Lorsque je film couleur est sorti, tout le monde s'est rué dessus... Aujourd'hui, beaucoup de photographes y reviennent parce qu'on se rend compte que ça apporte quand même un cachet que n'offre pas la couleur. Laissez la mode s'essouffler un peu et nous en reparlerons.
béber a écrit:
avec le numérique, y'a t'il un risque de voir les pellicules disparaitre dans le moyen terme? disons une 15aine d'années?
Lorsque je film couleur est sorti, tout le monde s'est rué dessus...
Aujourd'hui, beaucoup de photographes y reviennent parce qu'on se rend
compte que ça apporte quand même un cachet que n'offre pas la couleur.
Laissez la mode s'essouffler un peu et nous en reparlerons.
béber a écrit:
avec le numérique, y'a t'il un risque de voir les pellicules disparaitre
dans le moyen terme? disons une 15aine d'années?
Lorsque je film couleur est sorti, tout le monde s'est rué dessus... Aujourd'hui, beaucoup de photographes y reviennent parce qu'on se rend compte que ça apporte quand même un cachet que n'offre pas la couleur. Laissez la mode s'essouffler un peu et nous en reparlerons.
béber a écrit:
avec le numérique, y'a t'il un risque de voir les pellicules disparaitre dans le moyen terme? disons une 15aine d'années?
Jean-Marc Becker
Je pense qu'il subsistera toujours un marché de niche. Il n'y aura sans doute plus d'évolution fondamentale des pellicules, mais je pense qu'on en
trouvera encore longtemps, en tout cas en NB et diapo.
oui le nombre de personne pratiquant l'argentique dans 15 ans sera probablement le même que celui qui pratiquent le sténopé aujourd'hui
Tout est question de sensualité. Pour moi, l'argentique, le sténopé, ont un côté charnel qui fait partie intégrante de la chaîne photographique. J'entends, je vois, je sens l'appareil, le film, l'optique que je choisis, fût-elle un simple trou. Je suis dans l'appareil, je sais ce qui s'y passe à chaque étape. L'image résultante est le prolongement d'une série de processus intelligibles et maîtrisables. Un bel appareil tout mécanique me met en prise directe avec ce que je photographie. Avec le numérique, j'ai le sentiment que tout est virtuel, qu'un système extérieur à moi décide pour moi à travers un écran plein de signes cabalistiques. Je comparerais volontiers la démarche de l'argentique à celle du jardinier qui fait pousser ses salades dont il a amoureusement élevé les graines. On peut aussi acheter sa salade au rayon du supermarché.
JMB
Je pense qu'il subsistera toujours un marché de niche. Il n'y aura sans
doute plus d'évolution fondamentale des pellicules, mais je pense qu'on
en
trouvera encore longtemps, en tout cas en NB et diapo.
oui le nombre de personne pratiquant l'argentique dans 15 ans
sera probablement le même que celui qui pratiquent le sténopé aujourd'hui
Tout est question de sensualité.
Pour moi, l'argentique, le sténopé, ont un côté charnel qui fait partie
intégrante de la chaîne photographique. J'entends, je vois, je sens
l'appareil, le film, l'optique que je choisis, fût-elle un simple trou. Je
suis dans l'appareil, je sais ce qui s'y passe à chaque étape. L'image
résultante est le prolongement d'une série de processus intelligibles et
maîtrisables.
Un bel appareil tout mécanique me met en prise directe avec ce que je
photographie.
Avec le numérique, j'ai le sentiment que tout est virtuel, qu'un système
extérieur à moi décide pour moi à travers un écran plein de signes
cabalistiques.
Je comparerais volontiers la démarche de l'argentique à celle du jardinier
qui fait pousser ses salades dont il a amoureusement élevé les graines.
On peut aussi acheter sa salade au rayon du supermarché.
