"Le collectif «Osez le féminisme!» a réclamé vendredi l’inscription du
féminicide dans le code pénal, dénonçant un système législatif
défaillant, alors que de nombreuses femmes continuent de mourir
assassinées par des hommes."
Je trouve de plus en plus qu'on devrait inscrire le chauvicide, le
petitbedonicide dans le code pénal, et le Ricide (les gens dont le nom
commence par R.)
Plus aucune de ces punaises masculinistes - qui sont tous réactionnaires et d'extrême droite - qui tentent misérablement de nous résister, ne peut plus nous échapper. Ces misérables voudraient attenter au droit féminin imprescriptible de croquer simultanément le beurre et l'argent du beurre... On n'a plus qu'à tous les installer sur une grue, et à balancer la grue à la mer.
Oui mais pour monter dans une grue, il faut des couilles.
C'est bien par là qu'on les tient. D'ailleurs ceux dont il s'agit sont mâles de la tête aux pieds, et ils ont la pomme d'Adam tellement saillante qu'il est presque impossible de les plaindre.
Et en plus ils pissent tout debout comme des héréticques !
Le 23/11/2014 14:09, Thomas a écrit :
Callix2 a exprimé avec précision :
Plus aucune de ces punaises masculinistes - qui sont tous
réactionnaires et d'extrême droite - qui tentent misérablement de nous
résister, ne peut plus nous échapper. Ces misérables voudraient
attenter au droit féminin imprescriptible de croquer simultanément le
beurre et l'argent du beurre... On n'a plus qu'à tous les installer sur
une grue, et à balancer la grue à la mer.
Oui mais pour monter dans une grue, il faut des couilles.
C'est bien par là qu'on les tient. D'ailleurs ceux dont il s'agit sont
mâles de la tête aux pieds, et ils ont la pomme d'Adam tellement
saillante qu'il est presque impossible de les plaindre.
Et en plus ils pissent tout debout comme des héréticques !
Plus aucune de ces punaises masculinistes - qui sont tous réactionnaires et d'extrême droite - qui tentent misérablement de nous résister, ne peut plus nous échapper. Ces misérables voudraient attenter au droit féminin imprescriptible de croquer simultanément le beurre et l'argent du beurre... On n'a plus qu'à tous les installer sur une grue, et à balancer la grue à la mer.
Oui mais pour monter dans une grue, il faut des couilles.
C'est bien par là qu'on les tient. D'ailleurs ceux dont il s'agit sont mâles de la tête aux pieds, et ils ont la pomme d'Adam tellement saillante qu'il est presque impossible de les plaindre.
Et en plus ils pissent tout debout comme des héréticques !
>>> Tantôt ça réclame l'uniformisation (...), tantôt la différentiation
Y'a pas de "les féministes".
Y'a.
Les féministes militent pour le féminisme.
Et il y a les différentialistes comme Millet et les universalistes comme Beauvoir, entre autres istes. Un peu comme chez "les" antiféministes, il y a les bas du front et les tarés.
Si vous ne comprenez pas, je vous organise un dîner avec Lavau et Navis quand vous voulez, je vous commanderai des animelles.
C'est l'histoire d'un mec, non pas une féministe comme jr ou Alain191, non ! Un mec normal, quoi.
Bin c'est fini, la JAFe l'a pendu. Fin de l'histoire en ce Féministan judiciaire.
-- Né dans le sérail misandre victimaire, j'en connais les turpitudes. Les morts ne témoignent pas. Moi si, jusqu'à présent. Et cela, les imposteurs et les tortionnaires ne me le pardonneront jamais.
Le 23/11/2014 17:23, jr a écrit :
Le 23/11/2014 13:55, Thomas a écrit :
C'est marrant, les féministes.
>>> Tantôt ça réclame l'uniformisation (...), tantôt la différentiation
Y'a pas de "les féministes".
Y'a.
Les féministes militent pour le féminisme.
Et il y a les différentialistes comme Millet et les universalistes comme
Beauvoir, entre autres istes. Un peu comme chez "les" antiféministes, il
y a les bas du front et les tarés.
Si vous ne comprenez pas, je vous organise un dîner avec Lavau et Navis
quand vous voulez, je vous commanderai des animelles.
C'est l'histoire d'un mec, non pas une féministe comme jr ou Alain191,
non !
Un mec normal, quoi.
Bin c'est fini, la JAFe l'a pendu.
Fin de l'histoire en ce Féministan judiciaire.
--
Né dans le sérail misandre victimaire, j'en connais les turpitudes.
