Le 09-02-2008, Michel Billaud a écrit :SL writes:Le 08-02-2008, Benjamin FRANCOIS a écrit :C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce que Word
lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Oui : c'est peut être une cata pour la personne mais globalement ils
sont des milliers d'autre à en tirer un bénéfice.
Source ?
Source de quoi ? Du fait que l'informatiuqe domestique rend des
services à ses utilisateurs ?
Le 09-02-2008, Michel Billaud <billaud@serveur5.labri.fr> a écrit :
SL <nospam@nospam.fr> writes:
Le 08-02-2008, Benjamin FRANCOIS <kwyxz@kwyxz.org> a écrit :
C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce que Word
lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Oui : c'est peut être une cata pour la personne mais globalement ils
sont des milliers d'autre à en tirer un bénéfice.
Source ?
Source de quoi ? Du fait que l'informatiuqe domestique rend des
services à ses utilisateurs ?
Le 09-02-2008, Michel Billaud a écrit :SL writes:Le 08-02-2008, Benjamin FRANCOIS a écrit :C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce que Word
lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Oui : c'est peut être une cata pour la personne mais globalement ils
sont des milliers d'autre à en tirer un bénéfice.
Source ?
Source de quoi ? Du fait que l'informatiuqe domestique rend des
services à ses utilisateurs ?
Il y a beaucoup de politiciens honnêtes et pas vulgaires, eux.
Il y a beaucoup de politiciens honnêtes et pas vulgaires, eux.
Il y a beaucoup de politiciens honnêtes et pas vulgaires, eux.
finalement, tu opposes deux concepts tout à fait différents: les
"critères d'évaluation" et les "finalités d'emploi".
tu sembles hermétique à l'idée qu'un professionnel puisse être pertinent
pour définir les critères de selection et/ou d'usage d'un soft pour une
finalité donnée, c'est une erreur!
en premier lieu parce que l'info a une fonction de production dans
l'entreprise, la "finalité d'emploi" n'a pas à être à la libre
appréciation de chacun (pas plus que les horaires, le règlement interne
ou toute autre contrainte de l'entreprise).
ensuite parce que mettre cette finalité précise en face d'une solution
particulière (selon des critères d'évaluations divers) est précisemment
un des roles d'une direction informatique.
Sylvain.
finalement, tu opposes deux concepts tout à fait différents: les
"critères d'évaluation" et les "finalités d'emploi".
tu sembles hermétique à l'idée qu'un professionnel puisse être pertinent
pour définir les critères de selection et/ou d'usage d'un soft pour une
finalité donnée, c'est une erreur!
en premier lieu parce que l'info a une fonction de production dans
l'entreprise, la "finalité d'emploi" n'a pas à être à la libre
appréciation de chacun (pas plus que les horaires, le règlement interne
ou toute autre contrainte de l'entreprise).
ensuite parce que mettre cette finalité précise en face d'une solution
particulière (selon des critères d'évaluations divers) est précisemment
un des roles d'une direction informatique.
Sylvain.
finalement, tu opposes deux concepts tout à fait différents: les
"critères d'évaluation" et les "finalités d'emploi".
tu sembles hermétique à l'idée qu'un professionnel puisse être pertinent
pour définir les critères de selection et/ou d'usage d'un soft pour une
finalité donnée, c'est une erreur!
en premier lieu parce que l'info a une fonction de production dans
l'entreprise, la "finalité d'emploi" n'a pas à être à la libre
appréciation de chacun (pas plus que les horaires, le règlement interne
ou toute autre contrainte de l'entreprise).
ensuite parce que mettre cette finalité précise en face d'une solution
particulière (selon des critères d'évaluations divers) est précisemment
un des roles d'une direction informatique.
Sylvain.
Sylvain wrote:finalement, tu opposes deux concepts tout à fait différents: les
"critères d'évaluation" et les "finalités d'emploi".
tu sembles hermétique à l'idée qu'un professionnel puisse être pertinent
pour définir les critères de selection et/ou d'usage d'un soft pour une
finalité donnée, c'est une erreur!
en premier lieu parce que l'info a une fonction de production dans
l'entreprise, la "finalité d'emploi" n'a pas à être à la libre
appréciation de chacun (pas plus que les horaires, le règlement interne
ou toute autre contrainte de l'entreprise).
ensuite parce que mettre cette finalité précise en face d'une solution
particulière (selon des critères d'évaluations divers) est précisemment
un des roles d'une direction informatique.
