La sacem de Lorient (je l'aime encore moins ma ville maintenant)
r=E9clame 75=80 =E0 une =E9cole du Morbihan (56), pacque les =E9l=E8ves ont
eu le malheur de chanter "Adieu monsieur le professeur..." de Hugues au
frais, pour dire au revoir =E0 3 de leurs profs qui partent de l'=E9cole.
Le pire c'est que ladite Sacem, n'a d=E9couvert la "contrefa=E7on" (c'est
le terme employ=E9 dans la plainte (voir Ouest France)) qu'en
feuilletant le journal. Bref ce n'est ni le compositeur ni
l'interpr=E8te ou que-sais-je (qui doivent d'ailleurs s'en foutre un
max) mais la sacem qui veut se faire payer 75=80 pour avoir feuillet=E9
le journal.
Franchement =E7a craint de plus en plus, bient=F4t faudra que je paye
75=80 pour dire =E0 ma copine que je vais "allumer le feu" du barbecue ?
Ce genre de pratique mesquine et d'une bassesse insondable me d=E9goute,
surtout quand on s'en prend =E0 une =E9cole.
OoO Lors de la soirée naissante du dimanche 23 juillet 2006, vers 18:05, (Michel Talon) disait:
Les bras m'en sont tombés quand j'ai lu que la notion d'espace quotient n'était plus au programme de *mathématiques spéciales*, elle était au programme de seconde, à mon époque. Idem pour le thérorème des valeurs intermédiaires qui était au programme de première sauf erreur.
En MP, on n'utilise rien qui ne soit pas également démontré. J'ignore cependant si cela peut expliquer ceci. Et puis bon, comparer les programmes en ne notant que ce qui a disparu d'un côté, c'est un brin partial. Cela ne te changera pas. -- /* Identify the flock of penguins. */ 2.2.16 /usr/src/linux/arch/alpha/kernel/setup.c
OoO Lors de la soirée naissante du dimanche 23 juillet 2006, vers
18:05, talon@lpthe.jussieu.fr (Michel Talon) disait:
Les bras m'en sont tombés quand j'ai lu que la notion d'espace quotient
n'était plus au programme de *mathématiques spéciales*, elle était au
programme de seconde, à mon époque. Idem pour le thérorème des valeurs
intermédiaires qui était au programme de première sauf erreur.
En MP, on n'utilise rien qui ne soit pas également démontré. J'ignore
cependant si cela peut expliquer ceci. Et puis bon, comparer les
programmes en ne notant que ce qui a disparu d'un côté, c'est un brin
partial. Cela ne te changera pas.
--
/* Identify the flock of penguins. */
2.2.16 /usr/src/linux/arch/alpha/kernel/setup.c
OoO Lors de la soirée naissante du dimanche 23 juillet 2006, vers 18:05, (Michel Talon) disait:
Les bras m'en sont tombés quand j'ai lu que la notion d'espace quotient n'était plus au programme de *mathématiques spéciales*, elle était au programme de seconde, à mon époque. Idem pour le thérorème des valeurs intermédiaires qui était au programme de première sauf erreur.
En MP, on n'utilise rien qui ne soit pas également démontré. J'ignore cependant si cela peut expliquer ceci. Et puis bon, comparer les programmes en ne notant que ce qui a disparu d'un côté, c'est un brin partial. Cela ne te changera pas. -- /* Identify the flock of penguins. */ 2.2.16 /usr/src/linux/arch/alpha/kernel/setup.c
Patrice Karatchentzeff
(Michel Talon) writes:
[...]
Pour ceux d'entre vous qui ont fait des études scientifiques il y a quelque temps, il y a là de quoi réfléchir sur l'élévation continue du niveau scolaire telle que la perçoivent certains caciques du parti cher à notre SL. Et aussi sur ce que devient l'élite des quelques dizaines de meilleurs élèves scientifiques que produit notre pays chaque année.
Je viens d'apprendre que 50% des élèves - pardon, il faut dire étudiants quand on les écoute - de terminales S auraient des « difficultés » à résoudre une équation de second degré...
MDR.
Mais tout va très bien Madame la Marquise... combien cette année ? Un crû exceptionnel ? 80% ?
Pour ceux d'entre vous qui ont fait des études scientifiques il y a
quelque temps, il y a là de quoi réfléchir sur l'élévation continue
du niveau scolaire telle que la perçoivent certains caciques du
parti cher à notre SL. Et aussi sur ce que devient l'élite des
quelques dizaines de meilleurs élèves scientifiques que produit
notre pays chaque année.
Je viens d'apprendre que 50% des élèves - pardon, il faut dire
étudiants quand on les écoute - de terminales S auraient des
« difficultés » à résoudre une équation de second degré...
MDR.
Mais tout va très bien Madame la Marquise... combien cette année ? Un
crû exceptionnel ? 80% ?
