jr a écrit:
> "Nestor, le vrai chef qu'il nous faut" wrote:
>
>>jr a écrit:
>>>>>Christian Navis wrote:
>>>>>>L'homme est non seulement un de nos meilleurs avocats pénalistes,
>>>>>>chargé de cours en master 2 pénal à la fac de Versailles, et maître
>>>>>>de conférences à HEC...
>>Il me semble que vous avez compacté en une partie une phrase -- qui
>>n'est pas de moi, sur un type dont je me moque -- qui était en deux
>>parties : "chargé... en master... fac Versailles... ET maître de... à
>>HEC". C'est votre problème, vous ne lisez pas avant de répondre, il
>>n'est pas dans un "master à HEC".
>
>
> Si.
Ce n'est pas ce qui est dit dans la phrase plus haut plus haut, mais si
vous connaissez la soeur de son concierge et si vous avez écrit sa bio
et réalisé le biopic, évidemment, ça change tout...
jr a écrit:
> "Nestor, le vrai chef qu'il nous faut" <nestor@pingouins.gouv> wrote:
>
>>jr a écrit:
>>>>>Christian Navis <christian.navis@free.fr> wrote:
>>>>>>L'homme est non seulement un de nos meilleurs avocats pénalistes,
>>>>>>chargé de cours en master 2 pénal à la fac de Versailles, et maître
>>>>>>de conférences à HEC...
>>Il me semble que vous avez compacté en une partie une phrase -- qui
>>n'est pas de moi, sur un type dont je me moque -- qui était en deux
>>parties : "chargé... en master... fac Versailles... ET maître de... à
>>HEC". C'est votre problème, vous ne lisez pas avant de répondre, il
>>n'est pas dans un "master à HEC".
>
>
> Si.
Ce n'est pas ce qui est dit dans la phrase plus haut plus haut, mais si
vous connaissez la soeur de son concierge et si vous avez écrit sa bio
et réalisé le biopic, évidemment, ça change tout...
jr a écrit:
> "Nestor, le vrai chef qu'il nous faut" wrote:
>
>>jr a écrit:
>>>>>Christian Navis wrote:
>>>>>>L'homme est non seulement un de nos meilleurs avocats pénalistes,
>>>>>>chargé de cours en master 2 pénal à la fac de Versailles, et maître
>>>>>>de conférences à HEC...
>>Il me semble que vous avez compacté en une partie une phrase -- qui
>>n'est pas de moi, sur un type dont je me moque -- qui était en deux
>>parties : "chargé... en master... fac Versailles... ET maître de... à
>>HEC". C'est votre problème, vous ne lisez pas avant de répondre, il
>>n'est pas dans un "master à HEC".
>
>
> Si.
Ce n'est pas ce qui est dit dans la phrase plus haut plus haut, mais si
vous connaissez la soeur de son concierge et si vous avez écrit sa bio
et réalisé le biopic, évidemment, ça change tout...
"Thibault de Montbrial est également Maître de conférence à HEC
Entrepreneurs (Droit pénal de l'Entreprise) "
Hum..."Maître de Conférences", rien que ça...
Ça ne fait pas très sérieux comme enseignement, je trouve.
"et Chargé de cours en droit pénal des affaires en Master 2 Droit Pénal
à l'Université Versailles-Saint Quentin. "
"Thibault de Montbrial est également Maître de conférence à HEC
Entrepreneurs (Droit pénal de l'Entreprise) "
Hum..."Maître de Conférences", rien que ça...
Ça ne fait pas très sérieux comme enseignement, je trouve.
"et Chargé de cours en droit pénal des affaires en Master 2 Droit Pénal
à l'Université Versailles-Saint Quentin. "
"Thibault de Montbrial est également Maître de conférence à HEC
Entrepreneurs (Droit pénal de l'Entreprise) "
Hum..."Maître de Conférences", rien que ça...
Ça ne fait pas très sérieux comme enseignement, je trouve.
"et Chargé de cours en droit pénal des affaires en Master 2 Droit Pénal
à l'Université Versailles-Saint Quentin. "
Dominique wrote:"Thibault de Montbrial est également Maître de conférence à HEC
Entrepreneurs (Droit pénal de l'Entreprise) "
Hum..."Maître de Conférences", rien que ça...
Aujourd'hui à la fac, c'est l'ancien "maître-assistant", l'ancien maître de
conf étant devenu prof. Mais c'est un titre non protégé
Un "vrai" maître de conf a un programme de recherche en sus
Bah, c'est un master HEC. Demandé, sélectif et cher. Plusieurs de mes
étudiants y sont passé, trouvant qu'ingénieur est un titre marchepied.
Dominique <dmkgbt@free.invalid> wrote:
"Thibault de Montbrial est également Maître de conférence à HEC
Entrepreneurs (Droit pénal de l'Entreprise) "
Hum..."Maître de Conférences", rien que ça...
