SL writes:Le 08-02-2008, Benjamin FRANCOIS a écrit :C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce que Word
lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Oui : c'est peut être une cata pour la personne mais globalement ils
sont des milliers d'autre à en tirer un bénéfice.
Source ?
SL <nospam@nospam.fr> writes:
Le 08-02-2008, Benjamin FRANCOIS <kwyxz@kwyxz.org> a écrit :
C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce que Word
lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Oui : c'est peut être une cata pour la personne mais globalement ils
sont des milliers d'autre à en tirer un bénéfice.
Source ?
SL writes:Le 08-02-2008, Benjamin FRANCOIS a écrit :C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce que Word
lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Oui : c'est peut être une cata pour la personne mais globalement ils
sont des milliers d'autre à en tirer un bénéfice.
Source ?
Un peu de sérieux, les professionnels sont quand même les mieux placés
pour comparer les outils de leur profession.
Un peu de sérieux, les professionnels sont quand même les mieux placés
pour comparer les outils de leur profession.
Un peu de sérieux, les professionnels sont quand même les mieux placés
pour comparer les outils de leur profession.
Tu te trompes et tu n'as pas toujours pas dépassé la vision la plus
triviale du problème.
La question est compétences
techniques et autorité normative d'une part
vouloir changer le
comportement des utilisateurs (autrement dit, l'ordre du monde)
de
considérer que son niveau de compétence (spécialiste) devrait être la
norme
utiliser des critères d'évaluation de logiciels certes
pertinents pour des dispositifs de professionnel (robustesse,
pérennité, etc.) sur des logiciels grands publics où les critères
d'évaluations ne sont pas du tout hiérarchisé de la même façon parce
que les finalités d'emploi sont complètement différentes.
Tu te trompes et tu n'as pas toujours pas dépassé la vision la plus
triviale du problème.
La question est compétences
techniques et autorité normative d'une part
vouloir changer le
comportement des utilisateurs (autrement dit, l'ordre du monde)
de
considérer que son niveau de compétence (spécialiste) devrait être la
norme
utiliser des critères d'évaluation de logiciels certes
pertinents pour des dispositifs de professionnel (robustesse,
pérennité, etc.) sur des logiciels grands publics où les critères
d'évaluations ne sont pas du tout hiérarchisé de la même façon parce
que les finalités d'emploi sont complètement différentes.
Tu te trompes et tu n'as pas toujours pas dépassé la vision la plus
triviale du problème.
La question est compétences
techniques et autorité normative d'une part
vouloir changer le
comportement des utilisateurs (autrement dit, l'ordre du monde)
de
considérer que son niveau de compétence (spécialiste) devrait être la
norme
utiliser des critères d'évaluation de logiciels certes
pertinents pour des dispositifs de professionnel (robustesse,
pérennité, etc.) sur des logiciels grands publics où les critères
d'évaluations ne sont pas du tout hiérarchisé de la même façon parce
que les finalités d'emploi sont complètement différentes.
Le 06-02-2008, Michel Billaud a écrit :Un peu de sérieux, les professionnels sont quand même les mieux placés
pour comparer les outils de leur profession.
Ce ne sont *précisément* *pas* les outils de leur profession. Word et
Excell ne sont pas des outils du développeur.
Que savoir administrer des serveurs dans un data center doive donner
compétence pour juger de l'informatique grand public, c'est une idée
aussi saugrenue que prétendre qu'un ingénieur chez Airbus est un
professionnel des questions de sécurité routière.
Le 06-02-2008, Michel Billaud <billaud@serveur5.labri.fr> a écrit :
Un peu de sérieux, les professionnels sont quand même les mieux placés
pour comparer les outils de leur profession.
Ce ne sont *précisément* *pas* les outils de leur profession. Word et
Excell ne sont pas des outils du développeur.
Que savoir administrer des serveurs dans un data center doive donner
compétence pour juger de l'informatique grand public, c'est une idée
aussi saugrenue que prétendre qu'un ingénieur chez Airbus est un
professionnel des questions de sécurité routière.