Pour ceux d'entre vous qui ont fait des études scientifiques il y a quelque temps, il y a là de quoi réfléchir sur l'élévation continue du niveau scolaire telle que la perçoivent certains caciques du parti cher à notre SL. Et aussi sur ce que devient l'élite des quelques dizaines de meilleurs élèves scientifiques que produit notre pays chaque année.
Je viens d'apprendre que 50% des élèves - pardon, il faut dire étudiants quand on les écoute - de terminales S auraient des « difficultés » à résoudre une équation de second degré...
MDR.
Mais tout va très bien Madame la Marquise... combien cette année ? Un crû exceptionnel ? 80% ?
OoO Lors de la soirée naissante du dimanche 23 juillet 2006, vers 18:05, (Michel Talon) disait:
Les bras m'en sont tombés quand j'ai lu que la notion d'espace quotient n'était plus au programme de *mathématiques spéciales*, elle était au programme de seconde, à mon époque. Idem pour le thérorème des valeurs intermédiaires qui était au programme de première sauf erreur.
En MP, on n'utilise rien qui ne soit pas également démontré. J'ignore cependant si cela peut expliquer ceci. Et puis bon, comparer les
Cela a changé : de mon temps, c'était en sup. En spé, par contre, ils étaient moins regardant.
Ceci dit, ce que souligne Michel reste quand même un problème.
programmes en ne notant que ce qui a disparu d'un côté, c'est un brin partial. Cela ne te changera pas.
Le problème est qu'on enlève des bases pour ajouter du pipo. J'ai vu qu'une « étudiante » Savoyarde avait eu plus de 20 au bachot avec toute une série de note genre 16 uniquement grâce aux options.
Moi, benoîtement, je croyais que les options, c'était du latin, du grec bref tout ce qui donne de la valeur ajoutée aux études.
Non, il s'agit si j'ai bien compris de devoir fait en cours d'année...
À quand la remise des bons points ? 6 bons points et un point de plus au bachot ? 18 bons points dans l'année et la mention très bien assurée...
OoO Lors de la soirée naissante du dimanche 23 juillet 2006, vers
18:05, talon@lpthe.jussieu.fr (Michel Talon) disait:
Les bras m'en sont tombés quand j'ai lu que la notion d'espace quotient
n'était plus au programme de *mathématiques spéciales*, elle était au
programme de seconde, à mon époque. Idem pour le thérorème des valeurs
intermédiaires qui était au programme de première sauf erreur.
En MP, on n'utilise rien qui ne soit pas également démontré. J'ignore
cependant si cela peut expliquer ceci. Et puis bon, comparer les
Cela a changé : de mon temps, c'était en sup. En spé, par contre, ils
étaient moins regardant.
Ceci dit, ce que souligne Michel reste quand même un problème.
programmes en ne notant que ce qui a disparu d'un côté, c'est un brin
partial. Cela ne te changera pas.
Le problème est qu'on enlève des bases pour ajouter du pipo. J'ai vu
qu'une « étudiante » Savoyarde avait eu plus de 20 au bachot avec
toute une série de note genre 16 uniquement grâce aux options.
Moi, benoîtement, je croyais que les options, c'était du latin, du
grec bref tout ce qui donne de la valeur ajoutée aux études.
Non, il s'agit si j'ai bien compris de devoir fait en cours d'année...
À quand la remise des bons points ? 6 bons points et un point de plus
au bachot ? 18 bons points dans l'année et la mention très bien
assurée...
OoO Lors de la soirée naissante du dimanche 23 juillet 2006, vers 18:05, (Michel Talon) disait:
Les bras m'en sont tombés quand j'ai lu que la notion d'espace quotient n'était plus au programme de *mathématiques spéciales*, elle était au programme de seconde, à mon époque. Idem pour le thérorème des valeurs intermédiaires qui était au programme de première sauf erreur.
En MP, on n'utilise rien qui ne soit pas également démontré. J'ignore cependant si cela peut expliquer ceci. Et puis bon, comparer les
Cela a changé : de mon temps, c'était en sup. En spé, par contre, ils étaient moins regardant.
Ceci dit, ce que souligne Michel reste quand même un problème.
programmes en ne notant que ce qui a disparu d'un côté, c'est un brin partial. Cela ne te changera pas.
Le problème est qu'on enlève des bases pour ajouter du pipo. J'ai vu qu'une « étudiante » Savoyarde avait eu plus de 20 au bachot avec toute une série de note genre 16 uniquement grâce aux options.
Moi, benoîtement, je croyais que les options, c'était du latin, du grec bref tout ce qui donne de la valeur ajoutée aux études.
Non, il s'agit si j'ai bien compris de devoir fait en cours d'année...
À quand la remise des bons points ? 6 bons points et un point de plus au bachot ? 18 bons points dans l'année et la mention très bien assurée...
