Hello, Julien ! dans ce : Re: Informatique made in France
vous avez écrit le : 08/06/2005pehache wrote:Le bac d'il y a 40 ans correspondait à mon avis à un niveau
supérieur au bac d'aujourd'hui.
Ben non !
Ce qui est certain, c'est que de *bons* élèves de 3e sont incapables, en
Français, de traiter un sujet de DNB de 1995. Et si je leur donnais un
sujet de 1965 (je crois en avoir), ce serait sans commentaire. MAIS il
est vrai que la SCIENCE LITTERAIRE a fait de telles avancées.
C'est cela même le Dinosaure ! Que de prétention pour
une si faible efficacité. La preuve par neuf de la nullité des
enseignants de collège !
Hello, Julien ! dans ce : Re: Informatique made in France
vous avez écrit le : 08/06/2005
pehache wrote:
Le bac d'il y a 40 ans correspondait à mon avis à un niveau
supérieur au bac d'aujourd'hui.
Ben non !
Ce qui est certain, c'est que de *bons* élèves de 3e sont incapables, en
Français, de traiter un sujet de DNB de 1995. Et si je leur donnais un
sujet de 1965 (je crois en avoir), ce serait sans commentaire. MAIS il
est vrai que la SCIENCE LITTERAIRE a fait de telles avancées.
C'est cela même le Dinosaure ! Que de prétention pour
une si faible efficacité. La preuve par neuf de la nullité des
enseignants de collège !
Hello, Julien ! dans ce : Re: Informatique made in France
vous avez écrit le : 08/06/2005pehache wrote:Le bac d'il y a 40 ans correspondait à mon avis à un niveau
supérieur au bac d'aujourd'hui.
Ben non !
Ce qui est certain, c'est que de *bons* élèves de 3e sont incapables, en
Français, de traiter un sujet de DNB de 1995. Et si je leur donnais un
sujet de 1965 (je crois en avoir), ce serait sans commentaire. MAIS il
est vrai que la SCIENCE LITTERAIRE a fait de telles avancées.
C'est cela même le Dinosaure ! Que de prétention pour
une si faible efficacité. La preuve par neuf de la nullité des
enseignants de collège !
C'est l"exploitation" de la recherche qui produit des richesse
(économique), et non elle même !
Oui, et sans recherche, difficile d'en exploiter les résultats.
Aujourd'hui, l'industrie française produit la même chose que celle
des pays émergents. Qui le font moins cher, et parfois mieux.
Faut, ( TGV, Airbus, Arianne, Médicament, etc, ... )
J'imagine que tu as voulu écrire "faux".
Les "fleurons" de notre industrie que tu cites représentent quel % du
PIB ? des emplois dans l'industrie ?
Compare avec le textile (et pourtant il en reste peu), l'automobile...
En plus, TGV (Alsthom ?), Airbus et ArianeEspace sont quand même pas
mal subventionné, pour pouvoir faire face à la concurrence.
C'est l"exploitation" de la recherche qui produit des richesse
(économique), et non elle même !
Oui, et sans recherche, difficile d'en exploiter les résultats.
Aujourd'hui, l'industrie française produit la même chose que celle
des pays émergents. Qui le font moins cher, et parfois mieux.
Faut, ( TGV, Airbus, Arianne, Médicament, etc, ... )
J'imagine que tu as voulu écrire "faux".
Les "fleurons" de notre industrie que tu cites représentent quel % du
PIB ? des emplois dans l'industrie ?
Compare avec le textile (et pourtant il en reste peu), l'automobile...
En plus, TGV (Alsthom ?), Airbus et ArianeEspace sont quand même pas
mal subventionné, pour pouvoir faire face à la concurrence.
C'est l"exploitation" de la recherche qui produit des richesse
(économique), et non elle même !
Oui, et sans recherche, difficile d'en exploiter les résultats.
Aujourd'hui, l'industrie française produit la même chose que celle
des pays émergents. Qui le font moins cher, et parfois mieux.
Faut, ( TGV, Airbus, Arianne, Médicament, etc, ... )
J'imagine que tu as voulu écrire "faux".
Les "fleurons" de notre industrie que tu cites représentent quel % du
PIB ? des emplois dans l'industrie ?
Compare avec le textile (et pourtant il en reste peu), l'automobile...
