La sacem de Lorient (je l'aime encore moins ma ville maintenant)
r=E9clame 75=80 =E0 une =E9cole du Morbihan (56), pacque les =E9l=E8ves ont
eu le malheur de chanter "Adieu monsieur le professeur..." de Hugues au
frais, pour dire au revoir =E0 3 de leurs profs qui partent de l'=E9cole.
Le pire c'est que ladite Sacem, n'a d=E9couvert la "contrefa=E7on" (c'est
le terme employ=E9 dans la plainte (voir Ouest France)) qu'en
feuilletant le journal. Bref ce n'est ni le compositeur ni
l'interpr=E8te ou que-sais-je (qui doivent d'ailleurs s'en foutre un
max) mais la sacem qui veut se faire payer 75=80 pour avoir feuillet=E9
le journal.
Franchement =E7a craint de plus en plus, bient=F4t faudra que je paye
75=80 pour dire =E0 ma copine que je vais "allumer le feu" du barbecue ?
Ce genre de pratique mesquine et d'une bassesse insondable me d=E9goute,
surtout quand on s'en prend =E0 une =E9cole.
Non, pas pour la transformation. Si tu la fais chez toi, la SACEM ne te demandera rien. Tu dois payer parce que tu diffuses de la musique en public.
Ce qu'évoque Vincent n'est pas une diffusion publique, c'est la transformation d'un signal public en un autre signal (moins) public, avec le même contenu sur un autre support. Ça n'augmente pas ni ne diminue la diffusion de l'information.
Jérémy JUST , dans le message
Non, pas pour la transformation. Si tu la fais chez toi, la SACEM ne
te demandera rien.
Tu dois payer parce que tu diffuses de la musique en public.
Ce qu'évoque Vincent n'est pas une diffusion publique, c'est la
transformation d'un signal public en un autre signal (moins) public, avec le
même contenu sur un autre support. Ça n'augmente pas ni ne diminue la
diffusion de l'information.
Non, pas pour la transformation. Si tu la fais chez toi, la SACEM ne te demandera rien. Tu dois payer parce que tu diffuses de la musique en public.
Ce qu'évoque Vincent n'est pas une diffusion publique, c'est la transformation d'un signal public en un autre signal (moins) public, avec le même contenu sur un autre support. Ça n'augmente pas ni ne diminue la diffusion de l'information.
Jérémy JUST
Le Sat, 15 Jul 2006 18:08:33 +0000 (UTC),
Ce qu'évoque Vincent n'est pas une diffusion publique, c'est la transformation d'un signal public en un autre signal (moins) public, avec le même contenu sur un autre support. Ça n'augmente pas ni ne diminue la diffusion de l'information.
Je n'ai rien pour capter la télévision hertzienne chez moi. Par contre, j'ai une connexion à internet qui est susceptible de me donner accès à la télévision.
Donc le public touché est différent.
Après, Vincent parlait de TF1, qui, comme toutes les chaînes de télévision privées sont un cas étrange: pour y avoir accès (au moins en hertzien), il faut payer une redevance, mais cette redevance ne les finance pas (seules les chaînes publiques, donc des concurrentes, en bénéficient).
-- Jérémy JUST
Le Sat, 15 Jul 2006 18:08:33 +0000 (UTC),
Ce qu'évoque Vincent n'est pas une diffusion publique, c'est la
transformation d'un signal public en un autre signal (moins) public,
avec le même contenu sur un autre support. Ça n'augmente pas ni ne
diminue la diffusion de l'information.
Je n'ai rien pour capter la télévision hertzienne chez moi. Par
contre, j'ai une connexion à internet qui est susceptible de me donner
accès à la télévision.
Donc le public touché est différent.
Après, Vincent parlait de TF1, qui, comme toutes les chaînes de
télévision privées sont un cas étrange: pour y avoir accès (au moins
en hertzien), il faut payer une redevance, mais cette redevance ne les
finance pas (seules les chaînes publiques, donc des concurrentes, en
bénéficient).
