dégroupeur - "Avez-vous essayé de tirer un Mastodonte par l'oreille ? " ..vieille rengaine connue de nos ancêtres préhistoriques.... - l'envol de l'oiseau Free Box de ses propres plumes surprend la concurrence, ainsi que la presse qui jusque là n'avait point arrêté de faire part de ses dubitations
Quelques papiers de presse ne suffisent toutefois pas à entamer le crédit énorme accumulé au cours des ans, qui ont vu tous ses concurrents sur le marché du
« gratuit » passer à la trappe. Un succès que Free veut rentabiliser.
Dés le début le vol de Free était rentable, mais arrivé à sa 1ère année, l'oiseau Free Adsl ne s'endormira pas sur son succés, il lui faut plus de plumes pour voler plus loin et planer plus haut, surtout plus vite....
L' introduction en bourse de la maison mère -Iliad- sera un succès. Qui cache de profonds désenchantements chez un nombre croissant de clients fidèles, s'
étant lancés dans l'aventure Adsl à moins de trente euros dès le dernier trimestre 2002.
Pendant ce temps les mastodontés figés dans la boue d'une fin de monde peu communiquant ajoutent leurs cris de rage aux hurlements des oisillons affamés malchanceux, victimes oubliées du Mastodonte Dégroupeur, hurlant leur envie de s'envoler à 4 ou 5 Mbps...
On grommelle, avant de crier. Les déconnections. Les fameuses FreeBox promises, cette fois, à grand renfort de publicité, soit ne
sont pas livrées, soit ne fonctionnent pas. La ligne directe dédiée aux clients, qu'on paye au prix fort, aboutit à des intervenants débordés et sous informés, incapables de répondre efficacement aux demandes plus pressantes chaque mois.
Au fur et à mesure de la reproduction, l'oiseau FreeBox victime de la beauté de son plumage auant que de son vol qui surpasse tous les autres oiseaux, a besoin de toujours plus de plumes, de duvet, de boites pour tous les nouveaux oisillons sortis de l'oeuf...
Les réactions de défense des équipes dirigeantes étonnent le grand public par leur morgue et leur impolitesse, aux frontières
de l'insulte. Les délais ne sont pas tenus.
Free Box traversera les plus grosses tempêtes qu'il n'aurait osé imaginer, payant le prix fort de sa créativité et de son optimisme à tout résoudre, franchira des zones de fortes pressions qui aurait écrasé plus d'un jeune oiseau...Bien sûr un mastodonte aurait facilement résisté à ces pressions inimaginables, mais les mastodontes ne savent pas avancer, encore moins voler à ces altitudes....
L'incompréhension grandit entre clients qui se sentent floués et le prestataire de service, incapable de satisfaire sa clientèle à hauteur de ses exigences. Free clame à qui veut l'entendre qu'elle est toujours pionnière. La belle affaire quand Neuf Telecom, Alice (Telecom Italia) se lancent eux aussi dans l'aventure de la téléphonie via l'Adsl. La télévision
par l'Adsl, un argument de poids ? Les opérateurs télévisuels Tps, Canal Satellite annoncent qu'elles ont mis sur le marché leur propre produit.
Epatés par les performances du nouvel oiseau FreeBox, tant du point de vue du vol que de la reproduction de l'espèce, les autres oiseaux verts de rage, se mettent à se teindre les plumes de la même couleur, imitent sa démarche et son vol, promettent plus pour moins cher et ....bizarrement leurs oisillons restent silencieux, ou mécontents, ne se développent pas normalement, ne parviennent à s'envoler aussi haut que les FreeBox...
Appuyés par des moyens et des technologies bien plus amples que ce que Free
pourra jamais proposer. Les chaînes proposées par Free font rire dans le landerneau télévisuel. En clair, celles du groupe Ab, sont pain béni pour la
concurrence qui n'en attendait pas tant pour gloser sur une offre aussi pauvre.
