conneries). Que tu utilises OS X, Linux, ou BenOS (ton propre OS
maison) je m'en bat les couilles (là encore sauf si c'est moi qui doit
nettoyer).
conneries). Que tu utilises OS X, Linux, ou BenOS (ton propre OS
maison) je m'en bat les couilles (là encore sauf si c'est moi qui doit
nettoyer).
conneries). Que tu utilises OS X, Linux, ou BenOS (ton propre OS
maison) je m'en bat les couilles (là encore sauf si c'est moi qui doit
nettoyer).
Jerome Lambert , dans le message , aAinsi, supprimer un fichier revient à glisser-déposer l'icône dans la
corbeille, comme partout.
Et si la corbeille est cachée ?Par contre, copier un fichier revient à
glisser-déposer sur l'icône du disque dur,
Même chose.
et au bout d'une seconde
celui-ci ouvre automatiquement une fenêtre présentant son contenu, et de
proche en proche on se ballade dans l'arborescence pour déposer au bon
endroit
Oui, mais non : ce n'est pas parfait. Pour distinguer « je veux poser mon
fichier dans ce répertoire » et « je veux poser mon fichier dans un
sous-répertoire de ce répertoire, alors ouvre-le », il faut essentiellement
se fier à un timeout, ce qui question ergonomie est une horreur.
... et le problème est malheureusement là, chaque application ayant sa
propre manière de l'implanter, et ce quel que soit l'OS.
Pas d'accord : le problème est le même avec le glisser-déplacer, il faut que
l'application cible ait été prévue pour correctement recevoir le résultat du
drag. Le problème se présente ici de manière symétrique : si un afficheur
d'images, par exemple, oublie de s'enregistrer dans le menu contextuel pour
les images, tu ne peux pas le choisir ; du côté glisser-déplacer, tu peux
toujours le choisir, mais tu as également à choisir parmi les éditeurs de
textes, les lecteurs de musique, etc., parce que le glisser-déplacer n'est
par essence pas contextuel (l'astuce de la poubelle qui devient bouton
d'éjection étant anecdotique et pas généralisable).
Jerome Lambert , dans le message <3ms3bpF18fbf9U1@individual.net>, a
Ainsi, supprimer un fichier revient à glisser-déposer l'icône dans la
corbeille, comme partout.
Et si la corbeille est cachée ?
Par contre, copier un fichier revient à
glisser-déposer sur l'icône du disque dur,
Même chose.
et au bout d'une seconde
celui-ci ouvre automatiquement une fenêtre présentant son contenu, et de
proche en proche on se ballade dans l'arborescence pour déposer au bon
endroit
Oui, mais non : ce n'est pas parfait. Pour distinguer « je veux poser mon
fichier dans ce répertoire » et « je veux poser mon fichier dans un
sous-répertoire de ce répertoire, alors ouvre-le », il faut essentiellement
se fier à un timeout, ce qui question ergonomie est une horreur.
... et le problème est malheureusement là, chaque application ayant sa
propre manière de l'implanter, et ce quel que soit l'OS.
Pas d'accord : le problème est le même avec le glisser-déplacer, il faut que
l'application cible ait été prévue pour correctement recevoir le résultat du
drag. Le problème se présente ici de manière symétrique : si un afficheur
d'images, par exemple, oublie de s'enregistrer dans le menu contextuel pour
les images, tu ne peux pas le choisir ; du côté glisser-déplacer, tu peux
toujours le choisir, mais tu as également à choisir parmi les éditeurs de
textes, les lecteurs de musique, etc., parce que le glisser-déplacer n'est
par essence pas contextuel (l'astuce de la poubelle qui devient bouton
d'éjection étant anecdotique et pas généralisable).
Jerome Lambert , dans le message , aAinsi, supprimer un fichier revient à glisser-déposer l'icône dans la
corbeille, comme partout.