Ce qu'évoque Vincent n'est pas une diffusion publique, c'est la transformation d'un signal public en un autre signal (moins) public, avec le même contenu sur un autre support. Ça n'augmente pas ni ne diminue la diffusion de l'information.
Je n'ai rien pour capter la télévision hertzienne chez moi. Par contre, j'ai une connexion à internet qui est susceptible de me donner accès à la télévision.
Donc le public touché est différent.
Après, Vincent parlait de TF1, qui, comme toutes les chaînes de télévision privées sont un cas étrange: pour y avoir accès (au moins en hertzien), il faut payer une redevance, mais cette redevance ne les finance pas (seules les chaînes publiques, donc des concurrentes, en bénéficient).
-- Jérémy JUST
Vincent Bernat
OoO Pendant le journal télévisé du samedi 15 juillet 2006, vers 20:47, Jérémy JUST disait:
Ce qu'évoque Vincent n'est pas une diffusion publique, c'est la transformation d'un signal public en un autre signal (moins) public, avec le même contenu sur un autre support. Ça n'augmente pas ni ne diminue la diffusion de l'information.
Je n'ai rien pour capter la télévision hertzienne chez moi. Par contre, j'ai une connexion à internet qui est susceptible de me donner accès à la télévision.
Donc le public touché est différent.
Je ne vois toujours pas ce que la SACEM vient faire là-dedans. Je diffuse de la télé. Les droits sur les quelques trucs qui concernent la SACEM ont déjà dû être acquités largement. -- panic("Attempted to kill the idle task!"); 2.2.16 /usr/src/linux/kernel/exit.c
OoO Pendant le journal télévisé du samedi 15 juillet 2006, vers 20:47,
Jérémy JUST <jeremy_just@netcourrier.com> disait:
Ce qu'évoque Vincent n'est pas une diffusion publique, c'est la
transformation d'un signal public en un autre signal (moins) public,
avec le même contenu sur un autre support. Ça n'augmente pas ni ne
diminue la diffusion de l'information.
Je n'ai rien pour capter la télévision hertzienne chez moi. Par
contre, j'ai une connexion à internet qui est susceptible de me donner
accès à la télévision.
Donc le public touché est différent.
Je ne vois toujours pas ce que la SACEM vient faire là-dedans. Je
diffuse de la télé. Les droits sur les quelques trucs qui concernent
la SACEM ont déjà dû être acquités largement.
--
panic("Attempted to kill the idle task!");
2.2.16 /usr/src/linux/kernel/exit.c
OoO Pendant le journal télévisé du samedi 15 juillet 2006, vers 20:47, Jérémy JUST disait:
Ce qu'évoque Vincent n'est pas une diffusion publique, c'est la transformation d'un signal public en un autre signal (moins) public, avec le même contenu sur un autre support. Ça n'augmente pas ni ne diminue la diffusion de l'information.
Je n'ai rien pour capter la télévision hertzienne chez moi. Par contre, j'ai une connexion à internet qui est susceptible de me donner accès à la télévision.
Donc le public touché est différent.
Je ne vois toujours pas ce que la SACEM vient faire là-dedans. Je diffuse de la télé. Les droits sur les quelques trucs qui concernent la SACEM ont déjà dû être acquités largement. -- panic("Attempted to kill the idle task!"); 2.2.16 /usr/src/linux/kernel/exit.c
stephane
On 2006-07-15, Jérémy JUST wrote:
Si maintenant quelqu'un décide de diffuser la radio du campus sur internet, et que de 500 auditeurs potentiels (dont 50 avérés), on passe à plusieurs centaines de millions potentiels, est-ce qu'il ne serait pas normal que ma rémunération augmente?
Non, ca ne serait pas normal que ce soit la SACEM qui paye cela, principalement parce que si tu as plusieurs centaines de milliers d'auditeurs et que t'es pas capable de faire de l'argent avec ca, il vaut mieux que tu changes de metier.