Au cours de ses plongeons à la recherche de quelques images, les gros poissons et autres otaries ne manquèrent point de se gausser de ce que pouvait ramener l'oiseau FreeBox..peu importe, jamais l'oiseau FreeBox ne se décourage, toute pêche est bonne à prendre pour nourrir ses petits: Une nouvelle famille d'oiseaux vient de naitre, la famille des oiseaux adaptatifs, ceux qui font toujours plus pour le même prix dés que les autres s'approchent de leurs performances à force de copier leurs techniques de vol, tout comme leur Papa freeBox le leur avait promis
Le déménagement des environs d'une faculté leader et innovante -Paris Dauphine- vers ceux d'une église -la Madeleine- célèbre pour ses messes d' enterrement, est assez révélateur de ce que devient Free : une entreprise qui voulait, de rainette, devenir bison.
Même les célèbres crapauds-buffles finiront par chanter ses louanges, verts de rage et déchantants, pleurants de ne pas avoir de semblables ailes, entre 2 sanglots ils raconteront sans fin à leurs descendants la légende de la disparition de l'ancien monde dirigé par les mastodontes
Jil
"Raphaël Ader" <raderNOSPAM@free.fr> a écrit dans le message de news:
406ca72d$0$14173$636a15ce@news.free.fr...
« Libre ». Dans le paysage internet français, Free faisait figure de
symbole. L'enfant naît à la fin des années 90, sans hautbois ni musettes.
Face aux Nomade, Libertysurf, Freesurf, Oreka, Club-Internet, Free joue
les
intrus. Pas de publicité, pas d'argent, la bouche-a-oreille.
A l'époque déjà Free était le bon choix, déjà moins cher que ses concurrents
pour un service égal sinon supérieur ( 50h 100F)
Le canard noir
des FAI fait son nid sans gêner la concurrence qui lutte pour survivre sur
un modèle économique déjà dépassé.
La concurrence plus chère déjà ligotait ses clients pour ne pas qu'ils
partent, avec des engagements sur 1 an pour payer le double ( 100F 25h ou
moins)
Quand le haut débit apparaît en France,
Wanadoo double ses concurrents en jouant sur ses atouts de mastodonte.
Un mastodonte, c'est connu, c'est pas très rapide, celui-ci n'échappait pas
à la règle, il était même connu pour avancer à reculons
Encore une fois, Free fait le dos rond, laisse passer le typhon, son oEil
et
sa chute.
Glissant sur les erreurs de chronologie...
Le précurseur ne veut pas laisser sa part au chien. Se positionne
sur un marché porteur et casse les prix.
Erreur historique: Free crée un nouveau marché, un créneau d'avant-garde, un
nouveau matos conçu maison, l'adsl dégroupé, à un prix qui flingue la
concurrence.
Free gagne la bataille de l'image,
?????
toujours sans foin excessif, ce qui plaît
dans ce monde alternatif. Mais bien vite, ce lavis se craquelle. De
débonnaire,
???? L'oiseau Free se mue en l'oiseau Free Box
les clients perçoivent un opérateur fermé, agressif, sans réel
appui technologique face aux multiples problèmes qu'ils subissent.
Aprés de lourds problèmes de démarrage dus à cette nouvelle technologie
impliquant le partenariat du dit mastodonte lequel bien sûr se fait tirer
l'oreille, j'ai nommé l'horrible Mastodonte Dégroupeur - "Avez-vous essayé
de tirer un Mastodonte par l'oreille ? " ..vieille rengaine connue de nos
ancêtres préhistoriques.... - l'envol de l'oiseau Free Box de ses propres
plumes surprend la concurrence, ainsi que la presse qui jusque là n'avait
point arrêté de faire part de ses dubitations
Quelques
papiers de presse ne suffisent toutefois pas à entamer le crédit énorme
accumulé au cours des ans, qui ont vu tous ses concurrents sur le marché
du
« gratuit » passer à la trappe. Un succès que Free veut rentabiliser.