Les morts ne témoignent pas. Moi si, jusqu'à présent. Et cela, les
imposteurs et les tortionnaires ne me le pardonneront jamais.
>>> Tantôt ça réclame l'uniformisation (...), tantôt la différentiation
Y'a pas de "les féministes".
Y'a.
Les féministes militent pour le féminisme.
Et il y a les différentialistes comme Millet et les universalistes comme Beauvoir, entre autres istes. Un peu comme chez "les" antiféministes, il y a les bas du front et les tarés.
Si vous ne comprenez pas, je vous organise un dîner avec Lavau et Navis quand vous voulez, je vous commanderai des animelles.
C'est l'histoire d'un mec, non pas une féministe comme jr ou Alain191, non ! Un mec normal, quoi.
Bin c'est fini, la JAFe l'a pendu. Fin de l'histoire en ce Féministan judiciaire.
-- Né dans le sérail misandre victimaire, j'en connais les turpitudes. Les morts ne témoignent pas. Moi si, jusqu'à présent. Et cela, les imposteurs et les tortionnaires ne me le pardonneront jamais.
jr
Anne G wrote:
Le 23/11/14 07:47, Thomas a écrit :
Des femmes des siècles passées n'étaient pas des esclaves. Ce sont même uniquement des mâles qui allaient combattre à la guerre,
"A la fin du XIXe siècle, des lois ont progressivement interdit, dans tous les pays européens, le travail des femmes au fond de la mine, [...] en raison d’une promiscuité homme/femme que la morale de l’époque réprouvait.
Ben oui, comme le travail de nuit était interdit pour les femmes, et pas par galanterie.
-- Naturellement trouble.
Anne G <ann.guille@gmail_anti-spam_.com.invalid> wrote:
Le 23/11/14 07:47, Thomas a écrit :
Des femmes des siècles passées n'étaient pas des esclaves. Ce sont même
uniquement des mâles qui allaient combattre à la guerre,
"A la fin du XIXe siècle, des lois ont progressivement interdit, dans
tous les pays européens, le travail des femmes au fond de la mine, [...]
en raison d’une promiscuité homme/femme que la morale de l’époque
réprouvait.
Ben oui, comme le travail de nuit était interdit pour les femmes, et pas
par galanterie.
"A la fin du XIXe siècle, des lois ont progressivement interdit, dans tous les pays européens, le travail des femmes au fond de la mine, [...] en raison d’une promiscuité homme/femme que la morale de l’époque réprouvait.
Ben oui, comme le travail de nuit était interdit pour les femmes, et pas par galanterie.
-- Naturellement trouble.
Thomas
jr a écrit :
Le 23/11/2014 15:47, Thomas a écrit :
Des femmes, fières et droites, qui ne veulent plus être esclaves.
Des femmes des siècles passées n'étaient pas des esclaves. Ce sont même uniquement des mâles qui allaient combattre à la guerre,
Des mercenaires jusqu'à la révolution. C'est à peu près depuis la conscription que les civils se font bombarder, d'ailleurs. Aujourd'hui quand un soldat meurt à la guerre, ça fait la une des journaux et un incident à l'ONU. Demain, nouvellement syndiqués, les soldats appliqueront leur droit de retrait.
Bref, c'est vrai.
ou qui descendaient dans des mines afin d'assurer le confort thermique de toutes les femmes.
Catherine Maheu, herscheuse au Voreux.
Même des enfants poussaient des wagonnets pendant une bonne partie du XIXème siècle en France. Mais l'extraction dans les fonds de mines, les accidents les plus graves et les plus fréquents, ce sont les hommes qui les assumaient.
jr a écrit :
Le 23/11/2014 15:47, Thomas a écrit :
Des femmes, fières et droites, qui ne veulent plus être esclaves.
Des femmes des siècles passées n'étaient pas des esclaves. Ce sont même
uniquement des mâles qui allaient combattre à la guerre,
Des mercenaires jusqu'à la révolution. C'est à peu près depuis la
conscription que les civils se font bombarder, d'ailleurs. Aujourd'hui quand
un soldat meurt à la guerre, ça fait la une des journaux et un incident à
l'ONU. Demain, nouvellement syndiqués, les soldats appliqueront leur droit de
retrait.
Bref, c'est vrai.
ou qui
descendaient dans des mines afin d'assurer le confort thermique de
toutes les femmes.
Catherine Maheu, herscheuse au Voreux.
Même des enfants poussaient des wagonnets pendant une bonne partie du
XIXème siècle en France. Mais l'extraction dans les fonds de mines, les
accidents les plus graves et les plus fréquents, ce sont les hommes qui
les assumaient.