Je pense qu'il subsistera toujours un marché de niche. Il n'y aura sans doute plus d'évolution fondamentale des pellicules, mais je pense qu'on en
trouvera encore longtemps, en tout cas en NB et diapo.
oui le nombre de personne pratiquant l'argentique dans 15 ans sera probablement le même que celui qui pratiquent le sténopé aujourd'hui
Tout est question de sensualité. Pour moi, l'argentique, le sténopé, ont un côté charnel qui fait partie intégrante de la chaîne photographique. J'entends, je vois, je sens l'appareil, le film, l'optique que je choisis, fût-elle un simple trou. Je suis dans l'appareil, je sais ce qui s'y passe à chaque étape. L'image résultante est le prolongement d'une série de processus intelligibles et maîtrisables. Un bel appareil tout mécanique me met en prise directe avec ce que je photographie. Avec le numérique, j'ai le sentiment que tout est virtuel, qu'un système extérieur à moi décide pour moi à travers un écran plein de signes cabalistiques. Je comparerais volontiers la démarche de l'argentique à celle du jardinier qui fait pousser ses salades dont il a amoureusement élevé les graines. On peut aussi acheter sa salade au rayon du supermarché.
JMB
fred bleu11
Je pense qu'il subsistera toujours un marché de niche. Il n'y aura sans doute plus d'évolution fondamentale des pellicules, mais je pense qu'on
en
trouvera encore longtemps, en tout cas en NB et diapo.
oui le nombre de personne pratiquant l'argentique dans 15 ans sera probablement le même que celui qui pratiquent le sténopé aujourd'hui
Tout est question de sensualité. Pour moi, l'argentique, le sténopé, ont un côté charnel qui fait partie intégrante de la chaîne photographique. J'entends, je vois, je sens l'appareil, le film, l'optique que je choisis, fût-elle un simple trou. Je suis dans l'appareil, je sais ce qui s'y passe à chaque étape. L'image résultante est le prolongement d'une série de processus intelligibles et maîtrisables. Un bel appareil tout mécanique me met en prise directe avec ce que je photographie. Avec le numérique, j'ai le sentiment que tout est virtuel, qu'un système extérieur à moi décide pour moi à travers un écran plein de signes cabalistiques. Je comparerais volontiers la démarche de l'argentique à celle du jardinier qui fait pousser ses salades dont il a amoureusement élevé les graines. On peut aussi acheter sa salade au rayon du supermarché.
JMB
-- "http://motments.free.fr/"
Je pense qu'il subsistera toujours un marché de niche. Il n'y aura sans
doute plus d'évolution fondamentale des pellicules, mais je pense qu'on
en
trouvera encore longtemps, en tout cas en NB et diapo.
oui le nombre de personne pratiquant l'argentique dans 15 ans
sera probablement le même que celui qui pratiquent le sténopé aujourd'hui
Tout est question de sensualité.
Pour moi, l'argentique, le sténopé, ont un côté charnel qui fait partie
intégrante de la chaîne photographique. J'entends, je vois, je sens
l'appareil, le film, l'optique que je choisis, fût-elle un simple trou. Je
suis dans l'appareil, je sais ce qui s'y passe à chaque étape. L'image
résultante est le prolongement d'une série de processus intelligibles et
maîtrisables.
Un bel appareil tout mécanique me met en prise directe avec ce que je
photographie.
Avec le numérique, j'ai le sentiment que tout est virtuel, qu'un système
extérieur à moi décide pour moi à travers un écran plein de signes
cabalistiques.
Je comparerais volontiers la démarche de l'argentique à celle du jardinier
qui fait pousser ses salades dont il a amoureusement élevé les graines.
On peut aussi acheter sa salade au rayon du supermarché.
Je pense qu'il subsistera toujours un marché de niche. Il n'y aura sans doute plus d'évolution fondamentale des pellicules, mais je pense qu'on
en
trouvera encore longtemps, en tout cas en NB et diapo.
oui le nombre de personne pratiquant l'argentique dans 15 ans sera probablement le même que celui qui pratiquent le sténopé aujourd'hui
Tout est question de sensualité. Pour moi, l'argentique, le sténopé, ont un côté charnel qui fait partie intégrante de la chaîne photographique. J'entends, je vois, je sens l'appareil, le film, l'optique que je choisis, fût-elle un simple trou. Je suis dans l'appareil, je sais ce qui s'y passe à chaque étape. L'image résultante est le prolongement d'une série de processus intelligibles et maîtrisables. Un bel appareil tout mécanique me met en prise directe avec ce que je photographie. Avec le numérique, j'ai le sentiment que tout est virtuel, qu'un système extérieur à moi décide pour moi à travers un écran plein de signes cabalistiques. Je comparerais volontiers la démarche de l'argentique à celle du jardinier qui fait pousser ses salades dont il a amoureusement élevé les graines. On peut aussi acheter sa salade au rayon du supermarché.
