Dans <news:48439b13$0$23875$, Albert ARIBAUDl'article de lOMS (la seule base externe sur le sujet que nous
exploitopns pour cette discussion) dit une chose puis son contraire.
il n'est pas sérieux.
Ton affirmation est vague : on ne voit pas bien quelle chose et son
contraire l'article dit. Peux-tu préciser ?
d'un coté il n'y a pas de lien avec le CEM, de l'autre,
l'ypersensibilité au CEM est bien reconue.
quant à sa date (2005), ce n'est pas vraiment rescent par rapport à
l'utilisation du wifi par le grand publique.
La nocivité du Wifi tient à sa nature, et sa nature était la même en
2005 qu'en 2008, ergo les conclusions des études de 2005 restent
valables ;
en 2004 personne ou presque n'utilisait le wifi. aujourd'hui il y en a
partout.
l'apparition des troubles dans le grand publique ne peut donc pas dater
de 2004.
à moins que d'autres études aient été publiée depuis, auquel cas, je
viens de le dire, je suis tout à fait ouvert à leur lecture. Où
sont-elles ?
non justement il n'y en a pas à ma connaissance. c'est bien domage.
c'est probablement dû au manque de recul.
*pour moi* la cause des pb
de ma fille sont clairement liés à l'utilisation d'un routeur wifi
dans sa chambre (test fait à trois reprise).
Lié, oui. Par un lien de causalité, non.
c'est *ton* point de vue.
t'es balaise pour dire ça !
moi au moins j'ai été témoin des faits. et pourtant je montre un minimum
de prudence quand à l'explication.
en l'état actuel des
connaissances il n'y a pas pour l'instant d'explication satisfaisante
à ce fait. *pour toi* non.
Euh... Je dis comme toi qu'il n'y a pas d'explication satisfaisante au
cas de ta fille.
ou au cas d'HSEM en général.
Dans <news:48439b13$0$23875$426a74cc@news.free.fr>, Albert ARIBAUD
l'article de lOMS (la seule base externe sur le sujet que nous
exploitopns pour cette discussion) dit une chose puis son contraire.
il n'est pas sérieux.
Ton affirmation est vague : on ne voit pas bien quelle chose et son
contraire l'article dit. Peux-tu préciser ?
d'un coté il n'y a pas de lien avec le CEM, de l'autre,
l'ypersensibilité au CEM est bien reconue.
quant à sa date (2005), ce n'est pas vraiment rescent par rapport à
l'utilisation du wifi par le grand publique.
La nocivité du Wifi tient à sa nature, et sa nature était la même en
2005 qu'en 2008, ergo les conclusions des études de 2005 restent
valables ;
en 2004 personne ou presque n'utilisait le wifi. aujourd'hui il y en a
partout.
l'apparition des troubles dans le grand publique ne peut donc pas dater
de 2004.
à moins que d'autres études aient été publiée depuis, auquel cas, je
viens de le dire, je suis tout à fait ouvert à leur lecture. Où
sont-elles ?
non justement il n'y en a pas à ma connaissance. c'est bien domage.
c'est probablement dû au manque de recul.
*pour moi* la cause des pb
de ma fille sont clairement liés à l'utilisation d'un routeur wifi
dans sa chambre (test fait à trois reprise).
Lié, oui. Par un lien de causalité, non.
c'est *ton* point de vue.
t'es balaise pour dire ça !
moi au moins j'ai été témoin des faits. et pourtant je montre un minimum
de prudence quand à l'explication.
en l'état actuel des
connaissances il n'y a pas pour l'instant d'explication satisfaisante
à ce fait. *pour toi* non.
Euh... Je dis comme toi qu'il n'y a pas d'explication satisfaisante au
cas de ta fille.
ou au cas d'HSEM en général.
Dans <news:48439b13$0$23875$, Albert ARIBAUDl'article de lOMS (la seule base externe sur le sujet que nous
exploitopns pour cette discussion) dit une chose puis son contraire.
il n'est pas sérieux.
Ton affirmation est vague : on ne voit pas bien quelle chose et son
contraire l'article dit. Peux-tu préciser ?
d'un coté il n'y a pas de lien avec le CEM, de l'autre,
l'ypersensibilité au CEM est bien reconue.
quant à sa date (2005), ce n'est pas vraiment rescent par rapport à
l'utilisation du wifi par le grand publique.