Aujourd'hui à la fac, c'est l'ancien "maître-assistant", l'ancien maître de
conf étant devenu prof. Mais c'est un titre non protégé
Un "vrai" maître de conf a un programme de recherche en sus
Bah, c'est un master HEC. Demandé, sélectif et cher. Plusieurs de mes
étudiants y sont passé, trouvant qu'ingénieur est un titre marchepied.
Dominique wrote:"Thibault de Montbrial est également Maître de conférence à HEC
Entrepreneurs (Droit pénal de l'Entreprise) "
Hum..."Maître de Conférences", rien que ça...
Aujourd'hui à la fac, c'est l'ancien "maître-assistant", l'ancien maître de
conf étant devenu prof. Mais c'est un titre non protégé
Un "vrai" maître de conf a un programme de recherche en sus
Bah, c'est un master HEC. Demandé, sélectif et cher. Plusieurs de mes
étudiants y sont passé, trouvant qu'ingénieur est un titre marchepied.
jr a écrit:Dominique wrote:"Thibault de Montbrial est également Maître de conférence à HEC
Entrepreneurs (Droit pénal de l'Entreprise) "
Hum..."Maître de Conférences", rien que ça...
Aujourd'hui à la fac, c'est l'ancien "maître-assistant", l'ancien
maître de
conf étant devenu prof. Mais c'est un titre non protégé
Ah oui, comme ingénieur sans "diplômé" derrière...
Un "vrai" maître de conf a un programme de recherche en sus
Bah, la "recherche" veut dire quelque chose dans les matières sérieuses
(physique, médecine...), franchement, en droit et autres blagues, ça
fait rire les gens. Un "chercheur en droit" ça trouve quoi ?
Bah, c'est un master HEC. Demandé, sélectif et cher. Plusieurs de mes
étudiants y sont passé, trouvant qu'ingénieur est un titre marchepied.
Quand c'est une petite école peu connue, sans doute.
Inversement, un X-MIT qui fait un master à Sup de Co Cassis-La Ciotat,
c'est rare.
jr a écrit:
Dominique <dmkgbt@free.invalid> wrote:
"Thibault de Montbrial est également Maître de conférence à HEC
Entrepreneurs (Droit pénal de l'Entreprise) "
Hum..."Maître de Conférences", rien que ça...
Aujourd'hui à la fac, c'est l'ancien "maître-assistant", l'ancien
maître de
conf étant devenu prof. Mais c'est un titre non protégé
Ah oui, comme ingénieur sans "diplômé" derrière...
Un "vrai" maître de conf a un programme de recherche en sus
Bah, la "recherche" veut dire quelque chose dans les matières sérieuses
(physique, médecine...), franchement, en droit et autres blagues, ça
fait rire les gens. Un "chercheur en droit" ça trouve quoi ?
Bah, c'est un master HEC. Demandé, sélectif et cher. Plusieurs de mes
étudiants y sont passé, trouvant qu'ingénieur est un titre marchepied.
Quand c'est une petite école peu connue, sans doute.
Inversement, un X-MIT qui fait un master à Sup de Co Cassis-La Ciotat,
c'est rare.
jr a écrit:Dominique wrote:"Thibault de Montbrial est également Maître de conférence à HEC
Entrepreneurs (Droit pénal de l'Entreprise) "
Hum..."Maître de Conférences", rien que ça...
Aujourd'hui à la fac, c'est l'ancien "maître-assistant", l'ancien
maître de
conf étant devenu prof. Mais c'est un titre non protégé
Ah oui, comme ingénieur sans "diplômé" derrière...
Un "vrai" maître de conf a un programme de recherche en sus
Bah, la "recherche" veut dire quelque chose dans les matières sérieuses
(physique, médecine...), franchement, en droit et autres blagues, ça
fait rire les gens. Un "chercheur en droit" ça trouve quoi ?
Bah, c'est un master HEC. Demandé, sélectif et cher. Plusieurs de mes
étudiants y sont passé, trouvant qu'ingénieur est un titre marchepied.
Quand c'est une petite école peu connue, sans doute.
Inversement, un X-MIT qui fait un master à Sup de Co Cassis-La Ciotat,
c'est rare.
n'importe qu'elle
n'importe qu'elle
n'importe qu'elle
Le 21/09/2013 22:47, Nestor, le vrai chef qu'il nous faut a écrit :jr a écrit:Hum..."Maître de Conférences", rien que ça...
Aujourd'hui à la fac, c'est l'ancien "maître-assistant", l'ancien
maître de
conf étant devenu prof. Mais c'est un titre non protégé
En tous cas cette histoire de titres est symptomatique de la psychose
bien française de dépréciation du titre. Nous n'avons que des
sous-machins ou trucs-assistants, habilités à, deuxième classe et autres
adjoints.
La valorisation du maître de conf en prof (de deuxième classe!) était
simplement logique au vu des correspondances avec l’étranger.
> Ah oui, comme ingénieur sans "diplômé" derrière...
