"Brina" a écrit dans le message de news:non, c'est de faire le partage dans les règles, le faire en se
protégeant les uns les autres, parce qu'au contraire, c'est de faire
n'importe quoi qui tuera un jour le partage : quand il y aura des
exemples où le partage a entrainé des soucis dramatiques pour une
personne, il y aura :
1) de nombreuses personnes qui ne voudront plus le faire
2) l'apparition d'une législation contraignante au bout d'un moment
Alors pourquoi, pour une fois, ne pas anticiper tout cela en évitant
l'éternel "c'est Internet, on a le droit de tout faire sans prendre le
moindre risque" ?
Blah, les voleurs et les criminels empruntent la voie publique tous les
jours... Et ce n'est pas pour autant que chaque citoyen est obligé de
porter une puce électronique pour observer tout mouvement... Et il
faudrait considérer désormais l'Internet comme une voie publique... A
l'état ensuite d'intercepter ensuite les délinquants, avec des moyens ad
hoc.
Il existe pourtant de nombreuses personnes motivées par le partage qui
pourraient via une asso ou simplement un site Web bien relayé dans ce
milieu, établir des process, indiquer aux gens comment configurer leur
réseau, faire des logs, établir par écrit l'accord entre les gens avec
les conditions d'usage (voire peut-être proposer une législation peu
contraignante quand ils auront atteint un bon niveau de
représentativité)
C'est une solution à envisager pour identifier les utilisateurs... Mais
par principe sur les libertés publiques j'y suis profondément opposé.
Néanmoins, puisque ce n'est pas moi qui fait la loi, le mieux
effectivement serait de passer par des tiers identificateurs pour se
prémunir contre certaines pratiques indélicates. Les derniers firmwares de
Sveasoft sur les Wrt54G permettent absolument de renvoyer vers un site web
qui peut s'occuper de l'identification des connectés... Reste que ce
dernier service n'est pas encore proposé au public...
De plus, si celui qui partage sa connexion court des risques et est en
droit d'exiger de ceux en profitant des obligations, il doit aussi avoir
des devoirs (comme ne pas couper le partage sans préavis laissant les
autres avec un délai pour avoir une autre connexion par exemple parce
que si, du jour au lendemain, on peut avoir sa connexion coupée par
simple lubie ou mauvaise humeur d'un autre, je ne vois pas où est
l'avenir du partage)
A l'usage, cela se passe plutôt bienVu comment c'est parti, le jour où un mec coupera la connexion d'un
autre parce qu'il envoit des virus, il pourra se faire condamner en
justice par cet autre parce que la justice estimera qu'il y avait
contrat (verbal) n'autorisant pas ainsi la coupure de connexion
Baf c'est l'envoi répétitif de virus qui provoque l'interruption d'une
connexion par un service abuse... Une journée ne leur suffit pas...
D'ailleurs la plupart du temps les services abuse commencent par envoyer
un message d'alerte avant de prendre une mesure d'interruption.
Sur un
réseau local partagé il ne pourra s'agir que d'un utilisateur habituel, et
non occasionnel, qui sera donc vite identifié et prévenu...
"Brina" <Brina@Alussinan.org> a écrit dans le message de news:
MPG.1c94effb708aa52499e4dc@brina.bj...
non, c'est de faire le partage dans les règles, le faire en se
protégeant les uns les autres, parce qu'au contraire, c'est de faire
n'importe quoi qui tuera un jour le partage : quand il y aura des
exemples où le partage a entrainé des soucis dramatiques pour une
personne, il y aura :
1) de nombreuses personnes qui ne voudront plus le faire
2) l'apparition d'une législation contraignante au bout d'un moment
Alors pourquoi, pour une fois, ne pas anticiper tout cela en évitant
l'éternel "c'est Internet, on a le droit de tout faire sans prendre le
moindre risque" ?
Blah, les voleurs et les criminels empruntent la voie publique tous les
jours... Et ce n'est pas pour autant que chaque citoyen est obligé de
porter une puce électronique pour observer tout mouvement... Et il
faudrait considérer désormais l'Internet comme une voie publique... A
l'état ensuite d'intercepter ensuite les délinquants, avec des moyens ad
hoc.