JMB
-- "http://motments.free.fr/"
claude
"Jean-Marc Becker" a écrit dans le message de news:c6vk9r$gmf$
Tout est question de sensualité.
Pour moi, l'argentique, le sténopé, ont un côté charnel qui fait partie intégrante de la chaîne photographique. J'entends, je vois, je sens l'appareil, le film, l'optique que je choisis, fût-elle un simple trou. Je suis dans l'appareil, je sais ce qui s'y passe à chaque étape. L'image résultante est le prolongement d'une série de processus intelligibles et maîtrisables. Un bel appareil tout mécanique me met en prise directe avec ce que je photographie. Avec le numérique, j'ai le sentiment que tout est virtuel, qu'un système extérieur à moi décide pour moi à travers un écran plein de signes cabalistiques. Je comparerais volontiers la démarche de l'argentique à celle du jardinier qui fait pousser ses salades dont il a amoureusement élevé les graines. On peut aussi acheter sa salade au rayon du supermarché.
tant mieux si vous connaissez le trajet des rayons dans un zoom et si cela
est sensuel pour vous . En ce qui me concerne c'est le rendu image, son chomatisme, la composition et surtout son expression qui me donnent du plaisir et, bien qu'en connaissant bien des aspects, je ne suis pas faché de parfois laisser la technique de côté. Bien entendu la maîtriser si nécessaire. je ne vois pas le sensuel dans une ouverture d'iris ou dans un obturateur !
"Jean-Marc Becker" <no.adress@nowhere.com> a écrit dans le message de
news:c6vk9r$gmf$1@news-reader1.wanadoo.fr...
Tout est question de sensualité.
Pour moi, l'argentique, le sténopé, ont un côté charnel qui fait partie
intégrante de la chaîne photographique. J'entends, je vois, je sens
l'appareil, le film, l'optique que je choisis, fût-elle un simple trou. Je
suis dans l'appareil, je sais ce qui s'y passe à chaque étape. L'image
résultante est le prolongement d'une série de processus intelligibles et
maîtrisables.
Un bel appareil tout mécanique me met en prise directe avec ce que je
photographie.
Avec le numérique, j'ai le sentiment que tout est virtuel, qu'un système
extérieur à moi décide pour moi à travers un écran plein de signes
cabalistiques.
Je comparerais volontiers la démarche de l'argentique à celle du jardinier
qui fait pousser ses salades dont il a amoureusement élevé les graines.
On peut aussi acheter sa salade au rayon du supermarché.
tant mieux si vous connaissez le trajet des rayons dans un zoom et si cela
est sensuel pour vous .
En ce qui me concerne c'est le rendu image, son chomatisme, la composition
et surtout son expression qui me donnent du plaisir et, bien qu'en
connaissant bien des aspects, je ne suis pas faché de parfois laisser la
technique de côté. Bien entendu la maîtriser si nécessaire.
je ne vois pas le sensuel dans une ouverture d'iris ou dans un obturateur !
"Jean-Marc Becker" a écrit dans le message de news:c6vk9r$gmf$
Tout est question de sensualité.
Pour moi, l'argentique, le sténopé, ont un côté charnel qui fait partie intégrante de la chaîne photographique. J'entends, je vois, je sens l'appareil, le film, l'optique que je choisis, fût-elle un simple trou. Je suis dans l'appareil, je sais ce qui s'y passe à chaque étape. L'image résultante est le prolongement d'une série de processus intelligibles et maîtrisables. Un bel appareil tout mécanique me met en prise directe avec ce que je photographie. Avec le numérique, j'ai le sentiment que tout est virtuel, qu'un système extérieur à moi décide pour moi à travers un écran plein de signes cabalistiques. Je comparerais volontiers la démarche de l'argentique à celle du jardinier qui fait pousser ses salades dont il a amoureusement élevé les graines. On peut aussi acheter sa salade au rayon du supermarché.