J'ai vu passer, il y a pas mal de lustres, un diplôme d'ingénieur IDPE.
Ça c'est du diplôme.
Un "vrai" maître de conf a un programme de recherche en sus
Bah, la "recherche" veut dire quelque chose dans les matières sérieuses
(physique, médecine...), franchement, en droit et autres blagues, ça
fait rire les gens. Un "chercheur en droit" ça trouve quoi ?
Comme dans toutes les matières molles. Une thèse sur Bossuet, qu'est-ce
que ça vous dit?
Bah, c'est un master HEC. Demandé, sélectif et cher. Plusieurs de mes
étudiants y sont passé, trouvant qu'ingénieur est un titre marchepied.
Quand c'est une petite école peu connue, sans doute.
Un jour vous vous remettrez peut-être d'avoir fait un bac+5 sélectif en
6 ans.
Inversement, un X-MIT qui fait un master à Sup de Co Cassis-La Ciotat,
c'est rare.
J'ai un pote X-corpsard-Stanford qui a fait ça à Nice. Il est vrai qu'il
ne dort pas en bicorne, vous ne pouvez pas comprendre.
Le 21/09/2013 22:47, Nestor, le vrai chef qu'il nous faut a écrit :
jr a écrit:
Hum..."Maître de Conférences", rien que ça...
Aujourd'hui à la fac, c'est l'ancien "maître-assistant", l'ancien
maître de
conf étant devenu prof. Mais c'est un titre non protégé
En tous cas cette histoire de titres est symptomatique de la psychose
bien française de dépréciation du titre. Nous n'avons que des
sous-machins ou trucs-assistants, habilités à, deuxième classe et autres
adjoints.
La valorisation du maître de conf en prof (de deuxième classe!) était
simplement logique au vu des correspondances avec l’étranger.
> Ah oui, comme ingénieur sans "diplômé" derrière...
J'ai vu passer, il y a pas mal de lustres, un diplôme d'ingénieur IDPE.
Ça c'est du diplôme.
Un "vrai" maître de conf a un programme de recherche en sus
Bah, la "recherche" veut dire quelque chose dans les matières sérieuses
(physique, médecine...), franchement, en droit et autres blagues, ça
fait rire les gens. Un "chercheur en droit" ça trouve quoi ?
Comme dans toutes les matières molles. Une thèse sur Bossuet, qu'est-ce
que ça vous dit?
Bah, c'est un master HEC. Demandé, sélectif et cher. Plusieurs de mes
étudiants y sont passé, trouvant qu'ingénieur est un titre marchepied.
Quand c'est une petite école peu connue, sans doute.
Un jour vous vous remettrez peut-être d'avoir fait un bac+5 sélectif en
6 ans.
Inversement, un X-MIT qui fait un master à Sup de Co Cassis-La Ciotat,
c'est rare.
J'ai un pote X-corpsard-Stanford qui a fait ça à Nice. Il est vrai qu'il
ne dort pas en bicorne, vous ne pouvez pas comprendre.
Le 21/09/2013 22:47, Nestor, le vrai chef qu'il nous faut a écrit :jr a écrit:Hum..."Maître de Conférences", rien que ça...
Aujourd'hui à la fac, c'est l'ancien "maître-assistant", l'ancien
maître de
conf étant devenu prof. Mais c'est un titre non protégé
En tous cas cette histoire de titres est symptomatique de la psychose
bien française de dépréciation du titre. Nous n'avons que des
sous-machins ou trucs-assistants, habilités à, deuxième classe et autres
adjoints.
La valorisation du maître de conf en prof (de deuxième classe!) était
simplement logique au vu des correspondances avec l’étranger.
> Ah oui, comme ingénieur sans "diplômé" derrière...
J'ai vu passer, il y a pas mal de lustres, un diplôme d'ingénieur IDPE.
Ça c'est du diplôme.
Un "vrai" maître de conf a un programme de recherche en sus
Bah, la "recherche" veut dire quelque chose dans les matières sérieuses
(physique, médecine...), franchement, en droit et autres blagues, ça
fait rire les gens. Un "chercheur en droit" ça trouve quoi ?
Comme dans toutes les matières molles. Une thèse sur Bossuet, qu'est-ce
que ça vous dit?
Bah, c'est un master HEC. Demandé, sélectif et cher. Plusieurs de mes
étudiants y sont passé, trouvant qu'ingénieur est un titre marchepied.
Quand c'est une petite école peu connue, sans doute.
Un jour vous vous remettrez peut-être d'avoir fait un bac+5 sélectif en
6 ans.
Inversement, un X-MIT qui fait un master à Sup de Co Cassis-La Ciotat,
c'est rare.
J'ai un pote X-corpsard-Stanford qui a fait ça à Nice. Il est vrai qu'il
ne dort pas en bicorne, vous ne pouvez pas comprendre.