Après, on peut critiquer le système de la SACEM. C'est l'objet de débats sans fin (et probablement sans solution idéale), et je n'ai pas d'idée intelligente pour améliorer ça.
La SACEM est un parasitage a tous les niveaux, elle retribue vraiment quelques dizaines d'auteurs, c'est a dire absolument peanuts dans la creation. Cette derniere d'ailleurs se porterait tout aussi bien sans cela.
-- http://www.unices.org Photos, humour et autres blogueries http://www.pbase.com/stougard/ Pfff, encore des photos
On 2006-07-15, Jérémy JUST <jeremy_just@netcourrier.com> wrote:
Si maintenant quelqu'un décide de diffuser la radio du campus sur
internet, et que de 500 auditeurs potentiels (dont 50 avérés), on passe
à plusieurs centaines de millions potentiels, est-ce qu'il ne serait
pas normal que ma rémunération augmente?
Non, ca ne serait pas normal que ce soit la SACEM qui paye cela,
principalement parce que si tu as plusieurs centaines de milliers
d'auditeurs et que t'es pas capable de faire de l'argent avec ca, il
vaut mieux que tu changes de metier.
Après, on peut critiquer le système de la SACEM. C'est l'objet de
débats sans fin (et probablement sans solution idéale), et je n'ai pas
d'idée intelligente pour améliorer ça.
La SACEM est un parasitage a tous les niveaux, elle retribue vraiment
quelques dizaines d'auteurs, c'est a dire absolument peanuts dans la
creation. Cette derniere d'ailleurs se porterait tout aussi bien sans
cela.
--
http://www.unices.org Photos, humour et autres blogueries
http://www.pbase.com/stougard/ Pfff, encore des photos
Si maintenant quelqu'un décide de diffuser la radio du campus sur internet, et que de 500 auditeurs potentiels (dont 50 avérés), on passe à plusieurs centaines de millions potentiels, est-ce qu'il ne serait pas normal que ma rémunération augmente?
Non, ca ne serait pas normal que ce soit la SACEM qui paye cela, principalement parce que si tu as plusieurs centaines de milliers d'auditeurs et que t'es pas capable de faire de l'argent avec ca, il vaut mieux que tu changes de metier.
Après, on peut critiquer le système de la SACEM. C'est l'objet de débats sans fin (et probablement sans solution idéale), et je n'ai pas d'idée intelligente pour améliorer ça.
La SACEM est un parasitage a tous les niveaux, elle retribue vraiment quelques dizaines d'auteurs, c'est a dire absolument peanuts dans la creation. Cette derniere d'ailleurs se porterait tout aussi bien sans cela.
-- http://www.unices.org Photos, humour et autres blogueries http://www.pbase.com/stougard/ Pfff, encore des photos
Jérémy JUST
Le Fri, 14 Jul 2006 22:57:30 +0200,
Il faut quand même savoir que dès qu'on organise un événement ouvert au public (soirée dansante, kermesse, par exemple), on a obligation de faire une déclaration à la SACEM, puis de payer les droits de diffusion. Pour les petits événements (je ne connais plus les critères), il existe des forfaits, qui évitent d'avoir à donner la liste des morceaux. Dans le cas d'une kermesse, le forfait est d'une cinquantaine d'euros par jour. Les 75 euros sus-mentionnés semblent correspondre à ce forfait, avec une majoration.
Si c'est le cas, le paiement n'est pas lié à la chanson, mais à l'ensemble de l'événement.
Voilà. La SACEM a précisé les choses, et ma supposition était bonne:
Il faut quand même savoir que dès qu'on organise un événement ouvert
au public (soirée dansante, kermesse, par exemple), on a obligation de
faire une déclaration à la SACEM, puis de payer les droits de
diffusion. Pour les petits événements (je ne connais plus les
critères), il existe des forfaits, qui évitent d'avoir à donner la
liste des morceaux. Dans le cas d'une kermesse, le forfait est d'une
cinquantaine d'euros par jour.
