Et tu as oublié le passage qui disait "sans s'emmerder", vu que
d'après ce que tu dis, j'ai la forte impression que si tu débarques
sur une machine inconnue sans ton .bashrc chéri sous le bras, tu
risques d'être quelque peu coincé... Je n'irai pas non plus pousser le
vice jusqu'à te mettre dans les pattes une machine sans bash...
Et tu as oublié le passage qui disait "sans s'emmerder", vu que
d'après ce que tu dis, j'ai la forte impression que si tu débarques
sur une machine inconnue sans ton .bashrc chéri sous le bras, tu
risques d'être quelque peu coincé... Je n'irai pas non plus pousser le
vice jusqu'à te mettre dans les pattes une machine sans bash...
Et tu as oublié le passage qui disait "sans s'emmerder", vu que
d'après ce que tu dis, j'ai la forte impression que si tu débarques
sur une machine inconnue sans ton .bashrc chéri sous le bras, tu
risques d'être quelque peu coincé... Je n'irai pas non plus pousser le
vice jusqu'à te mettre dans les pattes une machine sans bash...
La question est idiote,
vu qu'on peut tout faire avec chacun de ces OS.
A la rigueur, je peux te retourner la question: cite-moi quelque chose
que tu fais avec Linux x86 que je ne peux faire avec mon Mac.
La différence se fera au niveau de la simplicité avec laquelle on
arrivera au résultat, tout simplement. Par exemple faire en sorte
d'utiliser fvwm sur le Mac est possible, mais compliqué. A l'inverse,
l'ajout/suppression de programme est nettement plus simple sous Mac OS
X...
La question est idiote,
vu qu'on peut tout faire avec chacun de ces OS.
A la rigueur, je peux te retourner la question: cite-moi quelque chose
que tu fais avec Linux x86 que je ne peux faire avec mon Mac.
La différence se fera au niveau de la simplicité avec laquelle on
arrivera au résultat, tout simplement. Par exemple faire en sorte
d'utiliser fvwm sur le Mac est possible, mais compliqué. A l'inverse,
l'ajout/suppression de programme est nettement plus simple sous Mac OS
X...
La question est idiote,
vu qu'on peut tout faire avec chacun de ces OS.
A la rigueur, je peux te retourner la question: cite-moi quelque chose
que tu fais avec Linux x86 que je ne peux faire avec mon Mac.
La différence se fera au niveau de la simplicité avec laquelle on
arrivera au résultat, tout simplement. Par exemple faire en sorte
d'utiliser fvwm sur le Mac est possible, mais compliqué. A l'inverse,
l'ajout/suppression de programme est nettement plus simple sous Mac OS
X...
Question sérieuse : j'ai déjà demandé moultes fois à des macqueux
de ma connaissance de me donner un (ou plusieurs, mais déjà un ça
serait bien) exemple de truc utile que OS X permettrait et que je ne
pourrais pas faire sur mon Linux x86. J'attend toujours.
Question sérieuse : j'ai déjà demandé moultes fois à des macqueux
de ma connaissance de me donner un (ou plusieurs, mais déjà un ça
serait bien) exemple de truc utile que OS X permettrait et que je ne
pourrais pas faire sur mon Linux x86. J'attend toujours.
Question sérieuse : j'ai déjà demandé moultes fois à des macqueux
de ma connaissance de me donner un (ou plusieurs, mais déjà un ça
serait bien) exemple de truc utile que OS X permettrait et que je ne
pourrais pas faire sur mon Linux x86. J'attend toujours.
Jerome Lambert writes:La question est idiote,
Merci du compliment, mais non, la question est tout à fait pertinente
vu le discours fréquemment tenu par les macqueux (en gros « OS X sur
un Macintosh c'est vachement plus bien mieux que tout le reste mangez
en » ) . Comme mes potes macqueux sont des gens plutôt intelligents
et généralement bien informés, je suis tout ouvert à la suggestion.
Mais y'en a pas un qui soit foutu de me sortir un avantage *majeur*
d'OS X.
vu qu'on peut tout faire avec chacun de ces OS.