Le 06-02-2008, Michel Billaud a écrit :Un peu de sérieux, les professionnels sont quand même les mieux placés
pour comparer les outils de leur profession.
Ce ne sont *précisément* *pas* les outils de leur profession. Word et
Excell ne sont pas des outils du développeur.
Que savoir administrer des serveurs dans un data center doive donner
compétence pour juger de l'informatique grand public, c'est une idée
aussi saugrenue que prétendre qu'un ingénieur chez Airbus est un
professionnel des questions de sécurité routière.
Le 07-02-2008, Michel Billaud a écrit :SL writes:Le 06-02-2008, Jerome Lambert <jerome.lambert_at_swing.be> a écrit :Un peu de sérieux, les professionnels sont quand même les mieux
placés pour comparer les outils de leur profession. L'argument
"moi je suis pas informaticien donc je m'y connais plus que vous",
ça va bien un moment.
Sauf que ce qui semble t'échapper, c'est que les critères ne sont
pas les mêmes entre un professionnel et un pékin moyen.
Parfaitement.
Ca ne m'echappe pas du tout, bien au contraire : le professionnel est,
par métier, beaucoup mieux placé pour savoir quel sont les critères
pertinents par exemple la maintenabilité des applications,
La maintenabilité d'une application, nul doute que c'est un critère
essentiel pour un utilisateur de Word ou d'Excell.
Le 07-02-2008, Michel Billaud <billaud@serveur5.labri.fr> a écrit :
SL <nospam@nospam.fr> writes:
Le 06-02-2008, Jerome Lambert <jerome.lambert_at_swing.be> a écrit :
Un peu de sérieux, les professionnels sont quand même les mieux
placés pour comparer les outils de leur profession. L'argument
"moi je suis pas informaticien donc je m'y connais plus que vous",
ça va bien un moment.
Sauf que ce qui semble t'échapper, c'est que les critères ne sont
pas les mêmes entre un professionnel et un pékin moyen.
Parfaitement.
Ca ne m'echappe pas du tout, bien au contraire : le professionnel est,
par métier, beaucoup mieux placé pour savoir quel sont les critères
pertinents par exemple la maintenabilité des applications,
La maintenabilité d'une application, nul doute que c'est un critère
essentiel pour un utilisateur de Word ou d'Excell.
Le 07-02-2008, Michel Billaud a écrit :SL writes:Le 06-02-2008, Jerome Lambert <jerome.lambert_at_swing.be> a écrit :Un peu de sérieux, les professionnels sont quand même les mieux
placés pour comparer les outils de leur profession. L'argument
"moi je suis pas informaticien donc je m'y connais plus que vous",
ça va bien un moment.
Sauf que ce qui semble t'échapper, c'est que les critères ne sont
pas les mêmes entre un professionnel et un pékin moyen.
Parfaitement.
Ca ne m'echappe pas du tout, bien au contraire : le professionnel est,
par métier, beaucoup mieux placé pour savoir quel sont les critères
pertinents par exemple la maintenabilité des applications,
La maintenabilité d'une application, nul doute que c'est un critère
essentiel pour un utilisateur de Word ou d'Excell.
Le 08-02-2008, Benjamin FRANCOIS a écrit :SL s'est exprimé en ces termes:Eh oui, on connait ces histoires qui sont un véritable scandale pour
les hommes de l'art, mais de vagues annecdotes dans l'ensemble des
bénéfices que les utilisateurs tirent de ces outils.
C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce que Word
lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Oui : c'est peut être une cata pour la personne mais globalement ils
sont des milliers d'autre à en tirer un bénéfice.
Avec un peu de chance, on aura
droit bientôt au meilleur des deux mondes.
Via la génération spontanée du code dont tu nous vantes les mérites
depuis plusieurs posts, manifestement.
Bon, si tu tiens à ne rien comprendre, je ne veux pas te contrarier.
Le 08-02-2008, Benjamin FRANCOIS <kwyxz@kwyxz.org> a écrit :
SL s'est exprimé en ces termes:
Eh oui, on connait ces histoires qui sont un véritable scandale pour
les hommes de l'art, mais de vagues annecdotes dans l'ensemble des
bénéfices que les utilisateurs tirent de ces outils.