Toi tu oublies que la fonction informatique dans l'entreprise, c'est d'être
des exécutants au service des autres, et pas des emmerdeurs qui cassent les
c*s de tous leurs collègues, sinon la porte n'est pas loin.
Sylvain wrote:
finalement, tu opposes deux concepts tout à fait différents: les
"critères d'évaluation" et les "finalités d'emploi".
tu sembles hermétique à l'idée qu'un professionnel puisse être pertinent
pour définir les critères de selection et/ou d'usage d'un soft pour une
finalité donnée, c'est une erreur!
en premier lieu parce que l'info a une fonction de production dans
l'entreprise, la "finalité d'emploi" n'a pas à être à la libre
appréciation de chacun (pas plus que les horaires, le règlement interne
ou toute autre contrainte de l'entreprise).
ensuite parce que mettre cette finalité précise en face d'une solution
particulière (selon des critères d'évaluations divers) est précisemment
un des roles d'une direction informatique.
Toi tu oublies que la fonction informatique dans l'entreprise, c'est d'être
des exécutants au service des autres, et pas des emmerdeurs qui cassent les
c*s de tous leurs collègues, sinon la porte n'est pas loin.
Sylvain wrote:finalement, tu opposes deux concepts tout à fait différents: les
"critères d'évaluation" et les "finalités d'emploi".
tu sembles hermétique à l'idée qu'un professionnel puisse être pertinent
pour définir les critères de selection et/ou d'usage d'un soft pour une
finalité donnée, c'est une erreur!
en premier lieu parce que l'info a une fonction de production dans
l'entreprise, la "finalité d'emploi" n'a pas à être à la libre
appréciation de chacun (pas plus que les horaires, le règlement interne
ou toute autre contrainte de l'entreprise).
ensuite parce que mettre cette finalité précise en face d'une solution
particulière (selon des critères d'évaluations divers) est précisemment
un des roles d'une direction informatique.
Toi tu oublies que la fonction informatique dans l'entreprise, c'est d'être
des exécutants au service des autres, et pas des emmerdeurs qui cassent les
c*s de tous leurs collègues, sinon la porte n'est pas loin.
SL writes:Le 09-02-2008, Michel Billaud a écrit :SL writes:Le 08-02-2008, Benjamin FRANCOIS a écrit :C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce que Word
lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Oui : c'est peut être une cata pour la personne mais globalement ils
sont des milliers d'autre à en tirer un bénéfice.
Source ?
Source de quoi ? Du fait que l'informatiuqe domestique rend des
services à ses utilisateurs ?
Source du rapport
une cata
----------------------
des milliers qui en tirent bénéfice
faites au moins un effort pour comprendre ce que vous écrivez.
SL <nospam@nospam.fr> writes:
Le 09-02-2008, Michel Billaud <billaud@serveur5.labri.fr> a écrit :
SL <nospam@nospam.fr> writes:
Le 08-02-2008, Benjamin FRANCOIS <kwyxz@kwyxz.org> a écrit :
C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce que Word
lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Oui : c'est peut être une cata pour la personne mais globalement ils
sont des milliers d'autre à en tirer un bénéfice.
Source ?
Source de quoi ? Du fait que l'informatiuqe domestique rend des
services à ses utilisateurs ?
Source du rapport
une cata
----------------------
des milliers qui en tirent bénéfice
faites au moins un effort pour comprendre ce que vous écrivez.
SL writes:Le 09-02-2008, Michel Billaud a écrit :SL writes:Le 08-02-2008, Benjamin FRANCOIS a écrit :C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce que Word
lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Oui : c'est peut être une cata pour la personne mais globalement ils
sont des milliers d'autre à en tirer un bénéfice.
Source ?