La nocivité du Wifi tient à sa nature, et sa nature était la même en
2005 qu'en 2008, ergo les conclusions des études de 2005 restent
valables ;
en 2004 personne ou presque n'utilisait le wifi. aujourd'hui il y en a
partout.
l'apparition des troubles dans le grand publique ne peut donc pas dater
de 2004.
à moins que d'autres études aient été publiée depuis, auquel cas, je
viens de le dire, je suis tout à fait ouvert à leur lecture. Où
sont-elles ?
non justement il n'y en a pas à ma connaissance. c'est bien domage.
c'est probablement dû au manque de recul.
*pour moi* la cause des pb
de ma fille sont clairement liés à l'utilisation d'un routeur wifi
dans sa chambre (test fait à trois reprise).
Lié, oui. Par un lien de causalité, non.
c'est *ton* point de vue.
t'es balaise pour dire ça !
moi au moins j'ai été témoin des faits. et pourtant je montre un minimum
de prudence quand à l'explication.
en l'état actuel des
connaissances il n'y a pas pour l'instant d'explication satisfaisante
à ce fait. *pour toi* non.
Euh... Je dis comme toi qu'il n'y a pas d'explication satisfaisante au
cas de ta fille.
ou au cas d'HSEM en général.
Dans <news:4843c3bf$0$11139$, Albert ARIBAUD(...)
et selon toi quel est la valeur à donner à l'adoption du moratoires sur
le Wi-Fi dans les bibliothèques de la ville de Paris et de la
Bibliothèque nationale de France.
Dans <news:4843c3bf$0$11139$426a74cc@news.free.fr>, Albert ARIBAUD
(...)
et selon toi quel est la valeur à donner à l'adoption du moratoires sur
le Wi-Fi dans les bibliothèques de la ville de Paris et de la
Bibliothèque nationale de France.
Dans <news:4843c3bf$0$11139$, Albert ARIBAUD(...)
et selon toi quel est la valeur à donner à l'adoption du moratoires sur
le Wi-Fi dans les bibliothèques de la ville de Paris et de la
Bibliothèque nationale de France.
Dans <news:4843dbcd$0$7614$, Albert ARIBAUD(...)
et selon toi quel est la valeur à donner à l'adoption du moratoires
sur le Wi-Fi dans les bibliothèques de la ville de Paris et de la
Bibliothèque nationale de France.
Scientifique ? aucune.
peux tu développer ?
Dans <news:4843dbcd$0$7614$426a34cc@news.free.fr>, Albert ARIBAUD
(...)
et selon toi quel est la valeur à donner à l'adoption du moratoires
sur le Wi-Fi dans les bibliothèques de la ville de Paris et de la
Bibliothèque nationale de France.
Scientifique ? aucune.
peux tu développer ?
Dans <news:4843dbcd$0$7614$, Albert ARIBAUD(...)
et selon toi quel est la valeur à donner à l'adoption du moratoires
sur le Wi-Fi dans les bibliothèques de la ville de Paris et de la
Bibliothèque nationale de France.
Scientifique ? aucune.
peux tu développer ?
Dans <news:4843e64d$0$7614$, Albert ARIBAUDet selon toi quel est la valeur à donner à l'adoption du moratoires
sur le Wi-Fi dans les bibliothèques de la ville de Paris et de la
Bibliothèque nationale de France.
Scientifique ? aucune.
peux tu développer ?
Que ces moratoires sont dictés par de nombreux facteurs mais pars par
le résultat d'une expérimentation scientifique ayant démontré un lien
de causalité entre la présence de rayonnements Wifi dans les lieux en
question et symptômes dont il a été fait état.
De ton côté, peux-tu développer les conclusions que tu tires de ces
moratoires ?
pour moi c'est la simple application du principe de précaution en
attendant que la science nous éclaire un peu plus. reste à vérifier la
véracité de l'expression (que je déteste) : "il n'y a pas de fumée sans
feu".
(on n'a pas fini, manifestement.)
:-)
Dans <news:4843e64d$0$7614$426a34cc@news.free.fr>, Albert ARIBAUD
et selon toi quel est la valeur à donner à l'adoption du moratoires
sur le Wi-Fi dans les bibliothèques de la ville de Paris et de la
Bibliothèque nationale de France.
Scientifique ? aucune.
peux tu développer ?