Et si la corbeille est cachée ?Par contre, copier un fichier revient à
glisser-déposer sur l'icône du disque dur,
Même chose.
et au bout d'une seconde
celui-ci ouvre automatiquement une fenêtre présentant son contenu, et de
proche en proche on se ballade dans l'arborescence pour déposer au bon
endroit
Oui, mais non : ce n'est pas parfait. Pour distinguer « je veux poser mon
fichier dans ce répertoire » et « je veux poser mon fichier dans un
sous-répertoire de ce répertoire, alors ouvre-le », il faut essentiellement
se fier à un timeout, ce qui question ergonomie est une horreur.
... et le problème est malheureusement là, chaque application ayant sa
propre manière de l'implanter, et ce quel que soit l'OS.
Pas d'accord : le problème est le même avec le glisser-déplacer, il faut que
l'application cible ait été prévue pour correctement recevoir le résultat du
drag. Le problème se présente ici de manière symétrique : si un afficheur
d'images, par exemple, oublie de s'enregistrer dans le menu contextuel pour
les images, tu ne peux pas le choisir ; du côté glisser-déplacer, tu peux
toujours le choisir, mais tu as également à choisir parmi les éditeurs de
textes, les lecteurs de musique, etc., parce que le glisser-déplacer n'est
par essence pas contextuel (l'astuce de la poubelle qui devient bouton
d'éjection étant anecdotique et pas généralisable).
Impossible: l'un comme l'autre sont dans un panel qui "flotte" au-dessus
des *toutes* les autres fenêtres. Quand je dis que ça a été correctement
pensé... ;-)
Bof. Je préfère ça à devoir naviguer moi-même, et laisser un kyrielle de
fenêtres ouvertes comme dans le si malpratique "mode spatial" de Gnome.
Dans le cas de Mac OS X, j'ai à ma disposition le fameux panel sur
lequel *je* dépose les icônes des applications qe j'utilise le plus
couramment. Ainsi, j'ai toujours mes "cibles préférées" à portée de
mains.
Au pire, je fais un glisser-déplacer vers le disque dur,
sous-répertoires "Applications" et j'y trouve ma cible "occasionnelle".
Pas besoin d'enregistrement de quoi que ce soit, ni d'ailleurs d'entrée
obsolète comme j'en vois trop souvent.
Ma remarque concernait également les applications *en elles-même".
Compare la pauvreté du menu contextuel d'un Word à la richesse de son
équivalent chez OpenOffice.org pour t'en convaincre...
Impossible: l'un comme l'autre sont dans un panel qui "flotte" au-dessus
des *toutes* les autres fenêtres. Quand je dis que ça a été correctement
pensé... ;-)
Bof. Je préfère ça à devoir naviguer moi-même, et laisser un kyrielle de
fenêtres ouvertes comme dans le si malpratique "mode spatial" de Gnome.
Dans le cas de Mac OS X, j'ai à ma disposition le fameux panel sur
lequel *je* dépose les icônes des applications qe j'utilise le plus
couramment. Ainsi, j'ai toujours mes "cibles préférées" à portée de
mains.
Au pire, je fais un glisser-déplacer vers le disque dur,
sous-répertoires "Applications" et j'y trouve ma cible "occasionnelle".
Pas besoin d'enregistrement de quoi que ce soit, ni d'ailleurs d'entrée
obsolète comme j'en vois trop souvent.
Ma remarque concernait également les applications *en elles-même".
Compare la pauvreté du menu contextuel d'un Word à la richesse de son
équivalent chez OpenOffice.org pour t'en convaincre...
Impossible: l'un comme l'autre sont dans un panel qui "flotte" au-dessus
des *toutes* les autres fenêtres. Quand je dis que ça a été correctement
pensé... ;-)
Bof. Je préfère ça à devoir naviguer moi-même, et laisser un kyrielle de
fenêtres ouvertes comme dans le si malpratique "mode spatial" de Gnome.
Dans le cas de Mac OS X, j'ai à ma disposition le fameux panel sur
lequel *je* dépose les icônes des applications qe j'utilise le plus
couramment. Ainsi, j'ai toujours mes "cibles préférées" à portée de
mains.
