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Heu, c'est du pipeau ca ??? sur Intel ????

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Jacquard B.
Hello,

C'est quoi ces binaries ?

MacOS X sur un PC Windows avec Intel ?

C'est bidon ou pas ce truc ?

Et on peut le commander ?

http://www.borgeaud.com/osX86/MacOSX86.htm

Si c'est vrai, c'est la fin de Linux, à en lire l'article ;>))

Jacqui

--
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10 réponses

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Pierre PANTALÉON

conneries). Que tu utilises OS X, Linux, ou BenOS (ton propre OS
maison) je m'en bat les couilles (là encore sauf si c'est moi qui doit
nettoyer).


Quelle grande classe !

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Jerome Lambert
Jerome Lambert , dans le message , a

Ainsi, supprimer un fichier revient à glisser-déposer l'icône dans la
corbeille, comme partout.



Et si la corbeille est cachée ?


Par contre, copier un fichier revient à
glisser-déposer sur l'icône du disque dur,



Même chose.


Impossible: l'un comme l'autre sont dans un panel qui "flotte" au-dessus
des *toutes* les autres fenêtres. Quand je dis que ça a été correctement
pensé... ;-)

et au bout d'une seconde
celui-ci ouvre automatiquement une fenêtre présentant son contenu, et de
proche en proche on se ballade dans l'arborescence pour déposer au bon
endroit


Oui, mais non : ce n'est pas parfait. Pour distinguer « je veux poser mon
fichier dans ce répertoire » et « je veux poser mon fichier dans un
sous-répertoire de ce répertoire, alors ouvre-le », il faut essentiellement
se fier à un timeout, ce qui question ergonomie est une horreur.


Bof. Je préfère ça à devoir naviguer moi-même, et laisser un kyrielle de
fenêtres ouvertes comme dans le si malpratique "mode spatial" de Gnome.

... et le problème est malheureusement là, chaque application ayant sa
propre manière de l'implanter, et ce quel que soit l'OS.



Pas d'accord : le problème est le même avec le glisser-déplacer, il faut que
l'application cible ait été prévue pour correctement recevoir le résultat du
drag. Le problème se présente ici de manière symétrique : si un afficheur
d'images, par exemple, oublie de s'enregistrer dans le menu contextuel pour
les images, tu ne peux pas le choisir ; du côté glisser-déplacer, tu peux
toujours le choisir, mais tu as également à choisir parmi les éditeurs de
textes, les lecteurs de musique, etc., parce que le glisser-déplacer n'est
par essence pas contextuel (l'astuce de la poubelle qui devient bouton
d'éjection étant anecdotique et pas généralisable).


Non.
Dans le cas de Mac OS X, j'ai à ma disposition le fameux panel sur
lequel *je* dépose les icônes des applications qe j'utilise le plus
couramment. Ainsi, j'ai toujours mes "cibles préférées" à portée de
mains. Au pire, je fais un glisser-déplacer vers le disque dur,
sous-répertoires "Applications" et j'y trouve ma cible "occasionnelle".
Pas besoin d'enregistrement de quoi que ce soit, ni d'ailleurs d'entrée
obsolète comme j'en vois trop souvent.

Ma remarque concernait également les applications *en elles-même".
Compare la pauvreté du menu contextuel d'un Word à la richesse de son
équivalent chez OpenOffice.org pour t'en convaincre...


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Nicolas George
Jerome Lambert , dans le message , a
écrit :
Impossible: l'un comme l'autre sont dans un panel qui "flotte" au-dessus
des *toutes* les autres fenêtres. Quand je dis que ça a été correctement
pensé... ;-)


C'est déjà ça.

Bof. Je préfère ça à devoir naviguer moi-même, et laisser un kyrielle de
fenêtres ouvertes comme dans le si malpratique "mode spatial" de Gnome.


Je ne vois pas le rapport, tu n'as probablement pas compris quelle était mon
objection : que le comportement dépende du temps que l'on met à faire une
action.

Dans le cas de Mac OS X, j'ai à ma disposition le fameux panel sur
lequel *je* dépose les icônes des applications qe j'utilise le plus
couramment. Ainsi, j'ai toujours mes "cibles préférées" à portée de
mains.


Mais tu as quand même le problème que tes « cibles préférées » sont
indiférentiées : que tu aies choisi une image, une musique ou un texte, ce
sont les mêmes. Et à part si tu en as vraiment très peu, c'est à dire une
utilisation très monotone de ton ordinateur, ça multiplie d'autant le temps
pour trouver la bonne

Au pire, je fais un glisser-déplacer vers le disque dur,
sous-répertoires "Applications" et j'y trouve ma cible "occasionnelle".
Pas besoin d'enregistrement de quoi que ce soit, ni d'ailleurs d'entrée
obsolète comme j'en vois trop souvent.


