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Une institutrice gifle un élève

206 réponses
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Hellmer
Bonjour
Peu avant les vacances de paques l'institutrice de CE2 de mon fils a giflé
celui-ci en classe devant tous ces camarades.

A ma demande un reunion aura lieu pour en discuter avec le directeur de
l'écolé et l'institutrice en question.

Je me demande quels sont les sanctions que risque cette institutrice.

Je précise que je ne cherche pas forcement a porter plainte d'une manière ou
d'une autre mais je souhaite juste etre informé avant cette reunion.
Merci pour vos réponses.


PS : Merci de m'épargner le classique si elle l'a giflé c'est qu'il le
méritait. Ce n'est pas le problème.

10 réponses

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leplouc
Droger Jean-Paul wrote:

>> Cependant, de nos jours les instits ne sont plus des instituteurs, mais
>> des fonctionnaires. Il ne font plus ça par vocation (disont 85% d'entre
>> eux) mais pour les avantages (je pense notamment aux vacances, les
>> horaires...)...



et aussi sans doute pour les bas salaires!!!



Il y a plus bas, rassurez-vous...

La maitresse de mon fils, qui doit avoir mon age, a une maison en centre
ville (Toulouse), une belle bagnole, les avantages de pouvoir aussi la
garer dans la cour de l'ecole (on a reduit la taille de la cour pour
garer des voitures), et je ne penses pas qu'elle soit a plaindre.
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Clotaire
> ouais moi c'est pas si vieux mais ca lamit toujours..

tout se perd
------------------------------------
Tout fout le camp. Les bonnes traditions se perdent. Aujoud'hui ce sont
nos morveux qui tapent les profs.



Ils se croient tout permis ! :)
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Clotaire
>> Pas si vieux, fin des années 70 debut 80 , mon instituteur n'héistait pas
à mettre une baffle sur necessaire.



Une bonne claque dans la gueule au bon moment c'est excellent pour
l'éducation.


Une quand c'est bien mérité ça permet de fixer pour longtemps la limite à ne
pas dépasser.
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Clotaire
>> Une bonne claque dans la gueule au bon moment c'est excellent pour
l'éducation.



J'ai le souvenir de coups de ceinture de la part de mon père ... et je ne
peux pas dire que je ne m'en porte pas plus mal.
J'ai toujours été marqué par cet accès de violence, il y a pourtant plus
de 45 ans.



Une gifle n'est pas un comportement violent récurrent, n'exagérons rien !

Nos rapports en ont été affectés après que l'âge adulte soit atteint.
Et la faute en question, à l'école ... eh bien ce n'était même pas moi qui
était en cause,
çà a été prouvé par la suite.

Qu'est-ce que çà m'a appris ?
Que celui qui a le pouvoir a toujours raison.
Que même les siens peuvent devenir des étrangers.
Et pourtant mon père n'était pas un sadique, juste un français moyen
(sic).
Et il m'aimait.
Celà m'a-t'il servi pour vivre en société ?
Oui, si on considère la méfiance d'autrui comme une qualité ou un atout.
Est-ce là la société que nous voulons pour nos enfants ?

La violence immédiate a ceci de définitif qu'elle enlève toute vélléité de
contestation,
nie le droit à la défense et donc ouvre la voie à toutes les erreurs
possibles.
Ce que plus tard et sous d'autres auspices on nomme erreur judiciaire ...

Gérard hors charte.



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Clotaire
"Benoit Leraillez" a écrit dans le
message de news:
1hw91n0.1d91gym1s0ypeoN%
Serge wrote:

Personnellement je fais partie d'une génération où c'était courant....
Et les coups de règle métallique sur les doigts.....



J'ai eu le droit de participer à une bonne punition : le fautif
allongé sur la table et tout le monde en file d'attente une règle à la
main pour lui envoyer chacun un coup sur les fesses. On n'a pas vraiment
tapé (normalement si tu ne tapais pas assez fort tu prenais sa place) et
tout le monde, mais tout le monde, a compris qu'il valait mieux être
sage et écouter pour apprendre et non faire les ©ons.