Que ces moratoires sont dictés par de nombreux facteurs mais pars par
le résultat d'une expérimentation scientifique ayant démontré un lien
de causalité entre la présence de rayonnements Wifi dans les lieux en
question et symptômes dont il a été fait état.
De ton côté, peux-tu développer les conclusions que tu tires de ces
moratoires ?
pour moi c'est la simple application du principe de précaution en
attendant que la science nous éclaire un peu plus. reste à vérifier la
véracité de l'expression (que je déteste) : "il n'y a pas de fumée sans
feu".
(on n'a pas fini, manifestement.)
:-)
Dans <news:4843e64d$0$7614$, Albert ARIBAUDet selon toi quel est la valeur à donner à l'adoption du moratoires
sur le Wi-Fi dans les bibliothèques de la ville de Paris et de la
Bibliothèque nationale de France.
Scientifique ? aucune.
peux tu développer ?
Que ces moratoires sont dictés par de nombreux facteurs mais pars par
le résultat d'une expérimentation scientifique ayant démontré un lien
de causalité entre la présence de rayonnements Wifi dans les lieux en
question et symptômes dont il a été fait état.
De ton côté, peux-tu développer les conclusions que tu tires de ces
moratoires ?
pour moi c'est la simple application du principe de précaution en
attendant que la science nous éclaire un peu plus. reste à vérifier la
véracité de l'expression (que je déteste) : "il n'y a pas de fumée sans
feu".
(on n'a pas fini, manifestement.)
:-)
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news: 48440e94$0$17081$Dans <news:4843e64d$0$7614$, Albert ARIBAUD
--
Albert.
vos HS complet qui durent des jours vont stopper quand !!!
J'aime bien les types comme toi qui donne des leçons mais qui se
conduisent encore pire que des cons
"Albert ARIBAUD" <albert.aribaud@free.fr> a écrit dans le message de
news: 48440e94$0$17081$426a34cc@news.free.fr...
Dans <news:4843e64d$0$7614$426a34cc@news.free.fr>, Albert ARIBAUD
--
Albert.
vos HS complet qui durent des jours vont stopper quand !!!
J'aime bien les types comme toi qui donne des leçons mais qui se
conduisent encore pire que des cons
"Albert ARIBAUD" a écrit dans le message de
news: 48440e94$0$17081$Dans <news:4843e64d$0$7614$, Albert ARIBAUD
--
Albert.
vos HS complet qui durent des jours vont stopper quand !!!
J'aime bien les types comme toi qui donne des leçons mais qui se
conduisent encore pire que des cons
Et comme, pour ma part, je me veux objectif, je penche du côté de la
démonstration objective. A l'heure actuelle, cette démonstration
conclut à l'absence de lien. Si une démonstration contraire,
objective, existe, alors je la prendrai en compte. Jusque là, la HSEM
n'est objectivement pas liée aux ondes EM.
Quid postulats ?
Là, je ne suis pas ce que tu veux dire.
Je m'en doutais un peu...
Je complète ma réponse.
Ce qui m'inquiète le + dans cette "info" de l'OMS c'est cette logique
linéaire qui, passant de la démonstration : 'La majorité de ces études
indique que les individus se plaignant de HSEM sont incapables de
détecter plus précisément une exposition à des CEM que des individus
ordinaires.'
en arrive à conseiller à l'intention des médecins de visiter : -
lumière, son, ergonomie, qualité de l'air, psy... --> avec quid des
EM...
Se basant sur cette étude, et dans le cas de Alf92, un médecin aurait
pensé à retirer la box ?
Cette 'logique linéaire'
qui utilise des modèles mathématiques (science exacte) pour construire
des hypothèses médicales peut mener à tout et à rien ;-)
[exemple HS EM]
http://www.who.int/mediacentre/news/releases/2007/pr10/fr/index.html
'Des projections indiquent que la circoncision en Afrique subsaharienne
pourrait éviter 5,7 millions de nouveaux cas d’infection à VIH et 3
millions de décès sur 20 ans.' [/]
Mais, fort heureusement (?),
il semble qu'il n'y a pas que des conclusions 'absolues' à l'OMS :
http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs304/fr/index.html
'Si l'on peut s'attendre à ce que l'exposition aux champs RF des
stations de base et des réseaux sans fil n'ait aucun effet sur la santé,
l'OMS préconise néanmoins des recherches pour déterminer si l'exposition
plus intense aux radiofréquences des téléphones mobiles pourrait avoir
des effets sur la santé.'