A la rigueur, je peux te retourner la question: cite-moi quelque chose
que tu fais avec Linux x86 que je ne peux faire avec mon Mac.
Mais moi je ne cherche pas à faire migrer qui que ce soit.
Enfin, si
un peu quand même, je fais toujours mon possible pour inciter mes
clients à prendre de l'Unix (Linux, AIX, Solaris, HP-UX ou autre)
plutôt que du windows, parce chaque windows que je dois supporter me
fait souffrir. Le jour ou un client me dira qu'il veut du Macintosh à
la place de windows, mais je lui baise les mains, les pieds, et je lui
fait un portage gratuitement.
La différence se fera au niveau de la simplicité avec laquelle on
arrivera au résultat, tout simplement. Par exemple faire en sorte
d'utiliser fvwm sur le Mac est possible, mais compliqué. A l'inverse,
l'ajout/suppression de programme est nettement plus simple sous Mac OS
X...
Mais dans quel monde on vit ? Des problèmes d'ajout ou de suppression
de programmes? Je cherche, je fouille ma mémoire et le seul qui me
revient ces dernières années c'est un client qui avait acheté un
logiciel nécessitant une clé pour l'installation, la dite clé ayant
été envoyée par fax et égarée, il a fallu naviguer entre un service
achats autiste et un service support de l'éditeur tout aussi non
coopératif. Et si, une autre fois, je voulais installer un soft et il
me manquait une centaine de megas.
Jerome Lambert <jerome.lambert.aretirer@swing.be> writes:
La question est idiote,
Merci du compliment, mais non, la question est tout à fait pertinente
vu le discours fréquemment tenu par les macqueux (en gros « OS X sur
un Macintosh c'est vachement plus bien mieux que tout le reste mangez
en » ) . Comme mes potes macqueux sont des gens plutôt intelligents
et généralement bien informés, je suis tout ouvert à la suggestion.
Mais y'en a pas un qui soit foutu de me sortir un avantage *majeur*
d'OS X.
vu qu'on peut tout faire avec chacun de ces OS.
A la rigueur, je peux te retourner la question: cite-moi quelque chose
que tu fais avec Linux x86 que je ne peux faire avec mon Mac.
Mais moi je ne cherche pas à faire migrer qui que ce soit.
Enfin, si
un peu quand même, je fais toujours mon possible pour inciter mes
clients à prendre de l'Unix (Linux, AIX, Solaris, HP-UX ou autre)
plutôt que du windows, parce chaque windows que je dois supporter me
fait souffrir. Le jour ou un client me dira qu'il veut du Macintosh à
la place de windows, mais je lui baise les mains, les pieds, et je lui
fait un portage gratuitement.
La différence se fera au niveau de la simplicité avec laquelle on
arrivera au résultat, tout simplement. Par exemple faire en sorte
d'utiliser fvwm sur le Mac est possible, mais compliqué. A l'inverse,
l'ajout/suppression de programme est nettement plus simple sous Mac OS
X...
Mais dans quel monde on vit ? Des problèmes d'ajout ou de suppression
de programmes? Je cherche, je fouille ma mémoire et le seul qui me
revient ces dernières années c'est un client qui avait acheté un
logiciel nécessitant une clé pour l'installation, la dite clé ayant
été envoyée par fax et égarée, il a fallu naviguer entre un service
achats autiste et un service support de l'éditeur tout aussi non
coopératif. Et si, une autre fois, je voulais installer un soft et il
me manquait une centaine de megas.
Jerome Lambert writes:La question est idiote,
Merci du compliment, mais non, la question est tout à fait pertinente
vu le discours fréquemment tenu par les macqueux (en gros « OS X sur
un Macintosh c'est vachement plus bien mieux que tout le reste mangez
en » ) . Comme mes potes macqueux sont des gens plutôt intelligents
et généralement bien informés, je suis tout ouvert à la suggestion.
Mais y'en a pas un qui soit foutu de me sortir un avantage *majeur*
d'OS X.
vu qu'on peut tout faire avec chacun de ces OS.