Je trouve que c'est une punition parfaitement sadique


Et ma fois je ne m'en porte pas plus mal.....



Moi non plus. Cette année, à la réunion parent/directeur de début
d'année, une maman à stipuler qu'il ne fallait surtout pas toucher à son
fils, j'ai immédiatement dit que les miens pouvait parfaitement se faire
botter le ©ul s'ils le méritaient. Et j'avais une large majorité
derrière moi.

J'en ai marre de ces soixante-huitarts-tardés.

--
Les gens sans humour manquent de sérieux.


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Djeel
Le Plouc wrote:

La maitresse de mon fils, qui doit avoir mon age, a une maison en
centre ville (Toulouse), une belle bagnole, les avantages de pouvoir
aussi la garer dans la cour de l'ecole (on a reduit la taille de la
cour pour
garer des voitures), et je ne penses pas qu'elle soit a plaindre.



http://www.grenoble.iufm.fr/devenir/parcour2.htm

--
Djeel
Avatar
anneleguennec
Droger Jean-Paul wrote:

>
et aussi sans doute pour les bas salaires!!!



Il ne sait plus citer correctement, MesNews ?

Mérite des baffes, tiens :=))
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leplouc
Djeel wrote:

http://www.grenoble.iufm.fr/devenir/parcour2.htm



Oui, et alors, je ne critique pas les enseignants, loin de la, je
critiques tout ceux qui regardent ce que leurs voisnins possedent. Rever
de ce que son voisin possede, c'est oublier beaucoup d'autres choses.
J'en ai eu des occasions de rentrer dans la fonction publique, mais cela
ne m'interesse pas.

Alors, bonne soiree quand meme.
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JP_L
On 7 avr, 20:13, "Bernard PELLE" wrote:
Bonjour,

"Hellmer" <hellmer> a écrit dans le message de news:
4617db5c$0$32292$

> Je me posais la question juste pour savoir les sanctions possibles dans le
> cas général

sanctions lourdes, c'est ça le pire !



Même défendue par Me C. (le célébre avocat parisien), dans l'Aude, il
y a peu d'années, la famille d'un enfant "pied-au-culté" par l'instit
a été déboutée en correctionnelle et l'Inspecteur d'Académie est venu
à l'école réinstaller l'instit suspendu.
La solution est effectivement de demander, non pas des comptes, mais
des explications et tout en réaffirmant un total désaccord avec cette
gifle de chercher où est l'intérêt de l'enfant.
Avatar
JP_L
On 8 avr, 12:13, "Corinne" wrote:
> Peut-être qu'avec quelques taloches jeunes, y'aurait moins de délin quance
> plus tard !

C'est comme cela qu'on encourage les comportements sadiques. Vous croyez que
tous les professeurs sont des saints ?
Et puis à votre époque comme vous dites, ils étaient d'une autre tr empe que
ceux d'aujourd'hui. Ceux qui donnaient une baffe étaient sortis d'un au tre
moule que les fonctionnaires actuels du corps enseignant, en particulier ils
ne faisaient pas grève sur grève et n'endoctrinaient pas leurs él éves -
mineurs - avec des considérations politiques et des descentes dans la r ue
les veilles d'élections.
Et quid des élèves de plus en plus nombreux qui agressent violemment les
profs, surtout femmes, ils reçoivent des sanctions eux ?



bonsoir, je pense qu'il ne sert à rien de toujours comparer le monde
dans lequel nous vivions il y à 50 ans à l'école, à la maison, sans
les médias, de comparer le rôle des instits et le fonctionnement des
relations sociales: famille, quartier ou village, mairie, école, du
siècle dernier avec la société nouvelle dans laquelle nous sommes
déboussolés, sans repères, vieux autant que jeunes. C'est à nous les
adultes de dire les valeurs morales - telles que respect d'une
fonction et de celui qui la représente mais aussi respect et
protection de l'enfant et de l'adolescent - et de les intégrer de les
insérer dans toute la modernité actuelle.
--
Jean-Pierre
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