Pour changer de sujet vers quelque chose de moins macabre, je suis tombé par hasard sur les rapports des examinateurs au concours de maths de Ulm. http://www.ens.fr/concours/Rapports/2005/MP/ en particulier celui-ci: http://www.ens.fr/concours/Rapports/2005/MP/mp_oral_math_ulc_u.pdf qui porte sur l'oral de math (donc sur des candidats qui ont été admissibles à l'écrit!)
Les bras m'en sont tombés quand j'ai lu que la notion d'espace quotient n'était plus au programme de *mathématiques spéciales*, elle était au programme de seconde, à mon époque. Idem pour le thérorème des valeurs intermédiaires qui était au programme de première sauf erreur.
Tout ceci est du chinois pour moi.
Pour ceux d'entre vous qui ont fait des études scientifiques il y a quelque temps, il y a là de quoi réfléchir sur l'élévation continue du niveau scolaire telle que la perçoivent certains caciques du parti cher à notre SL.
Ah, nous y voilà :-) Je pense que "réfléchir" à ce sujet à partir de ces deux faits est un peu difficile, mais on peut toujours broder, naturellement. Si vous voulez que vous dise que l'enseignement, du primaire au supérieur, est à la dérive et ne sait même plus quelle est sa fonction sociale, et que c'est angoissant, oui, je peux le dire.
Et aussi sur ce que devient l'élite des quelques dizaines de meilleurs élèves scientifiques que produit notre pays chaque année.
J'ai entendu dire que l'Ecole (Ulm en tout cas) mettait en place des droits d'inscription dès l'année prochaine. Quelqu'un peut confirmer ou infirmer ?
Pour changer de sujet vers quelque chose de moins macabre, je suis
tombé par hasard sur les rapports des examinateurs au concours de
maths de Ulm. http://www.ens.fr/concours/Rapports/2005/MP/ en
particulier celui-ci:
http://www.ens.fr/concours/Rapports/2005/MP/mp_oral_math_ulc_u.pdf
qui porte sur l'oral de math (donc sur des candidats qui ont été
admissibles à l'écrit!)
Les bras m'en sont tombés quand j'ai lu que la notion d'espace
quotient n'était plus au programme de *mathématiques spéciales*,
elle était au programme de seconde, à mon époque. Idem pour le
thérorème des valeurs intermédiaires qui était au programme de
première sauf erreur.
Tout ceci est du chinois pour moi.
Pour ceux d'entre vous qui ont fait des études scientifiques il y a
quelque temps, il y a là de quoi réfléchir sur l'élévation continue
du niveau scolaire telle que la perçoivent certains caciques du
parti cher à notre SL.
Ah, nous y voilà :-) Je pense que "réfléchir" à ce sujet à partir de
ces deux faits est un peu difficile, mais on peut toujours broder,
naturellement. Si vous voulez que vous dise que l'enseignement, du
primaire au supérieur, est à la dérive et ne sait même plus quelle est
sa fonction sociale, et que c'est angoissant, oui, je peux le dire.
Et aussi sur ce que devient l'élite des quelques dizaines de
meilleurs élèves scientifiques que produit notre pays chaque année.
J'ai entendu dire que l'Ecole (Ulm en tout cas) mettait en place des
droits d'inscription dès l'année prochaine. Quelqu'un peut confirmer
ou infirmer ?
Pour changer de sujet vers quelque chose de moins macabre, je suis tombé par hasard sur les rapports des examinateurs au concours de maths de Ulm. http://www.ens.fr/concours/Rapports/2005/MP/ en particulier celui-ci: http://www.ens.fr/concours/Rapports/2005/MP/mp_oral_math_ulc_u.pdf qui porte sur l'oral de math (donc sur des candidats qui ont été admissibles à l'écrit!)
Les bras m'en sont tombés quand j'ai lu que la notion d'espace quotient n'était plus au programme de *mathématiques spéciales*, elle était au programme de seconde, à mon époque. Idem pour le thérorème des valeurs intermédiaires qui était au programme de première sauf erreur.
Tout ceci est du chinois pour moi.
Pour ceux d'entre vous qui ont fait des études scientifiques il y a quelque temps, il y a là de quoi réfléchir sur l'élévation continue du niveau scolaire telle que la perçoivent certains caciques du parti cher à notre SL.
Ah, nous y voilà :-) Je pense que "réfléchir" à ce sujet à partir de ces deux faits est un peu difficile, mais on peut toujours broder, naturellement. Si vous voulez que vous dise que l'enseignement, du primaire au supérieur, est à la dérive et ne sait même plus quelle est sa fonction sociale, et que c'est angoissant, oui, je peux le dire.
Et aussi sur ce que devient l'élite des quelques dizaines de meilleurs élèves scientifiques que produit notre pays chaque année.
