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Ho non!

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iDan
http://www.apple.com/ca/

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Anne G
Le 08/10/11 17:15, La Bete des Vosges (Francis Chartier) a écrit :
Le Sat, 08 Oct 2011 16:47:57 -0600, Anne G a écrit :

Question PAO, il y avait Mac, et rien d'autre. Ou peut-être des chos es
encore plus chères, utilisées dans les imprimeries.



Typique du dicours élitiste du macounet.
On pouvait, et on peut toujours faire de la PAO avec autre chose qu'un
mac, sans aucun problème, à part peut-être l'esprit obtus des gen s du
milieu.



Et la gestion des polices...
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La Bete des Vosges (Francis Chartier)
Le Sat, 08 Oct 2011 17:17:11 -0600, Anne G a écrit :


Et la gestion des polices...



l'Adobe font Collection et ATM existait aussi sous Windows, et on avait
des utilitaires pour downloader les fontes sur la flasheuses, etc.
Je me revois utiliser PageMaker, Quark XPress, Ventua et Corel sous
windows en 92 je pense. Ou début 93, je ne suis pas sûr, c'est loin.

C'était peut-être moins facile, il fallait bricoler par moment mais ça
fonctionnait, et on pouvait tout à fait produire, et pour moins cher que
sur Mac.

J'ai composé pendant plus d'un an les annales de Mathématique des grandes
écoles publiées par Vuibert, sous LaTeX sur PC. Vu l'exigence du point de
vue typographique, si la gestion des polices avait été si calamiteuse, ça
ne l'aurait pas fait.

--
La Bête des Vosges
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Anne G
Le 08/10/11 17:27, La Bete des Vosges (Francis Chartier) a écrit :
Le Sat, 08 Oct 2011 17:17:11 -0600, Anne G a écrit :

Et la gestion des polices...



l'Adobe font Collection et ATM existait aussi sous Windows, et on avait
des utilitaires pour downloader les fontes sur la flasheuses, etc.
Je me revois utiliser PageMaker, Quark XPress, Ventua et Corel sous
windows en 92 je pense. Ou début 93, je ne suis pas sûr, c'est loin .



Oui. Entre-temps, les graphistes étaient déjà sur Mac depuis quelqu es
années.

C'était peut-être moins facile, il fallait bricoler par moment mais ça
fonctionnait, et on pouvait tout à fait produire, et pour moins cher que
sur Mac.



Les 9 000 $ que m'avaient coûté mon Mac+ et ses accessoires (scanner,
laser, DD) m'ont rapporté 10X plus dans la même année.

Je n'avais pas vraiment le temps d'attendre 3 ans que Windows gère les
polices PS.

Après ?

Après, je n'avais pas envie de racheter mes logiciels pour une autre
plateforme.

J'ai composé pendant plus d'un an les annales de Mathématique des g randes
écoles publiées par Vuibert, sous LaTeX sur PC. Vu l'exigence du po int de
vue typographique, si la gestion des polices avait été si calamiteu se, ça
ne l'aurait pas fait.



Je parlais de gestion genre Suitcase.

D'autre part, l'édition de livres n'a jamais vraiment eu besoin de la
PAO. La photocompo existait depuis des lustres. C'est d'ailleurs sur les
frais de photocompo que j'ai essentiellement économisé (des milliers de
$) les premières années.
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J.P
In article ,
pehache wrote:

A partir de Windows 3.1 MS


merci IBM
et avec Windows NT


merci DEC

--
Jean-Pierre
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J.P
In article <1k8slyb.b3k0k9kpbtkqN%,
(Gilles Aurejac) wrote:

pehache wrote:

> La principale est sans doute que Apple a fait le choix de se
> positionner exclusivement sur le haut de gamme, ce qui représente
> forcément un "faible" volume en nombre de machines, mais avec de
> grosses marges.
>
> A l'époque des premiers Mac et jusqu'au milieu des années 90, Apple
> aurait pu choisir de s'attaquer au marché de masse et aurait eu de
> bonnes chance alors de tailler des croupières à MS. Maintenant ce ne
> serait plus possible je pense.

Désolé, mais tu parles vraiment de choses que tu ne connais pas..

dire qu'Apple a positionné le Mac "exclusivement sur du haut de gamme"
c'est une grossière erreur...


...

Ça fait du bien de lire de temps en temps quelqu'un qui sait de quoi il
parle.
Merci Gilles.

--
Jean-Pierre
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J.P
In article ,
pehache wrote:

Typiquement le Classic est l'exemple type de l'incohérence dont je
parle. Je me souviens parfaitement de ma réaction lors de l'annonce du
Mac Classic : "ils tournent en rond, là...", je ne voyais ce qui pouvait
motiver pour l'achat de cette machine à part "je veux absolument un Mac
et c'est le seul que je peux me payer".