Il existe pourtant de nombreuses personnes motivées par le partage qui
pourraient via une asso ou simplement un site Web bien relayé dans ce
milieu, établir des process, indiquer aux gens comment configurer leur
réseau, faire des logs, établir par écrit l'accord entre les gens avec
les conditions d'usage (voire peut-être proposer une législation peu
contraignante quand ils auront atteint un bon niveau de
représentativité)
C'est une solution à envisager pour identifier les utilisateurs... Mais
par principe sur les libertés publiques j'y suis profondément opposé.
Néanmoins, puisque ce n'est pas moi qui fait la loi, le mieux
effectivement serait de passer par des tiers identificateurs pour se
prémunir contre certaines pratiques indélicates. Les derniers firmwares de
Sveasoft sur les Wrt54G permettent absolument de renvoyer vers un site web
qui peut s'occuper de l'identification des connectés... Reste que ce
dernier service n'est pas encore proposé au public...
De plus, si celui qui partage sa connexion court des risques et est en
droit d'exiger de ceux en profitant des obligations, il doit aussi avoir
des devoirs (comme ne pas couper le partage sans préavis laissant les
autres avec un délai pour avoir une autre connexion par exemple parce
que si, du jour au lendemain, on peut avoir sa connexion coupée par
simple lubie ou mauvaise humeur d'un autre, je ne vois pas où est
l'avenir du partage)
A l'usage, cela se passe plutôt bien
Vu comment c'est parti, le jour où un mec coupera la connexion d'un
autre parce qu'il envoit des virus, il pourra se faire condamner en
justice par cet autre parce que la justice estimera qu'il y avait
contrat (verbal) n'autorisant pas ainsi la coupure de connexion
Baf c'est l'envoi répétitif de virus qui provoque l'interruption d'une
connexion par un service abuse... Une journée ne leur suffit pas...
D'ailleurs la plupart du temps les services abuse commencent par envoyer
un message d'alerte avant de prendre une mesure d'interruption.
Sur un
réseau local partagé il ne pourra s'agir que d'un utilisateur habituel, et
non occasionnel, qui sera donc vite identifié et prévenu...
"Brina" a écrit dans le message de news:non, c'est de faire le partage dans les règles, le faire en se
protégeant les uns les autres, parce qu'au contraire, c'est de faire
n'importe quoi qui tuera un jour le partage : quand il y aura des
exemples où le partage a entrainé des soucis dramatiques pour une
personne, il y aura :
1) de nombreuses personnes qui ne voudront plus le faire
2) l'apparition d'une législation contraignante au bout d'un moment
Alors pourquoi, pour une fois, ne pas anticiper tout cela en évitant
l'éternel "c'est Internet, on a le droit de tout faire sans prendre le
moindre risque" ?
Blah, les voleurs et les criminels empruntent la voie publique tous les
jours... Et ce n'est pas pour autant que chaque citoyen est obligé de
porter une puce électronique pour observer tout mouvement... Et il
faudrait considérer désormais l'Internet comme une voie publique... A
l'état ensuite d'intercepter ensuite les délinquants, avec des moyens ad
hoc.
Il existe pourtant de nombreuses personnes motivées par le partage qui
pourraient via une asso ou simplement un site Web bien relayé dans ce
milieu, établir des process, indiquer aux gens comment configurer leur
réseau, faire des logs, établir par écrit l'accord entre les gens avec
les conditions d'usage (voire peut-être proposer une législation peu
contraignante quand ils auront atteint un bon niveau de
représentativité)
C'est une solution à envisager pour identifier les utilisateurs... Mais
par principe sur les libertés publiques j'y suis profondément opposé.
Néanmoins, puisque ce n'est pas moi qui fait la loi, le mieux
effectivement serait de passer par des tiers identificateurs pour se
prémunir contre certaines pratiques indélicates. Les derniers firmwares de
Sveasoft sur les Wrt54G permettent absolument de renvoyer vers un site web
qui peut s'occuper de l'identification des connectés... Reste que ce
dernier service n'est pas encore proposé au public...
