Il est faché contre Debian aussi

--{ SL a plopé ceci: }--

Mais ce qu'il nous faut, en définitive, c'est des conditions de vie
heureuse, de quoi manger, etc., c'est à dire de la richesse, ou bien

Non, pas du tout, efface !
Pour être heureux, c'est pas de la richesse qu'il faut en premier
lieu. Il faut un logement, de quoi manger, (a) et _surtout_ avoir
la certitude que ce minimum là ne va pas te péter à la gueule du
jour au lendemain. Je crois que le malaise général est là: le
futur est de plus en plus mouvant (b) et même les "nantis" se
posent la question. Que va-t-il se passer dans un an, dans cinq
ans, dans dix ans ?

travailler tous le plus longtemps possible ? Il me semble que l'emploi
n'est que le moyen, c'est bien la richesse la fin, non ?

La vrai richesse, c'est de vivre sans avoir peur du lendemain.
Pfiou, j'ai l'impression de radoter, moi...


(a) Bon, une adsl 512k, c'est cool aussi.
(b) thème récurrant de la scifi des années 40-80.

--
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= = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = = Kikooooooooo
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Michel Talon, dans le message <f4tt63$qqq$3@asmodee.lpthe.jussieu.fr>, a
écrit :

Par exemple on cite des revenus de l'ordre de 6000 euros par mois pour
un médecin qui a des clients. Pour moi les classes moyennes supérieures,
c'est ça, les médecins, dentistes, pharmaciens et autre professions
libérales, les ingénieurs des catégories supérieures, etc.

Tu sais, tu as le droit de te renseigner plutôt que de pipoter des chiffres
n'importe comment.

Un revenu disponible (net moins impôts) de 6000 EUR par mois, ça place un
médecin célibataire dans le décile supérieur de la population française des
revenus _par foyer_.

4000 EUR, c'est le tout début du quintile supérieur, et 3000, ça correspond
au début du tiers-tile (le mot n'existe pas) supérieur.

Appeler classe moyenne supérieure à partir du tiers-tile ou du quartile
supérieur, ça me semble une définition très raisonnable.

Michel Talon, dans le message <f4uft3$11o8$1@asmodee.lpthe.jussieu.fr>,
a écrit :

Je suis de ceux qui pensent que 35 heures était insuffisant, et
qu'il fallait passer à 30 ou 32 heures, tout de suite et partout,
autoritairement.

Clap clap clap.

Le 15-06-2007, Michel Talon <talon@lpthe.jussieu.fr> a écrit :

compenser la perte de force de travail. Avec tous leurs atermoiments
et demi-mesures, les socialistes ont cumulé *tous* les inconvénients des
35 heures, aussi bien ne pas créér d'emplois, les patrons se sont
adaptés en douceur, que détruire la compétitivité des entreprises.

Je suis assez d'accord.

Ce serait plus simple de transformer le droit de vote en devoir de vote.

Je ne vois pas ce que ça changerait.

--
Stéphane

Pour me répondre, traduire gratuit en anglais et virer le .invalid.
http://stef.carpentier.free.fr/

Tu vas te faire traiter de fasciste ;-) J'y pense personnellement
depuis pas mal de temps, mais on va répondre : "et la liberté de ne
pas s'exprimer". On n'en sortira pas.

Tu peux toujours voter blanc, et tu ne t'exprimes pas.

--
Stéphane

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http://stef.carpentier.free.fr/

La démarche n'est pas la même. D'un côté, on a le "je m'en fous", et
de l'autre le "personne ne correspond à mes attentes", ce qui est
tout de même légèrement différent.

Si je ne vais pas voter, c'est parce que le système français considère mieux
les gens qui ne votent pas que ceux qui votent.

--
Stéphane

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Côme Desplats , dans le message
<46714d08$0$21088$426a74cc@news.free.fr>, a écrit :

Pas tout à fait car les votes blancs et nuls sont comptabilisés.

L'abstention aussi. Tu entends d'ailleurs plus parler du taux d'abstention
que du taux de blancs-et-nuls.

Voilà. Le système se fout de la gueule des votes blancs. Il ne faut pas
voter blanc en France.

--
Stéphane

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Emmanuel Florac wrote:

Marrant comme lapsus. Quelqu'un qui a tort est-il tordu ? Sinon
l'expression est liée au language, et le language n'arrive /jamais/ a
cerner la realité, qu'il soit formel ou informel.

Alors pourquoi tu causes? Tss...

En criblant le sens par l'erreur, on fini par deviner la verité. C'est
le trou qui reste.

Donc je dis des conneries, comme tout le monde ici. On approche de
quelque chose quand meme non ?

--
Izatis

Côme Desplats wrote:

JKB wrote:

Je n'ai pas dit qu'il fallait interdire les grèves et autres
manifestations, simplement qu'on devrait ne pas avoir le droit
d'ouvrir sa gueule pour manifester à partir du moment où on n'est
pas allé voté. Ce n'est pas la même chose.

Ce serait plus simple de transformer le droit de vote en devoir de vote.
Comme en Belgique par exemple.

Tout a fait. Et ceux qui s'abstiendraient malgré tout seraient des
objecteurs de conscience.

--
Izatis