Tout ceci peut être fait exactement de la même manière avec un menu
contextuelle, à ceci près que le menu est, justement contextuel : il te
propose directement accessibles les actions pertinentes sur ce que tu
manipules.

Ma remarque concernait également les applications *en elles-même".
Compare la pauvreté du menu contextuel d'un Word à la richesse de son
équivalent chez OpenOffice.org pour t'en convaincre...


Je ne vois pas ce que tu espères tirer de ça : évidemment il peut y avoir
des menus contextuels mal conçus, comme il peut y avoir des
glissers-déplacers mal conçus. Attention les portes ouvertes. Il va de soit
que pour comparer les mérites des deux, il faut considérer le meilleur de
chaque monde.

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talon
Stéphane CARPENTIER wrote:

C'est pour ça que j'ai écrit que si tu as un informaticien pour créer les
feuilles de style et les macros, après la secrétaire peut utiliser TeX
sans problème. Dans toutes les sociétés d'une certaine taille il y a des
informaticiens. Et l'informaticien n'a pas besoin d'être employé à plein
temps pour faire ça.


Et le jour où la secrétaire veut faire un truc un iota différent, elle est
feintée, il faut que ça rentre dans le moule de la macro TeX qui a été prévue
par l'informaticien. L'une des choses que l'utilisateur final souhaite, c'est
être maître de ce qu'il fait, et ne pas se prendre la tête pour y arriver.
Ces deux choses ensembles sont incompatibles avec TeX.


Stéphane



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Benjamin FRANCOIS
Jerome Lambert s'est exprimé en ces termes:
Mouais. Pour tout dire, j'en suis même revenu sous Mac OS X à la souris
1 bouton: c'est beaucoup plus simple, et il n'y a pas à se prendre le
chou pour savoir si il faut utiliser ou non le menu contextuel. Tout est
alors beaucoup plus intuitif...


Effectivement, il faut se prendre le chou pour deviner sur quel bouton
du clavier appuyer en même temps qu'on clique, c'est d'une intuitivité
qui fait peur.


--
*** Topic for #redhat: ReDHaT is the answer to all your problems. It could be
the start too!

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Jerome Lambert
Jerome Lambert , dans le message , a

Impossible: l'un comme l'autre sont dans un panel qui "flotte" au-dessus
des *toutes* les autres fenêtres. Quand je dis que ça a été correctement
pensé... ;-)



C'est déjà ça.


Bof. Je préfère ça à devoir naviguer moi-même, et laisser un kyrielle de
fenêtres ouvertes comme dans le si malpratique "mode spatial" de Gnome.


Je ne vois pas le rapport, tu n'as probablement pas compris quelle était mon
objection : que le comportement dépende du temps que l'on met à faire une
action.


Et? Je trouve ça au contraire logique: je dépose dessus=je copie dedans,
je maintiens dessus=je veux ouvrir, tout comme je clique une fois=je
sélectionne et je clique deux fois=j'ouvre. Deux actions différentes,
deux résultats différents...

Dans le cas de Mac OS X, j'ai à ma disposition le fameux panel sur
lequel *je* dépose les icônes des applications qe j'utilise le plus
couramment. Ainsi, j'ai toujours mes "cibles préférées" à portée de
mains.


Mais tu as quand même le problème que tes « cibles préférées » sont
indiférentiées : que tu aies choisi une image, une musique ou un texte, ce
sont les mêmes. Et à part si tu en as vraiment très peu, c'est à dire une
utilisation très monotone de ton ordinateur, ça multiplie d'autant le temps
pour trouver la bonne


J'ai l'impression qu'on ne comprend pas: mes "cibles" sont des liens
vers des *applications* installées. J'ai donc dans mon panel des liens
vers mon gestionnaire mail, mon traitement de texte, etc., donc j'ai
toujours mes applications *favorites* à disposition, et celles-ci sont
suffisament bien conçues que pour gérer chacune leurs types de fichiers
(je n'utilise pas 3 traitements de texte différents, un seul me suffit).

Au pire, je fais un glisser-déplacer vers le disque dur,
sous-répertoires "Applications" et j'y trouve ma cible "occasionnelle".
Pas besoin d'enregistrement de quoi que ce soit, ni d'ailleurs d'entrée
obsolète comme j'en vois trop souvent.



Tout ceci peut être fait exactement de la même manière avec un menu
contextuelle, à ceci près que le menu est, justement contextuel : il te
propose directement accessibles les actions pertinentes sur ce que tu
manipules.


Ce que tu ne sembles pas saisir, c'est que l'intérêt réside dans des
utilisations croisées, et non unique. Pour reprendre un exemple que j'ai
déjà donné, je peux glisser-déposer une image sur l'application mail
pour en faire automatiquement une pièce attachée. Par contre un menu
contextuel me présentera les éditeurs et afficheurs d'image, mais pas le
client mail ni le client FTP, ...
C'est plus clair comme ça?