Des femmes, fières et droites, qui ne veulent plus être esclaves.
Des femmes des siècles passées n'étaient pas des esclaves. Ce sont même uniquement des mâles qui allaient combattre à la guerre,
Des mercenaires jusqu'à la révolution. C'est à peu près depuis la conscription que les civils se font bombarder, d'ailleurs. Aujourd'hui quand un soldat meurt à la guerre, ça fait la une des journaux et un incident à l'ONU. Demain, nouvellement syndiqués, les soldats appliqueront leur droit de retrait.
Bref, c'est vrai.
ou qui descendaient dans des mines afin d'assurer le confort thermique de toutes les femmes.
Catherine Maheu, herscheuse au Voreux.
Même des enfants poussaient des wagonnets pendant une bonne partie du XIXème siècle en France. Mais l'extraction dans les fonds de mines, les accidents les plus graves et les plus fréquents, ce sont les hommes qui les assumaient.
Thomas
Anne G avait écrit le 23/11/2014 :
Le 23/11/14 07:47, Thomas a écrit :
Des femmes des siècles passées n'étaient pas des esclaves. Ce sont même uniquement des mâles qui allaient combattre à la guerre,
"A la fin du XIXe siècle, des lois ont progressivement interdit, dans tous les pays européens, le travail des femmes au fond de la mine, [...] en raison d’une promiscuité homme/femme que la morale de l’époque réprouvait.
Vous citez bien court...
Les femmes ont longtemps travaillé à côté des hommes, tant au fond qu’au jour. Sous terre, *leur rôle se limite au chargement et au transport* des produits extraits. En surface, sur le carreau, elles exécutent différentes tâches allant de l’entretien des lampes et le nettoyage des bains-douches à des travaux plus lourds et insalubres liés au triage et au lavage des minerais et du charbon ainsi qu’à la mise à décharge des stériles. Quand elles *quittent la mine* , *souvent après leur mariage* , c’est pour s’occuper de leur ménage et vivre journellement dans la hantise qu’un accident vienne leur enlever mari et enfants. A la fin du XIXe siècle, des lois ont progressivement interdit, dans tous les pays européens, le travail des femmes au fond de la mine, non seulement *en raison de la dureté du travail* mais aussi en raison d’une promiscuité homme/femme que la morale de l’époque réprouvait.
Anne G avait écrit le 23/11/2014 :
Le 23/11/14 07:47, Thomas a écrit :
Des femmes des siècles passées n'étaient pas des esclaves. Ce sont même
uniquement des mâles qui allaient combattre à la guerre,
"A la fin du XIXe siècle, des lois ont progressivement interdit, dans tous
les pays européens, le travail des femmes au fond de la mine, [...] en raison
d’une promiscuité homme/femme que la morale de l’époque réprouvait.
Vous citez bien court...
Les femmes ont longtemps travaillé à côté
des hommes, tant au fond qu’au jour. Sous terre,
*leur rôle se limite au chargement et au transport*
des produits extraits. En surface, sur le carreau,
elles exécutent différentes tâches allant
de l’entretien des lampes et le nettoyage
des bains-douches à des travaux plus lourds
et insalubres liés au triage et au lavage
des minerais et du charbon ainsi qu’à la mise
à décharge des stériles.
Quand elles *quittent la mine* , *souvent après leur mariage* ,
c’est pour s’occuper de leur ménage
et vivre journellement dans la hantise qu’un
accident vienne leur enlever mari et enfants.
A la fin du XIXe siècle, des lois ont progressivement
interdit, dans tous les pays européens, le travail
des femmes au fond de la mine, non seulement
*en raison de la dureté du travail* mais aussi en
raison d’une promiscuité homme/femme que la
morale de l’époque réprouvait.
"A la fin du XIXe siècle, des lois ont progressivement interdit, dans tous les pays européens, le travail des femmes au fond de la mine, [...] en raison d’une promiscuité homme/femme que la morale de l’époque réprouvait.
Vous citez bien court...
Les femmes ont longtemps travaillé à côté des hommes, tant au fond qu’au jour. Sous terre, *leur rôle se limite au chargement et au transport* des produits extraits. En surface, sur le carreau, elles exécutent différentes tâches allant de l’entretien des lampes et le nettoyage des bains-douches à des travaux plus lourds et insalubres liés au triage et au lavage des minerais et du charbon ainsi qu’à la mise à décharge des stériles. Quand elles *quittent la mine* , *souvent après leur mariage* , c’est pour s’occuper de leur ménage et vivre journellement dans la hantise qu’un accident vienne leur enlever mari et enfants. A la fin du XIXe siècle, des lois ont progressivement interdit, dans tous les pays européens, le travail des femmes au fond de la mine, non seulement *en raison de la dureté du travail* mais aussi en raison d’une promiscuité homme/femme que la morale de l’époque réprouvait.