tant mieux si vous connaissez le trajet des rayons dans un zoom et si cela
est sensuel pour vous . En ce qui me concerne c'est le rendu image, son chomatisme, la composition et surtout son expression qui me donnent du plaisir et, bien qu'en connaissant bien des aspects, je ne suis pas faché de parfois laisser la technique de côté. Bien entendu la maîtriser si nécessaire. je ne vois pas le sensuel dans une ouverture d'iris ou dans un obturateur !
fred bleu11
Je comparerais volontiers la démarche de l'argentique à celle du jardinier qui fait pousser ses salades dont il a amoureusement élevé les graines. On peut aussi acheter sa salade au rayon du supermarché.
moui, franchment je trouve un peu bidon la comparaison.
les pellicules sont fabriquées par millier par jour, sur des machines automatisées. et tu n'en a pas le contrôle.
bref, l'histoire du jardinier qui cultive sa salade, pour avoir un meilleur gout, et de la ménagère qui achéte lidl, des salades sous serres aux hormones, ne fonctionne pas, là... trouve autre chose!
-- "http://motments.free.fr/"
Je comparerais volontiers la démarche de l'argentique à celle du jardinier
qui fait pousser ses salades dont il a amoureusement élevé les graines.
On peut aussi acheter sa salade au rayon du supermarché.
moui, franchment je trouve un peu bidon la comparaison.
les pellicules sont fabriquées par millier par jour, sur des machines
automatisées. et tu n'en a pas le contrôle.
bref, l'histoire du jardinier qui cultive sa salade, pour avoir un
meilleur gout, et de la ménagère qui achéte lidl, des salades sous
serres aux hormones, ne fonctionne pas, là... trouve autre chose!
Je comparerais volontiers la démarche de l'argentique à celle du jardinier qui fait pousser ses salades dont il a amoureusement élevé les graines. On peut aussi acheter sa salade au rayon du supermarché.
moui, franchment je trouve un peu bidon la comparaison.
les pellicules sont fabriquées par millier par jour, sur des machines automatisées. et tu n'en a pas le contrôle.
bref, l'histoire du jardinier qui cultive sa salade, pour avoir un meilleur gout, et de la ménagère qui achéte lidl, des salades sous serres aux hormones, ne fonctionne pas, là... trouve autre chose!
-- "http://motments.free.fr/"
filh
Daniel ROCHA wrote:
Et pourtant ne semble pas très fiable. Au labo, je prends note des cartes défectueuses et je fais mes petites statistiques pour voir si on peut en retirer quelque chose. A ce jour, j'en retire surtout que les SD sont très nettement en tête du nombre de cartes défectueuses et des photos abîmées ou perdues.
Ah... Info intéressante ! Merci.
Pourquoi ? Il y a des Blad à carte SD ?
FiLH
-- Le fondement du constat bougeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Rolland Barthes. http://www.filh.org
Daniel ROCHA <pasdepub.drocha@magic.fr> wrote:
Et pourtant ne semble pas très fiable. Au labo, je prends note des
cartes défectueuses et je fais mes petites statistiques pour voir si
on peut en retirer quelque chose. A ce jour, j'en retire surtout que
les SD sont très nettement en tête du nombre de cartes défectueuses
et des photos abîmées ou perdues.
Ah... Info intéressante ! Merci.
Pourquoi ? Il y a des Blad à carte SD ?
FiLH
--
Le fondement du constat bougeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Rolland Barthes.
http://www.filh.org
Et pourtant ne semble pas très fiable. Au labo, je prends note des cartes défectueuses et je fais mes petites statistiques pour voir si on peut en retirer quelque chose. A ce jour, j'en retire surtout que les SD sont très nettement en tête du nombre de cartes défectueuses et des photos abîmées ou perdues.
Ah... Info intéressante ! Merci.
Pourquoi ? Il y a des Blad à carte SD ?
FiLH
-- Le fondement du constat bougeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Rolland Barthes. http://www.filh.org
Vincent Becker
je ne vois pas le sensuel dans une ouverture d'iris ou dans un obturateur !
Il est pourtant des appareils éminemment sensuels, comme celui-ci:
On finit par avoir avec ce genre d'appareil une vraie relation, ça devient plus qu'un objet/outil.