Le 21/09/2013 22:12, jr a écrit :
> n'importe qu'elle
!:%$@
Le 21/09/2013 22:12, jr a écrit :
> n'importe qu'elle
!:%$@
Le 21/09/2013 22:12, jr a écrit :
> n'importe qu'elle
!:%$@
jr a écrit:Le 21/09/2013 22:47, Nestor, le vrai chef qu'il nous faut a écrit :jr a écrit:Hum..."Maître de Conférences", rien que ça...
Aujourd'hui à la fac, c'est l'ancien "maître-assistant", l'ancien
maître de
conf étant devenu prof. Mais c'est un titre non protégé
En tous cas cette histoire de titres est symptomatique de la psychose
bien française de dépréciation du titre. Nous n'avons que des
sous-machins ou trucs-assistants, habilités à, deuxième classe et
autres adjoints.
Quand la gauche dans un grand élan niveleur a supprimé la première
classe dans le métro, tout le monde s'est retrouvé dans l'unique
deuxième classe et il a fallu un bon bout de temps pour que le "2"
disparaisse des tickets...La valorisation du maître de conf en prof (de deuxième classe!) était
simplement logique au vu des correspondances avec l’étranger.
On a de toute façons tellement de particularités... Les étrangers qui
naguère s'intéressaient à l'X écarquillaient les yeux quand on leur
disait qu'il n'y avait pas de diplôme mais qu'on avait après le droit de
mettre "ancien élève de l'École polytechnique".> Ah oui, comme ingénieur sans "diplômé" derrière...
J'ai vu passer, il y a pas mal de lustres, un diplôme d'ingénieur
IDPE. Ça c'est du diplôme.
Je trouve ça :
http://www.polytech-montpellier.fr/index.php/formation-continue/idpe
Visiblement c'est justement pour avoir le droit de se dire sans l'être...
Bah, la "recherche" veut dire quelque chose dans les matières sérieuses
(physique, médecine...), franchement, en droit et autres blagues, ça
fait rire les gens. Un "chercheur en droit" ça trouve quoi ?
Comme dans toutes les matières molles. Une thèse sur Bossuet,
qu'est-ce que ça vous dit?
Un bien bel homme ce Bossuet. Une thèse sur des lettres, il y a des
choses intelligentes à dire. Sur le droit, il ne peut rien y avoir
d'intelligent à dire sauf à fair un simple historique.
Un jour vous vous remettrez peut-être d'avoir fait un bac+5 sélectif
en 6 ans.
??? 5/2 de mon temps c'était planifié pour la plupart des gaziers.
Un copain allemand (5 ans de maths, puis 5 ans d'éco, puis 1 an à
Fontainebleau) à qui j'expliquais ce qu'on faisait en maths la première
année après les concours était tout étonné, il n'avait fait ça qu'au
bout de 5 ans.
Inversement, un X-MIT qui fait un master à Sup de Co Cassis-La Ciotat,
c'est rare.
J'ai un pote X-corpsard-Stanford qui a fait ça à Nice. Il est vrai
qu'il ne dort pas en bicorne, vous ne pouvez pas comprendre.
La Sup de Co de Nice ça doit être déjà un peu mieux que Marseille,
c'est
pas eux qui ont fusionné avec des Lillois ?
jr a écrit:
Le 21/09/2013 22:47, Nestor, le vrai chef qu'il nous faut a écrit :
jr a écrit:
Hum..."Maître de Conférences", rien que ça...
Aujourd'hui à la fac, c'est l'ancien "maître-assistant", l'ancien
maître de
conf étant devenu prof. Mais c'est un titre non protégé
En tous cas cette histoire de titres est symptomatique de la psychose
bien française de dépréciation du titre. Nous n'avons que des
sous-machins ou trucs-assistants, habilités à, deuxième classe et
autres adjoints.
Quand la gauche dans un grand élan niveleur a supprimé la première
classe dans le métro, tout le monde s'est retrouvé dans l'unique
deuxième classe et il a fallu un bon bout de temps pour que le "2"
disparaisse des tickets...
La valorisation du maître de conf en prof (de deuxième classe!) était
simplement logique au vu des correspondances avec l’étranger.
On a de toute façons tellement de particularités... Les étrangers qui
naguère s'intéressaient à l'X écarquillaient les yeux quand on leur
disait qu'il n'y avait pas de diplôme mais qu'on avait après le droit de
mettre "ancien élève de l'École polytechnique".
> Ah oui, comme ingénieur sans "diplômé" derrière...
J'ai vu passer, il y a pas mal de lustres, un diplôme d'ingénieur
IDPE. Ça c'est du diplôme.
Je trouve ça :
http://www.polytech-montpellier.fr/index.php/formation-continue/idpe
Visiblement c'est justement pour avoir le droit de se dire sans l'être...
Bah, la "recherche" veut dire quelque chose dans les matières sérieuses
(physique, médecine...), franchement, en droit et autres blagues, ça
fait rire les gens. Un "chercheur en droit" ça trouve quoi ?