Au pire, je fais un glisser-déplacer vers le disque dur,
sous-répertoires "Applications" et j'y trouve ma cible "occasionnelle".
Pas besoin d'enregistrement de quoi que ce soit, ni d'ailleurs d'entrée
obsolète comme j'en vois trop souvent.
Ma remarque concernait également les applications *en elles-même".
Compare la pauvreté du menu contextuel d'un Word à la richesse de son
équivalent chez OpenOffice.org pour t'en convaincre...
C'est pour ça que j'ai écrit que si tu as un informaticien pour créer les
feuilles de style et les macros, après la secrétaire peut utiliser TeX
sans problème. Dans toutes les sociétés d'une certaine taille il y a des
informaticiens. Et l'informaticien n'a pas besoin d'être employé à plein
temps pour faire ça.
Stéphane
C'est pour ça que j'ai écrit que si tu as un informaticien pour créer les
feuilles de style et les macros, après la secrétaire peut utiliser TeX
sans problème. Dans toutes les sociétés d'une certaine taille il y a des
informaticiens. Et l'informaticien n'a pas besoin d'être employé à plein
temps pour faire ça.
Stéphane
C'est pour ça que j'ai écrit que si tu as un informaticien pour créer les
feuilles de style et les macros, après la secrétaire peut utiliser TeX
sans problème. Dans toutes les sociétés d'une certaine taille il y a des
informaticiens. Et l'informaticien n'a pas besoin d'être employé à plein
temps pour faire ça.
Stéphane
Mouais. Pour tout dire, j'en suis même revenu sous Mac OS X à la souris
1 bouton: c'est beaucoup plus simple, et il n'y a pas à se prendre le
chou pour savoir si il faut utiliser ou non le menu contextuel. Tout est
alors beaucoup plus intuitif...
Mouais. Pour tout dire, j'en suis même revenu sous Mac OS X à la souris
1 bouton: c'est beaucoup plus simple, et il n'y a pas à se prendre le
chou pour savoir si il faut utiliser ou non le menu contextuel. Tout est
alors beaucoup plus intuitif...
Mouais. Pour tout dire, j'en suis même revenu sous Mac OS X à la souris
1 bouton: c'est beaucoup plus simple, et il n'y a pas à se prendre le
chou pour savoir si il faut utiliser ou non le menu contextuel. Tout est
alors beaucoup plus intuitif...
Jerome Lambert , dans le message , aImpossible: l'un comme l'autre sont dans un panel qui "flotte" au-dessus
des *toutes* les autres fenêtres. Quand je dis que ça a été correctement
pensé... ;-)
C'est déjà ça.Bof. Je préfère ça à devoir naviguer moi-même, et laisser un kyrielle de
fenêtres ouvertes comme dans le si malpratique "mode spatial" de Gnome.
Je ne vois pas le rapport, tu n'as probablement pas compris quelle était mon
objection : que le comportement dépende du temps que l'on met à faire une
action.
Dans le cas de Mac OS X, j'ai à ma disposition le fameux panel sur
lequel *je* dépose les icônes des applications qe j'utilise le plus
couramment. Ainsi, j'ai toujours mes "cibles préférées" à portée de
mains.
Mais tu as quand même le problème que tes « cibles préférées » sont
indiférentiées : que tu aies choisi une image, une musique ou un texte, ce
sont les mêmes. Et à part si tu en as vraiment très peu, c'est à dire une
utilisation très monotone de ton ordinateur, ça multiplie d'autant le temps
pour trouver la bonne
Au pire, je fais un glisser-déplacer vers le disque dur,
sous-répertoires "Applications" et j'y trouve ma cible "occasionnelle".
Pas besoin d'enregistrement de quoi que ce soit, ni d'ailleurs d'entrée
obsolète comme j'en vois trop souvent.