Source de quoi ? Du fait que l'informatiuqe domestique rend des
services à ses utilisateurs ?
Source du rapport
une cata
----------------------
des milliers qui en tirent bénéfice
faites au moins un effort pour comprendre ce que vous écrivez.
SL a écrit :Le 09-02-2008, Michel Billaud a écrit :SL writes:Le 08-02-2008, Benjamin FRANCOIS a écrit :C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce
que Word lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Oui : c'est peut être une cata pour la personne mais globalement
ils sont des milliers d'autre à en tirer un bénéfice.
Source ?
Source de quoi ? Du fait que l'informatiuqe domestique rend des
services à ses utilisateurs ?
Si je fais une stats autour de moi, je vois plus d'emmerdés que de
services rendus...
SL <nospam@nospam.fr> a écrit :
Le 09-02-2008, Michel Billaud <billaud@serveur5.labri.fr> a écrit :
SL <nospam@nospam.fr> writes:
Le 08-02-2008, Benjamin FRANCOIS <kwyxz@kwyxz.org> a écrit :
C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce
que Word lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Oui : c'est peut être une cata pour la personne mais globalement
ils sont des milliers d'autre à en tirer un bénéfice.
Source ?
Source de quoi ? Du fait que l'informatiuqe domestique rend des
services à ses utilisateurs ?
Si je fais une stats autour de moi, je vois plus d'emmerdés que de
services rendus...
SL a écrit :Le 09-02-2008, Michel Billaud a écrit :SL writes:Le 08-02-2008, Benjamin FRANCOIS a écrit :C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce
que Word lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Oui : c'est peut être une cata pour la personne mais globalement
ils sont des milliers d'autre à en tirer un bénéfice.
Source ?
Source de quoi ? Du fait que l'informatiuqe domestique rend des
services à ses utilisateurs ?
Si je fais une stats autour de moi, je vois plus d'emmerdés que de
services rendus...
SL a écrit:La question est compétences
techniques et autorité normative d'une part
Pour ce qui est des compétences techniques, elles sont localisables.
Probablement plus diverses et nuancées qu'on ne l'imagine, mais
toujours localisables.
Ce n'est par contre absolument pas le cas de ce que tu appelles
l' « autorité normative ». Celle-ci n'existe que dans ton imagination.
Tu ne la trouveras même pas dans l'opposition libre/propriétaire. Le
logiciel libre (ou propriétaire) dans son ensemble n'est dirigé par
aucune volonté normative particulière. La pluralité est de mise, que ce
soit dans les réalisations ou dans les intentions. Qui va croire que les
développeurs agissent tous d'un pas et marchent tous dans la même
direction?
vouloir changer le
comportement des utilisateurs (autrement dit, l'ordre du monde)
Pas leur comportement directement, seul leur niveau de connaissance est
visé. Les comportements changeront par effet de bord.
Pour l'heure, les cours d'informatiques sont réservées aux plus riches,
ceux qui peuvent payer des cours particuliers. Ils ne sont à pas
dénigrer, mais il me paraît difficile de s'accommoder de cette
situation. La place de l'informatique est toujours plus grandissante.
La formation devient un enjeu de société.
de
considérer que son niveau de compétence (spécialiste) devrait être la
norme
Tu tombes dans l'excès.
utiliser des critères d'évaluation de logiciels certes
pertinents pour des dispositifs de professionnel (robustesse,
pérennité, etc.) sur des logiciels grands publics où les critères
d'évaluations ne sont pas du tout hiérarchisé de la même façon parce
que les finalités d'emploi sont complètement différentes.
Qui es-tu pour décider qui doit définir les critères d'évaluation? Qui
es-tu pour affirmer de la sorte que les critères d'évaluation ne sont
pas bons?
Dans les faits, nul besoin de « critères d'évaluation », le plus
efficace est naturellement induit par la liberté contractuelle et la
liberté de choix.
SL <nospam@nospam.fr> a écrit:
La question est compétences
techniques et autorité normative d'une part
Pour ce qui est des compétences techniques, elles sont localisables.
Probablement plus diverses et nuancées qu'on ne l'imagine, mais
toujours localisables.