Et comme, pour ma part, je me veux objectif, je penche du côté de la
démonstration objective. A l'heure actuelle, cette démonstration
conclut à l'absence de lien. Si une démonstration contraire,
objective, existe, alors je la prendrai en compte. Jusque là, la HSEM
n'est objectivement pas liée aux ondes EM.
Quid postulats ?
Là, je ne suis pas ce que tu veux dire.
Je m'en doutais un peu...
Je complète ma réponse.
Ce qui m'inquiète le + dans cette "info" de l'OMS c'est cette logique
linéaire qui, passant de la démonstration : 'La majorité de ces études
indique que les individus se plaignant de HSEM sont incapables de
détecter plus précisément une exposition à des CEM que des individus
ordinaires.'
en arrive à conseiller à l'intention des médecins de visiter : -
lumière, son, ergonomie, qualité de l'air, psy... --> avec quid des
EM...
Se basant sur cette étude, et dans le cas de Alf92, un médecin aurait
pensé à retirer la box ?
Cette 'logique linéaire'
qui utilise des modèles mathématiques (science exacte) pour construire
des hypothèses médicales peut mener à tout et à rien ;-)
[exemple HS EM]
http://www.who.int/mediacentre/news/releases/2007/pr10/fr/index.html
'Des projections indiquent que la circoncision en Afrique subsaharienne
pourrait éviter 5,7 millions de nouveaux cas d’infection à VIH et 3
millions de décès sur 20 ans.' [/]
Mais, fort heureusement (?),
il semble qu'il n'y a pas que des conclusions 'absolues' à l'OMS :
http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs304/fr/index.html
'Si l'on peut s'attendre à ce que l'exposition aux champs RF des
stations de base et des réseaux sans fil n'ait aucun effet sur la santé,
l'OMS préconise néanmoins des recherches pour déterminer si l'exposition
plus intense aux radiofréquences des téléphones mobiles pourrait avoir
des effets sur la santé.'
Et comme, pour ma part, je me veux objectif, je penche du côté de la
démonstration objective. A l'heure actuelle, cette démonstration
conclut à l'absence de lien. Si une démonstration contraire,
objective, existe, alors je la prendrai en compte. Jusque là, la HSEM
n'est objectivement pas liée aux ondes EM.
Quid postulats ?
Là, je ne suis pas ce que tu veux dire.
Je m'en doutais un peu...
Je complète ma réponse.
Ce qui m'inquiète le + dans cette "info" de l'OMS c'est cette logique
linéaire qui, passant de la démonstration : 'La majorité de ces études
indique que les individus se plaignant de HSEM sont incapables de
détecter plus précisément une exposition à des CEM que des individus
ordinaires.'
en arrive à conseiller à l'intention des médecins de visiter : -
lumière, son, ergonomie, qualité de l'air, psy... --> avec quid des
EM...
Se basant sur cette étude, et dans le cas de Alf92, un médecin aurait
pensé à retirer la box ?
Cette 'logique linéaire'
qui utilise des modèles mathématiques (science exacte) pour construire
des hypothèses médicales peut mener à tout et à rien ;-)
[exemple HS EM]
http://www.who.int/mediacentre/news/releases/2007/pr10/fr/index.html
'Des projections indiquent que la circoncision en Afrique subsaharienne
pourrait éviter 5,7 millions de nouveaux cas d’infection à VIH et 3
millions de décès sur 20 ans.' [/]
Mais, fort heureusement (?),
il semble qu'il n'y a pas que des conclusions 'absolues' à l'OMS :
http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs304/fr/index.html
'Si l'on peut s'attendre à ce que l'exposition aux champs RF des
stations de base et des réseaux sans fil n'ait aucun effet sur la santé,
l'OMS préconise néanmoins des recherches pour déterminer si l'exposition
plus intense aux radiofréquences des téléphones mobiles pourrait avoir
des effets sur la santé.'
intuition
intuition
intuition
Dans <news:4843c5ad$0$11139$, Albert ARIBAUD
salut Albert,
voici de quoi alimenter (un peu) la réflexion :-)
http://www.silicon.fr/fr/news/2008/06/05/metro_allo_pas_dodo_
question : cela entrerait-il dans le champ (sans jeu de mot) de l'HSEM ?