Comme dans toutes les matières molles. Une thèse sur Bossuet,
qu'est-ce que ça vous dit?
Un bien bel homme ce Bossuet. Une thèse sur des lettres, il y a des
choses intelligentes à dire. Sur le droit, il ne peut rien y avoir
d'intelligent à dire sauf à fair un simple historique.
Un jour vous vous remettrez peut-être d'avoir fait un bac+5 sélectif
en 6 ans.
??? 5/2 de mon temps c'était planifié pour la plupart des gaziers.
Un copain allemand (5 ans de maths, puis 5 ans d'éco, puis 1 an à
Fontainebleau) à qui j'expliquais ce qu'on faisait en maths la première
année après les concours était tout étonné, il n'avait fait ça qu'au
bout de 5 ans.
Inversement, un X-MIT qui fait un master à Sup de Co Cassis-La Ciotat,
c'est rare.
J'ai un pote X-corpsard-Stanford qui a fait ça à Nice. Il est vrai
qu'il ne dort pas en bicorne, vous ne pouvez pas comprendre.
La Sup de Co de Nice ça doit être déjà un peu mieux que Marseille,
c'est
pas eux qui ont fusionné avec des Lillois ?
jr a écrit:Le 21/09/2013 22:47, Nestor, le vrai chef qu'il nous faut a écrit :jr a écrit:Hum..."Maître de Conférences", rien que ça...
Aujourd'hui à la fac, c'est l'ancien "maître-assistant", l'ancien
maître de
conf étant devenu prof. Mais c'est un titre non protégé
En tous cas cette histoire de titres est symptomatique de la psychose
bien française de dépréciation du titre. Nous n'avons que des
sous-machins ou trucs-assistants, habilités à, deuxième classe et
autres adjoints.
Quand la gauche dans un grand élan niveleur a supprimé la première
classe dans le métro, tout le monde s'est retrouvé dans l'unique
deuxième classe et il a fallu un bon bout de temps pour que le "2"
disparaisse des tickets...La valorisation du maître de conf en prof (de deuxième classe!) était
simplement logique au vu des correspondances avec l’étranger.
On a de toute façons tellement de particularités... Les étrangers qui
naguère s'intéressaient à l'X écarquillaient les yeux quand on leur
disait qu'il n'y avait pas de diplôme mais qu'on avait après le droit de
mettre "ancien élève de l'École polytechnique".> Ah oui, comme ingénieur sans "diplômé" derrière...
J'ai vu passer, il y a pas mal de lustres, un diplôme d'ingénieur
IDPE. Ça c'est du diplôme.
Je trouve ça :
http://www.polytech-montpellier.fr/index.php/formation-continue/idpe
Visiblement c'est justement pour avoir le droit de se dire sans l'être...
Bah, la "recherche" veut dire quelque chose dans les matières sérieuses
(physique, médecine...), franchement, en droit et autres blagues, ça
fait rire les gens. Un "chercheur en droit" ça trouve quoi ?
Comme dans toutes les matières molles. Une thèse sur Bossuet,
qu'est-ce que ça vous dit?
Un bien bel homme ce Bossuet. Une thèse sur des lettres, il y a des
choses intelligentes à dire. Sur le droit, il ne peut rien y avoir
d'intelligent à dire sauf à fair un simple historique.
Un jour vous vous remettrez peut-être d'avoir fait un bac+5 sélectif
en 6 ans.
??? 5/2 de mon temps c'était planifié pour la plupart des gaziers.
Un copain allemand (5 ans de maths, puis 5 ans d'éco, puis 1 an à
Fontainebleau) à qui j'expliquais ce qu'on faisait en maths la première
année après les concours était tout étonné, il n'avait fait ça qu'au
bout de 5 ans.
Inversement, un X-MIT qui fait un master à Sup de Co Cassis-La Ciotat,
c'est rare.
J'ai un pote X-corpsard-Stanford qui a fait ça à Nice. Il est vrai
qu'il ne dort pas en bicorne, vous ne pouvez pas comprendre.
La Sup de Co de Nice ça doit être déjà un peu mieux que Marseille,
c'est
pas eux qui ont fusionné avec des Lillois ?
jr a écrit:Le 21/09/2013 22:12, jr a écrit :
> n'importe qu'elle
!:%$@
Vieillesse, naufrage.
jr a écrit:
Le 21/09/2013 22:12, jr a écrit :
> n'importe qu'elle
!:%$@
Vieillesse, naufrage.
jr a écrit:Le 21/09/2013 22:12, jr a écrit :
> n'importe qu'elle
!:%$@
Vieillesse, naufrage.
Un étudiant de 2 ème année qui a fini de parcourir son polycop de pénal
sait que, en l'état actuel du droit et de la JP, la légitime défense
ne peut être alléguée pour M. Turk et que l'avocat du bijoutier de Nice
plaidera vraisemblablement les circonstances atténuantes.