A la rigueur, je peux te retourner la question: cite-moi quelque chose
que tu fais avec Linux x86 que je ne peux faire avec mon Mac.
Mais moi je ne cherche pas à faire migrer qui que ce soit.
Enfin, si
un peu quand même, je fais toujours mon possible pour inciter mes
clients à prendre de l'Unix (Linux, AIX, Solaris, HP-UX ou autre)
plutôt que du windows, parce chaque windows que je dois supporter me
fait souffrir. Le jour ou un client me dira qu'il veut du Macintosh à
la place de windows, mais je lui baise les mains, les pieds, et je lui
fait un portage gratuitement.
La différence se fera au niveau de la simplicité avec laquelle on
arrivera au résultat, tout simplement. Par exemple faire en sorte
d'utiliser fvwm sur le Mac est possible, mais compliqué. A l'inverse,
l'ajout/suppression de programme est nettement plus simple sous Mac OS
X...
Mais dans quel monde on vit ? Des problèmes d'ajout ou de suppression
de programmes? Je cherche, je fouille ma mémoire et le seul qui me
revient ces dernières années c'est un client qui avait acheté un
logiciel nécessitant une clé pour l'installation, la dite clé ayant
été envoyée par fax et égarée, il a fallu naviguer entre un service
achats autiste et un service support de l'éditeur tout aussi non
coopératif. Et si, une autre fois, je voulais installer un soft et il
me manquait une centaine de megas.
Jerome Lambert writes:Et tu as oublié le passage qui disait "sans s'emmerder", vu que
d'après ce que tu dis, j'ai la forte impression que si tu débarques
sur une machine inconnue sans ton .bashrc chéri sous le bras, tu
risques d'être quelque peu coincé... Je n'irai pas non plus pousser le
vice jusqu'à te mettre dans les pattes une machine sans bash...
Merci de ne pas me prendre pour un demeuré s'il te plait. Tu vas
peut-être me prendre pour un gros prétentieux, mais je pense être
capable de me débrouiller sur à peu près tout ce qui existe et qui
ressemble à un Unix et pour des tâches classiques.
Et même si le shell est un ksh, un csh voire même un simple sh. Faire
un find, un ls ou un grep, lire une page de manuel ça ne m'a jamais
fait peur, contrairement à certaines monstrosités clickodromesques.
Jerome Lambert <jerome.lambert.aretirer@swing.be> writes:
Et tu as oublié le passage qui disait "sans s'emmerder", vu que
d'après ce que tu dis, j'ai la forte impression que si tu débarques
sur une machine inconnue sans ton .bashrc chéri sous le bras, tu
risques d'être quelque peu coincé... Je n'irai pas non plus pousser le
vice jusqu'à te mettre dans les pattes une machine sans bash...
Merci de ne pas me prendre pour un demeuré s'il te plait. Tu vas
peut-être me prendre pour un gros prétentieux, mais je pense être
capable de me débrouiller sur à peu près tout ce qui existe et qui
ressemble à un Unix et pour des tâches classiques.
Et même si le shell est un ksh, un csh voire même un simple sh. Faire
un find, un ls ou un grep, lire une page de manuel ça ne m'a jamais
fait peur, contrairement à certaines monstrosités clickodromesques.
Jerome Lambert writes:Et tu as oublié le passage qui disait "sans s'emmerder", vu que
d'après ce que tu dis, j'ai la forte impression que si tu débarques
sur une machine inconnue sans ton .bashrc chéri sous le bras, tu
risques d'être quelque peu coincé... Je n'irai pas non plus pousser le
vice jusqu'à te mettre dans les pattes une machine sans bash...
Merci de ne pas me prendre pour un demeuré s'il te plait. Tu vas
peut-être me prendre pour un gros prétentieux, mais je pense être
capable de me débrouiller sur à peu près tout ce qui existe et qui
ressemble à un Unix et pour des tâches classiques.