J'ai entendu dire que l'Ecole (Ulm en tout cas) mettait en place des droits d'inscription dès l'année prochaine. Quelqu'un peut confirmer ou infirmer ?
talon
Vincent Bernat wrote:
OoO Lors de la soirée naissante du dimanche 23 juillet 2006, vers 18:05, (Michel Talon) disait:
Les bras m'en sont tombés quand j'ai lu que la notion d'espace quotient n'était plus au programme de *mathématiques spéciales*, elle était au programme de seconde, à mon époque. Idem pour le thérorème des valeurs intermédiaires qui était au programme de première sauf erreur.
En MP, on n'utilise rien qui ne soit pas également démontré. J'ignore cependant si cela peut expliquer ceci. Et puis bon, comparer les programmes en ne notant que ce qui a disparu d'un côté, c'est un brin partial. Cela ne te changera pas.
D'une part la notion d'espace quotient ne suppose aucun préliminaire, d'autre part elle est essentielle pour des tas d'autres choses comme le note le rapport. Je me suis bien gardé de citer d'autres omissions que le rapport mentionne, précisément car elles me paraissent moins fondamentales.
Et figure toi que j'ai une assez bonne connaissance historique de l'évolution du programme de maths vu que j'ai fait des colles de maths pendant une dizaine d'années dans divers lycées dont Louis le Grand. Donc je ne note pas ce qui a disparu en oubliant les nouveautés, je note un effondrement généralisé. Mais cet effondrement je n'aurais jamais cru qu'il allait aussi loin que ce que ce rapport mentionne. Effectivement je ne suis pas près de changer, ni de dire que tout va bien dans l'évolution du système scolaire, pas plus que dans celle de Debian.
J'avais tellement raison au sujet de Debian, que des mesures drastiques ont été adoptées dans la gouvernance de Debian, pour la rendre enfin un tant soit peu efficace, et que des dérivées comme Ubuntu sont arrivées pour combler un vide flagrant du à cette gouvernance déplorable.
En fin de compte dans un cas comme dans l'autre les causes du mal sont assez similaires, un système avec des effectifs pléthoriques, dans lequel le pouvoir est accaparé par les magouilleurs les plus médiocres. Quand le désastre se profile à l'horizon, la politique de l'autruche, les nuls qui continuent à se congratuler et s'auto promouvoir, et jeter le discrédit sur tous leurs opposants.
--
Michel TALON
Vincent Bernat <bernat@luffy.cx> wrote:
OoO Lors de la soirée naissante du dimanche 23 juillet 2006, vers
18:05, talon@lpthe.jussieu.fr (Michel Talon) disait:
Les bras m'en sont tombés quand j'ai lu que la notion d'espace quotient
n'était plus au programme de *mathématiques spéciales*, elle était au
programme de seconde, à mon époque. Idem pour le thérorème des valeurs
intermédiaires qui était au programme de première sauf erreur.
En MP, on n'utilise rien qui ne soit pas également démontré. J'ignore
cependant si cela peut expliquer ceci. Et puis bon, comparer les
programmes en ne notant que ce qui a disparu d'un côté, c'est un brin
partial. Cela ne te changera pas.
D'une part la notion d'espace quotient ne suppose aucun préliminaire, d'autre
part elle est essentielle pour des tas d'autres choses comme le note le
rapport. Je me suis bien gardé de citer d'autres omissions que le rapport
mentionne, précisément car elles me paraissent moins fondamentales.
Et figure toi que j'ai une assez bonne connaissance historique de l'évolution
du programme de maths vu que j'ai fait des colles de maths pendant une dizaine
d'années dans divers lycées dont Louis le Grand. Donc je ne note pas ce qui a
disparu en oubliant les nouveautés, je note un effondrement généralisé. Mais
cet effondrement je n'aurais jamais cru qu'il allait aussi loin que ce que ce
rapport mentionne. Effectivement je ne suis pas près de changer, ni de dire
que tout va bien dans l'évolution du système scolaire, pas plus que dans
celle de Debian.
J'avais tellement raison au sujet de Debian, que des mesures drastiques ont
été adoptées dans la gouvernance de Debian, pour la rendre enfin un tant soit
peu efficace, et que des dérivées comme Ubuntu sont arrivées pour combler un
vide flagrant du à cette gouvernance déplorable.
En fin de compte dans un cas comme dans l'autre les causes du mal sont assez
similaires, un système avec des effectifs pléthoriques, dans lequel le pouvoir
est accaparé par les magouilleurs les plus médiocres. Quand le désastre se
profile à l'horizon, la politique de l'autruche, les nuls qui continuent à se
congratuler et s'auto promouvoir, et jeter le discrédit sur tous leurs
opposants.
OoO Lors de la soirée naissante du dimanche 23 juillet 2006, vers 18:05, (Michel Talon) disait:
Les bras m'en sont tombés quand j'ai lu que la notion d'espace quotient n'était plus au programme de *mathématiques spéciales*, elle était au programme de seconde, à mon époque. Idem pour le thérorème des valeurs intermédiaires qui était au programme de première sauf erreur.