Mais le droit n'est jamais qu'un ensemble de normes provisoires
au service de la domination contingente d'une classe, d'une caste
et d'une idéologie, sur la société toute entière... Du moins tant
qu'elle ne se rebiffe pas !
Aussi lorsqu'on lit les odieux commentaires pleurnichards sur les
pauvres crapules qui se font dessouder, on peut poser la question :
les textes actuels ne sont-ils pas gravement obsolètes ?
La légitime défense a été maintes fois remaniée pour tenir compte de
l'évolution de la société. Par exemple pour empêcher un cocu de
flinguer son rival en prétextant une effraction nocturne (ça se
plaidait avec un certain succès au XIXème) ou encore au XXème quand
les voyous avaient de la morale et ne défouraillaient pas à tout va.
Aujourd'hui, on lit régulièrement dans les faits divers que des gens
se font estropier ou tuer pour un téléphone portable, une clope voire
un simple regard de travers... Et le coupable est rarement attrapé.
Ou alors il l'est à la vingtième infraction. Et condamné à la trentième.
Et il s'en tire avec une peine légère. Et est libéré à mi-peine...
Et il parade, narguant les flics et menaçant ses victimes.
Tandis que la justice est impitoyable envers quiconque piège sa demeure.
Ou égratigne un agresseur. Pénalement répréhensible, l'agressé doit en
plus dédommager son cambrioleur si celui-ci est amoché.
"On marche vraiment sur la tête !" aurait dit ma concierge.
De façon plus anthropologique : "une telle inversion des valeurs induit
une rupture totale du pacte social."
Le temps n'est-il pas venu de dépoussiérer une loi devenue scélérate ?
D'autant qu'elle est appliquée avec un haine de classe paradoxale
par des juges rouges qui sont surtout des bobos panurgiques enfumés
par la propagande des média qui se la pètent affranchis. Surtout
les bonnes femmes subjuguées par le romantisme frelaté des bad boys.
Une anecdote montrant à quel degré de veulerie, de pourriture et
d'ignominie notre société se vautre : c'était un peu avant que
Tonton Francisque prenne les commandes...
Deux hommes, la trentaine athlétique, sont alertés par des bruits
inhabituels et des cris étouffés chez une voisine.
Une quinquagénaire fortunée handicapée par la maladie de Charcot.
Pensant qu'elle est tombée, ils se précipitent pour la secourir.
Et ils dérangent trois courageuses petites frappes qui tabassent
l'infirme pour qu'elle leur donne son argent et ses bijoux.
Cette intrusion inopinée fait que le "chef" déserte illico, sautant par
la fenêtre. Les flics sauront le retrouver, il est fiché, et le sinistre
de l'inférieur ne donne pas encore des ordres pour qu'on l'oublie...
Quant aux 2 autres, les "secouristes" s'en occupent comme il convient.
A l'aide d'une lourde poêle en fonte à la mode d'antan (arme par
destination !) l'un d'eux explose la mâchoire et les dents d'un voyou.
Tandis que l'autre, moins raffiné, s'occupe du sien en lui brisant
à mains nues un bras et quelques côtelettes.
Une fois la racaille remise empaquetée à la flicaille, ils ont eu
droit à un article louangeur dans le canard régional, aux félicitations
du maire et du sous-préfet lors d'un vin d'honneur, à une invitation
à France Régions qui ne s'appelait pas encore FR3, et aux éloges
du proc lorsqu'ils ont été appelés à témoigner.
Aujourd'hui, un juge gauchiste les enverrait sûrement moisir sur la
paille des cachots pour avoir osé porter atteinte à l'intégrité physique
de ces gentils voyous qui ne faisaient qu'essayer de récupérer, de façon
bien compréhensible et très excusable, une partie des richesses dont une
société injuste et discriminante les a scandaleusement privés.
A défaut d'avoir pu dépouiller leur victime, ils auraient au moins
en lot de consolation les substantiels dommages-intérêts que leurs
perturbateurs seraient condamnés à leur verser...
Dès lors, je ne peux qu'inviter mes chers compatriotes lorsqu'ils seront
appelés aux urnes, à s'interroger avant de déposer leur bulletin.
Vont-ils continuer à voter pour ceux qui préfèrent que rien ne change,
ou pire ceux qui prônent encore plus de laxisme taubiresque, afin
que des bien-pensants statufiés sur leur banquise de bons sentiments,
et qui ne lèvent pas le nez de leur guidon idéologique, continuent à
pérorer, à tancer et à élucubrer ?
Ou bien éliront-ils des gens qui veulent que la peur change de camp,
et qu'on n'appelle plus "victimes" les agresseurs malchanceux
et "coupables" les honnêtes citoyens qui ne font que riposter ?
Un étudiant de 2 ème année qui a fini de parcourir son polycop de pénal
sait que, en l'état actuel du droit et de la JP, la légitime défense
ne peut être alléguée pour M. Turk et que l'avocat du bijoutier de Nice
plaidera vraisemblablement les circonstances atténuantes.