Dés le début le vol de Free était rentable, mais arrivé à sa 1ère année,
l'oiseau Free Adsl ne s'endormira pas sur son succés, il lui faut plus de
plumes pour voler plus loin et planer plus haut, surtout plus vite....
L'
introduction en bourse de la maison mère -Iliad- sera un succès. Qui cache
de profonds désenchantements chez un nombre croissant de clients fidèles,
s'
étant lancés dans l'aventure Adsl à moins de trente euros dès le dernier
trimestre 2002.
Pendant ce temps les mastodontés figés dans la boue d'une fin de monde peu
communiquant ajoutent leurs cris de rage aux hurlements des oisillons
affamés malchanceux, victimes oubliées du Mastodonte Dégroupeur, hurlant
leur envie de s'envoler à 4 ou 5 Mbps...
On grommelle, avant de crier. Les déconnections. Les
fameuses FreeBox promises, cette fois, à grand renfort de publicité, soit
ne
sont pas livrées, soit ne fonctionnent pas. La ligne directe dédiée aux
clients, qu'on paye au prix fort, aboutit à des intervenants débordés et
sous informés, incapables de répondre efficacement aux demandes plus
pressantes chaque mois.
Au fur et à mesure de la reproduction, l'oiseau FreeBox victime de la beauté
de son plumage auant que de son vol qui surpasse tous les autres oiseaux, a
besoin de toujours plus de plumes, de duvet, de boites pour tous les
nouveaux oisillons sortis de l'oeuf...
Les réactions de défense des équipes dirigeantes
étonnent le grand public par leur morgue et leur impolitesse, aux
frontières
de l'insulte. Les délais ne sont pas tenus.
Free Box traversera les plus grosses tempêtes qu'il n'aurait osé imaginer,
payant le prix fort de sa créativité et de son optimisme à tout résoudre,
franchira des zones de fortes pressions qui aurait écrasé plus d'un jeune
oiseau...Bien sûr un mastodonte aurait facilement résisté à ces pressions
inimaginables, mais les mastodontes ne savent pas avancer, encore moins
voler à ces altitudes....
L'incompréhension grandit entre clients qui se sentent floués et le
prestataire de service, incapable de satisfaire sa clientèle à hauteur de
ses exigences. Free clame à qui veut l'entendre qu'elle est toujours
pionnière. La belle affaire quand Neuf Telecom, Alice (Telecom Italia) se
lancent eux aussi dans l'aventure de la téléphonie via l'Adsl. La
télévision
par l'Adsl, un argument de poids ? Les opérateurs télévisuels Tps, Canal
Satellite annoncent qu'elles ont mis sur le marché leur propre produit.
Epatés par les performances du nouvel oiseau FreeBox, tant du point de vue
du vol que de la reproduction de l'espèce, les autres oiseaux verts de rage,
se mettent à se teindre les plumes de la même couleur, imitent sa démarche
et son vol, promettent plus pour moins cher et ....bizarrement leurs
oisillons restent silencieux, ou mécontents, ne se développent pas
normalement, ne parviennent à s'envoler aussi haut que les FreeBox...
Appuyés par des moyens et des technologies bien plus amples que ce que
Free
pourra jamais proposer. Les chaînes proposées par Free font rire dans le
landerneau télévisuel. En clair, celles du groupe Ab, sont pain béni pour
la
concurrence qui n'en attendait pas tant pour gloser sur une offre aussi
pauvre.
Au cours de ses plongeons à la recherche de quelques images, les gros
poissons et autres otaries ne manquèrent point de se gausser de ce que
pouvait ramener l'oiseau FreeBox..peu importe, jamais l'oiseau FreeBox ne se
décourage, toute pêche est bonne à prendre pour nourrir ses petits: Une
nouvelle famille d'oiseaux vient de naitre, la famille des oiseaux
adaptatifs, ceux qui font toujours plus pour le même prix dés que les autres
s'approchent de leurs performances à force de copier leurs techniques de
vol, tout comme leur Papa freeBox le leur avait promis
Le déménagement des environs d'une faculté leader et innovante -Paris
Dauphine- vers ceux d'une église -la Madeleine- célèbre pour ses messes d'
enterrement, est assez révélateur de ce que devient Free : une entreprise
qui voulait, de rainette, devenir bison.