De plus, si celui qui partage sa connexion court des risques et est en
droit d'exiger de ceux en profitant des obligations, il doit aussi avoir
des devoirs (comme ne pas couper le partage sans préavis laissant les
autres avec un délai pour avoir une autre connexion par exemple parce
que si, du jour au lendemain, on peut avoir sa connexion coupée par
simple lubie ou mauvaise humeur d'un autre, je ne vois pas où est
l'avenir du partage)
A l'usage, cela se passe plutôt bienVu comment c'est parti, le jour où un mec coupera la connexion d'un
autre parce qu'il envoit des virus, il pourra se faire condamner en
justice par cet autre parce que la justice estimera qu'il y avait
contrat (verbal) n'autorisant pas ainsi la coupure de connexion
Baf c'est l'envoi répétitif de virus qui provoque l'interruption d'une
connexion par un service abuse... Une journée ne leur suffit pas...
D'ailleurs la plupart du temps les services abuse commencent par envoyer
un message d'alerte avant de prendre une mesure d'interruption.
Sur un
réseau local partagé il ne pourra s'agir que d'un utilisateur habituel, et
non occasionnel, qui sera donc vite identifié et prévenu...
Juridiquement seuls les "opérateurs" de communications électroniques sont
tenus de conserver des données d'identification. Selon le Code des PCE
l'Opérateur s'entend comme une personne gérant un réseau "ouvert au
public" (pas un réseau interne ou plus généralement destiné à des
utilisateurs donnés).
A noter que ceci peut poser quelques problèmes en ce qui concerne les "hot
spots" librement ouverts parce que je ne vois pas très bien ce que
peuvent contenir leurs logs mais que leurs opérateurs semblent pour le
coup légalement tenus de les posséder.
(NB : ce n'est pas une question polémique mais une interrogation sincère).
Sinon, juridiquement, si j'ouvre un hot spot à destination du public, je
deviens Opérateur et je suis tenu de conserver les données de connexion
requises par la loi, sous peine de sanctions pénales mais notez qu'il
s'agit d'une infraction "en soi" pas d'un élément vous rendant complice de
l'infraction qui serait commise au moyen de la connexion. Sur ce point les
FAIs ont (à mon avis justement) obtenu un dédouanement pénal complet au
titre des contenus qui transitent par eux sans leur concours actif.
Juridiquement seuls les "opérateurs" de communications électroniques sont
tenus de conserver des données d'identification. Selon le Code des PCE
l'Opérateur s'entend comme une personne gérant un réseau "ouvert au
public" (pas un réseau interne ou plus généralement destiné à des
utilisateurs donnés).
A noter que ceci peut poser quelques problèmes en ce qui concerne les "hot
spots" librement ouverts parce que je ne vois pas très bien ce que
peuvent contenir leurs logs mais que leurs opérateurs semblent pour le
coup légalement tenus de les posséder.
(NB : ce n'est pas une question polémique mais une interrogation sincère).
Sinon, juridiquement, si j'ouvre un hot spot à destination du public, je
deviens Opérateur et je suis tenu de conserver les données de connexion
requises par la loi, sous peine de sanctions pénales mais notez qu'il
s'agit d'une infraction "en soi" pas d'un élément vous rendant complice de
l'infraction qui serait commise au moyen de la connexion. Sur ce point les
FAIs ont (à mon avis justement) obtenu un dédouanement pénal complet au
titre des contenus qui transitent par eux sans leur concours actif.
Juridiquement seuls les "opérateurs" de communications électroniques sont
tenus de conserver des données d'identification. Selon le Code des PCE
l'Opérateur s'entend comme une personne gérant un réseau "ouvert au
public" (pas un réseau interne ou plus généralement destiné à des
utilisateurs donnés).
A noter que ceci peut poser quelques problèmes en ce qui concerne les "hot
spots" librement ouverts parce que je ne vois pas très bien ce que
peuvent contenir leurs logs mais que leurs opérateurs semblent pour le
coup légalement tenus de les posséder.
(NB : ce n'est pas une question polémique mais une interrogation sincère).