C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce que Word
lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Oui : c'est peut être une cata pour la personne mais globalement ils
sont des milliers d'autre à en tirer un bénéfice.
Avec un peu de chance, on aura
droit bientôt au meilleur des deux mondes.
Via la génération spontanée du code dont tu nous vantes les mérites
depuis plusieurs posts, manifestement.
Bon, si tu tiens à ne rien comprendre, je ne veux pas te contrarier.
Le 08-02-2008, Benjamin FRANCOIS a écrit :SL s'est exprimé en ces termes:Eh oui, on connait ces histoires qui sont un véritable scandale pour
les hommes de l'art, mais de vagues annecdotes dans l'ensemble des
bénéfices que les utilisateurs tirent de ces outils.
C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce que Word
lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Oui : c'est peut être une cata pour la personne mais globalement ils
sont des milliers d'autre à en tirer un bénéfice.
Avec un peu de chance, on aura
droit bientôt au meilleur des deux mondes.
Via la génération spontanée du code dont tu nous vantes les mérites
depuis plusieurs posts, manifestement.
Bon, si tu tiens à ne rien comprendre, je ne veux pas te contrarier.
Tu te trompes et tu n'as pas toujours pas dépassé la vision la plus
triviale du problème. La question c'est de confondre compétences
techniques et autorité normative d'une part, de vouloir changer le
comportement des utilisateurs (autrement dit, l'ordre du monde), de
considérer que son niveau de compétence (spécialiste) devrait être la
norme, et d'utiliser des critères d'évaluation de logiciels certes
pertinents pour des dispositifs de professionnel (robustesse, pérennité,
etc.) sur des logiciels grands publics où les critères d'évaluations ne
sont pas du tout hiérarchisé de la même façon parce que les finalités
d'emploi sont complètement différentes.
Tu te trompes et tu n'as pas toujours pas dépassé la vision la plus
triviale du problème. La question c'est de confondre compétences
techniques et autorité normative d'une part, de vouloir changer le
comportement des utilisateurs (autrement dit, l'ordre du monde), de
considérer que son niveau de compétence (spécialiste) devrait être la
norme, et d'utiliser des critères d'évaluation de logiciels certes
pertinents pour des dispositifs de professionnel (robustesse, pérennité,
etc.) sur des logiciels grands publics où les critères d'évaluations ne
sont pas du tout hiérarchisé de la même façon parce que les finalités
d'emploi sont complètement différentes.
Tu te trompes et tu n'as pas toujours pas dépassé la vision la plus
triviale du problème. La question c'est de confondre compétences
techniques et autorité normative d'une part, de vouloir changer le
comportement des utilisateurs (autrement dit, l'ordre du monde), de
considérer que son niveau de compétence (spécialiste) devrait être la
norme, et d'utiliser des critères d'évaluation de logiciels certes
pertinents pour des dispositifs de professionnel (robustesse, pérennité,
etc.) sur des logiciels grands publics où les critères d'évaluations ne
sont pas du tout hiérarchisé de la même façon parce que les finalités
d'emploi sont complètement différentes.
Tu te trompes et tu n'as pas toujours pas dépassé la vision la plus
triviale du problème. La question c'est de confondre compétences
techniques et autorité normative d'une part, de vouloir changer le
comportement des utilisateurs (autrement dit, l'ordre du monde), de
considérer que son niveau de compétence (spécialiste) devrait être la
norme, et d'utiliser des critères d'évaluation de logiciels certes
pertinents pour des dispositifs de professionnel (robustesse, pérennité,
etc.) sur des logiciels grands publics où les critères d'évaluations ne
sont pas du tout hiérarchisé de la même façon parce que les finalités
d'emploi sont complètement différentes.