Dans <news:4843c5ad$0$11139$426a74cc@news.free.fr>, Albert ARIBAUD
salut Albert,
voici de quoi alimenter (un peu) la réflexion :-)
http://www.silicon.fr/fr/news/2008/06/05/metro_allo_pas_dodo_
question : cela entrerait-il dans le champ (sans jeu de mot) de l'HSEM ?
Dans <news:4843c5ad$0$11139$, Albert ARIBAUD
salut Albert,
voici de quoi alimenter (un peu) la réflexion :-)
http://www.silicon.fr/fr/news/2008/06/05/metro_allo_pas_dodo_
question : cela entrerait-il dans le champ (sans jeu de mot) de l'HSEM ?
Le Fri, 06 Jun 2008 12:20:37 +0200, Alf92 a écrit :Dans <news:4843c5ad$0$11139$, Albert ARIBAUD
salut Albert,
voici de quoi alimenter (un peu) la réflexion :-)
http://www.silicon.fr/fr/news/2008/06/05/metro_allo_pas_dodo_
question : cela entrerait-il dans le champ (sans jeu de mot) de l'HSEM ?
Difficile de tirer quoi que ce soit de la lecture de l'article même,
sinon que :
- leur auteur n'est pas familier de la science en général, car il a
manifestement recopié "alfa" de sa source (La Stampa) sans se rendre
compte qu'en fançais, on parle d'ondes *alpha*. En soi, ce n'est rien,
mais ça dénote une lacune du journaliste et, partant, un réflexe de
prudence de ma part quant à la fidélité de son propos. De même la
"Loughborough University sleep", censé désigner les auteurs de la seconde
étude. Le journaliste avait déjà de sacrées ondes alpha quand il a tapé
son article. :)
- de même, les sources ne sont guères identifiées, ce qui ne va pas
faciliter leur lecture... La Stampa, d'ailleurs, n'a sans doute pas
davantage de précision sur ce point.
- toujours au chapitre des imprécisions criticables, des ondes EM ne
peuvent pas "solliciter" des ondes cérébrales : solliciter, c'est
demander un effort. Je suppose, mais sans certitude, qu'il faut
comprendre "peuvent causer".
Du peu que fournit l'article, je crois qu'il faut comprendre que les
études font un lien entre usage du mobile et motifs d'ondes cérébrales
alpha (celles où le cerveau se met en mode veille, par exemple à peine
forcé : quand on regarde TF1) et delta (qui, de mémoire, sont liées aux
cycles de sommeil).
Je doute sincèrement que ces deux études se réduisent à cette
affirmation, qui me semble être une réduction journalistique plus qu'un
résumé scientifique -- et partant, je ne m'avancerai pas à analyser les
études elles-mêmes, tant que je ne les aurai pas lues.
De la première (Swinburne, ondes alpha), je n'ai regardé pour l'instant
que le résumé à <http://researchbank.swinburne.edu.au/vital/access/
manager/Repository/swin:7859?query=mobile>, , le texte complet étant
disponible sur inscription à <http://www3.interscience.wiley.com/
journal/116311527/abstract?CRETRY=1&SRETRY=0>.
Du résumé, je ressors, si j'ai bien compris, que la proximité immédiate
d'un mobile (le résumé ne donne pas de chiffre, je suppose que
l'exposition est similaire à celle d'un usage normal) provoque une
augmentation spécifique du niveau d'ondes alpha (la proportion et le
niveau ne sont pas dans le résumé), et dans la région cervicale proche du
mobile plus que dans l'éloignée.
Attention cependant à ne conclure que ce qui peut l'être : le cerveau
produit davantage d'ondes alpha dans sa zone exposée de près à un mobile,
c'est tout ce qu'on peut conclure ; ne sautons pas à la pseudo conclusion
qu'il y aurait quelque chose de néfaste à cela. Les ondes alpha, ce n'est
pas sale en soi :) et, comme je viens de le dire, ni le taux
d'augmentation, ni le niveau par rapport à la dispersion dans une
population standard, ne sont donnés par le résumé.
La seconde (Loughborough, delta) : j'ai trouvé une étude de 2007 (la
première citée dans <http://www.lboro.ac.uk/departments/hu/groups/sleep/
publications/environmental.html>) et je suppose, sans certitude, que
c'est de celle-ci qu'il s'agit, bien que nulle part les ondes delta ne
soient mentionnées. Encore une fois, seulement un résumé, et je n'ai pas
vu le moyen d'obtenir le texte complet.