Mais le droit n'est jamais qu'un ensemble de normes provisoires
au service de la domination contingente d'une classe, d'une caste
et d'une idéologie, sur la société toute entière... Du moins tant
qu'elle ne se rebiffe pas !
Aussi lorsqu'on lit les odieux commentaires pleurnichards sur les
pauvres crapules qui se font dessouder, on peut poser la question :
les textes actuels ne sont-ils pas gravement obsolètes ?
La légitime défense a été maintes fois remaniée pour tenir compte de
l'évolution de la société. Par exemple pour empêcher un cocu de
flinguer son rival en prétextant une effraction nocturne (ça se
plaidait avec un certain succès au XIXème) ou encore au XXème quand
les voyous avaient de la morale et ne défouraillaient pas à tout va.
Aujourd'hui, on lit régulièrement dans les faits divers que des gens
se font estropier ou tuer pour un téléphone portable, une clope voire
un simple regard de travers... Et le coupable est rarement attrapé.
Ou alors il l'est à la vingtième infraction. Et condamné à la trentième.
Et il s'en tire avec une peine légère. Et est libéré à mi-peine...
Et il parade, narguant les flics et menaçant ses victimes.
Tandis que la justice est impitoyable envers quiconque piège sa demeure.
Ou égratigne un agresseur. Pénalement répréhensible, l'agressé doit en
plus dédommager son cambrioleur si celui-ci est amoché.
"On marche vraiment sur la tête !" aurait dit ma concierge.
De façon plus anthropologique : "une telle inversion des valeurs induit
une rupture totale du pacte social."
Le temps n'est-il pas venu de dépoussiérer une loi devenue scélérate ?
D'autant qu'elle est appliquée avec un haine de classe paradoxale
par des juges rouges qui sont surtout des bobos panurgiques enfumés
par la propagande des média qui se la pètent affranchis. Surtout
les bonnes femmes subjuguées par le romantisme frelaté des bad boys.
Une anecdote montrant à quel degré de veulerie, de pourriture et
d'ignominie notre société se vautre : c'était un peu avant que
Tonton Francisque prenne les commandes...
Deux hommes, la trentaine athlétique, sont alertés par des bruits
inhabituels et des cris étouffés chez une voisine.
Une quinquagénaire fortunée handicapée par la maladie de Charcot.
Pensant qu'elle est tombée, ils se précipitent pour la secourir.
Et ils dérangent trois courageuses petites frappes qui tabassent
l'infirme pour qu'elle leur donne son argent et ses bijoux.
Cette intrusion inopinée fait que le "chef" déserte illico, sautant par
la fenêtre. Les flics sauront le retrouver, il est fiché, et le sinistre
de l'inférieur ne donne pas encore des ordres pour qu'on l'oublie...
Quant aux 2 autres, les "secouristes" s'en occupent comme il convient.
A l'aide d'une lourde poêle en fonte à la mode d'antan (arme par
destination !) l'un d'eux explose la mâchoire et les dents d'un voyou.
Tandis que l'autre, moins raffiné, s'occupe du sien en lui brisant
à mains nues un bras et quelques côtelettes.
Une fois la racaille remise empaquetée à la flicaille, ils ont eu
droit à un article louangeur dans le canard régional, aux félicitations
du maire et du sous-préfet lors d'un vin d'honneur, à une invitation
à France Régions qui ne s'appelait pas encore FR3, et aux éloges
du proc lorsqu'ils ont été appelés à témoigner.
Aujourd'hui, un juge gauchiste les enverrait sûrement moisir sur la
paille des cachots pour avoir osé porter atteinte à l'intégrité physique
de ces gentils voyous qui ne faisaient qu'essayer de récupérer, de façon
bien compréhensible et très excusable, une partie des richesses dont une
société injuste et discriminante les a scandaleusement privés.
A défaut d'avoir pu dépouiller leur victime, ils auraient au moins
en lot de consolation les substantiels dommages-intérêts que leurs
perturbateurs seraient condamnés à leur verser...
Dès lors, je ne peux qu'inviter mes chers compatriotes lorsqu'ils seront
appelés aux urnes, à s'interroger avant de déposer leur bulletin.
Vont-ils continuer à voter pour ceux qui préfèrent que rien ne change,
ou pire ceux qui prônent encore plus de laxisme taubiresque, afin
que des bien-pensants statufiés sur leur banquise de bons sentiments,
et qui ne lèvent pas le nez de leur guidon idéologique, continuent à
pérorer, à tancer et à élucubrer ?
Ou bien éliront-ils des gens qui veulent que la peur change de camp,
et qu'on n'appelle plus "victimes" les agresseurs malchanceux
et "coupables" les honnêtes citoyens qui ne font que riposter ?