Et même si le shell est un ksh, un csh voire même un simple sh. Faire
un find, un ls ou un grep, lire une page de manuel ça ne m'a jamais
fait peur, contrairement à certaines monstrosités clickodromesques.
Je dirais que l'avantage majeur d'OS X est la *simplicité* pour
implémenter et gérer les différentes technologies mises à disposition,
c'est tout.
Une chose toute simple, qui m'a toujours tilté sur les OS Apple, est
la gestion des périphériques amovibles: on branche, et l'icône du
média apparait automatiquement sur le bureau. Et pour
démonter/éjecter, il suffit de déplacer l'icône sur la corbeille qui
s'est entre-temps transformé en symbole "Eject".
Difficile de faire plus simple: pas besoin de trifouiller dans le
poste de travail à hésiter entre le D: et le E:,ou d'aller éjecter via
l'icône de la barre des tâches (et encore faut-il savoir quoi éjecter,
entre le "Volume générique E:", le "Péripérique de stockage de masse
USB" ou encore le "<référence du disque> - USB Device")
De même, pas besoin d'aller farfouiller dans /mnt/ ou dans /media/,
quand ce n'est pas faire le montage/démontage à la main (même si c'est
de plus en plus rare), ni dégainer (en root!) lsof parce qu'un
processus à la con style PAM a posé un verrou et empêche le démontage.
Tout celà ne se pose pas sous Mac OS X, et ce n'est d'ailleurs pas un
hasard si les distributions "grand public" essayent de copier ce
comportement...
Je dirais que l'avantage majeur d'OS X est la *simplicité* pour
implémenter et gérer les différentes technologies mises à disposition,
c'est tout.
Une chose toute simple, qui m'a toujours tilté sur les OS Apple, est
la gestion des périphériques amovibles: on branche, et l'icône du
média apparait automatiquement sur le bureau. Et pour
démonter/éjecter, il suffit de déplacer l'icône sur la corbeille qui
s'est entre-temps transformé en symbole "Eject".
Difficile de faire plus simple: pas besoin de trifouiller dans le
poste de travail à hésiter entre le D: et le E:,ou d'aller éjecter via
l'icône de la barre des tâches (et encore faut-il savoir quoi éjecter,
entre le "Volume générique E:", le "Péripérique de stockage de masse
USB" ou encore le "<référence du disque> - USB Device")
De même, pas besoin d'aller farfouiller dans /mnt/ ou dans /media/,
quand ce n'est pas faire le montage/démontage à la main (même si c'est
de plus en plus rare), ni dégainer (en root!) lsof parce qu'un
processus à la con style PAM a posé un verrou et empêche le démontage.
Tout celà ne se pose pas sous Mac OS X, et ce n'est d'ailleurs pas un
hasard si les distributions "grand public" essayent de copier ce
comportement...
Je dirais que l'avantage majeur d'OS X est la *simplicité* pour
implémenter et gérer les différentes technologies mises à disposition,
c'est tout.
Une chose toute simple, qui m'a toujours tilté sur les OS Apple, est
la gestion des périphériques amovibles: on branche, et l'icône du
média apparait automatiquement sur le bureau. Et pour
démonter/éjecter, il suffit de déplacer l'icône sur la corbeille qui
s'est entre-temps transformé en symbole "Eject".
Difficile de faire plus simple: pas besoin de trifouiller dans le
poste de travail à hésiter entre le D: et le E:,ou d'aller éjecter via
l'icône de la barre des tâches (et encore faut-il savoir quoi éjecter,
entre le "Volume générique E:", le "Péripérique de stockage de masse
USB" ou encore le "<référence du disque> - USB Device")
De même, pas besoin d'aller farfouiller dans /mnt/ ou dans /media/,
quand ce n'est pas faire le montage/démontage à la main (même si c'est
de plus en plus rare), ni dégainer (en root!) lsof parce qu'un
processus à la con style PAM a posé un verrou et empêche le démontage.
Tout celà ne se pose pas sous Mac OS X, et ce n'est d'ailleurs pas un
hasard si les distributions "grand public" essayent de copier ce
comportement...