Même les célèbres crapauds-buffles finiront par chanter ses louanges, verts
de rage et déchantants, pleurants de ne pas avoir de semblables ailes, entre
2 sanglots ils raconteront sans fin à leurs descendants la légende de la
disparition de l'ancien monde dirigé par les mastodontes
"Raphaël Ader" a écrit dans le message de news: 406ca72d$0$14173$
« Libre ». Dans le paysage internet français, Free faisait figure de symbole. L'enfant naît à la fin des années 90, sans hautbois ni musettes. Face aux Nomade, Libertysurf, Freesurf, Oreka, Club-Internet, Free joue les
intrus. Pas de publicité, pas d'argent, la bouche-a-oreille.
A l'époque déjà Free était le bon choix, déjà moins cher que ses concurrents pour un service égal sinon supérieur ( 50h 100F)
Le canard noir des FAI fait son nid sans gêner la concurrence qui lutte pour survivre sur un modèle économique déjà dépassé.
La concurrence plus chère déjà ligotait ses clients pour ne pas qu'ils partent, avec des engagements sur 1 an pour payer le double ( 100F 25h ou moins)
Quand le haut débit apparaît en France, Wanadoo double ses concurrents en jouant sur ses atouts de mastodonte.
Un mastodonte, c'est connu, c'est pas très rapide, celui-ci n'échappait pas à la règle, il était même connu pour avancer à reculons
Encore une fois, Free fait le dos rond, laisse passer le typhon, son oEil et
sa chute.
Glissant sur les erreurs de chronologie...
Le précurseur ne veut pas laisser sa part au chien. Se positionne sur un marché porteur et casse les prix.
Erreur historique: Free crée un nouveau marché, un créneau d'avant-garde, un nouveau matos conçu maison, l'adsl dégroupé, à un prix qui flingue la concurrence.
Free gagne la bataille de l'image,
?????
toujours sans foin excessif, ce qui plaît dans ce monde alternatif. Mais bien vite, ce lavis se craquelle. De débonnaire,
???? L'oiseau Free se mue en l'oiseau Free Box
les clients perçoivent un opérateur fermé, agressif, sans réel appui technologique face aux multiples problèmes qu'ils subissent.
Aprés de lourds problèmes de démarrage dus à cette nouvelle technologie impliquant le partenariat du dit mastodonte lequel bien sûr se fait tirer l'oreille, j'ai nommé l'horrible Mastodonte Dégroupeur - "Avez-vous essayé de tirer un Mastodonte par l'oreille ? " ..vieille rengaine connue de nos ancêtres préhistoriques.... - l'envol de l'oiseau Free Box de ses propres plumes surprend la concurrence, ainsi que la presse qui jusque là n'avait point arrêté de faire part de ses dubitations
Quelques papiers de presse ne suffisent toutefois pas à entamer le crédit énorme accumulé au cours des ans, qui ont vu tous ses concurrents sur le marché du
« gratuit » passer à la trappe. Un succès que Free veut rentabiliser.
Dés le début le vol de Free était rentable, mais arrivé à sa 1ère année, l'oiseau Free Adsl ne s'endormira pas sur son succés, il lui faut plus de plumes pour voler plus loin et planer plus haut, surtout plus vite....
L' introduction en bourse de la maison mère -Iliad- sera un succès. Qui cache de profonds désenchantements chez un nombre croissant de clients fidèles, s'
étant lancés dans l'aventure Adsl à moins de trente euros dès le dernier trimestre 2002.