Sinon, juridiquement, si j'ouvre un hot spot à destination du public, je
deviens Opérateur et je suis tenu de conserver les données de connexion
requises par la loi, sous peine de sanctions pénales mais notez qu'il
s'agit d'une infraction "en soi" pas d'un élément vous rendant complice de
l'infraction qui serait commise au moyen de la connexion. Sur ce point les
FAIs ont (à mon avis justement) obtenu un dédouanement pénal complet au
titre des contenus qui transitent par eux sans leur concours actif.
Effectivement, ils ne sont pas responsables de ce qui se passe via leur
réseau, mais je pense que c'est, précisément, en contrepartie de leur
tenue
des logs : dit grossièrement, il y a moyen de vérifier qu'ils n'ont servi
que de transporteur.
Non Non:
Effectivement, ils ne sont pas responsables de ce qui se passe via leur
réseau, mais je pense que c'est, précisément, en contrepartie de leur
tenue
des logs : dit grossièrement, il y a moyen de vérifier qu'ils n'ont servi
que de transporteur.
Non Non:
Effectivement, ils ne sont pas responsables de ce qui se passe via leur
réseau, mais je pense que c'est, précisément, en contrepartie de leur
tenue
des logs : dit grossièrement, il y a moyen de vérifier qu'ils n'ont servi
que de transporteur.
Non Non:
Effectivement, ils ne sont pas responsables de ce qui se passe via leur
réseau, mais je pense que c'est, précisément, en contrepartie de leur
tenue
des logs : dit grossièrement, il y a moyen de vérifier qu'ils n'ont servi
que de transporteur.
Non Non:
C'est la transposition d'un directive européenne (de 96 ?)qui les exonére
de toute obligation de vérification du contenu du trafic sans obligation
en contrepartie.
Par ailleurs, rappelez vous d'une règle de base du pénal: pas de texte,
pas d'infraction.
Pour le reste, c'est sûr que si on a le aps de bol d'ouvrir un accès WIFi
à Outreau ... ;)
Effectivement, ils ne sont pas responsables de ce qui se passe via leur
réseau, mais je pense que c'est, précisément, en contrepartie de leur
tenue
des logs : dit grossièrement, il y a moyen de vérifier qu'ils n'ont servi
que de transporteur.
Non Non:
C'est la transposition d'un directive européenne (de 96 ?)qui les exonére
de toute obligation de vérification du contenu du trafic sans obligation
en contrepartie.
Par ailleurs, rappelez vous d'une règle de base du pénal: pas de texte,
pas d'infraction.
Pour le reste, c'est sûr que si on a le aps de bol d'ouvrir un accès WIFi
à Outreau ... ;)
Effectivement, ils ne sont pas responsables de ce qui se passe via leur
réseau, mais je pense que c'est, précisément, en contrepartie de leur
tenue
des logs : dit grossièrement, il y a moyen de vérifier qu'ils n'ont servi
que de transporteur.
Non Non:
C'est la transposition d'un directive européenne (de 96 ?)qui les exonére
de toute obligation de vérification du contenu du trafic sans obligation
en contrepartie.
Par ailleurs, rappelez vous d'une règle de base du pénal: pas de texte,
pas d'infraction.
Pour le reste, c'est sûr que si on a le aps de bol d'ouvrir un accès WIFi
à Outreau ... ;)
wak wrote:Effectivement, ils ne sont pas responsables de ce qui se passe via leur
réseau, mais je pense que c'est, précisément, en contrepartie de leur
tenue
des logs : dit grossièrement, il y a moyen de vérifier qu'ils n'ont
servi
que de transporteur.
Non Non:
C'est la transposition d'un directive européenne (de 96 ?)qui les exonére
de toute obligation de vérification du contenu du trafic sans obligation
en contrepartie.
Je n'avais pas eu l'innocence de croire que le marché était explicite. :)Par ailleurs, rappelez vous d'une règle de base du pénal: pas de texte,
pas d'infraction.
Je suis sûr qu'un avocat ou un procureur opiniâtre trouverait le moyen
d'établir une démonstration basée uniquement sur la définition de la
complicité, s'il le fallait.
Raté:
Pour le reste, c'est sûr que si on a le aps de bol d'ouvrir un accès WIFi
à Outreau ... ;)
Rooh la aussi j'i quand même frôlé le mauvais goût ..désolé.