Du résumé, je note que l'expérience est en simple aveugle, l'autre étude
étant en double aveugle et explicitement notée comme revue par les pairs.
Un peu moins solide, donc, mais le simple aveugle est déjà une bonne
chose. Au résultat, l'activité frontale (et l'observation directe) montre
un lien entre l'usage du téléphone en conversation pendant 30 minutes et
un retard à l'endormissement immédiat consécutif.
Encore une fois, attention à ne pas conclure au-dela de l'étude ! Rien
dedans ne permet de supposer que l'usage du mobile provoquera un trouble
du sommeil *ultérieur*. L'effet peut être limité à une période
immédiatement consécutive à l'exposition, par exemple.
(on peut meut-être migrer cette conversation vers un groupe où elle sera
davantage en charte, non ? alt.fr.sante, au pire, si tu ne vois rien de
plus approprié)
Amicalement,
Le Fri, 06 Jun 2008 12:20:37 +0200, Alf92 a écrit :
Dans <news:4843c5ad$0$11139$426a74cc@news.free.fr>, Albert ARIBAUD
salut Albert,
voici de quoi alimenter (un peu) la réflexion :-)
http://www.silicon.fr/fr/news/2008/06/05/metro_allo_pas_dodo_
question : cela entrerait-il dans le champ (sans jeu de mot) de l'HSEM ?
Difficile de tirer quoi que ce soit de la lecture de l'article même,
sinon que :
- leur auteur n'est pas familier de la science en général, car il a
manifestement recopié "alfa" de sa source (La Stampa) sans se rendre
compte qu'en fançais, on parle d'ondes *alpha*. En soi, ce n'est rien,
mais ça dénote une lacune du journaliste et, partant, un réflexe de
prudence de ma part quant à la fidélité de son propos. De même la
"Loughborough University sleep", censé désigner les auteurs de la seconde
étude. Le journaliste avait déjà de sacrées ondes alpha quand il a tapé
son article. :)
- de même, les sources ne sont guères identifiées, ce qui ne va pas
faciliter leur lecture... La Stampa, d'ailleurs, n'a sans doute pas
davantage de précision sur ce point.
- toujours au chapitre des imprécisions criticables, des ondes EM ne
peuvent pas "solliciter" des ondes cérébrales : solliciter, c'est
demander un effort. Je suppose, mais sans certitude, qu'il faut
comprendre "peuvent causer".
Du peu que fournit l'article, je crois qu'il faut comprendre que les
études font un lien entre usage du mobile et motifs d'ondes cérébrales
alpha (celles où le cerveau se met en mode veille, par exemple à peine
forcé : quand on regarde TF1) et delta (qui, de mémoire, sont liées aux
cycles de sommeil).
Je doute sincèrement que ces deux études se réduisent à cette
affirmation, qui me semble être une réduction journalistique plus qu'un
résumé scientifique -- et partant, je ne m'avancerai pas à analyser les
études elles-mêmes, tant que je ne les aurai pas lues.
De la première (Swinburne, ondes alpha), je n'ai regardé pour l'instant
que le résumé à <http://researchbank.swinburne.edu.au/vital/access/
manager/Repository/swin:7859?query=mobile>, , le texte complet étant
disponible sur inscription à <http://www3.interscience.wiley.com/
journal/116311527/abstract?CRETRY=1&SRETRY=0>.
Du résumé, je ressors, si j'ai bien compris, que la proximité immédiate
d'un mobile (le résumé ne donne pas de chiffre, je suppose que
l'exposition est similaire à celle d'un usage normal) provoque une
augmentation spécifique du niveau d'ondes alpha (la proportion et le
niveau ne sont pas dans le résumé), et dans la région cervicale proche du
mobile plus que dans l'éloignée.
Attention cependant à ne conclure que ce qui peut l'être : le cerveau
produit davantage d'ondes alpha dans sa zone exposée de près à un mobile,
c'est tout ce qu'on peut conclure ; ne sautons pas à la pseudo conclusion
qu'il y aurait quelque chose de néfaste à cela. Les ondes alpha, ce n'est
pas sale en soi :) et, comme je viens de le dire, ni le taux
d'augmentation, ni le niveau par rapport à la dispersion dans une
population standard, ne sont donnés par le résumé.