En plus, TGV (Alsthom ?), Airbus et ArianeEspace sont quand même pas
mal subventionné, pour pouvoir faire face à la concurrence.
Michel Billaud wrote:Y a quand même un problême de poser à un examen une question qui
nécessite un savoir-faire que les étudiants n'ont manifestement pas,
chose certes regrettable, mais que les enseignants ont normalement dû
constater lors des séances de travaux dirigés, et à laquelle ils
auraient dû se donner la peine de remédier.
Mais ça a été fait ! D'ailleurs, je crois qu'aucun élève /venu au cours/
ne s'est planté à la question (beaucoup ont utilisé Jordan, mais au fond
ce n'est pas très grave, surtout que c'est une des choses qu'on leur
demandait de connaitre). Mais vu qu'on a jamais eu plus de 20 élèves sur
35 inscrits en cours / TD pendant le semestre...
Michel Billaud wrote:
Y a quand même un problême de poser à un examen une question qui
nécessite un savoir-faire que les étudiants n'ont manifestement pas,
chose certes regrettable, mais que les enseignants ont normalement dû
constater lors des séances de travaux dirigés, et à laquelle ils
auraient dû se donner la peine de remédier.
Mais ça a été fait ! D'ailleurs, je crois qu'aucun élève /venu au cours/
ne s'est planté à la question (beaucoup ont utilisé Jordan, mais au fond
ce n'est pas très grave, surtout que c'est une des choses qu'on leur
demandait de connaitre). Mais vu qu'on a jamais eu plus de 20 élèves sur
35 inscrits en cours / TD pendant le semestre...
Michel Billaud wrote:Y a quand même un problême de poser à un examen une question qui
nécessite un savoir-faire que les étudiants n'ont manifestement pas,
chose certes regrettable, mais que les enseignants ont normalement dû
constater lors des séances de travaux dirigés, et à laquelle ils
auraient dû se donner la peine de remédier.
Mais ça a été fait ! D'ailleurs, je crois qu'aucun élève /venu au cours/
ne s'est planté à la question (beaucoup ont utilisé Jordan, mais au fond
ce n'est pas très grave, surtout que c'est une des choses qu'on leur
demandait de connaitre). Mais vu qu'on a jamais eu plus de 20 élèves sur
35 inscrits en cours / TD pendant le semestre...
Michel Billaud wrote:Y a quand même un problême de poser à un examen une question qui
nécessite un savoir-faire que les étudiants n'ont manifestement pas,
chose certes regrettable, mais que les enseignants ont normalement dû
constater lors des séances de travaux dirigés, et à laquelle ils
auraient dû se donner la peine de remédier.
Mais ça a été fait ! D'ailleurs, je crois qu'aucun élève /venu au cours/
ne s'est planté à la question (beaucoup ont utilisé Jordan, mais au fond
ce n'est pas très grave, surtout que c'est une des choses qu'on leur
demandait de connaitre). Mais vu qu'on a jamais eu plus de 20 élèves sur
35 inscrits en cours / TD pendant le semestre...
Michel Billaud wrote:
Y a quand même un problême de poser à un examen une question qui
nécessite un savoir-faire que les étudiants n'ont manifestement pas,
chose certes regrettable, mais que les enseignants ont normalement dû
constater lors des séances de travaux dirigés, et à laquelle ils
auraient dû se donner la peine de remédier.
Mais ça a été fait ! D'ailleurs, je crois qu'aucun élève /venu au cours/
ne s'est planté à la question (beaucoup ont utilisé Jordan, mais au fond
ce n'est pas très grave, surtout que c'est une des choses qu'on leur
demandait de connaitre). Mais vu qu'on a jamais eu plus de 20 élèves sur
35 inscrits en cours / TD pendant le semestre...
Michel Billaud wrote:Y a quand même un problême de poser à un examen une question qui
nécessite un savoir-faire que les étudiants n'ont manifestement pas,
chose certes regrettable, mais que les enseignants ont normalement dû
constater lors des séances de travaux dirigés, et à laquelle ils
auraient dû se donner la peine de remédier.
Mais ça a été fait ! D'ailleurs, je crois qu'aucun élève /venu au cours/
ne s'est planté à la question (beaucoup ont utilisé Jordan, mais au fond
ce n'est pas très grave, surtout que c'est une des choses qu'on leur
demandait de connaitre). Mais vu qu'on a jamais eu plus de 20 élèves sur
35 inscrits en cours / TD pendant le semestre...