Disons que c'est le premier type de risque qui vient à l'esprit, parce que
très médiatisé, même s'il y en a d'autres ; mais en effet, c'est
typiquement le genre de cas dont la probabilité est certes faible, mais
les
conséquences carrément dramatiques.
wak wrote:
Effectivement, ils ne sont pas responsables de ce qui se passe via leur
réseau, mais je pense que c'est, précisément, en contrepartie de leur
tenue
des logs : dit grossièrement, il y a moyen de vérifier qu'ils n'ont
servi
que de transporteur.
Non Non:
C'est la transposition d'un directive européenne (de 96 ?)qui les exonére
de toute obligation de vérification du contenu du trafic sans obligation
en contrepartie.
Je n'avais pas eu l'innocence de croire que le marché était explicite. :)
Par ailleurs, rappelez vous d'une règle de base du pénal: pas de texte,
pas d'infraction.
Je suis sûr qu'un avocat ou un procureur opiniâtre trouverait le moyen
d'établir une démonstration basée uniquement sur la définition de la
complicité, s'il le fallait.
Raté:
Pour le reste, c'est sûr que si on a le aps de bol d'ouvrir un accès WIFi
à Outreau ... ;)
Rooh la aussi j'i quand même frôlé le mauvais goût ..désolé.
Disons que c'est le premier type de risque qui vient à l'esprit, parce que
très médiatisé, même s'il y en a d'autres ; mais en effet, c'est
typiquement le genre de cas dont la probabilité est certes faible, mais
les
conséquences carrément dramatiques.
wak wrote:Effectivement, ils ne sont pas responsables de ce qui se passe via leur
réseau, mais je pense que c'est, précisément, en contrepartie de leur
tenue
des logs : dit grossièrement, il y a moyen de vérifier qu'ils n'ont
servi
que de transporteur.
Non Non:
C'est la transposition d'un directive européenne (de 96 ?)qui les exonére
de toute obligation de vérification du contenu du trafic sans obligation
en contrepartie.
Je n'avais pas eu l'innocence de croire que le marché était explicite. :)Par ailleurs, rappelez vous d'une règle de base du pénal: pas de texte,
pas d'infraction.
Je suis sûr qu'un avocat ou un procureur opiniâtre trouverait le moyen
d'établir une démonstration basée uniquement sur la définition de la
complicité, s'il le fallait.
Raté:
Pour le reste, c'est sûr que si on a le aps de bol d'ouvrir un accès WIFi
à Outreau ... ;)
Rooh la aussi j'i quand même frôlé le mauvais goût ..désolé.
Disons que c'est le premier type de risque qui vient à l'esprit, parce que
très médiatisé, même s'il y en a d'autres ; mais en effet, c'est
typiquement le genre de cas dont la probabilité est certes faible, mais
les
conséquences carrément dramatiques.
Juridiquement seuls les "opérateurs" de communications électroniques sont
tenus de conserver des données d'identification. Selon le Code des PCE
l'Opérateur s'entend comme une personne gérant un réseau "ouvert au public"
(pas un réseau interne ou plus généralement destiné à des utilisateurs
donnés).
Juridiquement seuls les "opérateurs" de communications électroniques sont
tenus de conserver des données d'identification. Selon le Code des PCE
l'Opérateur s'entend comme une personne gérant un réseau "ouvert au public"
(pas un réseau interne ou plus généralement destiné à des utilisateurs
donnés).
Juridiquement seuls les "opérateurs" de communications électroniques sont
tenus de conserver des données d'identification. Selon le Code des PCE
l'Opérateur s'entend comme une personne gérant un réseau "ouvert au public"
(pas un réseau interne ou plus généralement destiné à des utilisateurs
donnés).
wak nous avait soumis l'idée :Juridiquement seuls les "opérateurs" de communications électroniques sont
tenus de conserver des données d'identification. Selon le Code des PCE
l'Opérateur s'entend comme une personne gérant un réseau "ouvert au public"
(pas un réseau interne ou plus généralement destiné à des utilisateurs
donnés).