La seconde (Loughborough, delta) : j'ai trouvé une étude de 2007 (la
première citée dans <http://www.lboro.ac.uk/departments/hu/groups/sleep/
publications/environmental.html>) et je suppose, sans certitude, que
c'est de celle-ci qu'il s'agit, bien que nulle part les ondes delta ne
soient mentionnées. Encore une fois, seulement un résumé, et je n'ai pas
vu le moyen d'obtenir le texte complet.
Du résumé, je note que l'expérience est en simple aveugle, l'autre étude
étant en double aveugle et explicitement notée comme revue par les pairs.
Un peu moins solide, donc, mais le simple aveugle est déjà une bonne
chose. Au résultat, l'activité frontale (et l'observation directe) montre
un lien entre l'usage du téléphone en conversation pendant 30 minutes et
un retard à l'endormissement immédiat consécutif.
Encore une fois, attention à ne pas conclure au-dela de l'étude ! Rien
dedans ne permet de supposer que l'usage du mobile provoquera un trouble
du sommeil *ultérieur*. L'effet peut être limité à une période
immédiatement consécutive à l'exposition, par exemple.
(on peut meut-être migrer cette conversation vers un groupe où elle sera
davantage en charte, non ? alt.fr.sante, au pire, si tu ne vois rien de
plus approprié)
Amicalement,
Le Fri, 06 Jun 2008 12:20:37 +0200, Alf92 a écrit :Dans <news:4843c5ad$0$11139$, Albert ARIBAUD
salut Albert,
voici de quoi alimenter (un peu) la réflexion :-)
http://www.silicon.fr/fr/news/2008/06/05/metro_allo_pas_dodo_
question : cela entrerait-il dans le champ (sans jeu de mot) de l'HSEM ?
Difficile de tirer quoi que ce soit de la lecture de l'article même,
sinon que :
- leur auteur n'est pas familier de la science en général, car il a
manifestement recopié "alfa" de sa source (La Stampa) sans se rendre
compte qu'en fançais, on parle d'ondes *alpha*. En soi, ce n'est rien,
mais ça dénote une lacune du journaliste et, partant, un réflexe de
prudence de ma part quant à la fidélité de son propos. De même la
"Loughborough University sleep", censé désigner les auteurs de la seconde
étude. Le journaliste avait déjà de sacrées ondes alpha quand il a tapé
son article. :)
- de même, les sources ne sont guères identifiées, ce qui ne va pas
faciliter leur lecture... La Stampa, d'ailleurs, n'a sans doute pas
davantage de précision sur ce point.
- toujours au chapitre des imprécisions criticables, des ondes EM ne
peuvent pas "solliciter" des ondes cérébrales : solliciter, c'est
demander un effort. Je suppose, mais sans certitude, qu'il faut
comprendre "peuvent causer".
Du peu que fournit l'article, je crois qu'il faut comprendre que les
études font un lien entre usage du mobile et motifs d'ondes cérébrales
alpha (celles où le cerveau se met en mode veille, par exemple à peine
forcé : quand on regarde TF1) et delta (qui, de mémoire, sont liées aux
cycles de sommeil).
Je doute sincèrement que ces deux études se réduisent à cette
affirmation, qui me semble être une réduction journalistique plus qu'un
résumé scientifique -- et partant, je ne m'avancerai pas à analyser les
études elles-mêmes, tant que je ne les aurai pas lues.
De la première (Swinburne, ondes alpha), je n'ai regardé pour l'instant
que le résumé à <http://researchbank.swinburne.edu.au/vital/access/
manager/Repository/swin:7859?query=mobile>, , le texte complet étant
disponible sur inscription à <http://www3.interscience.wiley.com/
journal/116311527/abstract?CRETRY=1&SRETRY=0>.
Du résumé, je ressors, si j'ai bien compris, que la proximité immédiate
d'un mobile (le résumé ne donne pas de chiffre, je suppose que
l'exposition est similaire à celle d'un usage normal) provoque une
augmentation spécifique du niveau d'ondes alpha (la proportion et le
niveau ne sont pas dans le résumé), et dans la région cervicale proche du
mobile plus que dans l'éloignée.