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Jerome Lambert
Jerome Lambert s'est exprimé en ces termes:

Mouais. Pour tout dire, j'en suis même revenu sous Mac OS X à la souris
1 bouton: c'est beaucoup plus simple, et il n'y a pas à se prendre le
chou pour savoir si il faut utiliser ou non le menu contextuel. Tout est
alors beaucoup plus intuitif...



Effectivement, il faut se prendre le chou pour deviner sur quel bouton
du clavier appuyer en même temps qu'on clique, c'est d'une intuitivité
qui fait peur.


Effectivement: quand je vois dans mon entourage le nombre de gens
infoutus de savoir que choisir entre simple clic, double clic et
clic-droit suivant la manipulation à effectuer, je me dis que le
multi-bouton, c'est génial...
Et encore, en se limitant à du Windows relativement standard. Si
maintenant on pioche dans les WM qui ont des comportements "bizarres",
style KDE qui par défaut ouvrait les fichiers sur un simple clic, on
n'est pas sorti...


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costaclt
In article <deaok7$2r7q$, Michel Talon wrote:
Stéphane CARPENTIER wrote:
Et le jour où la secrétaire veut faire un truc un iota différent, elle est
feintée, il faut que ça rentre dans le moule de la macro TeX qui a été prévue
par l'informaticien. L'une des choses que l'utilisateur final souhaite, c'est
être maître de ce qu'il fait, et ne pas se prendre la tête pour y arriver.
Ces deux choses ensembles sont incompatibles avec TeX.


Constats :

- Je n'ai pratiquement jamais vu une secrétaire savoir utiliser une
suite de logiciels autrement que de manière très basique. Il y a donc
toujours un problème informatique, quel qu'il soit. Les formations
d'ailleurs ne servent pas à grand-chose (j'avais vu une formation sql
sur un soft maison : au bout d'une semaine, elles avaient tout oublié).
La raison de cette formation était de ne pas se faire racketer par
l'informaticien.

- Il y a des tas de jeunes filles, jolies, très intelligentes, surdiplômées
et qui cherchent à manger. Tiens, j'ai une DEA Biologie si vous voulez.
Que peut-elle faire avec son DEA : rien.

Donc :

- Je vire la mule qui sert de secrétaire et je la remplace par la bête
de course.

- Je file la doc teX à ma DEA en lui demandant d'être opérationnelle
de manière rapide.

- Et je me retrouve avec une force vive de plus dans la boîte ! Au lieu
d'avoir un boulet.

- Et en plus, c'est moral ! Pensez à toutes ces brèles qui ont tant fait
chier les profs pendant leur CAP, BacPro et Bts à la con. Vengez-les !

costaclt

Avatar
Emmanuel Florac
Le Sun, 21 Aug 2005 20:36:23 +0000, Michel Talon a écrit :


Et le jour où la secrétaire veut faire un truc un iota différent, elle
est feintée, il faut que ça rentre dans le moule de la macro TeX qui a
été prévue par l'informaticien.


Faut pas éxagérer non plus, il y a aussi Lyx...

--
Mais monsieur, voudriez-vous que je me l'écorchasse?
Barbey d'Aurevilly.

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Pierre PANTALÉON
In article <deaok7$2r7q$, Michel Talon wrote:

Stéphane CARPENTIER wrote:
Et le jour où la secrétaire veut faire un truc un iota différent, elle est
feintée, il faut que ça rentre dans le moule de la macro TeX qui a été prévue
par l'informaticien. L'une des choses que l'utilisateur final souhaite, c'est
être maître de ce qu'il fait, et ne pas se prendre la tête pour y arriver.
Ces deux choses ensembles sont incompatibles avec TeX.



Constats :

- Je n'ai pratiquement jamais vu une secrétaire savoir utiliser une
suite de logiciels autrement que de manière très basique. Il y a donc
toujours un problème informatique, quel qu'il soit. Les formations
d'ailleurs ne servent pas à grand-chose (j'avais vu une formation sql
sur un soft maison : au bout d'une semaine, elles avaient tout oublié).
La raison de cette formation était de ne pas se faire racketer par
l'informaticien.

- Il y a des tas de jeunes filles, jolies, très intelligentes, surdiplômées
et qui cherchent à manger. Tiens, j'ai une DEA Biologie si vous voulez.
Que peut-elle faire avec son DEA : rien.

Donc :

- Je vire la mule qui sert de secrétaire et je la remplace par la bête
de course.

- Je file la doc teX à ma DEA en lui demandant d'être opérationnelle
de manière rapide.

- Et je me retrouve avec une force vive de plus dans la boîte ! Au lieu
d'avoir un boulet.

- Et en plus, c'est moral ! Pensez à toutes ces brèles qui ont tant fait
chier les profs pendant leur CAP, BacPro et Bts à la con. Vengez-les !


Et c'est complètement irréaliste !
Faut revenir sur terre. La vraie vie n'est pas comme ça.