Pendant ce temps les mastodontés figés dans la boue d'une fin de monde peu communiquant ajoutent leurs cris de rage aux hurlements des oisillons affamés malchanceux, victimes oubliées du Mastodonte Dégroupeur, hurlant leur envie de s'envoler à 4 ou 5 Mbps...
On grommelle, avant de crier. Les déconnections. Les fameuses FreeBox promises, cette fois, à grand renfort de publicité, soit ne
sont pas livrées, soit ne fonctionnent pas. La ligne directe dédiée aux clients, qu'on paye au prix fort, aboutit à des intervenants débordés et sous informés, incapables de répondre efficacement aux demandes plus pressantes chaque mois.
Au fur et à mesure de la reproduction, l'oiseau FreeBox victime de la beauté de son plumage auant que de son vol qui surpasse tous les autres oiseaux, a besoin de toujours plus de plumes, de duvet, de boites pour tous les nouveaux oisillons sortis de l'oeuf...
Les réactions de défense des équipes dirigeantes étonnent le grand public par leur morgue et leur impolitesse, aux frontières
de l'insulte. Les délais ne sont pas tenus.
Free Box traversera les plus grosses tempêtes qu'il n'aurait osé imaginer, payant le prix fort de sa créativité et de son optimisme à tout résoudre, franchira des zones de fortes pressions qui aurait écrasé plus d'un jeune oiseau...Bien sûr un mastodonte aurait facilement résisté à ces pressions inimaginables, mais les mastodontes ne savent pas avancer, encore moins voler à ces altitudes....
L'incompréhension grandit entre clients qui se sentent floués et le prestataire de service, incapable de satisfaire sa clientèle à hauteur de ses exigences. Free clame à qui veut l'entendre qu'elle est toujours pionnière. La belle affaire quand Neuf Telecom, Alice (Telecom Italia) se lancent eux aussi dans l'aventure de la téléphonie via l'Adsl. La télévision
par l'Adsl, un argument de poids ? Les opérateurs télévisuels Tps, Canal Satellite annoncent qu'elles ont mis sur le marché leur propre produit.
Epatés par les performances du nouvel oiseau FreeBox, tant du point de vue du vol que de la reproduction de l'espèce, les autres oiseaux verts de rage, se mettent à se teindre les plumes de la même couleur, imitent sa démarche et son vol, promettent plus pour moins cher et ....bizarrement leurs oisillons restent silencieux, ou mécontents, ne se développent pas normalement, ne parviennent à s'envoler aussi haut que les FreeBox...
Appuyés par des moyens et des technologies bien plus amples que ce que Free
pourra jamais proposer. Les chaînes proposées par Free font rire dans le landerneau télévisuel. En clair, celles du groupe Ab, sont pain béni pour la
concurrence qui n'en attendait pas tant pour gloser sur une offre aussi pauvre.
Au cours de ses plongeons à la recherche de quelques images, les gros poissons et autres otaries ne manquèrent point de se gausser de ce que pouvait ramener l'oiseau FreeBox..peu importe, jamais l'oiseau FreeBox ne se décourage, toute pêche est bonne à prendre pour nourrir ses petits: Une nouvelle famille d'oiseaux vient de naitre, la famille des oiseaux adaptatifs, ceux qui font toujours plus pour le même prix dés que les autres s'approchent de leurs performances à force de copier leurs techniques de vol, tout comme leur Papa freeBox le leur avait promis
Le déménagement des environs d'une faculté leader et innovante -Paris Dauphine- vers ceux d'une église -la Madeleine- célèbre pour ses messes d' enterrement, est assez révélateur de ce que devient Free : une entreprise qui voulait, de rainette, devenir bison.
Même les célèbres crapauds-buffles finiront par chanter ses louanges, verts de rage et déchantants, pleurants de ne pas avoir de semblables ailes, entre 2 sanglots ils raconteront sans fin à leurs descendants la légende de la disparition de l'ancien monde dirigé par les mastodontes
Par contre, quoter tout le texte pour répondre ça, c'est mal vu ;-)
Quand c'est bon on quote tout!