Bon cela étant vous n'avez pas tort mais vous auriez probablement
quand même eu intéret à avoir de meilleures bases scientifiques.
Vous semblez être très utilitariste pour un littéraire qui en
général se gargarise de culture générale humaniste. Enfin pour
résumer mieux on bave et mieux on réussit dans vos milieux !
J'ai rarement lu quelque chose d'aussi
condescendant/aigri/hautain/idiot sur fcold, s'agit-il là du ton
normal qu'on emploie sur frse ?
Bon cela étant vous n'avez pas tort mais vous auriez probablement
quand même eu intéret à avoir de meilleures bases scientifiques.
Vous semblez être très utilitariste pour un littéraire qui en
général se gargarise de culture générale humaniste. Enfin pour
résumer mieux on bave et mieux on réussit dans vos milieux !
J'ai rarement lu quelque chose d'aussi
condescendant/aigri/hautain/idiot sur fcold, s'agit-il là du ton
normal qu'on emploie sur frse ?
Bon cela étant vous n'avez pas tort mais vous auriez probablement
quand même eu intéret à avoir de meilleures bases scientifiques.
Vous semblez être très utilitariste pour un littéraire qui en
général se gargarise de culture générale humaniste. Enfin pour
résumer mieux on bave et mieux on réussit dans vos milieux !
J'ai rarement lu quelque chose d'aussi
condescendant/aigri/hautain/idiot sur fcold, s'agit-il là du ton
normal qu'on emploie sur frse ?
Blaise Potard writes:Michel Billaud wrote:Y a quand même un problême de poser à un examen une question qui
nécessite un savoir-faire que les étudiants n'ont manifestement p as,
chose certes regrettable, mais que les enseignants ont normalement d û
constater lors des séances de travaux dirigés, et à laquelle ils
auraient dû se donner la peine de remédier.
Mais ça a été fait ! D'ailleurs, je crois qu'aucun élève /ven u au cours/
ne s'est planté à la question (beaucoup ont utilisé Jordan, mais au fond
ce n'est pas très grave, surtout que c'est une des choses qu'on leur
demandait de connaitre). Mais vu qu'on a jamais eu plus de 20 élève s sur
35 inscrits en cours / TD pendant le semestre...
C'est vrai qu'il y a ces dernières années une tendance nette à
l'absentéisme (y compris en IUT où la présence est 100% obligatoire ),
qu'on retrouve d'ailleurs assez nettement dans les bulletins scolaires
des lycées.
Blaise Potard <monnom@loria.fr> writes:
Michel Billaud wrote:
Y a quand même un problême de poser à un examen une question qui
nécessite un savoir-faire que les étudiants n'ont manifestement p as,
chose certes regrettable, mais que les enseignants ont normalement d û
constater lors des séances de travaux dirigés, et à laquelle ils
auraient dû se donner la peine de remédier.
Mais ça a été fait ! D'ailleurs, je crois qu'aucun élève /ven u au cours/
ne s'est planté à la question (beaucoup ont utilisé Jordan, mais au fond
ce n'est pas très grave, surtout que c'est une des choses qu'on leur
demandait de connaitre). Mais vu qu'on a jamais eu plus de 20 élève s sur
35 inscrits en cours / TD pendant le semestre...
C'est vrai qu'il y a ces dernières années une tendance nette à
l'absentéisme (y compris en IUT où la présence est 100% obligatoire ),
qu'on retrouve d'ailleurs assez nettement dans les bulletins scolaires
des lycées.
Blaise Potard writes:Michel Billaud wrote:Y a quand même un problême de poser à un examen une question qui
nécessite un savoir-faire que les étudiants n'ont manifestement p as,
chose certes regrettable, mais que les enseignants ont normalement d û
constater lors des séances de travaux dirigés, et à laquelle ils
auraient dû se donner la peine de remédier.
Mais ça a été fait ! D'ailleurs, je crois qu'aucun élève /ven u au cours/
ne s'est planté à la question (beaucoup ont utilisé Jordan, mais au fond
ce n'est pas très grave, surtout que c'est une des choses qu'on leur
demandait de connaitre). Mais vu qu'on a jamais eu plus de 20 élève s sur
35 inscrits en cours / TD pendant le semestre...