En MP, on n'utilise rien qui ne soit pas également démontré. J'ignore cependant si cela peut expliquer ceci. Et puis bon, comparer les programmes en ne notant que ce qui a disparu d'un côté, c'est un brin partial. Cela ne te changera pas.
D'une part la notion d'espace quotient ne suppose aucun préliminaire, d'autre part elle est essentielle pour des tas d'autres choses comme le note le rapport. Je me suis bien gardé de citer d'autres omissions que le rapport mentionne, précisément car elles me paraissent moins fondamentales.
Et figure toi que j'ai une assez bonne connaissance historique de l'évolution du programme de maths vu que j'ai fait des colles de maths pendant une dizaine d'années dans divers lycées dont Louis le Grand. Donc je ne note pas ce qui a disparu en oubliant les nouveautés, je note un effondrement généralisé. Mais cet effondrement je n'aurais jamais cru qu'il allait aussi loin que ce que ce rapport mentionne. Effectivement je ne suis pas près de changer, ni de dire que tout va bien dans l'évolution du système scolaire, pas plus que dans celle de Debian.
J'avais tellement raison au sujet de Debian, que des mesures drastiques ont été adoptées dans la gouvernance de Debian, pour la rendre enfin un tant soit peu efficace, et que des dérivées comme Ubuntu sont arrivées pour combler un vide flagrant du à cette gouvernance déplorable.
En fin de compte dans un cas comme dans l'autre les causes du mal sont assez similaires, un système avec des effectifs pléthoriques, dans lequel le pouvoir est accaparé par les magouilleurs les plus médiocres. Quand le désastre se profile à l'horizon, la politique de l'autruche, les nuls qui continuent à se congratuler et s'auto promouvoir, et jeter le discrédit sur tous leurs opposants.
--
Michel TALON
talon
Patrice Karatchentzeff wrote:
Je viens d'apprendre que 50% des élèves - pardon, il faut dire étudiants quand on les écoute - de terminales S auraient des « difficultés » à résoudre une équation de second degré...
MDR.
Mais tout va très bien Madame la Marquise... combien cette année ? Un crû exceptionnel ? 80% ?
Et même 90% en terminale scientifique en Bretagne. Le château et ses écuries pourraient-ils mieux aller? Il est d'ailleurs marrant que personne ne fasse la remarque que les enseignants et les cours ne servent à rien, puisque c'est l'année où il y a eu un nombre record de mois de cours volatilisés que les résultats (soit disant honnêtes) sont si excellents. Vraisemblablement avec 0 mois de cours c'est 100% de reçus dans toute la France que l'on obtiendra si l'on peut extrapoler cette tendance.
Je viens d'apprendre que 50% des élèves - pardon, il faut dire
étudiants quand on les écoute - de terminales S auraient des
« difficultés » à résoudre une équation de second degré...
MDR.
Mais tout va très bien Madame la Marquise... combien cette année ? Un
crû exceptionnel ? 80% ?
Et même 90% en terminale scientifique en Bretagne. Le château et ses écuries
pourraient-ils mieux aller? Il est d'ailleurs marrant que personne ne fasse la
remarque que les enseignants et les cours ne servent à rien, puisque c'est
l'année où il y a eu un nombre record de mois de cours volatilisés que les
résultats (soit disant honnêtes) sont si excellents. Vraisemblablement avec 0
mois de cours c'est 100% de reçus dans toute la France que l'on obtiendra si
l'on peut extrapoler cette tendance.
Je viens d'apprendre que 50% des élèves - pardon, il faut dire étudiants quand on les écoute - de terminales S auraient des « difficultés » à résoudre une équation de second degré...
MDR.
Mais tout va très bien Madame la Marquise... combien cette année ? Un crû exceptionnel ? 80% ?
Et même 90% en terminale scientifique en Bretagne. Le château et ses écuries pourraient-ils mieux aller? Il est d'ailleurs marrant que personne ne fasse la remarque que les enseignants et les cours ne servent à rien, puisque c'est l'année où il y a eu un nombre record de mois de cours volatilisés que les résultats (soit disant honnêtes) sont si excellents. Vraisemblablement avec 0 mois de cours c'est 100% de reçus dans toute la France que l'on obtiendra si l'on peut extrapoler cette tendance.
PK
--
Michel TALON
Patrice Karatchentzeff
(Michel Talon) writes:
Patrice Karatchentzeff wrote:
[...]
Et même 90% en terminale scientifique en Bretagne. Le château et ses écuries pourraient-ils mieux aller? Il est d'ailleurs marrant que personne ne fasse la remarque que les enseignants et les cours ne servent à rien, puisque c'est l'année où il y a eu un nombre record de mois de cours volatilisés que les résultats (soit disant honnêtes) sont si excellents. Vraisemblablement avec 0 mois de cours c'est 100% de reçus dans toute la France que l'on obtiendra si l'on peut extrapoler cette tendance.