Les 75 euros sus-mentionnés semblent correspondre à ce forfait, avec
une majoration.
Si c'est le cas, le paiement n'est pas lié à la chanson, mais à
l'ensemble de l'événement.
Voilà. La SACEM a précisé les choses, et ma supposition était bonne:
Il faut quand même savoir que dès qu'on organise un événement ouvert au public (soirée dansante, kermesse, par exemple), on a obligation de faire une déclaration à la SACEM, puis de payer les droits de diffusion. Pour les petits événements (je ne connais plus les critères), il existe des forfaits, qui évitent d'avoir à donner la liste des morceaux. Dans le cas d'une kermesse, le forfait est d'une cinquantaine d'euros par jour. Les 75 euros sus-mentionnés semblent correspondre à ce forfait, avec une majoration.
Si c'est le cas, le paiement n'est pas lié à la chanson, mais à l'ensemble de l'événement.
Voilà. La SACEM a précisé les choses, et ma supposition était bonne:
Voilà. La SACEM a précisé les choses, et ma supposition était bonne:
Avec donc l'interprète qui a décidé de payer lui-même l'amende tellement la Sacem lui a fait péter la honte !
Ca reste tout de même particulièrement sordide comme histoire. Que la Sacem fasse chier une boîte de nuit, pourquoi pas. Mais une école avec des mômes... Ils le savaient à la Sacem qu'ils allaient poursuivre une simple école ! Je trouve ça tout de même répugnant.
Personne n'a envi de léser un artiste. On est quoi sans artistes ? Rien ! C'est eux qui constituent une grande part du plaisir de vivre. Mais, plus ça va, plus j'ai l'impression qu'entre la Sacem et les artistes, il y a quelques zones d'ombre qui ne vont pas forcément dans l'intérêt systématique porté à l'artiste. La répartition des sommes récoltées serait intéressante à connaître.
tg
On 2006-07-22, Jérémy JUST <jeremy_just@netcourrier.com> wrote:
Voilà. La SACEM a précisé les choses, et ma supposition était bonne:
Avec donc l'interprète qui a décidé de payer lui-même l'amende tellement
la Sacem lui a fait péter la honte !
Ca reste tout de même particulièrement sordide comme histoire. Que la
Sacem fasse chier une boîte de nuit, pourquoi pas. Mais une école avec
des mômes... Ils le savaient à la Sacem qu'ils allaient poursuivre
une simple école ! Je trouve ça tout de même répugnant.
Personne n'a envi de léser un artiste. On est quoi sans artistes ?
Rien ! C'est eux qui constituent une grande part du plaisir de vivre.
Mais, plus ça va, plus j'ai l'impression qu'entre la Sacem et les
artistes, il y a quelques zones d'ombre qui ne vont pas forcément dans
l'intérêt systématique porté à l'artiste. La répartition des sommes
récoltées serait intéressante à connaître.
Voilà. La SACEM a précisé les choses, et ma supposition était bonne:
Avec donc l'interprète qui a décidé de payer lui-même l'amende tellement la Sacem lui a fait péter la honte !
Ca reste tout de même particulièrement sordide comme histoire. Que la Sacem fasse chier une boîte de nuit, pourquoi pas. Mais une école avec des mômes... Ils le savaient à la Sacem qu'ils allaient poursuivre une simple école ! Je trouve ça tout de même répugnant.
Personne n'a envi de léser un artiste. On est quoi sans artistes ? Rien ! C'est eux qui constituent une grande part du plaisir de vivre. Mais, plus ça va, plus j'ai l'impression qu'entre la Sacem et les artistes, il y a quelques zones d'ombre qui ne vont pas forcément dans l'intérêt systématique porté à l'artiste. La répartition des sommes récoltées serait intéressante à connaître.
tg
Stéphane CARPENTIER
On 2006-07-22, Jérémy JUST wrote:
Voilà. La SACEM a précisé les choses, et ma supposition était bonne:
Avec donc l'interprète qui a décidé de payer lui-même l'amende tellement la Sacem lui a fait péter la honte !