Tout ceci peut être fait exactement de la même manière avec un menu
contextuelle, à ceci près que le menu est, justement contextuel : il te
propose directement accessibles les actions pertinentes sur ce que tu
manipules.
Jerome Lambert , dans le message <3ms5s6F18d5jgU1@individual.net>, a
Impossible: l'un comme l'autre sont dans un panel qui "flotte" au-dessus
des *toutes* les autres fenêtres. Quand je dis que ça a été correctement
pensé... ;-)
C'est déjà ça.
Bof. Je préfère ça à devoir naviguer moi-même, et laisser un kyrielle de
fenêtres ouvertes comme dans le si malpratique "mode spatial" de Gnome.
Je ne vois pas le rapport, tu n'as probablement pas compris quelle était mon
objection : que le comportement dépende du temps que l'on met à faire une
action.
Dans le cas de Mac OS X, j'ai à ma disposition le fameux panel sur
lequel *je* dépose les icônes des applications qe j'utilise le plus
couramment. Ainsi, j'ai toujours mes "cibles préférées" à portée de
mains.
Mais tu as quand même le problème que tes « cibles préférées » sont
indiférentiées : que tu aies choisi une image, une musique ou un texte, ce
sont les mêmes. Et à part si tu en as vraiment très peu, c'est à dire une
utilisation très monotone de ton ordinateur, ça multiplie d'autant le temps
pour trouver la bonne
Au pire, je fais un glisser-déplacer vers le disque dur,
sous-répertoires "Applications" et j'y trouve ma cible "occasionnelle".
Pas besoin d'enregistrement de quoi que ce soit, ni d'ailleurs d'entrée
obsolète comme j'en vois trop souvent.
Tout ceci peut être fait exactement de la même manière avec un menu
contextuelle, à ceci près que le menu est, justement contextuel : il te
propose directement accessibles les actions pertinentes sur ce que tu
manipules.
Jerome Lambert , dans le message , aImpossible: l'un comme l'autre sont dans un panel qui "flotte" au-dessus
des *toutes* les autres fenêtres. Quand je dis que ça a été correctement
pensé... ;-)
C'est déjà ça.Bof. Je préfère ça à devoir naviguer moi-même, et laisser un kyrielle de
fenêtres ouvertes comme dans le si malpratique "mode spatial" de Gnome.
Je ne vois pas le rapport, tu n'as probablement pas compris quelle était mon
objection : que le comportement dépende du temps que l'on met à faire une
action.
Dans le cas de Mac OS X, j'ai à ma disposition le fameux panel sur
lequel *je* dépose les icônes des applications qe j'utilise le plus
couramment. Ainsi, j'ai toujours mes "cibles préférées" à portée de
mains.
Mais tu as quand même le problème que tes « cibles préférées » sont
indiférentiées : que tu aies choisi une image, une musique ou un texte, ce
sont les mêmes. Et à part si tu en as vraiment très peu, c'est à dire une
utilisation très monotone de ton ordinateur, ça multiplie d'autant le temps
pour trouver la bonne
Au pire, je fais un glisser-déplacer vers le disque dur,
sous-répertoires "Applications" et j'y trouve ma cible "occasionnelle".
Pas besoin d'enregistrement de quoi que ce soit, ni d'ailleurs d'entrée
obsolète comme j'en vois trop souvent.
Tout ceci peut être fait exactement de la même manière avec un menu
contextuelle, à ceci près que le menu est, justement contextuel : il te
propose directement accessibles les actions pertinentes sur ce que tu
manipules.
Jerome Lambert s'est exprimé en ces termes:Mouais. Pour tout dire, j'en suis même revenu sous Mac OS X à la souris
1 bouton: c'est beaucoup plus simple, et il n'y a pas à se prendre le
chou pour savoir si il faut utiliser ou non le menu contextuel. Tout est
alors beaucoup plus intuitif...
Effectivement, il faut se prendre le chou pour deviner sur quel bouton
du clavier appuyer en même temps qu'on clique, c'est d'une intuitivité
qui fait peur.