C'est vrai qu'il y a ces dernières années une tendance nette à
l'absentéisme (y compris en IUT où la présence est 100% obligatoire ),
qu'on retrouve d'ailleurs assez nettement dans les bulletins scolaires
des lycées.
Ce que tout le monde se doit de savoir et qu'en général les scientifiques
connaissent. Les littéraires sont plutôt spécialisés et leurs centres
d'intérets en général très limités. On est loin de l'universalisme.
le plus souvent
Je vous conseille un rapide passage dans des classes de terminale S pour
Ce que tout le monde se doit de savoir et qu'en général les scientifiques
connaissent. Les littéraires sont plutôt spécialisés et leurs centres
d'intérets en général très limités. On est loin de l'universalisme.
le plus souvent
Je vous conseille un rapide passage dans des classes de terminale S pour
Ce que tout le monde se doit de savoir et qu'en général les scientifiques
connaissent. Les littéraires sont plutôt spécialisés et leurs centres
d'intérets en général très limités. On est loin de l'universalisme.
le plus souvent
Je vous conseille un rapide passage dans des classes de terminale S pour
Tout dépend des bases mathématiques acquises. Si en *licence* on n'est pas
capable d'inverser une matrice 2x2, je me demande ce qu'il restera des
matrices dans 10 ans.
Tu as surement raison. A vrai dire, en licence (physique), il me semble
J'aurais tendance (si j'étais son évaluateur) à lui mettre un 20/20,
parce qu'il me semble que c'est la seule réponse valable aux futurs
problèmes qui se poserons à lui dans le monde de l'entreprise par
rapport aux sujets qu'il n'aura jamais abordé à la fac.
Non. Si en entreprise tu te retrouves à faire de l'infographie côté prog,
il me semble normal que tu maîtrises un minimum les problèmes
mathématiques qui y sont liés (au hasard, les matrices). Ton employeur
n'est pas là pour te laisser (ré)apprendre ce que sont les matrices.
L'évaluation de la capacité de recherche d'informations dans la
documentation n'est-elle pas primordiale sur la connaissance livresque
de certaines techniques? (A ce propos la documentation est-elle
autorisée aux cours des évaluations?)
Si, mais là on parle de maths.Clairement, un élève qui a réussi à résoudre l'inversion de matrice
hier, a-t-il plus de mérite que celui qui arrivera à le faire demain?
Ce qu'il y a c'est que ce scénario est somme toute relativement rare de ce
que j'ai vu.
Tout dépend des bases mathématiques acquises. Si en *licence* on n'est pas
capable d'inverser une matrice 2x2, je me demande ce qu'il restera des
matrices dans 10 ans.
Tu as surement raison. A vrai dire, en licence (physique), il me semble
J'aurais tendance (si j'étais son évaluateur) à lui mettre un 20/20,
parce qu'il me semble que c'est la seule réponse valable aux futurs
problèmes qui se poserons à lui dans le monde de l'entreprise par
rapport aux sujets qu'il n'aura jamais abordé à la fac.
Non. Si en entreprise tu te retrouves à faire de l'infographie côté prog,
il me semble normal que tu maîtrises un minimum les problèmes
mathématiques qui y sont liés (au hasard, les matrices). Ton employeur
n'est pas là pour te laisser (ré)apprendre ce que sont les matrices.
L'évaluation de la capacité de recherche d'informations dans la
documentation n'est-elle pas primordiale sur la connaissance livresque
de certaines techniques? (A ce propos la documentation est-elle
autorisée aux cours des évaluations?)
Si, mais là on parle de maths.
Clairement, un élève qui a réussi à résoudre l'inversion de matrice
hier, a-t-il plus de mérite que celui qui arrivera à le faire demain?
Ce qu'il y a c'est que ce scénario est somme toute relativement rare de ce
que j'ai vu.
Tout dépend des bases mathématiques acquises. Si en *licence* on n'est pas
capable d'inverser une matrice 2x2, je me demande ce qu'il restera des
matrices dans 10 ans.
Tu as surement raison. A vrai dire, en licence (physique), il me semble
J'aurais tendance (si j'étais son évaluateur) à lui mettre un 20/20,
parce qu'il me semble que c'est la seule réponse valable aux futurs
problèmes qui se poserons à lui dans le monde de l'entreprise par
rapport aux sujets qu'il n'aura jamais abordé à la fac.