Pour me répondre, traduire gratuit en anglais et virer le .invalid. http://stef.carpentier.free.fr/
Jérémy JUST
Le 23 Jul 2006 06:45:06 GMT,
Mais, plus ça va, plus j'ai l'impression qu'entre la Sacem et les artistes, il y a quelques zones d'ombre qui ne vont pas forcément dans l'intérêt systématique porté à l'artiste.
L'intérêt de « l'artiste » au sens large est parfaitement respecté, mais dans le détail, la répartition favorise les artistes qui sont déjà largement reconnus, plutôt que ceux qui auraient besoin de soutien.
La répartition des sommes récoltées serait intéressante à connaître.
Oui. Je ne m'aventure pas à en exposer les principes: je ne suis pas sûr de certains points. Le système de répartition actuel est très critiquable (et très critiqué par les artistes, et même les adhérents de la SACEM), mais je ne sais pas si on pourrait trouver un système qui ne le soit pas.
Cela dit, tous les gens ici qui ont déjà fait des déclarations à la SACEM ont dû le remarquer: cette société est très accommodante, au moins en ce qui concerne les particuliers et les petites associations. Dès qu'il y a un doute sur le tarif, elle cherche à appliquer le plus bas possible, ou bien elle applique le tarif « avec déclaration préalable » quand on envoie sa déclaration *après* l'événement mais spontanément et sans trop tarder.
-- Jérémy JUST
Le 23 Jul 2006 06:45:06 GMT,
Mais, plus ça va, plus j'ai l'impression qu'entre la Sacem et les
artistes, il y a quelques zones d'ombre qui ne vont pas forcément dans
l'intérêt systématique porté à l'artiste.
L'intérêt de « l'artiste » au sens large est parfaitement respecté,
mais dans le détail, la répartition favorise les artistes qui sont déjà
largement reconnus, plutôt que ceux qui auraient besoin de soutien.
La répartition des sommes récoltées serait intéressante à connaître.
Oui. Je ne m'aventure pas à en exposer les principes: je ne suis pas
sûr de certains points.
Le système de répartition actuel est très critiquable (et très
critiqué par les artistes, et même les adhérents de la SACEM), mais je
ne sais pas si on pourrait trouver un système qui ne le soit pas.
Cela dit, tous les gens ici qui ont déjà fait des déclarations à la
SACEM ont dû le remarquer: cette société est très accommodante, au moins
en ce qui concerne les particuliers et les petites associations. Dès
qu'il y a un doute sur le tarif, elle cherche à appliquer le plus bas
possible, ou bien elle applique le tarif « avec déclaration préalable »
quand on envoie sa déclaration *après* l'événement mais spontanément
et sans trop tarder.
Mais, plus ça va, plus j'ai l'impression qu'entre la Sacem et les artistes, il y a quelques zones d'ombre qui ne vont pas forcément dans l'intérêt systématique porté à l'artiste.
L'intérêt de « l'artiste » au sens large est parfaitement respecté, mais dans le détail, la répartition favorise les artistes qui sont déjà largement reconnus, plutôt que ceux qui auraient besoin de soutien.
La répartition des sommes récoltées serait intéressante à connaître.
Oui. Je ne m'aventure pas à en exposer les principes: je ne suis pas sûr de certains points. Le système de répartition actuel est très critiquable (et très critiqué par les artistes, et même les adhérents de la SACEM), mais je ne sais pas si on pourrait trouver un système qui ne le soit pas.
Cela dit, tous les gens ici qui ont déjà fait des déclarations à la SACEM ont dû le remarquer: cette société est très accommodante, au moins en ce qui concerne les particuliers et les petites associations. Dès qu'il y a un doute sur le tarif, elle cherche à appliquer le plus bas possible, ou bien elle applique le tarif « avec déclaration préalable » quand on envoie sa déclaration *après* l'événement mais spontanément et sans trop tarder.