PallMall
Ca vaut le coup d'être lu surtout comparé aux infames torchons habituels du type "FREE SA PUE ET SA MARCHE PA!!!!! AU SECOURRRRR! VOLEURS! ESCROCS! REMBOURSEZ MOAAAAA!"...
Personnellement, j'ai beau ne pas être un as du Marketing, j'ai souvent maintenu la these et l'hypothese que le succès de Free etait en partie dû a... son nom.
Free c'est "propre". La page d'acceuil donne toutes les infos techniques ce qui n'est pas le cas des autres FAI. Rien chez Tiscali, Wanadoo, 9tel, etc...
Quand on y pense; Free c'est simple a retenir, c'est synonyme de légereté, simplicité, facilité et biensur liberté. De plus, depuis le début des années 90 la France est tellement envahie par les termes anglophones, que de nos jours même un non-informaticien du find fond de sa cambrousse sait ce que veut dire le mot Free ou encore comment le prononcer...
Bref, sur ce coup là, bravo ProXad et bravo surtout les boulets^H^H^H^Hmarketteux d'Iliad, bien joué Messieurs.
Ca vaut le coup d'être lu surtout comparé aux infames torchons habituels du
type "FREE SA PUE ET SA MARCHE PA!!!!! AU SECOURRRRR! VOLEURS! ESCROCS!
REMBOURSEZ MOAAAAA!"...
Personnellement, j'ai beau ne pas être un as du Marketing, j'ai souvent
maintenu la these et l'hypothese que le succès de Free etait en partie dû
a... son nom.
Free c'est "propre". La page d'acceuil donne toutes les infos
techniques ce qui n'est pas le cas des autres FAI. Rien chez
Tiscali, Wanadoo, 9tel, etc...
Quand on y pense; Free c'est simple a retenir, c'est synonyme de légereté,
simplicité, facilité et biensur liberté. De plus, depuis le début des années
90 la France est tellement envahie par les termes anglophones, que de nos
jours même un non-informaticien du find fond de sa cambrousse sait ce que
veut dire le mot Free ou encore comment le prononcer...
Bref, sur ce coup là, bravo ProXad et bravo surtout les
boulets^H^H^H^Hmarketteux d'Iliad, bien joué Messieurs.
Ca vaut le coup d'être lu surtout comparé aux infames torchons habituels du type "FREE SA PUE ET SA MARCHE PA!!!!! AU SECOURRRRR! VOLEURS! ESCROCS! REMBOURSEZ MOAAAAA!"...
Personnellement, j'ai beau ne pas être un as du Marketing, j'ai souvent maintenu la these et l'hypothese que le succès de Free etait en partie dû a... son nom.
Free c'est "propre". La page d'acceuil donne toutes les infos techniques ce qui n'est pas le cas des autres FAI. Rien chez Tiscali, Wanadoo, 9tel, etc...
Quand on y pense; Free c'est simple a retenir, c'est synonyme de légereté, simplicité, facilité et biensur liberté. De plus, depuis le début des années 90 la France est tellement envahie par les termes anglophones, que de nos jours même un non-informaticien du find fond de sa cambrousse sait ce que veut dire le mot Free ou encore comment le prononcer...
Bref, sur ce coup là, bravo ProXad et bravo surtout les boulets^H^H^H^Hmarketteux d'Iliad, bien joué Messieurs.
Webatou
"PallMall" a écrit dans le message de news: ...
Quand c'est bon on quote tout!
Ce serait quand même sympa de penser à ceux qui lisent les newsgroups via une solution mobile ou en RTC ;-)
Egoïste ! ;-)
"PallMall" a écrit dans le message de news: ...
Quand c'est bon on quote tout!
Ce serait quand même sympa de penser à ceux qui lisent les newsgroups via
une solution mobile ou en RTC ;-)