Mais la sensualité se poursuit aussi après la prise de vue, dans le labo.
-- Vincent Becker Photographie et appareils anciens - Photography and classic cameras <URL:http://www.lumieresenboite.com> Merci de passer par mon site pour les réponses par courriel
je ne vois pas le sensuel dans une ouverture d'iris ou dans un obturateur !
Il est pourtant des appareils éminemment sensuels, comme celui-ci:
On finit par avoir avec ce genre d'appareil une vraie relation, ça devient
plus qu'un objet/outil.
Mais la sensualité se poursuit aussi après la prise de vue, dans le labo.
--
Vincent Becker
Photographie et appareils anciens - Photography and classic cameras
<URL:http://www.lumieresenboite.com>
Merci de passer par mon site pour les réponses par courriel
On finit par avoir avec ce genre d'appareil une vraie relation, ça devient plus qu'un objet/outil.
Mais la sensualité se poursuit aussi après la prise de vue, dans le labo.
-- Vincent Becker Photographie et appareils anciens - Photography and classic cameras <URL:http://www.lumieresenboite.com> Merci de passer par mon site pour les réponses par courriel
filh
Vincent Becker wrote:
On finit par avoir avec ce genre d'appareil une vraie relation, ça devient plus qu'un objet/outil.
Mais la sensualité se poursuit aussi après la prise de vue, dans le labo.
C'est exactement le genre de sensations que j'ai avec mon 4500...
Je l'ai sur moi 18h/24 (sinon je dors et je me douche). Il tombe pile poil dans ma main, quand je fais mes photos floues, il se plie au moindre de mes caprices, le doux rythme du déclanchement le tout léger tchic tchic tchic...
Mon imprimante, quand je la démonte amoureusement pour vider l'éponge, la papier au toucher si velouté, l'encre qui diffuse très légèrement, les noirs profonds et mat (si si)... Le petit bricolage à base de boites de tic-tac bleues pour éviter un petit pb de papier qui plie...
FiLH
-- Le fondement du constat bougeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Rolland Barthes. http://www.filh.org
Vincent Becker <no_address@no_spam> wrote:
On finit par avoir avec ce genre d'appareil une vraie relation, ça devient
plus qu'un objet/outil.
Mais la sensualité se poursuit aussi après la prise de vue, dans le labo.
C'est exactement le genre de sensations que j'ai avec mon 4500...
Je l'ai sur moi 18h/24 (sinon je dors et je me douche). Il tombe pile
poil dans ma main, quand je fais mes photos floues, il se plie au
moindre de mes caprices, le doux rythme du déclanchement le tout léger
tchic tchic tchic...
Mon imprimante, quand je la démonte amoureusement pour vider l'éponge,
la papier au toucher si velouté, l'encre qui diffuse très légèrement,
les noirs profonds et mat (si si)... Le petit bricolage à base de boites
de tic-tac bleues pour éviter un petit pb de papier qui plie...
FiLH
--
Le fondement du constat bougeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Rolland Barthes.
http://www.filh.org
On finit par avoir avec ce genre d'appareil une vraie relation, ça devient plus qu'un objet/outil.
Mais la sensualité se poursuit aussi après la prise de vue, dans le labo.
C'est exactement le genre de sensations que j'ai avec mon 4500...
Je l'ai sur moi 18h/24 (sinon je dors et je me douche). Il tombe pile poil dans ma main, quand je fais mes photos floues, il se plie au moindre de mes caprices, le doux rythme du déclanchement le tout léger tchic tchic tchic...
Mon imprimante, quand je la démonte amoureusement pour vider l'éponge, la papier au toucher si velouté, l'encre qui diffuse très légèrement, les noirs profonds et mat (si si)... Le petit bricolage à base de boites de tic-tac bleues pour éviter un petit pb de papier qui plie...
FiLH
-- Le fondement du constat bougeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Rolland Barthes. http://www.filh.org
Vincent Becker
C'est exactement le genre de sensations que j'ai avec mon 4500...
Ah bon... Pour en manipuler un régulièrement (c'est ce qu'on a dans le service), je ne vois pas ce qu'on peut trouver à ce machin, mais bon, si il te plaît c'est bien tout ce qui compte...