Non. Si en entreprise tu te retrouves à faire de l'infographie côté prog,
il me semble normal que tu maîtrises un minimum les problèmes
mathématiques qui y sont liés (au hasard, les matrices). Ton employeur
n'est pas là pour te laisser (ré)apprendre ce que sont les matrices.
L'évaluation de la capacité de recherche d'informations dans la
documentation n'est-elle pas primordiale sur la connaissance livresque
de certaines techniques? (A ce propos la documentation est-elle
autorisée aux cours des évaluations?)
Si, mais là on parle de maths.Clairement, un élève qui a réussi à résoudre l'inversion de matrice
hier, a-t-il plus de mérite que celui qui arrivera à le faire demain?
Ce qu'il y a c'est que ce scénario est somme toute relativement rare de ce
que j'ai vu.
Le sujet ayant été abordé en cours, et l'examen étant un « contrôle des
acquis », si le gars n'a rien acquis, il a zéro. Du reste, en
entreprise, un gars qui doit passer deux jours à lire une doc quand on
lui demande d'inverser une matrice 2x2 (ou n'importe quelle autre chose
qu'il prétend avoir appris), eh ben il se retrouve vite à la porte.
Le sujet ayant été abordé en cours, et l'examen étant un « contrôle des
acquis », si le gars n'a rien acquis, il a zéro. Du reste, en
entreprise, un gars qui doit passer deux jours à lire une doc quand on
lui demande d'inverser une matrice 2x2 (ou n'importe quelle autre chose
qu'il prétend avoir appris), eh ben il se retrouve vite à la porte.
Le sujet ayant été abordé en cours, et l'examen étant un « contrôle des
acquis », si le gars n'a rien acquis, il a zéro. Du reste, en
entreprise, un gars qui doit passer deux jours à lire une doc quand on
lui demande d'inverser une matrice 2x2 (ou n'importe quelle autre chose
qu'il prétend avoir appris), eh ben il se retrouve vite à la porte.
Ce que tout le monde se doit de savoir et qu'en général les
scientifiques
connaissent. Les littéraires sont plutôt spécialisés et leurs centres
d'intérets en général très limités. On est loin de l'universalisme.
le plus souvent
Je vous conseille un rapide passage dans des classes de terminale S pour
jauger de la dimension de votre "universalisme".
Ce qui manque aux élèves et qui relève de l'exploit à inculquer, c'est la
dimension de l'effort et du plaisir d'apprendre.
quant à la notion d'éthique, ce n'est pas avec 2h de philo par semaine en
S
qu'elle se développera dans l'esprit des scientifiques.
Ceci étant, les autres séries de baccalauréat ne prétendent pas à la
connaissance universelle, loin s'en faut !
Ce n'est poas l'impression que donne la fréquentation des philosophes !
Ce que tout le monde se doit de savoir et qu'en général les
scientifiques
connaissent. Les littéraires sont plutôt spécialisés et leurs centres
d'intérets en général très limités. On est loin de l'universalisme.
le plus souvent
Je vous conseille un rapide passage dans des classes de terminale S pour
jauger de la dimension de votre "universalisme".
Ce qui manque aux élèves et qui relève de l'exploit à inculquer, c'est la
dimension de l'effort et du plaisir d'apprendre.
quant à la notion d'éthique, ce n'est pas avec 2h de philo par semaine en
S
qu'elle se développera dans l'esprit des scientifiques.
Ceci étant, les autres séries de baccalauréat ne prétendent pas à la
connaissance universelle, loin s'en faut !
Ce n'est poas l'impression que donne la fréquentation des philosophes !
Ce que tout le monde se doit de savoir et qu'en général les
scientifiques
connaissent. Les littéraires sont plutôt spécialisés et leurs centres
d'intérets en général très limités. On est loin de l'universalisme.
le plus souvent
Je vous conseille un rapide passage dans des classes de terminale S pour
jauger de la dimension de votre "universalisme".
Ce qui manque aux élèves et qui relève de l'exploit à inculquer, c'est la
dimension de l'effort et du plaisir d'apprendre.
quant à la notion d'éthique, ce n'est pas avec 2h de philo par semaine en
S
qu'elle se développera dans l'esprit des scientifiques.
Ceci étant, les autres séries de baccalauréat ne prétendent pas à la
connaissance universelle, loin s'en faut !
Ce n'est poas l'impression que donne la fréquentation des philosophes !