Jerome Lambert s'est exprimé en ces termes:
Mouais. Pour tout dire, j'en suis même revenu sous Mac OS X à la souris
1 bouton: c'est beaucoup plus simple, et il n'y a pas à se prendre le
chou pour savoir si il faut utiliser ou non le menu contextuel. Tout est
alors beaucoup plus intuitif...
Effectivement, il faut se prendre le chou pour deviner sur quel bouton
du clavier appuyer en même temps qu'on clique, c'est d'une intuitivité
qui fait peur.
Jerome Lambert s'est exprimé en ces termes:Mouais. Pour tout dire, j'en suis même revenu sous Mac OS X à la souris
1 bouton: c'est beaucoup plus simple, et il n'y a pas à se prendre le
chou pour savoir si il faut utiliser ou non le menu contextuel. Tout est
alors beaucoup plus intuitif...
Effectivement, il faut se prendre le chou pour deviner sur quel bouton
du clavier appuyer en même temps qu'on clique, c'est d'une intuitivité
qui fait peur.
Stéphane CARPENTIER wrote:
Et le jour où la secrétaire veut faire un truc un iota différent, elle est
feintée, il faut que ça rentre dans le moule de la macro TeX qui a été prévue
par l'informaticien. L'une des choses que l'utilisateur final souhaite, c'est
être maître de ce qu'il fait, et ne pas se prendre la tête pour y arriver.
Ces deux choses ensembles sont incompatibles avec TeX.
Stéphane CARPENTIER <stef.carpentier@gratuit.fr.invalid> wrote:
Et le jour où la secrétaire veut faire un truc un iota différent, elle est
feintée, il faut que ça rentre dans le moule de la macro TeX qui a été prévue
par l'informaticien. L'une des choses que l'utilisateur final souhaite, c'est
être maître de ce qu'il fait, et ne pas se prendre la tête pour y arriver.
Ces deux choses ensembles sont incompatibles avec TeX.
Stéphane CARPENTIER wrote:
Et le jour où la secrétaire veut faire un truc un iota différent, elle est
feintée, il faut que ça rentre dans le moule de la macro TeX qui a été prévue
par l'informaticien. L'une des choses que l'utilisateur final souhaite, c'est
être maître de ce qu'il fait, et ne pas se prendre la tête pour y arriver.
Ces deux choses ensembles sont incompatibles avec TeX.
Et le jour où la secrétaire veut faire un truc un iota différent, elle
est feintée, il faut que ça rentre dans le moule de la macro TeX qui a
été prévue par l'informaticien.
Et le jour où la secrétaire veut faire un truc un iota différent, elle
est feintée, il faut que ça rentre dans le moule de la macro TeX qui a
été prévue par l'informaticien.
Et le jour où la secrétaire veut faire un truc un iota différent, elle
est feintée, il faut que ça rentre dans le moule de la macro TeX qui a
été prévue par l'informaticien.
In article <deaok7$2r7q$, Michel Talon wrote:Stéphane CARPENTIER wrote:
Et le jour où la secrétaire veut faire un truc un iota différent, elle est
feintée, il faut que ça rentre dans le moule de la macro TeX qui a été prévue
par l'informaticien. L'une des choses que l'utilisateur final souhaite, c'est
être maître de ce qu'il fait, et ne pas se prendre la tête pour y arriver.
Ces deux choses ensembles sont incompatibles avec TeX.
Constats :
- Je n'ai pratiquement jamais vu une secrétaire savoir utiliser une
suite de logiciels autrement que de manière très basique. Il y a donc
toujours un problème informatique, quel qu'il soit. Les formations
d'ailleurs ne servent pas à grand-chose (j'avais vu une formation sql
sur un soft maison : au bout d'une semaine, elles avaient tout oublié).
La raison de cette formation était de ne pas se faire racketer par
l'informaticien.
- Il y a des tas de jeunes filles, jolies, très intelligentes, surdiplômées
et qui cherchent à manger. Tiens, j'ai une DEA Biologie si vous voulez.