Tiens, c'est marrant : j'ai fait la même remarque à des amis profs et ils ont fait la gueule :)
L'EN, c'est au mieux une usine à décérébrer de toute façon...
Et même 90% en terminale scientifique en Bretagne. Le château et ses
écuries pourraient-ils mieux aller? Il est d'ailleurs marrant que
personne ne fasse la remarque que les enseignants et les cours ne
servent à rien, puisque c'est l'année où il y a eu un nombre record
de mois de cours volatilisés que les résultats (soit disant
honnêtes) sont si excellents. Vraisemblablement avec 0 mois de cours
c'est 100% de reçus dans toute la France que l'on obtiendra si l'on
peut extrapoler cette tendance.
Tiens, c'est marrant : j'ai fait la même remarque à des amis profs et
ils ont fait la gueule :)
L'EN, c'est au mieux une usine à décérébrer de toute façon...
Et même 90% en terminale scientifique en Bretagne. Le château et ses écuries pourraient-ils mieux aller? Il est d'ailleurs marrant que personne ne fasse la remarque que les enseignants et les cours ne servent à rien, puisque c'est l'année où il y a eu un nombre record de mois de cours volatilisés que les résultats (soit disant honnêtes) sont si excellents. Vraisemblablement avec 0 mois de cours c'est 100% de reçus dans toute la France que l'on obtiendra si l'on peut extrapoler cette tendance.
Tiens, c'est marrant : j'ai fait la même remarque à des amis profs et ils ont fait la gueule :)
L'EN, c'est au mieux une usine à décérébrer de toute façon...
Pourtant tu fais des statistiques, donc je suppose que tu as entendu parler dans ta vie de nombre rationnel de la forme p/q avec p et q entiers. Or comme tu sais on peut "simplifier" p/q = (np)/(nq) donc un nombre rationnel c'est une classe d'équivalence de couples (p,q) avec la relation d'équivalence (p,q) equiv (p',q') si pq'= p'q Voilà un exemple fondamental d'espace quotient. J'espère que tu vois qu'il ne s'agit pas d'une notion hautement ésotérique, et je peux t'assurer que sa présence est absolument universelle en maths.
naturellement. Si vous voulez que vous dise que l'enseignement, du primaire au supérieur, est à la dérive et ne sait même plus quelle est sa fonction sociale, et que c'est angoissant, oui, je peux le dire.
Certes.
J'ai entendu dire que l'Ecole (Ulm en tout cas) mettait en place des droits d'inscription dès l'année prochaine. Quelqu'un peut confirmer ou infirmer ?
Je n'ai pas entendu parler de ça. Comme d'autre part les élèves à l'ENS sont payés j'ai quand même un doute à ce sujet. En outre la scolarité à l'ENS est en fait une scolarité à la Fac, les élèves passent une licence, maîtrise, DEA, etc. dans une fac (*) plus ou moins de leur choix, généralement Paris 6 ou 7 ou des fois 11 pour les scientifiques, donc c'est une telle fac qui peut demander des frais de scolarité.
(*) en fait depuis la création des magistères il s'agit plus souvent de magistères officiellement de ces facs, dans lesquels des étudiants des facs sont admis, mais qui se tiennent physiquement dans les locaux de l'école. Antérieurement, les élèves de l'ENS allaient tout simplement à la fac comme tout le monde. Pour le DEA, pareil, il y a par exemple un DEA de physique théorique qui se tient à l'ENS mais les étudiants de Paris 6 qui souhaitent le faire et semblent avoir le niveau nécessaire peuvent y aller, par exemple c'est le cas de celui que j'ai eu cette année en stage. Expérimentalement on voit que ces étudiants terminent le DEA dans un classement qui n'est pas nécessairement ridicule par rapport à celui des normaliens ou des polytechniciens. Bref tout ça pour dire qu'il y a une interpénétration trés forte entre l'ENS Ulm et les facs associées (Paris 6 essentiellement pour la physique).
--
Michel TALON
SL <nospam@nospam.com> wrote:
Tout ceci est du chinois pour moi.
Pourtant tu fais des statistiques, donc je suppose que tu as entendu parler
dans ta vie de nombre rationnel de la forme p/q avec p et q entiers. Or comme
tu sais on peut "simplifier" p/q = (np)/(nq) donc un nombre rationnel c'est
une classe d'équivalence de couples (p,q) avec la relation d'équivalence
(p,q) equiv (p',q') si pq'= p'q
Voilà un exemple fondamental d'espace quotient. J'espère que tu vois qu'il ne
s'agit pas d'une notion hautement ésotérique, et je peux t'assurer que sa
présence est absolument universelle en maths.
naturellement. Si vous voulez que vous dise que l'enseignement, du
primaire au supérieur, est à la dérive et ne sait même plus quelle est
sa fonction sociale, et que c'est angoissant, oui, je peux le dire.
Certes.