ah mais pardon, la CA de Paris en a décidé autrement :
"Conservation des données: les entreprises soumises aux mêmes obligations que
les FAI"
http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39209610,00.htm
wak nous avait soumis l'idée :
Juridiquement seuls les "opérateurs" de communications électroniques sont
tenus de conserver des données d'identification. Selon le Code des PCE
l'Opérateur s'entend comme une personne gérant un réseau "ouvert au public"
(pas un réseau interne ou plus généralement destiné à des utilisateurs
donnés).
ah mais pardon, la CA de Paris en a décidé autrement :
"Conservation des données: les entreprises soumises aux mêmes obligations que
les FAI"
http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39209610,00.htm
wak nous avait soumis l'idée :Juridiquement seuls les "opérateurs" de communications électroniques sont
tenus de conserver des données d'identification. Selon le Code des PCE
l'Opérateur s'entend comme une personne gérant un réseau "ouvert au public"
(pas un réseau interne ou plus généralement destiné à des utilisateurs
donnés).
ah mais pardon, la CA de Paris en a décidé autrement :
"Conservation des données: les entreprises soumises aux mêmes obligations que
les FAI"
http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39209610,00.htm
Dans l'article , de
fr.reseaux.telecoms.adsl, PythonNews a promptement
déclamé ...ayant eu pendant 1 an, avec mon Sagem, une IP attribuée fallacieuse
(suite à erreur de cablage par FT, ma ligne était en fait utilisée par
quelqu'un d'autre) je fremis retrospectivement : si le détenteur de mon
IP avait été pénalement répréhensible, je me retrouvais au trou , voire
je suis fiché à tort par les RG...
C'est aussi là que l'enquête agit (car oui, il y a enquête mais les logs
sont des preuves si rien ne vient les contredire), il y aurait eu
constatation que ce n'était pas ton IP réelleDans cette hypothèse , si l'erreur par FT (mais que le FAI n'a à aucun
moment vérifié) entraine des déboires judiciaires immérités, QUI est
responsable pour les D et I ?
tout dépend des responsabilités retenues (tu dis que le FAI doit
vérifier, encore faut-il savoir s'il peut le faire, de même, ta propre
responsabilité de ne pas avoir signalé le fait, peut être retenue ou
pas)
Et jusqu'où ce raisonnement est-il valable?
Jusqu'au moment où on aura un exemple concret nous donnant la réponse
car on a pu s'apercevoir que concernant des situations nouvelles (les
NTIC en donnent tous les jours) toutes les belles théories qui font fi
des mesures de prudences, se cassent magnifiquement la gueule quand un
cas concret se présente (mais les faiseurs de belle théorie là
disparaissent et ne sont pas là pour réparer les pots cassés chez ceux
les ayant crus)
Une mesure de prudence c'est de signaler à son FAI, quand on est en IP
fixe, qu'on n'a pas l'IP qu'on devrait avoir, même si la connexion
fonctionne et ravoir la bonne
Chez Free, je l'ai dit souvent : faites réparer votre connexion avant de
demander la fbx :-)
Dans l'article <mn.2ccf7d538a76923d.25048@stpspam.fr>, de
fr.reseaux.telecoms.adsl, PythonNews <stopspam@stpspam.fr> a promptement
déclamé ...
ayant eu pendant 1 an, avec mon Sagem, une IP attribuée fallacieuse
(suite à erreur de cablage par FT, ma ligne était en fait utilisée par
quelqu'un d'autre) je fremis retrospectivement : si le détenteur de mon
IP avait été pénalement répréhensible, je me retrouvais au trou , voire
je suis fiché à tort par les RG...
C'est aussi là que l'enquête agit (car oui, il y a enquête mais les logs
sont des preuves si rien ne vient les contredire), il y aurait eu
constatation que ce n'était pas ton IP réelle
Dans cette hypothèse , si l'erreur par FT (mais que le FAI n'a à aucun
moment vérifié) entraine des déboires judiciaires immérités, QUI est
responsable pour les D et I ?
tout dépend des responsabilités retenues (tu dis que le FAI doit
vérifier, encore faut-il savoir s'il peut le faire, de même, ta propre
responsabilité de ne pas avoir signalé le fait, peut être retenue ou
pas)
Et jusqu'où ce raisonnement est-il valable?