Thomas
jr a couché sur son écran :
Anne G wrote:
Le 23/11/14 07:47, Thomas a écrit :
Des femmes des siècles passées n'étaient pas des esclaves. Ce sont même uniquement des mâles qui allaient combattre à la guerre,
"A la fin du XIXe siècle, des lois ont progressivement interdit, dans tous les pays européens, le travail des femmes au fond de la mine, [...] en raison d’une promiscuité homme/femme que la morale de l’époque réprouvait.
Ben oui, comme le travail de nuit était interdit pour les femmes, et pas par galanterie.
Pourquoi alors ?
jr a couché sur son écran :
Anne G <ann.guille@gmail_anti-spam_.com.invalid> wrote:
Le 23/11/14 07:47, Thomas a écrit :
Des femmes des siècles passées n'étaient pas des esclaves. Ce sont même
uniquement des mâles qui allaient combattre à la guerre,
"A la fin du XIXe siècle, des lois ont progressivement interdit, dans
tous les pays européens, le travail des femmes au fond de la mine, [...]
en raison d’une promiscuité homme/femme que la morale de l’époque
réprouvait.
Ben oui, comme le travail de nuit était interdit pour les femmes, et pas
par galanterie.
"A la fin du XIXe siècle, des lois ont progressivement interdit, dans tous les pays européens, le travail des femmes au fond de la mine, [...] en raison d’une promiscuité homme/femme que la morale de l’époque réprouvait.
Ben oui, comme le travail de nuit était interdit pour les femmes, et pas par galanterie.
Pourquoi alors ?
jr
Thomas wrote:
jr a couché sur son écran :
Anne G wrote:
Le 23/11/14 07:47, Thomas a écrit :
Des femmes des siècles passées n'étaient pas des esclaves. Ce sont même
uniquement des mâles qui allaient combattre à la guerre,
descendaient dans des mines afin d'assurer le confort thermique de toutes les femmes.
http://sites.univ-provence.fr/mines/Themes/theme_societe/societe_iconographie/societe_1.jpg "A la fin du XIXe siècle, des lois ont progressivement interdit, dans >> tous les pays européens, le travail des femmes au fond de la mine,
[...] >> en raison d’une promiscuité homme/femme que la morale de l’époque >> réprouvait.
Ben oui, comme le travail de nuit était interdit pour les femmes, et pas par galanterie.
Pourquoi alors ?
On n'interdit pas par galanterie, voyez-vous. La place de la femme était à la maison, et les femmes, la nuit, Dieu sait ce que ça peut faire. En plus ça fait des emplois réservés aux mecs.
Il s'agit du travail salarié, évidemment, celui qui fait sortir et rend indépendant. Pour traire les vaches à 5h, pas de souci.
-- Naturellement trouble.
Thomas <ThxxxGr@gmail.com> wrote:
jr a couché sur son écran :
Anne G <ann.guille@gmail_anti-spam_.com.invalid> wrote:
Le 23/11/14 07:47, Thomas a écrit :
Des femmes des siècles passées n'étaient pas des esclaves. Ce sont même
uniquement des mâles qui allaient combattre à la guerre,
descendaient dans des mines afin d'assurer le confort thermique de
toutes les femmes.
http://sites.univ-provence.fr/mines/Themes/theme_societe/societe_iconographie/societe_1.jpg
"A la fin du XIXe siècle, des lois ont progressivement interdit, dans
>> tous les pays européens, le travail des femmes au fond de la mine,
[...] >> en raison d’une promiscuité homme/femme que la morale de
l’époque >> réprouvait.
Ben oui, comme le travail de nuit était interdit pour les femmes, et pas
par galanterie.
Pourquoi alors ?
On n'interdit pas par galanterie, voyez-vous. La place de la femme était à
la maison, et les femmes, la nuit, Dieu sait ce que ça peut faire. En plus
ça fait des emplois réservés aux mecs.