Attention cependant à ne conclure que ce qui peut l'être : le cerveau
produit davantage d'ondes alpha dans sa zone exposée de près à un mobile,
c'est tout ce qu'on peut conclure ; ne sautons pas à la pseudo conclusion
qu'il y aurait quelque chose de néfaste à cela. Les ondes alpha, ce n'est
pas sale en soi :) et, comme je viens de le dire, ni le taux
d'augmentation, ni le niveau par rapport à la dispersion dans une
population standard, ne sont donnés par le résumé.
La seconde (Loughborough, delta) : j'ai trouvé une étude de 2007 (la
première citée dans <http://www.lboro.ac.uk/departments/hu/groups/sleep/
publications/environmental.html>) et je suppose, sans certitude, que
c'est de celle-ci qu'il s'agit, bien que nulle part les ondes delta ne
soient mentionnées. Encore une fois, seulement un résumé, et je n'ai pas
vu le moyen d'obtenir le texte complet.
Du résumé, je note que l'expérience est en simple aveugle, l'autre étude
étant en double aveugle et explicitement notée comme revue par les pairs.
Un peu moins solide, donc, mais le simple aveugle est déjà une bonne
chose. Au résultat, l'activité frontale (et l'observation directe) montre
un lien entre l'usage du téléphone en conversation pendant 30 minutes et
un retard à l'endormissement immédiat consécutif.
Encore une fois, attention à ne pas conclure au-dela de l'étude ! Rien
dedans ne permet de supposer que l'usage du mobile provoquera un trouble
du sommeil *ultérieur*. L'effet peut être limité à une période
immédiatement consécutive à l'exposition, par exemple.
(on peut meut-être migrer cette conversation vers un groupe où elle sera
davantage en charte, non ? alt.fr.sante, au pire, si tu ne vois rien de
plus approprié)
Amicalement,
Dans <news:48492082$0$4971$, Albert ARIBAUD(..)
Encore une fois, attention à ne pas conclure au-dela de l'étude ! Rien
dedans ne permet de supposer que l'usage du mobile provoquera un
trouble du sommeil *ultérieur*. L'effet peut être limité à une période
immédiatement consécutive à l'exposition, par exemple.
je t'avoue que je n'ai eu ni le temps ni le courage d'aller chercher les
textes de référence.
donc merci à toi pour cette longue analyse que je partage.
ce qui a attiré mon attention dans cet article est l'expression "trouble
du sommeil" que j'ai bien sûr rapportée au pb de ma fille avec le
routeur wifi dans sa chambre.
quant au trouble "ultérieur" que tu évoques, il n'y en a pas eu dans
notre cas.
à bientot pour partager / échanger sur le sujet.
Dans <news:48492082$0$4971$426a74cc@news.free.fr>, Albert ARIBAUD
(..)
Encore une fois, attention à ne pas conclure au-dela de l'étude ! Rien
dedans ne permet de supposer que l'usage du mobile provoquera un
trouble du sommeil *ultérieur*. L'effet peut être limité à une période
immédiatement consécutive à l'exposition, par exemple.
je t'avoue que je n'ai eu ni le temps ni le courage d'aller chercher les
textes de référence.
donc merci à toi pour cette longue analyse que je partage.
ce qui a attiré mon attention dans cet article est l'expression "trouble
du sommeil" que j'ai bien sûr rapportée au pb de ma fille avec le
routeur wifi dans sa chambre.
quant au trouble "ultérieur" que tu évoques, il n'y en a pas eu dans
notre cas.
à bientot pour partager / échanger sur le sujet.
Dans <news:48492082$0$4971$, Albert ARIBAUD(..)
Encore une fois, attention à ne pas conclure au-dela de l'étude ! Rien
dedans ne permet de supposer que l'usage du mobile provoquera un
trouble du sommeil *ultérieur*. L'effet peut être limité à une période
immédiatement consécutive à l'exposition, par exemple.
je t'avoue que je n'ai eu ni le temps ni le courage d'aller chercher les
textes de référence.
donc merci à toi pour cette longue analyse que je partage.
ce qui a attiré mon attention dans cet article est l'expression "trouble
du sommeil" que j'ai bien sûr rapportée au pb de ma fille avec le
routeur wifi dans sa chambre.
quant au trouble "ultérieur" que tu évoques, il n'y en a pas eu dans
notre cas.
à bientot pour partager / échanger sur le sujet.