Jusqu'au moment où on aura un exemple concret nous donnant la réponse
car on a pu s'apercevoir que concernant des situations nouvelles (les
NTIC en donnent tous les jours) toutes les belles théories qui font fi
des mesures de prudences, se cassent magnifiquement la gueule quand un
cas concret se présente (mais les faiseurs de belle théorie là
disparaissent et ne sont pas là pour réparer les pots cassés chez ceux
les ayant crus)
Une mesure de prudence c'est de signaler à son FAI, quand on est en IP
fixe, qu'on n'a pas l'IP qu'on devrait avoir, même si la connexion
fonctionne et ravoir la bonne
Chez Free, je l'ai dit souvent : faites réparer votre connexion avant de
demander la fbx :-)
Dans l'article , de
fr.reseaux.telecoms.adsl, PythonNews a promptement
déclamé ...ayant eu pendant 1 an, avec mon Sagem, une IP attribuée fallacieuse
(suite à erreur de cablage par FT, ma ligne était en fait utilisée par
quelqu'un d'autre) je fremis retrospectivement : si le détenteur de mon
IP avait été pénalement répréhensible, je me retrouvais au trou , voire
je suis fiché à tort par les RG...
C'est aussi là que l'enquête agit (car oui, il y a enquête mais les logs
sont des preuves si rien ne vient les contredire), il y aurait eu
constatation que ce n'était pas ton IP réelleDans cette hypothèse , si l'erreur par FT (mais que le FAI n'a à aucun
moment vérifié) entraine des déboires judiciaires immérités, QUI est
responsable pour les D et I ?
tout dépend des responsabilités retenues (tu dis que le FAI doit
vérifier, encore faut-il savoir s'il peut le faire, de même, ta propre
responsabilité de ne pas avoir signalé le fait, peut être retenue ou
pas)
Et jusqu'où ce raisonnement est-il valable?
Jusqu'au moment où on aura un exemple concret nous donnant la réponse
car on a pu s'apercevoir que concernant des situations nouvelles (les
NTIC en donnent tous les jours) toutes les belles théories qui font fi
des mesures de prudences, se cassent magnifiquement la gueule quand un
cas concret se présente (mais les faiseurs de belle théorie là
disparaissent et ne sont pas là pour réparer les pots cassés chez ceux
les ayant crus)
Une mesure de prudence c'est de signaler à son FAI, quand on est en IP
fixe, qu'on n'a pas l'IP qu'on devrait avoir, même si la connexion
fonctionne et ravoir la bonne
Chez Free, je l'ai dit souvent : faites réparer votre connexion avant de
demander la fbx :-)
wak nous avait soumis l'idée :Juridiquement seuls les "opérateurs" de communications électroniques sont
tenus de conserver des données d'identification. Selon le Code des PCE
l'Opérateur s'entend comme une personne gérant un réseau "ouvert au
public" (pas un réseau interne ou plus généralement destiné à des
utilisateurs donnés).
ah mais pardon, la CA de Paris en a décidé autrement :
"Conservation des données: les entreprises soumises aux mêmes obligations
que les FAI"
http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39209610,00.htm
Alors là bravo.
wak nous avait soumis l'idée :
Juridiquement seuls les "opérateurs" de communications électroniques sont
tenus de conserver des données d'identification. Selon le Code des PCE
l'Opérateur s'entend comme une personne gérant un réseau "ouvert au
public" (pas un réseau interne ou plus généralement destiné à des
utilisateurs donnés).
ah mais pardon, la CA de Paris en a décidé autrement :
"Conservation des données: les entreprises soumises aux mêmes obligations
que les FAI"
http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39209610,00.htm
Alors là bravo.
wak nous avait soumis l'idée :Juridiquement seuls les "opérateurs" de communications électroniques sont
tenus de conserver des données d'identification. Selon le Code des PCE
l'Opérateur s'entend comme une personne gérant un réseau "ouvert au
public" (pas un réseau interne ou plus généralement destiné à des
utilisateurs donnés).
ah mais pardon, la CA de Paris en a décidé autrement :
"Conservation des données: les entreprises soumises aux mêmes obligations
que les FAI"
http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39209610,00.htm
Alors là bravo.