J'ai entendu dire que l'Ecole (Ulm en tout cas) mettait en place des
droits d'inscription dès l'année prochaine. Quelqu'un peut confirmer
ou infirmer ?
Je n'ai pas entendu parler de ça. Comme d'autre part les élèves à l'ENS sont
payés j'ai quand même un doute à ce sujet. En outre la scolarité à l'ENS
est en fait une scolarité à la Fac, les élèves passent une licence, maîtrise,
DEA, etc. dans une fac (*) plus ou moins de leur choix, généralement Paris 6 ou 7
ou des fois 11 pour les scientifiques, donc c'est une telle fac qui peut
demander des frais de scolarité.
(*) en fait depuis la création des magistères il s'agit plus souvent de
magistères officiellement de ces facs, dans lesquels des étudiants des facs
sont admis, mais qui se tiennent physiquement dans les locaux de l'école.
Antérieurement, les élèves de l'ENS allaient tout simplement à la fac comme
tout le monde. Pour le DEA, pareil, il y a par exemple un DEA de physique
théorique qui se tient à l'ENS mais les étudiants de Paris 6 qui souhaitent le
faire et semblent avoir le niveau nécessaire peuvent y aller, par exemple
c'est le cas de celui que j'ai eu cette année en stage. Expérimentalement
on voit que ces étudiants terminent le DEA dans un classement qui n'est pas
nécessairement ridicule par rapport à celui des normaliens ou des
polytechniciens. Bref tout ça pour dire qu'il y a une interpénétration trés
forte entre l'ENS Ulm et les facs associées (Paris 6 essentiellement pour la
physique).
Pourtant tu fais des statistiques, donc je suppose que tu as entendu parler dans ta vie de nombre rationnel de la forme p/q avec p et q entiers. Or comme tu sais on peut "simplifier" p/q = (np)/(nq) donc un nombre rationnel c'est une classe d'équivalence de couples (p,q) avec la relation d'équivalence (p,q) equiv (p',q') si pq'= p'q Voilà un exemple fondamental d'espace quotient. J'espère que tu vois qu'il ne s'agit pas d'une notion hautement ésotérique, et je peux t'assurer que sa présence est absolument universelle en maths.
naturellement. Si vous voulez que vous dise que l'enseignement, du primaire au supérieur, est à la dérive et ne sait même plus quelle est sa fonction sociale, et que c'est angoissant, oui, je peux le dire.
Certes.
J'ai entendu dire que l'Ecole (Ulm en tout cas) mettait en place des droits d'inscription dès l'année prochaine. Quelqu'un peut confirmer ou infirmer ?
Je n'ai pas entendu parler de ça. Comme d'autre part les élèves à l'ENS sont payés j'ai quand même un doute à ce sujet. En outre la scolarité à l'ENS est en fait une scolarité à la Fac, les élèves passent une licence, maîtrise, DEA, etc. dans une fac (*) plus ou moins de leur choix, généralement Paris 6 ou 7 ou des fois 11 pour les scientifiques, donc c'est une telle fac qui peut demander des frais de scolarité.
(*) en fait depuis la création des magistères il s'agit plus souvent de magistères officiellement de ces facs, dans lesquels des étudiants des facs sont admis, mais qui se tiennent physiquement dans les locaux de l'école. Antérieurement, les élèves de l'ENS allaient tout simplement à la fac comme tout le monde. Pour le DEA, pareil, il y a par exemple un DEA de physique théorique qui se tient à l'ENS mais les étudiants de Paris 6 qui souhaitent le faire et semblent avoir le niveau nécessaire peuvent y aller, par exemple c'est le cas de celui que j'ai eu cette année en stage. Expérimentalement on voit que ces étudiants terminent le DEA dans un classement qui n'est pas nécessairement ridicule par rapport à celui des normaliens ou des polytechniciens. Bref tout ça pour dire qu'il y a une interpénétration trés forte entre l'ENS Ulm et les facs associées (Paris 6 essentiellement pour la physique).
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Michel TALON
SL
SL wrote:
Tout ceci est du chinois pour moi.
Pourtant tu fais des statistiques, donc je suppose que tu as entendu parler dans ta vie de nombre rationnel de la forme p/q avec p et q entiers. Or comme tu sais on peut "simplifier" p/q = (np)/(nq) donc un nombre rationnel c'est une classe d'équivalence de couples (p,q) avec la relation d'équivalence (p,q) equiv (p',q') si pq'= p'q
Je comprend qu'une fraction c'est un rapport, et que le même rapport peut être exprimée avec plusieurs couples d'entiers différents. Je doute que ce soit ce qui pose des problèmes aux candidats...
J'ai entendu dire que l'Ecole (Ulm en tout cas) mettait en place des droits d'inscription dès l'année prochaine. Quelqu'un peut confirmer ou infirmer ?