J'ai un PC sous Linux et un Mac sous Linux et OS X. Je suis parfaitement
content des deux. OS X apporte un confort genre "bien fini bien léché"
que n'a pas tout à fait Linux (ni windows, d'ailleurs, ni aucun autre OS
à ma connaissance). Linux est bien sûr plus pratique pour la bidouille,
mais demande un peu plus de travail de maintenance (bon évidemment c'est
une Slackware, pas une Mandriva, ça peut aussi jouer).
Sinon il y a des trucs utiles très chers qui ne marchent bien que sous OS
X : Final Cut Pro, Logic Audio, Photoshop, InDesign...
Bien sûr il existe des possibilités d'approcher ces logiciels sous Linux
(GIMP est vraiment proche de PS je trouve). Par exemple autant je trouve
que Kino est plutôt mieux que iMovie (car bien plus puissant!), autant il
n'y a rien pour concurrencer Final Cut Pro (Cinelerra n'a jamais été
très stable et l'interface est dégueulasse). Ça ne signifie pas que ça
n'arrivera pas, bien sûr...
J'ai un PC sous Linux et un Mac sous Linux et OS X. Je suis parfaitement
content des deux. OS X apporte un confort genre "bien fini bien léché"
que n'a pas tout à fait Linux (ni windows, d'ailleurs, ni aucun autre OS
à ma connaissance). Linux est bien sûr plus pratique pour la bidouille,
mais demande un peu plus de travail de maintenance (bon évidemment c'est
une Slackware, pas une Mandriva, ça peut aussi jouer).
Sinon il y a des trucs utiles très chers qui ne marchent bien que sous OS
X : Final Cut Pro, Logic Audio, Photoshop, InDesign...
Bien sûr il existe des possibilités d'approcher ces logiciels sous Linux
(GIMP est vraiment proche de PS je trouve). Par exemple autant je trouve
que Kino est plutôt mieux que iMovie (car bien plus puissant!), autant il
n'y a rien pour concurrencer Final Cut Pro (Cinelerra n'a jamais été
très stable et l'interface est dégueulasse). Ça ne signifie pas que ça
n'arrivera pas, bien sûr...
J'ai un PC sous Linux et un Mac sous Linux et OS X. Je suis parfaitement
content des deux. OS X apporte un confort genre "bien fini bien léché"
que n'a pas tout à fait Linux (ni windows, d'ailleurs, ni aucun autre OS
à ma connaissance). Linux est bien sûr plus pratique pour la bidouille,
mais demande un peu plus de travail de maintenance (bon évidemment c'est
une Slackware, pas une Mandriva, ça peut aussi jouer).
Sinon il y a des trucs utiles très chers qui ne marchent bien que sous OS
X : Final Cut Pro, Logic Audio, Photoshop, InDesign...
Bien sûr il existe des possibilités d'approcher ces logiciels sous Linux
(GIMP est vraiment proche de PS je trouve). Par exemple autant je trouve
que Kino est plutôt mieux que iMovie (car bien plus puissant!), autant il
n'y a rien pour concurrencer Final Cut Pro (Cinelerra n'a jamais été
très stable et l'interface est dégueulasse). Ça ne signifie pas que ça
n'arrivera pas, bien sûr...
Jerome Lambert writes:Je dirais que l'avantage majeur d'OS X est la *simplicité* pour
implémenter et gérer les différentes technologies mises à disposition,
c'est tout.
Un exemple *précis* please ?
Une chose toute simple, qui m'a toujours tilté sur les OS Apple, est
la gestion des périphériques amovibles: on branche, et l'icône du
média apparait automatiquement sur le bureau. Et pour
démonter/éjecter, il suffit de déplacer l'icône sur la corbeille qui
s'est entre-temps transformé en symbole "Eject".