Ce n'est par contre absolument pas le cas de ce que tu appelles
l' « autorité normative ». Celle-ci n'existe que dans ton imagination.
Tu ne la trouveras même pas dans l'opposition libre/propriétaire. Le
logiciel libre (ou propriétaire) dans son ensemble n'est dirigé par
aucune volonté normative particulière. La pluralité est de mise, que ce
soit dans les réalisations ou dans les intentions. Qui va croire que les
développeurs agissent tous d'un pas et marchent tous dans la même
direction?
vouloir changer le
comportement des utilisateurs (autrement dit, l'ordre du monde)
Pas leur comportement directement, seul leur niveau de connaissance est
visé. Les comportements changeront par effet de bord.
Pour l'heure, les cours d'informatiques sont réservées aux plus riches,
ceux qui peuvent payer des cours particuliers. Ils ne sont à pas
dénigrer, mais il me paraît difficile de s'accommoder de cette
situation. La place de l'informatique est toujours plus grandissante.
La formation devient un enjeu de société.
de
considérer que son niveau de compétence (spécialiste) devrait être la
norme
Tu tombes dans l'excès.
utiliser des critères d'évaluation de logiciels certes
pertinents pour des dispositifs de professionnel (robustesse,
pérennité, etc.) sur des logiciels grands publics où les critères
d'évaluations ne sont pas du tout hiérarchisé de la même façon parce
que les finalités d'emploi sont complètement différentes.
Qui es-tu pour décider qui doit définir les critères d'évaluation? Qui
es-tu pour affirmer de la sorte que les critères d'évaluation ne sont
pas bons?
Dans les faits, nul besoin de « critères d'évaluation », le plus
efficace est naturellement induit par la liberté contractuelle et la
liberté de choix.
SL a écrit:La question est compétences
techniques et autorité normative d'une part
Pour ce qui est des compétences techniques, elles sont localisables.
Probablement plus diverses et nuancées qu'on ne l'imagine, mais
toujours localisables.
Ce n'est par contre absolument pas le cas de ce que tu appelles
l' « autorité normative ». Celle-ci n'existe que dans ton imagination.
Tu ne la trouveras même pas dans l'opposition libre/propriétaire. Le
logiciel libre (ou propriétaire) dans son ensemble n'est dirigé par
aucune volonté normative particulière. La pluralité est de mise, que ce
soit dans les réalisations ou dans les intentions. Qui va croire que les
développeurs agissent tous d'un pas et marchent tous dans la même
direction?
vouloir changer le
comportement des utilisateurs (autrement dit, l'ordre du monde)
Pas leur comportement directement, seul leur niveau de connaissance est
visé. Les comportements changeront par effet de bord.
Pour l'heure, les cours d'informatiques sont réservées aux plus riches,
ceux qui peuvent payer des cours particuliers. Ils ne sont à pas
dénigrer, mais il me paraît difficile de s'accommoder de cette
situation. La place de l'informatique est toujours plus grandissante.
La formation devient un enjeu de société.
de
considérer que son niveau de compétence (spécialiste) devrait être la
norme
Tu tombes dans l'excès.
utiliser des critères d'évaluation de logiciels certes
pertinents pour des dispositifs de professionnel (robustesse,
pérennité, etc.) sur des logiciels grands publics où les critères
d'évaluations ne sont pas du tout hiérarchisé de la même façon parce
que les finalités d'emploi sont complètement différentes.
Qui es-tu pour décider qui doit définir les critères d'évaluation? Qui
es-tu pour affirmer de la sorte que les critères d'évaluation ne sont
pas bons?
Dans les faits, nul besoin de « critères d'évaluation », le plus
efficace est naturellement induit par la liberté contractuelle et la
liberté de choix.
On Fri, 08 Feb 2008 11:42:43 +0000, SL wrote:Le 08-02-2008, Benjamin FRANCOIS a écrit :SL s'est exprimé en ces termes:Eh oui, on connait ces histoires qui sont un véritable scandale pour
les hommes de l'art, mais de vagues annecdotes dans l'ensemble des
bénéfices que les utilisateurs tirent de ces outils.