Je n'ai pas entendu parler de ça. Comme d'autre part les élèves à l'ENS sont payés j'ai quand même un doute à ce sujet. En outre la scolarité à l'ENS est en fait une scolarité à la Fac, les élèves passent une licence, maîtrise, DEA, etc. dans une fac (*) plus ou moins de leur choix, généralement Paris 6 ou 7 ou des fois 11 pour les scientifiques, donc c'est une telle fac qui peut demander des frais de scolarité.
C'est une ancienne éleve en lettres qui me dit ça. Des frais d'inscriptions de l'ordre de 4000 EE si je me souviens bien.
(*) en fait depuis la création des magistères il s'agit plus souvent de magistères officiellement de ces facs, dans lesquels des étudiants des facs sont admis, mais qui se tiennent physiquement dans les locaux de l'école. Antérieurement, les élèves de l'ENS
J'ai des échos beaucoup moins reluisant en lettres, où il paraît qu'il n'y a aucune préparation digne de ce nom à l'agreg par exemple.
SL <nospam@nospam.com> wrote:
Tout ceci est du chinois pour moi.
Pourtant tu fais des statistiques, donc je suppose que tu as entendu
parler dans ta vie de nombre rationnel de la forme p/q avec p et q
entiers. Or comme tu sais on peut "simplifier" p/q = (np)/(nq) donc
un nombre rationnel c'est une classe d'équivalence de couples (p,q)
avec la relation d'équivalence (p,q) equiv (p',q') si pq'= p'q
Je comprend qu'une fraction c'est un rapport, et que le même rapport
peut être exprimée avec plusieurs couples d'entiers différents. Je
doute que ce soit ce qui pose des problèmes aux candidats...
J'ai entendu dire que l'Ecole (Ulm en tout cas) mettait en place
des droits d'inscription dès l'année prochaine. Quelqu'un peut
confirmer ou infirmer ?
Je n'ai pas entendu parler de ça. Comme d'autre part les élèves à
l'ENS sont payés j'ai quand même un doute à ce sujet. En outre la
scolarité à l'ENS est en fait une scolarité à la Fac, les élèves
passent une licence, maîtrise, DEA, etc. dans une fac (*) plus ou
moins de leur choix, généralement Paris 6 ou 7 ou des fois 11 pour
les scientifiques, donc c'est une telle fac qui peut demander des
frais de scolarité.
C'est une ancienne éleve en lettres qui me dit ça. Des frais
d'inscriptions de l'ordre de 4000 EE si je me souviens bien.
(*) en fait depuis la création des magistères il s'agit plus souvent
de magistères officiellement de ces facs, dans lesquels des
étudiants des facs sont admis, mais qui se tiennent physiquement
dans les locaux de l'école. Antérieurement, les élèves de l'ENS
J'ai des échos beaucoup moins reluisant en lettres, où il paraît qu'il
n'y a aucune préparation digne de ce nom à l'agreg par exemple.
Pourtant tu fais des statistiques, donc je suppose que tu as entendu parler dans ta vie de nombre rationnel de la forme p/q avec p et q entiers. Or comme tu sais on peut "simplifier" p/q = (np)/(nq) donc un nombre rationnel c'est une classe d'équivalence de couples (p,q) avec la relation d'équivalence (p,q) equiv (p',q') si pq'= p'q
Je comprend qu'une fraction c'est un rapport, et que le même rapport peut être exprimée avec plusieurs couples d'entiers différents. Je doute que ce soit ce qui pose des problèmes aux candidats...
J'ai entendu dire que l'Ecole (Ulm en tout cas) mettait en place des droits d'inscription dès l'année prochaine. Quelqu'un peut confirmer ou infirmer ?
Je n'ai pas entendu parler de ça. Comme d'autre part les élèves à l'ENS sont payés j'ai quand même un doute à ce sujet. En outre la scolarité à l'ENS est en fait une scolarité à la Fac, les élèves passent une licence, maîtrise, DEA, etc. dans une fac (*) plus ou moins de leur choix, généralement Paris 6 ou 7 ou des fois 11 pour les scientifiques, donc c'est une telle fac qui peut demander des frais de scolarité.
C'est une ancienne éleve en lettres qui me dit ça. Des frais d'inscriptions de l'ordre de 4000 EE si je me souviens bien.
(*) en fait depuis la création des magistères il s'agit plus souvent de magistères officiellement de ces facs, dans lesquels des étudiants des facs sont admis, mais qui se tiennent physiquement dans les locaux de l'école. Antérieurement, les élèves de l'ENS
J'ai des échos beaucoup moins reluisant en lettres, où il paraît qu'il n'y a aucune préparation digne de ce nom à l'agreg par exemple.
SL
Je doute que ce soit ce qui pose des problèmes aux candidats...
Ca ne pose pas de problème puisque ça a été enlevé du programme.
:-) Mais pourquoi on appelle ça un "espace" ?
Je doute que ce soit ce qui pose des problèmes aux candidats...
Ca ne pose pas de problème puisque ça a été enlevé du programme.