C'est la machine qui nous a permis d'équiper à un coût raisonnable une
salle info en réseau (LocalTalk et donc sans infrastructure Ethernet,
hors de prix) avec imprimante laser derrière, la première de ce type là
à l'université de Poitiers, il me semble.

--
Jean-Pierre
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J.P
In article ,
pehache wrote:

Le 08/10/11 23:17, Anne a écrit :
>>
>> Emprunter de l'argent pour acheter des biens de consommation, on voit où
>> ça mène.
>
> Quand je vois le temps que ça m'a permis de gagner dans mon boulot, moi,
> je dis que c'était un investissement plutôt rentable.
>

Je peux me tromper mais j'ai cru comprendre que tu étais prof, ou en
tous cas dans le monde de l'éducation. Donc ton salaire ne dépendait pas
du temps que tu pouvais gagner ou perdre dans ton boulot. Donc l'achat
d'un ordi sur tes derniers personnels ne peut pas être qualifié de
"rentable" : que tu dises que cet investissement t'a servi, que tu as
(peut-être) eu plus de temps libre grâce à lui, ou que tu as pu faire
plus de choses, c'est fort possible, mais en aucun cas ça ne peut
s'exprimer en un "rentabilité"



Tu me fais marrer avec ton discours "prof" "rentable".
Pour avoir fréquenté quelque peu l'industrie, la rentabilité de
l'informatique dans ce contexte m'a souvent paru discutable.
"Rentabilité" pour les "vrais" informaticiens" qui "travaillaient" pour
faire marcher le bouzin, c'est sûr. Pour l'entreprise, beaucoup moins.

En ce qui concerne les profs et le Mac, Mac+Hypercard étaient bien plus
"rentables" pédagogiquement que les bouzes Windows qu'on a vu fleurir de
partout quand les politiques ont succombé aux sirènes de Mr Bill, l'un
des plus grands prédateurs dans nos écoles.

Quant à " ... ton salaire ne dépendait pas du temps que tu pouvais
gagner ou perdre dans ton boulot" tu m'expliqueras où ce modèle de
rémunération existe.
Moi j'en connais un: la vendange au Chili, où le ramasseur reçoit un
jeton pour chaque caisse de raisin, pleine, ramassée.
Le jour où les informaticiens seront payés en fonction de je ne sais
quel critère objectif de productivité apportée à l'utilsateur, on pourra
en reparler.

--
Jean-Pierre
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J.P
In article <4e8f83a3$,
Anne G wrote:

Ce qu'on a principalement reproché au Mac, c'est l'absence de jeux...



Oui, ça empêchait les cadres de "travailler" ...

Les reflets, dans la vitre derrière le bureau, de je ne sais quel jeu de
cartes livré en standard avec Windows ... terrible !

--
Jean-Pierre
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usenet
J.P wrote:

Le jour où les informaticiens seront payés en fonction de je ne sais
quel critère objectif de productivité apportée à l'utilsateur, on pourra
en reparler.



Il y a une anecdote sympa à ce sujet ou Andy Hertzfeld raconte que les
managers d'Apple voulaient mesurer la productivité des développeurs à
partir du nombre de lignes de codes écrites.
Un jour Bill Atkinson à écrit sur sa fiche (-2000), parce qu'il avait
optimisé du code Quickdraw qui lui avait permis de réduire globalement
le code :-).
A partir de cemoment là, plus personne ne lui a demandé de remplir une
fiche...


<http://www.folklore.org/StoryView.py?project=Macintosh&story=Negative_2
000_Lines_Of_Code.txt>

--
Florian
Alle Wahrheit durchläuft drei Stufen. Zuerst wird sie lächerlich
gemacht oder verzerrt. Dann wird sie bekämpft. Und schließlich wird
sie als selbstverständlich angenommen. - Arthur Schopenhauer
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J.P
In article <1k8tn0l.1basqef1c11b3lN%,
(Xavier) wrote:

pehache wrote:

> Aussi, oui, mais pas que. Les grands logiciel de compta, par exemple,
> étaient sur PC.

Oui, mais sus DOS. Les comptables ne voulaient pas entendre parler de
Windows,



Il n'y avait pas que les comptables !

On utilisait un logiciel d'acquisition pour l'électrophysiologie venu de
Californie (pClamp). Les gurus de la Silicon Valley ont mis deux ans
pour le passer sous Windows et c'était tellement mauvais qu'on a attendu
deux ans de plus pour quitter la version DOS !
Windows et le temps réel ne faisaient pas bon ménage. Ce fût longtemps
DOS et assembleur.

--
Jean-Pierre