Difficile de faire plus simple: pas besoin de trifouiller dans le
poste de travail à hésiter entre le D: et le E:,ou d'aller éjecter via
l'icône de la barre des tâches (et encore faut-il savoir quoi éjecter,
entre le "Volume générique E:", le "Péripérique de stockage de masse
USB" ou encore le "<référence du disque> - USB Device")
De même, pas besoin d'aller farfouiller dans /mnt/ ou dans /media/,
quand ce n'est pas faire le montage/démontage à la main (même si c'est
de plus en plus rare), ni dégainer (en root!) lsof parce qu'un
processus à la con style PAM a posé un verrou et empêche le démontage.
Tout celà ne se pose pas sous Mac OS X, et ce n'est d'ailleurs pas un
hasard si les distributions "grand public" essayent de copier ce
comportement...
Je sais pas si tu connais le sketch d'Anne Roumanof dans lequel elle
parle de son expérience avec ordinateur et imprimante. A un moment
elle dit un truc du style « quand j'ai acheté ma machine à laver, j'ai
rien eu à faire pour dire au mur que la machiné était branchée » . Et
bien, je suis peut-être un gros con élististe, mais franchement, un
système ramené au niveau d'Anne Roumanof, je n'en veux pas.
Jerome Lambert <jerome.lambert.aretirer@swing.be> writes:
Je dirais que l'avantage majeur d'OS X est la *simplicité* pour
implémenter et gérer les différentes technologies mises à disposition,
c'est tout.
Un exemple *précis* please ?
Une chose toute simple, qui m'a toujours tilté sur les OS Apple, est
la gestion des périphériques amovibles: on branche, et l'icône du
média apparait automatiquement sur le bureau. Et pour
démonter/éjecter, il suffit de déplacer l'icône sur la corbeille qui
s'est entre-temps transformé en symbole "Eject".
Difficile de faire plus simple: pas besoin de trifouiller dans le
poste de travail à hésiter entre le D: et le E:,ou d'aller éjecter via
l'icône de la barre des tâches (et encore faut-il savoir quoi éjecter,
entre le "Volume générique E:", le "Péripérique de stockage de masse
USB" ou encore le "<référence du disque> - USB Device")
De même, pas besoin d'aller farfouiller dans /mnt/ ou dans /media/,
quand ce n'est pas faire le montage/démontage à la main (même si c'est
de plus en plus rare), ni dégainer (en root!) lsof parce qu'un
processus à la con style PAM a posé un verrou et empêche le démontage.
Tout celà ne se pose pas sous Mac OS X, et ce n'est d'ailleurs pas un
hasard si les distributions "grand public" essayent de copier ce
comportement...
Je sais pas si tu connais le sketch d'Anne Roumanof dans lequel elle
parle de son expérience avec ordinateur et imprimante. A un moment
elle dit un truc du style « quand j'ai acheté ma machine à laver, j'ai
rien eu à faire pour dire au mur que la machiné était branchée » . Et
bien, je suis peut-être un gros con élististe, mais franchement, un
système ramené au niveau d'Anne Roumanof, je n'en veux pas.
Jerome Lambert writes:Je dirais que l'avantage majeur d'OS X est la *simplicité* pour
implémenter et gérer les différentes technologies mises à disposition,
c'est tout.
Un exemple *précis* please ?
Une chose toute simple, qui m'a toujours tilté sur les OS Apple, est
la gestion des périphériques amovibles: on branche, et l'icône du
média apparait automatiquement sur le bureau. Et pour
démonter/éjecter, il suffit de déplacer l'icône sur la corbeille qui
s'est entre-temps transformé en symbole "Eject".
Difficile de faire plus simple: pas besoin de trifouiller dans le
poste de travail à hésiter entre le D: et le E:,ou d'aller éjecter via
l'icône de la barre des tâches (et encore faut-il savoir quoi éjecter,
entre le "Volume générique E:", le "Péripérique de stockage de masse
USB" ou encore le "<référence du disque> - USB Device")
De même, pas besoin d'aller farfouiller dans /mnt/ ou dans /media/,
quand ce n'est pas faire le montage/démontage à la main (même si c'est
de plus en plus rare), ni dégainer (en root!) lsof parce qu'un
processus à la con style PAM a posé un verrou et empêche le démontage.