-- Vincent Becker Photographie et appareils anciens - Photography and classic cameras <URL:http://www.lumieresenboite.com> Merci de passer par mon site pour les réponses par courriel
C'est exactement le genre de sensations que j'ai avec mon 4500...
Ah bon... Pour en manipuler un régulièrement (c'est ce qu'on a dans le
service), je ne vois pas ce qu'on peut trouver à ce machin, mais bon, si il
te plaît c'est bien tout ce qui compte...
--
Vincent Becker
Photographie et appareils anciens - Photography and classic cameras
<URL:http://www.lumieresenboite.com>
Merci de passer par mon site pour les réponses par courriel
C'est exactement le genre de sensations que j'ai avec mon 4500...
Ah bon... Pour en manipuler un régulièrement (c'est ce qu'on a dans le service), je ne vois pas ce qu'on peut trouver à ce machin, mais bon, si il te plaît c'est bien tout ce qui compte...
-- Vincent Becker Photographie et appareils anciens - Photography and classic cameras <URL:http://www.lumieresenboite.com> Merci de passer par mon site pour les réponses par courriel
Daniel Masse
béber wrote:
avec le numérique, y'a t'il un risque de voir les pellicules disparaitre dans le moyen terme? disons une 15aine d'années?
Je viens de parcourir tout ce (long !) fil, et je suis surpris que personne n'ait mentionné la diapo. Pour moi, rien ne vaut la diapo projetée sur un écran assez grand (au moins 1,8 à 2m, plus si possible). De plus, cela ne coûte pas cher...
Pour l'instant, je n'ai pas encore vu d'image numérique projetée sur écran assez grand, et dont la qualité soit comparable à celle d'une diapo.
La question est : y a-t-il suffisamment de photographes qui pensent comme moi ?
La qualité de l'image projetée par un vidéoprojecteur est limitée par la technique : cette technique s'améliorera, c'est certain, mais les prix resteront prohibitifs, si le nombre d'utilisateurs reste faible.
Pourquoi dépenser une fortune pour obtenir par le numérique une qualité que l'on obtient facilement et à moindre coût avec une diapo argentique, et un projecteur traditionnel ?
béber wrote:
avec le numérique, y'a t'il un risque de voir les pellicules
disparaitre dans le moyen terme? disons une 15aine d'années?
Je viens de parcourir tout ce (long !) fil, et je suis surpris que personne
n'ait mentionné la diapo. Pour moi, rien ne vaut la diapo projetée sur un
écran assez grand (au moins 1,8 à 2m, plus si possible). De plus, cela ne
coûte pas cher...
Pour l'instant, je n'ai pas encore vu d'image numérique projetée sur écran
assez grand, et dont la qualité soit comparable à celle d'une diapo.
La question est : y a-t-il suffisamment de photographes qui pensent comme
moi ?
La qualité de l'image projetée par un vidéoprojecteur est limitée par la
technique : cette technique s'améliorera, c'est certain, mais les prix
resteront prohibitifs, si le nombre d'utilisateurs reste faible.
Pourquoi dépenser une fortune pour obtenir par le numérique une qualité que
l'on obtient facilement et à moindre coût avec une diapo argentique, et un
projecteur traditionnel ?
avec le numérique, y'a t'il un risque de voir les pellicules disparaitre dans le moyen terme? disons une 15aine d'années?
Je viens de parcourir tout ce (long !) fil, et je suis surpris que personne n'ait mentionné la diapo. Pour moi, rien ne vaut la diapo projetée sur un écran assez grand (au moins 1,8 à 2m, plus si possible). De plus, cela ne coûte pas cher...
Pour l'instant, je n'ai pas encore vu d'image numérique projetée sur écran assez grand, et dont la qualité soit comparable à celle d'une diapo.
La question est : y a-t-il suffisamment de photographes qui pensent comme moi ?
La qualité de l'image projetée par un vidéoprojecteur est limitée par la technique : cette technique s'améliorera, c'est certain, mais les prix resteront prohibitifs, si le nombre d'utilisateurs reste faible.
Pourquoi dépenser une fortune pour obtenir par le numérique une qualité que l'on obtient facilement et à moindre coût avec une diapo argentique, et un projecteur traditionnel ?