Tu te trompes et tu n'as pas toujours pas dépassé la vision la plus
triviale du problème. La question c'est de confondre compétences
techniques et autorité normative d'une part, de vouloir changer le
comportement des utilisateurs (autrement dit, l'ordre du monde), de
considérer que son niveau de compétence (spécialiste) devrait être la
norme, et d'utiliser des critères d'évaluation de logiciels certes
pertinents pour des dispositifs de professionnel (robustesse, pérennité,
etc.) sur des logiciels grands publics où les critères d'évaluations ne
sont pas du tout hiérarchisé de la même façon parce que les finalités
d'emploi sont complètement différentes.
Tu te trompes et tu n'as pas toujours pas dépassé la vision la plus
triviale du problème. La question c'est de confondre compétences
techniques et autorité normative d'une part, de vouloir changer le
comportement des utilisateurs (autrement dit, l'ordre du monde), de
considérer que son niveau de compétence (spécialiste) devrait être la
norme, et d'utiliser des critères d'évaluation de logiciels certes
pertinents pour des dispositifs de professionnel (robustesse, pérennité,
etc.) sur des logiciels grands publics où les critères d'évaluations ne
sont pas du tout hiérarchisé de la même façon parce que les finalités
d'emploi sont complètement différentes.
Le 09-02-2008, Michel Billaud a écrit :SL writes:Le 08-02-2008, Benjamin FRANCOIS a écrit :C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce
que Word lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Oui : c'est peut être une cata pour la personne mais globalement
ils sont des milliers d'autre à en tirer un bénéfice.
Source ?
Source de quoi ? Du fait que l'informatiuqe domestique rend des
services à ses utilisateurs ?
Le 09-02-2008, Michel Billaud <billaud@serveur5.labri.fr> a écrit :
SL <nospam@nospam.fr> writes:
Le 08-02-2008, Benjamin FRANCOIS <kwyxz@kwyxz.org> a écrit :
C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce
que Word lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Oui : c'est peut être une cata pour la personne mais globalement
ils sont des milliers d'autre à en tirer un bénéfice.
Source ?
Source de quoi ? Du fait que l'informatiuqe domestique rend des
services à ses utilisateurs ?
Le 09-02-2008, Michel Billaud a écrit :SL writes:Le 08-02-2008, Benjamin FRANCOIS a écrit :C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce
que Word lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Oui : c'est peut être une cata pour la personne mais globalement
ils sont des milliers d'autre à en tirer un bénéfice.
Source ?
Source de quoi ? Du fait que l'informatiuqe domestique rend des
services à ses utilisateurs ?
On Sun, 10 Feb 2008 21:54:28 +0000, SL wrote:Le 07-02-2008, Michel Billaud a écrit :Ca ne m'echappe pas du tout, bien au contraire : le professionnel est,
par métier, beaucoup mieux placé pour savoir quel sont les critères
pertinents par exemple la maintenabilité des applications,
La maintenabilité d'une application, nul doute que c'est un critère
essentiel pour un utilisateur de Word ou d'Excell.
Tiens, tu coupes où ça te chante sans prévenir, comme un vulgaire
politicien?
On Sun, 10 Feb 2008 21:54:28 +0000, SL wrote:
Le 07-02-2008, Michel Billaud <billaud@serveur5.labri.fr> a écrit :
Ca ne m'echappe pas du tout, bien au contraire : le professionnel est,
par métier, beaucoup mieux placé pour savoir quel sont les critères
pertinents par exemple la maintenabilité des applications,
La maintenabilité d'une application, nul doute que c'est un critère
essentiel pour un utilisateur de Word ou d'Excell.
Tiens, tu coupes où ça te chante sans prévenir, comme un vulgaire
politicien?
On Sun, 10 Feb 2008 21:54:28 +0000, SL wrote:Le 07-02-2008, Michel Billaud a écrit :Ca ne m'echappe pas du tout, bien au contraire : le professionnel est,
par métier, beaucoup mieux placé pour savoir quel sont les critères
pertinents par exemple la maintenabilité des applications,
La maintenabilité d'une application, nul doute que c'est un critère
essentiel pour un utilisateur de Word ou d'Excell.
Tiens, tu coupes où ça te chante sans prévenir, comme un vulgaire
politicien?