Un étudiant de 2 ème année qui a fini de parcourir son polycop de pénal
sait que, en l'état actuel du droit et de la JP, la légitime défense
ne peut être alléguée pour M. Turk et que l'avocat du bijoutier de Nice
plaidera vraisemblablement les circonstances atténuantes.
Mais le droit n'est jamais qu'un ensemble de normes provisoires
au service de la domination contingente d'une classe, d'une caste
et d'une idéologie, sur la société toute entière... Du moins tant
qu'elle ne se rebiffe pas !
Aussi lorsqu'on lit les odieux commentaires pleurnichards sur les
pauvres crapules qui se font dessouder, on peut poser la question :
les textes actuels ne sont-ils pas gravement obsolètes ?
La légitime défense a été maintes fois remaniée pour tenir compte de
l'évolution de la société. Par exemple pour empêcher un cocu de
flinguer son rival en prétextant une effraction nocturne (ça se
plaidait avec un certain succès au XIXème) ou encore au XXème quand
les voyous avaient de la morale et ne défouraillaient pas à tout va.
Aujourd'hui, on lit régulièrement dans les faits divers que des gens
se font estropier ou tuer pour un téléphone portable, une clope voire
un simple regard de travers... Et le coupable est rarement attrapé.
Ou alors il l'est à la vingtième infraction. Et condamné à la trentième.
Et il s'en tire avec une peine légère. Et est libéré à mi-peine...
Et il parade, narguant les flics et menaçant ses victimes.
Tandis que la justice est impitoyable envers quiconque piège sa demeure.
Ou égratigne un agresseur. Pénalement répréhensible, l'agressé doit en
plus dédommager son cambrioleur si celui-ci est amoché.
"On marche vraiment sur la tête !" aurait dit ma concierge.
De façon plus anthropologique : "une telle inversion des valeurs induit
une rupture totale du pacte social."
Le temps n'est-il pas venu de dépoussiérer une loi devenue scélérate ?
D'autant qu'elle est appliquée avec un haine de classe paradoxale
par des juges rouges qui sont surtout des bobos panurgiques enfumés
par la propagande des média qui se la pètent affranchis. Surtout
les bonnes femmes subjuguées par le romantisme frelaté des bad boys.
Une anecdote montrant à quel degré de veulerie, de pourriture et
d'ignominie notre société se vautre : c'était un peu avant que
Tonton Francisque prenne les commandes...
Deux hommes, la trentaine athlétique, sont alertés par des bruits
inhabituels et des cris étouffés chez une voisine.
Une quinquagénaire fortunée handicapée par la maladie de Charcot.
Pensant qu'elle est tombée, ils se précipitent pour la secourir.
Et ils dérangent trois courageuses petites frappes qui tabassent
l'infirme pour qu'elle leur donne son argent et ses bijoux.
Cette intrusion inopinée fait que le "chef" déserte illico, sautant par
la fenêtre. Les flics sauront le retrouver, il est fiché, et le sinistre
de l'inférieur ne donne pas encore des ordres pour qu'on l'oublie...
Quant aux 2 autres, les "secouristes" s'en occupent comme il convient.
A l'aide d'une lourde poêle en fonte à la mode d'antan (arme par
destination !) l'un d'eux explose la mâchoire et les dents d'un voyou.
Tandis que l'autre, moins raffiné, s'occupe du sien en lui brisant
à mains nues un bras et quelques côtelettes.
Une fois la racaille remise empaquetée à la flicaille, ils ont eu
droit à un article louangeur dans le canard régional, aux félicitations
du maire et du sous-préfet lors d'un vin d'honneur, à une invitation
à France Régions qui ne s'appelait pas encore FR3, et aux éloges
du proc lorsqu'ils ont été appelés à témoigner.
Aujourd'hui, un juge gauchiste les enverrait sûrement moisir sur la
paille des cachots pour avoir osé porter atteinte à l'intégrité physique
de ces gentils voyous qui ne faisaient qu'essayer de récupérer, de façon
bien compréhensible et très excusable, une partie des richesses dont une
société injuste et discriminante les a scandaleusement privés.
A défaut d'avoir pu dépouiller leur victime, ils auraient au moins
en lot de consolation les substantiels dommages-intérêts que leurs
perturbateurs seraient condamnés à leur verser...
Dès lors, je ne peux qu'inviter mes chers compatriotes lorsqu'ils seront
appelés aux urnes, à s'interroger avant de déposer leur bulletin.
Vont-ils continuer à voter pour ceux qui préfèrent que rien ne change,
ou pire ceux qui prônent encore plus de laxisme taubiresque, afin
que des bien-pensants statufiés sur leur banquise de bons sentiments,
et qui ne lèvent pas le nez de leur guidon idéologique, continuent à
pérorer, à tancer et à élucubrer ?
Ou bien éliront-ils des gens qui veulent que la peur change de camp,
et qu'on n'appelle plus "victimes" les agresseurs malchanceux
et "coupables" les honnêtes citoyens qui ne font que riposter ?