Que peut-elle faire avec son DEA : rien.
Donc :
- Je vire la mule qui sert de secrétaire et je la remplace par la bête
de course.
- Je file la doc teX à ma DEA en lui demandant d'être opérationnelle
de manière rapide.
- Et je me retrouve avec une force vive de plus dans la boîte ! Au lieu
d'avoir un boulet.
- Et en plus, c'est moral ! Pensez à toutes ces brèles qui ont tant fait
chier les profs pendant leur CAP, BacPro et Bts à la con. Vengez-les !
In article <deaok7$2r7q$1@asmodee.lpthe.jussieu.fr>, Michel Talon wrote:
Stéphane CARPENTIER <stef.carpentier@gratuit.fr.invalid> wrote:
Et le jour où la secrétaire veut faire un truc un iota différent, elle est
feintée, il faut que ça rentre dans le moule de la macro TeX qui a été prévue
par l'informaticien. L'une des choses que l'utilisateur final souhaite, c'est
être maître de ce qu'il fait, et ne pas se prendre la tête pour y arriver.
Ces deux choses ensembles sont incompatibles avec TeX.
Constats :
- Je n'ai pratiquement jamais vu une secrétaire savoir utiliser une
suite de logiciels autrement que de manière très basique. Il y a donc
toujours un problème informatique, quel qu'il soit. Les formations
d'ailleurs ne servent pas à grand-chose (j'avais vu une formation sql
sur un soft maison : au bout d'une semaine, elles avaient tout oublié).
La raison de cette formation était de ne pas se faire racketer par
l'informaticien.
- Il y a des tas de jeunes filles, jolies, très intelligentes, surdiplômées
et qui cherchent à manger. Tiens, j'ai une DEA Biologie si vous voulez.
Que peut-elle faire avec son DEA : rien.
Donc :
- Je vire la mule qui sert de secrétaire et je la remplace par la bête
de course.
- Je file la doc teX à ma DEA en lui demandant d'être opérationnelle
de manière rapide.
- Et je me retrouve avec une force vive de plus dans la boîte ! Au lieu
d'avoir un boulet.
- Et en plus, c'est moral ! Pensez à toutes ces brèles qui ont tant fait
chier les profs pendant leur CAP, BacPro et Bts à la con. Vengez-les !
In article <deaok7$2r7q$, Michel Talon wrote:Stéphane CARPENTIER wrote:
Et le jour où la secrétaire veut faire un truc un iota différent, elle est
feintée, il faut que ça rentre dans le moule de la macro TeX qui a été prévue
par l'informaticien. L'une des choses que l'utilisateur final souhaite, c'est
être maître de ce qu'il fait, et ne pas se prendre la tête pour y arriver.
Ces deux choses ensembles sont incompatibles avec TeX.
Constats :
- Je n'ai pratiquement jamais vu une secrétaire savoir utiliser une
suite de logiciels autrement que de manière très basique. Il y a donc
toujours un problème informatique, quel qu'il soit. Les formations
d'ailleurs ne servent pas à grand-chose (j'avais vu une formation sql
sur un soft maison : au bout d'une semaine, elles avaient tout oublié).
La raison de cette formation était de ne pas se faire racketer par
l'informaticien.
- Il y a des tas de jeunes filles, jolies, très intelligentes, surdiplômées
et qui cherchent à manger. Tiens, j'ai une DEA Biologie si vous voulez.
Que peut-elle faire avec son DEA : rien.
Donc :
- Je vire la mule qui sert de secrétaire et je la remplace par la bête
de course.
- Je file la doc teX à ma DEA en lui demandant d'être opérationnelle
de manière rapide.
- Et je me retrouve avec une force vive de plus dans la boîte ! Au lieu
d'avoir un boulet.
- Et en plus, c'est moral ! Pensez à toutes ces brèles qui ont tant fait
chier les profs pendant leur CAP, BacPro et Bts à la con. Vengez-les !