C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce que Word
lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Oui : c'est peut être une cata pour la personne mais globalement ils
sont des milliers d'autre à en tirer un bénéfice.
Bon sang, c'est donc globalement positif.
(Il me semble avoir déjà entendu ça quelque part, mais où?).
Bon, si tu tiens à ne rien comprendre, je ne veux pas te contrarier.
Moi, moi, j'ai compris, m'sieur:
- c'est merdique, mais comme c'est moins merdique pour certains, on va
dire que globalement ça va;
- en attendant tranquillement sans rien faire, ça va aller de mieux en
mieux, avec un peu de bol.
On Fri, 08 Feb 2008 11:42:43 +0000, SL wrote:
Le 08-02-2008, Benjamin FRANCOIS <kwyxz@kwyxz.org> a écrit :
SL s'est exprimé en ces termes:
Eh oui, on connait ces histoires qui sont un véritable scandale pour
les hommes de l'art, mais de vagues annecdotes dans l'ensemble des
bénéfices que les utilisateurs tirent de ces outils.
C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce que Word
lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Oui : c'est peut être une cata pour la personne mais globalement ils
sont des milliers d'autre à en tirer un bénéfice.
Bon sang, c'est donc globalement positif.
(Il me semble avoir déjà entendu ça quelque part, mais où?).
Bon, si tu tiens à ne rien comprendre, je ne veux pas te contrarier.
Moi, moi, j'ai compris, m'sieur:
- c'est merdique, mais comme c'est moins merdique pour certains, on va
dire que globalement ça va;
- en attendant tranquillement sans rien faire, ça va aller de mieux en
mieux, avec un peu de bol.
On Fri, 08 Feb 2008 11:42:43 +0000, SL wrote:Le 08-02-2008, Benjamin FRANCOIS a écrit :SL s'est exprimé en ces termes:Eh oui, on connait ces histoires qui sont un véritable scandale pour
les hommes de l'art, mais de vagues annecdotes dans l'ensemble des
bénéfices que les utilisateurs tirent de ces outils.
C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce que Word
lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Oui : c'est peut être une cata pour la personne mais globalement ils
sont des milliers d'autre à en tirer un bénéfice.
Bon sang, c'est donc globalement positif.
(Il me semble avoir déjà entendu ça quelque part, mais où?).
Bon, si tu tiens à ne rien comprendre, je ne veux pas te contrarier.
Moi, moi, j'ai compris, m'sieur:
- c'est merdique, mais comme c'est moins merdique pour certains, on va
dire que globalement ça va;
- en attendant tranquillement sans rien faire, ça va aller de mieux en
mieux, avec un peu de bol.
Michel Talon wrote on 11/02/2008 19:02:Sylvain wrote:
ton point ne serait quand même pas d'éxecuter tous les caprices des
utlisateurs hors toute décision et procédures, si ?
Sylvain.
Michel Talon wrote on 11/02/2008 19:02:
Sylvain wrote:
ton point ne serait quand même pas d'éxecuter tous les caprices des
utlisateurs hors toute décision et procédures, si ?
Sylvain.
Michel Talon wrote on 11/02/2008 19:02:Sylvain wrote:
ton point ne serait quand même pas d'éxecuter tous les caprices des
utlisateurs hors toute décision et procédures, si ?
Sylvain.
a écrit:sur quoi bases tu ton jugement pour dire que laPNLest un ramassis de
conneries ?
1. La méthode, pas très scientifique, qui leur permet d'arriver à
édicter des lois à la c...
2. Le contenu.
--
Nicolas S.
ozeno...@gmail.com a écrit:
sur quoi bases tu ton jugement pour dire que laPNLest un ramassis de
conneries ?
1. La méthode, pas très scientifique, qui leur permet d'arriver à
édicter des lois à la c...
2. Le contenu.
--
Nicolas S.
a écrit:sur quoi bases tu ton jugement pour dire que laPNLest un ramassis de
conneries ?
1. La méthode, pas très scientifique, qui leur permet d'arriver à
édicter des lois à la c...
2. Le contenu.
--
Nicolas S.