-- Jérémy JUST
SL
Avec donc l'interprète qui a décidé de payer lui-même l'amende tellement la Sacem lui a fait péter la honte !
En effet, on voit surtout qu'il refuse de condamner le principe de la rémunération des auteurs-compositeurs lors d'interprétations publiques...
Toute cette histoire est hautement ridicule. Peut être que l'employé local de la SACEM a fait de l'excès de zèle, peut être qu'on pourrait imaginer une exception pour les écoles, mais cette histoire d'enfants qui nous arrachent des larmes, innocents par excellence, voulant remercier leur professeur - occasion morale entre toute et émouvant symbole de l'amour des enfants pour leur école, et l'odieux racketeur qui veut tirer de l'argent sur des chant d'écoliers, c'est une présentation complètement caricaturale du problème.
Utiliser cette annecdote édifiante pour faire apparaître la SACEM comme un acteur odieux et le principe de la rémunération des auteurs comme une injustice, ça à un nom, ça s'appelle de la propagande.
Avec donc l'interprète qui a décidé de payer lui-même l'amende
tellement la Sacem lui a fait péter la honte !
En effet, on voit surtout qu'il refuse de condamner le principe de la
rémunération des auteurs-compositeurs lors d'interprétations
publiques...
Toute cette histoire est hautement ridicule. Peut être que l'employé
local de la SACEM a fait de l'excès de zèle, peut être qu'on pourrait
imaginer une exception pour les écoles, mais cette histoire d'enfants
qui nous arrachent des larmes, innocents par excellence, voulant
remercier leur professeur - occasion morale entre toute et émouvant
symbole de l'amour des enfants pour leur école, et l'odieux racketeur
qui veut tirer de l'argent sur des chant d'écoliers, c'est une
présentation complètement caricaturale du problème.
Utiliser cette annecdote édifiante pour faire apparaître la SACEM
comme un acteur odieux et le principe de la rémunération des auteurs
comme une injustice, ça à un nom, ça s'appelle de la propagande.
En effet, on voit surtout qu'il refuse de condamner le principe de la rémunération des auteurs-compositeurs lors d'interprétations publiques...
Toute cette histoire est hautement ridicule. Peut être que l'employé local de la SACEM a fait de l'excès de zèle, peut être qu'on pourrait imaginer une exception pour les écoles, mais cette histoire d'enfants qui nous arrachent des larmes, innocents par excellence, voulant remercier leur professeur - occasion morale entre toute et émouvant symbole de l'amour des enfants pour leur école, et l'odieux racketeur qui veut tirer de l'argent sur des chant d'écoliers, c'est une présentation complètement caricaturale du problème.
Utiliser cette annecdote édifiante pour faire apparaître la SACEM comme un acteur odieux et le principe de la rémunération des auteurs comme une injustice, ça à un nom, ça s'appelle de la propagande.
SL
Que la Sacem fasse chier une boîte de nuit, pourquoi pas. Mais une école avec des mômes... Ils le savaient à la Sacem qu'ils allaient poursuivre une simple école ! Je trouve ça tout de même répugnant.
Du point de vue du droit d'auteur, il n'y a peut être pas de différence entre une école et une boîte de nuit. Dans ce cas c'est la loi qu'il faut changer.
Que la Sacem fasse chier une boîte de nuit, pourquoi pas. Mais une
école avec des mômes... Ils le savaient à la Sacem qu'ils allaient
poursuivre une simple école ! Je trouve ça tout de même répugnant.
Du point de vue du droit d'auteur, il n'y a peut être pas de
différence entre une école et une boîte de nuit. Dans ce cas c'est la
loi qu'il faut changer.
Que la Sacem fasse chier une boîte de nuit, pourquoi pas. Mais une école avec des mômes... Ils le savaient à la Sacem qu'ils allaient poursuivre une simple école ! Je trouve ça tout de même répugnant.
Du point de vue du droit d'auteur, il n'y a peut être pas de différence entre une école et une boîte de nuit. Dans ce cas c'est la loi qu'il faut changer.