Tout celà ne se pose pas sous Mac OS X, et ce n'est d'ailleurs pas un
hasard si les distributions "grand public" essayent de copier ce
comportement...
Je sais pas si tu connais le sketch d'Anne Roumanof dans lequel elle
parle de son expérience avec ordinateur et imprimante. A un moment
elle dit un truc du style « quand j'ai acheté ma machine à laver, j'ai
rien eu à faire pour dire au mur que la machiné était branchée » . Et
bien, je suis peut-être un gros con élististe, mais franchement, un
système ramené au niveau d'Anne Roumanof, je n'en veux pas.
Justement, tout est une question de *simplicité*. Sans vouloir faire
du luc2, il est plus facile et intuitif *pour un non informaticien* de
chercher dans des menus, surtout quand ceux-ci permettent d'accéder
aux tâches les plus courantes (les menus "thématiques" de Gnome/KDE
sont des modèles du genre, tout comme l'arborescence de MacOS).
Par contre, pour un professionnel de l'informatique, la donne est
différente, mais tu conviendras ce n'est pas vraiment le public-cible
de MacOS...
Justement, tout est une question de *simplicité*. Sans vouloir faire
du luc2, il est plus facile et intuitif *pour un non informaticien* de
chercher dans des menus, surtout quand ceux-ci permettent d'accéder
aux tâches les plus courantes (les menus "thématiques" de Gnome/KDE
sont des modèles du genre, tout comme l'arborescence de MacOS).
Par contre, pour un professionnel de l'informatique, la donne est
différente, mais tu conviendras ce n'est pas vraiment le public-cible
de MacOS...
Justement, tout est une question de *simplicité*. Sans vouloir faire
du luc2, il est plus facile et intuitif *pour un non informaticien* de
chercher dans des menus, surtout quand ceux-ci permettent d'accéder
aux tâches les plus courantes (les menus "thématiques" de Gnome/KDE
sont des modèles du genre, tout comme l'arborescence de MacOS).
Par contre, pour un professionnel de l'informatique, la donne est
différente, mais tu conviendras ce n'est pas vraiment le public-cible
de MacOS...
Jerome Lambert writes:Justement, tout est une question de *simplicité*. Sans vouloir faire
du luc2, il est plus facile et intuitif *pour un non informaticien* de
chercher dans des menus, surtout quand ceux-ci permettent d'accéder
aux tâches les plus courantes (les menus "thématiques" de Gnome/KDE
sont des modèles du genre, tout comme l'arborescence de MacOS).
Là encore, je suis un connard élitiste, mais le non informaticien qui
veut utiliser un ordinateur, il faudrait qu'il suive une formation.
Y'a bien des auto-écoles, pourquoi pas des ordino-écoles ?
Jerome Lambert <jerome.lambert.aretirer@swing.be> writes:
Justement, tout est une question de *simplicité*. Sans vouloir faire
du luc2, il est plus facile et intuitif *pour un non informaticien* de
chercher dans des menus, surtout quand ceux-ci permettent d'accéder
aux tâches les plus courantes (les menus "thématiques" de Gnome/KDE
sont des modèles du genre, tout comme l'arborescence de MacOS).
Là encore, je suis un connard élitiste, mais le non informaticien qui
veut utiliser un ordinateur, il faudrait qu'il suive une formation.
Y'a bien des auto-écoles, pourquoi pas des ordino-écoles ?
Jerome Lambert writes:Justement, tout est une question de *simplicité*. Sans vouloir faire
du luc2, il est plus facile et intuitif *pour un non informaticien* de
chercher dans des menus, surtout quand ceux-ci permettent d'accéder
aux tâches les plus courantes (les menus "thématiques" de Gnome/KDE
sont des modèles du genre, tout comme l'arborescence de MacOS).
Là encore, je suis un connard élitiste, mais le non informaticien qui
veut utiliser un ordinateur, il faudrait qu'il suive une formation.
Y'a bien des auto-écoles, pourquoi pas des ordino-écoles ?