Il s'agit du travail salarié, évidemment, celui qui fait sortir et rend
indépendant. Pour traire les vaches à 5h, pas de souci.
descendaient dans des mines afin d'assurer le confort thermique de toutes les femmes.
http://sites.univ-provence.fr/mines/Themes/theme_societe/societe_iconographie/societe_1.jpg "A la fin du XIXe siècle, des lois ont progressivement interdit, dans >> tous les pays européens, le travail des femmes au fond de la mine,
[...] >> en raison d’une promiscuité homme/femme que la morale de l’époque >> réprouvait.
Ben oui, comme le travail de nuit était interdit pour les femmes, et pas par galanterie.
Pourquoi alors ?
On n'interdit pas par galanterie, voyez-vous. La place de la femme était à la maison, et les femmes, la nuit, Dieu sait ce que ça peut faire. En plus ça fait des emplois réservés aux mecs.
Il s'agit du travail salarié, évidemment, celui qui fait sortir et rend indépendant. Pour traire les vaches à 5h, pas de souci.
-- Naturellement trouble.
Thomas
Dominique de Corse a exposé le 23/11/2014 :
Thomas wrote:
Oui mais pour monter dans une grue, il faut des couilles.
Ha, bon? Pourtant les femmes se servent de leurs mains :
Ça aussi, ça existe: http://atlebon.perso.neuf.fr/images/Mouton.jpg
jr
Thomas wrote:
jr a écrit :
Le 23/11/2014 15:47, Thomas a écrit :
Des femmes, fières et droites, qui ne veulent plus être esclaves.
Des femmes des siècles passées n'étaient pas des esclaves. Ce sont même uniquement des mâles qui allaient combattre à la guerre,
Des mercenaires jusqu'à la révolution. C'est à peu près depuis la > conscription que les civils se font bombarder, d'ailleurs. Aujourd'hui quand > un soldat meurt à la guerre, ça fait la une des journaux et un incident à > l'ONU. Demain, nouvellement syndiqués, les soldats appliqueront leur droit de > retrait.
Bref, c'est vrai.
Vous ne connaissez pas le sens de mercenaire? Ce n'est pas "pauvre victime du système matriarcal".
Même des enfants poussaient des wagonnets pendant une bonne partie du XIXème siècle en France. Mais l'extraction dans les fonds de mines, les accidents les plus graves et les plus fréquents, ce sont les hommes qui les assumaient.
Vous croyez vraiment que les postes étaient ouverts aux femmes et que c'est par pur héroïsme que les hommes y allaient?
-- Naturellement trouble.
Thomas <ThxxxGr@gmail.com> wrote:
jr a écrit :
Le 23/11/2014 15:47, Thomas a écrit :
Des femmes, fières et droites, qui ne veulent plus être esclaves.
Des femmes des siècles passées n'étaient pas des esclaves. Ce sont même
uniquement des mâles qui allaient combattre à la guerre,
Des mercenaires jusqu'à la révolution. C'est à peu près depuis la >
conscription que les civils se font bombarder, d'ailleurs. Aujourd'hui
quand > un soldat meurt à la guerre, ça fait la une des journaux et un
incident à > l'ONU. Demain, nouvellement syndiqués, les soldats
appliqueront leur droit de > retrait.
Bref, c'est vrai.
Vous ne connaissez pas le sens de mercenaire? Ce n'est pas "pauvre victime
du système matriarcal".
Même des enfants poussaient des wagonnets pendant une bonne partie du
XIXème siècle en France. Mais l'extraction dans les fonds de mines, les
accidents les plus graves et les plus fréquents, ce sont les hommes qui les assumaient.
Vous croyez vraiment que les postes étaient ouverts aux femmes et que c'est
par pur héroïsme que les hommes y allaient?
Des femmes, fières et droites, qui ne veulent plus être esclaves.
Des femmes des siècles passées n'étaient pas des esclaves. Ce sont même uniquement des mâles qui allaient combattre à la guerre,
Des mercenaires jusqu'à la révolution. C'est à peu près depuis la > conscription que les civils se font bombarder, d'ailleurs. Aujourd'hui quand > un soldat meurt à la guerre, ça fait la une des journaux et un incident à > l'ONU. Demain, nouvellement syndiqués, les soldats appliqueront leur droit de > retrait.
Bref, c'est vrai.
Vous ne connaissez pas le sens de mercenaire? Ce n'est pas "pauvre victime du système matriarcal".
Même des enfants poussaient des wagonnets pendant une bonne partie du XIXème siècle en France. Mais l'extraction dans les fonds de mines, les accidents les plus graves et les plus fréquents, ce sont les hommes qui les assumaient.
Vous croyez vraiment que les postes étaient ouverts aux femmes et que c'est par pur héroïsme que les hommes y allaient?